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8 novembre 2025

Vincent Verschoore

-7/11/2025- Ce 3 novembre disparaissait Dick Cheney, l'une des plus grandes crapules de la politique américaine et architecte, avec quelques autres, de la situation géopolitique catastrophique actuelle.
Déjà membre du Deep State sous Bush père, longtemps PDG du géant des services pétroliers Halliburton, Cheney et son pote Rumsfeld contrôlaient Bush fils lors de ses mandats présidentiels, et leur première victoire fut de relancer le financement massif du complexe militaro-industriel et des services secrets (en baisse depuis la chute du mur) grâce au 11 septembre 2001, un évènement largement "facilité" par l'administration US.
Il permit en outre de relancer la guerre en Irak sur base de mensonges dont Cheney était le principal instigateur, et d'y implanter Halliburton via des contrats mafieux avec l'État US. Tout bénef.
Cheney s'activait également sur le front de la provocation envers la Russie, ce avec l'aide de sa conseillère Victoria Nuland, organisatrice du coup d'État de Maïdan en Ukraine, fin 2013. Nuland est mariée à un certain Robert Kagan, co-fondateur du lobby supremaciste "Project for the new American century", ou PNAC, visant à maintenir la position hégémonique américaine face à la Russie et la Chine, et ce par tous les moyens.
Dès la prise de contrôle de l'Ukraine début 2014, Cheney en appelait à l'installation de missiles US sur la frontière russo-ukrainienne, soit à deux minutes de vol de Moscou, sachant que Poutine ne pouvait laisser faire (tout comme JFK ne pouvait laisser faire les Soviétiques à Cuba).
À nouveau, le plan aura bien fonctionné, entraînant les technocraties corrompues de l'Otan et de l'UE dans un conflit sur le dos de l'Ukraine, sans issue mais très rentable pour le complexe militaro-industriel, pour l'industrie pétrolière et gazière US, et comme justification de la marche en avant totalitaire de l'EuroSoviet (il faut se protéger des vilains Russes...).
La situation actuelle n'est pas arrivée par hasard, elle découle de manœuvres du Deep State américain dont Dick Cheney fut un maillon central, visant à casser toute situation de concurrence. Dans ce contexte, l'alliance énergétique entre la Russie et l'Allemagne, et plus généralement l'Europe, posait un risque qui fut balayé par la destruction (par l'Ukraine sous contrôle US) de Nordstream, la guerre, le pillage de l'Ukraine, et le relégation industrielle de l'Europe.
Il faut vraiment arrêter de croire ce que racontent les "autorités" et leurs médias subventionnés...

