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Affichage des articles dont le libellé est COVID. Afficher tous les articles
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16 mai 2024

Vincent Verschoore

Le retournement de veste de la star médiatique américaine, Chris Cuomo, sur l'usage de l'ivermectine face au Covid, va faire hurler les covidistes, mais illustre la vaste escroquerie menée par l'industrie pharmaceutique et ses affidés politiques, médiatiques et médicaux.
Diabolisée dès le début via toutes sortes d'influenceurs tel Cuomo, malgré une longue et positive histoire et un prix Nobel, l'ivermectine se trouva de facto interdite afin de laisser toute la place aux molécules chères et, bien sûr, aux vaccins expérimentaux.
Cuomo, qui utilise lui-même l'ivermectine car souffrant de Covid long (malgré sa multiple vaccination), sur avis de ses médecins, s'est donc rendu compte, certes trop tardivement, que le narratif covidiste avait plus à voir avec la santé des labos que de la population. Et il pose la question : pourquoi les médecins et autres "spécialistes" qui savaient que l'ivermectine ne pose aucun risque (si utilisée correctement bien sûr) et a un effet thérapeutique, n'ont rien dit.
La réponse me semble évidente : l'ivermectine n'appartient à personne et donc ne rapporte rien. Évidemment j'ignore si Cuomo est de bonne foi, ni dans quelle mesure de nombreux influenceurs covidistes furent dupés plutôt que simplement achetés, mais il n'était pas compliqué de percer le narratif mensonger dès lors que l'on possède un brin d'esprit critique. Ce qui, en effet, n'est pas spécialement l'apanage des habitués des plateaux médiatiques, et pour cause.

14 mai 2024

Vincent Verschoore

14/5/2024 - Nikolaï Petrovsky est prof à l'université d'Adelaïde et directeur d'une société de développement de vaccins, y compris Covid.
Voici ce qu'il dit sur son compte LinkedIn, suite à l'annonce d'un dépôt de plainte contre AstraZeneca :
"Il faut s'attendre à ce que les litiges liés aux lésions provoquées par le vaccin COVID-19 se multiplient au cours de la prochaine décennie. Cela va malheureusement nuire à la confiance de la communauté et affecter indûment l'adoption d'autres vaccins. La manière inutilement agressive dont les vaccins COVID-19 ont été utilisés dans les pays occidentaux, où toutes sortes de mandats ont été imposés en dépit des preuves évidentes que ces vaccins n'avaient aucun impact matériel sur la transmission communautaire et les vagues d'infection, ne fera qu'aggraver les réactions négatives de la communauté.
Pour minimiser les dégâts, les décideurs politiques concernés doivent admettre qu'au moment où ils ont imposé ces vaccins, ils ne savaient pas vraiment si ces vaccins étaient vraiment sûrs et s'ils avaient une efficacité durable, mais qu'ils espéraient simplement que tout irait pour le mieux. Il leur sera difficile de le faire."
Ah ça, c'est sûr. Von der Leyen n'a toujours pas craché le morceau, et tous ceux ayant pris le pognon n'ont aucune intention de le rendre. Tout comme ceux ayant hurlé (et hurlant encore) avec les loups par ignorance, par intérêt et/ou par conformisme social, vont avoir beaucoup de mal à reconnaître quoi que ce soit, préférant toujours le dénigrement et la censure à la froide réalité. ↴


8 mai 2024

Les Français en petite santé : l’épidémie de coïncidences s’étend

H16

8/5/2024 - Manifestement, on n’a pas encore fini de payer la période des confinements, loin s’en faut, et l’hystérie sanitaire qui a pris place en France et dans les pays occidentaux entre 2020 et 2022 continue de présenter sa facture aux populations.

Ici, il ne s’agit pas seulement d’économie : cette facture-là est déjà connue, se traduit en centaines de milliards d’euros et on se doute déjà qu’elle ne sera pas remboursée sans grande douleur via des symphonies de ponctions écrites par les Mozart de la finance.

Ici, on parlera aussi de la facture sanitaire, du bilan de santé des Français : il n’est pas bon du tout.

C’est ainsi qu’on observe, depuis la période des confinements, une hausse marquée des suicides chez les jeunes, ceux qui, normalement, ont la plus forte pulsion de vie, dont le futur, vierge, est encore à écrire et qui ont le plus d’opportunités dans un monde qui n’a jamais été aussi riche.

Il faut dire que la période passée n’a pas vraiment aidé les adolescents et les jeunes adultes d’avoir été enfermés, coupés de vie sociale, d’avoir subi les messages anxiogènes permanents de la part des politiciens, des médias qui les ont répétés servilement voire, pire encore, de leurs propres parents – pas fins à répéter les âneries entendues sur les médias de grand chemin. Et le fait que des messages anxiogènes continuent d’être distribués par les mêmes canaux n’arrange rien.


