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2 août 2025

Ukraine : Zelensky sur la sortie ?

H16

-1/8/2025- Décidément, sur le front ukrainien, les choses ne se déroulent pas comme prévu. Non seulement la propagande occidentale ne parvient pas à faire oublier l’avancée des Russes, mais Zelensky semble lui-même de plus en plus empêtré dans des affaires de politique interne qui pourraient bien lui coûter son poste.

Ces derniers jours, le dirigeant ukrainien a en effet décidé de mettre les agences anticorruption ukrainiennes sous la direction du procureur général i.e. de son propre gouvernement, ce qui n’a pas du tout plu à la population qui a multiplié les manifestations contre lui dans la capitale.

La population ukrainienne subit l’usure d’une guerre qui dure depuis trop longtemps. Beaucoup de familles ont perdu des leurs au front, et ceux qui le peuvent cherchent à quitter le pays. S’il était révélé que Zelensky était corrompu et avait profité de la guerre pour son profit personnel, il semble acquis que cela se terminerait fort mal pour lui et son clan : de ce point de vue, le dirigeant ukrainien a beaucoup plus à craindre des Ukrainiens eux-mêmes que des Russes ou de Poutine.


Dans ce cadre, plusieurs articles du Kyiv Independent, un media pro-occidental ukrainien, font part d’un certain désarroi des soldats qui se sentent trahis. Cet organe de presse compare la situation actuelle à celle de l’Euromaïdan en 2013 qui était, au départ, une manifestation contre la corruption émanant du gouvernement pro-russe de l’époque.

De façon révélatrice, l’Union européenne voit se développer cette situation politique intérieure avec un très mauvais œil au point que von der Leyen, l’actuelle présidente de la Commission, a demandé à Zelensky de s’expliquer au sujet de ces changements sur le traitement de la corruption. Le Kyiv Independant considère même désormais que Zelensky est une menace à la démocratie en ces termes :

« Le président Zelensky choisit de saper les institutions démocratiques ukrainiennes pour étendre son pouvoir personnel. »

De fait et ce n’est pas une nouveauté, avant le début de l’invasion russe de 2022, l’administration ukrainienne avait déjà réduit un certain nombre de libertés et avait d’ailleurs été critiquée en Occident pour ces atteintes. Comme rapporté par le Global Investigative Journalism Network, la répression et les attaques contre les journaliste étaient alors fréquentes.

Cette situation n’est pas sans rappeler dans une certaine mesure celle de la Russie où ceux qui tentent d’exposer la corruption des dirigeants finissent par avoir de sérieux problèmes légaux ou « paralégaux » (se traduisant parfois en menaces ou agressions).

On ne saura pas exactement qui, des protestations et manifestations ukrainiennes ou des rodomontades européennes, aura eu raison de Zelensky, mais il a toutefois décidé de revenir sur sa dernière loi.

Malgré ce revirement, Zelensky n’en est pas pour autant sorti d’affaire.


L’Union européenne, actuellement la seule entité qui soutient encore activement le président ukrainien depuis que les Américains ont clairement marqué leur volonté de ne plus couler de fonds dans ce conflit, reste vigilante au point d’être, selon différentes sources, prête à geler les aides qu’elle accorde à l’Ukraine si ces lois devaient rester en vigueur. Il est aussi question de repousser l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne.

Du côté américain, c’est le même son de cloche. Et si l’administration Trump ne semblait pas s’entendre au mieux avec l’administration von der Leyen, au moins se sont-elles retrouvées sur la question de la corruption en Ukraine : si cette loi était finalement passée, il est probable qu’elle aurait servi de prétexte aux Occidentaux pour abandonner complètement le dirigeant ukrainien, laisser tomber son gouvernement ou se désengager plus ou moins vite.

Par conséquent, Zelenski va devoir rassurer les Occidentaux s’il tient à son avenir… Avenir pourtant compromis puisque ces agences anticorruption sont en train d’enquêter sur le gouvernement ukrainien et les alliés de Zelensky.

Il semble bien que Zelensky se retrouve dans une impasse, ou, disons, entre le marteau et la faucille l’enclume…

Ou bien ce dernier laisse faire ces agences qui, inévitablement, finiront par attaquer son clan : il ne faut pas se leurrer, l’Ukraine reste un pays très corrompu ou toutes les factions ont des casseroles plus ou moins sordides. Dans ce cas, l’affaiblissement interne et international de Zelensky ne fait pas de doute.

Ou bien ce dernier tente, malgré tout, de bloquer ces agences, et les Occidentaux en profiteront pour le lâcher définitivement, le laissant seul à gérer ses problèmes internes et internationaux.

Il devient légitime de se demander si cette situation n’aboutira pas à un changement de gouvernement (et donc de président), ce qui pourrait d’ailleurs satisfaire les Occidentaux qui bénéficierait alors peut-être de quelqu’un de plus malléable à leur point de vue…

Le risque serait pour eux de récupérer quelqu’un de plus nationaliste : actuellement les sondages montrent une montée de Valerii Zaluzhnyi, un général ukrainien, ancien commandant des forces armées de l’Ukraine, et actuellement ambassadeur de l’Ukraine au Royaume-Uni. Si une élection se tenait actuellement, il gagnerait face à Zelensky.

