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2 mars 2023

Ces sociopathes et psychopathes qui nous dirigent

Vincent Verschoore

Selon les sources, il y aurait de l'ordre d'un sociopathe ou psychopathe pour trente personnes, avec une plus forte densité dans les sphères les plus élevées des hiérarchies. C'est ce que nous disait le vénérable journal Forbes en 2019 dans un article intitulé "Les cadres supérieurs sont plus probablement des psychopathes".
Sociopathes et psychopathes se caractérisent par une absence d'empathie, les seconds étant une forme extrême des premiers : absence totale d'empathie, self-control poussé, capacité illimitée au mensonge, manipulation systématique afin de maximiser son pouvoir et/ou sa richesse. Les délinquants/criminels sont souvent des psychopathes, aussi appelés pervers narcissiques, mais ils rôdent partout dans les corridors du pouvoir politique et économique.
Le sociopathe maîtrise mal certaines émotions, peut devenir facilement violent s'il est contrarié, ne comprend pas les conséquences de ses actions ni les émotions d'autrui, voyant toute faiblesse apparente comme une faille à exploiter. C'est le politicien professionnel / haut fonctionnaire / cadre supérieur typique, mais on le (ou la) retrouve partout.
Pour illustrer, je dirais qu'Olivier Véran et Emmanuel Macron sont des exemples parfaits de sociopathes, le second tirant fort vers la psychopathie / perversion narcissique. Le psychopathe typique serait généralement né ainsi, alors que le sociopathe se développerait en réaction à des traumatismes, une réaction de défense face à des mauvais traitements (volontaires ou non) subis pendant l'enfance.
Le monde actuel est géré, en majorité, par des sociopathes. On l'a vu de très près avec le Covid et le traitement agricole infligé aux populations, on le voit aujourd'hui avec les euro-atlantistes qui applaudissent aux centaines de soldats ukrainiens qui meurent chaque jour, au nom d'une idéologie moralisatrice et manipulatrice typique du pervers narcissique.
Un article de 2018 dans Psychology Today se terminait ainsi :
"Après 30 ans d'expérience en tant que professionnel de la résolution des conflits dans de nombreux contextes, je pense que les narcissiques et les sociopathes constituent un problème de santé publique croissant. Les réactions que j'obtiens de professionnels du monde entier sont que ces deux personnalités semblent être en augmentation et la cause de nombreux problèmes conjugaux, professionnels et criminels."
Tout ceci pour dire que le sentiment que nous avons ("nous", c'est-à-dire ceux et celles qui n'applaudissent pas) de vivre sous la férule de gens débiles, méchants et corrompus ne vient pas de nulle part : Biden, von der Leyen ou Macron, camés, se tordant de rire avec Zelensky (autre psychopathe notoire) au doux bruit de la caisse enregistreuse pendant que coulent les rivières de sang "pour sauver la démocratie", sont des monstres issus de la logique du pouvoir qui sélectionne les pires dès lors qu'il ne sert plus l'intérêt général. On le constate très bien, par exemple, dans la police/gendarmerie depuis la mise en œuvre de la politique du chiffre, ou dans le système de santé depuis la mise en place de la tarification à l'acte.
Il faut juste arriver à intégrer cette difficile réalité afin d'y faire face.

28 février 2023

Succès de ChatGPT auprès des chefs d'entreprise

Vincent Verschoore

Cela fait un certain temps que l'on se rend compte que l'IA générale (AGI) est bien plus une menace pour les cols blancs que pour les cols bleus, qui sont plutôt menacés par la robotique et l'automatisation.
La disparition probable de nombreux comptables, employés de bureau, avocats, architectes, programmeurs, ingénieurs dans les dix ans à venir semble déjà se confirmer avec un début de remplacement avec chatGPT, qui n'est pourtant que le début en termes d'IA générale :

« ... certaines entreprises s’appuieraient déjà fortement sur l’outil, au point de remplacer quelques salariés. C’est en tout cas le constat d’une étude menée par Resumebuilders.com auprès de 1000 chefs d’entreprise utilisant ou envisageant d’utiliser ChatGPT.
Le verdict est consternant : la moitié d’entre eux a déjà intégré l’outil conversationnel au cœur de leur entreprise. Parmi eux, la moitié affirme que ChatGPT a déjà remplacé certains de leurs salariés. »

Dans la plupart des cas, les entreprises ont recours à ChatGPT pour rédiger des lignes de code, créer du contenu, s’occuper du service client ou encore réaliser les compte-rendus de réunions. Du côté des ressources humaines, ChatGPT s’avère d’une aide précieuse également. Que cela soit dans la rédaction de la fiche de poste, des questions lors de l’entretien ou des réponses aux candidats."

Cliquer sur l'image ↴


22 février 2023

Vaccination anti Covid à base d'ARNm

Vincent Verschoore

En Floride, le patron de la santé publique publiait ce 15 février une note de mise en garde sur la vaccination Covid à base d'ARNm.
Le State Surgeon General informe le secteur des soins de santé et le public d'une augmentation substantielle des rapports du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) en Floride après le déploiement du vaccin COVID-19.
Rien qu'en Floride, on a constaté une augmentation de 1 700 % des rapports VAERS après la mise en circulation du vaccin COVID-19, alors que l'administration globale de vaccins a augmenté de 400 % pendant la même période (figure 1).
Les signalements d'affections potentiellement mortelles ont augmenté de plus de 4 400 %. Il s'agit d'une augmentation inédite, qui n'avait pas été observée lors de la campagne de vaccination contre le virus H1N1 en 2009. Il est nécessaire de mener d'autres recherches impartiales pour mieux comprendre les effets à court et à long terme des vaccins COVID-19.
Les résultats obtenus en Floride sont cohérents avec ceux de diverses études qui continuent de mettre en évidence de tels risques. Pour approfondir cette évaluation, le Surgeon General a écrit une lettre à la Food and Drug Administration (FDA) et aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, illustrant les facteurs de risque associés aux vaccins COVID-19 à ARNm et soulignant la nécessité d'une transparence accrue.

21 février 2023

McKinsey : vecteur majeur de corruption

Vincent Verschoore

McKinsey est un vecteur majeur de corruption, siphonnant l'argent public des États grâce à la collaboration de dirigeants complices. On l'a vu en France dans le cadre de la grande expérience agricole covidienne, mais l'engeance mafieuse œuvre à tous les niveaux, et notamment celui de la fameuse "conférence de sécurité de Munich" [Munich Security Conference ou MSC], qu'elle organise (gratuitement) et dont elle impose l'agenda au bénéfice, évidemment, de ses clients du Grand Capital Prédateur.
Extrait traduit de cet article dans Politico :
"Au cours de la dernière décennie, le cabinet de conseil américain a discrètement influencé l'ordre du jour de la conférence, selon des employés actuels et anciens et des documents internes consultés par POLITICO, orientant tout, de l'objet de son rapport vedette au programme de l'événement, en passant par la liste des invités.
La relation a été symbiotique : tandis que le MSC à but non lucratif bénéficie de la force de rassemblement du cabinet de conseil en gestion le plus puissant du monde (gratuitement) et de son armée d'experts, McKinsey a la possibilité de façonner l'ordre du jour de l'un des principaux lieux de rencontre des élites mondiales, ce qui lui donne l'occasion de faire passer des messages qui servent la base de clients du cabinet, qu'il s'agisse de la défense, du secteur de l'énergie ou du gouvernement, selon des personnes proches de la conférence.
Pourtant, cette collaboration est également délicate. Le MSC est un événement parrainé par l'État et organisé sous l'égide du gouvernement allemand. Sans l'implication étroite de l'État, qui, outre son soutien financier, aide également à recruter les leaders mondiaux qui donnent son cachet à la conférence, le MSC cesserait d'exister. L'ampleur de l'influence de McKinsey dans les coulisses de la conférence ne peut que soulever des questions sur la gouvernance et la surveillance d'un événement qui se présente comme un forum neutre pour débattre des affaires mondiales."
Bien sûr, les euro-atlantistes hébétés continuent d'applaudir le bain de sang ukrainien, leurs âmes sensibles pétries de faux bons sentiments se pâmant devant le mafieux Zelensky et son parrain Biden, celui-là qui fit sauter NordStream2, pourtant la propriété de l'Allemagne (et de la Russie), un acte de guerre contre l'Europe que personne ne semble vouloir relever. Pourquoi ? That is the question.