En fait, tout semble montrer que les mesures gouvernementales prises pour lutter contre la pandémie n’ont pas fonctionné, et que, pire encore, elles ont été largement contre-productives.

Sur le plan économique, l’état général des finances françaises montre que les mois de confinement ont ruiné l’économie française.

Les actuelles fanfaronneries grotesques du Bruneau de Bercy alors que la France peine franchement à décoller (0,2% quelle misère) ne masquent absolument pas le désastre qui se profile et les têtes allongées que font les financiers à Bercy lorsqu’il s’agit de rouler la dette actuelle, devenue colossale sous les bons soins de leur actuel patron et grâce à la direction suicidaire impulsée par Macron.

Sur le plan sanitaire, ces confinements furent un fiasco qui n’a absolument rien empêché. C’est maintenant acquis et seuls quelques imbéciles ou corrompus peuvent (timidement) encore prétendre le contraire : le “zéro COVID” était une parfaite clownerie qui a été abandonnée même par les (quelques) régimes plus totalitaires que la France.

Sur le plan social, ces confinements se sont logiquement traduits par des cascades de problèmes : explosion des violences intrafamiliales de tous types, dépressions, pertes de repères, décrochage scolaire, … C’est véritablement une catastrophe à bas bruit que les médias n’évoquent qu’assez peu de peur d’abimer le bilan du gouvernement (pourtant déjà désastreux) sur cette période.

Et tout ceci n’est absolument pas une impression d’échec ou un “sentiment de catastrophe” comme on dit de nos jours. En fait, une étude circonstanciée du CNRS évoque l’ampleur de cet échec et établit même de façon claire que d’autres pays comme le Japon, le Danemark ou Taïwan n’ont absolument pas suivi les choix drastiques du Président et de sa clique pour verrouiller le pays sans pour autant sombrer dans l’hécatombe, au contraire.


Mieux encore, cette étude démontre la véritable frénésie d’interdictions idiotes qui s’est emparée de la France bureaucratique à ce moment-là, montrant en filigrane l’état réel de la société française et la relation véritablement toxique qu’entretiennent les administrations et les institutions de pouvoir vis-à-vis des Français.

À ces constats d’une augmentation générale du mal-être chez les jeunes et dans une bonne partie de la société française – constats déjà amplement douloureux en eux-mêmes – s’ajoutent d’autres observations plus dramatiques, purement sanitaires celles-ci.

Il apparaît ainsi que les cancers pleuvent dru actuellement, même si c’est présenté comme un phénomène certes nouveau mais aussi progressif que prévisible, dans les tendances de la décennies, sans lien avec ce qui s’est passé les trois dernières années spécifiquement.

De la même façon, l’accroissement violent des problèmes cardiaques, et notamment chez les jeunes, ne peut être qu’un phénomène global lié au réchauffement climatique, au jardinage extrême, à une alimentation déséquilibrée, à la sédentarité, à Poutine, à l’extrême-droite ou à de furieuses coïncidences.


Du reste, si un lien semblait clairement établi, en 2021, entre vaccins expérimentaux et effets indésirables sévères, les observations sont depuis devenues si alarmantes qu’il a bientôt été absolument nécessaire ou bien de ne plus en parler autant que possible, ou, plus prosaïquement, de mettre les effets observés sur le compte d’absolument tout, y compris d’un virus qui a tant muté qu’il a pour ainsi dire disparu depuis plus de deux ans, mais surtout pas sur le compte des bricolages génético-chimiques de l’industrie pharmaceutique.

Pour encore beaucoup (surtout s’ils sont directement ou indirectement concernés), il ne peut y avoir aucun lien entre cette subite augmentation de la mortalité (que personne, du reste, ne conteste ni ne commente dans les journaux de grand chemin) et l’intéressante expérience médicale qu’ils ont subie (de gré ou de force) sur les trois dernières années.

Impossible : tout le monde sait que les industries pharmaceutiques sont au-dessus de tout soupçon, ne font jamais de bourdes et que jamais au grand jamais, le gouvernement ne prendrait de tels risques ou ne nous baratinerait ! Quant aux médias, tout le monde sait qu’ils ne mentent jamais et rapportent exclusivement des informations solides, vérifiées et pertinentes. Toujours.

Néanmoins, ceux qui continuent obstinément de compulser les données officielles et d’en tirer des statistiques solides, arrivent systématiquement aux mêmes conclusions : il y a bien eu une augmentation des arrêts cardiaques et des cancers chez les jeunes concomitante aux injections miracles.


En outre, cette vidéo détaillée du Dr Campbell, qui revient sur une étude japonaise (revue par les pairs) précisément sur ce sujet, corrobore les éléments précédemment avancés.

On trouvera toujours un “debunker” ou autre “fact checker” pour hurler, le petit poing fermé, que tout ceci est un complot, une erreur d’interprétation, surtout en France où les chiffres officiels sont soigneusement inaccessibles, mais malheureusement, les statistiques des pays plus ouverts (Japon, Grande-Bretagne par exemple) montrent bien qu’il y a effectivement une augmentation inquiétante des cancers, eh oui, le lien avec les vaccins est maintenant établi (et ceux qui couineront “corrélation n’est pas causalité” montreront juste qu’ils n’y comprennent rien).

