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11 avril 2023

Yann Bizien

Allons nous découvrir une rencontre de volontés et d'intérêts entre l'exécutif et les Républicains, qui ont abandonné le "monopole de l'opposition" à Marine le Pen en tête de plusieurs sondages, s'il fallait voter aujourd'hui pour élire un nouveau Président de la République ?
Les Républicains sont proches du "coup de grâce". Cette expression, qui remonte au Moyen Âge, était jadis une allusion au dernier coup porté par le bourreau à un condamné à mort pour abréger ses souffrances après une longue torture.
Je serai plus précis : les Républicains sont proches du "coup fatal". Il ne s’agit plus d’apaiser leur douleur, mais, au contraire, de leur porter le dernier coup politique, sans état d’âme.
Et ce coup fatal pourrait bien être décidé et proposé par Emmanuel Macron en cas de remaniement.
Les Républicains désespérés ne veulent pas "sortir de l'impasse politique". Ils veulent désormais sauver leur peau en rejoignant le camp présidentiel et le "centre autoproclamé de la respectabilité", contre le pays profond, après avoir refusé de censurer le gouvernement.
82% des Français se sentent aujourd'hui méprisés par la classe politique dirigeante. Les Républicains ci-dessous sont désormais prêts à la rejoindre et à cautionner son bilan désastreux pour la France.


8 avril 2023

Yann Bizien

Citations de ceux qui vivaient la chute de l'empire romain :

⬦ L'Empire est devenu un État policier, avec des espions et des informateurs partout. Les gens sont constamment surveillés, et chacun de leurs mouvements est surveillé par les autorités.
Synésius de Cyrène, évêque grec du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ L'Empire romain est dirigé par un petit groupe d'élites qui ne se soucient que de leurs propres intérêts. Ils n'ont aucune préoccupation pour le bien-être du peuple, et feront tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir leur pouvoir.
Salvien, écrivain chrétien du Ve siècle

⬦ L'Empire romain est devenu une dictature, l'empereur exerçant un pouvoir absolu sur la vie des gens. Il n'y a plus de place pour la dissidence ou l'opposition.
Saint Augustin, théologien chrétien du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ Le gouvernement romain est devenu tyrannique et oppressif. Les gens ne sont plus libres de dire ce qu'ils pensent ou d'exprimer leurs opinions sans crainte de représailles.
Ammien Marcellin, historien romain du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ Les taxes prélevées par le gouvernement romain sont un lourd fardeau pour le peuple. Elles causent une grande souffrance et une grande difficulté, et pourtant le gouvernement ne montre aucune pitié.
Synésius de Cyrène, évêque grec du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ Les taxes imposées par le gouvernement romain sont injustes et oppressives. Les gens sont forcés de donner leur argent durement gagné pour soutenir les modes de vie luxueux des élites.
Saint Augustin, théologien chrétien du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ L'Empire romain est comme une grande bête qui dévore tout sur son passage. Les gens sont taxés au maximum, et pourtant le gouvernement exige encore plus.
Ammien Marcellin, historien romain du IVe siècle ap. J.-C.

⬦ Certaines personnes ont sombré à de tels niveaux de dépravation qu'elles cherchent du plaisir sexuel avec des animaux. C'est un signe de la décadence morale de notre société.
Suétone, historien romain du IIe siècle ap. J.-C.

⬦ Les mœurs des femmes sont devenues aussi corrompues que celles des hommes. Elles se livrent à toutes sortes de comportements honteux et n'ont plus aucun sens de la décence ou de la honte.
Sénèque le Jeune, philosophe romain du Ier siècle ap. J.-C.

⬦ Les hommes de notre temps sont devenus efféminés et décadents. Ils s'intéressent davantage à leur apparence et à leur plaisir qu'à leurs devoirs et responsabilités. Ils ont perdu l'esprit de sacrifice de soi et de service
Dion Cassius, historien romain du 3e siècle après J.-C

⬦ Les pratiques sexuelles de notre peuple sont devenues si perverties qu'elles sont maintenant considérées comme normales. Les hommes épousent des hommes et les femmes épousent des femmes, et personne ne sourcille.
Ammien Marcellin, historien romain du 4ème siècle après J.-C.

