[Vidéo] Cliquer sur l'image ↴
Translate
Affichage des articles dont le libellé est ECOLOGIE. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ECOLOGIE. Afficher tous les articles
30 juin 2025
Yann Bizien
30/6/2025
Il fait chaud. C'est évident.
Le discours est donc dominé par l'idéologie écologiste militante, culpabilisante, autoritaire et péremptoire. Ce discours sentencieux, intangible et doctrinaire, cible avant tout les classes populaires et moyennes.
L'écologisme est de retour. Il incarne l'excès d'écologie qui plombe notre compétitivité, notre économie et le pouvoir d'achat.
L'impératif écologiste contribue au "suicide français". C'est un impératif technocratique, irrationnel, brutal, antisocial et bourgeois.
Il ne suffit pas de vouloir protéger, préserver ou restaurer notre environnement. Il faut aussi respecter la condition humaine, ce que l'écologisme a oublié.
L'écologisme est vert en apparence, mais rouge à l'intérieur. C'est le nouveau communisme du XXIème siècle.
22 juin 2025
Pierre Duriot
21/6/2025
Écologie : des élus atterrissent...
Sacrilège, l’Assemblée nationale française a voté un moratoire sur toute installation nouvelle d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques, tout cela à cause des « fachos » Les Républicains, le Rassemblement National et autres Ciottistes. Résultat, pas de nouvelle demande d’autorisation de permis ou de raccordement ne pourra être déposée, ou instruite, tant qu’une étude objective et indépendante sur le mix énergétique optimal ne sera pas réalisée. Incroyable, on ne pourra plus défoncer le fond de la mer, ou recouvrir des terres agricoles de panneaux achetés en Chine et pas recyclables, sans un minimum de précaution. Incroyable encore, il y a des gens qui osent douter du narratif réchauffiste, sur lequel il n’y a pas le moindre consensus scientifique et pour lequel l’impact de l’activité humaine n’est réellement prouvé non plus, tout cela relevant très probablement du cerveau malade de quelques financiers idéologues ayant trouvé la fable du carbone pour pouvoir créer de toutes pièces force taxes et culpabiliser le quidam. On rappelle tout de même, sans grand risque de se tromper que la planète a connu des alternances de coups de chaud et de froid et bien plus de carbone dans l’atmosphère, avant même l’apparition de l’homme, là-dessus par contre, il y a consensus scientifique.
Le ministre Marc Ferracci juge cette décision “parfaitement irresponsable” et “dévastatrice”. Par contre, couler les millions de tonnes de béton armé dans la mer et les champs pour planter des éoliennes, ça n’est pas « dévastateur » ? Le rapporteur macroniste Antoine Armand évoque une “catastrophe économique et industrielle”. Parce que la catastrophe économique et industrielle, ce ne serait pas les sanctions destinées à mettre la Russie à genoux ? La gauche et l’extrême gauche parlent même de “sabotage délibéré” de l’intérêt national. L’intérêt national ne serait pas plutôt d’arrêter de défoncer le pays pour des énergies qui mettent le réseau électrique européen en péril, au risque de pannes majeures, comme en Espagne récemment ? La désormais célèbre Sandrine Rousseau explique que nous ne pourrons regarder nos enfants dans les yeux parce que nous mettons leur vie en danger… sans rire, comme en 2000, les Maldives qui auraient disparu en 2020 ? Comme les six millions de non-vaccinés qui devaient mourir dans l’année ? Comme ce même gouvernement qui expliquait pendant le Covid, que les enfants non vaccinés pouvaient faire mourir leurs grands-parents ?
Évidemment, tous les professionnels qui vivent grassement des subventions à la transition énergétique s’alarment. Vous vous rendez compte, il va falloir qu’ils se mettent à créer des produits rentables, comme n’importe quelle entreprise, au lieu de fourguer des trucs qui ne marchent pas contre de l’argent public. Et on ne va plus pouvoir imposer des moulins à vent aux maires des petites communes sans discussion avec les habitants ? Sacrilège, si maintenant en démocratie il faut se mettre à écouter les gens, où va-t-on ?
Il est heureux que des élus commencent à atterrir et à cesser de se faire berner par des dogmes relevant de l’art conceptuel, enrobés d’explications vaseuses, dont on vous dit que si vous ne trouvez pas cela génial, c’est que vous êtes complètement c…
Il ne faut pas tenter de contrer par la brimade les cycles naturels de la Terre, ce n’est pas possible, il faut s’y adapter. Il faut aussi revenir à une écologie raisonnée, c’est-à-dire, vivre sur une planète propre, travailler sur nos rejets polluants, pesticides, métaux lourds, agents chimiques, nano-particules, radiations et laisser tomber le carbone qui n’a jamais été un polluant.
4 juin 2025
Surprise ! L’Écologie de destruction punitive recule un peu !
H16
-4/6/2025- Dans la France macroniste chaque jour plus près de la faillite, il n’y a pas tous les jours l’occasion de se réjouir. Cependant, le mois de Mai s’est achevé sur une vraie bonne nouvelle : l’écologie de destruction punitive a quelque peu reculé.