Tout ça pour un vaccin médiocre, qui n’a jamais interrompu la transmission, et dont l’efficacité s’écroule si vite qu’elle devient négative en quelques mois, i.e. on augmente ses risques d’attraper la maladie qu’il est censé protéger (et c’est l’étude officielle de Pfizer qui parvient à ce résultat, au passage).

La conclusion est sans appel : les confinements n’ont servi à rien, les bricolages ARNm ont causé et continuent de causer plus de dégâts qu’ils n’ont protégé, et en France, les décisions qui ont toutes été de la responsabilité directe et indirecte de Macron et de ses gouvernements se sont toutes soldées par des catastrophes économiques, sociales et sanitaires.


https://h16free.com/2024/05/08/77513-les-francais-en-petite-sante-lepidemie-de-coincidences-setend

22 avril 2024

Effet accélérateur du vaccin anti-Covid Pfizer sur les cancers ?

Vincent Verschoore

22/4/2024 - Une telle hypothèse vaut excommunication immédiate par le clergé covidiste, mais une toute récente étude pointe un tel effet d'un adjuvant au nom barbare, présent dans ces produits afin de protéger l'ARNm injecté des défenses immunitaires.
Traduction de l'abstract :
"En raison de l'urgence sanitaire créée par le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, la mise en œuvre rapide d'une nouvelle technologie vaccinale était nécessaire. Les vaccins ARNm, qui font partie des nouvelles technologies de pointe, ont suscité un grand intérêt et suscité beaucoup d'espoir. Le potentiel de ces vaccins à prévenir les hospitalisations et les maladies graves chez les personnes présentant des comorbidités a récemment été remis en question en raison de l'affaiblissement rapide de l'immunité des vaccins. Des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que ces vaccins, comme beaucoup d'autres, ne génèrent pas d'immunité stérilisante, ce qui rend les personnes vulnérables aux infections récurrentes. En outre, on a découvert que les vaccins à ARNm inhibent des voies immunologiques essentielles, compromettant ainsi la signalisation précoce de l'interféron. Dans le cadre de la vaccination COVID-19, cette inhibition assure une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite.
Il est prouvé que l'ajout de 100% de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, ce qui suggère que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer. Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm modifiés à 100 % en m1Ψ, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification en m1Ψ afin d'éviter la suppression de l'immunité."
Plus de trois ans après le début de cette vaste vaccination expérimentale de masse, de désinformation et de censure baignée de corruption, et face à la très faible efficacité de produits générant par ailleurs de nombreux effets indésirables, la science se penche sur les mécanismes moléculaires à l'œuvre. Mécanismes qu'il aurait fallu évaluer "avant", mais l'hystérie politico-sanitaire et la corruption en décidèrent autrement.


https://zerhubarbeblog.net/

8 avril 2024

Pr Christian Perronne : "L'OMS est totalement infiltrée par les groupes privés !"


27 février 2024

Marc Amblard

Davantage de décès après Covid que durant la "pandémie". Notamment chez des gens jeunes. Les chercheurs sont perplexes. On ne comprend pas. On retourne le problème dans tous les sens mais aucune explication n'apparaît.
Mystère et boule de gomme...
Peut-être le réchauffement climatique, allez savoir...

14 février 2024

Vaccins covid : de l’intolérance

Gérard Maudrux
14/2/2024

« L’intolérance est une faiblesse d’esprit. » Vauvenargues

LES FAITS

Dans cette crise Covid, j’ai été frappé et attristé de voir émerger les plus vils défauts incontrôlés de la race humaine. On attend des hommes politiques et des médecins qu’ils comprennent l’opinion des autres, même si ce n’est pas la leur, qu’ils comprennent les craintes des autres, qu’ils aient un peu de compassion, qu’ils expliquent au lieu d’insulter. Rien de tout cela. Pire, ils sont très fiers de leurs défauts, l’affichant sur les réseaux sociaux et sur les plateaux télé.

Je veux parler du comportement de certains à l’égard de ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner avec un produit totalement nouveau, n’ayant pas fait ses preuves, et surtout dont on ne connaissait absolument pas les effets à moyen et long terme.

On a commencé par les traiter d’» antivax », mot devenu une insulte au même titre qu’assassins, alors qu’ils étaient à jour de tous leurs vaccins, étaient prêts à se faire vacciner comme ils le font chaque année pour la grippe, mais qu’ils voulaient que l’on réponde à leurs questions avant de franchir le pas : qu’est-ce que cela peut faire d’autre ? Au lieu de répondre à ces questions, ne pouvant le faire, on les a agressés, fait passer pour des parias, des nuisibles, des ennemis de la société.