20 février 2023

L’Ukraine, Munich, et la crise du journalisme de connivence

Vincent Verschoore


Quand deux vieux routards du grand reportage de guerre se retrouvent sur la question de la crise du journalisme de connivence, cela donne une bonne demi-heure de salutaires commentaires sur le désastre médiatique que constitue la couverture de la guerre en Ukraine. Chris Hedges est un journaliste américain dont la réputation n’est plus à faire (1), vu qu’elle s’est notamment faite lors des guerres américaines en Irak où, arabophone, il suivait la situation depuis la réalité de la population plutôt que des expériences très cadrées des journalistes “embedded” dans l’armée d’occupation, le plus souvent loin des zones dangereuses.

Il a ainsi pu observer que la liberté journalistique allouée aux reporters lors de la guerre du Vietnam, renvoyant au public toute l’horreur de la guerre, avait contribué au rejet populaire de ces massacres dénués de sens, et que l’état-major avait ensuite décidé qu’il n’était plus question de laisser ces “reporters” se promener sur le champ de bataille sans “encadrement”.

Du journalisme à la propagande

Ainsi, selon lui, les “journalistes de guerre” modernes, à quelques rares exceptions près, se contentent tout à fait d’être promenés par le service politique de l’armée là où il y a quelque chose “d’intéressant” à voir, et passer le reste du temps à l’hôtel à retranscrire les “explications” de ces mêmes militaires. Et ce sont eux que l’on retrouve aujourd’hui sur le front du “camp du bien” en Ukraine, et dans les mêmes conditions d’incompréhension totale du contexte. Ils sont juste là pour “faire le boulot” selon les directives idéologiques de leurs patrons, et surtout sans prendre de risques de carrière.

Le second vieux routard est Patrick Lawrence (2), qui a travaillé pour la Far Eastern Economic Review, le International Herald Tribune et le New Yorker avant de quitter la presse mainstream et écrire des livres sur la géopolitique : Somebody Else’s Century: East and West in a Post-Western World, et Time No Longer: Americans After the American Century.

Il pose une réflexion sur la contrainte que connaissent la plupart des journalistes, qui ont des idées politiques qu’ils doivent théoriquement laisser de côté dans le cadre de leur travail de journaliste. Il note que le journalisme est surtout devenu une forme d’activisme, au sens de la défense d’un point de vue idéologique (le sien ou de celui qui remplit la gamelle). C’est un défaut souvent associé au journalisme indépendant qui, comme votre serviteur, ne prétend pas être parfaitement neutre mais a minima d’être cohérent. Sauf que le journalisme idéologique de masse jongle entre les faits et le narratif qu’il doit servir, au prix d’incohérences et d’une culture du mensonge par omission.

Hedges et Lawrence reviennent sur quelques incohérences du narratif officiel sur l’Ukraine, telle que l’affaire de la centrale de Zaporijjia, supposément bombardée par les Russes alors qu’ils l’occupaient, ou encore le détournement d’une partie de l’armement envoyé au régime mafieux de Zelensky.


Une culture du journalisme de connivence très développée ici en France sur, notamment, les ondes du service public où de coûteux propagandistes du genre Salami, Demeuré et Couenne utilisent leurs longs temps d’antenne pour cirer les pompes idéologiques de leurs maîtres, plutôt que pour apporter une information crédible et un débat contradictoire sérieux au bénéfice de la population qui, pourtant, paie pour leurs gamelles.

On l’a aussi récemment vu avec l’histoire du déjeuner présidentiel, là où Jupiter délivre à ses “grands journalistes” les éléments de langage à faire passer au petit peuple via les médias de (dés)information officiels (3).

Pour Hedges comme pour Lawrence, le journalisme “officiel” est mort et son cimetière est l’Ukraine. La disparition de ce contre-pouvoir est une catastrophe pour nous tous, quoi que n’en pensent pas les euro-atlantistes applaudisseurs de massacres, car il n’est désormais plus possible pour la population générale (celle qui n’a pas le temps d’aller fouiller et de se créer sa propre opinion sur des sujets complexes) d’avoir un regard critique sur les actions délétères de la clique des psychopathes corrompus qui mènent aujourd’hui le monde.

L’ironie munichoise et le journalisme open source

Une catastrophe illustrée par la couverture de la conférence sécuritaire qui vient d’avoir lieu à Munich (4), là où quelques millionnaires camés genre Macron et Sunak, quelques pseudo-écologistes fascisants sauce Baerbock et quelques vieux apparatchiks séniles genre Borrell, se prennent toutes et tous désormais pour Néron et en appellent à la guerre, au sang (surtout ukrainien) et, en sous-titres, à la promesse de bénéfices mirifiques sur les ventes d’armes et sur la colonisation de l’Ukraine et ses nombreuses ressources naturelles.

Les journalistes avec un minimum de connaissance du contexte de cette guerre et de la réalité du terrain, ainsi que de la réalité des effets catastrophiques de toute cette escalade pour les populations européennes, ukrainiennes et russes, devraient monter au front pour dénoncer cette gabegie et cette horreur, comme le firent les reporters au Vietnam. Mais non. A peu près toutes et tous adhèrent à la Voie de la Gamelle, ce courant sonnant et trébuchant nourrissant le journalisme et le capitalisme de connivence, et qui nous mène en droite ligne au totalitarisme le plus pur.

L’ironie munichoise n’aura échappé à personne : c’est en effet dans le Munich actuel du journalisme de connivence que fut fondée la Chartre de Munich (5), censée définir le code de déontologie des journalistes, et dont les deux premières obligations (sur dix) sont les suivantes (défense de rire):
1. Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
2. Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.

Cette problématique n’est pas nouvelle, elle ne fait simplement qu’empirer. Il se trouve que le journalisme de connivence s’est dévoilé tout entier pendant la période Covid, ne relayant que les (généralement fausses) informations officielles et diabolisant ceux et celles essayant d’exprimer une opinion non alignée avec les intérêts de Big Pharma, des médecins corrompus et des psychopathes au pouvoir. Sa faillite, trois ans plus tard, est totale mais rien n’y fait. Tant que les mêmes resterons au pouvoir, et que ceux et celles qui les suivront seront nommés en fonctions des mêmes intérêts, il n’y a pas de raison que cela change (6).

Voici dix ans j’avais publié un article sur le journalisme open source, qui se veut être un journalisme respectant la Charte de Munich, non limité par l’approbation institutionnelle (donc ne nécessitant pas de carte de presse pour être reconnu comme tel), et surtout appliquant les principes de l’open source, dont le premier (sur les huit habituellement cités) est celui-ci :

Toutes les sources constitutives d’un article doivent être répertoriées afin que le lecteur puisse, s’il le désire, vérifier par lui-même. C’est, quasi par définition, le critère principal du journalisme open source, les autres critères étant abordés en fonction des moyens et possibilités des auteurs.


Une manière, peut-être (et que je tente d’appliquer dans ce blog) de faire passer un message tout en laissant au lectorat la possibilité de consulter les mêmes sources, et de se construire ses propres opinions. Bien peu de choses, malheureusement, face au rouleau compresseur du capitalisme de connivence, dont le journalisme du même nom n’est qu’un sous-produit hautement toxique.