⬦ À notre époque il est plus facile de violer la loi que de la respecter, et la vertu est plus souvent punie que récompensée. Nous aimons dorénavant plus le plaisir que l'honneur, et valorisons l'argent plus que la justice.
St. Jérôme, érudit chrétien du 4e siècle après J-C

⬦ La bureaucratie romaine était comme un cancer, consommant les ressources de l'empire sans fournir aucun véritable bénéfice. C'était un fardeau que le peuple ne pouvait plus supporter.
Augustin d'Hippone, théologien et philosophe chrétien, 354 après J-C

⬦ Les institutions de l'Empire romain se décomposaient, ses armées s'affaiblissaient, et son peuple devenait de moins en moins capable de se défendre.
Salvien de Marseille, théologien et écrivain chrétien (vers 400-480 après J-C)

1 avril 2023

COVID

Yann Bizien

Je n'étais que du côté de ma conscience et de ma liberté de choisir ou pas de me faire vacciner contre le COVID.
 
Je n'étais pas contre la vaccination. J'étais pour la liberté de la choisir ou de la refuser.
 
J'ai respecté humainement le choix de chacun.
 
J'ai appliqué rigoureusement tous les gestes barrières. Je n'ai contaminé personne. Je ne suis pas vacciné contre le COVID. Je n'ai mis personne en danger. Je ne l'ai jamais attrapé.
 
Je n'ai pas tourné le dos à la science, alors même que ces vaccins ne protégeaient que contre les formes graves du COVID et n'empêchaient pas la contamination.
 
Je n'ai pas cédé à la puissante propagande sanitaire d'État, la plus importante et la plus coûteuse de toute notre histoire.
 
Je ne me suis jamais aligné sur les théories du complot.
 
J'ai clairement refusé l'idée d'opposer les Français vaccinés contre les Français non vaccinés, dénonçant à de nombreuses reprises la politique de discrimination et de fracturation du pays d'Emmanuel Macron.
Vaccinés avec à peu près tout ce qui existe sur le marché sanitaire, sauf contre le COVID, je suis simplement resté moi-même, solide sur mes convictions.
 
J'ai été insulté pour ma position pourtant équilibrée, rationnalisée et respectueuse de tous.
 
La recommandation de la Haute Autorité de Santé de lever la suspension des soignants non vaccinés et de les rétablir dans leurs droits est une victoire contre les excès du pouvoir vis-à-vis de nos libertés fondamentales.
 
En lisant ce matin le dernier communiqué du ministre de la Santé, qui affirme se conformer à la loi, je découvre également son mépris total pour les soignants non vaccinés qui étaient pourtant sur le front épidémique, au début de la crise, et aux côtés de leurs collègues, vêtus de simples sacs poubelles comme les autres, à cause de l'incompétence d'un gouvernement imprévoyant et dépourvu dont il est aujourd’hui le digne représentant.
 
Il y a un combat politique à mener dans notre pays contre l'arrogance et le mépris d'un pouvoir qui divise une société déjà fracturée et qui attaque nos libertés fondamentales pour mieux régner.


31 mars 2023

Avons-nous atteint un point de bascule du centre de gravité politique et religieux en France ?

Yann Bizien

L’immigration continue, massive, subie, et sans contrôle, percute et transforme profondément notre démographie, le corps électoral, les résultats des scrutins, notre sécurité, le rapport à la culture, à l’histoire et à notre ADN.

Nous ne pouvons plus ignorer l’immense effet déstabilisateur de l’immigration sur la société française. Intégration et assimilation sont en échec. De nombreux immigrés refusent même de valider nos valeurs et « les Lois de la République ». Le pouvoir a renoncé à faire des migrants « des Français » à part entière. Nombreux sont ceux qui vivent en France « hors-la-loi ».