Une telle situation serait une victoire pour les nationalistes du pays, et rendrait bien difficile une résolution de l’actuel conflit : pour Zaluzhnyi, cette guerre de haute technologie pourrait durer encore 10 ans.

Compte-tenu de l’état général démographique et économique du pays, on pourra raisonnablement en douter mais une chose semble se profiler : le chaos politique qui résulterait d’une telle transition au pouvoir bénéficierait à coup sûr à la Russie, et ce d’autant plus que l’aide américaine promise par Trump (à savoir les défenses anti-missiles Patriot) a été retardée au printemps 2026.

Manifestement, les jours de Zelensky sont comptés.


https://h16free.com/2025/08/01/81524-ukraine-zelensky-sur-la-sortie

1 août 2025

Pierre Duriot

Zelensky dans l’incantatoire…

Zelensky appelle le monde à œuvrer pour un changement de régime en Russie. On se pince. Il n’a pas l’air de savoir que nous nous sommes ruinés pour lui venir en aide, lui, le président fantoche à la solde des Américains, installé grâce à McKinsey, pas réélu et donc plus tout à fait légitime ? Nous nous sommes ruinés, nous avons risqué la guerre mondiale, perdu nos armes, notre argent, nos économies, nos usines, fabriqué une dette monumentale, pour justement changer de régime en Russie et ça n’a pas marché. Il veut que l’on fasse quoi de plus ? On sent que là, il n’a plus rien à dire, qu’il est cuit et que le changement de régime, s’il devait advenir, serait pour l'Ukraine, et que l’homme qui a massacré les populations russophones du Donbass rende enfin des comptes, et sur les installations militaro-industrielles américaines installées sur son sol. Nous n’aurions pas dû nous en mêler, car nous n’étions concernés ni de près ni de loin, matraqués que nous étions par la « menace russe » sur l’Europe, accommodée à toutes les sauces, mais qui n’existe pas. Comme une clavette dans une transmission, ce Volodymyr, l’homme aux nouvelles multiples acquisitions immobilières, est aujourd’hui le seul obstacle à l’arrêt de la guerre.

27 juillet 2025

Gastel Etzwane

-27/7/2025- Cette fois, le vent tourne franchement contre Volodymyr Zelensky. En démantelant les deux agences indépendantes de lutte contre la corruption, NABU et SAP, en les plaçant sous le contrôle direct du procureur général, le président ukrainien vient de franchir une ligne rouge, dénoncée à la fois par l’Union européenne, les États-Unis et la société civile ukrainienne. Même les diplomates les plus prudents n’en peuvent plus de ce qu’ils qualifient désormais, non sans raison, de dérive autoritaire masquée sous les oripeaux de la guerre.
La manœuvre est limpide : neutraliser les institutions qui s’approchaient dangereusement des cercles du pouvoir, protéger les siens, verrouiller ce qu’il reste de contre-pouvoirs, et faire passer tout cela pour une opération de “défense nationale”. La ficelle est grosse, d’autant que 18 députés ayant voté cette loi sont eux-mêmes visés par des enquêtes. Le cynisme n’a plus besoin de se cacher.
Pendant ce temps, la jeunesse ukrainienne continue de mourir, sacrifiée sur l’autel d’un conflit que Zelensky ne cherche manifestement plus à gagner, mais simplement à prolonger. Car c’est bien cela qui transparaît : le maintien de la guerre est devenu un instrument de pouvoir. En refusant toute négociation, en poursuivant des objectifs militaires irréalistes, le président ukrainien préserve surtout les milliards venus de l’Occident, qu’il redistribue à son clan. Une guerre éternelle pour une rente éternelle.
Il est donc temps de nommer les choses : soit Zelensky s’en va, soit il devra rendre des comptes. Pour la corruption endémique de son entourage. Pour l’écrasement des institutions démocratiques. Et pour avoir mené une guerre dont il ne veut surtout pas qu’elle s’arrête, non par stratégie, mais pour que le flot d’argent continue de couler. La fin, cette fois, semble avoir commencé.

