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31 août 2022

mélimélo

⬦ Pour ne pas avoir le bac, il faut en faire la demande.
Luc Ferry

⬦ Pourquoi devrions-nous souffrir de restrictions et privations qui ne sont dues qu'à l'incompétence et aux décisions irresponsables de nos dirigeants ?

⬦ Si Moderna attaque Pfizer pour violation des brevets, ils vont devoir prouver que Pfizer a repris leurs ingrédients, donc nous allons savoir ce qu'il y a dedans !

⬦ La nuit il fait un peu trop frais, je suis obligé de prendre un vêtement de plus quand je sors tard, c'est plus les canicules d'antan !

⬦ Sous des latitudes plus chaudes que la nôtre, est-ce que vous savez s’il y a des survivants ?

⬦ Alors cet hiver ça sera papi et mamie dans la cuisine et en plus dans le noir.

⬦ En cas d’urgences médicales, le ministre de la Santé met en place un jeu de piste.

⬦ Si vous pensez que l'aventure est dangereuse, je vous propose d'essayer la routine... Elle est mortelle !
Paulo Coelho

Les conseils secrets doivent cesser

Gilles La Carbona

Après les conseils de défense COVID, dont on sait aujourd’hui qu’ils ne furent qu’une vaste mascarade, voilà ceux sur l’énergie. Ne pouvant se défaire de l’envie de nous nuire et n’ayant plus de grain à moudre avec la fausse pandémie, il se rabat sur l’énergie. L’homme aime l’emphase, il a besoin de frapper les esprits pour se grandir faute de porter, dans son action, l’excellence qu’il s’attribue. Quoi de plus martial qu’un conseil de défense ? Mais défense de quoi ? Où est l’ennemi qui frapperait à notre porte et justifierait ces alcôves furtives et ténébreuses ? Il faut bien, par un jeu savamment orchestré, justifier l’injustifiable. Restriction, pénurie, démolition de la France et de son économie, seront au menu concocté « pour notre bien ».
Il organise lui-même son petit cénacle et dirige les débats dans l’obscurantisme le plus complet. Il ne règle pas les problèmes, il les créés. C’est uniquement sa faute, si nous devons subir une hausse du prix du gaz de l’électricité et des produits alimentaires, pour suivre aveuglément et sans discernement les délires, ou les plans, de Van Der Leyen et de Biden. Il nous annonce un cataclysme et se fera un plaisir de nous dire qu’il a évité le pire grâce aux décisions prises en dehors de tout contrôle parlementaire. Cet homme se fiche de la démocratie qu’il considère comme un frein. La liberté est pour lui une plaie et il use de tous les stratagèmes pour la contourner tout en martelant qu’il agit pour notre bien.
L’opposition, qui commence à regimber, doit arrêter cette mascarade et interdire que ces conseils se réunissent en catimini, sous la seule volonté du Président. Nous ne sommes pas en régime Présidentiel pur, il est donc urgent de faire cesser cette pratique. S’empressera-t-il de classer secret défense tout ce qui va s’y dire ? S’il veut vraiment aider notre pays, la solution est simple, pour éviter une crise énergétique et sociale : cesser d’alimenter la guerre en Ukraine. Qui a protesté quand les Américains ont démantelé la Yougoslavie ? Quand les Français ne pourront plus ni se chauffer, ni se nourrir, que croit-il qu’il se passera ? Borne, après s’être félicitée de la fermeture des réacteurs de Fessenheim comme étant la panacée de l’écologie, vient aujourd’hui nous expliquer qu’il faut des restrictions dans toutes les entreprises, pour pallier la pénurie d’énergie qu’elle a elle-même organisée. La planification de nos malheurs apparaît maintenant de plus en plus clairement aux yeux des observateurs. Il est nécessaire de mettre cet homme et ce gouvernement hors d’état de nuire, par la voie légale de la destitution : on ne peut rien construire avec un président qui est devenu l’ennemi intérieur du pays.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.