Liens et sources

(1) https://en.wikipedia.org/wiki/Chris_Hedges

(2) http://patricklawrence.us/about/

(3) https://www.acrimed.org/Polemiques-autour-du-dejeuner-presidentiel-l

(4) https://www.lemonde.fr/international/live/2023/02/17/guerre-en-ukraine-en-direct-emmanuel-macron-martele-que-l-agression-russe-en-ukraine-doit-echouer_6162179_3210.html

(5) https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich

(6) https://zerhubarbeblog.net/2023/02/19/facebook-censure-et-sociopathie/


17 février 2023

Laurence Muller Bron : « Cette censure sur les chiffres du Covid19 installe un climat très inquiétant »

Vincent Verschoore

La Sénatrice Laurence Muller-Bron détaille comment l'État censure l'accès aux données de santé, empêchant les chercheurs d'analyser les causes et conséquences sanitaires des politiques covid.

Cette volonté obscurantiste, typique du système de corruption massif qui régit les institutions et le régime français, a pour unique but de cacher le fait que ces politiques n'ont servi qu'à détourner les quelque 400 milliards d'euros gaspillés par la Macronie, mais pas perdus pour tout le monde.

L'impossible accès aux données reliant la mortalité (covid ou autre) au statut vaccinal est sans doute le fait le plus ignoble, le "smoking gun" de la corruption totale du système.


15 février 2023

Vincent Verschoore

La députée Michèle Rivasi dénonce les conflits d'intérêts, le pantouflage, la corruption au sein des institutions de l'UE. Et l'absence de moyens pour contrer cela.

Une corruption au cœur de l'épisode Covid comme au cœur de la question ukrainienne. Von der Leyen est accusée de corruption en Allemagne lorsqu'elle y était ministre de la défense, elle connaît donc bien la mécanique du complexe militaro-industriel.

Elle est également face à une demande en justice faite par le New York Times, sur la question des contrats opaques avec Pfizer.

Elle n'est que la partie émergée de l'iceberg, on a vu récemment avec le Qatargate (dont plus personne ne parle) que la corruption est le mode normal de ces institutions.

Il faut faire disparaître tout ceci dans un grand sac poubelle, et repartir à zéro.

11 février 2023

Conflit ukrainien

Vincent Verschoore

L'enquête menée par les services suédois et allemands sur le sabotage du gazoduc Nordstream 2 en septembre 2022 n'a conclu à rien d'autre que le fait qu'il n'était pas possible d'imputer la chose aux Russes. En réalité, tout le monde sait que les USA sont derrière cela, les déclarations de Biden, de Blinken et de Nuland, se félicitant de cet événement, étant autant d'aveux.
Le journaliste Seymour Hersh, connu et récompensé pour ses travaux sur les crimes de guerre américains au Vietnam et en Iraq, un temps contributeur aux prestigieux New York Times et autres Washington Post, vient de sortir un article incriminant directement les USA pour ce sabotage, avec une description de comment, et avec qui, le coup fut monté (voir lien).
L'État terroriste US et sa clique OTANesque sont clairement aux manettes, avec pour but la destruction d'une bonne partie de l'économie européenne et russe, et l'appropriation de l'Ukraine et de ses nombreuses ressources en échange des centaines de milliards de dollars "donnés" sous forme d'argent et de matériel de guerre.
Le refus de la Russie de perdre cette guerre, malgré l'escalade massive imposée par les USA/Otan, crée un petit vent de panique et justifie l'envoi de centaines de chars et de canons, avant sans doute de l'aviation et des missiles longue portée, afin de stopper l'hémorragie sur le font de l'Est.
Tout ceci au risque d'une escalade terminale, mais les psychopathes euro-atlantistes vivent sur une autre planète, pas sur celle où des centaines d'Ukrainiens se font massacrer chaque jour au bénéfice du complexe militaro-industriel et des comptes offshore de Zelensky & Cie.




10 février 2023

À quand une opposition à l'hégémonie US ?

Vincent Verschoore

Le fonctionnaire psychopathe Jens Stoltenberg fait ici allégeance à son N+1 Anthony Blinken, farouche défenseur des massacres et de la destruction de l'Ukraine au nom du complexe militaro-industriel américain.
Ce clip résume le principe de la création perpétuelle des ennemis nécessaires à l'État Profond américain, toujours au nom de l'indiscutabilité de leur supériorité : le monde sera sous contrôle US, ou ne sera pas.
Après l'Ukraine, loin d'être terminée mais que l'Otan croit toujours pouvoir gagner en y mettant les moyens, voici donc une menace directe envers la Chine, qui « renforce considérablement ses forces militaires, y compris les armes nucléaires, sans aucune transparence ». Comme si les US étaient « transparents » sur leurs propres capacités réelles...
La logique qui prévaut depuis vingt ans, menant à la destruction de l'Afghanistan, de l'Irak, de la Libye, de la Syrie et aujourd'hui de l'Ukraine, ne changera que le jour où l'opposition à l'hégémonie US prendra une position frontale : le jour où les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) bientôt rejoints, sans doute, par l'Arabie Saoudite et l'Iran et quelques autres membres de l'Organisation de coopération de Shangaï (OCS) auront réussi à se passer du dollar, à se décharger des bons du trésor US qu'ils détiennent massivement, à bloquer les importations américaines de métaux stratégiques (titane, uranium, lithium..), bref à couler l'économie US.
Ce jour-là sera très dangereux car les psychopathes aux commandes à Washington sont sans doute prêts à tout. La question pour l'Europe est de savoir si elle veut rester un vassal de l'Amérique, ou se lancer dans l'aventure d'un monde multipolaire.



L'IA intégrée aux moteurs de recherche

Vincent Verschoore

Nous sommes à un moment révolutionnaire de l'informatique personnelle. Après les PC et les premiers réseaux, après le web 2.0, les réseaux sociaux et les applications mobiles, voici venu le temps de l'information en ligne médiée par IA.
Nous en avons un premier aperçu depuis novembre 2022 avec le lancement public de ChatGPT 3,5, et ses équivalents graphiques comme DALL-E et Midjourney. D'ici peu va se dérouler une bataille de géants pour la domination de l'IA au même titre que s'est déroulée, voici vingt ans, la bataille de la recherche en ligne.
Cette bataille fut gagnée par Google, qui représente aujourd'hui 90% du marché du moteur de recherche, mais son éternel concurrent Microsoft (9% du marché avec Bing) compte bientôt récolter les fruits d'une stratégie audacieuse : ayant investi 1 milliard de dollars dans OpenIA, à l'origine de ChatGPT, Microsoft vient de remettre 20 milliards et a accès au moteur d'OpenIA, qu'il compte intégrer à son moteur de recherche Bing.
Le produit vient d'être présenté : en plus d'une recherche traditionnelle, l'utilisateur de Bing pourra affiner sa demande en langage naturel, comme pour ChatGPT mais en mieux car avec un lien permanent à Internet.
Le système pourra répondre aux questions sans réponse correcte, genre quelle est la meilleure bière, en proposant des réponses contextualisées. Il pourra répondre à des question purement utilitaires du genre « est-ce que l'armoire machin de chez Ikea rentre dans ma voiture truc », en allant chercher les dimensions de l'armoire et de la voiture, et en suggérant comment il serait possible de faire entrer machin dans truc.
Google, de son côté, travaille sur une IA nommée « Bard », basée sur le moteur LaMDA mais qui aujourd'hui en est au stade de ChatGPT. Il paraît que l'annonce de Microsoft a créé une panique rouge chez Google, qui met le paquet pour rattraper son retard dans l'intégration IA/moteur de recherche.
Un problème fondamental de l'IA type ChatGPT est qu'elle est capable de générer des fausses infos : si on lui demande de produire des citations de Newton au sujet d'Internet, elle est capable de les fabriquer. De plus, la profondeur des échanges entre l'IA et les utilisateurs, allant bien au-delà d'une simple suite de mots-clés, va renseigner Google ou Microsoft bien plus finement sur nos aspirations, et ainsi nourrir la machine commerciale et de profilage.
Pour les Gafam en effet, les « enceintes intelligentes » genre Alexia et les « assistants personnels vocaux » de nos téléphones sont avant tout des systèmes de collecte de données (qu'il faudrait systématiquement désactiver), et l'IA intégrée aux moteurs de recherche, d'autant plus si elle accepte la commande vocale, sera aussi un mouchard « intelligent » qui finira vite par nous connaître mieux que nous-mêmes, au grand bénéfice des profileurs (les Gafam) et de leurs clients (polices, services secrets, grandes enseignes, partis politiques etc.).

