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Affichage des articles dont le libellé est COVID. Afficher tous les articles
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23 juillet 2024

Romain Vignest

[COVID] Évidemment ignorée par les médias mainstream, la décision des prud'hommes de Nancy est historique : les soignants suspendus avaient le droit de refuser l'inoculation expérimentale.

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18 juillet 2024

Marc Amblard

CETTE VIDÉO DEVRAIT FAIRE LA UNE DE TOUS LES MÉDIAS DU MONDE

18/7/2024 - Le Dr Robert Redfield, médecin virologue, a été directeur du CDC. Il a donc occupé un des plus hauts postes au sein du département de la santé américaine sous Biden. A ce titre, il a coordonné toutes les mesures sanitaires durant le Covid.
Il vient d’être interrogé par le Congrès à Washington dans le cadre d’une enquête sénatoriale.
Ce qu’il a avoué est effarant. Il a notamment admis que :
- le vaccin ne prévient pas l’infection ;
- pire, l’ARN passe toutes les barrières de l’organisme, la spike est toxique et entraîne de grosses réactions inflammatoires ;
- c’était connu depuis le début (printemps 2021) ;
- les effets secondaires ont été minimisés pour ne pas décourager la vaccination ;
- ces vaccins n’auraient jamais du être imposés ; c’est une erreur.
La vidéo (sous-titrée) est courte, écoutez-la bien jusqu’au bout.

Laurence Muller-Bronn

Ce mardi 17 juillet 2024, La Cour de Justice de l’Union européenne reconnaît les infractions commises par la Commission européenne présidée par Ursula von der Leyen qui perd l'affaire sur la transparence des contrats d'achats de vaccins. La décision intervient un jour avant le vote des députés européens sur Ursula von der Leyen à Strasbourg. Les députés européens qui DEMAIN voteront pour sa reconduction auront des comptes à rendre aux citoyens européens, au nom de l'État de droit.
Qui aura le courage de ne pas l’investir ?

Plus qu’une victoire, c’est un hommage au combat de feu Michèle Rivasi, qu'elle menait depuis 2021. Quelle joie posthume car elle a gagné !


« La Commission européenne n'a pas donné au public un accès suffisamment large aux contrats d’achat de vaccins contre la Covid-19 », écrit la Cour de Justice de l’Union européenne CJUE dans son jugement rendu le 17 juillet 2024.

Cette infraction concerne deux éléments majeurs :

- L’indemnisation des entreprises pharmaceutiques pour d’éventuels dommages et intérêts qu’elles devraient payer en cas de défaut de leurs vaccins. La Cour de Justice souligne en effet que le producteur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit et que sa responsabilité ne peut être limitée ou écartée à l’égard de la victime (contrairement aux dérogations voulues par la Commission).
- Le refus, par la Commission, de donner accès aux déclarations d’absence de conflits d’intérêts concernant les membres de l’équipe de négociation pour l’achat des vaccins. Le jugement confirme à cet égard « l’intérêt public de la divulgation de ces informations ».

En vertu du droit d’accès aux documents prévu par les traités de l’Union européenne et la législation relative aux obligations de transparence des institutions européennes, Michèle Rivasi avait demandé, début 2021, avec quatre eurodéputées du groupe Verts/Ale, l’accès aux différents contrats de vaccination signés entre la Commission et les laboratoires pharmaceutiques pour l’achat de vaccins COVID 19 (AstraZeneca, Sanofi-GSK, Johnson and Johnson, BioNTech-Pfizer, CureVac et Moderna, pour une valeur totale de 71 milliards d'euros).
La Commission européenne avait alors tout mis en œuvre pour prolonger les délais administratifs de réponse.
La Présidente Ursula von der Leyen n’ayant jamais répondu, les députées avaient saisi la Cour de justice de l'UE en avril 2022. Au nom du droit fondamental des citoyens européens à la transparence et à l'information.

4 juillet 2024

Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Historien et sociologue, Nicolas Mariot s'est interrogé sur cette expérience d’obéissance de masse.

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Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

Ma question écrite au gouvernement sur la contamination des vaccins Covid par de l'ADN a été validée.


2 juillet 2024

[COVID] vidéo

Le discours scientifique sur le Covid est en train de virer à 180°. Des figures de premier plan remettent en question la gestion de la pandémie et admettent l’existence d’effets secondaires liés aux vaccins. Nous tenterons de comprendre pourquoi ce qui était impensable pendant la pandémie se révèle exact aujourd’hui. Vous découvrirez comment la chaîne de décision en matière de santé a été défaillante et comment des intérêts cachés ont influencé nos vies et continuent de le faire…

