Pierre Duriot, porte-parole du Rassemblement du Peuple Français
☐ 21/12/2022
Les crises cardiaques, c’est tendance
Je me marre... les crises cardiaques, c’est tendance. Jusqu’à voici environ deux ans, elles étaient réservées aux alcoolos-tabagiques et aux vrais malades du cœur. Maintenant, attention, ça peut toucher tout le monde et un certain nombre de causes et de concepts sont venus nous mettre en garde contre l’arrêt du cœur. La mort « subite et inexpliquée », jusque-là réservée aux nourrissons, s’applique maintenant aux adultes, depuis un an environ. Sinon, on peut mourir de crise cardiaque en faisant du sport, on le savait un peu, mais personne ne le disait vraiment, mais inexplicablement, aussi, en « mangeant seul », en prenant une « douche chaude », en nouant ses lacets, en passant du chaud au froid et en réalisant tout un tas d’activités quotidiennes qui jusque-là, n’avaient pas l’air de poser le moindre problème. Depuis un à deux ans, on ne voit pas du tout ce qui est advenu de nouveau et qui pourrait renforcer les risques cardiaques chez les adultes. Les médecins ont dû spontanément faire d’énormes progrès et identifier des risques totalement inconnus voici deux ans, à l’âge du bronze donc, avant les progrès de la médecine.
☐ 15/12/2022

Bruxelles et Paris : du lobbying à la corruption
Le lobbying des entreprises de tout poil, auprès des instances de Bruxelles, commission et parlement, n’est pas récent. Les grands groupes industriels et commerciaux ont tous des salariés chargés d’approcher les commissaires et élus, afin d’orienter décisions, normes et lois, dans le sens qui les avantage. On sait aussi, depuis des années que le lobby le plus puissant, le plus nombreux en personnels, est celui des pharmaceutiques, on risque d’être amené à en reparler dans peu de temps.
Mais après tout, il semble assez logique que les instances bruxelloises, quand elles doivent légiférer sur des thématiques industrielles, discutent avec les acteurs du secteur et que donc, ceux-ci proposent des interlocuteurs qui savent de quoi ils parlent. Tout cela pourrait sembler relever du travail d’échanges ordinaires préparatoires à une législation. Le problème est que cela ne s’arrête pas aux discussions et que les lobbyistes proposent des lois et des amendements rédigés, prêts à l’emploi, qu’ils font passer par des parlementaires et aussi sans doute par des membres de la commission, non élus. Ces gens-là le font aussi avec les députés de notre parlement français et sans doute aussi, avec les élus des autres parlements européens. Cela est connu. Ce qui l’est moins, est de savoir si la défense de ces amendements « clé en main », est assortie d’une prime sonnante et trébuchante, auquel cas, on passe de la discussion de travail, à la discussion arrangée et pour finir, à la corruption.
Plus graves sont les « résolutions » à caractère international, qui chargent le travail, en lieu et place de ce qui concernerait plus directement les questions européennes. De quoi se mêle le parlement, par exemple, à introduire des femmes voilées dans sa communication, alors que l’Europe est chrétienne ? Le député François-Xavier Bellamy, a fait reculer ce genre d’initiative. On s’aperçoit aujourd’hui que le monde musulman intervient largement auprès des instances européennes, on en a l’exemple avec le Qatar, dont on sait qu’il finance des groupes extrémistes, ou obtient, en France, des aménagements fiscaux.
Manque de chance pour Eva Kaili, mise en cause directement cette semaine, son compagnon a reconnu ses liens avec les services secrets marocains. Il était l’assistant d’un député membre de la commission d’enquête sur l’utilisation du logiciel espion Pegasus par le Maroc. En clair, des responsables musulmans font avancer leur religion chez nous, sur des questions, par exemple, de port du voile islamique, de menus halal, ou de valeurs coutumières. Il ne s’agit évidemment pas de terrorisme mais d’un prosélytisme « soft », dont le but est tout de même d’infiltrer les sociétés occidentales. Ce n’est plus du lobbying commercial ou industriel, mais de la corruption.
Il faut se pencher sur la régulation de ces pratiques, non seulement pour les élus, mais aussi, pour les commissaires et faire de même aux niveaux des parlements nationaux, y compris et surtout, en France, où les principes coutumiers ne font qu’avancer depuis deux à trois décennies.
Le lobbying des entreprises de tout poil, auprès des instances de Bruxelles, commission et parlement, n’est pas récent. Les grands groupes industriels et commerciaux ont tous des salariés chargés d’approcher les commissaires et élus, afin d’orienter décisions, normes et lois, dans le sens qui les avantage. On sait aussi, depuis des années que le lobby le plus puissant, le plus nombreux en personnels, est celui des pharmaceutiques, on risque d’être amené à en reparler dans peu de temps.
Mais après tout, il semble assez logique que les instances bruxelloises, quand elles doivent légiférer sur des thématiques industrielles, discutent avec les acteurs du secteur et que donc, ceux-ci proposent des interlocuteurs qui savent de quoi ils parlent. Tout cela pourrait sembler relever du travail d’échanges ordinaires préparatoires à une législation. Le problème est que cela ne s’arrête pas aux discussions et que les lobbyistes proposent des lois et des amendements rédigés, prêts à l’emploi, qu’ils font passer par des parlementaires et aussi sans doute par des membres de la commission, non élus. Ces gens-là le font aussi avec les députés de notre parlement français et sans doute aussi, avec les élus des autres parlements européens. Cela est connu. Ce qui l’est moins, est de savoir si la défense de ces amendements « clé en main », est assortie d’une prime sonnante et trébuchante, auquel cas, on passe de la discussion de travail, à la discussion arrangée et pour finir, à la corruption.
Plus graves sont les « résolutions » à caractère international, qui chargent le travail, en lieu et place de ce qui concernerait plus directement les questions européennes. De quoi se mêle le parlement, par exemple, à introduire des femmes voilées dans sa communication, alors que l’Europe est chrétienne ? Le député François-Xavier Bellamy, a fait reculer ce genre d’initiative. On s’aperçoit aujourd’hui que le monde musulman intervient largement auprès des instances européennes, on en a l’exemple avec le Qatar, dont on sait qu’il finance des groupes extrémistes, ou obtient, en France, des aménagements fiscaux.
Manque de chance pour Eva Kaili, mise en cause directement cette semaine, son compagnon a reconnu ses liens avec les services secrets marocains. Il était l’assistant d’un député membre de la commission d’enquête sur l’utilisation du logiciel espion Pegasus par le Maroc. En clair, des responsables musulmans font avancer leur religion chez nous, sur des questions, par exemple, de port du voile islamique, de menus halal, ou de valeurs coutumières. Il ne s’agit évidemment pas de terrorisme mais d’un prosélytisme « soft », dont le but est tout de même d’infiltrer les sociétés occidentales. Ce n’est plus du lobbying commercial ou industriel, mais de la corruption.
Il faut se pencher sur la régulation de ces pratiques, non seulement pour les élus, mais aussi, pour les commissaires et faire de même aux niveaux des parlements nationaux, y compris et surtout, en France, où les principes coutumiers ne font qu’avancer depuis deux à trois décennies.

☐ 15/12/2022
Report de la loi sur les retraites
Madame Borne vient de reculer le dépôt de sa loi sur les retraites. L’examen initialement prévu le 15 décembre 2022, est finalement reporté au 10 janvier 2023.
L’urgence affichée n’est plus de mise, pour quelle raison ? Il est vrai que cette loi divise jusque dans les rangs de la macronie. Des voix s’élèvent un peu partout pour signaler son inutilité, puisque le régime n’est pas à l’agonie, comme veut bien le prétendre le gouvernement, mais bien en bonne santé. Le COR (Conseil d’Orientation des Retraites) l’a même confirmé dans son 9ème rapport en septembre. Ses projections ne sont pas alarmistes, pour peu que l’on s’attelle dès aujourd’hui à corriger certains dysfonctionnements et à remettre du bon sens dans la logique du travail dans ce pays.
Pourtant, et malgré ce rapport entre autres, Macron semblait il y a encore quelques jours, pressé d’en finir, ou d’en découdre, au choix. Que s’est-il passé entre temps pour qu’il décale cette présentation d’un mois ? S’est-il rendu compte de l’impopularité de cette loi au point de la repousser dans le temps ? Peu probable, il y a belle lurette que l’impopularité de ce qu’il fait, ou dit, ne l’effleure plus.