8 février 2023

Transition énergétique

Vincent Verschoore

Mark Mills est un spécialiste reconnu de l'énergie et de l'extraction minière. Voici quelques jours, il animait en Norvège (pays le mieux doté en matière de véhicules électriques) une présentation intitulée "La délusion de la transition énergétique : inéluctables réalités minérales", dont l'objectif est de faire comprendre que l'idée populaire d'une transition énergétique où le tout-électrique remplacerait les énergies fossiles et l'extraction minière, au profit d'un environnement propre, est un pur conte de fées faisant l'impasse sur les réalités physiques qu'implique une telle transition.
La triste réalité est que les machines nécessaires à cette transition (batteries, panneaux solaires, éoliennes etc.) sont nettement plus gourmandes en termes de matières premières, à production électrique équivalente, que les équipements classiques. et ce non pas d'un facteur de 2 ou 3, mais de 20 à 100.
Par exemple, il faut extraire 250 tonnes de matière (avec des équipements hautement polluants) pour fabriquer une batterie de 500 kg, typique d'un véhicule électrique actuel. En termes d'émissions de CO2, ceci veut dire qu'il faut qu'un VE fasse plus de 130 000 km avant que sa production totale de CO2 devienne inférieure à la production d'un véhicule classique équivalent.
Les équipements requis par la transition énergétique sont extrêmement gourmands en termes de matières premières type aluminium, cuivre, lithium etc. dont l'extraction et le raffinage sont très intenses en termes d'énergie (fossile) et hautement polluants.
Passer d'un secteur du renouvelable aujourd'hui à 3% (de toute l'énergie consommée à l'échelle mondiale) à 30% implique un développement massif du secteur minier, avec toutes les conséquences qui en découlent.
À l'heure actuelle, 80% du prix d'un VE ou d'un panneau solaire vient du coût des matières premières, et ces prix sont en forte hausse du fait de la pénurie de ces matériaux, dont il faut de 20 à 100 fois plus par unité d'énergie produite par rapport aux systèmes classiques (combustion).
Pour Mills, il n'y a pas de solution à court/moyen termes (10-20 ans) : la couche transitionnelle va s'ajouter à ce qui existe déjà, elle sera grande consommatrice d'énergies fossiles et de matériaux rares (pour la fabrication des systèmes), donc soumises à des coûts en forte croissance du fait d'un manque criant de capacité extractive, elle-même source d'une pollution intense et donc politiquement incorrecte.
Cette démonstration nous ramène au réel, au monde physique tel qu'il est. Elle rejoint cette autre analyse par Vincent Mignerot, sur "l'erreur fondamentale de la transition énergétique" qui montre la différence de nature entre les systèmes "renouvelables" et les systèmes de production classiques où le vecteur d'énergie (bois, pétrole) se suffit à lui-même (il brûle) et permet aussi de fabriquer les équipements nécessaires à sa transformation.
Pour les renouvelables par contre, notamment éolien et solaire mais aussi le nucléaire, le vecteur par lui-même n'est d'aucune utilité et nécessite des équipements, fabriqués à base d'énergies fossiles et de matériaux rares, pour leur transformation en électricité.
Tout ceci remet très sérieusement en cause le narratif d'une transition énergétique "propre" à court/moyen terme. Soit elle ne restera qu'une fine couche du mille-feuilles énergétique par manque de matière première, soit elle transformera la planète en une vaste mine parsemée d'usines de raffinage pour ces matériaux.
Il est grand temps de passer du narratif idéologique au débat vraiment politique : sachant que l'on ne peut pas tout avoir, que veut-on vraiment ?

https://www.youtube.com/watch?v=sgOEGKDVvsg

https://www.youtube.com/watch?v=kk-nmbNJ9ko

https://www.industryweek.com/technology-and-iiot/article/22026518/lithium-batteries-dirty-secret-manufacturing-them-leaves-massive-carbon-footprint?fbclid=IwAR33Dp8hkimnRTAyLrNExe_ia8-s-oRzw6CsHryM4BayEYaeYCWm2vBRNUA

7 février 2023

La collaboration des grands médias à la propagande macroniste

Vincent Verschoore

Un article d'ACRIMED (l'observatoire des médias) dénonce la collaboration des grands médias à la propagande macroniste, prenant en exemple ce fameux déjeuner du 17 janvier où Macron invitait dix "journalistes" influents pour leur communiquer les "éléments de langage" nécessaires à leur promotion au sein de la "voie de la gamelle", la religion qui asservit aujourd'hui l'ensemble des institutions censées servir la population française, mais qui ne servent que leurs intérêts propres à travers ceux de leurs maîtres.
ACRIMED détaille trois problèmes majeurs soulevés par ce mode de fonctionnement typique des autocraties :
1) La fabrique de l’agenda politique et médiatique. À la veille de la première grande journée de mobilisation, les lecteurs, auditeurs et téléspectateurs ont été invités à penser… à « ce que pense le président ».
2) La communication politique sans filtre. Dans des médias reconvertis en caisse de résonance du pouvoir, les frontières entre journalisme politique et communication sont poreuses, pour ne pas dire inexistantes.
3) Le microcosme politico-médiatique. Emmanuel Macron n’est pas un marionnettiste et les dix éditorialistes en question avaient toute latitude pour refuser l’exercice. Le contrat tacite qu’ils ratifient pourtant tous – et de bon cœur – souligne un troisième problème : la proximité sociologique et la solidarité de classe qui unit fondamentalement cette élite journalistique avec un gouvernement au service des élites économiques, et l’homogénéité sociale des journalistes "vedettes".
Un microcosme qui se met en scène, parfois de manière caricaturale, avec des émissions genre les matinales de France Inter et assimilés, où les "journacollabos" genre Salami, Demeuré et Couenne donnent libre cours à leur haine de la "pensée non conforme" tout en se gargarisant d'une "indépendance" garante de la qualité du "service public". MDR.
La voie de la gamelle a de nombreux curés, qui n'hésitent pas à excommunier pour "complotisme" toute pensée établissant un lien direct avec les faits plutôt que par l'interprétation imposée par le clergé. Les Cathares furent brûlés pour moins que cela.
"Une « polémique inutile et stupide » corrobore avec modération Ruth Elkrief (TMC, 27/01), avant de poursuivre sur sa lancée : « C’est une forme de populisme de reprocher ça. » Mais encore ? « C’est vraiment une forme presque de complotisme, quoi. C’est pas bien. C’est pas bien d’accentuer la défiance. » Dans un bel élan de solidarité – qui ne saurait s’apparenter à du « corporatisme », Sophia Aram dégaine à son tour l’arme fatale du « populisme » (France Inter, 30/01), quand Jean-Michel Aphatie recourait déjà au même stigmate sur LCI : « La critique est complotiste ! […] C’est quand même le degré zéro de l’intelligence ou alors c’est très performant dans la bêtise. »"
Et donc :
"Il est d’autant plus aisé pour ces éditocrates d’écarter toute remise en cause qu’ils détiennent le monopole de la parole, et peuvent se dispenser de la moindre argumentation, au profit de l’invective et de l’injure, en toute bonne conscience. Et c’est ainsi que la critique des médias, qui n’a pas voix au chapitre, est une nouvelle fois disqualifiée et caricaturée… en son absence."
Je dirais que la critique des médias aux ordres n'est pas absente dès lors que l'on sort de leur emprise. Ce qui ne veut pas dire que l'herbe est toujours plus verte ailleurs, et toutes les sources doivent être traitées avec le recul nécessaire. Ce qui devrait être le boulot des journalistes, qu'ils ne font pas (ou peu) et que "nous" devons alors faire à leur place.