Et pour s’en assurer, rien de tel qu’aller consulter les tondeliers politiques, ces remuants mammifères qui pleurnichent et s’agitent très fort dès qu’ils n’ont pas exactement ce qu’ils exigent à chaque fois qu’on leur adresse la parole : la fin de ce mois de mai fut pour leur principal représentant, Marine Tondelier, l’occasion d’exprimer sa consternation sur la direction prise par le pays, apparemment à tel point soudaine qu’elle ne l’avait pas du tout anticipée, d’où le déversement émotionnel sur les réseaux sociaux en un (beaucoup trop) long tweet lacrymogène :
Finie l’eau, finis les arbres, finies la biodiversité et les terres cultivables, on va droit au casse-pipe à base d’effondrement écologique et climatique, avec des enfants qui meurent (« pensez aux enfants, pour l’amoOoour de Dieu ») et la nature qui disparaît en ne nous promettant qu’un avenir misérable et pénible, le tout dans une écriture de pasionaria en lycée technique, la Gaïatollah de l’écologie en veste verte n’a pas lésiné sur les moyens pour bien faire comprendre l’ampleur de la catastrophe qui venait de se jouer en France sur ces derniers jours : cette fois-ci, c’est sûr, on va tous mourir, mais encore plus vite !
Pourtant, lorsqu’on épluche ce qui vient réellement de se passer, la seule conclusion à laquelle l’honnête homme du XXIe siècle peut arriver, c’est que la météorite sur laquelle s’égosille la Tondelier mériterait amplement de s’abattre sur elle et ses khmers verts déchaînés qui n’en peuvent plus d’essayer de ruiner la vie des autres, à l’instar de ce petit cancre frisé de Slama, pignousant lui aussi sur la disparition progressive de l’écologie punitive qu’il juge pourtant nécessaire, entre deux Ubereats au quinoa éco-responsable.
Rien de tel que réclamer la coercition et la punition sur les autres pour être bien certain d’obtenir ce qu’on veut : démocratique et populaire, la schlague, y’a que ça de vrai.
En attendant, les gens normaux (ceux pas épris du besoin de contraindre ou punir leurs semblables) se réjouiront d’apprendre que les ZFE sont remis en cause par un récent vote parlementaire ; comme le Sénat et le Conseil constitutionnel doivent passer ensuite, il est assez probable que cette victoire d’étape ne soit pas confirmée, mais il reste néanmoins particulièrement goûtu de voir les gesticulations des idéologues verts devant la débâcle.
En effet, les enragés qui prétendaient, sans rire et tant qu’elles semblaient votées, que ces ZFE ne concernaient qu’un petit nombre de voitures polluantes, s’empressent maintenant d’expliquer que leur suppression entraînera la remise sur les routes de 3 millions de véhicules « parmi les plus polluants ».
De « peu nombreux » à 3 millions, la posture change selon ce qu’on veut faire passer comme idée, ou, plus prosaïquement, reconnaissons ici que les écolos mentent, comme ils l’ont fait jusqu’à présent sur toutes les technologies, toutes les lois, toutes les contraintes qu’ils poussent de leurs voeux.
Ces mêmes écolos oublient d’ailleurs de préciser (mensonge par omission, un de plus) que la Cour des comptes européenne avait, en son temps, jugé ces ZFE inefficaces pour lutter contre la pollution, et en toute incohérence, que la baisse de la pollution qu’elles visent pourrait en réalité aggraver le réchauffement climatique.
On s’y perd ? C’est normal, c’est de l’écologie de combat qui nécessite de ne surtout pas réfléchir.
À ceci, on devra ajouter l’actuelle loi « Duplomb » qui réautorise l’usage « pour une durée de trois ans » de l’acétamipride en France, à l’instar de la Commission européenne qui a, elle aussi, accordé son utilisation jusqu’en 2033, tant qu’aucun substitut valable n’est trouvé : en effet, pendant que les écolos hurlent de rage, les agriculteurs français doivent faire face à la concurrence des autres pays (européens et autres) qui n’ont pas ce boulet franco-français et voient donc leurs cultures vivrières détruites par les parasites.
Si l’on y ajoute, outre les dérogations récemment votées pour calmer un peu l’impact catastrophique de la loi « Zéro Artificialisation Nette », la reprise du chantier de l’A69 entre Toulouse et Castres à partir de mi-juin, on comprend l’apoplexie des défenseurs de la sclérose écologique généralisée qui fustigeait le développement de cette autoroute.
Bref, il apparaît enfin que recule un tantinet l’écologie punitive de combat, qui vise à transformer la France en enfer normatif total pour que la petite population de bobos conscientisés puisse s’y épanouir en toute hypocrisie. Loin des considérations de la classe jacassante et de ses pokebowls de quinoa écoconscients délivrés par un OQTF en Deliveroo, le petit peuple, qui se bat âprement pour survivre au milieu de ce qui se transforme en maquis de lois stérilisantes, vient enfin de marquer quelques points.
