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23 décembre 2022

Jean-Pierre Luminet

Ne regardant plus la télévision depuis quelques années, j'ai été surpris du nombre de personnes qui ont visionné le 28' d'ARTE diffusé samedi dernier, dans lequel, malgré quelques coupures au montage (car enregistré la veille), ont survécu quelques commentaires de ma part peu goûtés par les agents du système. Hormis quelques inévitables ripostes rageuses des défenseurs inconditionnels de l'infamie, j'ai reçu un grand nombre de messages de félicitations, ici et par courriel, saluant mon "courage". Merci, mais je ne vois pas du tout pourquoi il faut être courageux pour dire ce que l'on pense être juste, quelle que soit l'arène où l'on s'exprime. J'aurais eu honte de moi si je ne l'avais pas fait.

22 décembre 2022

Avis aux candidats à l’immigration en France

Elie Sasson

Attention, la loi va changer et sera considérablement durcie.
Si jamais vous venez illégalement ici, eh bien… vous serez considéré comme expulsable. Wouaw, j’entends des dents qui claquent de terreur.
Si vous vous comportez mal, vous serez considéré comme expulsable, mais un peu plus expulsable que si vous étiez simplement expulsable.
Si vous pensez que vous allez toucher des allocations sociales, eh bien… ce sera en effet le cas mais c’est uniquement parce que nous sommes humains et ce ne serait pas joli-joli d’en profiter. Nous vous faisons confiance pour ne pas abuser de notre humanité.
Par contre si vous pensez que vous allez faire venir toute votre famille une fois installés, vous vous trompez lourdement… non ? On me dit dans l’oreillette que vous pourrez le faire comme avant. OK. Je retire. Au temps pour moi.
Ah ! Autre cas spécifique. Si vous exercez un métier en tension, on vous gardera. Mais si vous n’exercez pas un métier en tension, eh bien… qu’à cela ne tienne, on vous en donnera un. Ça embauche à la pelle dans les restos, les sociétés de nettoyage et le BTP. Par contre, niveau salaire faudra pas trop la ramener. Pigé ?
Dernier point. Si vous êtes un professionnel de santé, on vous prendra aussi mais uniquement si vous travaillez dans des centres de santé à but non lucratif. Vous savez ? Ceux qui détournent en toute légalité les bénéfices des centres vers des holdings. Quel salaire ? Là aussi faudra pas trop la ramener. Compris ?
Sacré Macron ! Jamais à court de bonnes idées pour couler le pays. 22/12/2022

21 décembre 2022

LES DÉGÂTS DU WOKISME

Marc Amblard

Cette jeune maman s’est présentée au School Board Meeting (*) déguisée en chatte (ça lui va très bien d’ailleurs :-))
Elle a alors pris le micro pour s’adresser aux enseignants et à la direction de l’école. Elle a prétendu qu’elle n’était pas une femme habillée comme une chatte mais réellement une chatte.
Elle leur a demandé ensuite combien d’entre eux pouvaient croire une telle connerie. Personne. Idem si on posait la question aux enfants. Aucun d’eux n’y croirait parce qu’ils ne sont pas stupides et que le principe de réalité s’impose.
Elle est une femme parce qu’elle est biologiquement constituée comme telle.
Elle a poursuivi en déclarant que si elle s’imagine réellement être une chatte alors c’est qu’elle est psychologiquement dérangée et privée de ses facultés de discernement.
Dans ces conditions, est-il sain d’autoriser ce type de personne dans l’environnement proche des écoles ? Rappelons que certains établissements recrutent des transsexuels ou des drag-queens pour « ouvrir » l’esprit des enfants.
Elle a ajouté qu’une école n’est pas un lieu pour procéder à des expérimentations sociales ou répandre de l’idéologie transgenre. Les enfants vont à l’école pour découvrir des faits et des vérités scientifiques, non pour apprendre qu’ils peuvent changer de sexe, ce qui est biologiquement impossible.
Elle a été applaudie par les autres parents d’élèves.
Qu'on lui remette une médaille !
(*) ces conseils prennent les grandes décisions au sein des écoles publiques



Covid

Jonathan Sturel

Au fait, la vague numéro (je ne sais plus combien) avec laquelle ils ont essayé de nous refaire peur est en train de décliner. Sans passe sanitaire, sans masque obligatoire, sans campagne de vaccination, sans confinement, sans fermeture des rayons culottes, sans jauge et sans être obligé de boire nos cafés assis dans les bistrots.
Tout est ouvert, salles de sport, piscines, transports en commun, restaurants, commerces, cinémas, boîtes de nuit, etc. Tout est fréquenté abondamment.

Pourtant, cette nouvelle vague se retire tranquillement, comme toutes les autres.
 
Tête des covidistes qui depuis le début ont cru religieusement dans les restrictions et les mesures gouvernementales lorsqu'ils réalisent qu'on obtient les mêmes résultats avec ou sans les restrictions en question...