20 juin 2024

Alexis Haupt

Au vu de ce qu’il s’est passé durant la « période covid », je considère que l’un des sujets les plus importants, peut-être même le plus important de tous est celui du consentement médical. Eh oui, des millions de gens s’étant fait vacciner dans l’angoisse et le doute durant cette période qualifiée d’état d’urgence par un seul homme, la moindre des choses serait maintenant de mener des investigations pour savoir si parmi ces millions de personnes, certaines l’auraient fait à contrecœur. Ce qu’il s’est passé est extrêmement grave mais ne pas investiguer sérieusement sur les circonstances l’est tout autant. Non seulement les médias n’abordent pas le sujet du consentement, mais pire, ils continuent de parler d’« antivax » pour désigner les professionnels suspendus ayant refusé l’injection. Je dénonce là une réelle entreprise de tromperie car la plupart des gens qui n’ont pas voulu se vacciner contre la covid-19 n’étaient pas contre la vaccination en général mais prônaient la liberté vaccinale et/ou la pharmacovigilance. De plus, cette tactique est d’autant plus malhonnête qu’elle laisse sous-entendre que tous ceux qui se sont fait vacciner l’ont fait par conviction. J’ai voulu savoir si tel a été le cas, s’il n’y a eu que des sujets volontaires parmi tous ceux s’étant fait vacciner. Pour ce faire, j’ai posé la question sur mon compte Twitter. J’ai demandé dans quelles circonstances les gens s’étaient fait injecter : par contrainte ou par conviction ? À ma grande surprise, j’ai reçu plus de 1400 réponses en une journée. À l’évidence, j’ai constaté le nombre élevé de gens affirmant n’avoir jamais voulu de cette injection. Tout porte à croire qu’il y a parmi les vaccinés, plus d’« antivax » que ne laissent entendre les médias. Il m’a paru important de recueillir ces messages pour qu’ils servent de trace écrite, pour que l’on n’oublie pas que, contrairement au récit diffusé par les médias, le consentement n’a pas eu lieu pour tout le monde ! Un devoir de mémoire s’impose. Et l’objectif de ce livre est d’être une petite pierre à cet édifice.

Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? : Recueil de témoignages sur le consentement au sujet du vaccin covid.

4 juin 2024

Vincent Verschoore

4/6/2024 - Dans le très mainstream quotidien britannique The Telegraph, ce matin, un article intitulé :
"Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à l'augmentation de la surmortalité.
Les experts appellent à davantage de recherche sur les effets secondaires et les liens possibles avec les taux de mortalité."
Outre la surmortalité probablement induite par les mesures incarcérationnistes, l'article cite plusieurs scientifiques qui estiment que la corrélation entre phases de vaccination de masse et pics de surmortalité ne peut être simplement ignorée.
Il cite une étude néerlandaise sur 47 pays, parue dans BMJ Public Health, selon laquelle il y aurait une surmortalité de trois millions depuis 2020 :
"Dans un article publié dans le BMJ Public Health, les auteurs de la Vrije Universiteit d'Amsterdam ont déclaré : "Bien que les vaccins Covid-19 aient été administrés pour protéger les civils contre la morbidité et la mortalité dues au virus Covid-19, des effets indésirables présumés ont également été documentés.
Des professionnels de la santé et des citoyens ont signalé à diverses bases de données officielles du monde occidental des blessures graves et des décès consécutifs à la vaccination.
L'étude a révélé qu'en Europe, aux États-Unis et en Australie, il y avait eu plus d'un million de décès en excès en 2020, au plus fort de la pandémie, mais aussi 1,2 million en 2021 et 800 000 en 2022 après la mise en œuvre des mesures."
Des effets qui, selon un expert allemand également cité, sont largement sous-estimés :
"En ce qui concerne le risque d'effets nocifs des vaccins, M. Wishart a ajouté : "Les auteurs ont raison de souligner que de nombreux effets indésirables graves liés aux vaccins peuvent ne pas avoir été signalés, et ils soulignent le fait que l'apparition simultanée d'une surmortalité et de la vaccination Covid en Allemagne mérite à elle seule un examen plus approfondi."
Si on ajoute à ceci les récents "aveux" de Fauci sur l'inexistence de justification "scientifique" pour la distanciation sociale et les masques, ainsi que le delta entre le marketing vaccinal et la réalité, on imagine que les temps sont durs pour les clowns covidistes et leurs chefs de file à la solde de Big Pharma.
Ça avance, ça avance. J'espère que personne, ce dimanche, ne votera pour les eurodéputés pro-corruption, ceux ayant refusé une audition de von der Leyen sur la question des contrats opaques Pfizer (Hayez, Glucksmann et Bellamy). D'autant qu'il reste 35 autres listes.

Marc Amblard

4/6/2024 - USA - DR FAUCI, GRAND ORDONNATEUR DES MESURES ANTI-COVID APPLIQUÉES DANS LE MONDE ENTIER, AU CŒUR D’UNE ENQUÊTE PARLEMENTAIRE :
IL RECONNAIT DEVANT LE CONGRÈS QU’ELLES N’ÉTAIENT PAS FONDÉES SUR LA SCIENCE.
IL EST MENACÉ DE POURSUITES ET DE PRISON.
VOICI LA VIDÉO (TRADUITE) QUE LES MÉDIAS FRANÇAIS SE GARDERONT BIEN DE DIFFUSER.

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29 mai 2024

Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA

24 mai 2024

Pfizer sur le gaz

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


24/5/2024 - Pfizer est plus que jamais dans la tourmente, il se murmure que la boîte pourrait être traînée devant les tribunaux aux US, mais pas avant les élections européennes ni américaines. Elle est déjà l’entreprise, ou l’une des entreprises qui a payé le plus d’amendes au monde. Quelle pourrait être la raison objective de ce report ? En quoi ces deux évènements seraient-ils susceptibles de perturber le déroulé des audiences, les investigations ou les interrogatoires ? On ne voit pas. En revanche on comprend qu’un tel procès mettrait dans l’embarras les responsables encore au pouvoir ayant œuvré durant cette période trouble avec des répercussions en Europe. C’est bien entendu le cas de la France où la macronie s’est particulièrement distinguée dans cette affaire. Devoir rendre des comptes, ou du moins être indirectement agité par les effets d’un procès qui prendrait forcément un caractère international en pleine campagne, serait catastrophique pour Hayer, qui n’a pas besoin de cela pour couler lentement dans le fond du classement.

