Translate

Affichage des articles dont le libellé est COVID. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est COVID. Afficher tous les articles

18 septembre 2024

Vincent Verschoore

La statistique est confondante : lors du Covid, les médecins y compris retraités, âgés et avec comorbidités, n'ont pas connu de surmortalité, alors qu'ils étaient aux premières loges.
L'urgentiste Patrick Pelloux l'avait dit, dès le début : ils se sont soignés, eux, et notamment avec l'hydroxychloroquine.

Extrait de l'article du Dr Gérard Maudrux :

"Non, les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace. On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine."

Que les médecins cherchent des solutions pour eux-mêmes, ça se comprend. Les médecins honnêtes ont également cherché des solutions pour leurs patients, mais ils en furent empêchés par l'autorité sanitaire et les médias afin de laisser toute la place aux produits onéreux de Big Pharma. Des études plus ou moins bidon tentèrent ensuite de justifier l'interdiction des produits chics et pas chers, allant même jusqu'à inventer des milliers de morts associés à l'hydroxychloroquine (étude Lega, récemment rétractée).
Sans être des panacées, et nécessitant un dosage et un timing précis, l'utilisation généralisée de ces produits immédiatement accessibles aurait sans doute sauvé des milliers de vies.
Dès lors, une accusation envers les têtes de gondole covidistes d'homicide volontaire, en plus de corruption, serait-elle recevable ?

Cliquer sur l'image ↴

11 septembre 2024

Vincent Verschoore

Peut-on exclure les vaccins Covid comme cause de la surmortalité hors Covid ?

Ben non.
Article rédigé par le spécialiste en médecine environnementale Günter Kempf dans le très mainstream Berliner Zeitung.
Il analyse les chiffres officiels disponibles (notamment britanniques) montrant une corrélation entre phases de vaccination de masse et hausse de la surmortalité hors Covid.
Reprenant les risques avérés relatifs à cette vaccination, il estime que la relation causale ne peut être exclue, même si les acteurs impliqués dans ces politiques de vaccination expérimentale de masse (politiciens, scientifiques, médecins, médias, et les covidistes en général) ne veulent plus parler de ce sujet.
Évidemment.


5 septembre 2024

Jean-Dominique Michel

Ce jeudi 5 septembre s'ouvrait devant le Tribunal correctionnel de Paris le procès en diffamation contre l'AFP et son directeur Fabrice Fries, suite à la plainte déposée par Pierre Barnérias ainsi que les sociétés T-Prod et Tomawak au sujet du film Hold-Up.
L'AFP, agence véreuse au service du globalo-fascisme et de l'État profond US, a multiplié les turpitudes et les inconduites au cours des quatre années écoulées.
Production et blanchiment de fausses nouvelles, "fact-checking" frauduleux, harcèlement et destruction de réputation, cette affaire nous plonge au cœur du système de désinformation, de propagande et de censure au service des crimes d'État contre la démocratie en cours à travers l'Occident.
Émission du 5 septembre 2024.

[vidéo] cliquer sur l'image ↴

30 août 2024

Jean-Dominique Michel

La place des escrocs de la science comme Mathieu Molimard, Gilbert Deray, Antoine Flahault, Karine Lacombe (etc.) est en taule !
Alors que c'est France-Soir, le seul titre historique de la presse française à avoir diligemment et honnêtement informé la population, qui est attaqué par la dictature macronienne et ses sbires des médias prostitués...
Émission du 27 août 2024

Cliquer sur l'image ↴

25 août 2024

Dictature sanitaire : « Personne ne doit être discriminé pour ne pas s’être fait vacciner. »
(Conseil de l’Europe)


◻ Cette résolution n'a pas été respectée !
Nous avons là la preuve flagrante d'une violation du droit européen et d'une crise institutionnelle majeure avec une Commission européenne, dont il convient de le rappeler, la Présidente non élue est Ursula von der Leyen, qui ne respecte pas les résolutions du Conseil !
Ce dysfonctionnement gravissime des institutions européennes mériterait à lui seul la destitution de celle qui a été reconduite dans ses fonctions en dépit d'une condamnation pour faits caractérisés de corruption.
Véronique Faucheux

