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30 octobre 2022

Liberté d'Expression

Gérard Boyadjian

"Le retour de bâton était tellement prévisible, qu'on se demande encore qu'ils ne l'aient pas prévu, ni même envisagé."
À l'instar des autres plateformes, lorsque le réseau social Twitter, par le biais de ses approbateurs et contrôleurs zélés, a commencé à censurer tous les propos qui ne rentraient pas "dans leurs standards de la communauté", qu'il a banni les utilisateurs tenant des propos contraires à l'idéologie qu'il prônait, qu'il en est arrivé jusqu'à fermer le compte de l'ancien président américain Donald Trump...
Beaucoup se sont retranchés derrière le fait que le réseau exerçait son droit légitime et ont justifié cette décision par le fait qu'il s'agit d'une entreprise privée.
Aujourd'hui, étant donné que le réseau vient de changer de propriétaire (et de direction), certains comprennent que le braquet a changé et que "ses standards aussi".
Inquiet et alerté, le commissaire européen Thierry Breton, réfute désormais ce qu'il justifiait hier : "Le fait qu'une entreprise privée puisse appliquer sa propre politique et standards".
Il menace Twitter et exige formellement que Twitter se soumette aux règles de l'Union européenne.
Trop tard guignols !
Vous n'avez JAMAIS défendu la Liberté d'Expression.
Vous n'avez défendu que votre son, votre voix, votre propre et manifeste inclinaison... À déraison.
Aujourd'hui que la vibration a changé d'horizon, vous assimilez, un peu couillons, que vous êtes les prochains sur la liste "de la chasse aux cons".
La Liberté d'Expression n'est pas un simple droit, c'est bien plus que ça !
C'est le son qui s'affranchit de tous vos standards en carton, votre pathétique droit en pleine putréfaction, toute votre structure juridique risible qui s'effondre à l'unisson.
La Liberté d'Expression, c'est une respiration.
"Le retour de baton" a quelque chose de profondément jubilatoire, de jouissif, d'orgasmique... Surtout lorsqu'il s'abat sur tous les petits procureurs de la pensée (de l'U.E), qui aujourd'hui se retrouvent réunis, démunis, tel parterre de bouffons, à qui on répond :
Désormais, vos lois bidons, votre droit en carton et toutes vos décisions remplies de larmoyantes incantations ne rentrent plus "dans les standards de notre communauté".
Les règles viennent de changer "bande de p'tits nazillons" !


Ciotti : expliquer l’inexplicable

Gilles La Carbona

Le grand show se poursuit chez les LR, avec Ciotti, au micro de RMC, qui tente à son tour d’expliquer pourquoi il était utile, voire nécessaire, de trahir l’opposition, en votant contre la motion de censure. L’homme, en presque pédagogue, nous explique doctement que voter la motion de censure, ce serait avoir Mélenchon comme premier ministre et Marine comme ministre de l’Intérieur. Au-delà du délire du propos, destiné à attiser les peurs, ce qui est la marque de la macronie, dont il reprend les préceptes, on comprend mieux pourquoi depuis le 25 octobre, l’argument est vide, l’allégation stupide et sans fondement, à l’image de son parti, vidé du bon sens, gorgé de trahisons et de renoncements. Le voilà, à se contorsionner dans l’espoir de s’attirer les bonnes grâces d’un électorat qui fuit désormais, cherchant dans la démagogie, un hypothétique rebond électoral. L’hémorragie ne va pas s’arrêter et il est probable qu’aucun de ces collaborateurs zélés du macronisme ne retrouvera son siège après une éventuelle dissolution.
« Faut-il en pleurer, faut-il en rire ? » chantait Ferrat. Ni l’un ni l’autre, le sort qui les attend n’est que celui qu’ils se construisent, à force de retournements de veste. Les LR n’ont toujours pas compris que derrière leur siège, il y avait des électeurs et qu’eux, loin de tremper dans de sordides compromissions, voulaient une opposition qui s’oppose et non des valets à la solde de Macron. On ne peut pas expliquer sans risque qu’il faut être gentil avec le pouvoir et raisonnable pour ne pas créer du chaos : c’est le chaos. Ils sont si peu à l’aise avec leur choix, qu’ils sont obligés de le justifier. Tout cela est bien peu convaincant, comme le montrent les commentaires des internautes, qui n’ont pas l’air de gober ces explications calamiteuses. Certes ils vont encore pérorer sur les bancs de l’Assemblée nationale, mais le retour dans les circonscriptions risque de s’avérer douloureux. Leur parole est discréditée, la confiance est brisée… et le pronostic vital est engagé.