Ce qui m’a frappé dans ce conflit entre vax et non vax, c’est que le conflit ne venait que d’un côté. On a vu des vax, beaucoup de vax, agresser les non vax, mais personnellement, je n’ai pas vu l’inverse. Je ne me suis jamais fâché avec un vax, ni même critiqué. C’est leur choix, leur problème, ce n’est pas le mien, et j’ai toujours respecté leur choix. Par contre j’en ai plaint beaucoup qui l’on fait sans consentement, car contraints, pour survivre, non médicalement mais socialement.

Je ne suis pas le seul à avoir fait cette constatation, une étude a même été faite sur le sujet, publiée dans Nature. Cette étude danoise a pour titre « Attitudes discriminatoires à l’égard des personnes non vaccinées pendant une pandémie mondiale ». Les résultats de l’étude sont basés sur une évaluation de

15 233 personnes, dans 21 pays différents. Le diagnostic est sans appel : conflit à sens unique, ne venant que d’un côté.

« Nous montrons ici que les individus vaccinés contre le COVID-19 expriment des attitudes négatives à l’égard des individus non vaccinés sous la forme d’antipathie, de stéréotypes, de soutien à l’exclusion des relations familiales et de soutien à la suppression des droits politiques… La recherche a révélé que les personnes vaccinées expriment des attitudes discriminatoires à l’égard des personnes non vaccinées à des niveaux aussi élevés ou supérieurs que des attitudes discriminatoires à l’égard d’autres cibles courantes comme les immigrés, les toxicomanes, les détenus. Ce préjugé tend à être unilatéral et ce dans tous les pays, à l’exception de la Hongrie et de la Roumanie ».

En conclusion les auteurs suggèrent que « les autorités devraient éviter d’alimenter une profonde animosité entre les citoyens lors de la gestion de grandes crises sociales, telles que la pandémie de COVID-19 ».

LES RAISONS

Qu’est-ce qui a fait que ces politiques, ces médecins et ces journalistes traitent une partie des Français comme les pestiférés ou des lépreux et fassent ce retour intellectuel dans le XIVe siècle pour la peste noire ou en 1900 avec les lépreux ?

Ignorants, stupides ? Oui. Ces intolérants n’avaient qu’un seul motif pour justifier leur intolérance : vacciner pour éviter de transmettre la maladie aux autres. Or cette affirmation ne reposait sur aucune base scientifique, ce qui n’a pas empêché l’Académie de médecine, l’Ordre des médecins, la Haute Autorité de Santé de se joindre au concert d’ignorants. Il suffisait de lire l’étude préliminaire de Pfizer pour constater que cela n’avait pas été testé, et d’observer pour constater que d’une part cela n’empêchait pas d’attraper la maladie, et que malade, cela n’empêchait pas de transmettre. Soit ils ne savaient pas, et leur discours agressif était inacceptable, soit ils savaient, et leur discours était malhonnête. Pourquoi ne sont-ils pas poursuivis par l’Ordre pour avoir tenu un discours mensonger ?

Là où la malhonnêteté de tous est sans appel, c’est quand on a demandé aux soignants vaccinés et malades de continuer à exercer. On a empêché des soignants non vaccinés, non positifs d’exercer au motif fallacieux qu’ils pouvaient contaminer, tout en poussant des soignants contaminants à continuer de travailler. Où est la logique médicale qui aurait dû être dénoncée par l’Académie et l’Ordre ? Point besoin d’être médecin non plus pour constater la stupidité de ces propos, de ces actes. Ils ont validé cette escroquerie intellectuelle. On a volontairement, en toute connaissance de cause, condamné à une mort professionnelle nombre de soignants dévoués, alors qu’on en manquait ! Au nom de la santé publique ? Non, au nom de la pure bêtise. Ils ont délibérément poussé à des mutilations quand on constate que 65% des EI sont survenus chez les moins de 65 ans, population qui n’avait pas plus à craindre qu’une bonne grippe saisonnière et pour laquelle on n’oblige pas à vacciner. Les premières statistiques venant de Wuhan montraient clairement que la population à risque était âgée, mais qu’il fallait aussi des comorbidités pour que le virus soit létal.

Ces intolérants devraient lire Voltaire et son traité de l’intolérance de 1763 : « Si vous voulez qu’on tolère ici votre doctrine, commencez par n’être ni intolérants ni intolérables », ou encore : « Rien n’est plus dangereux que lorsque l’ignorance et l’intolérance sont armés de pouvoir », et encore : « l’intolérance a couvert la terre de carnage.”

MEA CULPA

Ces fans de l’inquisition, qui rêvent de brûler ceux qui ne font pas partie de leur religion devraient lire Le Monde Diplomatique de février 2024, qui titre : « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur ». 
Seront-ils capables de reconnaître un jour qu’ils se sont trompés ? Je ne le crois pas, il leur manque pour cela une case dans leur cerveau. Vous verrez qu’ils sont prêts à recommencer demain, leur caractère est dans leurs gènes.