Borne elle-même s’est-elle rendue compte des absurdités du contenu de sa loi, notamment en voulant la faire appliquer à la génération de 1961, censée partir à la retraite en 2023 ? À chaque fois qu’on a repoussé l’âge légal de la retraite, ceux qui se trouvaient à 5 ans du départ n’étaient pas concernés. Aurait-elle pris acte de cette pratique pour corriger son texte et le rendre moins agressif ? On n’en sait rien.
Le gouvernement aurait-il eu vent, après avoir consulté secrètement les différentes formations politiques, que cette fois la partie était mal engagée ? Un nouveau 49.3, souhaité par Macron lui-même, n’étant plus assuré de passer comme une lettre à la poste, il aurait été décidé de surseoir d’un mois, afin de tâter le terrain et d’assurer ses arrières ? Il est vrai qu’entre-temps, Ciotti a pris la tête des LR et si certains dans son camp se posent déjà en dissidents, il n’en demeure pas moins que l’abstention systématique de ce parti ne serait plus assurée. De là, une légitime inquiétude du côté du gouvernement. À force de bluffer parfois on perd. Et Macron joue gros dans cette affaire, car si une motion de censure était votée sur ce texte-là, non seulement la loi serait rejetée, mais en plus le gouvernement tomberait. Il chuterait sur un texte essentiel. Le signal serait plus que symbolique, il marquerait la fin du chèque en blanc et supposerait que d’autres textes, qui sont le cœur du programme présidentiel, pourraient également être rejetés faute de majorité. L’enjeu est donc de taille et mérite réflexion. Un adoucissement du texte pourrait permettre de trouver le consensus recherché auprès des LR. Mais serait-il suffisant, dès lors que la formation de Ciotti affiche des ambitions bien différentes à présent, et qu’elles ne pourront s’exprimer pleinement tant que ce gouvernement restera au pouvoir. Passer en force devient risqué, en cas de vote d’une motion de censure, Macron n’aurait d’autre choix que de dissoudre. Il sait que dans ce cas, non seulement il n’aurait toujours pas de majorité, mais pourrait même affaiblir encore plus ses propres rangs.
Cette réforme, personne n’en veut, pas plus le patronat que le reste de la classe politique. En plus de n’être pas nécessaire, elle pourrait faire tomber le gouvernement qui jusqu’à présent, pouvait se ficher éperdument de manquer de majorité. On attend que les opposition poussent encore plus fort et qu’elles fassent, comme nous le demandons au RPF, tomber ce gouvernement dont plus grand monde ne veut.
L’urgence affichée n’est plus de mise, pour quelle raison ? Il est vrai que cette loi divise jusque dans les rangs de la macronie. Des voix s’élèvent un peu partout pour signaler son inutilité, puisque le régime n’est pas à l’agonie, comme veut bien le prétendre le gouvernement, mais bien en bonne santé. Le COR (Conseil d’Orientation des Retraites) l’a même confirmé dans son 9ème rapport en septembre. Ses projections ne sont pas alarmistes, pour peu que l’on s’attelle dès aujourd’hui à corriger certains dysfonctionnements et à remettre du bon sens dans la logique du travail dans ce pays.
Pourtant, et malgré ce rapport entre autres, Macron semblait il y a encore quelques jours, pressé d’en finir, ou d’en découdre, au choix. Que s’est-il passé entre temps pour qu’il décale cette présentation d’un mois ? S’est-il rendu compte de l’impopularité de cette loi au point de la repousser dans le temps ? Peu probable, il y a belle lurette que l’impopularité de ce qu’il fait, ou dit, ne l’effleure plus.
Borne elle-même s’est-elle rendue compte des absurdités du contenu de sa loi, notamment en voulant la faire appliquer à la génération de 1961, censée partir à la retraite en 2023 ? À chaque fois qu’on a repoussé l’âge légal de la retraite, ceux qui se trouvaient à 5 ans du départ n’étaient pas concernés. Aurait-elle pris acte de cette pratique pour corriger son texte et le rendre moins agressif ? On n’en sait rien.
Le gouvernement aurait-il eu vent, après avoir consulté secrètement les différentes formations politiques, que cette fois la partie était mal engagée ? Un nouveau 49.3, souhaité par Macron lui-même, n’étant plus assuré de passer comme une lettre à la poste, il aurait été décidé de surseoir d’un mois, afin de tâter le terrain et d’assurer ses arrières ? Il est vrai qu’entre-temps, Ciotti a pris la tête des LR et si certains dans son camp se posent déjà en dissidents, il n’en demeure pas moins que l’abstention systématique de ce parti ne serait plus assurée. De là, une légitime inquiétude du côté du gouvernement. À force de bluffer parfois on perd. Et Macron joue gros dans cette affaire, car si une motion de censure était votée sur ce texte-là, non seulement la loi serait rejetée, mais en plus le gouvernement tomberait. Il chuterait sur un texte essentiel. Le signal serait plus que symbolique, il marquerait la fin du chèque en blanc et supposerait que d’autres textes, qui sont le cœur du programme présidentiel, pourraient également être rejetés faute de majorité. L’enjeu est donc de taille et mérite réflexion. Un adoucissement du texte pourrait permettre de trouver le consensus recherché auprès des LR. Mais serait-il suffisant, dès lors que la formation de Ciotti affiche des ambitions bien différentes à présent, et qu’elles ne pourront s’exprimer pleinement tant que ce gouvernement restera au pouvoir. Passer en force devient risqué, en cas de vote d’une motion de censure, Macron n’aurait d’autre choix que de dissoudre. Il sait que dans ce cas, non seulement il n’aurait toujours pas de majorité, mais pourrait même affaiblir encore plus ses propres rangs.
Cette réforme, personne n’en veut, pas plus le patronat que le reste de la classe politique. En plus de n’être pas nécessaire, elle pourrait faire tomber le gouvernement qui jusqu’à présent, pouvait se ficher éperdument de manquer de majorité. On attend que les opposition poussent encore plus fort et qu’elles fassent, comme nous le demandons au RPF, tomber ce gouvernement dont plus grand monde ne veut.
Gilles La Carbona


☐ 13/12/2022
Le dispositif policier laisse rêveur, 10 000 hommes et des interdictions d’accès en pagaille pour canaliser des supporters marocains, dont on nous dit, à la télévision que ce ne sont que des jeunes gens heureux qui fêtent le parcours exceptionnel de l’équipe de leur pays d’origine. On n’a jamais vu un tel dispositif pour gérer les fils de l’immigration espagnole, très nombreux en France et qui ont une équipe qui a un autre palmarès que celle du Maroc. Non, ces « jeunes »-là ont habitué le pays à leur volonté d’en découdre avec l’État français, leur pays, puisqu’ils sont censés être Français. En plus, les fils de l’immigration espagnole, nés en France, pour la plupart, quand la France joue contre l’Espagne, soutiennent la France, donc leur pays. Personne ne s’étonne du fait que ces jeunes issus de l’immigration marocaine, tous nés en France, la plupart même, de la seconde, voire troisième génération, soutiennent un pays d’origine que, pour beaucoup, ils ne connaissent pas.
En réalité, la posture et les paroles des joueurs, de certains joueurs, ne trompent personne. C’est pour eux la victoire des musulmans contre l’occident. Sofiane Boufal a remercié les supporters de son équipe, estimant que « cette victoire appartient à tout le peuple marocain, à tous les peuples arabes, et à tous les peuples musulmans du monde ». Le décor est planté et on a peine à croire que cela se cantonne au simple jeu de foot. Le foot sert de symbole, par delà le sport, à une forme de revanche, sinon de guerre, contre l’Europe et la France, colonisatrices, et, si cela ne va pas jusqu’à cette extrémité pour tout le monde, l’affaire se transforme en affrontement politique, idéologique et culturel, pour une fraction si importante, qu’elle nécessite un dispositif policier hors norme. Surtout, Darmanin a encore bien présent à l’esprit, un fiasco retentissant au stade de France, avec un débordement massif des dispositifs de sécurité ayant débouché sur le détroussage violent et en règle, de nombreux supporters étrangers. Darmanin, jamais à court de mauvaise foi, avait accusé les supporters anglais, qui l’a cru ?