Soignants : la France bête et méchante

Pierre Duriot

L’évidence s’impose à tous, sauf à la France et un par un, plusieurs pays industrialisés réintègrent les personnels soignants non-vaccinés. Aux États-Unis, en Italie, par exemple, cependant qu’en Allemagne et au niveau de l’Europe, les révélations se multiplient sur les dessous de ce qui pourrait bien devenir le scandale de ce siècle naissant. On n’ose même plus dire le scandale du siècle, tant ces affaires se multiplient. D’autres pays donc, ont bien compris l’intérêt de retrouver ces personnels soignants, puisqu’il faut maintenant faire face à une recrudescence de crises cardiaques, comme dernièrement à Séoul, où des dizaines de personnes ont été prises en charge en arrêt cardiaque, lors des célébrations d’Halloween. Il s’agissait certes d’une bousculade, mais ce n’était pas la première dans le cadre de ces manifestations, lesquelles ne produisent habituellement pas ces effets. Même chose en Allemagne, où le Ministre de la santé a fait ouvrir des services dédiés aux pathologies cardiaques en recrudescence.

En France, on ne bouge pas. Le président se lamente à la télévision, sur les services hospitaliers qui ne sont plus à la hauteur, décrète des mesures d’urgence pour sauver la pédiatrie, mais ne se décide pas à proposer le retour à plus de 15 000 soignants non-vaccinés, virés sans ménagement. Il va même jusqu’à expliquer qu’ils ont « quitté le métier », alors qu’il les a fait licencier par Elizabeth Borne, selon une formule « sans indemnités » totalement illégale, complètement inexistante en droit du travail français et qui pourtant n’a fait bouger personne. Il est vrai que l’heure en était quasiment à vouloir tuer les non-vaccinés qui faisaient l’objet de discours violents et haineux à longueur d’antenne, sans que là non plus, la justice ne trouve quoi que ce soit à redire.

Depuis, la roue a tourné et les constats sont bien là partout : la vaccination n’a empêché ni la transmission, ni la maladie et si on s’accroche encore au mythe de l’évitement de la « forme grave », il apparaît de plus plus en plus que les vaccins ont évité la forme grave à ceux qui, de toute façon, n’en auraient pas faites : les moins de 60 ans, sans comorbidité. Quant aux plus de 60 ans et aux personnes fragiles, ils sont tout de même morts, si bien qu’on a de la peine à mesurer la protection effective apportée par un produit, présenté comme fiable à 95 % voici 18 mois et sur lequel désormais, plus personne ne se hasarde à faire le moindre pronostic.

Macron s’accroche au mythe en forme de mensonge, braque de manière démente de braves gens dont on aurait besoin, juste pour ne pas avoir à se faire remarquer qu’il s’est trompé, alors que tout le monde reconnaît qu’on s’est trompé. Au RPF, nous avons toujours tenu la même ligne : le vaccin doit relever du choix libre et éclairé et n’est pas, en droit du travail, un motif de licenciement. Au jour d’aujourd’hui, il apparaît que l’on pourrait plus aisément se passer des inistres qui ont piloté cette folie sanitaire, que des soignants dont on a un cruel besoin.



