30/4/2025
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Affichage des articles dont le libellé est COVID. Afficher tous les articles
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26 avril 2025
Pierre Duriot
Alors, cette forme moins grave ?
-25/4/2025- Pendant que les très vaccinés journalistes français regardent ailleurs, des gens travaillent dans le réel et ont réalisé une étude très fouillée, intitulée : « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 avec couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé, laquelle vient d’être publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine. Mais ce n’est pas la première et de loin, puisque de nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès post-pandémie ont été écrits, non pas par des complotistes, mais par des gens de terrain confrontés à une nouvelle mortalité inattendue. Ces chercheurs, généralement indépendants ont attiré l’attention sur les biais des calculs servis pendant la pandémie, dénonçant la mortalité due au seul Covid. Il ont donc comparé les mortalités des périodes, afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde pendant les périodes pré-vaccinale et post-vaccinale.
Pour faire simple, dans les pays européens et l’Amérique, les plus vaccinés, cette vaccination a augmenté la mortalité due au Covid et les pays les moins vaccinés sont ceux où on en est le moins mort, notamment les personnes de plus de 65 ans, avec plus de 70 % des décès mondiaux dus au COVID-19 malgré une vaccination élevée. Ils en tirent une conclusion qui tient en une courte phrase : « La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée. » C’est sans appel. Et encore, d’autres études sont en cours pour évaluer la surmortalité actuelle qui touche elle aussi les pays les plus vaccinés. Cela rend caduque la fable de la « forme moins grave » qui a servi à vendre le produit.
En résumé, non seulement la vaccination n’a pas permis d’enrayer la pandémie mais elle l’a même aggravée et nous l’avions expliqué au RPF, ce qui nous a valu de nous faire supprimer purement et simplement quelques-uns de nos articles, sans doute un peu trop clairvoyants il y a encore quelques mois. Le constat était pourtant évident puisqu’en mars 2022 la France très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde. Le silence des journalistes français est assez inexplicable, si ce n’est qu’ils ont été largement subventionnés à cette époque, comme l’ont été certains artistes qui sont allés jusqu’à réserver leurs concerts aux seuls vaccinés. On se demande comment va se terminer cette histoire, à mesure que sortent les rapports accablants, à commencer aux États-Unis. Les fameux « complotistes » furent ainsi nommés quand ils avaient annoncé, avec six mois d’avance, l'arrivée des pass sanitaire et vaccinal. Et de « savants spécialistes », dont l’inénarrable Patrick Peloux, avaient expliqué au 20 Heures, sans la moindre donnée scientifique, que les non-vaccinés, six millions d’individus, allaient mourir dans l’année. Non seulement ils sont toujours là, mais ils ont l’air de se porter bien mieux que les autres.
Les médias ont de la suite dans les idées, sur la Covid ou l’Ukraine, traitent à qui mieux mieux de complotistes des gens qui, six mois, un an, deux ans, après les faits, ont finalement raison. La seule différence c’est que ces derniers ne sont pas copieusement arrosés d’argent public.
12 avril 2025
Professeur Didier Raoult
11/4/2025
11/4/2025
Alors voilà, on y est. Le 12 avril 2025, à Toulouse, un certain Lonni Besançon, qui se dit chercheur – mais qui passe plus de temps à traquer mes publications qu’à en produire lui-même –, organise une petite sauterie pour parler de moi et de l’IHU. "L’impunité historique", qu’il appelle ça. Rien que le titre, c’est du théâtre, du grand guignol pour amuser la galerie et faire plaisir aux jaloux. Ils vont encore sortir leurs soi-disant "révélations judiciaires", comme si ça allait changer quelque chose à ce que j’ai démontré pendant des décennies. Moi, j’ai soigné des gens, j’ai publié plus de 3 000 articles, j’ai fait avancer la science pendant que ces petits procureurs en herbe comptaient les virgules dans mes tableaux.
Ce 12 avril, ils veulent me mettre sur le banc des accusés, mais ils oublient une chose : la vérité, elle ne se décrète pas dans un amphithéâtre ou sur un plateau télé. Elle se voit dans les faits, dans les résultats. À l’IHU, on a traité plus de 30 000 patients avec l’hydroxychloroquine, et les chiffres parlent : moins de morts à Marseille qu’à Paris, moins de panique, plus de pragmatisme. Pendant ce temps-là, eux, ils préféraient les modèles mathématiques aux malades en chair et en os. Moi, je suis un clinicien, pas un bureaucrate en blouse blanche. Et ça, ils ne le supportent pas.
Besançon et sa clique, c’est la même chanson depuis cinq ans : des plaintes, des signalements, des tweets assassins. Ils n'ont rien trouvé de concret, alors ils en rajoutent, ils inventent, ils dramatisent. "Procédures judiciaires inédites", qu’ils disent. Qu’ils les sortent, leurs preuves ! Moi, je les attends, comme j’ai attendu les perquisitions, les sanctions de l’Ordre, les rapports bidon de l’ANSM. Tout ça, c’est du vent, de la fumée pour cacher leur incompétence. Ils veulent salir mon nom, mais ils oublient que l’Histoire, elle, juge sur les actes, pas sur les ragots.