Plus étonnant, le roi du Maroc n’a pas bougé, là où son père, Hassan II, savait calmer le jeu depuis Rabat. On en est réduit à fourbir les armes, sans doute des deux côtés et à faire des prières car on n’est pas avec les Gilets Jaunes, qui pouvaient être matraqués à loisir et quasiment sans conséquence. Là, le moindre bobo sur l’un de ces joyeux drilles, va se transformer en racisme systémique et violences policières récurrentes, le tout soigneusement monté en épingle par les amis de celui qui vient d’être condamné pour violences conjugales. Voilà comment un simple match de foot se présente comme un exercice à haut risque, dans un pays qui se ment à lui-même depuis 40 ans et se voit confronté à une réalité qu’il ne veut pas voir.
Il va falloir se résoudre, un jour, à faire comme l’immense majorité des pays de cette planète : supprimer la double nationalité, le droit du sol, le regroupement familial et l’aide sociale aux étrangers et gérer les problèmes déjà présents, avant de continuer à se piquer de discours devenus hors de la réalité.
Le dispositif policier laisse rêveur, 10 000 hommes et des interdictions d’accès en pagaille pour canaliser des supporters marocains, dont on nous dit, à la télévision que ce ne sont que des jeunes gens heureux qui fêtent le parcours exceptionnel de l’équipe de leur pays d’origine. On n’a jamais vu un tel dispositif pour gérer les fils de l’immigration espagnole, très nombreux en France et qui ont une équipe qui a un autre palmarès que celle du Maroc. Non, ces « jeunes »-là ont habitué le pays à leur volonté d’en découdre avec l’État français, leur pays, puisqu’ils sont censés être Français. En plus, les fils de l’immigration espagnole, nés en France, pour la plupart, quand la France joue contre l’Espagne, soutiennent la France, donc leur pays. Personne ne s’étonne du fait que ces jeunes issus de l’immigration marocaine, tous nés en France, la plupart même, de la seconde, voire troisième génération, soutiennent un pays d’origine que, pour beaucoup, ils ne connaissent pas.
En réalité, la posture et les paroles des joueurs, de certains joueurs, ne trompent personne. C’est pour eux la victoire des musulmans contre l’occident. Sofiane Boufal a remercié les supporters de son équipe, estimant que « cette victoire appartient à tout le peuple marocain, à tous les peuples arabes, et à tous les peuples musulmans du monde ». Le décor est planté et on a peine à croire que cela se cantonne au simple jeu de foot. Le foot sert de symbole, par delà le sport, à une forme de revanche, sinon de guerre, contre l’Europe et la France, colonisatrices, et, si cela ne va pas jusqu’à cette extrémité pour tout le monde, l’affaire se transforme en affrontement politique, idéologique et culturel, pour une fraction si importante, qu’elle nécessite un dispositif policier hors norme. Surtout, Darmanin a encore bien présent à l’esprit, un fiasco retentissant au stade de France, avec un débordement massif des dispositifs de sécurité ayant débouché sur le détroussage violent et en règle, de nombreux supporters étrangers. Darmanin, jamais à court de mauvaise foi, avait accusé les supporters anglais, qui l’a cru ?
Plus étonnant, le roi du Maroc n’a pas bougé, là où son père, Hassan II, savait calmer le jeu depuis Rabat. On en est réduit à fourbir les armes, sans doute des deux côtés et à faire des prières car on n’est pas avec les Gilets Jaunes, qui pouvaient être matraqués à loisir et quasiment sans conséquence. Là, le moindre bobo sur l’un de ces joyeux drilles, va se transformer en racisme systémique et violences policières récurrentes, le tout soigneusement monté en épingle par les amis de celui qui vient d’être condamné pour violences conjugales. Voilà comment un simple match de foot se présente comme un exercice à haut risque, dans un pays qui se ment à lui-même depuis 40 ans et se voit confronté à une réalité qu’il ne veut pas voir.
Il va falloir se résoudre, un jour, à faire comme l’immense majorité des pays de cette planète : supprimer la double nationalité, le droit du sol, le regroupement familial et l’aide sociale aux étrangers et gérer les problèmes déjà présents, avant de continuer à se piquer de discours devenus hors de la réalité.
Jean-Pierre Clément-Jabouina
Secrétaire général du RPF

Secrétaire général du RPF

☐ 12/12/2022
Le nécessaire préalable de Ciotti
Le nécessaire préalable de Ciotti
Ciotti est le nouveau patron des LR. Il semblerait qu’une nouvelle orientation plus droitière soit prise chez les LR. Ses toutes premières déclarations vont dans le sens de ce que nous défendons au RPF, cependant, un écueil de taille fait face à cette volonté. Le nouveau chef du parti ne peut ignorer que toutes ces belles intentions de remettre la France sur des rails plus conformes à son histoire, ainsi qu’aux vœux exprimés par une majorité de citoyens lors des élections législatives, ne pourront se concrétiser dans l’actuel paysage politique. Le préalable à son programme est bien la chute de ce régime. Il ne pourra se résoudre à demeurer dans une opposition de circonstance, fade et soumise, à se payer de discours, sur la nécessaire remise en ordre du paquebot France.
Pour tenter de changer de cap il doit avant tout, faire tomber ce gouvernement qui en est à son 10ème 49.3. Si l’on pouvait considérer, aux premières utilisations de cet article, la gouvernance Borne comme autoritaire, ne se souciant pas de l’avis du parlement, à présent c’est un tout autre sentiment qui prévaut. Ce pays n’a pas d’opposition, et quand bien même, sur le papier, c’est elle qui est censée peser dans les débats et le choix des lois, dans la réalité il n’en est rien. Empêtrées dans des postures idéologiques, terrifiées à l’idée de ternir une image de soi-disant opposants à l’extrême droite, les oppositions se révèlent incapables de faire valoir leurs forces et leurs idées et laissent à la macronie la liberté de gouverner comme elle le souhaite sans vraiment être inquiétée. Il est donc temps de changer les choses, de montrer que les LR entendent reprendre la main.
Pour ce faire une seule solution, faire tomber ce gouvernement à l’occasion de la présentation de la loi sur les retraites. Ce devrait être facile puisque Macron lui-même a annoncé qu’il souhaitait passer en force cette loi. Raphaël Schellenberger n’a-t-il pas évoqué la possibilité de déposer une motion de censure face à ce casus belli (sic). Très bien, mais s’arrêter à sa propre motion, en pensant que ce sera suffisant est une erreur ou un mensonge. Les LR ne pourront pas s’en sortir avec cette simple pirouette et dire : « Regardez, on a fait notre boulot, n’est-ce pas ! » Non, le boulot ne pourra être considéré comme achevé qu’après l’adoption d’une motion de censure, quelle que soit son dépositaire. Il sera alors nécessaire non seulement de déposer une motion, mais aussi de voter celle des autres, pour être certain d’arriver au but recherché. Une fois ce prérequis acté, il sera possible d’établir un programme de gouvernance, avec toutes les droites républicaines et patriotes.
L’échéance est proche, et nous pourrons très vite juger de la volonté et de la sincérité des premières déclarations. Pour l’heure, nous restons prudents, raisonnent toujours à nos oreilles les propos de Jacob qui, au soir du second tour des législatives, affirmait qu’ils étaient dans l’opposition... depuis, il y a eu 10 utilisations de 49.3 sans que rien ne change, donc, on peut légitimement ne plus se contenter des paroles et attendre des actes.
☐ 10/12/2022
Mesdames et Messieurs les députés,
Dans quelques jours, le gouvernement va présenter à l’Assemblée Nationale, son texte portant sur la réforme des retraites. Comme à son habitude, Borne a déjà annoncé qu’elle n’entendait pas qu’on le discute et utilisera une nouvelle fois le 49.3. Le mépris pour la représentation nationale est total et le cadre est planté, pas de débat, pas d’écoute, un passage en force une fois de plus.
Soit vous acceptez une nouvelle fois que ce gouvernement vous traite comme de simples figurants, soit vous le faites tomber. Dans le premier cas, il vous faudra expliquer aux électeurs, qui sont globalement contre cette réforme, dont l’utilité a été remise en cause par de nombreuses études et rapports, pourquoi vous avez laissé faire, sachant que derrière cette loi, il y aura des millions de Français qui en pâtiront. Il ne s’agit pas, cette fois, d’un simple budget annuel, mais d’un changement de paradigme social, qui va toucher les générations futures et l’ensemble des catégories actives, avec lesquelles on change les règles en cours de jeu.