Travailler moins pour vivre mieux


Céline Marty, philosophe : "Il y a énormément de secteurs, de services notamment, qui brassent de l’air"

Interview par SIMON BRUNFAUT
27 août 2022


©Thomas Decamps


Pourquoi le travail occupe-t-il une place si importante dans nos existences ? La philosophe, Céline Marty publie un ouvrage* dans lequel elle montre que "le travail dévore nos vies". Selon elle, le travail est "mystifié", investi d’une idéologie qui doit être, à l'heure de la crise écologique, remise en question afin de "s'émanciper du productivisme". Et si travailler moins était la solution ?

Pourquoi avons-nous tendance à "mystifier" le travail dans nos sociétés, selon vous ?

C’est le résultat de l’accumulation de plusieurs phénomènes. Suite à la révolution industrielle, nos gouvernements ont organisé une société de l’emploi. Pour acquérir des droits sociaux et des ressources économiques, le travail déclaré et rémunéré est devenu central. On a considéré qu’il était nécessaire que tout le monde ait un emploi à plein temps pendant quarante ans. À cette exigence de travailler s’est ensuite greffé un discours sur la valeur. On a ainsi donné progressivement une valeur existentielle et morale au travail. Il y a deux siècles, ce discours n’existait pas.

Si le travail est bien un enjeu économique, vous estimez cependant qu’il n’est pas un véritable sujet politique. Comment "politiser" le travail ?

L'omniprésence du travail n’est pas remise en question, car la mise au travail est une manière de discipliner les populations : plus les gens ont du temps libre, plus ils sont en mesure de remettre en cause le système. Plus on laisse du temps libre aux gens, plus ils vont revendiquer des choses. Les gens les plus contestataires sont d’ailleurs ceux qui ont le plus de temps libres...

D’autre part, nous avons une culture politique particulière en Europe. À droite, on défend le travail, car il est le symbole de l'émancipation de l'individu. À gauche, on observe une défense du travail bien fait, par exemple, et il n'y a pas de consensus pour critiquer le travail. La critique du travail vient en réalité des milieux anarchistes et écologiques, qui posent cette question: que faut-il vraiment produire ? Comment éviter les rapports de force qui se jouent au travail ? Cette question est peu abordée à gauche, car on maintient l'espoir dans le progrès technique et l'on se limite à discuter des conditions de travail.

Quel a été l’impact de la séquence covid sur notre conception du travail ?

À l’échelle individuelle, les gens ont beaucoup réfléchi. On a parlé du travail, il y a eu un débat autour des métiers essentiels. Mais le problème, c'est qu’il n’y a eu aucune traduction politique de ces questionnements. On a pris quelques mesures de revalorisation salariale ici et là, c’est tout. Quand on écoute actuellement le discours de Macron, on a l’impression d’entendre Thatcher dans les années 80 : atteindre le plein emploi, réduire l’assurance chômage, faire en sorte que tout le monde ait un job, etc. Les conséquences du covid n’ont absolument pas été prises en compte. C’était pourtant le moment de se poser des questions, étant donné l’urgence climatique notamment...
Le secteur de la publicité et de la communication pourrait disparaître puisqu'il ne sert qu’à stimuler la consommation.

Comment adapter notre conception du travail aux enjeux écologiques? Des métiers sont appelés à disparaitre, selon vous ?

Le travail est une activité polluante et destructrice de ressources. Donc, il faut choisir ce qu’il faut produire en priorité. Le secteur de la publicité et de la communication pourrait disparaître puisqu'il ne sert qu’à stimuler la consommation. Le secteur aérien doit lui aussi être totalement repensé. Cet été, étant donné la sécheresse et les canicules, on a pu voir émerger un questionnement public au sujet de l’arrosage des golfs. C'est la preuve qu'il est possible de politiser certaines activités et de questionner leur légitimité en sachant que nous sommes appelés à repenser entièrement l’organisation de la production.
Il y a toujours eu des emplois qui ont été supprimés dans l’histoire du travail, et on l’a fait souvent sans beaucoup d’états d’âme.