Mais tout de même, une justice indépendante aurait-elle à se soucier de ces échéances pour faire son travail ? D’ailleurs quel est-il exactement, faire éclater la vérité ou protéger un pouvoir qui semble de plus en plus corrompu ? On peut a contrario imaginer qu’une défaite de ceux qui sont à l’origine des politiques Covid de l’époque scellerait le sort des protagonistes. C’est d’autant plus vrai que les révélations sur les intrigues du laboratoire fusent, rendant les malversations ou cachotteries que certains n’ont pas manqué de faire pour soutenir une vaccination de plus en plus douteuse, pour ne pas dire pire. Ainsi, selon la Prescription Medecines Code of practices, Authority, Pfizer a fait la promotion d’un médicament sans licence et a violé un total de cinq codes réglementaires. Si on rajoute à cela l’opacité des contrats signés entre Pfizer et von der Leyen, qui a agi sans mandat et donc à titre privé, cela aggrave considérablement la position du géant pharmaceutique et celle de ses complices. En France tout est fait pour que rien ne sorte, au point que l’on s’empresse de faire voter des lois pour s’assurer que ce type de révélations ne puisse pas voir le jour.

À l’étranger les aveux vont bon train et n’en finissent pas de donner raison à ceux qui chez nous, dénonçaient les vaccins et les pratiques qui y étaient associées comme inutiles et dangereuses. Ils ont été calomniés, bannis, traités de criminels. Mais au fur et à mesure que la vérité voit le jour, ce dernier qualificatif colle de plus en plus à la peau de ceux qui ont fait la promotion de cette vaccination. Un exemple parmi d’autres : Lawrence Tadax, directeur adjoint des NIH (National institues of Health) a été contraint d’admettre que le COVID était bien d’origine biomilitaire, sorti tout droit du laboratoire de Wuhan. Le Docteur Andrew Hupff, ancien dirigeant d’EcoHealth alliance, a concédé que A Faucy en 2018 avait approché la Defense Agency (Darpa) pour financer le projet de recherche DEFUSE sur le gain de fonction (aggravation de la toxicité d’un virus) des coronavirus des chauves-souris. Tout ceci étant confirmé par l’eurodéputé Christine Anderson. On se souvient que le professeur Montagnier avait immédiatement affirmé que l’étude de la structure du virus montrait son caractère non naturel, donc trafiqué par l’homme. Il fut aussitôt banni des plateaux et l’objet de moquerie odieuse et déplacée. Tout comme le furent, peu après Martine Wonner, les docteurs Peronne et Raoult. Rappelons que ces deux derniers géraient habituellement les pandémies en France.

Dans le même temps on apprend qu’AstraZeneca retire son vaccin du circuit. Officiellement il n’y a plus la demande, en réalité c’est parce que les effets secondaires dévastateurs vont finir par rattraper les acteurs de ce drame et qu’ils veulent se mettre à l’abri. C’est bien tard. Aux US pour les moins de 45 ans le nombre de cancers a doublé entre 2022 et 2023, sans que l’on s’aventure pour le moment à relier cette explosion à la vaccination. « On ne comprend pas » : refuser d’admettre, mais jusqu’à quand ? La VAERS, qui est un programme américain de surveillance des effets des vaccins, destiné à mesurer le bilan bénéfice/risque, permettant ainsi de maintenir ou pas un vaccin, vient de publier des chiffres alarmants. Sur tous les décès enregistrés de 1988 à 2021, ceux des vaccins COVID sont équivalents sur un an à ceux de tous les autres vaccins sur 33 ans. Peut-on encore parler de coïncidence, ou de hasard incompréhensible ? Une enseignante marocaine souffrant d’effets secondaires fortement handicapants a porté plainte contre l’État. La justice vient de lui donner raison et a condamné l’État à lui verser 250 000 dirhams à titre de dommages et intérêts. D’un côté un pays assume, de l’autre, l’Espagne, se couvre en refusant de reconnaître les victimes, arguant que tous ont été volontaires. Pourtant il fait quand même le lien entre les injections et les myocardites, mais dégage sa responsabilité sous ce motif. C’est une autre façon de se disculper. Il devient impossible de nier les effets secondaires, alors on renvoie la charge sur les victimes, soi-disant consentantes.

