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25 février 2023

Jonathan Sturel

Ce qu'il y a d'insupportable avec cet appel permanent à défendre l'Ukraine, c'est qu'il est lancé le plus souvent par des gens qui n'en lancent aucun pour défendre la France.
 
Nos élites, aujourd'hui plus ukrainiennes que les Ukrainiens, laissent la France être attaquée économiquement par l'Asie, démographiquement par l'Afrique, politiquement par l'Amérique, sans jamais rien proposer pour contenir les effets négatifs de ces invasions qui nous fragilisent, nous dénaturent et nous suppriment.

Ils nous obligent à laisser crever la France mais réclament notre contribution pour sauver Kiev.

24 février 2023

Slava Ukraïni

Jonathan Sturel

BHL avait fait une promesse au président Zelensky : tous les bénéfices de son film « Slava Ukraïni » devaient servir à acheter de l'armement pour l'Ukraine.
Chose promise chose due : un lance-pierre a bien été expédié ce matin via Chronopost, direction Kiev.
Prends ça Poutine !


10 février 2023

L'escalade

Jonathan Sturel

Vous le voyez le glissement progressif vers l'escalade ? Ce n'est plus la paix qui est l'objectif mais la victoire de l'Ukraine.
Petit à petit nous nous avançons vers le point de non-retour. Et nous serons tous responsables car nous les voyons faire, nous les voyons nous jeter dans la guerre et nous laissons faire. Les oppositions sont occupées à militer contre une réforme des retraites, c'est-à-dire contre une mesure qui même si elle était prise pourrait parfaitement être défaite au prochain mandat, pendant que le fou qui commande aux destinées de la France travaille à la pousser vers des lendemains dont les conséquences, elles, ne pourront plus être arrêtées.
Notre sommeil collectif va nous coûter cher. Et personne ne pourra dire qu'il ne savait pas.


10 janvier 2023

"Ce sont des fascistes ennemis de la démocratie"

Jonathan Sturel

La révolte d'Américains au moment de la suspecte élection de Biden avait été commentée par la gauche française en ces termes : ce sont des fascistes ennemis de la démocratie.
Ces derniers jours, une révolte de Brésiliens a fait trembler le pouvoir en place, la gauche française commente les faits en ces termes : ce sont des fascistes ennemis de la démocratie.
Au lieu de se demander quels troubles traversent les pays pour que désormais les élections donnent lieu à des révoltes, au lieu d'interroger les causes profondes du mécontentement, au lieu de chercher à comprendre comment nous en sommes arrivés à une telle situation, la gauche française n'a plus qu'une réponse à fournir et elle ne se prive pas de la fournir à toutes les sauces, à toutes les occasions : ce sont des fascistes ennemis de la démocratie, point.
Circulez, il n'y a rien à voir, rien d'autre que des fascistes qui défient la démocratie. Voilà où en est rendu le logiciel de la gauche, voilà à quoi se résume son analyse des mouvements profonds après s'être présentée pendant des décennies comme l'experte de la réflexion sociale et politique et après avoir vanté, depuis deux siècles, la nécessaire révolte populaire contre les élites.
Tout ça pour aboutir à une explication simpliste, monocausale, invariable et démissionnaire, lâche et bourgeoise qui n'a qu'un seul et unique effet : permettre de maintenir au pouvoir les castes bourgeoises et technocratiques qui s'y cooptent depuis des dizaines d'années pour y mener des politiques qui écrasent les petites gens.

31 décembre 2022

Jonathan Sturel

Si la presse vivait des souscriptions des lecteurs, elle se mettrait au service de ses lecteurs. Mais c'est l'État qui finance la presse par l'intermédiaire des subventions, alors la presse est au service de l'État.

Lorsqu'on a compris ça, l'attitude de la presse depuis des années devient limpide : les journalistes sont payés par l'État pour le défendre, soutenir les étapes de sa feuille de route, combattre ses adversaires et promouvoir sa ligne. Regardez France Soir : ce titre avait les agréments pour bénéficier du statut d'organe de presse mais comme il ne s'est pas aligné sur la propagande d'État, ce même État, qui décidément fait la pluie et le beau temps sur la presse en France, lui a retiré ses agréments.
 
Autrement dit : soit l'État vous finance soit il vous autorise à revendiquer le statut de journaliste. Il peut du jour au lendemain soit vous couper les vivres soit vous retirer votre statut.
 
La presse ne peut pas être un contre-pouvoir dans ces conditions.

