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29 décembre 2022

Marc Amblard

UNE COUR D’APPEL DES ÉTATS-UNIS INVALIDE L’OBLIGATION VACCINALE IMPOSÉE PAR L’ADMINISTRATION BIDEN (EXPLICATION RAPIDE)

Les États-Unis ne sont pas un pays au sens où nous, Européens, l’entendons. Il s’agit plus d’une confédération de 50 États quasi indépendants. Chacun dispose de son propre gouvernement, de son gouverneur, de son congrès, de sa Cour suprême, de sa législation et de sa fiscalité. Les Français ne sont pas toujours bien informés à ce sujet.

Ainsi, Joe Biden n’est pas le président des Américains mais le président d’une entité administrative délégataire dont les pouvoirs sont limités par le dixième amendement de la Constitution.

Selon ce principe, la politique sanitaire est un domaine qui relève de chaque État. C’est pourquoi certains d’entre eux ont imposé le port du masque, le confinement et le vaccin, alors que d’autres, comme la Floride, ont laissé les citoyens libres de gérer leur santé comme ils le souhaitaient.

Partant, la Maison Blanche n’a pas le pouvoir d’imposer aux Américains qu’ils s’injectent dans le corps une substance quelle qu’elle soit, et encore moins lorsqu’elle est expérimentale.

Dans sa grande frustration, l’actuelle administration s’était alors rabattue sur une mesure a minima mais cependant pénalisante : l’obligation vaccinale anti-covid pour tous les employés des entrepreneurs fédéraux. Ces derniers devaient s’y soumettre s’ils souhaitent obtenir des contrats gouvernementaux. Cela représentait tout de même plusieurs millions de travailleurs.

Eh bien, ce décret datant de septembre 2022, signé par Joe Biden lui-même, a été invalidé lundi dernier (26 décembre 2022) par une Cour d’appel qui a jugé conformément à la Constitution que le président américain n’a aucune autorité en la matière : l’application des obligations sanitaires aux États-Unis relève de la seule compétence des États.


23 décembre 2022

FLORIDE : LA COUR SUPRÊME VA NOMMER UN GRAND JURY CHARGÉ D'ENQUÊTER SUR LES VACCINS

Marc Amblard

Le gouverneur Ron DeSantis a demandé mardi à la Cour suprême de l’État de constituer « un grand jury pour enquêter sur des "actes répréhensibles" liés aux vaccins Covid-19, y compris la diffusion d'allégations fausses et trompeuses sur l'efficacité des doses » (je cite).
En parallèle, Joseph Ladapo, chirurgien et responsable de la santé en Floride, rejoint par l'épidémiologiste de Harvard, Martin Kulldorff et le professeur de médecine de l'Université de Stanford, Jay Bhattacharya, ont annoncé leur intention de lancer une étude sur les personnes décédées de problèmes cardiovasculaires après avoir été injectées.

L’étude s’appuiera notamment sur une coordination comprenant 25 centres régionaux de santé publique et l'Université de Floride. 

21 décembre 2022

LES DÉGÂTS DU WOKISME

Marc Amblard

Cette jeune maman s’est présentée au School Board Meeting (*) déguisée en chatte (ça lui va très bien d’ailleurs :-))
Elle a alors pris le micro pour s’adresser aux enseignants et à la direction de l’école. Elle a prétendu qu’elle n’était pas une femme habillée comme une chatte mais réellement une chatte.
Elle leur a demandé ensuite combien d’entre eux pouvaient croire une telle connerie. Personne. Idem si on posait la question aux enfants. Aucun d’eux n’y croirait parce qu’ils ne sont pas stupides et que le principe de réalité s’impose.
Elle est une femme parce qu’elle est biologiquement constituée comme telle.
Elle a poursuivi en déclarant que si elle s’imagine réellement être une chatte alors c’est qu’elle est psychologiquement dérangée et privée de ses facultés de discernement.
Dans ces conditions, est-il sain d’autoriser ce type de personne dans l’environnement proche des écoles ? Rappelons que certains établissements recrutent des transsexuels ou des drag-queens pour « ouvrir » l’esprit des enfants.
Elle a ajouté qu’une école n’est pas un lieu pour procéder à des expérimentations sociales ou répandre de l’idéologie transgenre. Les enfants vont à l’école pour découvrir des faits et des vérités scientifiques, non pour apprendre qu’ils peuvent changer de sexe, ce qui est biologiquement impossible.
Elle a été applaudie par les autres parents d’élèves.
Qu'on lui remette une médaille !
(*) ces conseils prennent les grandes décisions au sein des écoles publiques