Dans cette parodie actuelle de démocratie, nous vous invitons enfin, à vous éloigner des postures idéologiques, qui ont prévalu sur le travail parlementaire et à vous unir pour enfin faire tomber ce gouvernement qui nous mène à la ruine, vous, vos familles, vos amis, vos électeurs. Cette réforme, personne n’en veut, à part quelques dirigeants non-élus, corrompus, localisés dans les instances européennes. Il est temps de mettre fin, en vous unissant, par delà les idéologies, à l’action de l’ennemi commun, qui relaie la dictature européenne, en appliquant avec systématisme un 49.3 devenu une arme de guerre contre le peuple. Nous vous rappelons que l’actuel système de retraite est largement financé, pour encore des années, que cette réforme ne sert à rien, qu’elle entraînera la paupérisation de millions de personnes et que l’ensemble des vos électeurs, de droite comme de gauche, y sont très majoritairement opposés.
Avec nos salutations respectueuses,
Le bureau du Rassemblement du Peuple Français
☐ 9/12/2022
Électricité : - 8 % de notre industrie
Électricité : - 8 % de notre industrie
Le gouvernement a tort de se réjouir de la baisse de 8 % de la consommation d’électricité en ce début d’hiver. Ce ne sont certes pas les ménages qui sont à l’origine de cette baisse. Nombre d’entre-eux peinent à se chauffer correctement et ceux qui le font, ne gaspillaient déjà pas l’énergie pour le plaisir de payer des factures qui n’ont jamais été vraiment bon marché, même avant la crise.
Il s’agit purement et simplement de la baisse de l’activité des entreprises, parce qu’elles mettent la clé sous la porte avant la perspective d’avoir à payer des charges en énergie multipliées par trois, quatre ou cinq, qui vont plomber de manière définitive, toute forme de rentabilité. Et pas mal d’entre-elles, dont de simples boulangeries, vont peu à peu fermer leurs portes. C’est certain puisque le phénomène a déjà commencé.
Dans un vent de panique, Bruno Le Maire nous annonce que les tranches de production nucléaire redémarrent les unes après les autres, après nous avoir annoncé voici quelques semaines, qu’on ne remettait pas en route une centrale comme une brouette, qu’on manquait de personnel qualifié et que cela allait être long. Le même nous annonçait aussi l’apocalypse des coupures, tandis que le président assure maintenant que l’on va « tenir ». Une fois de plus, ils se sont donc fichus de nous, ces centrales étaient parfaitement opérationnelles et maintenues à l’arrêt par décision politique.
Et Bruno Le Maire d’en remettre une couche sur sa posture « aux côtés des entreprises », alors qu’il les a sciemment mises dans la mouise, en vendant notre électricité à des spéculateurs, en nous privant du gaz russe, en ne renégociant pas, comme l’ont fait le Portugal et l’Espagne, la désindexation du prix de l’électricité auprès de l’Europe. Résultat des courses, la France a l’électricité la plus chère et la plus rare à la prise, alors qu’elle a l’organe de production le moins coûteux. Gageons qu’au passage, quelques poches ont dû bien se remplir. Et voilà le ministre qui propose une application Eco-watt, pour moins griller d’électricité et un numéro vert pour les entreprises qui veulent des informations sur les aides de l’État, c’est à dire, nos impôts. Que croit-il, qu’on sauve une entreprise et qu’on relance l’industrie avec un bidule sur un téléphone ?
Et dans la foulée, il annonce l’abandon du plan Hercule, qui consistait à démanteler EDF au profit du privé et qui était censé ne pas exister. Dans le même temps, son collègue Braun, à la santé, annonce qu’il faudra se faire piquer tous les six mois, ce que les « complotistes » expliquaient voici un an déjà et qu’on a taxé de « complotisme », justement. À eux deux, ces énergumènes confirment que les « complotistes » avaient raison sur toute la ligne et que les « comploteurs » sont au gouvernement, à planifier des méthodes de destruction du tissu économique national.
Au RPF, nous demandons sans relâche aux oppositions de faire tomber ce gouvernement. À deux ou trois 49.3, c’est le gouvernement qui passe en force, à près d’une dizaine, ce sont les oppositions qui n’en sont pas. Il faudrait vous décider, messieurs-dames de la NUPES, du RN et des LR, à arrêter cette bande de pieds nickelés.

Il s’agit purement et simplement de la baisse de l’activité des entreprises, parce qu’elles mettent la clé sous la porte avant la perspective d’avoir à payer des charges en énergie multipliées par trois, quatre ou cinq, qui vont plomber de manière définitive, toute forme de rentabilité. Et pas mal d’entre-elles, dont de simples boulangeries, vont peu à peu fermer leurs portes. C’est certain puisque le phénomène a déjà commencé.
Dans un vent de panique, Bruno Le Maire nous annonce que les tranches de production nucléaire redémarrent les unes après les autres, après nous avoir annoncé voici quelques semaines, qu’on ne remettait pas en route une centrale comme une brouette, qu’on manquait de personnel qualifié et que cela allait être long. Le même nous annonçait aussi l’apocalypse des coupures, tandis que le président assure maintenant que l’on va « tenir ». Une fois de plus, ils se sont donc fichus de nous, ces centrales étaient parfaitement opérationnelles et maintenues à l’arrêt par décision politique.
Et Bruno Le Maire d’en remettre une couche sur sa posture « aux côtés des entreprises », alors qu’il les a sciemment mises dans la mouise, en vendant notre électricité à des spéculateurs, en nous privant du gaz russe, en ne renégociant pas, comme l’ont fait le Portugal et l’Espagne, la désindexation du prix de l’électricité auprès de l’Europe. Résultat des courses, la France a l’électricité la plus chère et la plus rare à la prise, alors qu’elle a l’organe de production le moins coûteux. Gageons qu’au passage, quelques poches ont dû bien se remplir. Et voilà le ministre qui propose une application Eco-watt, pour moins griller d’électricité et un numéro vert pour les entreprises qui veulent des informations sur les aides de l’État, c’est à dire, nos impôts. Que croit-il, qu’on sauve une entreprise et qu’on relance l’industrie avec un bidule sur un téléphone ?
Et dans la foulée, il annonce l’abandon du plan Hercule, qui consistait à démanteler EDF au profit du privé et qui était censé ne pas exister. Dans le même temps, son collègue Braun, à la santé, annonce qu’il faudra se faire piquer tous les six mois, ce que les « complotistes » expliquaient voici un an déjà et qu’on a taxé de « complotisme », justement. À eux deux, ces énergumènes confirment que les « complotistes » avaient raison sur toute la ligne et que les « comploteurs » sont au gouvernement, à planifier des méthodes de destruction du tissu économique national.
Au RPF, nous demandons sans relâche aux oppositions de faire tomber ce gouvernement. À deux ou trois 49.3, c’est le gouvernement qui passe en force, à près d’une dizaine, ce sont les oppositions qui n’en sont pas. Il faudrait vous décider, messieurs-dames de la NUPES, du RN et des LR, à arrêter cette bande de pieds nickelés.

☐ 9/12/2022
Comment comprendre nos oppositions, qui nous déroutent un peu plus tous les jours ? Les LR nous ont habitués à des raisonnements, ampoulés, pleins d’arguties pour justifier leur renoncement à renverser Macron. Ils se veulent les gardiens de l’ordre, persuadés qu’une dissolution conduirait à la débandade. En somme, de nouvelles élections, donc le processus démocratique ordinaire, seraient synonyme de trouble ? Sont-ils devenus monarchistes, antiparlementaires, au point de redouter le suffrage universel ? Est-ce de cette façon qu’ils comptent faire revenir les électeurs vers eux ?
Le RN a voté des motions de censure, jusqu’au moment où ils ont compris que sans l’appui des deux autres formations de l’opposition, leurs efforts étaient vains. Ils gardent un discours cohérent dans l’impuissance de leur force esseulée. Ils sont impuissants à convaincre les autres formations que l’ennemi commun et unique, c’est la macronie et non eux et deviennent spectateurs désabusés d’une opposition en perdition. Par définition, tout ce qu’ils disent est faux, tout ce qu’ils font est mal. Ils sont victimes d’un ostracisme indigne d’une démocratie, qui repose sur le procès d’intention permanent, au-delà de la validité des arguments.