6 novembre 2025

MAMDANI OU LE PETIT REMPLACEMENT

Gabriel Nerciat

- 6/11/2025 - Il faudrait peut-être un Renaud Camus de gauche (si cela existe quelque part) pour décrire et analyser le "petit remplacement" qui est en train de se jouer depuis quelques années au sein des gauches urbaines occidentales, sans doute accéléré par les exploits meurtriers de Netanyahou à Gaza, et que l'élection triomphale de Zohran Mamdani à la mairie de New-York avant-hier illustre de façon si emblématique – étant donné le rôle que joue New-York depuis un siècle dans l'histoire et la conscience du judaïsme occidental.
La remplacée du moment – la gauche libérale, universaliste, néo-kantienne, anticléricale, en France vieille-républicaine tendance Gambetta ou Clemenceau, anticommuniste, souvent affiliée à la franc-maçonnerie irrégulière et pendant longtemps admiratrice de l'œuvre coloniale française et britannique au-delà des mers – ne comprend pas exactement ce qui lui arrive.
Sur les deux rives de l'Atlantique, leurs enfants (y compris ceux de confession juive : ils sont 35% à avoir voté Mamdani à New-York) les renient ou les délaissent pour leur exact opposé : de nouvelles élites décoloniales, anti-occidentales, antisionistes, farouchement égalitaristes, mais surtout porteuses d'un cosmopolitisme nouveau où la juxtaposition des diasporas globalisées et l'affirmation de communautarismes ethniques ou confessionnels décomplexés se conjuguent avec un regard de plus en plus critique à l'encontre de leurs nations d'origine.
Il me semble évident que le nouveau maire de New-York n'a rien du djihadiste antisémite dissimulé que tous les crétins droitards en berne, les bêtes à cornes du sionisme parisien et les chroniqueurs pavloviens de CNews présentent à jet continu depuis 48 heures.
C'est un jeune et habile communiquant musulman d'origine indienne et de confession chiite, fils de la haute bourgeoisie diplômée new-yorkaise allogène, né en Afrique, et qui sait admirablement parler aux populations déracinées et déclassées des grandes métropoles de la mondialisation dont il est à la fois le contemporain et le produit.
Sans doute a-t-il, comme Mélenchon en France, quelques influenceurs fréristes dans son entourage, mais seuls les laïcards déboussolés des vieux banquets rad-soc n'ont pas encore compris que les Frères musulmans (qui dans le monde arabe sont les rivaux directs du wahhabisme et du salafisme révolutionnaire) se plient admirablement aux normes hyper-individualistes et relativistes de l'état de droit occidental contemporain.
Pour les nouvelles gauches modernes et libérales, ce n'est pas d'eux que viendra jamais le danger : les États-Unis ne sont pas l'Iran des années 1970 ou l'Egypte du début de ce siècle. Ceux qui le pensent ne font qu'étaler complaisamment leur bêtise digne de Monsieur Homais ou de Charlie Hebdo.
Au demeurant, si l'islam sunnite avait en horreur le commerce et le capitalisme (Mahomet était marchand caravanier), Dubaï et Doha n'auraient sûrement pas la forme qu'elles ont.
Quant aux jeunes élites juives citadines occidentales, elles réaffirment, contre leurs parents, leur attachement au modèle diasporique qui a fait l'unicité et la pérennité du judaïsme européen, et qui survivra, fort heureusement, à la honte du sionisme israélien. Elles savent que c'est le prix à payer pour demeurer au cœur de la globalisation, et elles le feront, comme Spinoza ou George Steiner avant elles, sans le moindre sentiment de culpabilité.
Tout cela évidemment ne ferait sûrement pas plaisir à Condorcet ou à Jaurès, encore moins à Martin Luther King ou à Ralph Waldo Emerson, mais c'est ainsi que va le monde.
Les droitards sont bien sots de geindre (mais y a-t-il jamais eu des droitards vraiment intelligents ?), à moins qu'ils ne pressentent sourdement qu'ils vont finir par être remplacés eux aussi, par contagion (comme les néo-cons du parti républicain ont été remplacés d'un coup d'un seul par les MAGA du trumpisme).
Ces évolutions sont à l'unisson de la mondialisation finissante. Quand il pleut et qu'il fait chaud, ce sont les jungles qui prolifèrent, pas les bocages normands ou les tulipes de Hollande.
C'est assez savoureux finalement, d'entendre désormais les derniers caciques de la gauche modérée, semblables à des momies mal réfrigérées, venir nous expliquer que oui, ma bonne dame, c'était vraiment beaucoup mieux avant.
Ils vont enfin déguerpir, et pour ma part je ne les regretterai pas.

5 novembre 2025

Natalia Routkevitch


- 5/11/2025 - En lisant ce matin les commentaires extatiques devant ce "souffle d’air frais", ce « formidable coup de jeune », cette "vague de lumière et d’espoir", cette "étincelle de renouveau" - je me suis rappelée une réflexion de David Graeber, qui nous a quittés il y a déjà cinq ans, et qui avait pertinemment analysé la façon américaine d’usurper certains rôles, comme celui du « phare des démocraties » (pour un pays extrêmement inégalitaire dont la Constitution originelle ne mentionne pas la démocratie et dont tout le système est fait pour empêcher la démocratie et perpétuer les inégalités, c’est quand même fortiche), mais aussi celui d’avant-garde de l’humanité. J’ai retrouvé l’extrait en question, le voici :
"Pendant des décennies, l'Amérique s’est engagée dans une bataille pour incarner l’avenir. Cela est vrai depuis la Guerre froide, et probablement même avant, car dès le XIXᵉ siècle, les États-Unis se présentaient déjà comme une société nouvelle, née sur une toile vierge. Bien sûr, cette toile n’était vierge qu’en apparence : elle avait été vidée de ses habitants d'origine, exterminés. Mais l’idée de l’Amérique comme figure du futur était bien ancrée déjà à cette époque.
Tocqueville affirmait que deux visions du futur s’affronteraient au XXᵉ siècle : celle de la liberté, incarnée par l’Amérique, et celle de l’autorité, incarnée par la Russie - deux nations encore en pleine conquête territoriale à l’époque. Après la Seconde Guerre mondiale, cet affrontement devint explicitement idéologique, et c’est pourquoi il était si crucial pour les États-Unis de remporter la course à l’espace : il s’agissait de s’approprier le symbole même du futur. Pour beaucoup de gens, partout dans le monde, l’Amérique a en effet représenté une forme d’avenir, sans que l’on sache exactement lequel : technologique, ouvert, célébrant la jeunesse, son "énergie créatrice" et ce fameux « can-do attitude » qui semblait pouvoir résoudre tous les problèmes.
Mais les choses ont bien changé. Tandis que l’hégémonie culturelle des États-Unis, même affaiblie, demeure puissante, sur le plan politique, en revanche, depuis la fin de la Guerre froide, la politique américaine semble régresser, cherchant à atteindre ce que de nombreux pays ont déjà connu et que les Américains eux-mêmes n’ont pas vécu.
D’un côté, l’aile Sanders du Parti démocrate, ou les sociaux-démocrates, essayent de promouvoir des mesures qui existaient déjà dans la plupart des pays européens - et dans bien d'autres régions - dans les années 1950. De l’autre, la droite trumpiste ressuscite diverses formes de fascisme, nous ramenant à une situation que de nombreux pays, de l’Allemagne à l’Argentine, ont connue dans les années 1930. Il devient donc difficile de voir l’Amérique comme un modèle d’avenir, lorsque ses politiciens les plus radicaux s'écharpent violemment pour savoir quelle partie du passé il faudrait restaurer. »