“Face à l’intolérance et à la haine, il n’y a pas de transaction possible, pas de compromission possible, pas de débat possible.” Discours de Jacques Chirac à Rennes le 23 Avril 2002.

LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ.

Ces fanatiques ont bafoué les valeurs de la France.

Liberté ? Ils ont bafoué la liberté de réfléchir, de penser, de débattre, de choisir, d’opinion, d’expression, de décider… Cette secte prône même la prison pour toutes ces libertés (Art 4).

Égalité ? L’égalité des droits, c’est aussi le droit pour chacun d’être différent et les excès de l’égalitarisme conduisent au totalitarisme, à la dictature.

Fraternité ? Ne parlons plus de fraternité quand on monte les Français les uns contre les autres, quand on monte des professionnels les uns contre les autres, quand on détruit des familles. Pour les médecins, je citerai toujours Voltaire et son traité sur la tolérance : « Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères”.

13 février 2024

Comment une démocratie s'est transformée en tyrannie en quelques mois

Adina de Souzy

Chers amis, je souhaite vous annoncer la sortie de mon livre témoignage « Une dictature nommée démocratie » un livre écrit sous la forme d’un journal tenu ici sur Twitter. Certains d’entre vous s’y retrouveront.

Il est essentiel de ne pas oublier ce que nous avons vécu ces quatre dernières années. Pourquoi ?!
Pour comprendre cette période folle, comprendre comment en si peu de temps, une démocratie s’est transformée en dictature.

Il est évident que nous avons vécu la plus grande entreprise d'ingénierie sociale associée au plus grand scandale sanitaire de toute l’histoire de l’humanité qui sans ambiguïté a marqué le début d’un régime totalitaire aberrant et liberticide.

*Il s’agit de mes textes écrits dès le début de la folie Covid pour ceux qui me connaissent depuis 2018, ceux qui étaient abonnés à mon compte @AdeSouzy censuré à l’époque et retrouvé depuis le rachat de Twitter par Elon Musk.

Le livre est en précommande sur le site :
À partir de la semaine prochaine dans les librairies, la Fnac, etc…

6 février 2024

Annelise Bocquet
Docteur en Biologie Santé, enseignante d'hématologie/immunologie.

Moi, je voulais juste... vivre. Et gagner ma croûte... faire vivre ma famille !

Comme bon nombre de soignants injectés anti-covid et qui souffrent d'effets indésirables... pris pour des rats de laboratoire.
Vous parlez des soignants suspendus avec 3 ans de retard. Combien de temps allez-vous mettre pour parler des effets indésirables ?

Des cas de myocardites, péricardites, pemphigoïde bulleuse, d'atteintes neurologiques et dégénératives, des cancers, des troubles gynécologiques... des troubles de la coagulation et des morts ? Car oui, il y a eu des morts... et il y a aussi des "morts vivants". Vous savez, des personnes qui ne peuvent plus bouger car elles souffrent le martyre. Qui ne peuvent plus "gagner leur croûte", enfermées dans un corps qu'elles ne reconnaissent plus et qu'elles ne maîtrisent plus.

Alors, moi, je voulais juste... vivre. Et aujourd'hui, je le paie très cher.

J'ai une pensée pour les soignants suspendus. Ils ont vécu l'enfer... et je pèse mes mots. La mort sociale, l'opprobre, les humiliations... ils ont tenu bon avec une détermination qu'il faut saluer.

Mais j'ai aussi une pensée pour les soignants qui ont injecté ces produits anti-covid... il y en a qui s'en mordent les doigts. Une culpabilité terrible à porter... c'est aussi à ces soignants-là que vous devez vous intéresser... les repentis.
Eux aussi, on leur a menti, on les a manipulés avec une drôle d'éthique et de l'argent pour endormir les doutes. "Vous allez sauver des vies" qu'ils ont dit. Ouai... c'est ça... et combien va-t-on en bousiller ?

Aujourd'hui encore, les médecins généralistes suivent les recommandations des "sociétés savantes"... des erreurs médicales énormes sont faites mais tout va bien. Depuis quand la médecine se pratique sur décret ? Depuis quand les médecins ont arrêté de s'intéresser aux malades et d'analyser les cas ?
Intéressez-vous aux sociétés savantes et à ceux qui les dirigent... vous seriez surpris du taux de corruption et de malversations, des conflits d'intérêt et politiques.

Sur ce... moi, je voulais juste... vivre !
Comme beaucoup de Français et d'âmes sur cette Terre... tout ce que nous voulons, c'est vivre.


25 janvier 2024

Gilles Casanova

Encore des complotistes ?
Non, passé un certain délai le discours « complotiste » condamné devient vérité officielle, timidement au début puis franchement ensuite… Attendons sagement la suite !