19 décembre 2022

Grand Zapping de fin d'année

Marc Amblard

Bonjour les amis
 
Si ce n'est déjà fait, je vous conseille de visionner ce "Grand Zapping" de fin d'année. Il résume à lui seul 3 années de folie, de manipulations, de bêtise crasse et de mensonges outranciers. Très bon. Une perle.
Félicitations aux auteurs.


18 décembre 2022

USA - POURQUOI LES « TWITTER FILES PART 6 » RÉVÈLENT UNE VIOLATION HAUTEMENT CONDAMNABLE DU 1ER AMENDEMENT

Marc Amblard

1. Le 1er amendement de la Constitution des USA interdit au Congrès de voter des lois limitant la liberté d’expression (entre autres). Par extension, il empêche toute composante du gouvernement (agences incluses) de priver le citoyen de son droit d’expression (free speech).

2. Le 1er amendement ne concerne pas les entités privées comme Twitter. Partant, la suppression ou la rétrogradation d’un compte par des modérateurs du réseau social ne contrevient pas au 1er amendement.

3. En revanche, qu’une agence gouvernementale use de son autorité pour ordonner à Twitter de réduire au silence certains comptes est une violation patente du 1er amendement. Or, le nouveau propriétaire de Twitter a révélé il y a quelques jours qu’entre janvier 2020 et novembre 2022, près de 150 emails ont été échangés entre le F.B.I. et l’ancienne direction du réseau pour réduire au silence des voix conservatrices et notamment pro-Trump. Sans compter des appels quotidiens. Précisions que lesdits emails ont été authentifiés et ne sont pas contestés.

Jamais la Constitution n’avait été à ce point piétinée. De quoi consterner les Pères fondateurs du pays s'ils nous observent de là-haut.


14 décembre 2022

LES "TWITTERS FILES" : UNE (SALE) AFFAIRE D’ÉTAT

Marc Amblard

Twitter, scène de crime, c’est l’expression consacrée qui circule depuis deux semaines aux USA.
J’en parle parce que je ne suis pas sûr que l’information soit correctement diffusée par les médias européens.
En effet, chaque jour apporte son lot de révélations depuis que le nouveau propriétaire de Twitter dévoile des documents internes extrêmement compromettants.
On y apprend, par exemple, comment des agences d’État (à commencer par le FBI) et le parti démocrate se servaient du réseau social pour faire taire les opposants et promouvoir une certaine forme de discours.
Les voix conservatrices étaient déclassées (shadow banning), parfois exclues alors que les publications progressistes étaient systématiquement surclassées pour gagner en visibilité.
On apprend également qu’à la demande du FBI, Twitter a supprimé toutes les informations relatives au laptop de Hunter B. en octobre 2020, juste avant les élections présidentielles. Très peu d’électeurs ont donc été informés des frasques sexuelles et narcotiques du fiston et des dossiers de grande corruption impliquant le père, alors candidat démocrate.
Ainsi, par le truchement des réseaux sociaux et grâce à la technologie, le gouvernement instrumentalise les algorithmes et la censure pour faire avancer sa vision politique du monde, tout en muselant virtuellement la dissidence. C'est l'une des nombreuses façons de vicier un processus électoral en contrôlant étroitement l’information durant les campagnes.
Autre révélation, on vient de découvrir que c’est une délégation conduite par Michelle Obama qui a demandé à la direction de Twitter de supprimer le compte de Donald Trump début janvier 2020.
Il faut tout de même prendre la mesure de cette mesure démente : le compte du président des États-Unis en exercice, fermé sans préavis, alors même que des milliers de pédophiles, de Talibans et autres ordures patentées étaient autorisés à conserver leurs facultés d’expression sur Twitter !
Profitons-en pour signaler que des milliers de comptes en lien avec des activités pédo-pornographiques ont été fermés ces jours-ci sur ordre d’Elon Musk.
L'extravagant milliardaire est en train de faire un ménage de salubrité publique en exposant la corruption comme trop peu l’ont fait avant lui. C’est à se demander s’il n’a pas fait l’acquisition de l’oiseau bleu à cette seule fin !
Nous lui en savons gré car il n’est point de vraie démocratie sans une totale liberté d’expression.