Les NUPES sont plus complexes et surtout les plus obscurs. L’écolo Jadot qui, ne supportant pas que le RN vote leurs motions de censure, avait suggéré que le RN soit exclu du vote. Étrange fascination pour le stalinisme, inquiétante conception de la démocratie. Comme si ces extravagances n’étaient pas suffisantes, les NUPES viennent de nous gratifier d’une nouvelle absurdité. Ils étaient pour réintégrer les personnels soignants suspendus, il a suffi que le RN décide de déposer un projet de loi sur ce sujet, pour qu’immédiatement ils deviennent contre. Cela dépasse l’entendement. La politique vire au mystique. Quelle motivation rationnelle permet de refuser de voter une loi qu’eux-mêmes se proposaient de déposer et de défendre ?
Ils attendent en permanence de savoir ce que va faire le RN, pour avoir comme unique ligne de conduite, de ne pas faire comme eux. Et se rangent, en conséquence, du côté de la majorité, alors qu’ils ont été élus pour la combattre. Dogmatiques et sectaires, il font primer l’idéologie sur le bon sens et partagent avec la majorité cette conviction obsessionnelle d’être détenteurs de la vérité, du côté du « bien ». La confusion est totale et le travail parlementaire impossible, dans la mesure où la seule considération admissible, est de pas faire ou dire la même chose que le RN, quand bien même ils seraient d’accord sur les combats à mener.
Au RPF, nous appelons au rassemblement, en premier lieu pour faire cesser l’action délétère de ce gouvernement qui, pour le moment, propose de « sauver », avec des applications informatiques et des numéros verts, les entreprises qu’il a lui-même mises en faillite. L’industrie agro-alimentaire, à l’image de William-Saurin est en train de mettre la clé sous la porte, présage d’émeutes de la faim et le président paye des préservatifs, fait semblant de discuter de la fin de vie, pendant que les oppositions se préoccupent de ne pas « faire comme le RN ». Nous demandons, au RPF, un sursaut national, juste pour amortir l’effondrement en cours.
Le RN a voté des motions de censure, jusqu’au moment où ils ont compris que sans l’appui des deux autres formations de l’opposition, leurs efforts étaient vains. Ils gardent un discours cohérent dans l’impuissance de leur force esseulée. Ils sont impuissants à convaincre les autres formations que l’ennemi commun et unique, c’est la macronie et non eux et deviennent spectateurs désabusés d’une opposition en perdition. Par définition, tout ce qu’ils disent est faux, tout ce qu’ils font est mal. Ils sont victimes d’un ostracisme indigne d’une démocratie, qui repose sur le procès d’intention permanent, au-delà de la validité des arguments.
Les NUPES sont plus complexes et surtout les plus obscurs. L’écolo Jadot qui, ne supportant pas que le RN vote leurs motions de censure, avait suggéré que le RN soit exclu du vote. Étrange fascination pour le stalinisme, inquiétante conception de la démocratie. Comme si ces extravagances n’étaient pas suffisantes, les NUPES viennent de nous gratifier d’une nouvelle absurdité. Ils étaient pour réintégrer les personnels soignants suspendus, il a suffi que le RN décide de déposer un projet de loi sur ce sujet, pour qu’immédiatement ils deviennent contre. Cela dépasse l’entendement. La politique vire au mystique. Quelle motivation rationnelle permet de refuser de voter une loi qu’eux-mêmes se proposaient de déposer et de défendre ?
Ils attendent en permanence de savoir ce que va faire le RN, pour avoir comme unique ligne de conduite, de ne pas faire comme eux. Et se rangent, en conséquence, du côté de la majorité, alors qu’ils ont été élus pour la combattre. Dogmatiques et sectaires, il font primer l’idéologie sur le bon sens et partagent avec la majorité cette conviction obsessionnelle d’être détenteurs de la vérité, du côté du « bien ». La confusion est totale et le travail parlementaire impossible, dans la mesure où la seule considération admissible, est de pas faire ou dire la même chose que le RN, quand bien même ils seraient d’accord sur les combats à mener.
Au RPF, nous appelons au rassemblement, en premier lieu pour faire cesser l’action délétère de ce gouvernement qui, pour le moment, propose de « sauver », avec des applications informatiques et des numéros verts, les entreprises qu’il a lui-même mises en faillite. L’industrie agro-alimentaire, à l’image de William-Saurin est en train de mettre la clé sous la porte, présage d’émeutes de la faim et le président paye des préservatifs, fait semblant de discuter de la fin de vie, pendant que les oppositions se préoccupent de ne pas « faire comme le RN ». Nous demandons, au RPF, un sursaut national, juste pour amortir l’effondrement en cours.
Gilles La Carbona & Pierre Duriot
Secrétaires généraux du RPF
Secrétaires généraux du RPF
☐ 6/12/2022
Retraite : l’arrêteront-ils, cette fois ?
Retraite : l’arrêteront-ils, cette fois ?
Pendant combien de temps les députés de l’opposition vont-ils laisser ce gouvernement libre de tout mouvement ? Après combien de 49.3 se décideront-ils à le renverser ? Jusqu’à présent, le motif pour s’abstenir de participer au vote d’une motion de censure a été quasi religieux. Une sorte de règle immanente les pousserait à ne rien voter sous peine de provoquer l’indignité politique à vie. L’objection dirimante fait à présent long feu, le constat lui est sans appel. La Macronie fait ce qu’elle veut et se régale de ces joutes puériles. Elle s’adosse à ce semblant d’excuses pour non seulement poursuivre sa politique sans jamais céder sur rien, et en profite pour humilier et mépriser la représentation nationale en lui ôtant le droit au débat, en faisant des députés, de simples figurants.
Le jeu doit plaire aux oppositions, puisqu’elles s’échinent à rester sur une posture idéologique aussi improductive que néfaste. En effet, quand la NUPES dépose une motion, elle le fait dans la seule crainte qu’elle soit votée par le RN et qu’elle puisse donc passer. Dans ce cas pourquoi perdre son temps à la déposer ? Le RN lui, ne peut qu’en voter, ce qu’il a déjà fait d’ailleurs, mais en déposer une se heurte au farouche rejet des deux autres oppositions, qui y voient une alliance impossible. Les LR eux, non seulement n’en déposent pas, mais en plus n’en votent aucune, arguant que cela déboucherait sur le désordre, confondant par méprise ou stupidité, coup d’État et procédure constitutionnelle légale. Une motion de censure renvoie aux urnes, pas aux barricades. Dans ce jeu de dupes les électeurs ne s’y retrouvent pas, eux qui majoritairement ont exprimé en juin la volonté de bloquer Macron, se retrouvent cocufiés par ceux-là même qui promettaient de contrer Macron, notamment sur sa réforme des retraites.
Ce cirque a brillamment été dénoncé par Nicolas Dupont Aignan, vidéo qui tourne en boucle et qui va faire boule de neige. Les classiques arguments s’effritent. Borne va présenter sa réforme des retraites, elle entend déjà utiliser une nouvelle fois le 49.3. Pourquoi s’en priverait-elle, puisque ça marche ? Quand on sait que le financement des retraites n’est nullement en danger, bien au contraire, que nous avons plus de 10 ans avant qu’une quelconque difficulté financière vienne compromettre les versements, on ne peut qu’être contre ce projet, tout en souhaitant d’autres pistes pour pérenniser un système nullement à l’agonie. D’autant qu’il s’appliquerait aux personnes nées en 1961, autrement dit pour celles qui sont censées partir en 2023. C’est aussi sans compter avec la pénibilité de certains métiers, où arriver à 65 ans sans encombre relève du miracle. Il ne faut pas se leurrer, les licenciements à partir de 58 ans seront légions et avec la baisse des indemnités chômage, il faut s’attendre à une paupérisation violente de ceux qui auraient pu partir à la retraite. Ils devront apprendre la précarité, demander le RSA, faute à cet âge-là, de retrouver du travail. La réforme est brutale et injuste, comme tout ce que fait la Macronie, et en plus inutile. Si ne pas voter une motion de censure sur le budget, ou personne ne comprend rien, peut laisser indifférent les électeurs, il n’en sera pas de même concernant cette loi. Penser que les électeurs vont gentiment comprendre les états d’âmes des députés, ou adhérer à leurs justifications, est une erreur qui conduira tôt ou tard à une sanction venant des urnes. Oubliez comment le PS a sombré à la suite de ses nombreuses trahisons serait une amnésie lourde de conséquences, notamment pour les LR dont la santé électorale est plus que chancelante.