Mais vous savez ce que l’on va vous opposer: il faut sauvegarder les emplois...

Il y a toujours eu des emplois qui ont été supprimés dans l’histoire du travail, et on l’a fait souvent sans beaucoup d’états d’âme. D’ailleurs, si on s’intéresse à l’histoire du travail, on voit que, très souvent, on a choisi de supprimer les emplois des travailleurs les plus revendicatifs, dans les secteurs les mieux organisés syndicalement. En réalité, quand ça arrange le politique, on supprime facilement les emplois.
Les temps libres sont tout aussi légitimes que les temps de travail.

Où devrait commencer et où devrait s’arrêter le travail, selon vous ?

Aujourd’hui, nous avons tendance à considérer que tout est travail : on va à la salle de sport pour "travailler" sa musculation, la vie de couple est un "travail", on doit "travailler sur soi", etc. En disant "tout est travail", on rend les choses extrêmement confuses. Nous avons besoin d’activités normées qui satisfont des besoins collectifs, mais le citoyen pourrait participer à normer ces activités et à réfléchir les conditions de travail. À côté de ça, il faut revendiquer du temps et de l’énergie pour les temps libres. Les temps libres sont tout aussi légitimes que les temps de travail. Les conséquences sociales et écologiques de l’hyperproductivisme sont payées par l’ensemble de la société.
L'enjeu est de construire une protection sociale qui ne dépende pas de l’emploi.

Moins travailler est donc une manière de répondre très concrètement à l'urgence climatique ?

Oui, c’est une manière de revoir notre manière de consommer et de produire. On ne cesse de nous dire qu’il faut travailler plus, mais quelles sont les conséquences concrètes de cet hyperproductivisme? Un tiers de la production agricole part à la poubelle avant même d’arriver dans nos assiettes. C’est donc un tiers des efforts, du travail humain et des ressources naturelles, qui partent en fumée. Il y a énormément de secteurs, de services notamment, qui détruisent des ressources pour brasser de l’air. On peut penser au démarchage téléphonique, par exemple. Le problème, c'est que l'on répète à longueur de journée aux gens qu’ils ont besoin d’avoir un emploi, et donc ils choisissent n’importe quoi. Tout l’enjeu est de construire une protection sociale qui ne dépende pas de l’emploi. Nous n’avons pas adapté notre système de protection sociale aux gains de productivité et au chômage de masse.
L’automatisation et la révolution numérique ont fait disparaitre beaucoup d’emplois. Mais nous n’en avons pas profité pour réduire le temps de travail.

À quel point la révolution numérique et l’automatisation ont-elles bouleversé notre conception du travail, selon vous ?

L’automatisation et la révolution numérique ont fait disparaitre beaucoup d’emplois. Mais nous n’en avons pas profité pour réduire le temps de travail. À l'heure de l'automatisation et du numérique, nous restons fondamentalement dans une société de l’emploi. Nous avons donc créé une série d’emplois artificiels pour compenser la perte d'autres emplois. On peut penser au livreur Uber qui vous apporte vos sushis, par exemple.
La course à la productivité et à la croissance n’obsède pas le monde entier.

La question du travail est liée également à l'enjeu de la mondialisation. L’argument consiste bien souvent à dire qu’il faut s’adapter à cette course effrénée, et donc travailler plus... Comment échapper à cette exigence ?

L’argument de la course à la mondialisation ne convainc pas individuellement qu’il faut travailler plus. On nous fait croire que la situation aux États-Unis, par exemple, serait désirable. Mais ce modèle social ne fait pas rêver. C’est la même chose pour la Chine. Nous ferions mieux de regarder du côté européen. En Norvège, personne ne travaille après 17h. Le modèle du surengagement est en fait très localisé et parait absurde aux yeux de certains pays. Cette course à la productivité et à la croissance n’obsède pas le monde entier.
Nous devons penser une organisation du travail plus respectueuse des humains et des conditions environnementales.