La perversité de l’argument était prévisible, eu égard au document qui devait être signé avant l’injection, alors que celle-ci était nécessaire pour continuer à exercer certaines professions. Rendre obligatoires des substances expérimentales est illégal. C’est bien le cas actuellement et ça l’était encore davantage au moment de la campagne de vaccination. Il devient clair que les politiques et les propos agressifs qui ont été tenus contre ceux qui doutaient, qui alertaient sur la dangerosité de ces faux traitements, sont en passe de retrouver la dignité qu’on leur a sciemment volée. Que vont répondre tous ces caciques devant ces aveux ? Désolé… un peu court tout de même, d’autant que l’on a confirmation que ce vaccin n’empêchait pas non seulement de transmettre le virus mais ne protégeait pas non plus, même pas des formes graves puisque les « variants » n’étaient pas mortels. C’est donc en pleine connaissance de cause que le gouvernement a forcé les soignants, médecins, pompiers, à se vacciner au risque d’exposer des patients au virus et de leur rajouter des complications dont ils se seraient bien passés. La responsabilité des promoteurs devra bien entendu être engagée, tout comme celle de ceux qui ont validé des lois en ne pouvant ignorer leur côté inutile et surtout dangereux dans les effets qu’elles produiraient. Après le sang contaminé, Fabius pourrait bien se retrouver une nouvelle fois compromis dans un scandale sanitaire. Rassurons-nous, il a évité le pire quand il était directement concerné, alors là… C’est la magie de notre grande démocratie, qui a inventé pour ses responsables et uniquement pour eux la formule « responsable mais pas coupable » avant de la compléter par « coupable mais pas condamnable » dans l’affaire Tapie impliquant Christine Lagarde. Prétendre que nos décisionnaires n’étaient au courant de rien ne tient plus et ressemble à une vaste farce, depuis que les révélations venues de l’étranger n’en finissent pas de donner raison à ces « fripouilles » de complotistes. Encore aujourd’hui les autorités helvètes sont démasquées et l’on apprend que les informations faites au public ont été largement épurées de certains éléments qui n’allaient pas dans le sens de la doxa officielle. Nous aimerions bien voir nos parlementaires s’emparer du sujet et demander des comptes. Il est à craindre que ce ne soit pas pour demain encore une fois, quand bien même cela serait, nous aurions droit à une série d’excuses et de regrets éplorés, larmes de crocodile qui n’effaceront jamais ces années noires, ni ces pratiques qui ont conduit à des morts et des blessés graves. Nettoyer la France de ceux qui se sont vautrés dans cette abjecte compromission pour que nous ne revivions plus jamais cela serait nécessaire, mais tant que nous aurons des oppositions complices pratiquant la politique de la chaise vide ce sera clairement utopique. La corruption est profonde et il faudra du courage et un changement total pour en venir à bout. Malgré tout, la vérité avance dans certains pays, mais en France elle arrive encore à rester sous une chape de plomb.


21 mai 2024

Vincent Verschoore

21/5/2024 - Intéressant et presque courageux article du New York Times sur le déni rencontré par les victimes des vaccins Covid. Des professionnels de santé, souffrant de divers effets handicapants, racontent leur calvaire médical, social et administratif face à des autorités qui ne veulent rien savoir.

L'article estime que le taux d'effets secondaires "officiel" est sans doute largement sous-évalué, mais que personne ne veut en parler par peur de récupération "antivax"...

A contraster avec le reportage de DW (le "France 24" allemand, très mainstream) qui, voici près d'un an, faisait un constat similaire pour l'Allemagne mais estimait le taux d'effets secondaires graves entre 0,01 et 0,02%, soit un cas pour 5000 injectés, ce qui est énorme pour un vaccin en population générale, et inutile pour 80% de la population.


Si ce taux est le même aux USA, il y aurait plusieurs dizaines de milliers de cas, très nettement plus que le chiffre officiel.

L'argument du silence par peur des "antivax" est évidemment risible, ces derniers étant surtout opposés à la dictature sanitaire en général, et à la vaccination expérimentale de masse. Ce ne sont pas eux qui ont inondé les médias de fausses informations sur l'efficacité et la sécurité vaccinale, qui ont imposé la vax par la violence et la discrimination, et qui ensuite se lavent les mains des problèmes tout en ayant bien palpé au passage. Ils ne sont que la réaction, nécessaire même si parfois extrême, à tous ces abus.

L'article note que les autorités médicales balayent le problème au nom du "mais le virus c'est pire", mais estime l'argument un peu léger : le profil risque-bénéfice d'une telle vaccination, pour la majorité en bonne santé, n'est pas évident (euphémisme). Il est évidemment négatif, comme le montrait sans le vouloir l'étude OMS Europe : une vie sur 500 aurait été "sauvée" par la vax, mais 96% de ce 0,002 concerne les plus de 60 ans !

Extrait de l'article :

« Les fonctionnaires ont tous répondu par ce mantra très usé : "mais le virus est pire" », se souvient le Dr Murphy. « Oui, le virus est pire, mais cela n'empêche pas de faire des recherches pour s'assurer qu'il existe d'autres options.

Une meilleure compréhension des effets secondaires possibles, et des personnes à risque, pourrait avoir des implications pour la conception des futurs vaccins, ou pourrait indiquer que pour certaines personnes jeunes et en bonne santé, les avantages des vaccins Covid ne l'emportent plus sur les risques - comme l'ont déterminé certains pays européens.

Des recherches approfondies pourraient également permettre d'aider plus rapidement les milliers d'Américains qui affirment avoir été blessés. »

D'ici à ce que les covidistes traitent le NYT et DW de complotistes antivax, il n'y a sans doute qu'un pas.