Marc Amblard
5/11/2025

4 novembre 2025

Gastel Etzwane
4/11/2025

The Economist – édition du 1er au 7 novembre 2025.
Il faut commencer par rappeler une scène parfaitement documentée : deux néo-conservateurs américains, John McCain (désormais décédé) et Lindsey Graham, s’étaient rendus en Ukraine avant même le déclenchement du conflit, pour y encourager les responsables militaires ukrainiens à “tenir bon” et à entrer dans l’affrontement avec la Russie. Cette image est un symbole : l’initiative, le tempo, l’allumage, tout cela ne venait pas d’Europe. Cela venait de Washington.
Et aujourd’hui, The Economist titre froidement : « Europe’s Opportunity ». Avec un casque recouvert de billets. C’est au moins honnête : l’occasion de faire de l’argent sur une guerre qui tuera des jeunes, des deux côtés. Voilà le véritable cœur du projet : transformer l’Europe en comptable, en investisseur spéculatif, en participant financier d’un conflit qui ne profitera, au bout du compte, qu’aux États-Unis.
On peut trouver cette iconographie répugnante. Mais elle a le mérite de dire la vérité nue : on reconnaît que la guerre est un business. L’économie avant la paix. Le profit avant la vie. Ce cynisme assumé est infiniment plus inquiétant que le discours officiel. C’est le réel.
Et en France et dans d’autres pays européens, on veut nous faire croire que le conflit est inévitable. Le plus grand mensonge du moment.

22 octobre 2025

Marc Amblard
21/10/2025

USA - LES MANIFESTATIONS "NO KINGS" FINANCÉES PAR DES MILLIARDAIRES DE GAUCHE

Depuis quelques temps, plusieurs États américains sont en proie à des manifestations importantes ("NO KINGS"). Elles visent l'administration Trump à qui l'on reproche de mener une vague de répression pour stopper l'immigration illégale dans le pays.
Au passage rappelons qu'il s'agissait d'une de ses toutes premières promesses électorales et qu'il a été très majoritairement élu pour son programme.
Peu importe, pour les démocrates, ces évènements se sont déclenchés spontanément face à des mesures policières jugées antidémocratiques.
La réalité semble fort différente puisqu'on découvre que ces mouvements sont largement financés et orchestrés par des oligarques de gauche à coup de centaines de millions de dollars.
Quelle ironie tout de même ! Savoir que ces gauchistes qui défilent dans les rues pour reprocher à Trump d'agir en monarque sont finalement manipulés et parfois payés par des multimilliardaires, a quelque chose de complètement surréaliste...

19 octobre 2025

Marc Amblard
19/10/2025

MANIFESTATIONS « NO KINGS DAY » AUX USA

L’administration Trump honore une de ses promesses électorales consistant à stopper l’entrée des sans-papiers dans le pays et éventuellement les renvoyer chez eux.
L’extrême gauche est très en colère et s’oppose, parfois violemment, à la présence de la police des frontières (ICE), notamment dans les grandes villes.
Des manifestations sont alors organisées (appelées « No Kings day) pour dénoncer le « fascisme » de la Maison-Blanche.
Sur cette vidéo, un jeune homme interroge alors une manifestante pour connaître ses motivations (c’était hier) :
- Que se passe-t-il aujourd’hui ?
- C’est le « No Kings day ».
- Pourquoi avez-vous décidé de soutenir cette journée ?
- Parce que je pense que c’est important.
- Quelle est la principale raison qui vous amène à protester contre le président Trump ?
- Je suis en désaccord avec beaucoup de ses décisions.
- Y a-t-il une décision en particulier pour laquelle vous êtes en désaccord ?
- Heuuu, heuuu, je commencerais par… heuuu…. Je ne pense pas que cela soit approprié pour moi d’avoir cet entretien…
No comment.