Petit-à-petit, il semble se faire jour dans les esprits brumeux des législateurs que la France n’est pas majoritairement acquise aux lubies écologistes.
S’il apparaît absolument évident qu’une majorité de Français souhaite vivre dans un environnement propre, bénéficier de nourriture saine et d’un air pur, il est tout aussi évident que jamais le pays n’a été en aussi bonne forme écologique qu’actuellement. Les délires normatifs actuels ne font qu’écrabouiller les bonnes volontés, dilapident les énergies dans des complications inutiles, n’apportent aucune solution et, pire, en interdisent de parfaitement valables sur des motifs de plus en plus fumeux tout en stigmatisant notamment ceux qui font effectivement tourner la machine et permettent aux écolo-protestataires permanents de vivre dans l’opulence.
Maintenant, il est aussi parfaitement clair que ce n’est qu’un répit.
Par exemple, la presse se bouscule pour nous expliquer que ce refus des ZFE va coûter cher à la France, leur arrêt revenant à faire une croix sur plus de 9 milliards d’euros de fonds européens. C’est bien évidemment de l’esbrouffe : l’Allemagne a, elle aussi, commencé à rétropédaler sur ces ZFE et personne ne moufte à Bruxelles. Et pour cause : la situation est suffisamment pénible en France pour que personne ne veuille déclencher une crise majeure dans la zone euro, surtout pour des motifs aussi débiles.
Confusément, tout le monde comprend que les idées sous-jacentes de ces lubies vertes sont parfaitement idiotes et provoquent déjà des effets économiques négatifs considérables.
Mais il faudra du temps pour que la confusion fasse réellement place à la pleine conscience de l’enfer dans lequel veulent nous emmener les Ökoschutzstaffel et autre Ökoleftwaffe de combat. Il faut comprendre que chacune de ces victoires va être contestée, pourrie et minée par le travail de sape de la Verte Gauche qui n’en peut plus d’avoir à supporter le terroir qui pue, le peuple crasseux et ses voitures diesel.
Si la France millénaire veut survivre, il va lui falloir se débarrasser de cette engeance politique, expression maladive d’une sclérose sur un passé fantasmé et une volonté d’imposer un futur ruiné plus que décroissant, miséreux plus que sobre et dépourvu autant que possible d’individus autonomes.
Le combat s’annonce rude.
5 mai 2025
Grâce aux écolos européens, votre prochain black-out sera continental
H16
-5/5/2025- Lundi 28 avril 2025, vers midi et demi, l’Espagne et le Portugal ont fait une première expérience audacieuse et fort réussie d’application consciencieuse de la doctrine « Net Zéro » avec plusieurs années d’avance sur le calendrier prévu : la péninsule ibérique s’est retrouvée complètement privée de courant pendant plusieurs heures.
Rapidement, les questions fusent : comment est-ce possible, au XXIe siècle, d’avoir ce genre de black-out complet ? S’agit-il d’une attaque terroriste, pire d’une cyberattaque, ou pire encore, menée par des vilains Russes ? Et presque aussi rapidement, des éléments s’accumulent pointant dans un problème général d’approvisionnement électrique, avec une inadéquation un peu trop longue et un peu trop marquée entre offre et demande…
Il ne faut pas plus de quelques heures en effet pour que beaucoup d’internautes et d’observateurs un minimum au courant de l’état du réseau électrique ibérique sortent des hypothèses sinon probables mais au moins crédibles : avec un mix énergétique largement composé d’énergies renouvelables, il se pourrait que le réseau ne soit plus aussi stable qu’avant.
Sans surprise, médias et politiciens se relaient alors aussi vite que possible pour démentir ce qui, au fil des heures, semble pourtant le plus évident : non, ce ne sont pas les énergies « vertes » qui sont responsables de cet arrêt catastrophique de la distribution électrique. La panne n’est pas due aux renouvelables, c’est écrit, c’est répété voire camouflé dans d’autres explications plus ou moins farfelues (l’épisode climatique improbable étant même cité).
La gêne est palpable : les preuves, au fil des heures, s’accumulent, avec un pic de production photovoltaïque en Espagne à mesure que le soleil monte dans le ciel, une difficulté croissante du réseau ibérique à s’adapter à cette offre massive, une augmentation de l’éolien en provenance d’Allemagne dont la France, ne sachant que faire, renvoie en Espagne, une consommation pas aussi forte que cette production difficile à stopper, et surtout, une « inertie » insuffisante du réseau espagnol qui ne peut s’adapter à ces variations brutales d’offre et de demande.
Or, cette absence d’inertie est la conséquence directe des choix énergétiques et donc politiques effectués ces dernières décennies : fermeture du parc nucléaire, ouverture d’importants parcs intermittents à l’inertie nulle, tout a été fait pour disposer très majoritairement d’une énergie présentée (faussement) comme « bas carbone », et rien n’a été prévu pour les cas épineux comme celui qui s’est produit ce lundi là…
Cependant, cette situation était connue, et même documentée.