La réforme des retraites doit donner l’occasion de nous débarrasser de ce gouvernement. Laisseront-ils une fois de plus Macron gagner, ou saisiront-ils enfin l’opportunité d’en finir avec ce régime hautain et autoritaire ? Faites vos jeux, mais il est à craindre que tant que certains n’auront pas vécu sur le terrain la colère des administrés, ils ne comprendront pas que leurs postures idéologiques mal calculées commencent à exaspérer.
Gilles La Carbona


☐ 3/12/2022
Restrictions : le peuple responsable et coupable
Borne vient d’adresser une note aux préfets leur indiquant les mesures à prendre en cas de coupures de courant et surtout, les conséquences de ces « délestages ». À la lecture de sa prose, on constate une fois de plus le manque de vision, mais surtout d’empathie. Sans sourciller, elle annonce une impossibilité de joindre les urgences, l’absence de liaisons téléphoniques mobiles et fixes et d’internet, le tout avec un cynisme hallucinant. Elle ne se pose pas la question du sort qui sera réservé aux personnes accidentées à ce moment-là, ni de celles qui sont chez elles, en assistance respiratoire, ou avec des appareils nécessitant une alimentation électrique continue. Ils peuvent toujours mourir ?
Ce régime œuvre toujours de la même manière et dans tous les domaines. Pour la santé, il commence par fermer les lits, laisser des services en sous-effectif, quitte à ne pas réintégrer les suspendus, arguant que ça ne changerait rien, pour ensuite rejeter la faute d’une incapacité à accueillir les patients sur les patients eux-mêmes. En matière énergétique c’est pareil, si nous devons couper c’est parce que vous consommez trop. Non, les coupures résultent uniquement des décisions de fermeture des centrales. Les responsabilités de ce gouvernement sont pleines et entières, pour la santé, la justice, la police, l’armée, l’éducation : tout ce qu’il a touché est devenu moribond.
Il est surtout inadmissible de les savoir à l’abri dans des tours d’ivoire, à ne jamais devoir rendre de compte, ni sur le plan politique, ni sur le plan juridique. Economies, vies, structures, infrastructures, services, ont été défaits sans que jamais les destructeurs ne soient tenus de s’expliquer. Le peuple est ainsi condamné à subir la folie de ces actions, mais aussi sommé de trouver des solutions, c’est à lui de se sacrifier pour colmater les avaries. Borne nous explique qu’elle combat les maux qu’elle a créés, avec Macron, en expliquant aux citoyens qu’ils sont à la fois responsables et coupable des conséquences désastreuses des décisions gouvernementales.
L’économie s’effondre à cause des sanctions contre les Russes, dont l’absurdité saute aux yeux, mais c’est la faute de la Russie, qui ne se soumet pas, sans doute ? Ce régime a besoin en permanence de se trouver une excuse, il n’est jamais responsable de rien, surtout il s’avère toujours incapable d’anticiper correctement, parce qu’il ne sait pas faire, ou parce qu’il ne le veut pas ? L’exaspération des citoyens ne cesse de monter, entre difficultés financières, privations, restrictions, effets secondaires vaccinaux et on se demande s’il y aura un genre de pic, entraînant un basculement après lequel les événements pourraient s’enchaîner dans une violence insoupçonnée. Pour autant, les oppositions institutionnelles n’ont pas l’air de se réveiller, alors que commencent à poindre des mouvements de grève et que faute de remplir leur rôle, les opposants parlementaires prennent le risque d’être débordés par leurs bases, plus sans doute après, qu’avant Noël. Ce président nous a apporté une forme de gouvernance tout à fait inédite, à la fois méprisante et destructrice, mais les oppositions innovent également, par leur inaction, leur incapacité à remplir leur rôle et pour tout dire, un genre de connivence tacite avec le pouvoir.

Restrictions : le peuple responsable et coupable
Borne vient d’adresser une note aux préfets leur indiquant les mesures à prendre en cas de coupures de courant et surtout, les conséquences de ces « délestages ». À la lecture de sa prose, on constate une fois de plus le manque de vision, mais surtout d’empathie. Sans sourciller, elle annonce une impossibilité de joindre les urgences, l’absence de liaisons téléphoniques mobiles et fixes et d’internet, le tout avec un cynisme hallucinant. Elle ne se pose pas la question du sort qui sera réservé aux personnes accidentées à ce moment-là, ni de celles qui sont chez elles, en assistance respiratoire, ou avec des appareils nécessitant une alimentation électrique continue. Ils peuvent toujours mourir ?
Ce régime œuvre toujours de la même manière et dans tous les domaines. Pour la santé, il commence par fermer les lits, laisser des services en sous-effectif, quitte à ne pas réintégrer les suspendus, arguant que ça ne changerait rien, pour ensuite rejeter la faute d’une incapacité à accueillir les patients sur les patients eux-mêmes. En matière énergétique c’est pareil, si nous devons couper c’est parce que vous consommez trop. Non, les coupures résultent uniquement des décisions de fermeture des centrales. Les responsabilités de ce gouvernement sont pleines et entières, pour la santé, la justice, la police, l’armée, l’éducation : tout ce qu’il a touché est devenu moribond.
Il est surtout inadmissible de les savoir à l’abri dans des tours d’ivoire, à ne jamais devoir rendre de compte, ni sur le plan politique, ni sur le plan juridique. Economies, vies, structures, infrastructures, services, ont été défaits sans que jamais les destructeurs ne soient tenus de s’expliquer. Le peuple est ainsi condamné à subir la folie de ces actions, mais aussi sommé de trouver des solutions, c’est à lui de se sacrifier pour colmater les avaries. Borne nous explique qu’elle combat les maux qu’elle a créés, avec Macron, en expliquant aux citoyens qu’ils sont à la fois responsables et coupable des conséquences désastreuses des décisions gouvernementales.
L’économie s’effondre à cause des sanctions contre les Russes, dont l’absurdité saute aux yeux, mais c’est la faute de la Russie, qui ne se soumet pas, sans doute ? Ce régime a besoin en permanence de se trouver une excuse, il n’est jamais responsable de rien, surtout il s’avère toujours incapable d’anticiper correctement, parce qu’il ne sait pas faire, ou parce qu’il ne le veut pas ? L’exaspération des citoyens ne cesse de monter, entre difficultés financières, privations, restrictions, effets secondaires vaccinaux et on se demande s’il y aura un genre de pic, entraînant un basculement après lequel les événements pourraient s’enchaîner dans une violence insoupçonnée. Pour autant, les oppositions institutionnelles n’ont pas l’air de se réveiller, alors que commencent à poindre des mouvements de grève et que faute de remplir leur rôle, les opposants parlementaires prennent le risque d’être débordés par leurs bases, plus sans doute après, qu’avant Noël. Ce président nous a apporté une forme de gouvernance tout à fait inédite, à la fois méprisante et destructrice, mais les oppositions innovent également, par leur inaction, leur incapacité à remplir leur rôle et pour tout dire, un genre de connivence tacite avec le pouvoir.

☐ 2/12/2022
Électricité : la très grande faute de Macron
Électricité : la très grande faute de Macron
Le nucléaire français était la garantie d’une indépendance énergétique totale, de prix bas, de moindres rejets polluants et d’une flexibilité faisant face aux fluctuations de la consommation. Notre savoir-faire nous permettait de développer sereinement le nucléaire du futur, qui nous garantirait cette électricité suffisante et pas chère pour des milliers d’années. Le programme démarré en 1945, par le général de Gaulle, était continué par Chirac, avec le projet Astrid des réacteurs à neutrons rapides et éventuellement, derrière, la fusion. Mais depuis Mitterrand, en 1981, nos dirigeants successifs semblent s’être acharnés à tout gâcher. Le 1ère génération, à l’uranium naturel modéré au graphite, puis la seconde, des réacteurs à eau pressurisée et enfin la 3ème, les EPR : réacteurs à eau pressurisée améliorés, de type Flamanville, n’en finissent plus de sombrer. La 4ème génération, des Phénix, Superphénix, Astrid, a été abandonnée, alors qu’elle promettait d’utiliser la totalité des déchets des anciens réacteurs.