23 janvier 2024

André Bercoff - Sud Radio

Covid : une partie du Parlement européen a voté contre la publication des contrats Pfizer

https://www.youtube.com/watch?v=IQQ104ecZCE

20 janvier 2024

Quand l’EMA fait disparaître les effets secondaires des vaccins

Gérard Maudrux

C’est bien connu, pour faire baisser la température, il suffit de casser le thermomètre. Pour qu’on ne parle plus des effets secondaires de tel ou tel traitement, il suffit de ne plus les enregistrer, voire d’effacer ceux qui ont déjà été enregistrés. Ainsi plus d’effets secondaires, plus de problèmes, le traitement devient sûr et efficace.

Catherine Theilhet est programmatrice retraitée de la mairie de Paris. Elle aime bien les chiffres et nous a déjà fait des billets (1,2,3), épluchant notamment les publications statistiques VAERS, EMA, et ANSM, interrogeant régulièrement ces institutions pour avoir plus de précisions. Elle conserve ces données pour mieux suivre et comparer, et vient de faire des découvertes concernant la base de données de l’EMA, Agence Européenne du Médicament. En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024, elle constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Voici le fruit de ses découvertes, comparant les chiffres de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024 :



Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc. Et quand Catherine Theilhet interroge l’EMA sur les dossiers qui disparaissent (et parfois réapparaissent), on lui répond qu’une base de données est « vivante » et qu’il est donc normal qu’elle change…

Des pays ne communiquent plus ces statistiques. D’autres, comme la Nouvelle Zélande, mettent en prison ceux qui les communiquent, non parce qu’ils donneraient des fausses informations, mais parce qu’ils communiquent les bons chiffres officiels. On dissuade de faire des autopsies pour éviter de connaître les vraies causes, entretenant le doute. On décourage ceux qui veulent transmettre, on les montre du doigt pour qu’ils se sentent coupables en faisant bien leur travail. J’en connais qui ne transmettent plus pour être tranquilles. Il est anormal de voir toutes ces déclarations faites par les familles ou les patients, alors que toutes devraient être faites par les médecins, c’est leur rôle, pire, c’est leur devoir.

Le témoignage de la femme de Jean-Pierre Pernaud est édifiant et résume bien la situation : son médecin, avant de présenter ses condoléances, lui a tout de suite dit « surtout, vous dites bien qu’il est mort de son cancer », alors que les derniers bilans montraient une rémission complète et que depuis sa dernière dose, il faisait AVC sur AVC jusqu’à l’accident mortel.

Dans ces conditions, avec le peu déclaré dont une partie est effacée, ce qui est relaté, ce que nous voyons, n’est que la partie émergée d’un iceberg.


16 décembre 2023

Finalement, les bricolages ARNm ne marchent pas top

H16

15/12/2023 - Le 6 décembre dernier, une étude majeure parue dans Nature et, à ce titre, examinée par des pairs, a fait mention d’un petit souci découvert dans la technologie d’ARN messager, cette fameuse technologie actuellement utilisée dans des produits sûrs, efficaces mais qui ne parviennent pas à éviter l’infection ni la transmission d’un virus qui ne sort surtout pas d’un laboratoire chinois.

Cette étude, assez technique, a été largement résumée dans un article du Telegraph qui explique en substance qu’une personne sur quatre ayant reçu la fameuse piqûre Pfizer a “développé une réponse immunitaire inadéquate”, ce qui est un délicat euphémisme pour dire que le produit ne faisait pas réellement ce qu’il était censé faire (et on ne parle pas de lutte contre l’infection et la transmission ici, de grâce, oubliez ça).


En pratique, l’étude en question explique qu’un ingrédient nécessaire à ces concoctions (la 1-méthylpseudo-uridine) provoque lors de son utilisation au sein des cellules un problème malencontreux : il perturbe la traduction de l’ARN en “glissant” de temps en temps. Au lieu de produire la protéine de pointe prévue, ces “minuscules” erreurs de traduction créent… d’autres protéines (à hauteur de 8% apparemment), nouvelles, plus ou moins amusantes et de façon aléatoire ce qui empêche de prédire ce qui va réellement sortir de la cellule. Ceci semble se produire dans un quart à un tiers des cellules (et non un tiers des patients comme le Telegraph le rapporte de manière erronée).

Le souci, c’est qu’il y a des trillions de paquets d’ARNm dans chaque injection miraculeuse. En somme, chaque personne injectée subit potentiellement ces erreurs de production. Comme ce genre d’injection et de procédé est relativement nouveau (il n’est en place que depuis 2021), personne ne peut prédire quels types de problèmes ceci peut causer, notamment parce que ça n’a jamais été testé auparavant. Pour un produit dont les politiciens ont seriné qu’il était le mieux testé et le plus sûr de l’histoire de l’Humanité, on a vu mieux.