Contrairement à ce que tous les progressistes du « cercle de la raison et de la tolérance » cherchent à imposer dans le débat, en attaquant les « esprits chagrins et les fascistes en panique morale », ce phénomène migratoire extra européen n’est pas, et de loin, un fait marginal.

En France, 1/3 de la population a désormais un lien avec l’immigration sur seulement trois générations, soit 19 millions de personnes.

Il y a désormais davantage de pratiquants de l’islam en France que de catholiques pratiquants.

Il y a toujours plus de partisans d’une immigration providentielle dans notre pays.

La pression migratoire ne diminue pas. Tout indique, malgré le discours politique, et les lois qui s’enchaînent, qu’elle va se poursuivre, qu’elle va accentuer la violence physique (*) et impacter toute notre civilisation.

Les patriotes, les souverainistes et les conservateurs ont de bonnes raisons d’être inquiets et de dénoncer l’impuissance politique et d’État vis-à-vis de cette immigration qui déménage de chez elle pour s’installer « chez nous », à nos frais, sans notre avis, et dans notre dos.

Le peuple historique de France se sent "dépossédé" de tous ses biens immatériels les plus précieux : la patrie, la nation, sa souveraineté, sa démographie et son destin.

Dans une France en faillite, ensauvagée, et désormais ingouvernable, il serait temps de prendre cette réelle urgence à bras le corps avant une prise de pouvoir de l'islam politique sur tout notre pays, cette autre dépossession qui nous guette.

(*) Ce lien entre immigration et violence a été confirmé par le ministre de l'Intérieur.


28 mars 2023

Yann Bizien

La vraie France d'en bas, celle du réel, sur Tweeter ce matin. Le ton est plutôt révolutionnaire :

" Le Roi Macron est confiné."
 
"Le père fouettard reste dans son bunker."

"Macron a tellement peur du pays réel qu'il a annulé un déplacement à Toulon."

"Le tyran est calfeutré à l'Élysée. Il est plus facile d'injurier la foule à la télé que de faire face à elle."

"Aujourd’hui encore, à Marseille, une foule immense défile contre Macron et son pillage autoritaire."

"La jeunesse en force dans le cortège. La jeunesse unie pour défaire le monde de Macron. Même si Macron ne veut pas, toute la France est là."

"Des milliers de personnes défilent au Havre contre Macron, son 49-3 et sa réforme des retraites. Le mouvement a du souffle, dans l'ex pays des droits de l'homme."
 
"Le cauchemar du Gouvernement est lancé."

"Macron est traqué partout par le peuple en colère."

"C’est pas lui qui faisait le fanfaron avec son « qu’il vienne me chercher »? Aujourd’hui il rase les murs et flippe même d’annoncer à l’avance son agenda présidentiel. S’il ne peut plus exercer ses fonctions, qu’il dégage."

"Il paraît que le dictateur vient d'appeler à la rescousse son allié magique : le fameux "covid" ! Miraculeusement et opportunément "réactivé", le virus-fantôme se chargera de stopper la vague insurrectionnelle."

"Plus personnes ne va croire ce menteur pathologique."

"Ça ne prend plus, une fois mais pas deux, la colère est à sont paroxysme, il n'y a pas que la réforme des retraites c'est un ensemble, et accumulation de toute la maltraitance de la macronie. Qu'ils dégagent !!!"

"@EmmanuelMacron est affaibli , il est K-O sur le plan psychique et politique, il use de sa dernière carte « La Matraque » et c’est le moment où jamais de le faire dégager, il ne faut pas le laisser respirer."

"Le peuple Français doit exiger la démission ou la destitution de Macron. Il est grand temps de faire du ménage dans ce Gouvernement."

"Ce guignols n'a plus de place comme président de France il devrait partir pour que ce pays retrouve ses couleur."

François Asselineau :
VOMI PAR LES FRANÇAIS, LE MOZART DU BORDEL GÉNÉRAL EST COINCÉ À L'ÉLYSÉE
Traqué partout par le peuple en colère, Macron ne peut plus :
- accueillir Charles III
- dîner à Versailles
- aller au Stade de France
- se rendre à Toulon
- exercer ses fonctions
IL FAUT LANCER LA DESTITUTION

De l'autre côté de la Manche :
"Macron is learning what it means to go against The People."