6 février 2023

La Russie n'a pas sombré

Vincent Verschoore

Contrairement aux nombreuses annonces euro-atlantistes, non seulement la Russie n'a pas sombré sous le coup des sanctions anti-européennes, mais le front n'a pas été percé par l'armée Otan/Ukraine et, pire encore, cette dernière recule sur les points clés.
En conséquence, la guerre par procuration de Washington contre la Russie est en train d'échouer. Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a été exceptionnellement franc au sujet de la situation en Ukraine lorsqu'il a déclaré aux alliés en Allemagne à la base aérienne de Ramstein le 20 janvier : « Nous avons une fenêtre d'opportunité ici, d'ici le printemps », admettant : « Ce n'est pas long ».
Alexeï Arestovitch, le conseiller récemment licencié du président Zelensky et « Spinmeister » officieux, a été plus direct. Il a exprimé ses propres doutes sur la capacité de l'Ukraine à gagner sa guerre avec la Russie et il se demande maintenant si l'Ukraine survivra même à la guerre.
Voici trois semaines, le général Mark A. Milley, président des chefs d’état-major interarmées (et va-t-en-guerre notoire), a passé quelques heures avec le général Valery Zaluzhny, le plus haut officier des forces armées ukrainiennes,
Selon des fuites publiées sur le compte Telegram du général US Douglas Macgregor, Zaluzhny aurait dit à Milley que les pertes ukrainiennes sont de l'ordre de 247 000 hommes. Bien plus encore que les 100 000 annoncés par l'infâme von der Leyen voici quelques semaines, une annonce que ses propres maîtres avaient ensuite censurée car susceptible, j'imagine, de faire réfléchir quelques applaudisseurs euro-atlantistes.
Certes, on a dit qu'il fallait défendre la démocratie jusqu'au dernier Ukrainien, mais tout le monde n'avait peut-être pas compris qu'il fallait le prendre au premier degré.
Les pertes ont fatalement affaibli les forces ukrainiennes, ce qui a entraîné une posture défensive ukrainienne fragile qui va probablement voler en éclats sous le poids écrasant des forces russes attaquantes dans les prochaines semaines.
C'est un peu la panique, et Zelensky cherche désormais à faire rapatrier tous les réfugiés ukrainiens masculins, et ses milices "recrutent" par la force dans la rue. Le terme de chair à canon semble parfaitement approprié, et d'ailleurs les commentateurs sur place parlent de "meat grinder", ou "hachoir à viande", pour désigner le front du côté de Soledar / Bakhmout.
On entend nettement moins ceux et celles qui, en 2022, moquaient l'armée russe. Les pertes matérielles de l'Ukraine sont importantes. Il s'agit notamment de milliers de chars et de véhicules blindés de combat d'infanterie, de systèmes d'artillerie, de plates-formes de défense aérienne et d'armes de tous calibres.
Dans un contexte où les systèmes d'artillerie russes peuvent tirer près de 60 000 obus de tous types – roquettes, missiles, drones et munitions à cartouche dure – par jour, les forces ukrainiennes ont du mal à répondre à ces salves russes avec 6 000 cartouches par jour. De nouvelles plates-formes et de nouveaux paquets de munitions pour l'Ukraine peuvent enrichir le complexe militaro-industriel US, mais ils ne peuvent pas changer ces conditions.
La question, dès lors, est de savoir jusqu'où les psychopathes et les profiteurs corrompus de Washington et de l'Otan sont disposés à aller. Malgré les euro-atlantistes plus ou moins wokisés et ramollis du cerveau par l'incessante propagande, il semble de plus en plus clair que la population européenne se rend compte de l'ampleur du désastre, même si on ne lui demande pas son avis. Pas grand monde, en fait, n'est prêt à mourir pour Zelensky, le Donbass ou le complexe militaro-industriel américain.

⇒ https://www.lifesitenews.com/opinion/the-ukraine-war-is-far-more-dangerous-than-past-us-orchestrated-conflicts-douglas-macgregor/?fbclid=IwAR2tC2krPV-oOwbMvbk6uSBKGx_dG4ABRYoD5PPqdEW2CcwGZbu7qOi3jvs

⇒ https://news-24.fr/le-general-mark-milley-rencontre-le-general-valery-zaluzhny-pres-de-la-frontiere-ukrainienne/?fbclid=IwAR36P1aQ8KgJVJcockU4_R7d6Ukz7_ZrieG6-bYUuyNzNNFmBbOgJWQd-_4

1 février 2023

Le niveau zéro de la pensée politique

Vincent Verschoore

Comment se débarrasser de tous ces politiciens de pacotille qui ne sont là que pour l'avancement de leurs propres intérêts et privilèges ? Comment tolérer des gens telle la débilo-hystérique woke Sandrine Rousseau qui, dans un tweet du 31 janvier, après s'être inquiétée pour la retraite du millionnaire Mbappé (!!!), nous informe que :
« Que cela soit dit : nous ne voterons pas la motion référendaire portée par le RN. Il n’y a pas de collaboration possible, même infime, avec un mouvement fasciste. Jamais. Même quand ça fait mal comme dans ce cas précis. »
Ainsi, parce que c'est le RN et pas la Nupes (qui a déposé la même demande de referendum pour les retraites), il faudrait abandonner l'idée du référendum ?
Face à elle cet autre promoteur du niveau zéro de la pensée politique, le covido-fasciste russophobe et macroniste Raphaël Enthoven, lui répond :
« Mais VOUS êtes un mouvement fasciste. Qui bafoue les élections, qui joue le "pays réel" contre le "pays légal", et qui, sous couvert de désobéissance civile, soutient des factieux et s'en prend directement à des élus. Vous devriez vous entendre avec le RN. Surtout vous. »
Pendant que tous ces imbéciles se chamaillent, la maison brûle.
Une bonne partie de la population européenne va bientôt passer en mode survie et cela, quoi qu’en disent les euro-atlantistes, ce n’est pas la faute des Russes : le mouvement a été enclenché par le « quoi qu’il en coûte » covidien et le monstrueux gaspillage de ressources pendant deux ans, gaspillage qui accentuait le contre-coup d’années de planche à billets faisant finalement repartir l’inflation dès 2019, avec comme (lourde) cerise sur le gâteau le sabotage US de NordStream et les sanctions contre les Russes, boostant les prix de l’énergie et de l’alimentation, et donc l’appauvrissement des populations.
Tout cela est parfaitement compris et manipulé, sous les applaudissements aussi bien de Rousseau que des macronistes et assimilés, c'est-à-dire la vaste majorité du spectre politique qui, ne l'oublions pas, appelait à voter Macron en avril dernier.
Ce n'est pas forcément mieux ailleurs. Rousseau a son pendant allemand sous la forme de la woke greenwashée Baerbock, ministre des affaires étrangères, qui déclarait récemment au Conseil de l'Europe, que l'Europe est en guerre contre la Russie. Texto.
Elle vient d'être recadrée par le chancelier vassalisé Olaf Scholz, qui après avoir autorisé l'envoi de chars lourds en Ukraine, tient à préciser que, non, nous ne sommes pas en guerre contre le Russie, nous aidons l'Ukraine. Je ne doute pas que les soldats russes apprécieront la nuance.
C'est désespérant. Comment s'émanciper de tous ces cons et de toutes ces connes (car là, pour le coup, il y a vraiment parité) ?

30 janvier 2023

Vaccination ARNm et odeur de sapin

Vincent Verschoore


Le Dr Retsef Levi est un expert en analyse de risques pour le MIT. Il vient de publier une vidéo sur Twitter où, au vu des études d’impact disponibles depuis début 2021 en Israël et ailleurs, il appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination type ARNm. Il estime que l’inefficacité et la dangerosité de ces produits, notamment pour les jeunes, est suffisamment démontrée pour en justifier l’arrêt total. Il appelle à une analyse en profondeur sur la manière dont toute une communauté « scientifique » a pu accepter d’imposer un produit aussi mauvais et aussi dangereux, mais aussi financièrement rentable pour ses promoteurs.
(Il faut cliquer sur le lien « pic.twitter » pour accéder à la vidéo, sur Twitter)

Toutes choses que nous, « complotistes » démonisés à la sauce « antivax » par la bien-pensance ségrégationniste, ignorante ou corrompue et ses relais politiques, institutionnels et médiatiques, dénonçons depuis le début de cette histoire. Ce blog a commencé à s’en inquiéter sérieusement au printemps 2021, avec par exemple l’article « Vaccination Covid: la catastrophe qui vient? » (1).

