-9/7/2025- Le gouvernement a décidé de confier à une coalition d’associations la mission de signaler en priorité les contenus jugés « haineux » sur les réseaux sociaux. Cette initiative sera financée par les impôts des Français, sans qu’on leur ait jamais demandé leur avis.
Seront ainsi rémunérés : le CRIF, la Licra, SOS Racisme, SOS Homophobie, le Planning familial, la Fédération des centres LGBTI+, Flag!, Respect Zone, Osez le féminisme, M’endors pas, le Mouvement du Nid et Addam.
Officiellement, il s’agit de lutter contre les propos antisémites, racistes, anti-musulmans, homophobes ou misogynes. Mais en réalité, ces structures, très engagées idéologiquement, auront surtout le pouvoir d’imposer leur propre vision du monde et de faire taire tout ce qui ne s’y conforme pas.
Car on le sait déjà : certaines idées, certains mots, certains discours seront visés… et d’autres, tolérés voire promus, tant qu’ils vont dans le sens d’une déconstruction sociale, identitaire ou historique.
Ce que ces associations vont défendre n’est pas neutre, et ne représente qu’une minorité très militante. C’est donc une censure sélective qui se prépare, habillée du masque de la vertu. Le pouvoir ne combat pas la haine : il combat ce que pensent beaucoup de Français.