26 mars 2023

Quand l'écologie devient une idéologie exclusive, brutale, extrémiste, punitive et absurde

Yann Bizien

Il y a de nouveaux tyrans politiques sur la planète Terre : les tyrans du climat et de l'environnement.

Je ne confonds surtout pas le besoin impératif d'écologie avec les écologistes et l'écologisme.

Nous avons bien sûr besoin d'intégrer toutes les questions relatives à la protection de notre environnement et à la préservation du climat dans nos politiques publiques.

Mais quand l'écologie devient militante, qu'elle utilise la violence comme moyen pour se rendre visible, pour se faire entendre, pour défendre sa cause, quand elle instrumentalise des scientifiques soucieux d'obtenir des subventions, quand elle se rend exclusive, alors elle verse dans l'absurdité, dans l'excès, dans l'abus, dans l'arbitraire et dans l'illégalité.

Notre planète a évidemment besoin d'écologie et tous les partis politiques doivent intégrer des mesures de prévision, de précaution et de prévention dans leurs projets politiques.

L'écologie ne devrait donc pas se transformer en écologisme. Et les politiques devraient faire de la politique sans se transformer en écologistes radicalisés.

L'écologisme tend à devenir catégorique, dominant, oppressant et tyrannique. Son emprise s'étend et s'intensifie dans toute notre société du fait de la prolifération de ses défenseurs, des moyens importants à leur disposition et de l'écoute favorable des médias.

Ne nous laissons pas tyranniser par la pensée intransigeante comme par l'action autoritariste et souvent violente des écologistes radicalisés.


16 mars 2023

Ouragan politique sur la France ?

Yann Bizien

☐ Le général de Gaulle avait eu le panache de démissionner en perdant la confiance d'une majorité.
Minoritaire à l'Assemblée, minoritaire dans la rue, minoritaire dans les sondages, Emmanuel Macron fera tout pour s'accrocher au pouvoir sur le champ de ruines français.
Sa seule réforme est un échec sur le fond et sur la méthode. Mal élu, sans faire campagne, partant un coup à gauche, un coup à droite, incapable de rassembler les Français, brutalisant toute notre société, son second quinquennat est déjà brûlé.



☐ "Quoi qu'il arrive", vote ou rejet de la motion de censure, Emmanuel Macron doit avoir la fièvre ce soir en voyant de nouveau le peuple de France indigné dans la rue après l'usage ultime de l'article 49.3.
En pleine crise du pouvoir d'achat et d'emballement inflationniste, sans majorité absolue, face à un pays fracturé, le président sait que son pouvoir est fragilisé, que sa légitimité est contestée et que sa réputation est au plus bas. S'il s'estime inamovible, il a toutefois conscience du niveau exceptionnel de la gravité de la crise politique qu'il a lui-même générée.
Certes, son horizon politique se ferme. Mais son orgueil, pourtant, est intact. Car il n'a aucune empathie réelle pour le peuple. Il entend bien lui faire payer, avec ce projet de réforme des retraites, ses propres fautes de gouvernance et de gestion. On le sait, il n'est en réalité soumis qu'au pouvoir et aux lois froides et cyniques de l'argent.
Notre Président doit désormais compter les heures jusqu'au vote ou au rejet de la motion de censure. Il attend, sans panache.



☐ 14h45 : Terrible aveu de faiblesse, d'échec politique et nouveau déni de démocratie pour Emmanuel Macron et sa minorité présidentielle. Considérant que les conditions n'étaient pas réunies pour un vote de sa réforme des retraites, il fait subitement le choix de la force, de la brutalité et d'un braquage démocratique. Il mise sur la discorde entre les oppositions. Et il nous impose un psychodrame pour gagner du temps et du consentement.