Le 12 avril à Toulouse, ils vont causer, gesticuler, se donner des airs importants. Moi, je ne serai pas là – j’ai mieux à faire que de répondre à des procureurs autoproclamés. Mais je vais suivre ça de loin, et je vais rigoler quand leurs "révélations" tomberont à plat, comme d’habitude. Parce que la science, la vraie, elle est dans les labos, pas dans les conférences de presse montées pour faire le buzz. Et ça, ils l’apprendront à leurs dépens. La vérité finit toujours par sortir, et elle est de mon côté, pas du leur.
8 avril 2025
Vincent Verschoore
-7/4/2025- « 97% de l'Académie de médecine a voté quasi unanimement pour dire que nous pensons plutôt que le SARS-CoV-2 est issu d'une erreur de laboratoire et qu'il faut en tirer des leçons pour prendre des précautions à l'avenir », révèle le Pr Jean-François Delfraissy dans une conférence de presse de l'Académie de Médecine le 2 avril 2025. « C'est vrai qu'en tant que virologue, je ne vois pas beaucoup d'arguments en faveur de l'émergence naturelle du virus SARS-CoV-2 », ajoute la Pr Christine Rouzioux, virologue à l'hôpital Necker (Paris).
Delfraissy, président de feu le comité pseudo-scientifique inventé pour donner un vernis de justification scientifique aux décisions politiques des psychopathes macronistes, est aussi connu pour avoir admis que les "vaccins" Covid, qui n'immunisent ni ne neutralisent le virus chimérique en question, sont en réalité des médicaments. Or la médication forcée, doublée de publicité mensongère, pose quelques problèmes éthiques et juridiques, jusqu'ici balayés par la secte covidiste.
Delfraissy avait également marqué deux regrets suite au sabordage du "conseil scientifique", d'une part le traitement inhumain imposé par les covidistes aux personnes enfermées en Ehpad, d'autre part le refus du régime à établir un "conseil populaire" où les citoyens auraient pu donner un avis, par exemple concernant les fermetures d'écoles.
De toute évidence, le "milieu" sait depuis le début que le Sars-CoV-2 est louche, et fruit plus que probable de manipulations dangereuses "gains de fonction" effectuées à Wuhan. Des informations secrètes furent-elles échangées à haut niveau, mettant en garde contre une arme biologique lâchée en pleine nature, ce qui aurait pu justifier, au moins au début, le subséquent délire confinatoire?
Quel était le calcul derrière le refus obstiné des autorités à reconnaître l'origine chimérique du virus, et pourquoi avoir toujours privilégié les pires réponses alors que des voix tout aussi "sachantes" que la bande à Delfraissy imploraient d'arrêter le massacre et d'agir de manière intelligente ? Au bénéfice de qui ?
C'est loin d'être terminé.
16 mars 2025
Yann Bizien
- 16/3/2025 - La crise du COVID aurait donc "révélé la force de notre unité" selon Emmanuel Macron qui s'est exprimé sur son compte X.
Notre unité ?
Est-il sérieux ?
J'ai plutôt l'ardent souvenir de sa brutalité et de ses décisions qui ont clivé les Français, entre partisans de la vaccination obligatoire pour tous et ceux qui plaidaient à l'époque pour la liberté de choisir.
Il y a au moins quelque chose de constant chez ce président : sa déconnexion.
27 février 2025
Romain Vignest
- 27/2/2025 - Deux questions s’entremêlent, qui s’aggravent l’une l’autre et auxquelles ne répond aujourd’hui qu’un double déni assourdissant.
Comment les Français, et d’autres, ont-ils pu consentir, et sans le moindre débat, comme allant de soi, préférant, contre toute l’histoire morale occidentale, la servitude au danger, certains prenant même leur abaissement pour du civisme, à rien moins qu’une privation maximale de liberté, de plus psychiquement, physiquement et économiquement délétère ?
Comment, alors que ces mesures auraient dû attiser leur méfiance, ont-ils pu croire un instant au prétexte, à la nouvelle peste, qu’on alléguait, sans s’interroger un instant sur les chiffres à proprement dire ineptes qu’on leur livrait chaque jour ?
Ce confinement, à la justification manifestement frauduleuse (je rappelle ci-dessous les données) et de toute manière injustifiable, m’apparaissait sur le moment même comme un test d’obéissance, dont nous avons découvert depuis qu’il préfigurait les modalités diverses (ville d’un quart d’heure, ZFE...), auxquelles, sous des prétextes sanitaires et climatiques, le WEF nous préparait et nous voulait accoutumer. J’écrivais alors que, Molière nous ayant montré à quelle dégradation la peur de la mort peut amener l’homme, Knock était évidemment le préambule idoine à 1984.