5 juin 2025

LE CULTE DE LA PERSONNALITÉ

Jean-Claude Delhez

-4/6/2025- Avez-vous noté cette distorsion ? Quand un pouvoir politique s'exprime, il peut le faire par plusieurs voix différentes. C'est du moins le cas en Europe. Ainsi, la parole peut-être portée par le chef de l'État, par le premier ministre, par le ministre en charge du dossier ou encore par le porte-parole du gouvernement. C'est la même chose en Russie. La position du pays peut être exprimée par le président (Poutine), par le vice-président (Medvedev), par le ministre des Affaires étrangères (Lavrov) ou encore par le porte-parole du Kremlin (Peskov). Que les médias occidentaux focalisent sur Poutine, parce qu'ils trouvent cela plus vendeur, ne tient qu'à leur volonté. De même qu'il ne tient qu'à leur volonté de ne pas relayer la plupart des déclarations officielles russes, de façon à pouvoir forger de toutes pièces des intentions qu'ils leur prêtent.
Et l'Ukraine dans tout cela ? Si je vous demandais qui est le premier ministre du pays, qui est le ministre des Affaires étrangères, qui est le ministre de la Défense, vous seriez bien en peine de répondre. Si je vous montrais leurs photos, vous ne pourriez pas les reconnaître. Parce que l'Ukraine n'est incarnée que par une seule personne, son président. Et, dans ce cas, ce n'est pas un choix des médias occidentaux, c'est un choix de Zelensky lui-même. Il est pour ainsi dire le seul à parler au nom de l'Ukraine. Et il ne s'en prive pas. On a droit à son intervention presque chaque jour de l'année depuis 2022 (à croire que la télévision est livrée avec Zelensky à l'intérieur...).
La technique qu'il emploie n'est pas anodine. Son mode de communication habituel est le face caméra, en plus ou moins gros plan, et seul, sans la moindre personne autour de lui. Ces temps-ci, il a une préférence pour la contre-plongée, une technique qui magnifie le sujet, le place en position de dominant. Il met en scène une personnification du pouvoir. À la mode soviétique, mais avec des moyens modernes. On se souvient que, par son premier métier, Zelensky est un comédien et un homme de télévision.
Vous noterez le paradoxe dans le discours médiatique occidental. Zelensky est présenté comme le démocrate, par opposition au pouvoir russe. Et la manière dont ce démocrate s'exprime, c'est la négation de toute personne autre que lui, c'est le pouvoir d'un seul homme, du chef, le culte de la personnalité.

17 mai 2025

LA FORTUNE DE VOLODYMYR

Jean-Claude Delhez

-17/5/2025- Cela fait des mois que je vois passer des textes prétendant montrer la richesse de Volodymyr Zelensky sans pour autant citer de sources, ce qui pose la question de leur véracité. Cette fois, voici un document sourcé, relayé par l'un d'entre vous. Il provient du journal « Le Midi libre », qui traduit un article paru dans l'Indépendant de Kiev. Ce dernier a simplement consulté la déclaration de patrimoine obligatoire pour tout président ukrainien.
Qu'en est-il du patrimoine déclaré de M. Zelensky ? Avec son épouse, il possède 1,1 million de dollars d'actifs financiers, dont 346.483 dollars placés sur un compte bancaire en Suisse. Zelensky détient des parts dans 70 marques commerciales. Il est propriétaire d'un appartement à Kiev et d'un autre au Royaume-Uni. Les revenus de son couple s'élèvent à 350.000 dollars par an. Pour l'anecdote, il a aussi déclaré 4 montres de luxe (qui cadrent peu avec son image dépouillée). Ces chiffres datent manifestement de 2019, quand il est entré en fonction.
Or, il se trouve que deux ans plus tard, en 2021, un pool international de journalistes d'investigation sortait l'enquête dite des Pandora Papers. Un enquête révélant tous ces puissants qui cachent leur argent dans des paradis fiscaux. Parmi eux, le président ukrainien. Il n'a guère retenu l'attention à l'époque parce qu'il était alors très peu connu du grand public. L'enquête, menée par le site d'investigation ukrainien Slidstvo, permet d'éclairer les subtils montages financiers auxquels Zelensky a participé.
À l'origine, bien avant d'être président, Zelensky est comédien et producteur de télévision. Il travaille pour la chaîne appartenant à l'oligarque Igor Kolomoïsky. Le personnage traîne une sulfureuse réputation jusqu'à finir incarcéré, aujourd'hui, pour fraude et blanchiment d'argent. Zelensky, lui, possède sa propre société de production, qui se nomme Kvartal 95. Et c'est elle qui va servir à transférer ses richesses vers une multitude de paradis fiscaux. A partir de cette société, il en crée d'autres, domiciliées dans divers pays peu regardants : Chypre, le Bélize, les îles Vierges britanniques, etc. Ces sociétés off shore en créent également d'autres ou prennent des participations, en sorte de brouiller les pistes et de constituer, in fine, un vaste réseau mondial à l'abri du fisc ukrainien. Par exemple, Maltex Multicapital Corporation, fondée dans les îles Vierges britanniques, qui devient propriétaire de sociétés de cinéma et de télévision. Ou cette autre société écran qui permet d'acheter discrètement trois appartements en plein centre de Londres pour la somme de 7,5 millions de dollars (deux sur Baker Street (cf. photo), un près du palais de Buckingham).
Dans toutes ces transactions, Zelensky se fait aider par des collaborateurs, tous originaires de la même ville que lui (Krivoï Rog) : Yakovlev, Shefir et Bakanov. Ils sont copropriétaires d'une partie des placements. Ces collaborateurs, du temps où Zelensky s'active dans le milieu de la télévision, le suivront ensuite pour ses premiers pas en politique (de même que l'oligarque Kolomoïsky, avant qu'il ne soit emprisonné). Mais, une fois élu, Zelensky doit déclarer officiellement son patrimoine. Pour masquer sa vaste entreprise d'évasion fiscale, il trouve un arrangement avec l'un de ces collaborateurs, Serhiy Shefir, qui est aussi le producteur de ses émissions. Zelensky cède fictivement ses parts à Shefir. Et Shefir continue de verser les revenus du capital, mais pas directement à Zelensky ; il les verse à Olena Kiyachko, l'épouse du désormais président ukrainien.