2 octobre 2025

Natalia Routkevitch
1/10/2025

Dans son essai "The Paranoid Style in American Politics" (1964), l'historien américain Richard Hofstadter montre que la vie politique américaine est traversée, depuis des siècles, par un mode de pensée qu’il appelle le « style paranoïaque ». Il ne parle pas de problème psychiatrique mais d’une mentalité qui transforme les adversaires politiques en forces diaboliques conspirant dans l’ombre.
Ce style paranoïaque n’est pas un phénomène marginal ; il est profondément enraciné dans l'histoire politique et ressurgit à chaque crise nationale qui devient alors une lutte apocalyptique entre le bien et le mal, chaque hésitation se transformant en une preuve de trahison.
Ce mode de pensée naît dans une culture politique marquée par le puritanisme protestant. Le cadre religieux a préparé le terrain à une rhétorique politique où les adversaires deviennent des comploteurs sataniques ou des instruments d’une puissance étrangère. Mas si la matrice religieuse protestante a pu donner une forme initiale à ce style, celui-ci s’est largement sécularisé et diffusé dans toute la politique américaine. Hofstadter insiste que ce style n’est pas l’apanage de la droite : on le retrouve à travers tous les courants politiques.
De la peur des sociétés secrètes au XIXᵉ siècle jusqu’aux fantômes du communisme au XXᵉ, et jusque dans les polémiques les plus récentes, il témoigne d’une profonde inquiétude obsessionnelle nationale.

« Je parlerai ici de « style paranoïaque », comme un historien de l’art parlerait de style baroque ou maniériste.
La formule renvoie avant tout à une certaine vision du monde, à un certain mode d’expression.
L’image centrale est celle d’un gigantesque mais néanmoins subtil réseau d’influence mis en œuvre pour saper et détruire un mode de vie. On pourrait objecter qu’il a bel et bien existé des actes de conspiration au cours de l’histoire, et que ce n’est pas être paranoïaque que d’en prendre acte. Le trait distinctif du discours paranoïaque ne tient pas à ce que ses adeptes voient des complots çà et là au cours de l’histoire, mais au fait que, à leurs yeux, une « vaste » et « gigantesque » conspiration constitue la force motrice des événements historiques. L’histoire est une conspiration, ourdie par des forces dotées d’une puissance quasi transcendante et qui ne peuvent être vaincues qu’au terme d’une croisade sans limites. L’adepte du discours paranoïaque appréhende l’issue de cette conspiration en termes apocalyptiques. Il a toujours le sentiment de se trouver face à un tournant majeur : c’est maintenant ou jamais que la résistance doit s’organiser.
Parfait modèle de malignité, l’ennemi, dépeint avec précision, est une sorte de surhomme amoral ; maléfique, omniprésent, puissant, cruel, versé dans les plaisirs de la chair, attiré par le luxe. Agent libre, actif, démoniaque, il dirige – à vrai dire, il fabrique – lui-même la mécanique de l’histoire, ou détourne son cours normal en direction du mal. Il fait naître des crises, déclenche des paniques bancaires, provoque des récessions et des désastres pour ensuite en jouir et en tirer profit. En ce sens, le paranoïaque se fonde sur une interprétation de l’histoire qui donne clairement le primat aux individus : les événements importants ne sont pas appréhendés chez lui comme partie intégrante du cours de l’histoire, mais comme le produit d’une volonté particulière. »
Richard Hofstadter

29 septembre 2025

Kuzmanovic Georges
29/9/2025

Commentaire entendu sur France Info : le « but de Trump est de trouver une solution de paix pour Gaza »... toute honte bue.
Allô Radio France ? Trump (comme Biden avant lui, bref : les États-Unis) :
- Bloquent depuis des décennies toute reconnaissance de l’État de Palestine.
- Soutiennent militairement et financièrement Israël.
- Sans les USA, pas d’opérations militaires à Gaza ou en Cisjordanie.
- Sans les USA, Israël aurait été contraint de négocier depuis longtemps (ce qui aurait d’ailleurs été favorable à Israël aussi).
- Le blocus humanitaire de Gaza relève également de leur responsabilité.
- Les juges de la CPI sont traqués par les USA.
- Sans leur accord, pas de bombardements du Qatar.
- Les USA ont sauvé Israël de sa guerre absurde contre l’Iran.
- Etc.
En réalité, Netanyahou et Trump visent le dégagement total des Palestiniens de Gaza. C'est ça la réunion.