L'abaissement du niveau général de nos jeunes générations

Yann Bizien

Très peiné de découvrir l'effondrement du niveau des candidats au concours d'entrée dans l'Éducation nationale.
Très peiné, mais finalement pas étonné.
Le métier d'enseignant était jadis une vocation et un engagement sacrés. Il faisait rêver des générations. On transmettait l'essence de cette vocation dans la famille. Elle était partout admirée, reconnue et respectée. Et on s'engageait dans l'institution pour y faire une carrière complète.
L'École, autrefois, instruisait. Elle encourageait l'effort, fabriquait des esprits bien faits, chassait l'ignorance, transmettait des valeurs, suscitait le respect de l'autorité, savait punir, récompensait les mérites, et générait de l'excellence.
La France pouvait briller et rayonner. Les enseignants étaient fiers de leurs résultats.
Je relisais tout récemment « Qu'est ce qu'une Nation », ce magnifique discours prononcé en 1882 à la Sorbonne par Ernest Renan. Je me demandais si les candidats avaient pris le temps de lire cette pépite intellectuelle. Car on y retrouve tout ce qui peut qualifier un esprit bien fait et lumineux : le fond culturel, la capacité à bousculer des concepts, l'aptitude à confronter, à organiser, à contextualiser et à hiérarchiser des idées, le sens de l'analyse, du développement, de la démonstration, de l'argumentation et de la prise de position.
En voulant privilégier la mixité sociale, l'adhésion aux théories progressistes, à l'écologisme et à l'égalité des chances, la classe politique a abandonné toute ambition d'instruction au détriment de nos enfants devenus aujourd'hui des adultes ignorants. [...]
Notre classe politique a abandonné la notion d'exigence. Exigences de souveraineté, d'indépendance, d'autonomie industrielle et énergétique, de défense forte, de frontières surveillées et respectées, de sécurité, d'amour de la Patrie, d'instruction de nos enfants et d'excellence.
Nous découvrons aujourd'hui le triste résultat de toutes nos négligences et capitulations. Ce bilan, c'est celui, hélas, de la médiocrité et de notre effondrement intellectuel.
« La Culture ne s’hérite pas, elle se conquiert » disait André Malraux. C'est ce qui répond à l'homme lorsqu'il se demande ce qu'il fait sur terre, ajoutait-il.
« Les hommes se sont mille fois plus acharnés à acquérir des richesses que la culture, bien qu'il soit parfaitement certain que le bonheur d'un individu dépend bien plus de ce qu'il est que de ce qu'il a » disait Arthur Schopenhauer.
Notre jeunesse a des écrans plats. Mais il lui manque l'épaisseur de la Culture. Et nos enseignants, démotivés, en perte de sens, mal défendus, ne font plus carrière. Beaucoup, déçus, seuls face à l'ensauvagement des classes, démissionnent.
Ce n'est donc pas le nouveau Ministre de l'Éducation nationale qui remettra sur pied notre vieux Mammouth. Bien au contraire. Il va accélérer et intensifier l'abaissement du niveau général de nos jeunes générations.
Michel Rosenzweig

Je me demande vraiment combien de Français ont réalisé que leur Président était un vrai tox à la coke. Moi qui ai travaillé dans ce domaine pendant des années, je n'ai aucun doute.
Je précise que je n'ai aucun jugement moral sur cette consommation.
C'est juste que, connaissant les effets de cette consommation et surtout les dégâts induits sur la santé mentale, il me semble quand même très alarmant d'avoir confié la France à ce Monsieur.
Mais bon, vous me direz que les Américains ont bien confié leur pays à sleepy Joe.
Et la liste n'est pas exhaustive.
Bon, allez, enivrez-vous et n'oubliez pas qu'aujourd'hui c'est la journée mondiale de l'orgasme.
Un par an, ça devrait le faire.
Bon solstice d'hiver.

Les crises cardiaques, c’est tendance

Pierre Duriot

Je me marre... les crises cardiaques, c’est tendance. Jusqu’à voici environ deux ans, elles étaient réservées aux alcoolos-tabagiques et aux vrais malades du cœur. Maintenant, attention, ça peut toucher tout le monde et un certain nombre de causes et de concepts sont venus nous mettre en garde contre l’arrêt du cœur. La mort « subite et inexpliquée », jusque-là réservée aux nourrissons, s’applique maintenant aux adultes, depuis un an environ. Sinon, on peut mourir de crise cardiaque en faisant du sport, on le savait un peu, mais personne ne le disait vraiment, mais inexplicablement, aussi, en « mangeant seul », en prenant une « douche chaude », en nouant ses lacets, en passant du chaud au froid et en réalisant tout un tas d’activités quotidiennes qui jusque-là, n’avaient pas l’air de poser le moindre problème. Depuis un à deux ans, on ne voit pas du tout ce qui est advenu de nouveau et qui pourrait renforcer les risques cardiaques chez les adultes. Les médecins ont dû spontanément faire d’énormes progrès et identifier des risques totalement inconnus voici deux ans, à l’âge du bronze donc, avant les progrès de la médecine.