De la même façon qu’en Espagne, de nombreux parlementaires, experts énergétiques et politiciens avaient prévenu que les choix énergétiques posés ces vingt dernières années comportaient des risques de plus en plus élevés, on trouve du reste des remarques équivalentes en France, de la part d’experts, de parlementaires et de politiciens qui comprennent les risques et les enjeux.
Ainsi, une tribune publiée le 13 janvier 2025 dans Le Point par environ 80 parlementaires appelle à un moratoire sur les subventions aux énergies renouvelables, en particulier l’éolien et le photovoltaïque, mentionnant notamment les impacts de ces sources sur la stabilité du réseau. Ils soulignent l’importance de privilégier des sources comme le nucléaire pour garantir la stabilité du système électrique français. Eh non, tiens.
Même son de cloche du côté d’un des fondateurs du Réseau de Transport d’Électricité, André Merlin, qui explique qu’il est trop risqué (à ce stade) de viser un mix de production électrique composé à plus de 50% d’énergies renouvelables, ce que pourtant ont audacieusement (et malencontreusement) choisi nos voisins ibériques avec le résultat qu’on connaît…
Mais voilà : en France, comme en Espagne et comme, plus grave, un peu partout en Europe, l’idéologie prédomine et n’acceptera aucun compromis et aucun aménagement avec la réalité.
Les Espagnols et les Portugais se remettent à peine d’un épisode douloureux qui aurait pu être beaucoup plus grave. Imaginer ces pays sans électricité pendant plus de 24h revient à imaginer un pan entier de l’Europe sombrer rapidement dans l’anarchie : passé ce délai, beaucoup de groupes électrogènes tombent en panne, arrêtant l’électricité dans des hôpitaux, des prisons, des centres de données, des chambres froides et des entrepôts où sont stockés des tonnes de vivres, par exemple.
Et malgré cette leçon, visible par tous, dans le même temps, on continue d’adouber des gens comme Dominique Voynet en la plaçant en charge d’évaluer l’information sur la sécurité nucléaire alors qu’elle a toujours affiché son mépris pour la science, le bon sens et la prudence vis-à-vis des énergies intermittentes associées aux turbines à gaz (russe ou américain), et ce alors que cette même politicienne à la solde des lobbies éoliens explique sans rire qu’elle souhaite « une substitution de l’électricité d’origine nucléaire par des outils de proximité ».
Malgré cette leçon, l’Europe et la France continuent d’arborer dans son gouvernement, aux plus hautes positions de ses institutions en charge justement de produire l’électricité, des individus qui ont amplement démontré qu’ils sont ouvertement contre le nucléaire, la seule énergie stable, non polluante et qui permet de remplir les objectifs – aussi délétères soient-ils – d’une décarbonation de nos énergies.
Ce n’est pas une exagération : il suffit de regarder la longue liste de ministres de 1995 à 2022 pour n’y voir que des farouches opposants à ce qui permet pourtant au pays de tourner encore vaillamment.
Nous avons ainsi Corinne Lepage (de 1995 à 1997), fondatrice de Cap21, militante de la fermeture de Superphénix. Dominique Voynet (qui sévit de 1997 à 2001), candidate des Verts à la présidentielle en 1995 et 2007, a ouvertement saboté les négociations pour conserver le nucléaire dans les énergies vertes, au contraire du mandat qui lui avait été donné.
Suit Yves Cochet (de 2001 à 2002), élu des Verts et adepte de la décroissance puis Delphine Batho (de 2012 à 2013), aujourd’hui présidente de Génération Écologie. Notons ce nigaud de Pascal Canfin (de 2012 à 2014), ministre délégué au Développement, qui a présidé l’organisation WWF France, ouvertement antinucléaire. Doit-on s’appesantir sur Ségolène Royal (de 2014 à 2017), qui fera voter une loi conduisant à la fermeture d’une vingtaine de réacteurs nucléaires jusqu’en 2025 ? OU sur Nicolas Hulot (de 2017 à 2018), qui déclare en 2018 que « Le nucléaire n’est plus une énergie d’avenir ». Dans ce tableau, Barbara Pompili (de 2020 à 2022), ex-députée EELV, apparaît presque modérée.
Et l’infiltration des anti-nucléaires plus ou moins rabiques est loin de se limiter aux ministères.
Nichés dans différents organes, ils peuvent comme les termites faire de gros dégâts, discrètement et durablement, comme par exemple à la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) où l’on a trouvé Hélène Gassin, ex-Greenpeace et EELV, pourtant commissaire en son sein de 2013 à 2019, ou chez RTE, le Réseau de Transport d’Electricité, où l’on a pu voir Pauline Le Bertre rejoindre en 2021 le cabinet du président de RTE (Xavier Piechaczyk) en tant que directrice adjointe, et ce après plusieurs années à la tête du lobby France Energie Eolienne (FEE). Quant à la présidence de RTE, elle fut octroyée de 2015 à 2020 à François Brottes, ex-conseiller de François Hollande pour l’énergie : c’est lui qui mettra en musique la réduction de la part du nucléaire dans le mix français. Belle prouesse.