19 septembre 2025

Gastel Etzwane

-19/9/2025- Il y a quatre ans à peine, la mort de George Floyd avait embrasé l’Amérique. Minneapolis, Saint Paul, Chicago, Portland, Kenosha, Los Angeles, New York, Atlanta… Dans toutes ces villes, la colère a tourné à l’émeute. Commissariats incendiés, commerces pillés, quartiers entiers dévastés, violences de rue, affrontements avec la police : on estime que plus de 1 300 bâtiments ont été touchés rien qu’à Minneapolis et Saint Paul, et que les dégâts assurés à l’échelle nationale ont atteint entre 1 et 2 milliards de dollars, l’un des épisodes de désordre civil les plus coûteux de l’histoire américaine. Plusieurs dizaines de blessés graves, des milliers d’arrestations et des scènes dignes d’une insurrection urbaine.
Aujourd’hui, face à l’assassinat de Charlie Kirk, c’est un autre visage de l’Amérique qui se montre : veillées silencieuses, bougies, recueillement. De Burlington au Kentucky jusqu’aux campus de l’Ouest, on prie, on chante doucement, on se serre les coudes. Pas de vitrines brisées, pas d’incendies, pas de pillages. Un retour à l’intériorité et à une forme de spiritualité collective.
Le contraste est abyssal. Pour l’un, les slogans, le chaos et l’émeute ; pour l’autre, la dignité, le silence et la lumière des cierges. Cette différence en dit long sur l’état des consciences et sur le sens que chacun donne à la justice et à la mémoire des morts. Là où certains ont choisi la destruction, d’autres choisissent la prière. Et cela seul montre à quel point les réactions, dans l’Amérique de 2025, peuvent encore révéler deux visions irréconciliables du monde.

11 septembre 2025

Marc Amblard
11/9/2025

NOUS PENSONS AUSSI À TOI CHARLIE

Il avait 32 ans. Il s'appelait Charlie Kirk. Grand défenseur des valeurs traditionnelles, il avait commencé en s'installant à la sortie des universités avec sa table pliante "prove me wrong" pour échanger avec les étudiants sur des sujets de société. En toute bienveillance. Avec une extrême gentillesse.
Son charisme, son intelligence et surtout son aptitude au débat on fait de ce garçon parti de rien une figure incontournable du conservatisme américain.
Fervent chrétien, c’était un amoureux de la liberté, de la famille et de son prochain.
Hier, dans l’État de l’Utah, lors d’une conférence devant des milliers d’étudiants, il a été assassiné par un sniper qui court toujours.
La gauche montre de plus en plus son vrai visage, celui de l’intolérance, de la violence et du fascisme.
Que Charlie et Iryna ne soient pas morts pour rien.

Yann Bizien

-11/9/2025- L'hommage émouvant de la belle et bonne jeunesse américaine à Charlie Kirk, assassiné par un extrémiste de gauche pour ses convictions de droite. Elle chante "Amazing grace" dans une belle communion républicaine.

20 août 2025

Marc Amblard
20/8/2025

USA
Le président Trump s'apprête à signer un décret interdisant le vote par correspondance, devenu disproportionné, ainsi que les machines à voter, trop facilement manipulables.
Les démocrates y sont totalement opposés.
Une bataille judiciaire se profile et elle sera aussi passionnante qu'incertaine.

Faut-il rappeler que les États-Unis sont le seul pays au monde à recourir massivement au vote par correspondance. Les autres y ont renoncé en raison des fraudes électorales massives constatées.
On sait également que les États démocrates y ont bien plus recours que les États républicains (les chiffres officiels sont disponibles en ligne). Il est donc assez logique que la gauche américaine cherche à maintenir en place un système dont elle a largement bénéficié. Surtout depuis la période Covid qui a fourni un prétexte pour promouvoir ce type de scrutin hors contrôle (69% des voix « exprimées » en novembre 2020).
On saisit alors toute l’importance des enjeux que présente un tel décret. Cependant sa légalité pose question.
Les 50 États seront-ils contraints de le respecter ?
NON (a priori). Pourquoi ? Parce que les États sont « indépendants » et la Constitution donne à chacun le droit d'organiser ses propres élections.
MAIS… (vous allez voir, c’est subtil) le vote par correspondance favorisant la fraude, chaque faux bulletin annule in fine un bulletin valide. Autrement dit, si je vote légalement pour un candidat républicain et qu’un faux bulletin est produit au profit du candidat démocrate, ma voix est neutralisée. Je suis donc de facto privé de mon vote. Et ça, c’est clairement une violation des droits civiques…
Or, il est de la compétence du gouvernement fédéral (Maison-Blanche) de garantir les droits civiques de chaque citoyen américain. C’est clairement stipulé dans la Constitution.
Nous allons donc assister à une série d’actions judiciaires destinées à attaquer et invalider le décret Trump. Les avocats constitutionnalistes vont pouvoir s’en donner à cœur joie. Nul ne peut prédire la décision finale des juges. Mais, à tout le moins, le débat sur la fraude électorale est désormais ouvert et ça, c’est une bonne chose car aucun pays ne peut se prévaloir d’être une démocratie sans un système d’élections sûres et honnêtes.