16 mai 2024

Vincent Verschoore

Le retournement de veste de la star médiatique américaine, Chris Cuomo, sur l'usage de l'ivermectine face au Covid, va faire hurler les covidistes, mais illustre la vaste escroquerie menée par l'industrie pharmaceutique et ses affidés politiques, médiatiques et médicaux.
Diabolisée dès le début via toutes sortes d'influenceurs tel Cuomo, malgré une longue et positive histoire et un prix Nobel, l'ivermectine se trouva de facto interdite afin de laisser toute la place aux molécules chères et, bien sûr, aux vaccins expérimentaux.
Cuomo, qui utilise lui-même l'ivermectine car souffrant de Covid long (malgré sa multiple vaccination), sur avis de ses médecins, s'est donc rendu compte, certes trop tardivement, que le narratif covidiste avait plus à voir avec la santé des labos que de la population. Et il pose la question : pourquoi les médecins et autres "spécialistes" qui savaient que l'ivermectine ne pose aucun risque (si utilisée correctement bien sûr) et a un effet thérapeutique, n'ont rien dit.
La réponse me semble évidente : l'ivermectine n'appartient à personne et donc ne rapporte rien. Évidemment j'ignore si Cuomo est de bonne foi, ni dans quelle mesure de nombreux influenceurs covidistes furent dupés plutôt que simplement achetés, mais il n'était pas compliqué de percer le narratif mensonger dès lors que l'on possède un brin d'esprit critique. Ce qui, en effet, n'est pas spécialement l'apanage des habitués des plateaux médiatiques, et pour cause.

14 mai 2024

Vincent Verschoore

14/5/2024 - Nikolaï Petrovsky est prof à l'université d'Adelaïde et directeur d'une société de développement de vaccins, y compris Covid.
Voici ce qu'il dit sur son compte LinkedIn, suite à l'annonce d'un dépôt de plainte contre AstraZeneca :
"Il faut s'attendre à ce que les litiges liés aux lésions provoquées par le vaccin COVID-19 se multiplient au cours de la prochaine décennie. Cela va malheureusement nuire à la confiance de la communauté et affecter indûment l'adoption d'autres vaccins. La manière inutilement agressive dont les vaccins COVID-19 ont été utilisés dans les pays occidentaux, où toutes sortes de mandats ont été imposés en dépit des preuves évidentes que ces vaccins n'avaient aucun impact matériel sur la transmission communautaire et les vagues d'infection, ne fera qu'aggraver les réactions négatives de la communauté.
Pour minimiser les dégâts, les décideurs politiques concernés doivent admettre qu'au moment où ils ont imposé ces vaccins, ils ne savaient pas vraiment si ces vaccins étaient vraiment sûrs et s'ils avaient une efficacité durable, mais qu'ils espéraient simplement que tout irait pour le mieux. Il leur sera difficile de le faire."
Ah ça, c'est sûr. Von der Leyen n'a toujours pas craché le morceau, et tous ceux ayant pris le pognon n'ont aucune intention de le rendre. Tout comme ceux ayant hurlé (et hurlant encore) avec les loups par ignorance, par intérêt et/ou par conformisme social, vont avoir beaucoup de mal à reconnaître quoi que ce soit, préférant toujours le dénigrement et la censure à la froide réalité. ↴


8 mai 2024

Les Français en petite santé : l’épidémie de coïncidences s’étend

H16

8/5/2024 - Manifestement, on n’a pas encore fini de payer la période des confinements, loin s’en faut, et l’hystérie sanitaire qui a pris place en France et dans les pays occidentaux entre 2020 et 2022 continue de présenter sa facture aux populations.

Ici, il ne s’agit pas seulement d’économie : cette facture-là est déjà connue, se traduit en centaines de milliards d’euros et on se doute déjà qu’elle ne sera pas remboursée sans grande douleur via des symphonies de ponctions écrites par les Mozart de la finance.

Ici, on parlera aussi de la facture sanitaire, du bilan de santé des Français : il n’est pas bon du tout.

C’est ainsi qu’on observe, depuis la période des confinements, une hausse marquée des suicides chez les jeunes, ceux qui, normalement, ont la plus forte pulsion de vie, dont le futur, vierge, est encore à écrire et qui ont le plus d’opportunités dans un monde qui n’a jamais été aussi riche.

Il faut dire que la période passée n’a pas vraiment aidé les adolescents et les jeunes adultes d’avoir été enfermés, coupés de vie sociale, d’avoir subi les messages anxiogènes permanents de la part des politiciens, des médias qui les ont répétés servilement voire, pire encore, de leurs propres parents – pas fins à répéter les âneries entendues sur les médias de grand chemin. Et le fait que des messages anxiogènes continuent d’être distribués par les mêmes canaux n’arrange rien.


En fait, tout semble montrer que les mesures gouvernementales prises pour lutter contre la pandémie n’ont pas fonctionné, et que, pire encore, elles ont été largement contre-productives.

Sur le plan économique, l’état général des finances françaises montre que les mois de confinement ont ruiné l’économie française.

Les actuelles fanfaronneries grotesques du Bruneau de Bercy alors que la France peine franchement à décoller (0,2% quelle misère) ne masquent absolument pas le désastre qui se profile et les têtes allongées que font les financiers à Bercy lorsqu’il s’agit de rouler la dette actuelle, devenue colossale sous les bons soins de leur actuel patron et grâce à la direction suicidaire impulsée par Macron.