Madame Borne, huée, évite le vote sur la réforme des retraites en faisant un nouvel usage de l'article 49.3. Elle engage la responsabilité de son gouvernement et prononce un discours clivant et très contesté, sous le chant de la Marseillaise.

Les députés ont 24 heures pour déposer une motion de censure contre le Gouvernement. Il ne pourrait y avoir de dissolution de l'Assemblée nationale qu'en cas de vote de cette motion.

Le Parlement aura été humilié et bafoué. Le peuple aura été une nouvelle fois ignoré, méprisé et piétiné.

Emmanuel Macron braque encore davantage les Français et les syndicats en cherchant à faire passer sa réforme impopulaire aux forceps constitutionnels et en bafouant la démocratie sociale. Son projet n'a plus du tout de légitimité. Il risque une censure d'ici ce lundi.

Les Français sont blessés. Ils n'ont plus confiance dans l'exécutif qui n'a aucune majorité sur ce texte et qui cherche aujourd'hui à contourner la volonté du peuple. Le Gouvernement peut être renversé.

14 mars 2023

Yann Bizien

Au fond, je me demande ce qu'il pense du problème des déchets dans les rues de Paris. Je sais seulement qu'il a déjà eu envie "d'emmerder" les Français qui ne se couchent pas devant ses caprices, quand il gouverne contre eux, sans eux, pour l'Union européenne et pour nos créanciers, avec notre argent, sans toucher, bien sûr, à ses propres privilèges.


13 mars 2023

La prochaine guerre, au coin du feu ?

Yann Bizien

Madame Ursula von der Leyen serait candidate à la fonction de secrétaire générale de l'OTAN dans le cas ou elle ne serait pas reconduite à la tête de la commission européenne. Elle a d'ailleurs rencontré hier à la maison blanche le vrai patron de l'OTAN, Joe Biden, qui finance le fonctionnement de l’Alliance Atlantique à hauteur de 69%.

Les Américains ont en effet besoin d'un secrétaire général de l'OTAN totalement aligné sur leur obsession d’endiguement de la Chine. Et ils entendent bien utiliser leur bras politico-militaire, l'OTAN, pour cette guerre du siècle.

Joe Biden a probablement l'idée de cautionner la première candidature d'une femme allemande sur ce poste dans le but d'entraîner toute l’Union européenne dans la grande croisade américaine contre la Chine, après leur guerre contre la Russie en Ukraine.

Les peuples occidentaux sont devenus des agents de production et de consommation au service de ceux qui font la guerre en permanence. Ils financent désormais les guerres voulues et conduites à distance par les États-Unis. Ils sont les petits esclaves du train de vie US.


Yann Bizien

Il se dit également que la réforme des retraites serait la contrepartie des arrangements d'Emmanuel Macron avec le patronat et la baisse des impôts sur les entreprises.
Au bout de tout, c'est toujours le peuple français qui trinque. Il paie la facture de la guerre en Ukraine, il finance le train de vie économique et industriel des États-Unis, il subit les exigences normatrices de l'Union européenne, il est trahi par les Anglais en Australie, trahi par l'Allemagne sur les dossiers énergétiques et trompé par un pouvoir qui ment.
Le peuple "trinque". Mais il vote pour son bourreau. Il vote aussi pour des élus qui, une fois au pouvoir, oublient très vite d'où viennent leurs mandats.


Yann Bizien

Chère jeunesse de plus de 18 ans,
Pour qui avez vous voté en avril 2022 ?


11 mars 2023

Pour quand l'économie de guerre ?

Yann Bizien

L'année 2023 débute comme celle de 2022, avec un nouveau record historique du déficit commercial : 169,2 milliards d'€uros au total sur 12 mois.

La France désindustrialisée, surendettée, déclassée, ensauvagée et dirigée par Emmanuel Macron perd de sa puissance, de sa crédibilité, de sa compétitivité et plonge toujours plus dans les abîmes. Cette fois, c'est brutal (image jointe).