24 juillet 2025

Marc Amblard

USA - LA COMMISSION DE LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS VOTE L'ASSIGNATION À COMPARAÎTRE DU COUPLE CLINTON POUR SES LIENS PRÉSUMÉS AVEC JEFFREY EPSTEIN

-24/7/2025- Les Clinton et plusieurs anciens hauts fonctionnaires du ministère de la Justice dont le directeur du FBI James Comey, le procureur spécial Robert Mueller et les procureurs généraux Loretta Lynch, Eric Holder, Merrick Garland, Bill Barr, Jeff Sessions et Alberto Gonzales figurent sur la liste des assignations à comparaître afin d’être entendus dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Epstein.
Le Ministère de la Justice, de son côté, a déposé une requête pour que les témoignages qui en sortiront soient rendus publics.
Ces informations tranchent nettement avec la récente déclaration de l’actuel président des Etats-Unis désireux de refermer le dossier. Selon certains proches, il aurait finalement cédé sous la pression de sa base électorale et des représentants MAGA.
Que Clinton, Epstein et Obama soient vivement remerciés : sans eux, l’été 2025 n’aurait pas la même saveur.

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22 juillet 2025

OBAMA BIENTÔT CITÉ À COMPARAÎTRE ?

Marc Amblard
22/7/2025

CBN NEWS : Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a déclaré devant les caméras que le Congrès envisage d’assigner l'ancien président Barack Obama. Chef d'accusation : avoir collaboré avec les agences de renseignement américaines aux fins de lier le président Donald Trump à la Russie lors de l'élection de 2016...
Selon la Directrice du renseignement américain, Tulsi Gabbard : « Les implications de cette affaire sont tout simplement historiques. Plus de 100 documents que nous avons publiés vendredi détaillent et apportent des preuves de la manière dont ce complot de trahison a été orchestré par le président Obama, quelques semaines seulement avant son départ, alors que le président Trump avait déjà été élu ». « Ce n'est pas une question démocrate ou républicaine ; c'est tellement grave qu'elle devrait préoccuper chaque Américain, car elle touche à l'intégrité de notre république démocratique. »

19 juillet 2025

USA – ÇA NE SENT PAS BON DU TOUT POUR BARAK OBAMA

Marc Amblard

-19/7/2025- L’ancienne militaire et désormais directrice du renseignement national à Washington, Tulsi Gabbard, vient de déclassifier des documents explosifs prouvant que l'administration Obama a délibérément comploté contre Trump fraîchement élu en 2016. Des fausses pièces avaient été opportunément fabriquées pour le piéger dans un faux récit de collusion avec la Russie.
Selon certains observateurs avisés, cette campagne de désinformation contre le peuple américain pour renverser un président en exercice "fait passer le Watergate pour une affaire d'amateurs".
Les documents en question révèlent qu'un bulletin présidentiel quotidien du 8 décembre 2016 affirmait que les acteurs russes "n'avaient pas influencé les résultats des récentes élections américaines en menant des cyberattaques malveillantes contre les infrastructures électorales".
Cependant, l'administration Obama a étouffé cette affirmation et ordonné aux services de renseignement de créer un nouveau narratif en contradiction directe avec leurs conclusions initiales.
"Le canular russe était une machination politique orchestrée par des proches d'Obama et instrumentalisée par les services de renseignement pour faire tomber le président Trump", a déclaré le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson. "Il est grand temps que les responsabilités soient établies" a-t-il ajouté.
"Hillary Clinton l'a inventé. Le FBI l'a orchestré. Joe Biden et Barack Obama étaient au courant. Et les médias grand public l'ont diffusé", a précisé le député Tom Tiffany.
Tulsi Gabbard s'est engagée à remettre l’intégralité du dossier au Ministère de la Justice pour qu'il soit transmis au pénal. L’ancien président Barak Obama, l'ancien directeur de la CIA John Brennan et l'ancien directeur du FBI James Comey (entre autres) pourraient donc devoir en répondre devant les juges.



20/7/2025

AFFAIRE OBAMAGATE : PRÉCISIONS

Je fais suite à mon post d'hier sur ce dossier qui place les agissements de l'ancienne administration Obama au cœur de l'actualité judiciaire et politique.
Certains de mes contacts ont regretté l'absence de lien.
Alors en voici un qui mène directement au site du Gouvernement américain (Bureau de la Direction du renseignement national). On peut y lire un communiqué de presse officiel intitulé :
"Nouvelles preuves d'une conspiration de l'administration Obama visant à saboter la victoire et la présidence du président Trump en 2016"
Vous y trouverez quelques explications complémentaires pouvant vous intéresser.
Les preuves et autres documents sont désormais sur le bureau de l'Attorney General Pam Bondi (Ministre de la Justice).
Une action pénale devrait être engagée contre l'ancien président et ses proches. Débouchera-t-elle sur une vague d'arrestations ou bien le dossier sera-t-il finalement refermé comme celui du maître-chanteur pédophile Epstein ?
L'avenir nous le dira.