Sur le plan sanitaire, ces confinements furent un fiasco qui n’a absolument rien empêché. C’est maintenant acquis et seuls quelques imbéciles ou corrompus peuvent (timidement) encore prétendre le contraire : le “zéro COVID” était une parfaite clownerie qui a été abandonnée même par les (quelques) régimes plus totalitaires que la France.

Sur le plan social, ces confinements se sont logiquement traduits par des cascades de problèmes : explosion des violences intrafamiliales de tous types, dépressions, pertes de repères, décrochage scolaire, … C’est véritablement une catastrophe à bas bruit que les médias n’évoquent qu’assez peu de peur d’abimer le bilan du gouvernement (pourtant déjà désastreux) sur cette période.

Et tout ceci n’est absolument pas une impression d’échec ou un “sentiment de catastrophe” comme on dit de nos jours. En fait, une étude circonstanciée du CNRS évoque l’ampleur de cet échec et établit même de façon claire que d’autres pays comme le Japon, le Danemark ou Taïwan n’ont absolument pas suivi les choix drastiques du Président et de sa clique pour verrouiller le pays sans pour autant sombrer dans l’hécatombe, au contraire.


Mieux encore, cette étude démontre la véritable frénésie d’interdictions idiotes qui s’est emparée de la France bureaucratique à ce moment-là, montrant en filigrane l’état réel de la société française et la relation véritablement toxique qu’entretiennent les administrations et les institutions de pouvoir vis-à-vis des Français.

À ces constats d’une augmentation générale du mal-être chez les jeunes et dans une bonne partie de la société française – constats déjà amplement douloureux en eux-mêmes – s’ajoutent d’autres observations plus dramatiques, purement sanitaires celles-ci.

Il apparaît ainsi que les cancers pleuvent dru actuellement, même si c’est présenté comme un phénomène certes nouveau mais aussi progressif que prévisible, dans les tendances de la décennies, sans lien avec ce qui s’est passé les trois dernières années spécifiquement.

De la même façon, l’accroissement violent des problèmes cardiaques, et notamment chez les jeunes, ne peut être qu’un phénomène global lié au réchauffement climatique, au jardinage extrême, à une alimentation déséquilibrée, à la sédentarité, à Poutine, à l’extrême-droite ou à de furieuses coïncidences.


Du reste, si un lien semblait clairement établi, en 2021, entre vaccins expérimentaux et effets indésirables sévères, les observations sont depuis devenues si alarmantes qu’il a bientôt été absolument nécessaire ou bien de ne plus en parler autant que possible, ou, plus prosaïquement, de mettre les effets observés sur le compte d’absolument tout, y compris d’un virus qui a tant muté qu’il a pour ainsi dire disparu depuis plus de deux ans, mais surtout pas sur le compte des bricolages génético-chimiques de l’industrie pharmaceutique.

Pour encore beaucoup (surtout s’ils sont directement ou indirectement concernés), il ne peut y avoir aucun lien entre cette subite augmentation de la mortalité (que personne, du reste, ne conteste ni ne commente dans les journaux de grand chemin) et l’intéressante expérience médicale qu’ils ont subie (de gré ou de force) sur les trois dernières années.

Impossible : tout le monde sait que les industries pharmaceutiques sont au-dessus de tout soupçon, ne font jamais de bourdes et que jamais au grand jamais, le gouvernement ne prendrait de tels risques ou ne nous baratinerait ! Quant aux médias, tout le monde sait qu’ils ne mentent jamais et rapportent exclusivement des informations solides, vérifiées et pertinentes. Toujours.

Néanmoins, ceux qui continuent obstinément de compulser les données officielles et d’en tirer des statistiques solides, arrivent systématiquement aux mêmes conclusions : il y a bien eu une augmentation des arrêts cardiaques et des cancers chez les jeunes concomitante aux injections miracles.


En outre, cette vidéo détaillée du Dr Campbell, qui revient sur une étude japonaise (revue par les pairs) précisément sur ce sujet, corrobore les éléments précédemment avancés.

On trouvera toujours un “debunker” ou autre “fact checker” pour hurler, le petit poing fermé, que tout ceci est un complot, une erreur d’interprétation, surtout en France où les chiffres officiels sont soigneusement inaccessibles, mais malheureusement, les statistiques des pays plus ouverts (Japon, Grande-Bretagne par exemple) montrent bien qu’il y a effectivement une augmentation inquiétante des cancers, eh oui, le lien avec les vaccins est maintenant établi (et ceux qui couineront “corrélation n’est pas causalité” montreront juste qu’ils n’y comprennent rien).

Tout ça pour un vaccin médiocre, qui n’a jamais interrompu la transmission, et dont l’efficacité s’écroule si vite qu’elle devient négative en quelques mois, i.e. on augmente ses risques d’attraper la maladie qu’il est censé protéger (et c’est l’étude officielle de Pfizer qui parvient à ce résultat, au passage).

La conclusion est sans appel : les confinements n’ont servi à rien, les bricolages ARNm ont causé et continuent de causer plus de dégâts qu’ils n’ont protégé, et en France, les décisions qui ont toutes été de la responsabilité directe et indirecte de Macron et de ses gouvernements se sont toutes soldées par des catastrophes économiques, sociales et sanitaires.


https://h16free.com/2024/05/08/77513-les-francais-en-petite-sante-lepidemie-de-coincidences-setend

22 avril 2024

Effet accélérateur du vaccin anti-Covid Pfizer sur les cancers ?