Sans désespérer

Les signaux d’alerte sont apparus immédiatement, soulignés par les changements dans le narratif officiel face à l’avancée du réel, mais sans jamais remettre en cause le fondement purement commercial (et mafieux) de cette vaste expérience agricole. La question de la corruption était déjà abordée en décembre 2021, dans « Vaccination Covid, le grand marché de la corruption. » (2).

Même si la plupart des gens ne veulent plus en parler, le scandale est énorme et ses effets, sur la santé comme sur la confiance envers l’institution, encore difficiles à évaluer.

Entre-temps, les covido-fascistes macronistes et assimilés refusent toujours la réintégration des soignants, pompiers et autres suite à leur refus de se soumettre à l’expérience des Dr Mengele 2.0 (3). Aucun soi-disant « médecin » ne semble regretter avoir touché 900 euros par jour pour faire de l’abattage vaccinal, au mépris de tout serment et de toute éthique médicale.

Aucun repentir ne semble filtrer des ordres miliciens de la Gestapass et des Kapos vérifiant les Ausweis attestant de l’enrichissement des Pfizer et autres Moderna via la corruption massive du politique et des institutions, à commencer par l’Europe et l’infâme Ursula von der Leyen.

Les gens et les systèmes ayant permis et facilité la mise en place de cet immense racket sont toujours là, et ils nous la refont aujourd’hui au profit du complexe militaro-industriel et de la « guerre » non plus contre le virus, mais contre le Russe tout court (4).

Aucun politique ne semble capable d’en tirer la moindre leçon, la soi-disant « opposition » se limitant à se lever demain (le 31 janvier) contre la politique de celui dont elle appelait à la réélection en avril dernier. Alors oui, c’est désespérant, mais la volonté de résistance existe, très clairement, sous diverses formes, et tant qu’elle existe rien n’est perdu.

Censure et Fact-checking

Les Twitter Files et quelques articles parus dans la presse mainstream dévoilent le système de censure intégré aux Gafam, et pilotés par l’establishment, à l’encontre de toute « pensée déviante » et contestation du narratif officiel par des gens pourtant hautement habilités à le faire, tels que l’épidémiologiste Laurent Toubiana ici (5) ou le Dr. Jay Bhattacharya aux USA, pourtant professeur à l’École Médicale de l’université de Stanford. Un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

De toutes évidence, le portrait-type du militant d’extrême-droite « antivax » perpétuellement dénoncé par les bien-pensants ségrégationnistes dont beaucoup, aujourd’hui, arborent sans doute fièrement les insignes du régiment Azov.

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25 janvier 2023

Le business des guerres américaines

Vincent Verschoore

Énorme. Tellement énorme que ça passe crème, et que ça fait plus de vingt ans que ça passe : les guerres américaines sont un business qui se négocie sur les moyens de destruction puis de reconstruction, toujours au bénéfice des mêmes, au prix du sang versé par les civils et les soldats sacrifiés.
Comme l'écrivait Anatole France en 1922, « On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ». Il dirait sans doute, aujourd'hui, pour les financiers.
Donc nous avons ici Zelensky, le nouvel héros des applaudisseurs patentés (ça donne bonne conscience et ça ne mange pas de pain), glorifiant le Grand Capital Corrupteur américain, le remerciant pour toute cette fortune faite sur les livraisons d'armes qui permettent de faire durer la guerre, donc de maximiser les destructions, les futurs profits des reconstructeurs et, surtout, ceux de leurs intermédiaires. Dont lui-même, j'imagine.
D'où l'intérêt de faire un peu de ménage avant, pour la forme. Je ne doute pas que si nous échappons à la destruction totale, il y aura un jour à Kiev une avenue "Hunter Biden" qui croisera l'actuelle "Stepan Bandera" (anciennement avenue de Stalingrad) au carrefour dit de la "Rétro-commission européenne".
Comment fait-on pour se débarrasser de toutes ces raclures ?

https://fb.watch/ihha_G5byd/


19 janvier 2023

Conflit ukrainien : l'avis de Kissinger

Vincent Verschoore

Lors de leurs discours à l'ouverture de ce WEF, Klaus Schwab et Antonio Guterres (patron de l'ONU) sont restés très discrets sur la question ukrainienne, préférant parler de la « fragmentation » du monde, de la situation économique mondiale, des conséquences pour l'humanité du réchauffement à 2,8°C qui se profile (au lien du+1,5°C prévu).

Les va-t-en-guerre hystériques genre Ursula von der Leyen et Sanna Marin (PM de la Finlande), et bien sûr le couple Zelensky (madame étant présente sur place), ont tenté de remettre le grand méchant ours russe au centre du jeu, lui faire porter l'ensemble des responsabilités, et lui souhaiter une destruction prochaine.
 
Kissinger s'est aussi exprimé sur le conflit en Ukraine, en visio, avec un discours plus nuancé. Quoi que l'on pense de lui, il a sans doute l'âge et l'expérience pour être un peu moins con que les autres sur ces questions, et son avis est qu'il faut rechercher un cessez-le-feu sur base de la réalité du terrain, et ce rapidement avant d'en arriver à une escalade fatale.
 
Une fois ceci acquis, il pense qu'il y aura une négociation politique entre l'Occident et la Russie, susceptible de faire bouger les lignes mais à condition de laisser une vraie place à la Russie dans le concert européen.
 
Il serait intéressant de psychanalyser les dangereux imbéciles, dont de nombreuses femmes (parité oblige), qui veulent aller jusqu'au bout d'une guerre entre l'Otan et la Russie, au risque de déclencher le feu nucléaire sur l'ensemble de la région. Chacun sait, pourtant, que l'ours est bien plus dangereux lorsqu'il est blessé.
 
Chacun sait, aussi (même si on n'a pas le droit de la dire), que la Russie est tombée dans un piège tendu par l'Otan depuis 2014, que les Européens en sont les victimes collatérales, et que les grands bénéficiaires de l'affaire sont les USA et le complexe militaro-industriel.




COMMENTAIRE

Je ne crois pas que la Russie soit tombée dans un piège, ils l'ont parfaitement vu venir et savaient à quoi s'attendre. L'Europe ne respecte plus sa parole depuis longtemps, et l'OTAN s'assoit sur le Droit International, y compris les principes les plus élémentaires régissant le Droit des Traités et accords internationaux depuis l'imposition du programme "Pétrole contre nourriture" qui a constitué un véritable crime contre l'Humanité à l'encontre de la population irakienne...

Quant à Kissinger, le vieux serpent a toujours su jouer un double voire triple jeu, en se faisant passer pour un "pacifiste" en parlant de "conditions pour la paix" quand en coulisses il prône la guerre et les destructions systématiques d'États comme pour la Yougoslavie, puis la Serbie ou encore la Syrie et la Libye. Le fait qu'il appelle à l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN le démontre parfaitement : pour lui, il s'agit simplement de donner un prétexte à l'OTAN pour attaquer la Russie, et non d'inciter la Russie à cesser son agression contre l'Ukraine en défendant celle-ci.

Sa seule obsession est de protéger et perpétuer le mondialisme qu'il a aidé à construire et qui s'est substitué à la civilisation occidentale depuis 1944-48.

Tiephaine Soter

Payer les gens pour qu'ils se fassent vacciner

Vincent Verschoore

La corruption est tellement au cœur du système « de santé » organisé autour des intérêts de Big Pharma, que son extension à la population générale fait désormais partie d'un discours parfaitement acceptable : Selon cet article paru la semaine dernière dans Wired (lien 1), ce serait une bonne idée de payer les gens pour qu'ils se fassent vacciner.