17 juillet 2025

Denis Albisser

-17/7/2025- Il semblerait que les Allemands aient pris conscience de cette réalité, et c'est la raison pour laquelle le satrape américain de BlackRock devrait gicler prochainement.
Nous savons tous que l'Ukraine est devenue une colonie américaine depuis le coup d'État de 2014, et que la guerre contre la Russie a commencé à ce moment-là.
Dès lors, le nouveau régime n'a eu de cesse que de discriminer, persécuter et bombarder les populations russophones du Donbass.
Et, la Russie n'a pas eu d'autre choix, que d'intervenir pour protéger et libérer ces populations, ou fermer les yeux, et les laisser se faire massacrer.
Nous savons que les mondialistes européistes qui dirigent la plupart des pays européens ne font que servir la soupe aux USA, et aux dégénérés de Davos, qui sont prêts à tout pour conserver leur leadership.
Nous savons aussi que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes, l'écrasante majorité du Système n'ayant pour préoccupation que de continuer à grouiller dans le Système.

7 juillet 2025

6 juillet 2025

Trump vient de couper les flux de trésorerie des Rothschild : 600 milliards de dollars arrachés aux mains des mondialistes et donnés aux Américains d'un seul coup !

Fini les jeux. Fini l'attente. Le 4 juillet 2025, le président Donald J. Trump a signé l'assaut financier le plus dévastateur jamais lancé contre l'élite mondiale du pouvoir – et il l'a fait d'un trait de plume. Le « One Big Beautiful Bill » n'est pas seulement une baisse d'impôts. C'est une arme tactique, conçue pour éradiquer le système parasitaire profondément enraciné qui siphonne les richesses du peuple américain depuis plus d'un demi-siècle.
Et soyons clairs : il ne s’agit pas d’une politique, mais d’une déclaration de guerre. Une attaque stratégique et ciblée contre les réseaux de blanchiment d’argent, le cartel fiscal corrompu implanté à Washington, les banques centrales contrôlées par les mondialistes et les bureaucrates qui ont passé des décennies à maintenir la classe moyenne asservie sous une guerre économique silencieuse.
Le président Trump, désormais pleinement rétabli dans ses fonctions de commandant en chef depuis le 20 janvier 2025, ne s'est pas contenté de « signer une loi fiscale ». Il a donné l'ordre de détruire le système financier que le Forum économique mondial, le FMI et leurs marionnettes à Washington utilisent depuis longtemps pour asservir le travailleur américain.
Alors que les médias moqueurs crient à l'aide aux « baisses d'impôts pour les riches », ils refusent de toucher à la vérité : ce projet de loi reprend la richesse des mains de la machine à fraude fiscale mondialiste et l'injecte directement dans les mains des Américains ordinaires. Pas ceux qui négocient des crédits carbone, qui promeuvent les cartes d'identité numériques ou qui achètent des terres agricoles via des sociétés écrans ; mais les vrais bâtisseurs, les chauffeurs routiers, les serveuses, les soudeurs et les mères qui cumulent deux emplois pour nourrir leurs enfants.
Parlons chiffres, car les chiffres ne mentent pas ; les élites, si. Les ménages gagnant entre 50.000 et 150.000 $ réalisent des économies directes de 5.000 à 8.000 $. Les familles de quatre personnes ? Entre 10.000 et 13.300 $ de plus dans leurs poches — pas « un jour », mais dès maintenant.
Le Comité mixte sur la fiscalité, qui n'est pas connu pour soutenir Trump, l'a confirmé : 600 milliards de dollars d'allègements fiscaux pour la classe moyenne. Et 70 % de ces allègements sont destinés aux personnes gagnant moins de 500.000 dollars – le segment que les mondialistes ont saigné à blanc à cause de l'inflation, des politiques ESG et des guerres sans fin.
Le projet de loi est d'une ampleur considérable. Les personnes gagnant entre 30.000 et 80.000 dollars – pilier de l'économie américaine – bénéficient d'une réduction d'impôt de 15 %. Les Américains qui travaillent verront leur revenu après impôts exploser de 4,3 % en 2026, juste à temps pour la deuxième phase de l'offensive économique de Trump.
Mais voici ce que les médias ne diront pas : ce projet de loi supprime complètement l’impôt sur le revenu des travailleurs au pourboire. Il s’agit d’une catégorie cachée de plus de 4 millions de personnes, victimes silencieuses des codes fiscaux élaborés par des groupes de réflexion financés par les fondations Rockefeller et Soros. Serveuses, coiffeurs, chauffeurs de taxi, barbiers. L’impôt sur leurs pourboires a disparu : jusqu’à 1.700 $ leur sont reversés. Ce n’est pas de la charité, c’est de la justice.