L'exécutif n'a plus que la fumée de la communication pour faire de la politique. Il n'a plus que l'usage du verbe et des mots pour masquer ses faiblesses et continuer à tromper les électeurs.

6 mars 2023

Veillée d'armes syndicale ce lundi

Yann Bizien

Le rapport de forces des syndicats avec le pouvoir se poursuit. Les représentants syndicaux espèrent l'apogée de la colère démocratique demain dans la rue. Le peuple actif tourne majoritairement le dos à Emmanuel Macron, y compris ses électeurs inconscients de la portée de leur vote en 2022.
Dans une France au bord du gouffre, l'exécutif a fait une grave erreur d'analyse en sous-estimant la colère du peuple, qu'il ne considérait jusqu'ici que comme de simples inquiétudes. Il n'a eu qu'une approche comptable dans son projet. Il a même versé dans un discours d'autosatisfaction et dans le péril grave de la démagogie, laissant espérer l'illusion d'une retraite à 1200 € minimum.
La réalité est que le contexte de cette réforme des retraites est bien plus tendu qu'en 2003 et 2010. La guerre est à nos portes. Les prix de l'énergie et des produits alimentaires ont explosé. Le pouvoir d'achat s'est écroulé. La pauvreté gagne partout du terrain. Et la jeunesse pourrait également se mobiliser.
Notre société est perçue comme déclinante, sans perspective, sans issue, dans l'impasse. Notre vieille nation a été sabotée et sabordée. Pire, une certaine classe politique estime qu'il n'y a pas de déclin mais qu'un sentiment du déclin.
Pas étonnant de voir le peuple verser dans la colère.
Les signes du temps ne sont pas du tout favorables au pouvoir. Il espérait un peuple au garde-à-vous et consentant. Il s'est trompé. Pour une fois, Libération n'a pas tort : la France gronde, et Macron regarde ailleurs.


Inflation

Yann Bizien

L'inflation fait de la résistance. Elle devient générale et persistante. Elle n'est pas sectorielle, ni ponctuelle. Elle écrase le pouvoir d'achat des Français.
Dette à 3000 milliards d'€uros, explosion des prix à la consommation, des matières premières, énergétiques et des produits alimentaires (déjà + 14,5%, et encore plus 10% dans les semaines qui viennent), 1560 milliards de dividendes versés à l'étranger, trois fois plus de Français soutenus aujourd'hui par la Banque alimentaire par rapport à l'année 2011, ratio dette publique/PIB à 115% aujourd'hui contre 20% en 1980, faire des pates (+ 32%), une omelette ou son plein de carburant devient un luxe pour beaucoup de Français.
Car le front des prix est "rouge écarlate" pour les Français. Il suffit de faire ses courses, de se rendre dans une station de délivrance de carburants et de faire ses comptes pour prendre conscience que ce Gouvernement dépassé n'est toujours pas à la hauteur des enjeux et de l'histoire.
La fièvre a même gagné le marché des dettes souveraines.
L'exécutif laisse filer l'inflation. Elle se généralise, devient incontrôlable et entame sérieusement le pouvoir d'achat avec un nombre de bénéficiaires des Restaurants du cœur qui explose.
Le Gouvernement ne fait plus que courir derrière elle, nous faisant croire qu'il n'y aura pas de mars rouge pendant que les experts et les acheteurs de la grande distribution nous affirment, au contraire, qu'elle va durer.
Dans un contexte international et social très tendu, les Français cherchent une raison d'espérer pendant que la France clochardisée et précarisée par François Hollande et Emmanuel Macron croule sous l'inflation, la pénurie de médicaments, le coût de l'énergie, la pauvreté et l'insécurité.
En macronie la déconnexion est totale. Il se produit toujours l’inverse de ce qui est officiellement annoncé. Le pouvoir fait de la "COMM" et ment aux Français. La réalité est qu'il ne maîtrise plus rien.
D'où la défiance et la colère du peuple, qui n'est pas qu'une simple inquiétude, Monsieur le Président.