Pour résumer, il apparaît donc clairement qu’on sait que les énergies intermittentes fragilisent la stabilité du réseau, qu’on sait qu’il ne faut pas dépasser une trop grosse proportion de ces énergies intermittentes dans le mix général pour éviter de se retrouver en difficulté, mais il apparaît tout aussi clairement que, par pure idéologie et refus compact de la réalité, les mesures ne seront pas prises pour éviter de voir cette proportion maximale dépassée.
Autrement dit, un black-out généralisé à toute l’Europe n’est plus tellement une affaire de « si », mais seulement de « quand » et on sait déjà que la responsabilité d’un tel événement en incombera directement aux Gaïatollahs qui refusent d’adapter leurs diktats à la réalité.
Et lorsque ce black-out pan-européen aura lieu, il ne durera pas qu’un triplet d’heures. Des centaines, des milliers de vies seront inévitablement en jeu, et les idéologues seront, une fois encore, responsables directs des morts provoquées à cette occasion.
H16 signe des chroniques qui sont d’une telle lucidité anti-gouvernementale que leur auteur est haï par l’oligarchie qui, tirant les ficelles de ses pantins, se voit constamment démasquée dans ses turpitudes, d’où le pseudonyme H16, qui cache un haut fonctionnaire très au fait de ce qui se passe dans les officines de l’Élysée et de Bruxelles.
3 mai 2025
28 mars 2025
Yann Bizien
-27/3/2025- Restreindre les libertés d'aller et de venir en triant les Français dans les grandes métropoles grâce à des contrôles automatisés : c'est ce que voulaient les gouvernements d'Emmanuel Macron, les déconnectés, les écologistes et la Commission Européenne.
Le système est en train de céder devant ses propres absurdités.
Hier, un amendement a été voté en commission. Il ouvre une perspective d'abrogation totale de ce projet délirant, anti social et liberticide qui pouvait remettre la France dans la rue et engendrer un nouveau cycle de violences, alors que l'Inde se vante de produire un milliard de tonnes de charbon, que les États-Unis se retirent des accords de Paris, que des stocks stratégiques de carburants brûlent en Ukraine et en Russie.
Ce projet de ZFE pouvait exclure les pauvres des villes, abîmer le lien social et accentuer les fractures déjà béantes dans le pays.
Reste à voter son abrogation dans l'hémicycle par une majorité qui semble acquise.
27 mars 2025
Vincent Verschoore
26/3/2025
26/3/2025
"Les zones à faibles émissions (ZFE), généralisées depuis janvier 2025, font l’objet de contestations à l’Assemblée nationale et au Sénat. Leur suppression se heurterait à des obstacles liés au droit européen, mais reste théoriquement possible."
Les ségrégationnistes en appellent à la suprémacie du droit européen pour justifier leurs Zones à Forte Exclusion, mais cet article décrit la réalité juridique, qui n'empêche en rien d'arrêter le délire dès lors qu'existe la volonté politique, qui est censée représenter celle de la population – en théorie, bien sûr.
Avant d'être appliquée, toute loi devrait prendre en compte la réalité des effets escomptés, et la réalité de ses effets délétères. Dans le cas des ZFE, la balance est catastrophique.
C'est également absurde au sens où la pollution depend avant tout de la consommation globale du véhicule. Une voiture de luxe Crit'Air 2 qui fait 50 000 km par an c'est OK, une voiture Crit'Air 3 qui en fait 10 000, donc au bout du compte pollue largement moins que la première, c'est pas OK.
Une politique intelligente (on peut rêver) devrait a minima prendre en compte la consommation réelle des véhicules, qui est connue via les CT (relevé du kilométrage).
↴
17 mars 2025
La France s’appauvrit de plus en plus vite
H16
- 17/3/2025 - En France, les plateaux télés sont toujours aussi rutilants, les invités semblent toujours aussi frais et pimpants mais ceux qui regardent au-delà du Périphérique parisien, et même dans un nombre croissant de quartiers de la capitale ne sont plus dupes : les Français s’appauvrissent visiblement, la France sombre petit à petit dans le tiers-monde.
Ici, on pourrait évoquer rapidement l’augmentation persistante du chômage, suffisamment discrète pour éviter toute évocation sur ces fameux plateaux télé mais qui corrobore, assez logiquement, l’augmentation notoire des faillites d’entreprise dans l’Hexagone, elle aussi très peu discutée.
Devant ce simple constat, certains se rassureront (un peu trop vite) en notant qu’à part pour les classes les plus modestes, les salaires ne stagnent pas forcément et sont même globalement en hausse… Oubliant un peu vite que, dans le même temps, les charges qui pèsent sur les Français ne cessent de croître avec une vigueur assez remarquable.
En effet, cette hausse peut être attribuée à deux grandes causes : la première, c’est la gourmandise de l’État et ses nouvelles ponctions dont l’avalanche continue de plus belle alors que la France est pourtant le pays le plus taxé au monde.