En 2020, le covid a représenté :
- 2% des hospitalisations (3,7% au plus fort des crises) ;
- 2,2% des séjours en Île-de-France (la région la plus impactée) ;
- 3,6% des journées d’hospitalisation ;
- 5% des patients admis en soins critiques ( = soins continus + soins intensifs + réanimation) ;
- 11% des patients et 19% des journées en réanimation (sachant qu’on a «curieusement» et pour cette seule année intégré les soins continus au chiffre des réanimations ; sachant aussi que, de manière ahurissante, il était impossible de consulter et que la consigne était d’attendre d’étouffer pour appeler le samu) ;
- un taux de létalité de 0,6% chez les plus de 80 ans.
En France comme dans tous les autres pays européens, la mortalité de l'année 2020 standardisée (c'est-à-dire étudiée par tranches d'âges et non pas en données brutes) est au niveau de celle de l'année 2015 soit la septième année la moins mortelle de toute l'histoire de France. Quant à la mortalité de l'année 2021, elle au niveau de celle de 2018, la troisième la moins mortelle de toute l'histoire de France.
Il n’y a jamais eu de crise sanitaire.
22 février 2025
Pierre Duriot
22/2/2025
Vaccins : la lucidité uniquement aux États-Unis
Aux États-Unis, la prise en compte par l’équipe Trump, de plusieurs évolutions dans la santé des Américains, fait son chemin et au-delà des sempiternelles accusations de complotisme, des éléments tangibles apparaissent, comme la surmortalité actuelle dans la population générale, aux États-Unis, comme en Europe. Également, l’augmentation du nombre de pathologies, en particulier cardiaques, dans des groupes de populations ciblés et suivis, comme les militaires ou les pilotes d’avions professionnels. Pour ces derniers, les seuils d’admissibilité ont été abaissés, pour éviter que trop de pilotes ne se retrouvent cloués au sol pour des risques cardiovasculaires. Également, l’augmentation inexplicable de certains cancers, comme celui du pancréas, tout cela depuis la campagne de vaccination contre le Covid 19. Et aux États-Unis donc, on s’oriente vers un abandon pur et simple de ce vaccin qui, pour rappel, a été administré sans qu’il ait bouclé son processus habituel de certification. Il a déjà été interdit dans l’Idaho. En France, pas un journaliste professionnel ne s’est penché sur les surmortalités infantiles et dans la population générale, alors que le phénomène est parfaitement avéré. Dingue non ?
1 février 2025
À quand le procès du Covid ?
Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
- 31/1/2025 - « Les juges et l’assassin », livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, est une enquête sur les événements COVID et les implications du pouvoir dans la gestion de cette affaire. Bien entendu il y est relaté les épisodes de confusion des décisions sur les masques et les conduites à tenir, mais le plus scandaleux et qui devrait faire réagir, c’est l’affirmation, preuves à l’appui, que l’exécutif a violé la constitution en interférant fortement dans le domaine législatif. Il ne l’a pas fait par erreur mais sciemment. L’acte était pensé, médité, voulu. Ainsi il y est dévoilé qu’une note a été envoyée aux collaborateurs de l’Élysée, ainsi qu’au président de l’Assemblée nationale de l’époque. Cette note avait pour but de donner les consignes, entendez les éléments de langages réfléchis pour que personne ne soit inquiété judiciairement. Au lieu de parler librement, M. Ferrand a donc récité un texte écrit par les juristes de Macron. La séparation des pouvoirs a été délibérément violée dans l’unique but de protéger le pouvoir, non de faire éclater la vérité, ou de souligner les erreurs et faiblesses commises. Car après tout, la faute n’est pas un crime en soi, sauf si conscients de sa réalisation, les auteurs font tout pour la dissimuler et s’exonérer de rendre des comptes. C’est bien là le problème manifeste relevé par cette enquête. La réalité est que l’ensemble de la gestion a été un épisode totalement contraire à toutes les lois. L’obligation vaccinale : illégale, le confinement : illégal, les autorisations de sorties que l’on devait se signer soi-même : illégal, la contamination ou non selon que l’on prenait son café assis ou débout : sans fondement, l’annonce que les six millions de non-vaccinés allaient mourir dans l’année : sans fondement, la forme moins grave garantie par le vaccin : scientifiquement invérifiable, le masque imposé aux enfants dès six ans : torture totalement inutile, la négation des effets secondaires : irréaliste, le pass sanitaire/vaccinal : illégal, les achats de vaccins sans discussion, sans appel d’offre : illégal, les trains et les hélicoptères pour gérer les malades alors qu’ils n’ont représenté que 2 à 5 % de l’activité hospitalière : mise en scène, les vaccins arrivant par fourgons réfrigérés, avant d’arriver finalement en fourgons ordinaires : mise en scène, les tests Covid : inadaptés, les interventions de pseudos spécialistes sur le sort à réserver aux non vaccinés : incitation à la haine, la décision de ne plus accueillir les non-vaccinés dans les hôpitaux : illégal… et la liste est encore longue, des ignominies perpétrées pendant cet épisode… (...)