5 mars 2023

Yann Bizien

Décidément, entre amateurisme, déconnexion, compromissions, improvisations, manipulations et mensonges, ce Gouvernement perd la boussole, le cap et prend tous les risques face au peuple.
Je ne suis pas socialiste, ni communiste et je n'ai surtout jamais voté pour Emmanuel Macron. Mais ce projet de réforme n'est évidemment pas de gauche. Il est même durement combattu par la NUPES, les socialistes, les insoumis et les communistes.
Comment peut-on, quand on fait de la politique, chercher à tromper aussi grossièrement les Français qui sont toujours une majorité à rejeter ce projet ? Pourquoi oser naïvement ce mensonge, quand les Français s'apprêtent à se mobiliser entièrement ce mardi suite aux votes favorables des sénateurs pour la suppression de cinq régimes spéciaux ?
La classe politique au pouvoir fonce dans le mur de la honte pour tenter de sauvegarder l'orgueil du soldat Macron. Il a besoin de sauver son dernier quinquennat en tentant de réussir un pari contre le peuple.
Cette classe politique ne sait plus dire les choses simplement, sérieusement, honnêtement, sans malice. Elle ment ostensiblement. Elle préserve ses intérêts en refusant de supprimer son propre régime spécial. Elle ne sert plus le peuple. Elle gouverne contre lui, et sans lui. Et cela nous rappelle notre histoire révolutionnaire.

28 février 2023

Immigration

Yann Bizien

[...] La Première ministre vient de présenter un « plan de lutte contre le racisme et les discriminations liées à l’origine », élaboré par la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et la haine anti-LGBT. En entreprenant de nommer et de mesurer ces comportements discriminatoires, de sanctionner leurs auteurs mais aussi et surtout de nous éduquer à l'idéal immigrationniste, tout est décidément mis en oeuvre pour desservir l'intérêt national, pour empêcher le peuple d'être souverain et de le laisser décider de son avenir.
En réalité, tout est faux dans cette comédie politique. Je reçois et je vois hélas chaque jour des dizaines de vidéos de français attaqués par des migrants dans tous nos territoires. Elles nous démontrent factuellement et objectivement tout le contraire d'une immigration limitée, bienfaisante, respectueuse, honnête, profitable et bienveillante.
Les promoteurs d'une immigration en réalité incontrôlée, sauvage et invasive sont le plus grand mal de notre siècle dans une France en faillite et paupérisée qui n'intègre plus, qui ne sait plus et ne peut plus accueillir.
Cette immigration nous coûte un "pognon de dingue" que nos familles ne voient jamais. Les immigrés ne s'assimilent plus, ne parlent pas le français dans nos rues et imposent leur culture "chez nous".
Nous recevons même en France des barbares et des sauvages qui menacent, agressent et violent les femmes de France. Des Français sont égorgés jusque dans nos Eglises. La tête d'un enseignant est tombée. La peur se répand partout. Notre France est divisée, nos prisons et tribunaux sont saturés. Nos forces de sécurité intérieures sont sous les coups et à l'épreuve permanente. Les armées sont même descendues dans la rue avec le nouveau contrat opérationnel "Sentinelle".
Les risques de guerre civile augmentent en France. Combien de Français en parlent, discrètement ? Ces risques deviennent même le sujet saillant de séminaires orientés sur la sécurité des Français.
Ceux qui prétendent le contraire de nos réalités vécues en déployant partout leur idéal immigrationniste dans la presse sont les plus grands traitres à la nation et à l'histoire. Ils brisent l'Etat nation. Et ils sabordent la France.
J'ose surtout espérer qu'ils auront l'honneur, la raison, la sagesse et la dignité de respecter les idées du peuple dans le débat démocratique qu'ils espèrent.
Ce débat, moi aussi je le souhaite. D'où ce billet.