21 décembre 2022

Covid

Jonathan Sturel

Au fait, la vague numéro (je ne sais plus combien) avec laquelle ils ont essayé de nous refaire peur est en train de décliner. Sans passe sanitaire, sans masque obligatoire, sans campagne de vaccination, sans confinement, sans fermeture des rayons culottes, sans jauge et sans être obligé de boire nos cafés assis dans les bistrots.
Tout est ouvert, salles de sport, piscines, transports en commun, restaurants, commerces, cinémas, boîtes de nuit, etc. Tout est fréquenté abondamment.

Pourtant, cette nouvelle vague se retire tranquillement, comme toutes les autres.
 
Tête des covidistes qui depuis le début ont cru religieusement dans les restrictions et les mesures gouvernementales lorsqu'ils réalisent qu'on obtient les mêmes résultats avec ou sans les restrictions en question...


19 décembre 2022

Jonathan Sturel

Sur Twitter, des macronistes se plaignent des critiques prononcées contre Jupiter après le match. Ils ne comprennent pas qu'on puisse manquer de respect à un chef d'État alors que cette fonction est prestigieuse, noble, transcendante, verticale et qu'il est dans l'ordre des choses que celui qui occupe le siège suprême soit respecté à la mesure de la dignité de ses fonctions.

Le gars en question en train de faire honneur à la dignité de ses fonctions :

2 décembre 2022

Jonathan Sturel

Je viens de voir une publicité en faveur des services de livraison à domicile. Une femme revient des courses et réalise, devant sa porte, qu'elle a oublié de prendre du lait. Il pleut, elle n'a pas envie d'y retourner. Elle commande donc un litre de lait sur une application de livraison et un livreur à vélo, trempé parce qu'on rappelle qu'il pleut, le lui apporte.
Puis nous la voyons sur son canapé, bien à l'abri et au chaud, pendant que le livreur continue de sillonner les routes pour apporter à d'autres bobos ici un litre de lait, là un tube de dentifrice.
Modèle de société haïssable où chacun est utilisé par celui qui a les moyens de mettre l'autre au service de ses caprices.

8 novembre 2022

Jonathan Sturel

Une belle histoire en trois temps qui prouve que nous autres les patriotes avons plus d'influence que nous le pensons et qu'il faut continuer à occuper les réseaux sociaux :
 
1. Le compte Twitter du ministère des armées publie la photo du calendrier du ministère sur lequel apparaît, entre autres, une femme voilée. Plusieurs personnalités de notre camp s'en émeuvent et font remonter l'info.

2. Le ministère des armées, obligé de répondre, dit que c'est un photomontage malveillant et qu'il ne faut pas « relayer les fausses informations ».

3. Quelques heures plus tard, le même ministère admet que finalement si, le calendrier est authentique mais qu'il est le fruit d'une initiative locale et qu'il n'a pas été validé par la hiérarchie.

Le point le plus grave est le numéro 2 : sans vérification préalable, leur premier réflexe a été d'accuser les lanceurs d'alerte de diffuser mensonges et « fake news ». C'est devenu un réflexe conditionné, aveugle, automatique. Ils sortent la carte « fake news » sans réfléchir, sans vérifier, sans se remettre en question, jamais.

Ils mentent comme ils respirent.

3 novembre 2022

Jonathan Sturel

Nous sommes dans un pays qui compte plusieurs millions de chômeurs, plusieurs millions d'immigrés dont une bonne partie est au chômage, un pays qui injecte depuis des décennies des milliards d'euros dans Pôle Emploi et autres organismes destinés justement, entre autres, à diriger les concernés vers des formations afin de pourvoir les postes à pourvoir, et malgré tout ça le gouvernement se pointe avec l'idée de génie de... recourir à l'immigration pour trouver des serveurs dans les restaurants...
En plus d'être une insulte à l'intelligence, cette mesure est en réalité une épée de Damoclès que l'on suspend au-dessus de la nuque des Français pour qu'ils comprennent que chaque fois qu'ils ne se soumettront pas – ici aux lois du marché – ils seront REMPLACÉS ! Remplacés par plus obéissants qu'eux, par moins regardants, par plus dociles, par plus malléables.
Par l'armée de réserve, par les grands-remplaçants, par l'équipe bis qui acceptera toujours d'en faire plus pour des salaires plus petits qui seront quand même plus importants que ceux que l'on touche au bled.
La mondialisation c'est aussi ça : inscrire dans la tête des Français que désormais ils ne sont plus en compétition entre eux seulement, mais avec également tout le tiers-monde qui est prêt à déferler pour quelques euros. C'est ni plus ni moins du chantage et une prise d'otage.