◻ Les États doivent « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire », rappelait en janvier 2021 le Conseil de l’Europe, institution distincte de l’UE, dont fait partie la Russie.
Et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner.
Comme un passe sanitaire et un apartheid social, par exemple ?
Anna Rocca

24 août 2024

Anna Rocca

Bis repetita - La revue scientifique Biomedecine et Pharmacotherapy rétracte son papier accusant la chloroquine d’avoir fait 17.000 morts

Un article sur lequel la presse propagandiste s’était ruée, davantage pour régler ses comptes avec Didier Raoult que pour pousser à une vaccination qui ne fait plus recette.
Le contentieux entre l'incontrôlable professeur et le petit cercle politico-médiatique parisien date du début du Covid, l'expert ayant fait dérailler l'agenda mondialiste avec son traitement et sa critique de la gestion de crise.
« Qu'on donne de l’hydroxychloroquine, qu'on donne de l'azithromycine, vous avez un truc explosif, 10% de mort en plus », lançait encore le médecin de plateau Matthieu Molimard sur France5, en juin 2023.
Comme si tout le monde avait déjà oublié le fiasco The Lancet et son étude falsifiée sur l'inefficacité de l'hydroxychloroquine.
Et refusait de voir l'éléphant au milieu de la pièce : Big Pharma s'attaque à un traitement efficace et pas cher, concurrence déloyale pour ses « vaccins » à renouveler tous les 6 mois.

22 août 2024

Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

À écouter sur France Bleu Pays d'Auvergne l'appel de Mathieu Dubois, Président d'AAVIC TEAM pour la reconnaissance et prise en charge médicale des victimes des injections anticovid. Comme lui, de nombreuses victimes potentielles d'effets indésirables graves n'ont pas voix au chapitre, souffrent dans leur corps et sont de surcroît totalement invisibilisées par le système.
AAVIC Team rassemble 1900 membres, 500 victimes d'effets indésirables de 15 à 91 ans, dont 22 maladies de Charcot... et de Covid long (Covid non ou mal soigné) !
C'est un parcours du combattant de tous les jours. Des répercussions sur tous les aspects de la vie : la santé, la mobilité, le travail, la vie conjugale et vie de famille... que l'on ne peut même pas imaginer.
98% des membres de l'asso ne peuvent plus travailler en raison de leurs pathologies.
En 2024 on ne peut plus nier les effets indésirables, ni laisser les gens souffrir ou mourir.
Mathieu est lui même atteint d'une neuropathie des petites fibres et d'une encéphalomyélite.

10 août 2024

Romain Vignest

10/8/2024 - Aux États-Unis, on observe en 2021 une nette augmentation de la mortalité des 0-14 ans très exactement concomitante à la campagne d’injection. Mais il ne peut évidemment s’agir que d’une coïncidence…
(La courbe en pointillé correspond à la mortalité attendue, la zone rose à l’écart acceptable par rapport à la mortalité attendue et la ligne pleine à la mortalité réelle.)

30 juillet 2024

Le monde devient-il "antivax" ?