Macron, ministre, a vendu la branche Énergie d’Alstom, ce qui a conduit à supprimer 1050 emplois en France et à dépendre désormais des Américains pour la maintenance de nos 58 réacteurs et des moteurs de nos sous-marins et porte-avions nucléaires. Avec au passage, la perte également, des savoir-faire. Sous la pression des écolos, qui ne sont qu’une poignée, la part nucléaire doit passer de 80 à 50 %, remplacée par des énergies vertes, pas si vertes que ça. EDF a cessé d’investir dans les cerveaux et spécialise même une partie de son personnel dans le démantèlement. En 2020, Macron a arrêté les deux réacteurs de Fessenheim, tout en annonçant un vaste projet de mini-centrales qui existe déjà, dans nos sous-marins et notre porte-avions.
La déconfiture électrique relève donc bien de l’incurie politique et de celle de Macron, la plus grave, alors même qu’il promet des coupures de courant, des arrêts de l’enseignement, la perte des entreprises et le rationnement de la nation. Pire, les spéculateurs ont acheté, grâce à lui, à très bas prix, des quantités d’électricité qu’ils revendent aujourd’hui à prix d’or… à EDF. Non seulement ce secteur industriel a été gâché, avec les savoir-faire perdus, mais il a contribué à enrichir des actionnaires privés au détriment de l’indépendance de la nation : il y a haute trahison, intelligence avec des puissances extérieures et prise illégale d’intérêts. Du moins, ce sont des chefs d’accusation à explorer.
Le résultat est anxiogène, pour les familles, pour les communes, les entreprises grosses et petites, pour une nation tout entière qui part à la dérive, non seulement pour cet hiver, mais pour les suivants. Car Macron, toujours le même, n’a planifié aucun système de production d’électricité de masse pour les hivers suivants, ce qui ne l’empêche pas de délirer sur le parc automobile tout électrique et des RER électriques dans les grandes villes de France, avec quelle électricité ? Il est très urgent pour les oppositions, nous ne redirons jamais assez, de mettre fin à ce qui ne peut être qu’une casse organisée de la nation.

Macron, ministre, a vendu la branche Énergie d’Alstom, ce qui a conduit à supprimer 1050 emplois en France et à dépendre désormais des Américains pour la maintenance de nos 58 réacteurs et des moteurs de nos sous-marins et porte-avions nucléaires. Avec au passage, la perte également, des savoir-faire. Sous la pression des écolos, qui ne sont qu’une poignée, la part nucléaire doit passer de 80 à 50 %, remplacée par des énergies vertes, pas si vertes que ça. EDF a cessé d’investir dans les cerveaux et spécialise même une partie de son personnel dans le démantèlement. En 2020, Macron a arrêté les deux réacteurs de Fessenheim, tout en annonçant un vaste projet de mini-centrales qui existe déjà, dans nos sous-marins et notre porte-avions.
La déconfiture électrique relève donc bien de l’incurie politique et de celle de Macron, la plus grave, alors même qu’il promet des coupures de courant, des arrêts de l’enseignement, la perte des entreprises et le rationnement de la nation. Pire, les spéculateurs ont acheté, grâce à lui, à très bas prix, des quantités d’électricité qu’ils revendent aujourd’hui à prix d’or… à EDF. Non seulement ce secteur industriel a été gâché, avec les savoir-faire perdus, mais il a contribué à enrichir des actionnaires privés au détriment de l’indépendance de la nation : il y a haute trahison, intelligence avec des puissances extérieures et prise illégale d’intérêts. Du moins, ce sont des chefs d’accusation à explorer.
Le résultat est anxiogène, pour les familles, pour les communes, les entreprises grosses et petites, pour une nation tout entière qui part à la dérive, non seulement pour cet hiver, mais pour les suivants. Car Macron, toujours le même, n’a planifié aucun système de production d’électricité de masse pour les hivers suivants, ce qui ne l’empêche pas de délirer sur le parc automobile tout électrique et des RER électriques dans les grandes villes de France, avec quelle électricité ? Il est très urgent pour les oppositions, nous ne redirons jamais assez, de mettre fin à ce qui ne peut être qu’une casse organisée de la nation.

☐ 29/11/2022
La France est au bord de la faillite, en cette fin novembre 2022. Le FMI vient d’envoyer un avertissement à la France pour limiter son déficit et réduire ses dépenses. Pendant que Macron clamait la fin de l’abondance, le même Prince président se faisait voter une rallonge d’un peu plus de cinq millions d’euros pour son fonctionnement élyséen, tout en poursuivant son aide financière colossale à son ami Zelensky, en larguant aussi, au passage, un milliard pour la transition écologique de l’Afrique du Sud. Et pour bien d’autres pays exotiques, environ 10 milliards chaque année. Comme si cette générosité ne suffisait pas, il poursuit en favorisant, par une aide conséquente, l’achat de véhicules électriques, alors même qu’il s’apprête à couper le courant aux ménages, faute d’une production suffisante. Dans la même veine, il vient, dans l’un de ses délires dont il a le secret, d’affirmer qu’il voulait développer des RER dans plusieurs grandes villes françaises, sans expliquer avec quel argent il compte le faire, ni avec quel courant il alimentera ces équipements. Toujours dans l’excès et la fanfaronnade, appuyé par son brillantissime ministre de l’Économie, Le Maire, lui aussi Mozart de la finance. Ce premier de la classe qui promettait de mettre la Russie à genoux, nous conduit à la tutelle financière. La politique du « en même temps » trouve ses limites et conduit les instances internationales à l’agacement, au point de demander à Macron de se calmer. Nous prenons allègrement le chemin de la Grèce, dans l’indifférence des oppositions, qui regardent, sans réagir notre pays s’écrouler, se faire déclasser un peu plus chaque jour, être la risée du monde entier. Même l’Azerbaïdjan refuse de négocier si Macron est là, c’est dire la popularité de cet homme et l’image qu’il renvoie de notre pays. Mais visiblement ça passe au-dessus de la tête de nos députés.
Pendant ce temps, les Français doivent subir l’impéritie de ces incapables, faire les frais de la mauvaise gestion des gouvernants, se serrer la ceinture pour tenter de rattraper les fautes lourdes commises, sans avoir la possibilité de demander directement réparation, ou même destituer ces dirigeants ineptes. Refuser au peuple la possibilité de contrôler, ou même de révoquer ces élus détestés et mauvais est une constante chez nos politiques. Ils se gardent de devoir rendre des comptes, mais imposent des sacrifices en forme de nécessité nationale, sans la moindre gêne aux entournures. Il y a là un véritable déficit de démocratie, et au lieu de brasser du vent pour inscrire dans la constitution un droit à l’avortement, nullement en danger dans notre pays, il serait plus urgent de réintroduire des marques de démocratie trop cruellement absentes à ce jour et que nos oppositions ne comblent pas.
Le pouvoir décide de fermer les centrales nucléaires et ce sont les ménages qui doivent faire des économies. Les services de santé sont en souffrance et les soignants non vaccinés sont les boucs émissaires, les armées sont dépouillées de leur matériel et de leurs munitions, et Macron voudrait conduire notre pays à une guerre contre la Russie. La France est ruinée, et c’est au peuple de faire amende honorable. Encore une fois, les privations, les effets délétères doivent être supportés par les citoyens. Le pays est à bout et nos oppositions capitulent, prenant ainsi toute leur part de responsabilité dans ce fiasco.
Chez les Gaullistes, l’intérêt du peuple est souverain et l’aménagement du territoire passe par la planification. Sous de Gaulle et plus tard, jusque sous Giscard, la France a présenté des budgets équilibrés. Mitterrand a introduit le budget en déficit, l’art socialiste de dépenser des sous que l’on n’a pas. La gestion gaulliste est celle du père du famille, mais on sait que la notion de père est également battue en brèche. La perte de repère est totale et les gouvernants ont perdu également, en toute connaissance de cause, les notions de base de l’économie.