25 octobre 2022

Covid : tout était politique

Jonathan Sturel

50 000 nouveaux cas positifs de covid par jour en moyenne en France en ce moment.
Pour autant, l'exécutif ne parle plus ni de passe, ni de confinement, ni de couvre-feu, ni de masque, ni de vaccination industrielle. Il le faisait l'année dernière à des taux de contamination similaires et même inférieurs. Et le nombre de cas était bel et bien le chiffre sur lequel pouvoir et médias communiquaient pour promouvoir la tyrannie sanitaire.
Si ces décisions étaient sanitaires, le pouvoir devrait les reprendre en ce moment. Il n'y a que si elles sont politiques qu'il ne peut les prendre qu'en fonction du contexte politique.
En juillet 2021, Delfraissy réclamait le retour du masque en extérieur. À cette époque, nous enregistrions 20 000 nouveaux cas par jour en moyenne, soit deux fois moins qu'en ce moment.
Tout était politique.
Et nous autres, les lucides, les gaulois réfractaires, les indociles, nous avions raison. Les solutions que nous promouvions contre celles du gouvernement sont désormais appliquées ; le vaccin que nous ne voulions pas injecter à tout le monde aveuglément n'est plus injecté à tout le monde aveuglément ; le masque que nous ne voulions pas porter n'est plus porté ; les établissements que nous ne voulions pas voir fermés sont désormais ouverts ; les enfants que nous voulions arracher à la folie covidiste d'adultes fous sont maintenant débarrassés ; etc.
Pendant deux ans, nous avons été traînés dans la boue et couverts d'injures pour tout ça. Bravo à ceux qui sont restés debout, qu'ils soient exposés médiatiquement ou qu'ils aient lutté à leur échelle autour d'eux et sur les réseaux sociaux.
Nous n'étions pas fous.
Nous n'étions pas contre la science.
Nous avions raison.

13 octobre 2022

Jonathan Sturel

Ironique. Les journalistes font élire un arrogant qui se prend pour un roi et s'étonnent ensuite de le voir se comporter comme... un arrogant qui se prend pour un roi.
Il faut assumer ça maintenant, les journalistes. Macron est votre trophée, votre créature, votre produit, c'est vous qui avez fait de ce banquier vaguement ministre un président en lui servant la soupe, en éliminant ses concurrents de la course, en dorant sa campagne, en lui facilitant le travail.
Vous êtes les docteurs Frankenstein qui avez fabriqué cette bête. Nous, on ne connaissait même pas ce pitre, il a fait irruption dans nos vies parce que vous avez surmédiatisé son action et sa campagne présidentielle en 2017. On n'en voulait pas, nous, de ce mec bizarre.
Aujourd'hui, les journalistes font la moue, très timidement d'ailleurs, parce que le roi s'impose à eux. C'est tout le mal qu'il vous fait, à vous. C'est bien peu de chose.
À nous, les Français, il fait bien pire : c'est simple, il nous gâche la vie, il nous "emmerde", il nous infantilise, il nous contraint, nous abaisse, nous violente, nous terrorise. Et lorsqu'on veut s'en plaindre, vous autres les journalistes multipliez les reportages pour dire à quel point nous sommes complotistes et arriérés.
Un peu de décence, fermez-là.

11 octobre 2022

Le terrorisme médiatique tue

Jonathan Sturel

Le terrorisme médiatique joue un rôle déterminant dans l'escalade qui conduira à la guerre. Aujourd'hui, des gens influents voudraient rompre avec le récit obligatoire, voudraient appeler à la paix réellement, voudraient en finir avec les va-t-en-guerre.
Ils n'osent pourtant pas quitter le consensus pour une raison simple, terriblement et effroyablement simple : la peur d'affronter une campagne médiatique défavorable (avec son corolaire : la campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux).
Pour se mettre à l'abri de ces tempêtes, ils se taisent, voire rejoignent le consensus pour s'assurer un périmètre de tranquillité.
Ségolène Royal fait office d'exemple : elle a brisé le consensus, elle s'en est pris plein le visage pendant des semaines. Ce lynchage permet à la fois aux vilains de vider le sac de haine qui leur sert de conscience, tout en envoyant un message à ceux qui voudraient s'éloigner du récit obligatoire. Ils remettent au goût du jour le principe du fusillé pour l'exemple.
Dans ces conditions, il est très difficile de dire non. Ceux qui y parviennent tout de même méritent un respect décuplé de notre part.
Ce qui me permet de dire : le terrorisme médiatique tue.