Vincent Verschoore

Selon la très réductrice définition officielle du terme, à savoir :
"Se dit d’un mouvement d’opinion marqué par une opposition à certains vaccins ou à la vaccination en général, dont il remet en cause l’efficacité et l’innocuité."
les chiffres de vaccination contre la grippe et le Covid (moins de la moitié de la population américaine est à jour, selon le CDC) impliquent qu'une majorité est devenue "antivax", au sens de cette définition très réductrice visant à culpabiliser toute opposition. Un peu comme décrire quelqu'un comme "antiviande" s'il ne mange pas de cheval, alors qu'il mange d'autres viandes.
Comme le dit Aaron Siri :
"L'ironie est que décider de ne pas se faire injecter un produit après avoir examiné ses essais cliniques, son dossier de sécurité post-licence, l'absence de responsabilité, etc. est une décision éclairée et réfléchie. Pourtant, ce sont ceux qui se font vacciner sans réfléchir qui sont présentés comme prenant des décisions éclairées et réfléchies... !"
Et d'ajouter, en faisant référence aux covidistes :
"Vous pouvez également leur faire savoir qu'étant donné que les "antivax" sont désormais majoritaires, vous comprenez leur insécurité et leur hostilité. Mais ils ne doivent pas s'inquiéter : la majorité antivax n'est pas intéressée par la suppression des droits de la minorité provax. Ils peuvent se sentir libres de se faire vacciner (ou de ne pas se faire vacciner) autant qu'ils le souhaitent. Nous, la majorité, demandons simplement qu'ils respectent notre droit à faire de même."
Le danger de cette polarisation entre "antivax" et "provax" est d'en faire une question idéologique, où la raison et la prise de décision objective sont remplacées par l'adhésion à des structures de pouvoir et à des narratifs qui ne servent qu'une petite minorité. Et c'est sans doute l'héritage le plus visible de la violence, de la corruption et de la bêtise des covidistes : avoir cherché à transformer une crise sanitaire en un système totalitaire au bénéfice de psychopathes et de l'industrie médicale, provoquant un rejet de la part de populations qui se sentent manipulées et trahies.


23 juillet 2024

Romain Vignest

[COVID] Évidemment ignorée par les médias mainstream, la décision des prud'hommes de Nancy est historique : les soignants suspendus avaient le droit de refuser l'inoculation expérimentale.

Cliquer sur l'image ↴

18 juillet 2024

Marc Amblard

CETTE VIDÉO DEVRAIT FAIRE LA UNE DE TOUS LES MÉDIAS DU MONDE

18/7/2024 - Le Dr Robert Redfield, médecin virologue, a été directeur du CDC. Il a donc occupé un des plus hauts postes au sein du département de la santé américaine sous Biden. A ce titre, il a coordonné toutes les mesures sanitaires durant le Covid.
Il vient d’être interrogé par le Congrès à Washington dans le cadre d’une enquête sénatoriale.
Ce qu’il a avoué est effarant. Il a notamment admis que :
- le vaccin ne prévient pas l’infection ;
- pire, l’ARN passe toutes les barrières de l’organisme, la spike est toxique et entraîne de grosses réactions inflammatoires ;
- c’était connu depuis le début (printemps 2021) ;
- les effets secondaires ont été minimisés pour ne pas décourager la vaccination ;
- ces vaccins n’auraient jamais du être imposés ; c’est une erreur.
La vidéo (sous-titrée) est courte, écoutez-la bien jusqu’au bout.

Laurence Muller-Bronn

Ce mardi 17 juillet 2024, La Cour de Justice de l’Union européenne reconnaît les infractions commises par la Commission européenne présidée par Ursula von der Leyen qui perd l'affaire sur la transparence des contrats d'achats de vaccins. La décision intervient un jour avant le vote des députés européens sur Ursula von der Leyen à Strasbourg. Les députés européens qui DEMAIN voteront pour sa reconduction auront des comptes à rendre aux citoyens européens, au nom de l'État de droit.
Qui aura le courage de ne pas l’investir ?

Plus qu’une victoire, c’est un hommage au combat de feu Michèle Rivasi, qu'elle menait depuis 2021. Quelle joie posthume car elle a gagné !


« La Commission européenne n'a pas donné au public un accès suffisamment large aux contrats d’achat de vaccins contre la Covid-19 », écrit la Cour de Justice de l’Union européenne CJUE dans son jugement rendu le 17 juillet 2024.