Et ce n'est pas tout. Trump s'en est ensuite pris au vol fiscal des heures supplémentaires : 80 millions de travailleurs horaires empocheront désormais jusqu'à 1.750 dollars de plus par an, car les heures supplémentaires sont désormais exonérées d'impôt. C'est le coup de massue que la Réserve fédérale espérait ne pas voir arriver – et il est arrivé. Car Trump ne sert pas la Fed. Il sert le peuple américain.
Ce projet de loi n'aide pas seulement les familles ; il éviscère l'un des outils d'oppression préférés de l'élite mondiale : l'impôt sur le revenu des pauvres. Les ménages gagnant entre 15.000 et 30.000 dollars verront leurs impôts réduits de 23 %. C'est le pire cauchemar du régime : des Américains à faibles revenus échappant à la plantation de pauvreté construite par l'IRS et gérée par des banques internationales.
La déduction forfaitaire a presque doublé, permettant aux familles d'économiser jusqu'à 2.600 $ rien que pour leur existence. Le crédit d'impôt pour enfant est passé de 2.000 $ à 3.500 $ par enfant ; une famille avec deux enfants reçoit donc désormais 7.000 $ en retour. Ce n'est ni un prêt, ni une mesure de relance. C'est une aide réelle et permanente.
Mais c'est là que les élites ont commencé à paniquer : le projet de loi prévoit une prime de déduction de 6.000 $ pour les personnes âgées. Si l'on ajoute à cela les réformes de Trump, 88 % des personnes âgées bénéficiant de la Sécurité sociale ne paient désormais plus d'impôt fédéral. Vous avez bien lu : zéro. Cela torpille le projet de longue date des partisans de Davos visant à éliminer progressivement la Sécurité sociale par le biais d'impôts cachés. Et ils le savent.
Une personne âgée vivant avec 24.000 dollars par an ? Elle ne doit plus rien. Un couple marié de personnes âgées recevant 48.000 dollars ? Totalement exonéré également . Et si Trump avait initialement promis de supprimer purement et simplement les cotisations de sécurité sociale, sa décision est encore plus dévastatrice pour l'État profond : un taux de mortalité de 90 % pour les impôts fédéraux sur les personnes âgées, sans toucher au fonds fiduciaire. Voilà comment fonctionne le vrai pouvoir. Discret. Mortel. Stratégique.
Et comme ça, l’IRS a perdu l’une de ses sources les plus fiables de vol silencieux.
Les effets à long terme ? La comptabilisation intégrale et permanente des dépenses d'équipement et de R&D des entreprises signifie que les entreprises américaines ne sont plus entravées par des plans d'amortissement de type Rothschild. Cela permet une déduction à 100 % des investissements en capital dès le premier jour. Les banques centrales sont furieuses : cela accélère l'indépendance économique non mondialiste.
Les propriétaires de petites entreprises, ceux-là mêmes écrasés par les confinements, les mandats et le chantage aux critères ESG, économiseront désormais entre 3.000 et 5.000 dollars par an en charges sociales. C'est la plus grande libération pour les entreprises indépendantes depuis Reagan – sauf que cette fois, Bush n'est plus là pour les saboter de l'intérieur.
Le Conseil des conseillers économiques estime que cela entraînera une hausse des investissements de 2,7 % à 3,2 % et une hausse du PIB de 0,7 % à long terme. La Tax Foundation confirme : une augmentation de 1,2 % du PIB et des gains de salaire réel pouvant atteindre 2.600 $ pour les travailleurs.
Et voici la vérité interdite : ce projet de loi ne profite pas aux riches ; il les punit. Il réduit le labyrinthe des échappatoires fiscales et force les capitaux à se diriger vers les États-Unis, et non vers les comptes des îles Caïmans. C'est pourquoi ils paniquent. C'est pourquoi le FMI a émis trois avertissements cette semaine. C'est pourquoi BlackRock a commencé à se débarrasser discrètement d'actifs américains. Trump vient de rompre leur lignée financière.
Tandis qu'ils promeuvent la monnaie d'identité numérique via les projets pilotes de la BRI, Trump y répond par une véritable souveraineté économique – et il faut croire que cela fait partie d'une opération bien plus vaste. Sous Trump, le Trésor n'est plus sous le contrôle des banques Rothschild. Des mouvements discrets sont déjà observés : audits des coffres, rapatriement stratégique de l'or et discussions sur les devises liées aux actifs réels sont en cours.
Ce projet de loi fiscale est le début, pas la fin.
Les élites savent ce qui les attend. Il ne s'agissait pas seulement d'une réforme financière. C'était une guerre financière – et pour une fois, la classe moyenne a gagné.
Le projet de loi de Trump marque le début de la démolition définitive du système économique mondial d'esclavage. Le 4 juillet 2025 n'était pas seulement le jour de l'Indépendance, c'était le jour de la réindépendance.
Et cette fois, nous ne le rendons pas.