23 septembre 2022

Lorsque je vois BHL, Macron, Enthoven, Ursula, Ménard...

Jonathan Sturel

Je ne me suis jamais positionné pour un camp contre un autre dans cette guerre russo-ukrainienne. Je ne suis ni pro-russe ni pro-ukrainien et suis capable d'entendre les arguments des deux camps, d'être politiquement d'accord avec les uns contre les autres y compris lorsque moralement cet accord est très difficile à donner.
Le fait d'être dépassionné sur cette question rend évidemment plus lucide, plus pragmatique. Quand je vois les pro-ukrainiens devenir complètement dingues sur Twitter et dans les médias, et les pro-russes ne pas l'être moins, je mesure ma chance de n'avoir pas été aspiré par la tentation émotionnelle.
Il y a une chose cependant qui est évidente, qui crève les yeux lorsqu'on regarde cet événement avec des yeux dépassionnés : c'est que le camp pro-ukrainien est plein de gens franchement malsains en France et en Europe.
Quand je vois des droitards qui se prenaient il n'y a pas si longtemps pour des patriotes, chanter aujourd'hui dans la même chorale que BHL, Macron, Enthoven, Ursula, Ménard, Biden, Libé et toutes sortes d'autres monstres de cette nature, j'ai quand même un peu de pitié pour eux.
Des camps se déchirent, des esprits deviennent fous, des colères abolissent des fraternités exactement comme au temps où c'est le conflit israélo-palestinien qu'on nous imposait dans les médias.
Je m'en tiens à un principe : lorsque je vois BHL, Macron, Enthoven, Ursula, Ménard sur une barricade, mon instinct me crie de prendre la barricade d'en face. Comme Français, je n'ai aucun combat commun à mener avec des gens qui organisent la destruction de mon pays. Il y a des alliances de circonstances qui vous disqualifient à vie.

Alain Delon va interviewer Volodymyr Zelensky

Jonathan Sturel

Je comprends l'émotion de Delon : c'est dans notre nature, dans notre conscience, c'est dans notre sang d'avoir spontanément de l'empathie pour celui qu'on attaque. Voir des gens quitter leurs foyers avec quelque bagage réduit au strict minimum sous le bras, avec des enfants débraillés et des larmes plein les yeux, c'est absolument insupportable.
Sa réaction est logique de la part d'un profane qui ne regarde que l'écume des choses. Mais lorsqu'on veut comprendre au-delà des apparences spectaculaires mises en scène par le discours des chancelleries partisanes et de leurs affidés journalistes, on ne peut pas se contenter de regarder l'incendie sans se demander comment il a été allumé.
Pour y arriver, il faut se soustraire au travail des émotions et du pathos, et surtout se barricader contre la tentation du positionnement facile, confortable et unanime. Moins de 1% des hommes en sont capables.
BFM titrait hier : « Alain Delon va interviewer Volodymyr Zelensky ». J'attends avec impatience l'interview de Biden par Jean-Paul Rouve et celle de Macron par MacFly et Carlito... ah pardon, celle-ci a déjà eu lieu.
Bref, Delon, acteur de 86 ans sans connaissance aucune du dossier, va interviewer le président d'un pays en guerre. Grand moment de pathos en vue, mais aussi grande confusion des genres qui n'aide pas à prendre la mesure des événements.
Pour l'anecdote, Delon a voté Pécresse, ce qui renseigne aussi sur sa puissante science politique.

19 septembre 2022

Immigrés à la campagne

Jonathan Sturel

Lorsque Macron propose de ventiler le tiers-monde dans nos campagnes, ce n'est pas aux campagnes qu'il parle mais aux citadins, ses électeurs. Le flot permanent déborde des banlieues et se répand maintenant dans le centre des villes. Les citadins n'ont pas voté pour ça : les zimmigrés, ils veulent bien les accueillir mais seulement chez les autres.
Macron lance cette idée pour rassurer son électorat. C'est une façon de leur dire : soyez rassurés, mes bons électeurs, on va inonder les bouseux de ceux que vous ne voulez pas avoir en bas de chez vous.
La ruralité française joue ici le rôle de fosse dans laquelle on déverse un trop-plein non désiré par les bobos des villes.
Il faudra tout faire pour saboter ces plans.