26 avril 2025

DIALOGUE ROMAIN

Gabriel Nerciat
26/4/2025

– S'il vous plaît, Mister Président, je sais que vous pouvez pas me saquer mais donnez-moi des missiles et des avions de combat. Plein de missiles, plein d'avions. À vous, ils ne servent à rien. Je ne peux pas vous les payer, c'est vrai, mais en plus des minerais j'ai encore un ou deux millions de quinquagénaires valides et le double d'octogénaires en déambulateurs à envoyer au casse-pipe sur le front. Le pétrole bientôt coûtera moins cher que le sang de ces abrutis de rejetons de Cosaques. Donnez-moi vos missiles, putain !
– Ferme ta gueule, cafard. Le pape au moins se taisait quand je lui disais tout le mal que je pensais de lui. C'était une planche pourrie, mais il voulait faire la paix, lui.
– On s'en fout, du pape. C'était un connard. Vous vous rendez compte que je me suis tapé une messe en latin rien que pour vous voir ?
– Et alors ? Tu serais prêt à sucer ma bite comme Starmer suce la tienne depuis deux mois pour avoir ce que tu veux. Je ne suis pas venu ici, sous l'ombre tutélaire de Charlemagne, pour qu'un maquereau comme toi vienne me faire chanter. Je l'ai assez vue, ta sale gueule d'escroc. A Notre-Dame de Paris d'abord, à la basilique Saint-Pierre ensuite, pourquoi pas à la cathédrale de Tolède aussi ? Tu crois qu'il n'y a pas assez de gargouilles dans les églises gothiques ? Commence déjà par reconnaître officiellement que la Crimée est russe, et qu'elle l'est pour toujours. Après, je verrai si j'accepte que tu cires mes pompes devant Mélania en Floride.
– Bordel, Mister Président ! C'est quoi, votre problème ? Mes potes ont refilé la moitié de vos armes aux gangs mexicains qui maintenant veulent faire travailler nos putes en Pologne. On est à sec ; je peux pas rester sans rien faire. La Crimée, si je la lâche officiellement, les ukronazis me butent, et je leur dois tout, à ces types-là. Vous pouvez pas me lâcher comme ça, après tout ce que BoJo m'avait promis. Ou alors vous me laissez racheter le château de Windsor pour finir mes vieux jours. J'en transporterai une partie dans le Maryland si vous voulez.
– Casse-toi, épave de mes deux, tu m'écœures. Je commence à comprendre pourquoi Poutine m'a dissuadé de te faire tomber. Tu es tellement nul qu'il peut à peu près tout se permettre avec en face une raclure comme toi. Maintenant, je t'ai assez vu, tu dégages. Appelle-moi Macron qu'il vienne me donner un coussin ; ces chaises romaines ne me valent rien.
– Mister President, Mister President, please !
– Ta gueule, connard. On est dans une église, là. Je prie. Dieu est à ma mesure, et Charlemagne aussi. Pas toi.

17 février 2025

Denis Albisser

- 16/2/2025 - Ces deux visages incarnent parfaitement le cancer qui ronge l'Europe.
Une russophobie primaire, la guerre à tout prix, la corruption, l'incompétence, l'immigration de masse, la trahison des Ukrainiens et des Européens.
Bref, l'idéologie des dégénérés de Davos, avec l'escroquerie climatique...
Et, la censure pour museler toute voix discordante...
C'est devant ces gens-là, que se prosterne toute la caste politique et médiatique...
Ils savent tous ça, jusqu'au dernier député, ou sénateur...
Ils savent que nous savons, qu'ils ne servent à rien, à quelques exceptions près.
Et, nous, nous savons, que nous devons nous débarrasser de cette caste de nuisibles...