Le groupe Telegram du RPF :
27 janvier 2025
16 janvier 2025
Amygadala, conte véridique du Nouvel An (Souvenir)
Jean-Pierre Luminet
Il y a quelques jours, j’ai conduit mon véhicule dans un centre de contrôle technique, afin de renouveler le « pass » périodique obligatoire mis en place dès 1992 sous directive de la bien-aimée commission européenne, et permettant de circuler à peu près tranquillement durant deux ans sans se faire verbaliser par les bien nommées « forces de l’ordre » pour un pneu légèrement usé ou quelque essuie-glace un tantinet voilé.
Ayant eu la bonne idée de quitter récemment l’encombrée métropole marseillaise pour m’installer dans la campagne provençale, tout – ou presque – y devient plus facile. Ledit centre de contrôle est lui-même situé dans la campagne, près de la bourgade de Saint-Andiol : un simple coup de fil, on vous répond tout de suite et il n’y a aucune attente pour prendre rendez-vous.
Le jour dit j’entre donc dans la petite échoppe. Il n’y a personne sinon le préposé, lequel ne porte, sainement dirais-je, pas de masque. Vous connaissez ma position sur la question et vous pensez bien que, dès lors que cela ne dérange pas autrui, je n’allais pas plaquer sur mon museau ce que j’ai toujours considéré comme une aberration sanitaire, et je laisse mes clés de voiture au préposé pour aller faire une promenade.
Trois quarts d’heure plus tard je reviens pour le diagnostic. Cette fois un autre client est présent dans la pièce : une femme, masquée. Elle me lance un regard réprobateur et m’enjoins de mettre mon masque. Je lui réponds poliment que je ne pense pas que cela soit nécessaire : moi-même scientifique, je me suis renseigné sur la question auprès de sources crédibles, et hormis en salle de chirurgie il appert que le masque porté partout et en permanence n’est pas bon du tout pour la santé ; ce n’est en réalité qu’un dispositif vestimentaire permettant au pouvoir de s’assurer du degré d’obéissance de la population. La cliente me répond qu’elle ne veut rien savoir de tout cela et que je dois mettre le masque parce que c’est obligatoire. Je lui réponds que ce qui est obligatoire n’est pas forcément pertinent. De plus en plus énervée elle me rétorque qu’elle a eu le COVID. Je m’apprête donc à lui expliquer qu’a fortiori et en toute logique elle est parfaitement immunisée et ne doit plus avoir aucune crainte d’être contaminée. Mais avant que j’ouvre même la bouche je vois une lueur de panique s’allumer dans son regard, elle prend soudain son sac et quitte la pièce … en courant !
Après avoir réglé ma note avec le préposé (toujours lui et moi sans masque) je ressors de la cahute et j’aperçois la gente dame réfugiée à une vingtaine de mètres, dans le froid de l’hiver. Je lui fais un bref salut, mais en évitant de me regarder elle retourne dans l’échoppe après une grande boucle d’évitement du pestiféré.
Il est vrai que dans quelques billets de l’an dernier je m’étais montré assez virulent envers ce genre d’attitude, n’hésitant pas à qualifier ces personnes de covidiots, de moutons morts de trouille, paniquards décérébrés et autres amabilités, ce qui avait bien évidemment fait largement polémique. À juste titre d’ailleurs : je suis toujours prêt à reconnaître les excès où peuvent m’entraîner ma passion pour l’autonomie de la pensée, l’exercice de l’intelligence, et surtout la résistance à d’iniques autorités toujours plus soucieuses de contrôler chaque parcelle de nos vies en nous faisant très hypocritement croire que c’est pour notre bien. Mea culpa : je ne me permettrai plus de remarque désobligeante envers ces gens qui restent masqués là où ce n’est pourtant pas (encore) obligatoire, par exemple ceux qui circulent seuls au volant de leur voiture, qui marchent dans des rues désertes, ou encore la boulangère en face de chez moi qui m’a dit il y a deux mois qu’elle resterait masquée jusqu’à la fin de ses jours (chez qui je n’ai depuis plus remis les pieds, son pain semi-industriel étant de toute façon immonde). J’ai réfléchi, j’ai révisé mes souvenirs de biologie, me suis mieux documenté, et j’ai fini par comprendre que cette gent obstinément et irrémédiablement masquée, rassemblant sans discrimination toutes les couches sociales et intellectuelles, y compris chez des proches, amis et collègues pour lesquels j’avais et puis encore avoir de l’estime, ne pouvait pas être composée uniquement d’abrutis finis, de crétins à qui l’on pouvait faire croire n’importe quoi. J’ai compris que cette gent n’est pas seulement victime d’un pouvoir et de médias manipulateurs délivrant en permanence des consignes sadiques et délirantes, mais qu’elle est surtout et essentiellement victime d’une fonction biologique jadis sauveuse de vies, mais qui est aujourd’hui dépassée, obsolète et anachronique (sauf en temps de guerre ou de cataclysme naturel) : l’amygdala.