On a vu, dans le cadre de la vaccination Covid, que l'État acceptait d'un côté de payer des sommes folles pour des produits expérimentaux aux données cliniques truquées, et d'autre part de payer des soi-disant « médecins » pour piquer à la chaîne une population désinformée, manipulée, et contrainte par la violence (pass sanitaire) à accepter d'être traitée comme un vulgaire bétail.

Alors même que l'on sait, notamment grâce aux études épidémiologiques de John Iaonnidis, que le "Infection fatality rate" (IFR, ou taux de mortalité suite à infection) du Covid-19 est extrêmement bas pour la population de moins de 70 ans. (lien 2)

IFR pour la classe d'âge 0-19 ans: 0,0003%. Pour la classe 20-29 ans: 0,002%. Pour la classe 30-39 ans: 0,011. Pour la classe 40-49 ans: 0,035. Pour la classe 50-59: 0,123%, et pour la classe 60-69: 0,506%.

Sachant que le taux d'effets secondaires de la vaccination covid expérimentale (par ARNm) est de l'ordre de 1 pour 800 (lien 3) soit 0,125%, ce qui est absolument énorme pour un vaccin.

Dans les deux cas, les populations à risques sont les +65 ans, et surtout les plus de 70 ans pour le Covid, et que si vaccination il doit y avoir, surtout expérimentale avec un risque potentiellement supérieur au bénéfice pour la population générale, elle ne peut se faire que sur base d'un choix libre et éclairé.

Cette mise en contexte faite, revenons à Wired qui relate des études d'impact sur le fait de payer des gens pour se faire vacciner, ou autrement dit de l'efficacité de corrompre directement les gens à prendre un risque sanitaire pour de l'argent.

Evidemment ceci existe déjà dans les phases de test, où les « cobayes » sont payés pour participer à ces essais, avec un tarif (aux USA en tout cas) variable en fonction du risque qui est pris.

Un essai réalisé en Suède avec 8 000 personnes montre que le fait de les payer pour se faire vacciner augmente le taux de vaccination de 4%. Aux USA, cette technique est appliquée dans certains États : un ticket de loterie dans l'Ohio, une licence de chasse dans le Maine, une bière dans le New Jersey.

L'article mentionne quelques aspects encore nébuleux en termes d'éthique (!), mais ne se pose pas la question – centrale – du rapport bénéfice/risque de la vaccination, seul vrai facteur de décision à l'échelle individuelle. Pour autant, évidemment, que les informations soient correctes, ce qui ne fut pas du tout le cas dans le cadre du Covid, avec pour effet qu'au prochain épisode la résistance sera sans doute nettement plus forte du fait de la perte de confiance envers les autorités sanitaires.

Donc, les autorités corrompues ont le choix entre la coercition pure et dure, ou la corruption du public par l'argent (ou les deux, bien sûr). Des autorités non corrompues diraient simplement la vérité sur l'efficacité et le rapport bénéfice/risque des produits proposés, laissant le choix aux gens (comme l'impose d'ailleurs la loi), mais il ne faut malheureusement plus trop compter là-dessus tant que les macronistes et assimilés, McKinsey et Big Pharma dicteront les stratégies sanitaires en fonction de leurs propres intérêts.

(1)

(2)

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18 janvier 2023

Davos, du Covid aux tranchées sanglantes de l’Ukraine

Vincent Verschoore


C’est Davos-time à nouveau, le premier show complet depuis la fameuse pandémie que ce même WEF (World Economic Forum) avait mise en scène quelques mois plus tôt, en octobre 2019, via la simulation « Event 201 » (1) où, ô surprise, un coronavirus inconnu passait des chauves-souris au cochon (clin d’œil à la Chine, 2019 étant sous le signe du cochon) avant d’arriver à l’humain.

Une affaire qui motiva Klaus Schwab et Thierry Malleret à écrire leur équivalent du livre rouge de Mao, « Covid-19, the Great Reset » (2) mettant en scène la philosophie de Davos, à savoir que le « nouveau monde » serait géré par, notamment, des structures et institutions supranationales garantissant des politiques efficaces face aux « challenges » confrontant l’humanité, notamment le réchauffement climatique, l’accès aux ressources, la gestion des conflits, etc.

Comprendre: se passer des souverainetés nationales et des avis des populations concernées afin d’imposer des solutions qui arrangent, d’abord et avant tout, les actionnaires du WEF.

« En fin de compte, il est indéniable que le WEF exerce un pouvoir immense, qui a cimenté la domination de la classe capitaliste transnationale à un degré jamais vu auparavant dans l’histoire. Mais il est important de reconnaître que son pouvoir n’est qu’une manifestation du pouvoir de la « superclasse » qu’il représente – un petit groupe ne représentant, selon les chercheurs, pas plus de 6 000 ou 7 000 personnes, soit 0,0001% de la population mondiale, et pourtant plus puissante que n’importe quelle classe sociale que le monde ait jamais connue.

Samuel Huntington, à qui l’on attribue l’invention du terme « homme de Davos », a fait valoir que les membres de cette élite mondiale « ont peu besoin de loyauté nationale, considèrent les frontières nationales comme des obstacles qui disparaissent heureusement et voient les gouvernements nationaux comme des résidus du passé dont la seule fonction utile est de faciliter les opérations mondiales de l’élite ».

Ce n’était qu’une question de temps avant que ces aspirants cosmocrates ne développent un outil permettant d’exercer pleinement leur domination sur les classes inférieures – et le WEF s’est avéré être le véhicule idéal pour le faire. »


Exercice pratique : le Covid

Le Covid fut l’occasion d’une première mise en pratique : en Europe, une haut-fonctionnaire corrompue placée là par ses pairs décidait, au nom de tous, d’acheter pour des milliards de doses d’un produit expérimental au profit, essentiellement, de l’enrichissement massif des actionnaires du Grand Capital Corrupteur (3), lui-même extrêmement bien représenté à Davos. C’est Davos, en fait.

La stratégie générale est donc simple : Le Grand Capital achète les pouvoirs politiques et institutionnels, plaçant des gens comme Biden, von der Leyen ou Macron aux postes clés, puis ces régimes se retrouvent au sein d’organismes supranationaux (UE, Otan, ONU etc.) où des décisions sont prises en dehors de tout contrôle démocratique, au profit d’intérêts qui ne sont pas cités mais qui deviennent rapidement évidents.

La semaine dernière la très corrompue Ursula von der Leyen, aux côtés du vampire otanesque Jens Stoltenberg, donnait un discours qui marque peut-être le point de départ « officiel » d’un totalitarisme technocrato-militaire visant à couvrir l’Occident de son ombre.

Il manquait en effet à l’EuroSoviet (4), constitué dans le cadre de la dictature covidienne puis entériné dans celui de l’hystérie mortifère ukrainienne, la dimension purement militaire de l’Otan, organisation terroriste à but lucratif au bénéfice du complexe militaro-industriel.

« Nous allons approfondir notre excellente coopération et l’étendre à de nouveaux domaines», a décrété Ursula, au côté du secrétaire de l’Otan Stoltenberg, appelé affectueusement Jens. Bruxelles veut porter son « excellente coopération » avec l’Otan à un autre niveau, fait notable, bien au-delà du militaire, pourtant seule raison d’être de l’Alliance atlantique.

Censure et propagande

Avec l’UE, l’Otan va ainsi pouvoir se mêler, selon Ursula, de la « lutte contre la désinformation », soit la censure et la reprise en main d’internet. On notera, à ce sujet, le récent article (8 janvier) du Wall Street Journal intitulé « La machine à censure Covid de la Maison Blanche ». Extrait :

Des documents récemment publiés montrent que la Maison Blanche a joué un rôle majeur dans la censure des Américains sur les médias sociaux. Les échanges de courriels entre Rob Flaherty, directeur des médias numériques de la Maison Blanche, et les dirigeants des médias sociaux prouvent que les entreprises ont mis en place des politiques de censure Covid en réponse à la pression incessante et coercitive de la Maison Blanche, et non volontairement. Les courriels sont apparus le 6 janvier lors de la phase de découverte de l’affaire Missouri v. Biden, une affaire de liberté d’expression portée par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane et quatre plaignants privés représentés par la New Civil Liberties Alliance...