27 février 2023

Yann Bizien

Les Républicains sont devenus de fait les supplétifs et la béquille du pouvoir qui les manipule et les absorbe petit à petit, à chaque pas de danse, pour les confondre avec le centre droit.
Les Français qui aiment la France et qui veulent la sauver de son effondrement et de son ensauvagement attendent une vraie politique de droite. Une politique complète, courageuse, audacieuse, civilisationnelle, celle d'un État nation souverain, non aligné, indépendant de Bruxelles et des États-Unis, capable de commercer librement en fonction de nos intérêts, de chasser les dépenses inutiles, de protéger nos familles avec une solidarité nationale, de relancer la natalité, de redresser notre industrie, de stopper l'immigration, de réduire la violence au plus bas possible, un État fort de ses institutions régaliennes à même de peser dans le monde et de remettre la France sur une pente positive.

25 février 2023

Les Américains voulaient l'extension de l’Otan à l'Ukraine

Yann Bizien

La capacité des États-Unis à confirmer l'imminence de l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes, il y a un an, nous démontre que la Russie était tout particulièrement bien suivie par les services de renseignements militaires américains et qu'elle était donc bien une priorité des démocrates US au pouvoir.
Il est faux d'affirmer que les États-Unis négligeaient l'Europe. Bien au contraire. Ils contrôlent leurs alliés "dépendants" à distance. Ils savent se fabriquer des ennemis et des adversaires. Ils maîtrisent l'art de créer du chaos. Ils savent tirer avantages de toutes les situations pour affaiblir les pays qui ne leur sont pas favorables et dominer ceux qui s'alignent sur leur volonté.
Les Américains voulaient l'extension de l’Otan à l'Ukraine pour provoquer Vladimir Poutine. Ils étaient sûrs qu'il réagirait inéluctablement à un moment donné sur le plan militaire, lorsqu'il n'aurait plus d'autre choix.
Cette date, c'était le 24 février 2022. Elle aura fait au moins trois victimes : l'Ukraine, la Russie et l’Union européenne. Et un très probable vainqueur : les États-Unis. L'histoire nous le dira.


24 février 2023

Ukraine

Yann Bizien

Les triomphes de la démagogie sont passagers mais les ruines sont éternelles disait Péguy.
« L'Ukraine sera victorieuse seulement si les Occidentaux tiennent leur parole. »
Le président Zelensky enflamme la planète et utilise le chantage délirant, allusif et permanent pour justifier l'escalade militaire et ses besoins en armements lourds et munitions. Et toute la classe politique occidentale, béate, et au garde-à-vous, lui emboîte le pas et obéit.
Il y a une façon de stopper cette guerre : cesser l'expansion politico-militaire de l'OTAN vers l'est car l'Alliance atlantique a franchi depuis longtemps la ligne rouge.
Nous prenons l'habitude de la montée aux extrêmes permanente alors que nous devrions revenir à la politique et à la diplomatie pour discuter de toute urgence des conditions de la paix.
Il y a aujourd'hui toute une classe politique orgueilleuse qui joue dangereusement à faire la guerre et au poker avec la vie des hommes, avec la haine de l'autre et avec l'argent des contribuables. Elle nous fait croire que les intérêts de l'Occident seraient menacés. Or ceci est une grande arnaque politique, intellectuelle et morale.
Il faut aussi rendre cette classe politique responsable devant l'histoire, devant les contribuables et les électeurs.

22 février 2023

Yann Bizien

Vladimir Poutine connaît nos points faibles. Il sait très bien ce qui se passe en Occident, comme en France, par exemple.
Il sait qu'une société qui inverse ses valeurs et attaque ses racines détruit peu à peu ses fondements, la famille, la culture et l'identité nationale. Il sait qu'une société qui ne reconnaît plus les lois de la nature et qui cède aux théories progressistes les plus absurdes et radicales verse dans une décadence potentiellement mortelle. Il sait qu'une femme est femme dès sa conception, comme pour les hommes. Et il sait qu'une vie de couple normale s'articule entre une femme et un homme.
La Russie ne veut pas être touchée et affectée par la dérive décadente de l'Occident.
Je pense qu'il faut respecter ce choix de civilisation.
Le maître du Kremlin se positionne désormais comme le chef de file de la résistance au modèle décadent de l'Occident.