18 septembre 2022

Une va-t-en-guerre élue par personne

Jonathan Sturel

Brochette de rombières ménopausées déguisées en drapeau ukrainien au Parlement européen.
La sorcière du milieu, je ne veux même pas écrire son nom, a déclaré qu'il ne fallait pas aller vers l'apaisement contre la Russie. Déclaration belliciste d'une va-t-en-guerre élue par personne, qui se retrouve on ne sait comment à la tête d'une institution hors sol qui souffle sur les braises au risque de provoquer un incendie.
Il y a quelques mois, la mèche folle de Londres, Boris Johnson, accusait Poutine de « masculinité toxique » et prétendait que si le président russe avait été une femme, il n'aurait pas fait la guerre.
Cette photo démontre la fausseté de son propos : les femmes, dès qu'elles ont du pouvoir, non seulement en usent autant que les hommes pour faire le mal, mais peut-être encore plus qu'eux pour rattraper leur retard. Le fameux zèle des convertis qui se sentent obligés d'en faire des tonnes pour se faire pardonner d'être entrés plus tardivement que les autres en religion.
Le féminisme au pouvoir n'arrêtera pas les guerres, il les fera seulement déclarer par des femmes.

6 septembre 2022

Absolument énorme

Jonathan Sturel

Il y a eu une manifestation à Paris le week-end dernier pour protester contre le délire de Macron de vouloir enfoncer la France dans la récession en maintenant des positions irrationnelles contre la Russie.

La télévision russe diffuse les images de cette manifestation afin de démontrer qu'en Occident, tout le monde n'est pas aligné sur les folies des gouvernants.

LCI diffuse un peu du reportage russe puis déclare que nous sommes là en présence d'un cas flagrant de propagande russe puisqu'en réalité, nous dit le présentateur de LCI, il n'y a eu... aucune manifestation à Paris !

On atteint des sommets : LCI, tout en niant froidement l'existence d'une manifestation qui a eu lieu, accuse la télévision russe de mentir en prétendant qu'une telle manifestation a eu lieu...

L'empire du mensonge, épisode 4578214.

5 septembre 2022

"Dysfonctionnements graves" à l'IHU de Marseille

Jonathan Sturel

La meute macronique continue de vouloir faire payer au professeur Raoult son indocilité et sa liberté de ton pendant la crise. La presse indique :
« François Braun (Ministre de la Santé) et Sylvie Retailleau (Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche) ont saisi la justice pour "dysfonctionnements graves" de l'IHU de Marseille lorsqu’il était dirigé par Didier Raoult ».
Je répète :
Le gouvernement responsable de tous les dysfonctionnements de tous les instruments de l'État, de toutes les infrastructures, de toutes les institutions, responsable aussi de l'écroulement du niveau scolaire, de l'hôpital, de la justice, de la police, responsable du laxisme qui conduit à l'augmentation de la délinquance et de la criminalité, responsable du chaos migratoire et social, responsable des pénuries d'enseignants, de médecins, de pompiers, de policiers, responsable de l'écroulement de la compétitivité française et de l'industrie française et de l'agriculture française, responsable du chômage, de la délocalisation, de la fuite des cerveaux, etc., etc. ...
Ce gouvernement-là se paie l'incroyable et inouï culot de saisir la justice pour de prétendus dysfonctionnements dans une unité médicale et de recherche de réputation mondiale où des sommités réussissent, avec les trois bouts de ficelle que l'État leur concède, à culminer dans tous les classements spécialité par spécialité.
Ce pays, mes enfants, ce pays...

28 août 2022

Vous avez dit dérèglement climatique ?

Jonathan Sturel

Ils parlent de plus en plus de « dérèglement climatique ». Il n'y a pas si longtemps, ils ne parlaient que de « réchauffement climatique ».
La raison est simple : on ne peut propagander sur le réchauffement qu'en été, lorsqu'il fait chaud et que cette chaleur rend les gens plus attentifs à cette thématique de réchauffement. En hiver, lorsqu'ils ont froid, c'est difficile de leur bourrer le crâne avec des histoires de fortes chaleurs.
En glissant tranquillement vers le « dérèglement climatique », ils élargissent le champ d'expression de la propagande. Ils peuvent maintenant se plaindre du climat y compris en hiver puisque le problème du climat n'est plus qu'il se réchauffe mais qu'il se dérègle, or il peut très bien se dérégler aussi en hiver.
Dès qu'il fera un degré de trop en hiver, ou un degré de moins, ils pourront continuer de nous bassiner avec leurs histoires. « Oh ! On enregistre tant de millimètres de pluie sur le mois de novembre cette année, alors qu'habituellement c'est 2 millimètres de moins, preuve que le climat se dérègle complètement ! »
Et n'importe quelle petite variation, n'importe quelle petite singularité deviendra une occasion supplémentaire de maintenir la pression mentale sur le climat. [...]