29 octobre 2022

Le Nom de la Dose

Eric Vial

Le petit monde de l’inquisition sanitaire et de l’église scientiste de la vaccination vient de prendre quelques coups dans ses fondamentaux. Cela suffira-t-il à une remise en cause de la doxa et de la bonne parole communément admise ? Sans doute pas.
Il y a quelques jours, devant la commission Covid du Parlement Européen, la vice-présidente de Pfizer avait admis que le géant américain n’avait jamais testé son vaccin sur le facteur de la transmissibilité du Covid-19.
« Que le vaccin n’ait pas été testé sur la chaîne de transmission, ce n’est pas très étonnant », relèvent des immunologistes et chercheurs, car « ce sont des expériences compliquées à monter ».
Pour autant, cette explication n’a pas suffi à faire retomber la colère de certains députés : « On a expliqué aux Européens que le vaccin permettait de ne pas transmettre le Covid-19 et finalement on n’en sait rien. »
Pour ajouter un peu d’huile sur le feu du débat, Le Professeur Christian Perronne, considéré comme un des principaux « antivax » du monde, ancien chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches dans les Hauts-de-Seine, qui a dirigé les plus hautes instances de santé en France, était poursuivi par le Conseil National de l’Ordre des Médecins pour ses prises de position très critiques envers la politique vaccinale du gouvernement lors de l’épidémie de Covid.
Les attaques ad hominem à son encontre ont été particulièrement virulentes : insulté, renié par la profession, démis de ses responsabilités, il a subi au plus haut niveau de l’État et dans une bonne partie de la presse, une campagne de déstabilisation et de dénigrement sans précédent.
Manque de chance pour ses pourfendeurs, dans une décision en première instance rendue le 21 octobre dernier, le professeur Perronne est blanchi de toutes les accusations dont il faisait l’objet. Aucune accusation n’est retenue contre lui, même pas la plus petite.
La justice ordinale a estimé que les prises de position de Pr Perronne, notamment sur l'hydroxychloroquine, « n'ont pas mis en danger l’action entreprise par les pouvoirs publics, dont les orientations ont changé à plusieurs reprises au cours de la période en cause ». La chambre disciplinaire a également rejeté l'accusation selon laquelle les propos dont elle était saisie relevait du « discours antivax ».
Il y a quelques heures, un juge de la Cour suprême de l'État de New York a décidé de réintégrer tous les employés non vaccinés licenciés. La Cour ordonne également un rétro paiement, déclare que l'État a violé les droits et a agi de manière arbitraire et capricieuse. Elle considère qu’être vacciné n'empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le Covid-19.
Un peu plus tôt, la Première Ministre de l’Alberta (Canada), Danielle Smith, devant les caméras du monde entier, a présenté « ses excuses » aux discriminés à cause du vaccin Covid. Elle va réintégrer immédiatement tous les suspendus avec excuses officielles, et amnistier les amendes pour non respect des « règles sanitaires ».
Tous ces faits qui s’accumulent n’auront peut-être aucune incidence en France où le programme politique vise « à em-mer-der les non-vaccinés » - comment oublier cette phrase ? -
Mais quand viendra l’heure du jugement dernier, que personne ne m’accuse alors d’avoir été comme au Moyen-Âge, un inquisiteur qui pense que la Terre est plate. Je suis un bon croyant, mon parcours vaccinal est complet.
Mon seul tort aura été de tenter de faire prendre conscience, de poursuivre le débat, de toujours nous remettre en cause ; exactement comme Guillaume de Baskerville, dans le Nom de la Rose. Je sais, comme lui j’avais promis qu’on ne m’y reprendrait pas… Mais que voulez-vous je n’arrive pas à me conformer au monde manichéen dans lequel nous vivons.
En tout cas, je pense que la question de la réintégration de tous les personnels de santé doit être mise à l’ordre du jour. Il me semble que nous avons besoin d’eux. Et puis j’avoue ne pas me sentir à l’aise lorsque je suis confronté à leur discrimination et à leurs difficultés sociales et financières quotidiennes.


La Corée du Nord selon Jadot

Gilles La Carbona

Dans le florilège des turpitudes de notre classe politique, il se trouve toujours une belle âme pour repousser les limites. Le déjà oscarisé Jadot, l’homme aux 4.63%, s’est fendu d’une nouvelle leçon de stalinisme. Il suggère que les futures motions de censure soient « invotables » (sic !) pour le RN et veut donc écarter tout risque de voir le gouvernement se faire renverser, en interdisant de vote les élus RN, sous prétexte qu’ils sont… RN, donc « d’extrême droite ». Pratique, il ne représente personne, mais détient la vérité et décide de qui peut voter ou non.

Lui qui s’est rallié à sa cause, au soir de sa déculottée du premier tour, cherche comment protéger son ami Macron et sa solution est imparable : écarter du vote les députés qui gênent. Dans sa démence dictatoriale, il est à craindre que d’ici quelques semaines, il n’étende sa demande à l’ensemble des textes débattus à l’Assemblée nationale. Derrière cette forme de terrorisme constitutionnel, se profile surtout le vrai visage du personnage, pur produit stalinien. Sa vision du débat et du respect des institutions est angoissante. Au-delà du délire, il y a bien une attaque violente de nos institutions et l’anti constitutionnalité du propos est évidente. Elle devrait susciter à elle seule, une sanction. [...]