Vous plaidez pour une "société frugale". Comment la mettre en place ?

Il est nécessaire de convaincre au niveau local d’abord, au niveau des opinions publiques. Nous allons droit dans le mur, d’un point de vue humain et écologique. Nous n’avons pas le choix. En situation de crise, il faut organiser les choses autrement et le politique peut le faire très vite. Et il est possible de proposer une autre organisation du travail. En Angleterre, on vient de mettre en place la semaine de 4 jours. Nous devons penser une organisation du travail plus respectueuse des humains et des conditions environnementales.


*Travailler moins pour vivre mieux. Guide pour une philosophie antiproductiviste, Céline Marty, Dunod, 184 p., 17,90 €

https://www.lecho.be/opinions/general/Celine-Marty-philosophe-Il-y-a-enormement-de-secteurs-de-services-notamment-qui-brassent-de-l-air/10409653?

30 août 2022

Surmortalité hors Covid

Vincent Verschoore

Début juillet je publiais cet article sur le constat de surmortalité hors Covid aux USA, au RU et en France. https://zerhubarbeblog.net/.../constat-dune-surmortalite.../

Un phénomène inquiétant, un sujet tabou pour les médias mainstream, heureusement caché derrière une actualité bien assez dramatique, mais un phénomène qui se confirme de mois en mois.
Au RU, l'observateur averti qu'est le Dr John Campbell vient de publier une nouvelle analyse des chiffres officiels de surmortalité britannique.

Il en appelle à une action immédiate et approfondie par le gouvernement, y compris par le biais d'autopsies, pour saisir la cause d'une "épidémie" qui touche toutes les classes d'âges et qui, si elle perdure, va tuer plus de gens que le Covid lui-même.


Gabriel Nerciat

À VOS LUMIÈRES, GENTILS AMIS
 
À propos, est-ce que quelqu'un, parmi mes diligents amis macroniens et/ou euro-atlantistes - ou quiconque considère appartenir de plein droit au cercle supérieur de la raison rationnelle (non, ce n'est pas un pléonasme) -, est-ce que quelqu'un, donc, pourrait m'expliquer, à moi simple d'esprit buriné par l'irrationnalité de l'obscur, pourquoi, de l'aveu même du Banquier Président et de Madame von der Leyen, il est si urgent de déconstruire les souverainetés nationales en Europe (au nom de la paix, du libre-échange, de la solidarité, de l'écologie, de la créolisation, de la masse critique, du nomadisme professionnel, de la xénophilie, de l'extension des partouzes ou de je ne sais quoi d'autre) et pourquoi il ne faudrait absolument pas toucher, d'un cheveu, à la souveraineté nationale de l'Ukraine - un État qui n'existait pas il y a plus de trente ans et auquel une part conséquente de ses citoyens ne veut manifestement plus appartenir.
Toutes les réponses sont bonnes à prendre, merci.


Ces élites détestées qui nous préparent sciemment un hiver misérable

H16

(...) L’élite occidentale actuelle semble avoir un mal croissant à déclencher le moindre enthousiasme dans sa population.

Les citoyens montrent des signes clairs d’agacement surtout lorsque se multiplient les agendas délirants qu’elle fait passer avant les besoins de ces populations. Il est certes évident que les idées sont encore confuses chez l’électeur occidental moyen qui découvre, très progressivement, que les avanies qu’il a subies ces dernières années ont été entièrement architecturées et sinon voulues, au moins empirées ou déclenchées par les conduites imbéciles et obstinées de ces élites et de leurs grands objectifs mondialistes.

