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3 août 2023

Soutien sans faille

Kelly Scott

Le film « Sound of Freedom » de Alejandro Gómez Monteverde fait parler de lui en France, malheureusement il ne fait pas l’unanimité et subit la violente critique des « Bien-pensants ».
Certains médias de gauche s’acharnent à tirer à boulet rouge sur le film, sur le réalisateur, sur les acteurs et sur les téléspectateurs.
Le film ne fait l’objet d’aucune promotion et ne sera visiblement pas distribué en salle en Europe.
Ce film connaît pourtant un succès indéniable et inespéré Outre-Atlantique.
il traite du problème de l’exploitation sexuelle et du trafic d’êtres humains, en particulier des enfants et raconte le sauvetage d’un petit garçon et de sa sœur par un agent fédéral. Le film s’inspire du travail d’une association, Opération Underground Railroad, créée par Tim Ballard (Jim Caviezel) qui lutte contre le trafic sexuel.
On se demande une fois de plus qu’elle est la raison de ces attaques contre le film et de ces critiques injustifiées de journalistes qui n’ont pas même pris la peine d’aller voir le long métrage.
Un film courageux, prenant, qui dérange car il ose traiter d’un sujet tabou.
Ce trafic ignoble est le 3e au monde après le trafic de drogue et d’armes et il est très lucratif.
Un fléau qui touche des enfants innocents qui subissent pendant des années, les pires tortures et atteintes à leur corps sans défense.
Pourquoi ce silence ?
L’affaire Jeffrey Epstein pouvait laisser espérer que la justice et les gouvernements prendraient la mesure du problème de l’exploitation des mineurs à travers le monde.
Seul l’ex-président Trump, eh oui, avait fait de la lutte contre ces crimes l’une de ses priorités.
Mais les médias, au lieu de soutenir son action, l’ont fait passer pour un clown.
Ce silence, cette omerta, pourquoi ?
Peut-être parce que des personnes très hauts placées, intouchables et influentes participent directement ou indirectement à ces faits.
Les médias aux ordres le savent bien, ont peur et préfèrent faire passer pour d’horribles complotistes les personnes qui dénoncent ce problème.
« Des personnes de droite qui font partie de la fachosphère » voilà ce qu’on peut lire.
Lire les articles sur le film du Figaro, du Parisien ou de Télérama, on sort dégoûté de la lecture et très en colère.
Il faudrait envoyer des vidéos à tous ces donneurs de leçon et pseudos critiques, des vidéos de scènes (elles existent sur le dark web et autres) afin qu’ils puissent mesurer ce que subissent et vivent les victimes (enfants, jeunes femmes et hommes vendus ou enlevés) de la part de ces trafiquants sans foi ni loi.
Malheureusement, au vu de la non prise de conscience (voulue ou pas) de la part des gouvernements et des élites, ce trafic sera bientôt à la première place du triste palmarès des trafics immondes et contre lesquels nous aurions les moyens de lutter, mais pour cela il faut du courage et de la volonté.
Encore une fois, le mal prend le dessus sur le bien, l’argent et le plaisir avant tout recherchés par des personnes blasées, très riches, en mal de sensations nouvelles et qui n’ont plus aucune limite.
Pauvre monde, pauvres gosses innocents livrés consciemment aux pires ordures de la planète.