La seconde, plus inquiétante encore, est résumable par les effets de bord maintenant sensibles et nombreux des dernières mesures les plus larges imposées à l’ensemble de la population, depuis les DPE jusqu’aux ZFE en passant par toutes les autres politiques idiotes (ZAN, transition écologique, normes et interdictions à gogo) qui finissent, toutes, par gonfler les coûts des biens et des services consommés.
Très concrètement, on observe par exemple une hausse globale des coûts de loyer (d’environ 3.3%). Si l’inflation des années passées pouvait expliquer les hausses constatées en 2022 et 2023, les hausses récentes sont en réalité dues d’un côté au DPE, cette énorme arnaque qui renchérit artificiellement les mises sur le marché, et de l’autre côté, à un inquiétant effondrement des mises en chantier, rendant mécaniquement l’existant plus cher par manque d’offre. L’accroissement des normes et contraintes dans ce domaine, les coûts de l’emploi en France suffisent d’ailleurs à expliquer l’essentiel des faillites d’entreprises de construction ainsi que les arrêts de chantiers.
Quant aux ZFE, elles ont instantanément transformé des millions de Français en parias interdits de centre-ville ou de déplacement.
La « magie » de ce texte législatif parfaitement idiot est stupéfiante : pour rappel, ces ZFE ont été établies sur un mensonge, celui d’une pollution dangereuse des voitures qui tuerait des milliers de Français par an, et il est parfaitement avéré qu’elles n’ont absolument aucun impact sur la qualité de l’air.
En revanche, il est plus compliqué d’occulter l’effet réel et très concret de ces ZFE : en stigmatisant les véhicules anciens par une carbophobie rabique, on appauvrit encore les pauvres en pleine crise économique comme l’explique très bien Alexandre Jardin dans une récente intervention sur BFM TV.
En outre, les effets de bord de ces ZFE ne se contentent pas d’une exclusion des plus modestes : certains véhicules d’occasion récents (vieux de 3 à 5 ans) sont devenus très recherchés puisqu’ils permettent de circuler dans ces zones d’exclusion. De façon logique, ceci en fait monter les prix, et ce d’autant plus que leur production a été largement réduite pendant les périodes de confinement en 2020 et 2021. À la fin, les plus modestes n’ont même pas la possibilité de changer de véhicules puisque même ces voitures d’occasion deviennent rapidement inabordables.
Enfin, dans les signaux faibles, notons l’augmentation inquiétante des impayés pour les factures de gaz et d’électricité (+24% en 2024 par rapport à 2023).
Là encore, les choix parfaitement débiles des gouvernements passés et présents en matière d’énergie ont un coût direct énorme, qui se traduit explicitement par des Français qui ne peuvent pas se chauffer ou simplement vivre dignement. Ainsi, maintenir la France dans le marché de l’électricité européen revient à faire payer une électricité beaucoup plus chère que ce qu’elle est produite, dans un pays qui est l’un des plus décarboné du monde, essentiellement au profit des autres membres de l’Union.
De plus, les choix calamiteux de pousser aux énergies dites vertes ajoutent encore des coûts pharamineux (et consciencieusement cachés par la classe politique) à ces dispositions déjà idiotes, dont on rappellera qu’en réalité, les Français n’ont pas voté pour : toute la force des Verts et autres Gaïatollah aura été d’infuser leurs idées cancéreuses dans tous les autres partis et, malgré leur insignifiance politique, ils sont parvenus à imposer leur agenda à toute une classe politique parfaitement inepte tant en matière d’économique que d’écologie ou de simple bon sens.
Enfin, ce constat s’ajoute aux décisions parfaitement stupides sur le plan géopolitique, enchaînées avec fébrilité ces cinq dernières années, qui ont encore accru les tensions sur les marchés énergétiques, tensions qui se traduisent toutes directement par un renchérissement des énergies, des produits qui les utilisent et, à la fin, par un appauvrissement des Français.
Pas de doute : DPE, ZFE, marché inique de l’électricité européen, diplomatie de Gribouille et géopolitique d’hydrocéphales, tout démontre que les décisions gouvernementales des 10 dernières années sont le fait au mieux de parfaits imbéciles, ou au pire de traîtres les plus abjects. Et chaque semaine qui passe fait pencher la balance vers la traîtrise.
Ce pays est foutu.
PS : il existe une pétition sur le site en ligne de l’Assemblée nationale pour l’abrogation des ZFE à ce lien-ci. Même s’il faut passer par cette merde consternante de FranceConnect, ceux qui le peuvent sont encouragés à le faire.
12 mars 2025
Ze Rhubarbe Blog
- 12/3/2025 - Les Zones à Forte Exclusion sont des inventions technocratiques sans réel impact sur la qualité de l'air, et qui ne servent qu'à nourrir le tropisme ségrégationniste de privilégiés ayant accès au pouvoir.
Les mêmes qui, hier, applaudissaient les confinements depuis leurs maisons de campagne, puis le pass sanitaire, et qui demain applaudiront l'euro électronique et le contrôle étatique absolu sur nos affaires personnelles.
Les mêmes qui célèbrent l'EuroSoviet, la censure bien-pensante et la corruption.
