11/7/2025
L’Union européenne : la maison-mère de la corruption tranquille et de l’autoritarisme bureaucratique.
Un paradis pour multinationales, un bunker pour technocrates, un désert pour la démocratie.
Une motion de censure contre Ursula von der Leyen vient d’échouer.
Oui, échouer. Et on en parle si peu.
Service minimum dans la presse écrite, omerta complète dans les médias de masse.
Pourtant, cette motion portait sur un scandale d’une gravité sidérante : le Pfizergate.
Des milliards d’euros de fonds publics négociés – ou plutôt bradés – par SMS avec le PDG de Pfizer, sans appel d’offre, sans contrôle, sans transparence.
Et le tout, imposé aux citoyens d'Europe une fois le forfait accompli.
Silence généralisé, connivence institutionnelle.
La Commission européenne ? Elle se tait. C'est la spécialité des mafias.
Les médias européens ? Ils font le SAV pour les eurocrates et les globalistes.
On parle ici d’un abus de pouvoir ahurissant, de fraude massive, mais chut… circulez, y'a rien à voir.
Et le plus grotesque ?
Ce n’est ni une cour européenne, ni un parti européen, ni un journal européen qui a lancé l’alerte…
C’est le New York Times !
Oui, il a fallu qu’un journal américain intente une action en justice pour tenter d’arracher quelques bribes de vérité à madame von der Leyen.
Bravo l’Europe de la souveraineté ! On est passé de "l’Europe puissance" à l’Europe en laisse et la schlague (allemande).
Hypocrisie en cascade.
Ah, que l’UE est prompte à donner des leçons de démocratie aux pays africains, aux vilains moujiks du Kremlin ou aux Chinois !
Mais chez nous, quand l’autoritarisme prend un visage bien peigné et s’exprime en powerpoints, tout va bien.
Bienvenue dans le temple du verticalisme technocratique : c’est propre, c’est poli, c’est mortel pour la démocratie.
Et la France Insoumise ? Elle s’abstient.
Oui, s’abstient.
Quand il s’agit de voter contre une corruption massive, l’indignation flanche.
C’est apparemment plus simple d’aller faire les pitres à Budapest que de voter contre un scandale institutionnel à Bruxelles.
Heureusement, les députés du Sinn Féin irlandais et du Mouvement 5 Étoiles italien, eux, ont encore un peu de colonne vertébrale.
35 milliards d'euros. Par SMS. En toute décontraction.
Et pendant ce temps, von der Leyen ose parler "d’erreur administrative ".
Un délit qualifié devient une simple coquille.
C’est le même sketch que Bruno Le Maire, qui refuse d’assumer 1 200 milliards de dettes : pas responsable, pas coupable, juste une petite "erreur technique".
La République des irresponsables.
L’UE, c’est le Parti Unique Européen - le PUE
Le PUE. Une grande machine à dissoudre la souveraineté populaire et affaiblir les États dans l’acide du consensus oligarchique et... à déclencher des guerres en dépensant l'argent qu'ils n'ont pas, le nôtre.
Il est composé de :
PPE (droite de gouvernement)
S&D (centre-gauche de gouvernement)
Renew Europe (libéraux macronisés et les mêmes que les deux précédents)
Et les Verts/ALE, qui votent pareil que les autres dès qu’on repeint l’autoritarisme en vert pomme.
Résultat : tout ce petit monde vote ensemble pour défendre le système, se protéger mutuellement, et faire croire qu’il y a débat alors qu’il n’y a que simulacre.
Et après ça ?
Rien.
Pas de sanctions. Pas de remise en cause.
Juste l’arrogance intacte d’une caste sûre d’elle-même.
Circulez les gueux, il n’y a rien à voir.
Jusqu’ici tout va bien…
Jusqu’ici tout va bien.
Mais nous sommes en chute libre.
Oui, échouer. Et on en parle si peu.
Service minimum dans la presse écrite, omerta complète dans les médias de masse.
Pourtant, cette motion portait sur un scandale d’une gravité sidérante : le Pfizergate.
Des milliards d’euros de fonds publics négociés – ou plutôt bradés – par SMS avec le PDG de Pfizer, sans appel d’offre, sans contrôle, sans transparence.
Et le tout, imposé aux citoyens d'Europe une fois le forfait accompli.
Silence généralisé, connivence institutionnelle.
La Commission européenne ? Elle se tait. C'est la spécialité des mafias.
Les médias européens ? Ils font le SAV pour les eurocrates et les globalistes.
On parle ici d’un abus de pouvoir ahurissant, de fraude massive, mais chut… circulez, y'a rien à voir.
Et le plus grotesque ?
Ce n’est ni une cour européenne, ni un parti européen, ni un journal européen qui a lancé l’alerte…
C’est le New York Times !
Oui, il a fallu qu’un journal américain intente une action en justice pour tenter d’arracher quelques bribes de vérité à madame von der Leyen.
Bravo l’Europe de la souveraineté ! On est passé de "l’Europe puissance" à l’Europe en laisse et la schlague (allemande).
Hypocrisie en cascade.
Ah, que l’UE est prompte à donner des leçons de démocratie aux pays africains, aux vilains moujiks du Kremlin ou aux Chinois !
Mais chez nous, quand l’autoritarisme prend un visage bien peigné et s’exprime en powerpoints, tout va bien.
Bienvenue dans le temple du verticalisme technocratique : c’est propre, c’est poli, c’est mortel pour la démocratie.
Et la France Insoumise ? Elle s’abstient.
Oui, s’abstient.
Quand il s’agit de voter contre une corruption massive, l’indignation flanche.
C’est apparemment plus simple d’aller faire les pitres à Budapest que de voter contre un scandale institutionnel à Bruxelles.
Heureusement, les députés du Sinn Féin irlandais et du Mouvement 5 Étoiles italien, eux, ont encore un peu de colonne vertébrale.
35 milliards d'euros. Par SMS. En toute décontraction.
Et pendant ce temps, von der Leyen ose parler "d’erreur administrative ".
Un délit qualifié devient une simple coquille.
C’est le même sketch que Bruno Le Maire, qui refuse d’assumer 1 200 milliards de dettes : pas responsable, pas coupable, juste une petite "erreur technique".
La République des irresponsables.
L’UE, c’est le Parti Unique Européen - le PUE
Le PUE. Une grande machine à dissoudre la souveraineté populaire et affaiblir les États dans l’acide du consensus oligarchique et... à déclencher des guerres en dépensant l'argent qu'ils n'ont pas, le nôtre.
Il est composé de :
PPE (droite de gouvernement)
S&D (centre-gauche de gouvernement)
Renew Europe (libéraux macronisés et les mêmes que les deux précédents)
Et les Verts/ALE, qui votent pareil que les autres dès qu’on repeint l’autoritarisme en vert pomme.
Résultat : tout ce petit monde vote ensemble pour défendre le système, se protéger mutuellement, et faire croire qu’il y a débat alors qu’il n’y a que simulacre.
Et après ça ?
Rien.
Pas de sanctions. Pas de remise en cause.
Juste l’arrogance intacte d’une caste sûre d’elle-même.
Circulez les gueux, il n’y a rien à voir.
Jusqu’ici tout va bien…
Jusqu’ici tout va bien.
Mais nous sommes en chute libre.