Vincent Verschoore

22/4/2024 - Une telle hypothèse vaut excommunication immédiate par le clergé covidiste, mais une toute récente étude pointe un tel effet d'un adjuvant au nom barbare, présent dans ces produits afin de protéger l'ARNm injecté des défenses immunitaires.
Traduction de l'abstract :
"En raison de l'urgence sanitaire créée par le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, la mise en œuvre rapide d'une nouvelle technologie vaccinale était nécessaire. Les vaccins ARNm, qui font partie des nouvelles technologies de pointe, ont suscité un grand intérêt et suscité beaucoup d'espoir. Le potentiel de ces vaccins à prévenir les hospitalisations et les maladies graves chez les personnes présentant des comorbidités a récemment été remis en question en raison de l'affaiblissement rapide de l'immunité des vaccins. Des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que ces vaccins, comme beaucoup d'autres, ne génèrent pas d'immunité stérilisante, ce qui rend les personnes vulnérables aux infections récurrentes. En outre, on a découvert que les vaccins à ARNm inhibent des voies immunologiques essentielles, compromettant ainsi la signalisation précoce de l'interféron. Dans le cadre de la vaccination COVID-19, cette inhibition assure une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite.
Il est prouvé que l'ajout de 100% de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, ce qui suggère que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer. Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm modifiés à 100 % en m1Ψ, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification en m1Ψ afin d'éviter la suppression de l'immunité."
Plus de trois ans après le début de cette vaste vaccination expérimentale de masse, de désinformation et de censure baignée de corruption, et face à la très faible efficacité de produits générant par ailleurs de nombreux effets indésirables, la science se penche sur les mécanismes moléculaires à l'œuvre. Mécanismes qu'il aurait fallu évaluer "avant", mais l'hystérie politico-sanitaire et la corruption en décidèrent autrement.


https://zerhubarbeblog.net/

17 avril 2024

Catherine Gaillard

Évidemment ils ne lâchent pas l'affaire... Il y a eu tant d'obéissants pour se faire inoculer la potion Véran, le doigt sur la couture, (tout en insultant les prudents et leur souhaitant même parfois la mort). Ca vaut le coup de ressortir la machine à gros sous-sous en 2024, en 2025, en 2026, etc...
Véran avait même INTERDIT LA VITAMINE D - devenue dangereuse brusquement - alors qu'elle est un puissant protecteur, et que les toubibs la prescrivaient chaque mois avant le Covid et la represcrivent à nouveau depuis. Elle fait d'ailleurs partie du protocole de prévention courant pour les personnes à partir d'un certain âge...
On peut aussi tenter de s'intéresser aux sms et contrats passés entre von der Leyen et Pfizer et dont la chef de la commission européenne jugerait donc "qu'ils doivent rester secrets".

8 avril 2024

Pr Christian Perronne : "L'OMS est totalement infiltrée par les groupes privés !"


27 février 2024

Marc Amblard

Davantage de décès après Covid que durant la "pandémie". Notamment chez des gens jeunes. Les chercheurs sont perplexes. On ne comprend pas. On retourne le problème dans tous les sens mais aucune explication n'apparaît.
Mystère et boule de gomme...
Peut-être le réchauffement climatique, allez savoir...

14 février 2024

Vaccins covid : de l’intolérance

Gérard Maudrux
14/2/2024

« L’intolérance est une faiblesse d’esprit. » Vauvenargues

LES FAITS

Dans cette crise Covid, j’ai été frappé et attristé de voir émerger les plus vils défauts incontrôlés de la race humaine. On attend des hommes politiques et des médecins qu’ils comprennent l’opinion des autres, même si ce n’est pas la leur, qu’ils comprennent les craintes des autres, qu’ils aient un peu de compassion, qu’ils expliquent au lieu d’insulter. Rien de tout cela. Pire, ils sont très fiers de leurs défauts, l’affichant sur les réseaux sociaux et sur les plateaux télé.

Je veux parler du comportement de certains à l’égard de ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner avec un produit totalement nouveau, n’ayant pas fait ses preuves, et surtout dont on ne connaissait absolument pas les effets à moyen et long terme.

On a commencé par les traiter d’» antivax », mot devenu une insulte au même titre qu’assassins, alors qu’ils étaient à jour de tous leurs vaccins, étaient prêts à se faire vacciner comme ils le font chaque année pour la grippe, mais qu’ils voulaient que l’on réponde à leurs questions avant de franchir le pas : qu’est-ce que cela peut faire d’autre ? Au lieu de répondre à ces questions, ne pouvant le faire, on les a agressés, fait passer pour des parias, des nuisibles, des ennemis de la société.

Ce qui m’a frappé dans ce conflit entre vax et non vax, c’est que le conflit ne venait que d’un côté. On a vu des vax, beaucoup de vax, agresser les non vax, mais personnellement, je n’ai pas vu l’inverse. Je ne me suis jamais fâché avec un vax, ni même critiqué. C’est leur choix, leur problème, ce n’est pas le mien, et j’ai toujours respecté leur choix. Par contre j’en ai plaint beaucoup qui l’on fait sans consentement, car contraints, pour survivre, non médicalement mais socialement.