Petit détour donc par la biologie (et un peu Wikipedia). Le complexe amygdalien est un noyau en forme de petite amande – en latin : amygdala – situé dans la région antéro-interne du lobe temporal, en avant de l'hippocampe et sous le cortex péri-amygdalien. Faisant partie du système limbique, il est impliqué dans la reconnaissance et l'évaluation de la charge émotionnelle des stimuli sensoriels, dans l'apprentissage associatif et dans les réponses comportementales et végétatives associées en particulier à la peur et à l'anxiété. L'amygdala fonctionne comme un système d'alerte. Elle a bien entendu d’autres fonctions complexes, je simplifie donc ici à outrance, mais sa fonction première est incontestablement de décoder les stimuli qui pourraient être menaçants pour l'organisme. Elle participe essentiellement à ce que les neurologues (notamment Joseph Ledoux dans les années 1990, pionnier de ce type de recherches) appellent le « circuit de la peur ».
Or, reportons-nous 50.000 ou 100.000 ans en arrière, à l’aube d’Homo Sapiens. La vie de nos lointains ancêtres était pleine de dangers ; contrairement à beaucoup d’animaux ils n’avaient pas de crocs, pas de griffes, pas de piques, pas de poison... Ils couraient dans la savane moins vite que le lion, grimpaient dans les arbres moins vite que l'ours ou la panthère, nageaient moins vite que le crocodile... Ils étaient nus, désarmés, fragiles... Ils devaient être continuellement sur leurs gardes. Et pour cela, la sélection naturelle et l’évolution avait fabriqué dans leur cerveau un petit organisme : l’amygdala. Sa fonction était de faire réagir Homo Sapiens instantanément pour échapper au danger. Au moindre bruissement suspect dans les hautes herbes, l’amygdala court-circuitait les liaisons neuronales avec le cortex préfrontal, siège de l’intellect, de la réflexion et du langage... Ce n’était en effet pas le moment de réfléchir ou de discuter lorsque le tigre machairodus attaquait … ou que l’on croyait qu’il allait attaquer. L’amygdala a donc sauvé des millions de vies dans la préhistoire.
Mais avez-vous vu beaucoup de tigres dans nos rues de nos jours ? Non, même si de louches et peu rassurants individus traînent çà et là dans certains quartiers à risque (où les forces supposées de l'ordre sont notoirement absentes). Mais l’amygdala, elle, est toujours là... Il suffit d’engendrer la peur ou un simulacre de peur pour que l’amygdala entre en action automatique, faisant cesser en nous la réflexion, la logique, la pensée rationnelle, et nous faisant adopter un comportement moutonnier et obéissant. Quand son cerveau court-circuité par l’amygdala ne peut plus réfléchir rationnellement, l’individu est en effet soulagé qu’on lui dise ce qu’il doit faire pour survivre...
Voilà pourquoi même les individus les plus soumis à la peur pourtant extrêmement faible de mourir du Covid si on n'est pas en état de comorbidité – peur instrumentalisée par les pouvoirs et les médias complices – ne sont pas tous des abrutis, des crétins, des covidiots. Ils sont en réalité victimes :
1) d’une survivance biologique du passé qu’ils ne contrôlent pas : l’amygdala,
2/ de gens pervers et mal intentionnés qui, eux, contrôlent parfaitement l’esprit des autres par les techniques d’ingénierie sociale.
Dans un futur billet je reviendrai plus en détail sur ces techniques d’ingénierie sociale, à travers l’analyse des expériences de Milgram. On en a certes déjà beaucoup parlé sur les réseaux sociaux, mais le sujet est d’une telle pertinente et terrifiante actualité qu’on n’insistera jamais assez dessus. D’autant qu’il est curieusement porteur d’espoir pour les personnes qui, comme moi, ressentent de plus en plus durement et presque intolérablement une défaite de la pensée et des valeurs qui nous animent : toutes les expériences de Milgram et leurs variantes montrent que 10% des sujets sont totalement réfractaires aux manipulations mentales. Ceux-là seuls peuvent tenter d’éclairer, par la raison et surtout sans les brusquer, les 20% d’hésitants susceptibles de changer d’opinion (les 70% restants, totalement court-circuités par l’amygadala, étant irrécupérables).
Cette faible minorité de 10% est à première vue décourageante. Elle engage cependant à méditer et à mettre en œuvre cette phrase de Margaret Mead, anthropologue de renommée mondiale (dont je me sens d’autant plus proche qu’elle avait décroché en 1970 le prix UNESCO Kalinga de culture scientifique, lequel vient de m’être attribué cette année 2021) :
« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de personnes peuvent changer le monde. En fait, c’est toujours ainsi que le monde a changé. »
Haut les cœurs pour 2022 !