Cette infraction concerne deux éléments majeurs :

- L’indemnisation des entreprises pharmaceutiques pour d’éventuels dommages et intérêts qu’elles devraient payer en cas de défaut de leurs vaccins. La Cour de Justice souligne en effet que le producteur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit et que sa responsabilité ne peut être limitée ou écartée à l’égard de la victime (contrairement aux dérogations voulues par la Commission).
- Le refus, par la Commission, de donner accès aux déclarations d’absence de conflits d’intérêts concernant les membres de l’équipe de négociation pour l’achat des vaccins. Le jugement confirme à cet égard « l’intérêt public de la divulgation de ces informations ».

En vertu du droit d’accès aux documents prévu par les traités de l’Union européenne et la législation relative aux obligations de transparence des institutions européennes, Michèle Rivasi avait demandé, début 2021, avec quatre eurodéputées du groupe Verts/Ale, l’accès aux différents contrats de vaccination signés entre la Commission et les laboratoires pharmaceutiques pour l’achat de vaccins COVID 19 (AstraZeneca, Sanofi-GSK, Johnson and Johnson, BioNTech-Pfizer, CureVac et Moderna, pour une valeur totale de 71 milliards d'euros).
La Commission européenne avait alors tout mis en œuvre pour prolonger les délais administratifs de réponse.
La Présidente Ursula von der Leyen n’ayant jamais répondu, les députées avaient saisi la Cour de justice de l'UE en avril 2022. Au nom du droit fondamental des citoyens européens à la transparence et à l'information.

4 juillet 2024

Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Historien et sociologue, Nicolas Mariot s'est interrogé sur cette expérience d’obéissance de masse.

Cliquer sur l'image ↴
Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

Ma question écrite au gouvernement sur la contamination des vaccins Covid par de l'ADN a été validée.


2 juillet 2024

[COVID] vidéo

Le discours scientifique sur le Covid est en train de virer à 180°. Des figures de premier plan remettent en question la gestion de la pandémie et admettent l’existence d’effets secondaires liés aux vaccins. Nous tenterons de comprendre pourquoi ce qui était impensable pendant la pandémie se révèle exact aujourd’hui. Vous découvrirez comment la chaîne de décision en matière de santé a été défaillante et comment des intérêts cachés ont influencé nos vies et continuent de le faire…

20 juin 2024

Alexis Haupt

Au vu de ce qu’il s’est passé durant la « période covid », je considère que l’un des sujets les plus importants, peut-être même le plus important de tous est celui du consentement médical. Eh oui, des millions de gens s’étant fait vacciner dans l’angoisse et le doute durant cette période qualifiée d’état d’urgence par un seul homme, la moindre des choses serait maintenant de mener des investigations pour savoir si parmi ces millions de personnes, certaines l’auraient fait à contrecœur. Ce qu’il s’est passé est extrêmement grave mais ne pas investiguer sérieusement sur les circonstances l’est tout autant. Non seulement les médias n’abordent pas le sujet du consentement, mais pire, ils continuent de parler d’« antivax » pour désigner les professionnels suspendus ayant refusé l’injection. Je dénonce là une réelle entreprise de tromperie car la plupart des gens qui n’ont pas voulu se vacciner contre la covid-19 n’étaient pas contre la vaccination en général mais prônaient la liberté vaccinale et/ou la pharmacovigilance. De plus, cette tactique est d’autant plus malhonnête qu’elle laisse sous-entendre que tous ceux qui se sont fait vacciner l’ont fait par conviction. J’ai voulu savoir si tel a été le cas, s’il n’y a eu que des sujets volontaires parmi tous ceux s’étant fait vacciner. Pour ce faire, j’ai posé la question sur mon compte Twitter. J’ai demandé dans quelles circonstances les gens s’étaient fait injecter : par contrainte ou par conviction ? À ma grande surprise, j’ai reçu plus de 1400 réponses en une journée. À l’évidence, j’ai constaté le nombre élevé de gens affirmant n’avoir jamais voulu de cette injection. Tout porte à croire qu’il y a parmi les vaccinés, plus d’« antivax » que ne laissent entendre les médias. Il m’a paru important de recueillir ces messages pour qu’ils servent de trace écrite, pour que l’on n’oublie pas que, contrairement au récit diffusé par les médias, le consentement n’a pas eu lieu pour tout le monde ! Un devoir de mémoire s’impose. Et l’objectif de ce livre est d’être une petite pierre à cet édifice.

Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? : Recueil de témoignages sur le consentement au sujet du vaccin covid.

4 juin 2024

Vincent Verschoore

4/6/2024 - Dans le très mainstream quotidien britannique The Telegraph, ce matin, un article intitulé :
"Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à l'augmentation de la surmortalité.
Les experts appellent à davantage de recherche sur les effets secondaires et les liens possibles avec les taux de mortalité."
Outre la surmortalité probablement induite par les mesures incarcérationnistes, l'article cite plusieurs scientifiques qui estiment que la corrélation entre phases de vaccination de masse et pics de surmortalité ne peut être simplement ignorée.
Il cite une étude néerlandaise sur 47 pays, parue dans BMJ Public Health, selon laquelle il y aurait une surmortalité de trois millions depuis 2020 :
"Dans un article publié dans le BMJ Public Health, les auteurs de la Vrije Universiteit d'Amsterdam ont déclaré : "Bien que les vaccins Covid-19 aient été administrés pour protéger les civils contre la morbidité et la mortalité dues au virus Covid-19, des effets indésirables présumés ont également été documentés.
Des professionnels de la santé et des citoyens ont signalé à diverses bases de données officielles du monde occidental des blessures graves et des décès consécutifs à la vaccination.
L'étude a révélé qu'en Europe, aux États-Unis et en Australie, il y avait eu plus d'un million de décès en excès en 2020, au plus fort de la pandémie, mais aussi 1,2 million en 2021 et 800 000 en 2022 après la mise en œuvre des mesures."
Des effets qui, selon un expert allemand également cité, sont largement sous-estimés :
"En ce qui concerne le risque d'effets nocifs des vaccins, M. Wishart a ajouté : "Les auteurs ont raison de souligner que de nombreux effets indésirables graves liés aux vaccins peuvent ne pas avoir été signalés, et ils soulignent le fait que l'apparition simultanée d'une surmortalité et de la vaccination Covid en Allemagne mérite à elle seule un examen plus approfondi."
Si on ajoute à ceci les récents "aveux" de Fauci sur l'inexistence de justification "scientifique" pour la distanciation sociale et les masques, ainsi que le delta entre le marketing vaccinal et la réalité, on imagine que les temps sont durs pour les clowns covidistes et leurs chefs de file à la solde de Big Pharma.
Ça avance, ça avance. J'espère que personne, ce dimanche, ne votera pour les eurodéputés pro-corruption, ceux ayant refusé une audition de von der Leyen sur la question des contrats opaques Pfizer (Hayez, Glucksmann et Bellamy). D'autant qu'il reste 35 autres listes.

Marc Amblard

4/6/2024 - USA - DR FAUCI, GRAND ORDONNATEUR DES MESURES ANTI-COVID APPLIQUÉES DANS LE MONDE ENTIER, AU CŒUR D’UNE ENQUÊTE PARLEMENTAIRE :
IL RECONNAIT DEVANT LE CONGRÈS QU’ELLES N’ÉTAIENT PAS FONDÉES SUR LA SCIENCE.
IL EST MENACÉ DE POURSUITES ET DE PRISON.
VOICI LA VIDÉO (TRADUITE) QUE LES MÉDIAS FRANÇAIS SE GARDERONT BIEN DE DIFFUSER.