28 octobre 2022

LGBT

Gérard Boyadjian

Encore combien de temps laisserons-nous les Russes imposer leurs volontés immondes sur nos valeurs universelles ?
Ces gens sont le plus haut degré de l'immoralité !
En Occident, nous avons la liberté d'avoir non pas "Papa et Maman", mais parent 1, parent 2, parent 3, parent 4 etc...
A l'école, on peut avoir un prof tatoué trans avec des implants mammaires qui apprend l'importance de changer de sexe à des enfants de 6 ans, afin de devenir une fille si on est né garçon, ou l'inverse. Ou même le contraire, j'sais plus !
On a tous accès à la culture : de Booba en musique, à Franck Dubosc au Cinéma. On peut déféquer sur la place publique et être considéré comme un génie de l'art contemporain. On peut dégrader des œuvres classiques pour sauver la planète...
Tellement de libertés que de l'autre coté, ces archaïques Popovs veulent nous ramener à l'âge de pierre, à la famille, à la tradition, à la transmission, etc...
Bref, tout ce qu'il y a de plus abject dans l'humanité.
Moi, j'ai une fille ! Et je n'ai qu'un souhait, qu'un seul désir pour elle !
Qu'elle puisse s'éclater à donf et devenir un trans non binaire, qu'elle épouse une chonce pour li fronce. Un "Mouloud" salafiste (mais échangiste) qui est chroniqueur contre l'extrême droite chez Hanouna, et qu'ensemble, après leur vasectomie respective pour sauver le climat, ils adoptent un éthiopien malgache écologiste venu taffer chez UBER EAT, place de Clichy.
Et dire qu'ils veulent enlever l'avenir de nos filles/fils/fiels/fieulels...
NON ! ils vont trop loin dans la haine.


Cette étrange sous-natalité occidentale

H16

Parfois, les nouvelles ne sont pas aussi roses qu’on pouvait le prévoir : alors que tout semblait aller au mieux entre guerre, pénuries et virus, voilà qu’on apprend dans un récent rapport que la natalité n’en finit pas de baisser en France.

Ainsi, depuis une décennie, les statistiques de différents organismes (sociaux, de santé, l’INSEE) montrent que si la France est encore un pays où les naissances sont nombreuses, elles le sont de moins en moins : un nombre plus faible d’enfants par femme, une augmentation du nombre de grossesses à risques, un décalage de l’âge du premier enfant de 25 vers 35 ans, de nombreux facteurs jouent sur cette baisse de la natalité.

Un autre facteur, moins publié, est l’augmentation quelque peu troublante, toujours depuis 10 ans, de la mortalité infantile : jusqu’à présent admise en dessous de 3 enfants morts en dessous de 1 an pour 1000 naissances, la hausse pointe à présent autour de 3.8 pour 1000 sans qu’on puisse déterminer avec précision pourquoi.

Mais plus inquiétant encore, ce sont les chiffres des deux dernières années en Europe qui plongent le plus dans la perplexité : la fin de l’année 2021 et l’année 2022 montrent l’une et l’autre un fort fléchissement du nombre de naissances, bien plus fort que la tendance globale décennale déjà assez peu réjouissante.

Pire : certains pays constatent une hausse alarmante des mortinaissances (enfants mort-nés) ainsi que l’accroissement des décès en très bas-âge (dans les premiers jours qui suivent la naissance) passant de 2 pour 1000 à 4.6 pour 1000, comme en atteste un récent article de la BBC concernant l’Écosse.

Diable, quelle pourrait être la raison de ce brusque infléchissement des naissances et de cette augmentation marquée du nombre de mort-nés ?

Eh bien c’est justement ce qu’ont tenté de savoir les autorités écossaises en demandant directement aux institutions de santé. Comme le détaille le Dr. Campbell dans la vidéo suivante, la réponse a fini par tomber : essentiellement, “on ne sait pas” mais il a été estimé qu’étudier un lien entre ces problèmes néonataux et l’éventuel statut vaccinal des mères n’était ni nécessaire ni souhaitable.


Les autorités de santé d’Écosse sont formelles : “Nous n’avons pas l’intention d’examiner le statut vaccinal des mères, car il n’y a aucune raison de santé publique de le faire”. La pause de plusieurs secondes du Dr Campbell (à partir de 7:27) est intéressante et la suite de la vidéo en profite de surcroît pour montrer comment les autorités (anglaises cette fois-ci) font habilement passer les bébés morts en très bas-âge dans la catégorie des mort-nés, ce qui évite commodément la paperasserie impliquée par une mort après naissance. On louera le sens de l’économie des fonctionnaires de santé anglais qui, à l’évidence, voient là une manière efficace de réduire les factures du contribuable.

