Vincent Verschoore
-21/6/2025- La diabolisation de la pensée critique est la marque de fabrique des covidistes, et des esprits corrompus (par l'argent, le pouvoir, l'idéologie...) en général. Le cas Sabatier est emblématique :
"Jean-Marc Sabatier n’est pas un marginal. Il n’est pas un complotiste. Il n’est pas un influenceur d’Internet autoproclamé “expert santé”.
Il est directeur de recherche au CNRS, titulaire d’un doctorat et d’une habilitation à diriger des recherches.
Il est l’auteur de plus de 280 publications scientifiques, de 55 brevets, et membre actif de plus de 70 comités de rédaction de revues scientifiques internationales.
Ce que Jean-Marc Sabatier met aussi en lumière, c’est que la protéine Spike produite par les vaccins à ARN pourrait induire les mêmes déséquilibres, avec des effets physiopathologiques graves à long terme. Et cela, dans le climat post-pandémie, ne passe pas.
Car s’attaquer à la sacralité des vaccins Covid, c’est violer le consensus.
C’est déranger les plans politiques, économiques, et médiatiques construits autour d’une vérité autorisée.
Dès lors, le chercheur devient l’ennemi, même s’il cite des faits, même s’il publie dans des revues scientifiques, même s’il s’exprime sans insulte, ni provocation."
Les pseudo-journalistes mais vrais porte-flingues des intérêts du pouvoir s'en donnent à cœur joie, tout comme les professionnels de la santé financière des labos, et Sabatier est loin d'être seul dans son cas.
Dès les premières lignes, le ton est donné : les chercheurs qui ne suivent pas la ligne officielle sont qualifiés de dangereux, voire d’égarés, mêlant “propos antivaccins”, “ovnis” et “croyances ésotériques”… L’amalgame est posé.
Ce que révèle l’affaire Jean-Marc Sabatier, ce n’est pas une simple querelle d’experts, ni même une divergence de vues sur une technologie médicale.
C’est un symptôme grave d’un mal qui gangrène la science contemporaine : le remplacement du débat par le dogme, de la recherche par le consensus obligatoire, de la vérité par la communication politique."
Nous vivons une période de retour d'une forme d'obscurantisme 2.0 sous forme de guerres de propagande, de "nudging", de manipulation via médias et réseaux sociaux, mais surtout de corruption : la porosité entre pouvoir politique, institutions (genre FDA), médias et industrie oriente les décisions politiques et administratives au profit d'intérêts qui ne sont généralement pas ceux du public. Il devient alors dangereux pour les acteurs du bas de l'échelle, qui ne bénéficient pas directement des fruits de la corruption (comme les médecins), de s'opposer car ils risquent la foudre des institutions, des médias, de leur Ordre...
Bref, on retrouve ici une forme de soviétisation de la science et de la société où une Nomenklatura de gens bien placés s'entendent pour profiter (et même piller) du bien public, se cooptent entre eux, et punissent toute contestation un peu sérieuse. Une Nomenklatura servie par une masse d'idiots utiles qui cherchent aussi à y trouver quelque profit en se faisant "bien voir".
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