16 février 2025

GUIGNOL'S BAND 2025

Gabriel Nerciat

- 16/2/2025 - Décidément, depuis l'investiture de Trump, ça n'arrête pas. Tous les jours, on a droit à une perle.
Cette fois, c'est le chef-escroc en déroute de l'entité ukrainienne qui vient tout naturellement proposer de créer une armée intégrée européenne indépendante des Etats-Unis et dirigée par... lui !
Rien que ça, ma bonne dame !
La CED de Jean Monnet et de Ike de sinistre mémoire, ressuscitée d'un coup d'un seul par le pétomane mafieux de Kiev – lequel, confronté aux rebuffades de Trump, ne sait plus trop où trouver armes, dollars et munitions avant que son armée s'effondre.
Engagez-vous, rengagez-vous, les amis. Les corps francs et la division Charlemagne, c'était vraiment le bon temps. D'ailleurs, même le viril Renaud Camus a envie d'y aller.
À côté du drapeau marial de l'UE qui a déjà éclipsé le drapeau tricolore, nous aurons désormais le fanion jaune et bleu de l'entité kiévienne, sous la bannière duquel nous enverrons nos cadets se faire trouer la peau dans la boue enneigée du Donbass pour l'amour du lithium, des terres rares, du charbon et des droits LGBTQ.
Depuis ce matin, BHL, Guetta, Tenzer, Cohn-Bendit, Françoise Thom et les autres évidemment trouvent ça génial. Quand elles y pensent, Madame Van Rentherghem et son amie Ursula défaillent de bonheur. On devine leurs poitrines palpitantes dès que Zelensky ouvre la bouche, et tend la main.
Le Banquier-Président, dit-on, va revêtir sa plus belle panoplie de boy-scout pour en parler demain, à l'Elysée, à ses homologues du Conseil européen. Ce sera grandiose.
En fait, j'ai vraiment l'impression d'être en colonie de vacances. Il ne manque plus que le calamiteux Pierre Perret pour venir nous jouer à la guitare des marches militaires.
À propos, Le Déserteur de Boris Vian a-t-il été traduit dans l'idiome ukrainien ? Il semblerait que oui.

8 février 2025

Frank Guisnet

- 6/2/2025 - La guerre en Ukraine est le théâtre d’une gigantesque fraude orchestrée par la mafia kiévienne, mais également par quelques généreux donateurs occidentaux, aussi corrompus que la clique au pouvoir à Kiev. Tout cela est caché depuis trois ans.
Il est temps que les dirigeants occidentaux cessent de tromper et de mentir à leur peuple. Depuis trois ans, les médias nous font pleurer sur le sort d’un régime criminel et corrompu qui s’adonne à des ignominies inavouables pour s’enrichir sur le dos de son peuple et aux dépens du contribuable occidental.
L’Ukraine n’a jamais été le bouclier de l’UE face à l’ogre russe, elle est son tombeau. Agiter le spectre d’un retour à l’URSS est la fable la plus grotesque qui soit. C’est l’Otan qui a voulu la guerre, pas la Russie.
Selon le SVR, Zelensky et sa clique ont détourné 1,5 milliard de dollars de l’aide occidentale et ont élaboré un montage crapuleux pour percevoir la solde des soldats morts sur le front mais déclarés toujours vivants. Sans parler des matériels revendus sur le darknet depuis trois ans. Des fortunes colossales se sont bâties depuis 2022 sur les cadavres de centaines de milliers de soldats ukrainiens.
Pendant que l’UE, totalement aveugle et imperméable aux réalités du front, clame haut et fort qu’il faut poursuivre l’effort de guerre au profit de Kiev, même sans les Américains, pour ne pas être avalés par l’Ours russe, Zelensky et sa clique d’oligarques sans foi ni loi s’en mettent plein les poches sur le dos de leur peuple saigné à blanc. Les chiffres des pertes sont effrayants mais le prix de la chair à canons, pour les prédateurs de Kiev, se juge au poids des détournements sur l’aide occidentale.

Estimations des pertes militaires (24/01) :
RUSSIE : 55 400 tués, 143 500 blessés (dont graves : 15%) ; UKRAINE : 740 000 tués, 800 000 blessés (dont graves : 67%) +6 900 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US, selon l’historien militaire Marc Legrand.

Dans la région de Koursk, c’est un massacre :
L’armée ukrainienne a perdu 22 690 tués et 26 920 blessés, depuis le 6 août 2024, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… 322 chars, 1 983 véhicules blindés, 1 680 véhicules, 452 pièces d’artillerie, etc.
1000 dollars sont donc détournés pour chaque soldat ukrainien tué ou blessé. Puisse cette guerre fraîche et joyeuse pour la clique au pouvoir, durer encore des années.
En 2023, la CIA avait reconnu que Zelensky avait détourné 400 millions de dollars. Mais depuis cette époque, tout le monde veut en croquer, oligarques, généraux et autres prédateurs bien placés pour dépecer le pays.
Selon le SVR, le service russe du renseignement extérieur, les détournements atteignent 1,5 milliard de dollars, pris sur l’aide réellement arrivée à Kiev.
Car l’aide octroyée n’arrive pas en totalité en Ukraine. Les rétrocommissions que perçoivent les généreux donateurs occidentaux sont à déduire des sommes théoriques fournies à Zelensky.
Bref, cette guerre enrichit aussi bien une armée de prédateurs ukrainiens que quelques Occidentaux sans scrupules.