Le premier amendement interdit au gouvernement de s’engager dans une censure basée sur le point de vue. La doctrine de l’action de l’État empêche le gouvernement de contourner les restrictions constitutionnelles en subornant des entreprises privées pour atteindre indirectement des objectifs interdits.

Les courriels de M. Flaherty démontrent que le gouvernement fédéral a illégalement contraint les entreprises à s’assurer que les Américains ne seraient exposés qu’à des informations sur Covid-19 approuvées par l’État. En conséquence de cette action étatique anticonstitutionnelle, les Américains ont eu la fausse impression d’un « consensus » scientifique sur des questions d’une importance cruciale concernant le Covid-19. Un jugement pour la conduite illégale, trompeuse et dangereuse du gouvernement est en cours devant les tribunaux.


Il y a clairement toujours une censure étatique (et médiatique et commerciale, tout cela étant étroitement lié) concernant le délit d’opinion en la matière. Les Twitter files montrent aussi que Facebook n’est pas le seul des Gafam à appliquer cette censure (5).

Tout ceci ne date évidemment pas du Covid: la prise de pouvoir du Grand Capital Corrupteur est analysée aux USA en 2008 par James Galbraith dans « l’État prédateur » (6), et le président Eisenhower mettait déjà le monde en garde lors de son discours de départ en 1961 (7). Mais c’est le Covid qui a lancé l’assaut actuel par l’hystérisation institutionnelle et politique d’un problème par ailleurs parfaitement gérable « normalement », profitant d’un contexte propice à la manipulation psychotique des masses (8) qui se poursuit, aujourd’hui, avec le cinéma macabre autour du conflit ukrainien et du suicide européen.

Le charnier ukrainien sous les applaudissement de Davos

Une Europe aujourd’hui aux mains de psychopathes et de crapules corrompues formant la secte qui se réunit actuellement à Davos et y fait tourner l’industrie locale de la prostitution de luxe (9), illustration pertinente de ce à quoi nous avons vraiment affaire.

Il n’y a pas de complot caché, et demain il n’y aura pas d’excuses du genre « on ne savait pas » car tout est dit, tout est annoncé : la volonté de détruire la Russie en y sacrifiant l’Europe (et l’Ukraine) au profit de l’organisation terroriste Otan et son mentor américain, s’affiche en toutes lignes, par exemple à travers le général US Mark Milley dans le clip ci-dessous.

Suite à sa défaite à Soledar, l’Otan met les bouchées doubles pour équiper l’AFU (forces armées ukrainiennes, en réalité un mélange de troupes ukrainiennes et otanesques sous contrôle US) et parle ouvertement de volonté de destruction de la Russie, qui plus est au nom d’un principe que les USA ne respectent jamais eux-mêmes : l’ordre mondial fondé sur les règles.

« Washington et l’OTAN mènent une guerre par procuration contre la Russie avec le soutien de l’Ukraine. » Zoran Milanovic, président de la Croatie.

À la question de savoir si les négociations de Minsk était destinées à retarder les avancées russes en Ukraine, François Hollande a répondu par l’affirmative : « Oui, Angela Merkel a raison sur ce point. Les accords de Minsk arrêtèrent l’offensive russe pour un temps. Ce qui était important était de savoir comment l’Occident utiliserait ce répit pour prévenir toute tentative russe ultérieure ».


Vers un nouvel ordre mondial dystopique

Plus c’est gros plus ça passe. Le narratif officiel sur le conflit ukrainien est complètement détaché de la réalité historique (10), mais la folie meurtrière des euro-atlantistes nous entraine vers une catastrophe qu’il n’est plus acceptable de faire semblant de ne pas voir: nous allons être ruinés par le racket de l’énergie et des dépenses militaires, et nos Etats n’auront plus les moyens d’assurer un minimum de santé, d’éducation et de sécurité alimentaire à leurs populations (c’est quasiment déjà le cas au RU, pays entièrement vassalisé par les USA),

La pression des Etats corrompus sur les populations est incessante. A l’image de la Chine, la France veut profiter des JO 2024 pour installer la vidéosurveillance automatisée :

En catimini pendant les fêtes, le gouvernement a déposé le projet de loi concernant les jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Comme on l’attendait, ce texte prévoit d’ouvrir la voie à la légalisation de la vidéosurveillance automatisée (ou algorithmique, abrégée « VSA »), le tout sous un vernis théorique d’expérimentation limitée dans le temps. Et ce alors que partout sur le territoire, ces technologies sont déjà employées dans l’illégalité et l’impunité la plus totale. Prenant pour prétexte l’organisation prochaine des grandes compétitions sportives, le gouvernement et nombre de parlementaires se posent en défenseurs de l’industrie française en lui permettant de s’étendre durablement sur le marché de la vidéosurveillance.


Seuls les très riches s’en sortiront, et nous allons bientôt retrouver ici les structures typiques des pays du tiers-monde : une petite minorité vivant dans le luxe au sein de quartiers résidentiels « protégés » par les milices armées du Grand Capital, entourée d’une majorité hébétée, désinformée, nourrissant les besoins de « l’élite » en chair à canon et en opérateurs techniques sous le contrôle de la machine.

À Davos, les euro-atlantistes pourront ainsi tranquillement applaudir les centaines de milliers d’Ukrainiens morts dans leurs tranchées sanglantes, au seul profit du Grand Capital et des intérêts géostratégiques américains.


Liens et sources :

(1) https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/exercises/event201/about

(2) https://zerhubarbeblog.net/2020/12/04/de-quoi-the-great-reset-est-il-le-nom/

(3) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/

(4) https://zerhubarbeblog.net/2022/03/07/bienvenue-en-union-eurosovietique/

(5) https://www.blick.ch/fr/news/opinion/chronique-de-myret-zaki-quand-la-lutte-contre-la-desinformation-sert-a-manipuler-l-opinion-id18231215.html

(6) https://blogs.mediapart.fr/vincent-verschoore/blog/160510/letat-predateur

(7) https://www.archives.gov/milestone-documents/president-dwight-d-eisenhowers-farewell-address

(8) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/

(9) https://www.rt.com/news/569971-escort-services-booked-wef-davos/

(10) https://zerhubarbeblog.net/2022/03/01/ukraine-le-retour-du-baton/


15 janvier 2023

Conflit Otan/Russie

Vincent Verschoore

Intéressant "docu" sur ARTE sur la zone baltique au cœur du conflit Otan/Russie. Un véritable film de propagande bien-pensante peignant la Russie sous les traits d'un pays de barbares nostalgiques de l'URSS, et l'Otan comme le preux chevalier de service protégeant les braves européens trop naïfs.
Le point de vue plus nuancé basé sur la réalité historique de ces 30 dernières années n'est même pas mentionné, quitte à être critiqué : il est tout simplement inexistant.
Donc, un pays de 143 millions d'habitants (l'Europe, c'est plus de 500 millions) avec le PIB de l'Espagne, est une menace pour l'Otan. Ainsi la Russie aurait attaqué la Géorgie en 2008, la Crimée en 2014 et l'Ukraine aujourd'hui sans raisons. L'Otan, c'est que des gentils.
Pourtant, qui a envahi l'Afghanistan avec pertes et fracas, puis l'Irak sur base d'un vil mensonge, puis détruit la Libye sous couvert de "mission humanitaire" ?
Qu'est-ce qui a poussé les Russes à réagir en 2008 puis 2014, et en février 2022 ? Quel est le risque objectif d'une invasion russe des pays Baltes, de la Pologne et de la Scandinavie ? Combien de bases de l'Otan entourent les frontières ouest et sud de la Russie, et que se passerait-il si les Russes recommençaient le coup de Cuba ?
Ce docu de propagande n'en dit pas un mot, et c'est vraiment une honte, sachant qu'il s'agit d'une chaîne financée par des fonds publics.