"La colère monte, la mobilisation s’étend. De nombreux Français veulent la peau des ZFE, ces zones à faibles émissions instaurées par la loi d’orientation des mobilités de 2019, puis renforcées par la loi climat et résilience d’août 2021. Imposées aux agglomérations de plus de 150.000 habitants avant le 31 décembre 2024 pour améliorer la qualité de l’air, elles font aujourd’hui l’objet d’un très vif rejet, accusées de causer une rupture d’égalité entre les automobilistes, autorisant aux uns et interdisant aux autres d’accéder à ces zones. Manifestations de contestation, propositions de lois pour les abroger ou les suspendre, recours devant les tribunaux : la multitude des attaques contre les ZFE pourrait-elle parvenir à enterrer ce dispositif ?"
C'est bientôt les élections municipales...
7 mars 2025
Les joyeuses aventures vertes d’une France en faillite
H16
- 7/3/2025 - Au moins la France n’est pas à cours de bonnes idées technologiques ! Pendant que le monde se crispe à droite et à gauche pour des terres rares, des minerais, du pétrole ou du gaz, l’Hexagone choisit l’innovation pour s’en sortir, dans tous les domaines, depuis les technologies de pointe jusqu’aux législations les plus finaudes.
Prenez l’hydrogène par exemple.
La science, assez claire sur le sujet, permet d’établir assez nettement qu’avec les technologies actuelles, sa production et son exploitation sont aussi complexes qu’économiquement peu viables : la plupart des solutions (comprenant des gazoducs ou de la compression) sont aussi irréalistes économiquement que scientifiquement, cumulant fuites, dangers d’exploitation et rendements minables dans une combinaison amusante.
C’est donc assez logiquement qu’un petit paquet de startups françaises se sont lancées dans ce créneau : c’est voué à l’échec mais c’est massivement subventionné ? Alors, allons-y, c’est Nicolas, 30 ans, contribuable fidèle, qui régale !
C’est un peu l’histoire de la startup Hopium, dont l’idée géniale consistait à proposer un véhicule roulant de luxe sur la base d’une pile à combustible à hydrogène : après un démarrage évidemment en fanfare en 2022 d’autant plus qu’il était artificiellement porté par les politiciens locaux et nationaux ainsi que des médias facilement enamourés, l’entreprise s’est rapidement retrouvée confrontée à des réalités physiques peu déformables même avec beaucoup d’argent.
En 2025, c’est la douche froide, avec un cours d’actions explorant les dixièmes de centimes d’euros (pour 40€ à son maximum), et des bricolages financiers de plus en plus hardis pour repousser une faillite qu’on pouvait pourtant prédire facilement dès 2023.
Du reste, toute la « filière hydrogène », bâtie sur le capitalisme de connivence, est un vrai poème sur le cramage d’argent public visant au mieux à occuper quelques habiles vendeurs de tapis éco-conscients avant un dépôt de bilan, au pire à détourner des fonds publics sans vergogne. Et lorsqu’on évoque la seule méthode vraiment efficace, celle de l’hydrogène blanc où l’on extrait un gaz produit naturellement et aussi pur que possible pour le brûler directement afin d’en faire de l’électricité sur le lieu d’extraction, on se heurte assez rapidement aux autorités (gavées de paradigmes écolos débiles), globalement contre.
Rassurez-vous, ce qui est vrai pour l’hydrogène l’est bien évidemment pour toutes les autres filières toutes aussi « vertes » que vouées à un échec cuisant.
Ici, on pourrait jouer sur du velours et revenir sur l’éolien, cette vaste blague propagandiste mise en place par des vendeurs de turbines et de gaz (notamment russes mais pas seulement) qui, grâce à un lobbying efficace, sont parvenus à faire prendre des vessies carbonées pour des lanternes Gaïa-compatibles.
Petit à petit cependant, la réalité actuelle du gouffre économique que représentent les éoliennes commence à se faire jour, et la plupart des entreprises majeures investies dans ce genre d’impasses pourtant prévisibles sont d’ailleurs en train de revoir radicalement la portée de leurs investissements dans le domaine, notamment en dépréciant les projets dont on commence à se douter qu’ils vont être des fiascos retentissants.
D’ailleurs, les riverains s’opposent de plus en plus souvent à ces projets éoliens : apparemment, l’écologie est très intéressante mais lorsqu’elle est tenue loin, à l’écart des habitations et… de leur environnement (qu’il faut préserver, n’est-ce pas).
Mais dans une société totalement corrompue idéologiquement et dont les notions économiques sont complètement tordues au point de favoriser la connivence et les affaires entre copains et coquins au détriment d’un capitalisme efficace, ces considérations ne tiennent pas : peu importent les échecs cuisants des filières dites « écologiques » puisque ce sont les seules, actuellement, qui ont l’oreille des politiciens.
Et dans un pays où l’argent ne coule à flot que dans le secteur public, que sans subventions et sans appui des administrations, le capitalisme traditionnel est un véritable enfer avec échec quasi-certain au bout, il est logique que les uns et les autres ne cherchent rien tant que les projets qui seront adoubés de ces administrations et de ces politiciens.