En effet, de son côté, Zelensky déclare que plus de 100 milliards ne sont jamais arrivés en Ukraine sur les sommes promises.
https://reseauinternational.net/zelensky-je-ne-sais-pas.../

Au total, ce sont 400 milliards qui ont été accordés à l’Ukraine, sans aucun contrôle.
Une gabegie savamment orchestrée sur le dos du contribuable occidental, gros dindon de la farce.
Poutine ayant déclaré qu’il refusait de discuter avec Zelensky, dont il juge le maintien au pouvoir illégitime depuis la fin de son mandat début 2024, les Occidentaux envisagent la mise à l’écart du saltimbanque ukrainien, tombé en disgrâce.
Toujours selon un communiqué du SVR, une vaste campagne de diffamation serait en gestation pour discréditer Zelensky afin de l’écarter. De nouvelles élections seraient organisées avant l’automne au plus tard .
Et pour torpiller le Churchill ukrainien, rien de tel que de rendre publiques quelques informations soigneusement occultées jusque là :
- « le détournement par le « président » et son entourage, de plus de 1,5 milliard de dollars de fonds destinés à l’achat de munitions »
- « le montage d’un système frauduleux dans lequel des paiements destinés à 130 000 soldats ukrainiens tombés au combat – qui restent officiellement répertoriés comme personnels en service actif – ont été acheminés à l’étranger par Zelensky et ses associés »
- « l’implication du « commandant en chef suprême ukrainien » dans la vente de grandes quantités d’armes et de véhicules donnés par l’Occident à divers groupes armés dans les pays africains ».
Voilà l’ignoble Rapetou que l’Occident vénère depuis trois ans, en nous faisant pleurer sur le sort de l’Ukraine, alors que ses dirigeants pillent allègrement l’aide occidentale et envoient leur peuple au massacre, en lui faisant miroiter une victoire impossible.
États-Unis et Europe sont coresponsables de ce carnage sans fin.
Cela dit, pas question pour l’Otan de faire le moindre cadeau à Poutine. Il s’agit d’écarter Zelensky, totalement grillé, pour ensuite geler le conflit en vue de négociations futures.
À ce jour, aucune rencontre n’a encore eu lieu entre Poutine et Trump.
Les Russes sont prêts à négocier, mais selon les bases du protocole d’Istanbul de 2022, torpillé par Boris Johnson, dangereux va-t-en-guerre.

– une Ukraine neutre et non alignée
– une Ukraine dénucléarisée
– une Ukraine démilitarisée et dénazifiée
– Pas de troupes étrangères déployées sur son sol
– Nouvelles réalités territoriales prises en compte
– Éradication des causes profondes qui ont conduit au conflit.

« En outre, tous les aspects juridiques concernant l’illégitimité de Zelensky et son décret interdisant les négociations bilatérales doivent être résolus avant que les négociations puissent être lancées ».
Cette guerre va donc durer encore plusieurs mois. Bien difficile de prédire ce que décideront Trump et Poutine. Quant à l’Europe, divisée et affaiblie comme jamais, elle ne pèse guère dans ces négociations.
Ce qui n’empêche pas la clique irresponsable de Bruxelles d’avoir la prétention de poursuivre la guerre contre la première puissance nucléaire mondiale. Il est clair que ce ne sont pas les proches des va-t-en-guerre qui se font déchiqueter dans les tranchées.
Rien de bien nouveau en Europe.
1,5 million de victimes, 400 milliards partis en fumée, alors qu’il suffisait d’appliquer les accords de Minsk pour éviter la guerre. C’était la seule exigence de Poutine. Mais l’Occident lui a ri au nez.

3 février 2025

Péonia

Le pianiste le mieux payé de la planète a déclaré que l'Ukraine n'avait reçu qu'environ 75 milliards de dollars sur les 177 milliards d'aide envoyés par les États-Unis.
« Je ne sais pas où est tout cet argent. »
Sans blague !!


Medvedev

"Dans un moment de franchise, le chef du régime bandériste a admis que lui et ses associés avaient détourné 100 milliards de dollars.
Il l'a fait timidement, comme le petit voleur Alchen dans Les Douze Chaises, en laissant entendre : "Nous n'avons jamais vu cet argent. Demandez au vieux Biden où il est passé". Bien entendu, il s'agit d'une tromperie flagrante et cynique. L'argent a disparu dans les poches d'escrocs en tout genre, de Washington à Kiev. Les poches profondes du ministère américain de la défense, de la CIA et du complexe militaro-industriel l'ont aspiré avec empressement - étant donné le volume des fonds alloués, ils l'ont fait pendant longtemps et avec un plaisir non dissimulé. Le pillage s'est poursuivi à Kiev, où des milliards ont été volés, non seulement en espèces mais aussi en armes, que l'on retrouve aujourd'hui un peu partout dans le monde.
Que se passe-t-il ensuite ? Rien. Les voleurs se gracieront eux-mêmes. Biden a déjà entamé le processus. Même les tentatives bien intentionnées mais naïves d'Elon d'enquêter sur le vol idéologique au sein de l'USAID et sur la corruption dans l'aide à l'ex-Ukraine ne mèneront nulle part. Il y aura bien quelques cris, des poings serrés, des auditions au Sénat et quelques licenciements de boucs émissaires, mais c'est tout. L'aide à Kiev se poursuivra sous le slogan de l'ère Reagan « La paix par la force ». Et le soutien aux marionnettes politiques formées par l'Amérique à travers les révolutions de couleur reprendra, accompagné du roulement de tambour des soi-disant intérêts nationaux américains.
Pendant ce temps, l'insatiable Gorge Profonde de l'État profond continuera à satisfaire tous ses clients lubriques".