L’étude martèle, d’un bout à l’autre, qu’il n’y a (pour le moment) aucune preuve directe que ces productions non contrôlées chez l’homme, générées par BNT162b2, sont associées à des effets indésirables, et elle en profite pour noter qu’il est donc très important, pour garantir le bon fonctionnement de cette technologie, de corriger ce problème par exemple en modifiant la séquence d’ARNm concernée afin de réduire ces événements de “décalage des ribosomes”.

En effet, mais cela va demander du travail : on se souviendra que l’utilisation de la pseudo-uridine est nécessaire pour éviter que l’ARN en question ne soit systématiquement détruit trop tôt par les cellules du receveur. Dès lors, ou bien on trouve un moyen, cette fois-ci efficace et sans bavure, pour que ce vecteur génétique parvienne dans la cellule sans être détruit, ou bien on s’expose à des productions mal maîtrisées de protéines non désirées.

Au passage, l’intégralité de l’étude a été rédigée pour passer au travers des fourches caudines de l’examen par des pairs résolument peu enclins à accepter l’idée que tout ceci serait un bricolage aboutissant à une grosse erreur médicale. Au début, le lecteur conclut (à tort) qu’elle est même une magnifique apologie du procédé mis en place, d’autant qu’à chaque fois qu’ils en ont l’occasion, les vingt auteurs décrivent avec optimisme l’avenir radieux de cette technologie de l’ARNm… une fois que ce petit problème gênant (et irrémédiable) aura été éliminé de la formule. C’est ainsi que l’étude n’a pas été censurée et a été publiée.

Cependant, on peut lire ceci de l’un des auteurs de l’étude (Anne Willis) :

Ces résultats sont particulièrement importants (…) pour la conception et l’optimisation de futures thérapies basées sur l’ARNm afin d’éviter les erreurs de traduction qui peuvent diminuer l’efficacité ou augmenter la toxicité.


Eh oui : lorsque la séquence n’est pas lue correctement, il se pourrait que le procédé qui a déjà été injecté des milliards de fois produise des erreurs de traductions qui “peuvent diminuer l’efficacité, augmenter la toxicité” du résultat. Sans blague.


C’est un peu comme si une usine de saucisses produisait des saucisses la plupart du temps et, le reste (minoritairement mais de façon tout à fait visible), produisait de l’air chaud neutre et des poisons plus ou moins violents (mélange au hasard). Si l’on peut se rassurer en imaginant que ces poisons sont rares, on peut néanmoins s’inquiéter sur le taux général de fiabilité. Est-ce suffisant ?

Et est-ce suffisant alors que – sans aucun rapport bien évidemment, mais avec une insistance maintenant préoccupante – on observe dans les données démographiques des populations massivement injectées des tendances inquiétantes ?


On a heureusement ici l’explication habituelle et réconfortante d’une simple coïncidence qui a le mauvais goût de se répéter partout en Occident mais qui, les experts sont formels, ne veut rien dire de particulier. Les actuaires, qui doivent payer les polices d’assurances de personnes subitement décédées dans la force de l’âge et qui doivent donc remettre en cause leurs tables de mortalité pour tenir compte de petits écarts constatés récemment en seront pour leur frais.


Et de toute façon, au grand soulagement des autorités, la confiance des Français dans leur système de soin, dans les autorités médicales et dans la fiabilité de l’actuel procédé ne fait aucun doute. Ou presque. La campagne de vaccination lancée en fanfare en octobre dernier a démarré sur les chapeaux de roues et a été un tel succès qu’on n’évoque plus du tout la question ni dans les journaux, ni dans les hôpitaux, ni même en famille.

Les fêtes approchent et les coïncidences se feront donc suffisamment rares pour ne pas être évoquées lors des repas de famille.


6 décembre 2023

Marc Amblard

Il faudra vraiment garder ce genre de vidéo pour bien montrer à quel point une partie de l'humanité est devenue stupide.

3 décembre 2023

La Science face au Pouvoir

Avec la collaboration de Pryska Ducœurjoly et en partenariat avec BonSens.org

Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes brutalement entrés dans l’ère du « biopouvoir », qui prétend s’appuyer sur des « vérités » scientifiques pour imposer des mesures liberticides et totalitaires. Peut-on encore parler de « science » quand le débat est censuré, quand toute critique est discréditée, voire pénalisée et ostracisée ?

Loin du pseudo-consensus fabriqué pour étouffer les voix dissidentes, des chercheurs indépendants résistent aux nouveaux dogmes, dont la biologiste Hélène Banoun, qui, avec ce livre, traite des questions cruciales : d'où vient le virus SARS-CoV-2 ? Que sait-on vraiment de cette maladie ? Pourquoi cet acharnement du pouvoir à ne pas la soigner ? Que penser de ces vaccins insuffisamment testés ? Quelles sont les conséquences de l'ARN messager injecté massivement ? Pourquoi tant d'effets indésirables graves ? En quoi cette gestion de crise préfigure-t-elle les prochaines ? Peut-on encore faire confiance aux autorités de santé ?