29 décembre 2024
Dérive totalitaire
Alexis Haupt. Philosophie
28/12/2024
N’empêche, je crois que l'on sous-estime une chose : l'état d'esprit des gens qui ont été ostracisés pendant le Covid. Ostracisés pour avoir prôné la pharmacovigilance, ostracisés pour avoir eu raison avant tout le monde, ostracisés pour avoir défendu le droit de disposer de leurs corps, ostracisés pour s'être opposés à un État totalitaire. En effet, une véritable cassure s'est produite dans l'esprit de ces personnes. Une cassure qui se réparera petit à petit avec le temps mais qui ne disparaîtra jamais totalement. À nouveau, je crois que les personnes qui ne se sont pas opposées au totalitarisme ne mesurent pas à quel point le propos que je soulève ici est réel et sérieux. À titre d'exemple, pour ma part, en plein Covid, c'est-à-dire en pleine dérive totalitaire et en plein délire collectif, je m’étais préparé. Préparé au pire. En effet, après m'avoir interdit de m'asseoir aux terrasses de café ou d'entrer dans les restaurants avec les "gens normaux" au motif que j'étais un "pestiféré", après m'avoir interdit de prendre les transports en commun pour la même raison, de visiter des proches à l’hôpital pour la même raison, de rentrer dans certaines galeries marchandes ou grandes surfaces pour la même raison, etc., et en entendant le discours de haine de certaines personnes – politiques, chroniqueurs ou journalistes – vis-à-vis des non-vaccinés (rappelons-nous qu'on voulait nous "emmerder", venir nous chercher à notre domicile, nous laisser mourir dans notre coin si nous avions besoin de soins urgents ou d'être opérés, nous mettre dans des camps...), eh bien après tout cela disais-je, je m'étais préparé au pire. À un moment, j'avais intériorisé l'idée : "eh bien soit, si après m'avoir retiré tous mes droits et libertés fondamentales, ils veulent me mettre en prison, qu'ils m'y mettent".
Je ne sais pas si les gens mesurent la gravité de ce que je j'explique ici. Je suis en train de dire que je m'étais préparé psychologiquement à ce que l'on m'incarcère éventuellement. Bref, tout cela pour dire que l'on ne revient pas d'une telle période comme si de rien n'était. Aujourd'hui, les personnes non-vaccinées portent en elles des blessures que les autres n'ont pas connues et ne comprendront par conséquent jamais. De ce point de vue là, le Covid ne terminera jamais. Cette période est inscrite dans la chair de nombre d'êtres humains et je suis heureux de faire partie de ceux qui ont tenté et qui tentent encore aujourd’hui de mettre des mots sur ce qu'ont vécu ces humains qui ont été de véritables boucs émissaires. Que ce soit pour les aider à aller mieux ou pour leur rendre justice. Ce que nous avons vécu nous autres les "non-vaccinés" est d'une extrême gravité, mais cela nous donne un avantage certain sur la majorité de la population, laquelle vit encore dans le "déni de tyrannie" ou dans le médiavers : nous savons ce dont sont capables nos dirigeants, nos médias et l’élite ploutocratique qui les pilote. Nous connaissons leurs intentions et leur degré de malveillance. C'est là un avantage certain ! Eh oui, tout compte fait, il y a bien une choses contre laquelle nous sommes vaccinés, nous autres les "complotistes" : leur propagande, leur manipulation et leurs mensonges.
24 décembre 2024
Christian Dubuis Santini
- 24/12/2024 - Rappelez-vous le nombre de débiles mentaux qui se prenaient pour des sachants alors qu’ils ne faisaient que répéter comme les grosses truffes qu’ils sont le marketing de Pfizer (tout en s’imaginant qu’ils sont du côté de LA science…), les demeurés… les inénarrables buses…
14 décembre 2024
Christian Dubuis Santini
- 14/12/2024 - Arrêt de la Cour suprême des États-Unis : les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus d'appel et toutes les voies d'appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de cent autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d'une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l'hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d'avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
13 décembre 2024
Jean-Pierre Luminet
- 13/12/2024 - Un long billet polémique, merci à qui le lira jusqu'au bout (et ne se répandra pas en insultes).
Les médias européens, et plus particulièrement français, restent plus que discrets sur le rapport officiel de la Chambre des Représentants américaine (557 pages) paru il y a quelques jours, traitant de la la pandémie de 2020-2021, de son origine et de sa gestion au niveau mondial.
Non seulement il est avéré que le virus résulte bel et bien de bricolages (pourtant interdits) sur les « gains de fonction » menés par l’agence EcoHealth Alliance Inc. ; non seulement il appert que la gestion de crise a été conduite par des agences qui n’avaient pas les fonctions ni les compétences appropriées et qui ont forcé des millions de personnes à des contraintes inadaptées et nocives (port obligatoire de masques y compris pour les enfants, confinements, passes sanitaires, interdictions diverses et variées dont beaucoup dignes d’Ubu, etc.) ; mais des milliers d’études scientifiques indépendantes (c’est-à-dire non dévoyées par Big Pharma) ont prouvé que les pseudo-vaccins n’ont empêché ni la propagation ni la transmission du virus.
Or que voit-on encore quatre ans plus tard ? Les autorités (en France, le ministère de la santé, l’assurance maladie, etc.) continuent à couiner pour inciter les individus à se faire injecter un produit qui n’est autre qu’une fraude criminelle, dont les effets secondaires (myocardites, thromboses, dépressions, crises d’angoisse, etc.) font, à moyen et long terme, bien plus de ravages que la pandémie elle-même, notamment chez les jeunes.