30 novembre 2024

Le comique Zelensky

Pierre Duriot


- 30/11/2024 - La Russie a envahi l’Ukraine parce qu’elle ne voulait pas de bases américaines à ses portes. Et aujourd’hui, Zelensky, devenu illégitime car non réélu, propose de laisser quelques territoires à la Russie à condition que l’Ukraine rentre dans l’OTAN, c’est-à-dire  à condition que les États-Unis puissent installer quelques bases le long de la frontière russe. Et il se propose ensuite de récupérer les territoires cédés « momentanément ». L’art de prendre Poutine pour un lapin de six semaines et accessoirement de se ficher de la poire d’un peu tout le monde. Il fut un comique troupier, il n’a pas changé. Le mieux serait qu’il se fasse oublier et qu’il laisse des gens plus sérieux que lui gérer le bazar. Parce qu’en plus, on risque d’y trouver des trucs pas très catholiques.

16 novembre 2024

Pierre Duriot

16/11/2024 – Bizarrement, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui présentait, jusqu’à ces dernières semaines, plan sur plan pour battre la Russie, souhaite, depuis l’élection de Donald, la fin du conflit en 2025 par «des moyens diplomatiques». Gageons qu’il souhaite surtout arriver à sauver sa propre peau, dont les jours sont comptés. Et accessoirement, éviter qu’on lui demande avec trop d’insistance, ce qu’il a fait de tout le fric qu’on lui a donné…

7 mars 2024

Gilles Casanova

Il faut bien retrouver les 16 milliards « égarés » par Zelensky.


Entre la corruption qui règne à Kiev et celle qui règne à Bruxelles, il ne va pas être facile de retrouver ces 16 milliards.
Vous lisez bien 16 milliards !

17 janvier 2024

Zelensky à Davos

Vincent Verschoore

Zelensky à Davos, l'acteur en action. Il commence par poser trois vraies questions : quand la guerre va-t-elle finir, une troisième guerre mondiale est-elle possible, est-il temps de négocier avec Poutine ?
Ensuite, il charge Poutine de tous les maux, l'assimilant aux pires des régimes, la lie de l'humanité, le seul responsable et coupable. Il semble ignorer que la majorité de la planète est plutôt du côté de Poutine, non parce qu'elle serait contre l'Ukraine, mais contre l'Occident et ses mensonges, ses guerres, et ses doubles standards.
Il regrette avoir écouté le conseil de l'Otan: "don't escalate". Il réitère sa demande pour toujours plus de matériels en vue d'une guerre totale avec la Russie, semblant totalement ignorer la réalité du rapport de forces. Il demande toujours plus d'argent pour supporter et reconstruire l'Ukraine, tentant de se présenter comme le cœur battant de la lutte pour la démocratie, alors même qu'il mène un régime corrompu jusqu'à l'os, décime sa population en refusant toute négociation prenant en compte la réalité du rapport de forces, lui imposant une police (SBU) digne du KGB et une mobilisation par la force d'hommes en bonne partie inaptes au combat.
La situation en Ukraine est misérable, d'abord et avant tout pour les Ukrainiens. L'Amérique, qui n'a pas d'amis mais que des intérêts, va lâcher Zelensky, comme elle lâche tout le monde (sauf Israël, et encore), car ses objectifs sont atteints : tirer un profit économique de la situation de guerre, et casser pour longtemps le lien Europe-Russie qui menaçait sa propre emprise sur le vieux continent. De l'Ukraine, elle se fiche complètement, et ne fera que la piller.
J'imagine que l'audience qui applaudit Zelensky à Davos le sait. Elle sait que tout ceci n'est qu'un théâtre morbide, où les riches se font plaisir sur les corps déchiquetés des soldats de fortune. J'imagine que Zelensky sait qu'elle sait. Ils sont tous à vomir. 17/1/2024