Je ne suis pas le seul à avoir fait cette constatation, une étude a même été faite sur le sujet, publiée dans Nature. Cette étude danoise a pour titre « Attitudes discriminatoires à l’égard des personnes non vaccinées pendant une pandémie mondiale ». Les résultats de l’étude sont basés sur une évaluation de

15 233 personnes, dans 21 pays différents. Le diagnostic est sans appel : conflit à sens unique, ne venant que d’un côté.

« Nous montrons ici que les individus vaccinés contre le COVID-19 expriment des attitudes négatives à l’égard des individus non vaccinés sous la forme d’antipathie, de stéréotypes, de soutien à l’exclusion des relations familiales et de soutien à la suppression des droits politiques… La recherche a révélé que les personnes vaccinées expriment des attitudes discriminatoires à l’égard des personnes non vaccinées à des niveaux aussi élevés ou supérieurs que des attitudes discriminatoires à l’égard d’autres cibles courantes comme les immigrés, les toxicomanes, les détenus. Ce préjugé tend à être unilatéral et ce dans tous les pays, à l’exception de la Hongrie et de la Roumanie ».

En conclusion les auteurs suggèrent que « les autorités devraient éviter d’alimenter une profonde animosité entre les citoyens lors de la gestion de grandes crises sociales, telles que la pandémie de COVID-19 ».

LES RAISONS

Qu’est-ce qui a fait que ces politiques, ces médecins et ces journalistes traitent une partie des Français comme les pestiférés ou des lépreux et fassent ce retour intellectuel dans le XIVe siècle pour la peste noire ou en 1900 avec les lépreux ?

Ignorants, stupides ? Oui. Ces intolérants n’avaient qu’un seul motif pour justifier leur intolérance : vacciner pour éviter de transmettre la maladie aux autres. Or cette affirmation ne reposait sur aucune base scientifique, ce qui n’a pas empêché l’Académie de médecine, l’Ordre des médecins, la Haute Autorité de Santé de se joindre au concert d’ignorants. Il suffisait de lire l’étude préliminaire de Pfizer pour constater que cela n’avait pas été testé, et d’observer pour constater que d’une part cela n’empêchait pas d’attraper la maladie, et que malade, cela n’empêchait pas de transmettre. Soit ils ne savaient pas, et leur discours agressif était inacceptable, soit ils savaient, et leur discours était malhonnête. Pourquoi ne sont-ils pas poursuivis par l’Ordre pour avoir tenu un discours mensonger ?

Là où la malhonnêteté de tous est sans appel, c’est quand on a demandé aux soignants vaccinés et malades de continuer à exercer. On a empêché des soignants non vaccinés, non positifs d’exercer au motif fallacieux qu’ils pouvaient contaminer, tout en poussant des soignants contaminants à continuer de travailler. Où est la logique médicale qui aurait dû être dénoncée par l’Académie et l’Ordre ? Point besoin d’être médecin non plus pour constater la stupidité de ces propos, de ces actes. Ils ont validé cette escroquerie intellectuelle. On a volontairement, en toute connaissance de cause, condamné à une mort professionnelle nombre de soignants dévoués, alors qu’on en manquait ! Au nom de la santé publique ? Non, au nom de la pure bêtise. Ils ont délibérément poussé à des mutilations quand on constate que 65% des EI sont survenus chez les moins de 65 ans, population qui n’avait pas plus à craindre qu’une bonne grippe saisonnière et pour laquelle on n’oblige pas à vacciner. Les premières statistiques venant de Wuhan montraient clairement que la population à risque était âgée, mais qu’il fallait aussi des comorbidités pour que le virus soit létal.

Ces intolérants devraient lire Voltaire et son traité de l’intolérance de 1763 : « Si vous voulez qu’on tolère ici votre doctrine, commencez par n’être ni intolérants ni intolérables », ou encore : « Rien n’est plus dangereux que lorsque l’ignorance et l’intolérance sont armés de pouvoir », et encore : « l’intolérance a couvert la terre de carnage.”

MEA CULPA

Ces fans de l’inquisition, qui rêvent de brûler ceux qui ne font pas partie de leur religion devraient lire Le Monde Diplomatique de février 2024, qui titre : « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur ». 
Seront-ils capables de reconnaître un jour qu’ils se sont trompés ? Je ne le crois pas, il leur manque pour cela une case dans leur cerveau. Vous verrez qu’ils sont prêts à recommencer demain, leur caractère est dans leurs gènes.

“Face à l’intolérance et à la haine, il n’y a pas de transaction possible, pas de compromission possible, pas de débat possible.” Discours de Jacques Chirac à Rennes le 23 Avril 2002.

LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ.

Ces fanatiques ont bafoué les valeurs de la France.

Liberté ? Ils ont bafoué la liberté de réfléchir, de penser, de débattre, de choisir, d’opinion, d’expression, de décider… Cette secte prône même la prison pour toutes ces libertés (Art 4).

Égalité ? L’égalité des droits, c’est aussi le droit pour chacun d’être différent et les excès de l’égalitarisme conduisent au totalitarisme, à la dictature.

Fraternité ? Ne parlons plus de fraternité quand on monte les Français les uns contre les autres, quand on monte des professionnels les uns contre les autres, quand on détruit des familles. Pour les médecins, je citerai toujours Voltaire et son traité sur la tolérance : « Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères”.