Notamment sur Facebook, on reçoit donc tous les jours des publicités des agences gouvernementales incitant à la vaccination, nous préparant psychologiquement à une prochaine pandémie et aux mesures de rétorsion programmées dans le cerveau de psychopathes.
Pourtant, dans la quasi-totalité des pays autres que la France, les analyses objectives ont démontré que les pays qui n’ont pas appliqué les mesures drastiques anti-covid (en réalité, des mesures de contrôle social, comme je l’ai écrit maintes fois dans mes billets de l’époque et développé dans mon "Journal idéoclaste" de 2023) ont eu un taux de mortalité plus faible – lequel est de toute façon resté très bas, voire inférieur à celui de certaines grippes saisonnières, et qui n’a touché pratiquement que les personnes déjà de santé précaire.
Or, comme pour réagir au rapport américain accablant pour les autoproclamées autorités sanitaires, en France l’Institut Pasteur (par qui est-il financé ?) est le seul à avoir réagi en sortant une « étude » (mot adoré des journalistes mainstream) prétendant exactement le contraire. Mais tous les gens un tant soit peu informés savent qu’en France (au moins), les statistiques ont été totalement biaisées en comptant « mortes du Covid » toutes les personnes mortes d’affections diverses (cancers, crises cardiaques, etc.) « pendant » ou « avec » le Covid, alors que ce dernier n’y était strictement pour rien. Manquant de la plus petite once d'honnêteté, les merdias français commandités ne songent plutôt qu’à taper sur l’infâme « complotiste » Robert J. Kennedy junior, qui promet de faire le ménage dans toute cette gadoue.
Pour moi, le plus affligeant est de voir défiler quasiment chaque jour (et cela use maintenant mon infinie patience depuis des années), sur le site Futura Sciences – « 1er média web dédié aux sciences », censé comme son nom l’indique délivrer des informations objectives, raison pour laquelle j’avais accepté d’en être l’un des parrains lors de sa création il y a une vingtaine d’années –, des titres racoleurs, systématiquement destinés à distiller la peur. Ainsi, dans la rubrique « Futura Santé », les « journalistes » (formés à quoi ?) bombardent leurs lecteurs de titres effroyables nous préparant au pire. Pour ne prendre que ceux des derniers jours :
« Un super choléra en marche : cette inquiétante nouvelle souche met la planète en alerte »
« Grippe aviaire : nous ne sommes qu’à une mutation d’une transmission entre les humains : le pire scénario »
« Covid-19 : le variant XEC va-t-il déclencher la prochaine grande vague mondiale ? »
« Une mystérieuse maladie sème la peur en RDC : déjà 79 victimes et des centaines de personnes infectées ! »
etc. etc.
Sans parler, en remontant plus loin dans le temps, de leurs centaines de titres accablant d’injures non argumentées tous les professionnels de santé non alignés sur la doxa sanitaire (Raoult bien sûr, leur principale tête de turc, Perronne, Montagnier, etc.), démolissant tous les travaux relatifs à l’efficacité de l’ivermectine et autres alternatives à Big Parma, promulgant les fausses études pro-système parues dans des revues scientifiques et se gardant bien d’en mentionner ultérieurement la tricherie lorsque que celle-ci a été avouée y compris par les revues qui les avaient publiées, etc. etc.
Je préfère m’abstenir de commenter leur position primairement anti-russe en toutes choses, assortie de titres tous plus débiles les uns que les autres (« combien de morts une bombe atomique russe ferait-elle en tombant sur Paris », etc.). Où est la science là-dedans ? Futura n’est plus qu’un organisme de propagande géopolitique à la solde du mondialisme anglo-saxon et de ses valets occidentaux, sous la férule européenne de l’immonde et corrompue von der Leyen.
Il en va de même avec les sujets traitant du climat : un discours orienté dans un seul sens, tout questionnement ou interrogation étant jugé climatosceptique sans autre forme de procès, donc d’extrême droite, complotiste, trumpiste, que sais-je encore.
Je reconnais quand même que certaines rubriques sont heureusement moins touchées que d'autres, notamment celles concernant les sciences de l’univers et la physique fondamentale. Même si les titres sont souvent trop racoleurs à mon goût, les contenus, essentiellement ceux rédigés par Laurent Sacco, sont de très grande qualité. Il est vrai qu’il est plus difficile d’idéologiser ces secteurs de la recherche scientifique.
Si vous pensez qu’en vieillissant je déraille et suis le seul à critiquer le dévoiement de Futura Sciences, voici un tout petit échantillon d’avis que l’on trouve sur le site « TrustPilot » – une avalanche de la plus mauvaise note, à savoir « une étoile », sur les 5 possibles :
* Journalisme purement racoleur, du style "putaclic", zéro pointé niveau scientifique.
* À plusieurs reprises le site déforme les news scientifiques afin de les rendre alarmistes.