Cliquer sur l'image ↴

29 mai 2024

Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA

24 mai 2024

Pfizer sur le gaz

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


24/5/2024 - Pfizer est plus que jamais dans la tourmente, il se murmure que la boîte pourrait être traînée devant les tribunaux aux US, mais pas avant les élections européennes ni américaines. Elle est déjà l’entreprise, ou l’une des entreprises qui a payé le plus d’amendes au monde. Quelle pourrait être la raison objective de ce report ? En quoi ces deux évènements seraient-ils susceptibles de perturber le déroulé des audiences, les investigations ou les interrogatoires ? On ne voit pas. En revanche on comprend qu’un tel procès mettrait dans l’embarras les responsables encore au pouvoir ayant œuvré durant cette période trouble avec des répercussions en Europe. C’est bien entendu le cas de la France où la macronie s’est particulièrement distinguée dans cette affaire. Devoir rendre des comptes, ou du moins être indirectement agité par les effets d’un procès qui prendrait forcément un caractère international en pleine campagne, serait catastrophique pour Hayer, qui n’a pas besoin de cela pour couler lentement dans le fond du classement.

Mais tout de même, une justice indépendante aurait-elle à se soucier de ces échéances pour faire son travail ? D’ailleurs quel est-il exactement, faire éclater la vérité ou protéger un pouvoir qui semble de plus en plus corrompu ? On peut a contrario imaginer qu’une défaite de ceux qui sont à l’origine des politiques Covid de l’époque scellerait le sort des protagonistes. C’est d’autant plus vrai que les révélations sur les intrigues du laboratoire fusent, rendant les malversations ou cachotteries que certains n’ont pas manqué de faire pour soutenir une vaccination de plus en plus douteuse, pour ne pas dire pire. Ainsi, selon la Prescription Medecines Code of practices, Authority, Pfizer a fait la promotion d’un médicament sans licence et a violé un total de cinq codes réglementaires. Si on rajoute à cela l’opacité des contrats signés entre Pfizer et von der Leyen, qui a agi sans mandat et donc à titre privé, cela aggrave considérablement la position du géant pharmaceutique et celle de ses complices. En France tout est fait pour que rien ne sorte, au point que l’on s’empresse de faire voter des lois pour s’assurer que ce type de révélations ne puisse pas voir le jour.

À l’étranger les aveux vont bon train et n’en finissent pas de donner raison à ceux qui chez nous, dénonçaient les vaccins et les pratiques qui y étaient associées comme inutiles et dangereuses. Ils ont été calomniés, bannis, traités de criminels. Mais au fur et à mesure que la vérité voit le jour, ce dernier qualificatif colle de plus en plus à la peau de ceux qui ont fait la promotion de cette vaccination. Un exemple parmi d’autres : Lawrence Tadax, directeur adjoint des NIH (National institues of Health) a été contraint d’admettre que le COVID était bien d’origine biomilitaire, sorti tout droit du laboratoire de Wuhan. Le Docteur Andrew Hupff, ancien dirigeant d’EcoHealth alliance, a concédé que A Faucy en 2018 avait approché la Defense Agency (Darpa) pour financer le projet de recherche DEFUSE sur le gain de fonction (aggravation de la toxicité d’un virus) des coronavirus des chauves-souris. Tout ceci étant confirmé par l’eurodéputé Christine Anderson. On se souvient que le professeur Montagnier avait immédiatement affirmé que l’étude de la structure du virus montrait son caractère non naturel, donc trafiqué par l’homme. Il fut aussitôt banni des plateaux et l’objet de moquerie odieuse et déplacée. Tout comme le furent, peu après Martine Wonner, les docteurs Peronne et Raoult. Rappelons que ces deux derniers géraient habituellement les pandémies en France.