Il faut dire qu’est subitement devenu très visible le lien entre les décisions politiques calamiteuses prises ces 10 dernières années – favorisant les énergies renouvelables ingérables et donc le gaz – ainsi que ces dernières semaines – boycott et sanctions multiples – et l’explosion des prix de l’énergie, à la pompe ou au compteur, et qui promet un hiver particulièrement désagréable pour tous.

En outre, maintenant que l’inflation explose, il devient difficile de nier le lien entre ces choix calamiteux, les disruptions logistiques décidées pour des raisons sanitaires fumeuses, les choix de société imposés à commencer par ces choix écologiques ou cette fiscalité délirante afin d’imposer une décroissance et une désindustrialisation jugées polluantes, entrainant des délocalisations massives et un abandon de la valeur ajoutée au reste du monde...

Indéniablement, cet agacement déjà palpable se muera en détestation à mesure que les dirigeants continueront de pousser leurs agendas débiles à base d’électricité rationnée (merci Linky !), de viande remplacée par des insectes, d’abolition de propriété privée et de Pass Carbone qui ne dit pas encore son nom mais dont on chuchote de plus en plus l’existence dans les médias de révérence.

Décidément, si vous aviez apprécié les confinements en 2020 et 2021, vous adorerez leur version « ultra-sobre » cet hiver. Tout en prévoyant un pull, attendez-vous cependant à ce que la grogne monte.

Hiver démocratique

Anne-Sophie Chazaud

- 30/8/2022 - Pendant que la gogoche et la droidroite amusent la galerie et se demandent si les hommes enceints mangent 3 fois plus de barbecues que les femmes au bord de piscines qu’il faudrait interdire – ou pas –, il se passe des choses graves, des choses de grandes personnes.
Comme avec le délire sanitariste, il a donc été décidé et annoncé par Emmanuel Macron que la question énergétique serait gérée à partir de cette semaine en Conseil de Défense (couverte par le secret défense, donc).
L’ineptie, l’absence de vision stratégique de l’exécutif, la bêtise européiste – et atlantiste béate – ont conduit le peuple français dans l’impasse, alors il importe désormais de tout camoufler et, surtout, d’écarter cette question cruciale et sa gestion du champ du débat démocratique normal.
À ce propos, l’on est sans nouvelles de l’opposition qui devrait, si elle avait un peu de dignité, se lever unanimement pour demander qu’il soit mis fin à ces pratiques de gouvernance qui correspondent en réalité à un changement de régime dont on constate bien qu’il est durable. Visiblement les députés ont mieux à faire que de sauver la démocratie.
Nous avions prévenu que l’obsession sanitaire avait introduit des pratiques non démocratiques, nous avions également prévenu que ce ne serait que le début, le prétexte pour s’installer durablement en contournement de la souveraineté et de la représentation nationales. L’on fut alors qualifié et disqualifié par les habituels procès en complotisme et en irresponsabilité, dont on a bien compris désormais qu’ils servent en réalité à protéger le pouvoir contre toute forme d’opposition réelle, de contradiction et d’esprit critique. Ce qui se passe aujourd’hui démontre que nous avions hélas raison et que tout recul de la démocratie et des libertés est toujours irréversible. Aucun parti autoproclamé « de la Raison », aucun parti prétendu « de la Science » n’aurait jamais dû pouvoir sans honte se réclamer de pareilles dérives et il fallait être bien sot pour accepter cette rhétorique aussi stupide qu’indigne.
Les motifs invoqués (santé, énergie et plus tard ceci ou cela, peu importe quoi, il y aura toujours une bonne raison à ériger en peur suprême...) serviront toujours désormais à alimenter la même rhétorique de l’urgence, ce cache-sexe, cette bonne aubaine des confiscations anti-démocratiques.
Lorsqu’on dit que Winter is coming, il faut y voir aussi un hiver politique et social terrible et sans fond. Et ce serait bien de se réveiller avant qu’il ne soit vraiment trop tard.
Je vous souhaite une bonne semaine ce nonobstant.