10 décembre 2022

VIRUS, CLIMAT ET DÉRIVES SECTAIRES

Marc Amblard

Masques, confinements, injections, réchauffement climatique… jamais la science n’a été aussi piétinée et manipulée à des fins financières et politiques.
Nous vivons de plus en plus dans le culte et l’instrumentalisation de la peur.
Les études, les chiffres, les faits importent peu. Seul compte le récit tricoté par des élites avides de contrôle, véhiculé par leurs médias inféodés et gobé par des milliards d’idiots utiles sous hypnose.
Le retour à la sagesse et au bon sens s’impose plus que jamais. Ne plions pas. Ne cédons pas à l’appel de la masse.
Et si on nous le reproche, répondons que nous préférons suivre la science plutôt que de nous laisser entraîner dans une dérive sectaire.
Le bon sens, par exemple, c’est de considérer à sa juste mesure un virus qui ne tue pas plus que la grippe (voir les études sur la surmortalité) et auquel 99,7% des personnes atteintes guérissent sans dommage.
La folie covidienne, c’est de croire que chacun est un danger pour l’autre, qu’il faut absolument se museler et inoculer une substance non naturelle à la terre entière, y compris aux enfants qui ne sont pourtant pas concernés.
Restons sains de corps et d’esprit. Résistons aux idéologies fanatiques et sournoises.


4 décembre 2022

MACRON AUX USA - PETITE MISE AU POINT RAPIDE

Marc Amblard

Je lis parfois que le président français est un libéral pur et dur, fervent adorateur des États-Unis.
Qu’il nourrisse une admiration pour les Américains, c’est possible et ça le regarde. Qu’il soit libéral, en revanche, rien n’est plus erroné. Il est même à l'opposé : c'est un étatiste inconditionnel.
Il est facile de s’en convaincre. Il suffit d’observer deux indicateurs très révélateurs : les dépenses publiques et l'endettement du pays. Deux agrégats qui ont nettement augmenté sous son mandat. Si Monsieur Macron avait été libéral comme certains le soutiennent, le taux des dépenses publiques serait passé sous la barre des 50 %.
Rappelons qu’en France plus de la moitié de la valeur créée par un travailleur est captée par l'État et les organismes sociaux affiliés. Et l’actuel président n’a absolument rien fait pour renverser la tendance. Bien au contraire, le taux des dépenses publiques s'est accru durant ces dernières années pour atteindre 59 % (1 477 milliards d’€).
Même constat pour la dette publique qui, à la fin du premier trimestre 2022, s’établissait à 2 902 milliards d’€ soit 114,5 % du produit intérieur brut. Record absolu.
Rappelons que le libéralisme est une doctrine hostile à l’intervention de l’État dans la vie économique ; elle s’attache avant tout à défendre les libertés individuelles des citoyens et à leur responsabilisation (dictionnaire Hachette). On est aux antipodes de la politique actuelle : les mesures totalitaires que le président français et son gouvernement infligent aux Français depuis plusieurs années, n’ont fait que les asservir en les infantilisant.
Certains rétorqueront que le président français est toujours prompt à favoriser les grands patrons (McKinsey, Alstom, Axa, Medef…) (et qui probablement le lui rendront un jour). Il sera alors facile de leur répondre que les socialistes ont toujours copiné avec les grands groupes et assez rarement pour défendre l’intérêt des citoyens, bien au contraire. Et ce n’est en rien, une preuve de gestion libérale.
Uniquement l’expression d’un pouvoir corrompu qui pratique le capitalisme de connivence, métastase peu glorieuse des états omnipotents.