Dans le même temps on apprend qu’AstraZeneca retire son vaccin du circuit. Officiellement il n’y a plus la demande, en réalité c’est parce que les effets secondaires dévastateurs vont finir par rattraper les acteurs de ce drame et qu’ils veulent se mettre à l’abri. C’est bien tard. Aux US pour les moins de 45 ans le nombre de cancers a doublé entre 2022 et 2023, sans que l’on s’aventure pour le moment à relier cette explosion à la vaccination. « On ne comprend pas » : refuser d’admettre, mais jusqu’à quand ? La VAERS, qui est un programme américain de surveillance des effets des vaccins, destiné à mesurer le bilan bénéfice/risque, permettant ainsi de maintenir ou pas un vaccin, vient de publier des chiffres alarmants. Sur tous les décès enregistrés de 1988 à 2021, ceux des vaccins COVID sont équivalents sur un an à ceux de tous les autres vaccins sur 33 ans. Peut-on encore parler de coïncidence, ou de hasard incompréhensible ? Une enseignante marocaine souffrant d’effets secondaires fortement handicapants a porté plainte contre l’État. La justice vient de lui donner raison et a condamné l’État à lui verser 250 000 dirhams à titre de dommages et intérêts. D’un côté un pays assume, de l’autre, l’Espagne, se couvre en refusant de reconnaître les victimes, arguant que tous ont été volontaires. Pourtant il fait quand même le lien entre les injections et les myocardites, mais dégage sa responsabilité sous ce motif. C’est une autre façon de se disculper. Il devient impossible de nier les effets secondaires, alors on renvoie la charge sur les victimes, soi-disant consentantes.

La perversité de l’argument était prévisible, eu égard au document qui devait être signé avant l’injection, alors que celle-ci était nécessaire pour continuer à exercer certaines professions. Rendre obligatoires des substances expérimentales est illégal. C’est bien le cas actuellement et ça l’était encore davantage au moment de la campagne de vaccination. Il devient clair que les politiques et les propos agressifs qui ont été tenus contre ceux qui doutaient, qui alertaient sur la dangerosité de ces faux traitements, sont en passe de retrouver la dignité qu’on leur a sciemment volée. Que vont répondre tous ces caciques devant ces aveux ? Désolé… un peu court tout de même, d’autant que l’on a confirmation que ce vaccin n’empêchait pas non seulement de transmettre le virus mais ne protégeait pas non plus, même pas des formes graves puisque les « variants » n’étaient pas mortels. C’est donc en pleine connaissance de cause que le gouvernement a forcé les soignants, médecins, pompiers, à se vacciner au risque d’exposer des patients au virus et de leur rajouter des complications dont ils se seraient bien passés. La responsabilité des promoteurs devra bien entendu être engagée, tout comme celle de ceux qui ont validé des lois en ne pouvant ignorer leur côté inutile et surtout dangereux dans les effets qu’elles produiraient. Après le sang contaminé, Fabius pourrait bien se retrouver une nouvelle fois compromis dans un scandale sanitaire. Rassurons-nous, il a évité le pire quand il était directement concerné, alors là… C’est la magie de notre grande démocratie, qui a inventé pour ses responsables et uniquement pour eux la formule « responsable mais pas coupable » avant de la compléter par « coupable mais pas condamnable » dans l’affaire Tapie impliquant Christine Lagarde. Prétendre que nos décisionnaires n’étaient au courant de rien ne tient plus et ressemble à une vaste farce, depuis que les révélations venues de l’étranger n’en finissent pas de donner raison à ces « fripouilles » de complotistes. Encore aujourd’hui les autorités helvètes sont démasquées et l’on apprend que les informations faites au public ont été largement épurées de certains éléments qui n’allaient pas dans le sens de la doxa officielle. Nous aimerions bien voir nos parlementaires s’emparer du sujet et demander des comptes. Il est à craindre que ce ne soit pas pour demain encore une fois, quand bien même cela serait, nous aurions droit à une série d’excuses et de regrets éplorés, larmes de crocodile qui n’effaceront jamais ces années noires, ni ces pratiques qui ont conduit à des morts et des blessés graves. Nettoyer la France de ceux qui se sont vautrés dans cette abjecte compromission pour que nous ne revivions plus jamais cela serait nécessaire, mais tant que nous aurons des oppositions complices pratiquant la politique de la chaise vide ce sera clairement utopique. La corruption est profonde et il faudra du courage et un changement total pour en venir à bout. Malgré tout, la vérité avance dans certains pays, mais en France elle arrive encore à rester sous une chape de plomb.