L'auteure nous livre des réponses dont il est urgent de prendre conscience, d'autant plus que les expériences sur les virus continuent et que le biopouvoir étend ses projets de vaccination généralisée à partir de thérapies géniques hasardeuses, en contournant les règles de sécurité élémentaires au nom de la « science » pour masquer le profit et la cupidité.

Un citoyen informé en vaut deux, c'est pourquoi La Science face au Pouvoir constitue un atout précieux pour rester vigilant face à ce que prépare le biopouvoir. Il en va presque de notre survie.

Pharmacienne-biologiste et ex-chargée de recherches à l'Inserm, Hélène Banoun est l'une des figures du Conseil Scientifique Indépendant, qui a offert de nombreuses vidéos pendant la crise Covid-19 sur la plateforme Crowdbunker. Plume régulière du site d’information médicale et scientifique Aimsib.org, elle publie également des articles sur le virus et la maladie Covid-19 dans des revues scientifiques à comité de lecture en tant que chercheuse indépendante. La Science face au Pouvoir est un livre sans concession et... sans conflit d'intérêt. C'est de plus en plus rare du côté du... biopouvoir.

24 novembre 2023

Message de la CPAM : "Ne choisissez pas !"

Radu Portocala

J’ai reçu plusieurs fois ce message publicitaire de la Sécurité sociale. Et, chaque fois, j’ai été horrifié par cette injonction : NE CHOISISSEZ PAS ! On me demande donc, et de manière impérative, d’abolir mon discernement, d’abandonner une partie de ma liberté, celle au nom de laquelle je prends une décision ou une autre. On me demande, en somme, de me soumettre sans penser.
Pendant la guerre, m’a-t-on raconté, le Reich avait placardé des affiches dont le texte était : « Allemand, ne pense pas, le Führer pense aussi pour toi ! » C’est à ce sinistre slogan que me fait penser cette réclame par laquelle on m’enjoint de me faire injecter un produit dont on sait qu’il ne protège pas.

15 octobre 2023

Le principe de précaution n'a pas été respecté

Adina de Souzy

Eh OUI, exactement, Monsieur Delfraissy, "On a découvert les effets secondaires au fur et à mesure", tout simplement PARCE QUE C'ÉTAIT un PRODUIT EXPÉRIMENTAL, et ça, vous, mais aussi le ministre de la Santé @olivierveran et les autorités sanitaires NE L'ONT PAS DIT AUX GENS.
Pire encore, les scientifiques et médecins qui le disaient, et ont essayé d'alerter, ont été traités de "complotistes" ou pire, ont été sanctionnés par les autorités de tutelle.
Tout cela pour une maladie qui était peu létale *
Eh NON, monsieur Delfraissy, le principe de précaution N'A PAS ÉTÉ RESPECTÉ, non, pas du tout, à aucun moment, car le bénéfice/risque n'a jamais été favorable pour les gens qui n'étaient pas à risque et ceci a été su très tôt, avec les données israéliennes, et même avec la pharmacovigilance française de l'@ansm c'était visible.
Donc, c'est bien joli d'essayer d'enrober les choses comme si tout avait été fait au mieux.
Mais c'est juste totalement faux, il y a eu des fautes graves avec la coercition qui a été faite pour imposer ces produits expérimentaux, et à beaucoup de niveau, et vous le savez... c'est bien pour cela que vous êtes ici sur le plateau de @clhebdo5, pour essayer de convaincre.
Mais cela ne marchera pas.
Un jour prochain viendra où il faudra expliquer cela devant les tribunaux.

* Pour mémoire

Équipe Ioannidis - Université de Standford

"Les personnes de moins de 65 ans courent un très faible risque de décès par COVID-19, même dans les épicentres de la pandémie, et les décès des personnes de moins de 65 ans sans conditions prédisposantes sous-jacentes sont remarquablement rares."


Taux de létalité médian du coronavirus SARS-CoV-2 période AVANT vaccination
0,0003 % à 0 à 19 ans,
0,002 % à 20 à 29 ans,
0,011 % à 30 à 39 ans,
0,035% à 40 à 49 ans,
0,123% à 50 à 59 ans
0,506 % à 60 à 69 ans



7 octobre 2023

Edmond Dantès

La majorité des Français dit catégoriquement non à une injection génique qui ne les a pas protégés contre l'infection, la transmission et la mort. Pire, ils sont aujourd'hui des dizaines de millions à savoir directement que la potion qu'on les a forcés à prendre provoque dans une proportion inquiétante de graves effets secondaires et des décès. À l'heure définitive du bilan, hors de question pour les politiques et les médias aux ordres de vouloir continuer à les emmerder, de les insulter d'assassins, d'antisémites ou de complotistes. On les qualifie maintenant de soupçonneux, litote qui sonne en creux comme un aveu et qui sera suivi, on peut toujours rêver, d'une sanction exemplaire qui viendra punir tous les responsables de cette catastrophe humaine, économique et sociale. 7/10/2023