De toute façon, à l’instar des autorités écossaises, il n’est vraiment pas nécessaire de s’interroger sur la sécurité de l’expérimentation vaccinale encore en cours. Et même si l’article initial du CDC montrant à quel point les femmes enceintes ne courraient aucun risque avec cette injection a été assez proprement remis en question (les auteurs du dernier papier trouvant une incidence des avortements spontanés 7 à 8 fois supérieure aux résultats originaux du CDC), tout le monde sait qu’il n’y a aucun risque à court, moyen et long terme pour la fertilité humaine.

À propos, vous souvenez-vous du journaliste Alex Berenson, qui travaillait il y a quelques temps pour le New-York Times ? Son bannissement de Twitter l’avait rendu fameux alors qu’il avait osé affirmer (le fou) que les vaccins ne protégeaient ni de l’infection ni de la transmission. Ayant trainé Twitter en justice, la firme californienne a finalement été obligée d’admettre son erreur et de lui rendre son compte tant à présent, il ne fait plus guère de doute (à l’exception de certains “experts” de plateaux télé) que ces injections n’empêchent effectivement ni transmission, ni contraction du virus…

Depuis, notre journaliste continue ses recherches sur les effets secondaires des injections et se demande actuellement si, au-delà des effets maintenant reconnus sur le muscle cardiaque qui provoque des crises de coïncidences, il ne pourrait pas aussi y avoir un effet sur la fertilité…

Le journaliste cite notamment le cas de Singapour dont les naissances semblent plonger neuf mois après le début des injections sur les femmes enceintes (une autre coïncidence).

Trouvera-t-il un lien ? Ce lien n’est-il qu’une chimère de plus dans la longue série de théories complotistes qui ont émaillé l’actualité des dernières années ? Allez savoir.

En tout cas, on se rappellera (à toutes fins utiles) que des éléments déjà présents dans les études de Pfizer au sujet des procédés mRNA et nanolipidiques sur les rats indiquaient clairement la présence des produits bien au-delà des sites d’injection… jusque dans les gonades.


Avouez tout de même que ce serait une drôle de coïncidence que ce qui fut alors observé chez les rats s’observe à nouveau chez les humains et permette d’expliquer, au passage, les nombreux troubles menstruels actuellement rapportés chez les femmes récemment vaccinées…

Quant aux hommes, les études qui montrent un effondrement de la production de spermatozoïdes au-delà de tout doute statistique, n’ont évidemment qu’une valeur purement indicative, de l’ordre de la coïncidence.


Enfin, les petits calculs statistiques menés sur les données officielles de natalité dans les pays d’Europe et dont on pourra éplucher les résultats n’ont, là encore, qu’un intérêt modeste d’illustration de ce à quoi une coïncidence peut ressembler : le fait que cette natalité baisse substantiellement dans les 9 mois après les injections miraculeuses n’est que ça, un hasard pittoresque.

Par exemple, la baisse constatée des naissances en Allemagne n’est probablement qu’un petit artefact de calcul, une boulette statistique, ou une concordance hasardeuse de la catégorie “chpouf ça arrive”.


Pour le lecteur peu versé dans la langue de Goethe, cela donne en substance ceci :

“Mon pronostic était que la baisse drastique des naissances du 1er trimestre 2022 se rétablirait pendant l’été, car peut-être beaucoup de jeunes mères voulaient attendre leur deuxième vaccination. Cela ne s’est PAS produit. En juillet également, le nombre de naissances est inférieur d’environ 8% à celui de l’année précédente. Au total, il manque 40.000 bébés.”

Mais foin de toutes ces isochronies fortuites, force est de constater qu’on peut pas tirer la moindre conclusion définitive. Il serait probablement judicieux de réclamer des études détaillées pour dissiper tout doute. Après tout, les vendeurs, les promoteurs et les avocats plus ou moins vocaux de ce vaccin présenté partout comme “sûr et efficace” ne devraient pas s’opposer à ce qu’on écarte enfin clairement toute controverse, qu’on éclaircisse enfin tout malentendu concernant les différences statistiques observées.

Certes, ce n’est pas exactement ce qu’on observe et les vendeurs, promoteurs et avocats font plutôt assaut d’inventivité pour que ces questions ne soient pas abordées.

Il s’agit sans doute d’une (autre) coïncidence.