* Si le problème avec ce "journal" ne portait que sur leurs titres racoleurs, on pourrait leur pardonner. Sauf que le contenu est à la hauteur de leur médiocrité. Souvent faux, erroné, sources non mentionnées, qui ressemble plus à un condensé de désinformation qu'à un média traitant de sujets de science.
* À l’origine, ce site était une vulgarisation scientifique sérieuse, factuelle, honnête. Depuis, Futura est devenu un site aux titres racoleurs, visant le sensationnel, aux rubriques volontairement alarmistes. Les données sont non étayées, invérifiables. Ceci noyé sous une pluie de fenêtres publicitaires. Quelle fausse image de la science !
* Futura devient à la science ce que TikTok est à l'information.
Etc.
Mon blog Luminesciences est hébergé depuis douze ans par Futura, ce dont au début je leur étais redevable (et réciproquement, mon blog ayant été leur ballon d’essai). Ma patience est maintenant à bout, il est temps que je m’arrête, ou que je déménage.
12 décembre 2024
Christian Dubuis Santini
- 12/12/2024 - Ce n’était pas un vaccin, donc les amendes et les sanctions sont annulées. Quand nos cousins transalpins montrent la voie aux français : Forza Italia !
☐
Sans compter qu’un produit génique expérimental qui n’empêche ni de contracter la maladie ni de la transmettre ne saurait se couvrir du nom de "vaccin" sans commettre une fraude lexicale évidente. Céder sur les mots c’est avoir déjà cédé sur les choses.
- 12/12/2024 - Ce n’était pas un vaccin, donc les amendes et les sanctions sont annulées. Quand nos cousins transalpins montrent la voie aux français : Forza Italia !
☐
Sans compter qu’un produit génique expérimental qui n’empêche ni de contracter la maladie ni de la transmettre ne saurait se couvrir du nom de "vaccin" sans commettre une fraude lexicale évidente. Céder sur les mots c’est avoir déjà cédé sur les choses.
10 décembre 2024
« UN COMPLOT À CIEL OUVERT ? »
Jean-Dominique Michel
- 5/12/2024 - Avec son art de la synthèse sourcée et factuelle, JEAN-DOMINIQUE MICHEL radiographie ici la guerre menée contre les populations : chaos insensé ou asservissement programmé ?
CHAPITRAGE :
0:48 Les trois hypothèses :
cafouillage, corruption, contrôle généralisé > coup d’État planétaire
4:04 Plans vs pandémie = Plans vs terrorisme
8:53 Le complexe industriel de la censure
14:24 Militarisation des médias ?
21:35 Guerre de 5ème génération
22:59 Coup d’État, hypothèse ou constat ?
27:38 Qui ? Comment ? La tétée
32:19 Nazis recyclés ?
33:56 Trois livres de Jean-Dominique Michel
35:07 Complo-sceptiques ?
37:50 Que faire maintenant ?
Interview par KAro, montage Michel Caulea
Cliquer sur l'image ↴
- 5/12/2024 - Avec son art de la synthèse sourcée et factuelle, JEAN-DOMINIQUE MICHEL radiographie ici la guerre menée contre les populations : chaos insensé ou asservissement programmé ?
CHAPITRAGE :
0:48 Les trois hypothèses :
cafouillage, corruption, contrôle généralisé > coup d’État planétaire
4:04 Plans vs pandémie = Plans vs terrorisme
8:53 Le complexe industriel de la censure
14:24 Militarisation des médias ?
21:35 Guerre de 5ème génération
22:59 Coup d’État, hypothèse ou constat ?
27:38 Qui ? Comment ? La tétée
32:19 Nazis recyclés ?
33:56 Trois livres de Jean-Dominique Michel
35:07 Complo-sceptiques ?
37:50 Que faire maintenant ?
Interview par KAro, montage Michel Caulea
24 novembre 2024
Une dictature nommée démocratie – Chroniques de la Covidofolie
Adina de Souzy
« Les paroles s’envolent, les écrits restent. » Rédigé au jour le jour sur Twitter, ce livre est le reflet vivant de ce que nous avons vécu pendant la « pandémie ». À travers ses messages lucides, caustiques et drôles pour la plupart, Adina de Souzy nous livre un témoignage implacable, qui confronte le récit officiel à son tissu vertigineux de contre-vérités.
À lire et à conserver pour comprendre comment une démocratie s’est transformée en tyrannie en quelques mois. Notre devoir est de lutter contre cette propagande mortifère, et de répandre l'étincelle, le sentiment, la conscience qu'une vie meilleure est à notre portée. Ce n'est pas le moindre des enjeux d'Une dictature nommée démocratie.
Artiste peintre et restauratrice d'œuvres d'art, Adina de Souzy est aussi une femme engagée. La liberté sous toutes ses formes lui tient d’autant plus à cœur qu'elle a vécu son enfance dans la Roumanie communiste du dictateur Ceausescu.
Elle n’imaginait pas retrouver dans le pays des droits de l’homme les mêmes mécanismes du totalitarisme, qui, selon elle, s’installe lentement mais sûrement, et s'est accéléré grâce à l'opportunité de la crise Covid-19.
Pour commander le livre, cliquer sur l'image
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