Dès lors, comment s’étonner du développement d’une nouvelle « gigafactory » de panneaux solaires en France, et ce alors même que cette technologie n’apporte aucun avantage par rapport aux technologies traditionnelles (nucléaire ou énergies « fossiles ») ?
Au passage, on notera que le permis de construire et l’autorisation environnementale ont été obtenus après d’âpres batailles administratives (perdues par une autre entreprise il y a deux ans), ce qui montre que même pour les bidules écolo-bien-pensants, la bureaucratie ne faiblit jamais.
Oui, vous avez bien lu : même si les autres énergies renouvelables pataugent dans les échecs économiques tout autant qu’écologiques, lançons une fabrication massive de panneaux photovoltaïques ! Même si le pays est endetté à hauteur de 3400 milliards d’euros, que ses services publics sont devenus une blague pas drôle, et que des sommes colossales sont consacrées à des projets complètement débiles à l’étranger, ajoutons-en une couche sur le territoire national ! Après tout, le fiasco de la « route solaire » n’a pas été suffisamment mémorable pour se passer d’une nouvelle déroute financière.
Et ici, on voit les choses en grand : ce ne sont pas quelques dizaines de millions d’euros qui seront cramés dans cette expérimentation, mais bien des centaines de millions, qui permettront, selon les dirigeants de l’entreprise, de créer 1900 emplois… pour produire des panneaux solaires, plein de panneaux solaires qui viendront produire de l’électricité en surplus quand il fera grand soleil et rien du tout pendant la nuit, obligeant l’installation et la maintenance parallèle de centrales de productions pilotables (donc pas éoliennes et pas solaires non plus). Un petit pas guilleret de côté pour les écolos, et un grand bond en avant pour les vendeurs de gaz et de pétrole.
Hydrogène, éolien, photovoltaïque, décidément, la France ne manque pas d’idées pour brûler des capitaux dans des aventures douteuses aux impacts de plus en plus discutables. Mais après tout, c’est aussi le bénéfice d’un pays bien géré, de finances en bonne santé et d’un gouvernement au taquet sur tous les autres sujets : on peut se permettre quelques fantaisies, n’est-ce pas ?
6 mars 2025
28 février 2025
Ze Rhubarbe Blog
"Ce 27 février 2025 est synonyme d’une petite victoire pour les opposants de l’A69. Pourtant, il semblerait que leur combat ne soit pas encore fini.
En effet, bien que la décision du tribunal administratif de Toulouse soit historique, le feuilleton n’est pas terminé et l’A69 va revenir encore une fois sur le devant de la scène. Mais cette fois, c’est l’État, par l’intermédiaire du ministère des transports qui va faire appel de la décision.
Notamment en avançant l’argument que le chantier, malgré les différents recours, plaintes et autres tentatives de suspension, “est avancé aux deux tiers”. Dans un communiqué, Philippe Tabarot, ministre des transports, a même qualifié la décision de suspendre les travaux de l’A69 “d’ubuesque”.
Bref, l’histoire est encore loin d’être terminée."
Ce qui est ubuesque est le projet en lui-même, fruit d'une coopération illégitime entre bétonneurs, édiles locales et État visant à racketter le trafic existant entre Toulouse et Castres, au prix d'un désastre environnemental et humain.
C'est, au-delà d'un doigt d'honneur à toute la supposée politique "écolo" d'un régime qui, par ailleurs, applaudit la ségrégation sociale ZFE pour motif "écolo", la marque de la corruption endémique de la Macronie et la collaboration sans faille de sa milice armée avec le grand capital prédateur.
Intimidations, destructions, expulsions des défenseurs des arbres (les "écureuils") et des résidents sur le tracé routier occupèrent en effet de nombreux gros bras aux gros flingues et petite cervelle.
Le bon sens avait finalement prévalu dans l'affaire de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, espérons qu'il en sera de même ici, même si les destructions et drames humains déjà opérés par cette mafia sont difficilement réversibles.
22 février 2025
16 février 2025
Romain Vignest
- 16/2/2025 - Il suffit d’un vent d’Est pour que notre air s’enrichisse de particules concoctées dans les centrales à charbon de nos voisins allemands.
La ségrégation par les ZFE n’a évidemment pas davantage de finalité écologique que la ségrégation par le pass n’avait de finalité sanitaire. Et quand bien même, aucune épithète ne saurait rendre la ségrégation tolérable.
(Capture d’écran du 4 février.)
27 janvier 2025
15 décembre 2024
Nicolas Dupont-Aignan
- 15/12/2024 - L'Allemagne, qui a eu la bêtise de miser sur l'éolien et le solaire pour se fournir en électricité, se retrouve à payer des fortunes en faisant appel à des centrales à fioul ou à charbon lorsqu'il n'y a pas de de vent ou de soleil.
Ne copions pas l'erreur de notre voisin, arrêtons les subventions délirantes aux énergies intermittentes et sortons du marché européen de l'électricité !
Inscription à :
Articles (Atom)