29 novembre 2022

ET SI LE REFUS DE RÉINTÉGRER LES SOIGNANTS ÉTAIT PLUS UN PROBLÈME D’ORDRE SOCIOLOGIQUE QUE SANITAIRE OU POLITIQUE ?

Marc Amblard

Je m’explique. L’exclusion d’une partie de la corporation médicale était fondée sur le postulat que ceux qui n’ont pas été injectés sont des vecteurs de propagation et ceux qui l’ont été ne le sont pas.
C’est du moins ce que certains croyaient ou se plaisaient à croire. A présent, nous savons (de l’aveu même d’un haut cadre de Pfizer et corroboré par nombre d'études scientifiques) que la mixture n’empêche pas la transmission.
C’est d’ailleurs pourquoi le Cour suprême de l’État de New York a récemment ordonné la réintégration avec des arriérés de salaire de tous les employés de la ville de New York qui avaient été licenciés.
Dès lors, il n’y aucune justification à l’exclusion. La raison devrait inviter les responsables à reconnaitre qu’ils se sont trompés et à présenter leurs plus plates excuses aux victimes d’un bannissement aussi stupide qu’immoral.
Que nenni, les agents du gouvernement (et bien d’autres) y sont globalement opposés. Ils s’accrochent à leur position contre toutes formes de sagesse et d’intelligence. C’est effarant.
J’émets alors l’hypothèse qu’au fond, ce qui est reproché aux personnes non injectées ce n’est pas la possibilité de transmettre mais leur refus de se conformer à des normes sociales majoritairement acceptées.
La sociologie a depuis longtemps révélé que nos conduites sont bien moins déterminées par un calcul rationnel isolé que par la conformité à des conventions comportementales que nous adoptons souvent de façon inconsciente. Nous nous plions à une forme de rationalité mimétique : je me comporte non pas (uniquement) en fonction de ce que me dicte ma raison profonde mais selon ce que les autres attendent de moi. A défaut, je prends le risque d’être exclus de mes groupes d’appartenance (famille, amis, collègues…).
En effet, au sein d’une population, la déviance (entendons par là, la non acceptation de recommandations comportementales) est très mal perçue. Notamment parce qu’un agissement non conforme remet en cause un ordre établi. Pour la foule disciplinée, il instille un doute de nature à ébranler une pseudo vérité que nous tenons pour acquise. Dit plus simplement, l’originalité dérange, bouscule, irrite. Plus insidieusement, elle me place, moi le soumis, face à un miroir qui me renvoie à ma propre condition de docilité acceptée. Et, au fond, ça heurte mon ego.
Dès lors, il est peu surprenant que la déviance déclenche la réprobation de la foule et engendre des sanctions pouvant aller jusqu’au bannissement.
Autrement dit, je te condamne, non pas en raison de l’absence d’une substance dans ton corps (ce qui n’a, on le sait, aucune légitimité scientifique) mais parce que tu refuses de te soumettre à des normes sociales qui fondent l’identité et la cohésion d’un groupe. Finalement, tu t’en exclus par ta conduite déviante.
Aussi, il n’y a aucune raison de te réintégrer dans une communauté dont tu refuses les règles.
Heureusement, les conventions évoluent lorsque les déviances se multiplient au point de faire voler en éclats la résistance collective. La dynamique des normes sociales est toujours le fruit d’un rapport de force. Comme l’a écrit le philosophe Gilles Deleuze, « toute vérité est vérité d’un élément, d’une heure et d’un lieu... ».