31 octobre 2023

ZELENSKY, ASSISTANT PRODUCTEUR DE POGROMS

Gabriel Nerciat

Non content d'avoir sans remords ni complexe fourni son nom d'origine juive comme alibi à une indigne et ahurissante alliance politique avec les dernières forces néo-nazies revendiquées du continent européen pour le compte de l'OTAN, le répugnant escroc-pétomane de Kiev, seul responsable officiel de la sanglante et ruineuse contre-offensive de cet été dont l'échec complet est désormais entériné par toutes les chancelleries, essaie en vain de se rappeler au bon souvenir de l'oublieux Occident en imputant à la Russie la responsabilité de la tentative de pogrom qui a éclaté il y a deux jours dans un aéroport du Daghestan.
Manque de chance pour lui : on sait désormais que l'organisateur de ce lynchage anti-juif n'est autre que le "dissident" russe Ilya Ponomarev, ancien député de la Douma, "réfugié" à Kiev sous la protection des autorités ukrainiennes, et fondateur d'une légion de volontaires russes désireux de se battre sous le drapeau bandériste contre leur patrie.
Ce dernier a utilisé la chaîne Telegram russophone Le Matin du Daghestan afin de faire connaître aux activistes fréristes de la république musulmane caucasienne la présence de voyageurs israéliens à l'intérieur de l'aéroport de Makhatchkala et les inciter à s'y rendre.
Vous me direz que tant qu'on parle de ça, on évite de se demander pourquoi certains commandos du Hamas ont utilisé des armes de provenance ukrainienne pour abattre des civils israéliens lors de la tuerie du 7 octobre.
Quoi qu'il en soit, le moins qu'on puisse dire est qu'il ne semble pas très confraternel envers ses coreligionnaires, le courageux président de l'Ukraine.
Nul doute qu'à Paris et à Washington, ses principaux souteneurs, pardon soutiens, vont finir par s'en émouvoir, et qu'ici même BHL, Glucksmann fils ou l'inénarrable Galia Aeckerman vont séance tenante effectuer à son sujet des révisions déchirantes (c'est une blague).
En réalité, il fait penser à ces parrains italo-américains de la prohibition qui, pour essayer de conserver une petite partie de leurs anciennes activités illicites après la fin de l'interdiction de la vente d'alcools, entreprenaient de livrer aux flics leurs anciens associés ou de les faire trucider par des tiers tout en entretenant fastueusement pour la galerie des associations caritatives.
Il y a toujours un bon côté dans les tragédies : il se situe en général à la fin, lorsque les masques tombent et que le faux héros qu'on applaudissait au début se révèle tel qu'il est et doit quitter la scène, dans l'hostilité ou l'indifférence générales.

31 août 2023

Gilles Casanova

Il a suivi le conseil de L'Express, sa famille vient de s'acheter une villa de 5 millions de dollars au bord de la mer Rouge, il faut quand même bien ça pour tenir… il pourra y inviter Raphaël Glucksmann.

20 mai 2023

Radu Portocala

Une poésie que, dans la Roumanie communiste, tous les élèves de ma génération ont dû apprendre par cœur et étudier commençait par ces mots : « Le parti est en tout. »
Aujourd’hui, « le parti » pourrait être remplacé par le nom de Zelensky, sans que le rythme (dans la version roumaine du texte) ait à souffrir. Car l’homme au tricot kaki est en tout, partout. À l’ONU, aussi bien qu’à la cérémonie des Oscars, à l’Union européenne, aux grandes compétitions sportives, dans les parlements du monde, à la Ligue arabe, au G7 – rien, aucun grand sommet, aucune cérémonie ne s’ouvre ou ne se ferme sans sa présence virtuelle ou réelle.
On lui fait le même type de propagande qu’on faisait au parti communiste dans la Roumanie stalinienne. Et, comme le parti, il admoneste et il donne des directives, il distribue au monde les bonnes et les mauvaises notes, il nous montre que nous n’avons pas d’autre choix que de l’accompagner dans son échec.
Mais c’est la facilité, le naturel avec lequel l’Occident a fait sien ce type de propagande qui m’étonne – alors qu’en réalité, l’ambiance dans laquelle nous vivons depuis un certain temps devrait m’empêcher de trouver cela curieux. Comme l’abominable poète roumain de naguère, l’Occident ne sait plus autre chose que d’être le chantre docile des idées – en général, mauvaises – que les excités de toutes sortes imposent à son attention. Révolutions tordues, fausses causes qui le font mourir lentement, les yeux écarquillés et la bouche ouverte tel un poisson que l’air suffoque.

19 avril 2023

Vincent Verschoore

M'enfin ! Hors les euro-atlantistes qui nieront en bloc, j'espère quand même que personne ne fera semblant d'être surpris. Avant sa mise sur piédestal en février 2022, l'Ukraine et ses institutions, dont évidemment le personnel politique et fonctionnaires, était réputée comme championne du monde (au moins occidental) de la corruption.
C'est pour cela que s'y joue l'affaire Hunter Biden, et que les US y font ce qu'ils veulent depuis 2014. Pour une ordure comme Zelensky, 400 millions de dollars ça doit couvrir la mise à mort de quelque 100 000 à 200 000 soldats ukrainiens (pour rien) et la destruction économique et politique de son pays au profit du grand capital US.
Les détournements de moyens (armes, argent, vivres) envoyés à nos frais à l'Ukraine sont tellement énormes que le régime US, ne pouvant le nier, vient d'allouer 20 millions de dollars pour vérifier que son aide militaire n'est pas détournée... Total foutage de gueule.
Entre-temps, le massacre continue, et la propagande euro-atlantiste n'y change rien. La fameuse contre-offensive semble repoussée au fur et à mesure que les réserves ukrainiennes sont englouties dans le hachoir à viande de Bakhmout, et que les armes et munitions, payées par nous, sont détournées et revendues sur le marché noir.