La France est au bord de la faillite, en cette fin novembre 2022. Le FMI vient d’envoyer un avertissement à la France pour limiter son déficit et réduire ses dépenses. Pendant que Macron clamait la fin de l’abondance, le même Prince président se faisait voter une rallonge d’un peu plus de cinq millions d’euros pour son fonctionnement élyséen, tout en poursuivant son aide financière colossale à son ami Zelensky, en larguant aussi, au passage, un milliard pour la transition écologique de l’Afrique du Sud. Et pour bien d’autres pays exotiques, environ 10 milliards chaque année. Comme si cette générosité ne suffisait pas, il poursuit en favorisant, par une aide conséquente, l’achat de véhicules électriques, alors même qu’il s’apprête à couper le courant aux ménages, faute d’une production suffisante. Dans la même veine, il vient, dans l’un de ses délires dont il a le secret, d’affirmer qu’il voulait développer des RER dans plusieurs grandes villes françaises, sans expliquer avec quel argent il compte le faire, ni avec quel courant il alimentera ces équipements. Toujours dans l’excès et la fanfaronnade, appuyé par son brillantissime ministre de l’Économie, Le Maire, lui aussi Mozart de la finance. Ce premier de la classe qui promettait de mettre la Russie à genoux, nous conduit à la tutelle financière. La politique du « en même temps » trouve ses limites et conduit les instances internationales à l’agacement, au point de demander à Macron de se calmer. Nous prenons allègrement le chemin de la Grèce, dans l’indifférence des oppositions, qui regardent, sans réagir notre pays s’écrouler, se faire déclasser un peu plus chaque jour, être la risée du monde entier. Même l’Azerbaïdjan refuse de négocier si Macron est là, c’est dire la popularité de cet homme et l’image qu’il renvoie de notre pays. Mais visiblement ça passe au-dessus de la tête de nos députés.
Pendant ce temps, les Français doivent subir l’impéritie de ces incapables, faire les frais de la mauvaise gestion des gouvernants, se serrer la ceinture pour tenter de rattraper les fautes lourdes commises, sans avoir la possibilité de demander directement réparation, ou même destituer ces dirigeants ineptes. Refuser au peuple la possibilité de contrôler, ou même de révoquer ces élus détestés et mauvais est une constante chez nos politiques. Ils se gardent de devoir rendre des comptes, mais imposent des sacrifices en forme de nécessité nationale, sans la moindre gêne aux entournures. Il y a là un véritable déficit de démocratie, et au lieu de brasser du vent pour inscrire dans la constitution un droit à l’avortement, nullement en danger dans notre pays, il serait plus urgent de réintroduire des marques de démocratie trop cruellement absentes à ce jour et que nos oppositions ne comblent pas.
Le pouvoir décide de fermer les centrales nucléaires et ce sont les ménages qui doivent faire des économies. Les services de santé sont en souffrance et les soignants non vaccinés sont les boucs émissaires, les armées sont dépouillées de leur matériel et de leurs munitions, et Macron voudrait conduire notre pays à une guerre contre la Russie. La France est ruinée, et c’est au peuple de faire amende honorable. Encore une fois, les privations, les effets délétères doivent être supportés par les citoyens. Le pays est à bout et nos oppositions capitulent, prenant ainsi toute leur part de responsabilité dans ce fiasco.
Chez les Gaullistes, l’intérêt du peuple est souverain et l’aménagement du territoire passe par la planification. Sous de Gaulle et plus tard, jusque sous Giscard, la France a présenté des budgets équilibrés. Mitterrand a introduit le budget en déficit, l’art socialiste de dépenser des sous que l’on n’a pas. La gestion gaulliste est celle du père du famille, mais on sait que la notion de père est également battue en brèche. La perte de repère est totale et les gouvernants ont perdu également, en toute connaissance de cause, les notions de base de l’économie.
Gilles La Carbona & Pierre Duriot


☐ 28/11/2022
Le sacrifice minable des soignants
La réintégration des personnels suspendus s’est enfin invitée dans le débat, à l’Assemblée nationale. Étonnamment nous avons pu voir les trois groupes d’opposition se battre pour la même cause. Depuis le mois de juin ils nous avaient habitués à la posture inverse. Sur le moment, on a pu se demander d’où venait ce retournement de situation. Une prise de conscience soudaine, notamment des LR, poussés par les échos négatifs sur leur comportement, remontant des circonscriptions ? À force de chérir ostensiblement le pouvoir, le retour de bâton se profilerait à leurs yeux et les obligerait à modifier leur attitude vis-à-vis de la macronie ? On s’est mis à rêver d’une opposition enfin unie, capable de faire tomber ce gouvernement. Mais l’élan a fait long feu, il a suffi que Borne dégaine sont 49.3 pour faire taire les simulacres d’offuscation. Ils sont décevants à se déballonner en permanence à la moindre chance de faire tomber le gouvernement. Ils se font confisquer le débat sans rien dire, dès que le maître élève la voix.
Ces oppositions nous fatiguent avec leur jeu de dupe, pendant que les soignants dont nous manquons crèvent dans un coin, dans l’indifférence des uns et la lâcheté des autres. Si les groupes d'opposition étaient prêts à les réintégrer, alors il fallait renverser ce gouvernement. Il leur faut quoi ? Quels comptes ont-ils l’intention de rendre aux électeurs ? Il y avait là une occasion de renverser ce régime infâme et ils ont choisi la défaite, quand il aurait fallu de l’orgueil et du cran. Qu’ils s’inspirent donc de l’étranger, de l’Italie par exemple, qui n’a pas hésité à renverser son gouvernement, sans pour autant sombrer dans le désordre, comme le prétendent les LR. Et pourtant, le gouvernement était incapable de présenter des contre-arguments sérieux, se contentant de traiter les opposants d’antivax ou de complotistes, comme si ces termes étaient à eux seuls des preuves irréfutables.
Le président lui-même a dit qu’il faisait confiance à la science et que si la science expliquait qu’il n’y avait aucune contre-indication à la réintégration des non-vaccinés, il le ferait. La science l’a dit, les autres pays l’ont fait, que lui faut-il, au président et à ses députés godillots ? La macronie est obligée d’insulter, faute de prouver scientifiquement ou par la logique, que sa position sur ce dossier est dépouillée de toute vue factuelle, mais marque bien la volonté d’être politiquement mesquine. Les occasions manquées se succèdent pour ces oppositions n’arrivant décidément pas à saisir le moindre ballon et à faire payer leur inaction à des familles laissées sur le carreau, sans la moindre justification sanitaire.
Ces oppositions nous fatiguent avec leur jeu de dupe, pendant que les soignants dont nous manquons crèvent dans un coin, dans l’indifférence des uns et la lâcheté des autres. Si les groupes d'opposition étaient prêts à les réintégrer, alors il fallait renverser ce gouvernement. Il leur faut quoi ? Quels comptes ont-ils l’intention de rendre aux électeurs ? Il y avait là une occasion de renverser ce régime infâme et ils ont choisi la défaite, quand il aurait fallu de l’orgueil et du cran. Qu’ils s’inspirent donc de l’étranger, de l’Italie par exemple, qui n’a pas hésité à renverser son gouvernement, sans pour autant sombrer dans le désordre, comme le prétendent les LR. Et pourtant, le gouvernement était incapable de présenter des contre-arguments sérieux, se contentant de traiter les opposants d’antivax ou de complotistes, comme si ces termes étaient à eux seuls des preuves irréfutables.
Le président lui-même a dit qu’il faisait confiance à la science et que si la science expliquait qu’il n’y avait aucune contre-indication à la réintégration des non-vaccinés, il le ferait. La science l’a dit, les autres pays l’ont fait, que lui faut-il, au président et à ses députés godillots ? La macronie est obligée d’insulter, faute de prouver scientifiquement ou par la logique, que sa position sur ce dossier est dépouillée de toute vue factuelle, mais marque bien la volonté d’être politiquement mesquine. Les occasions manquées se succèdent pour ces oppositions n’arrivant décidément pas à saisir le moindre ballon et à faire payer leur inaction à des familles laissées sur le carreau, sans la moindre justification sanitaire.
Gilles La Carbona


☐ 27/11/2022
Le thermomètre chinois
Le thermomètre chinois
Les Chinois sont à bout et se révoltent. Ils ne veulent plus de la politique zéro-covid qui pousse les autorités à confiner tout le monde au moindre cas. Il est vrai que ces populations sont soumises à rude épreuve depuis le début de l’épidémie, avec des mesures encore plus coercitives qu’en France, lesquelles ont déjà occasionné une augmentation de la mortalité, non à cause du virus ou du vaccin, mais de l’arrêt de traitements dont les personnes étaient dépendantes. En Chine, il y avait en plus des problèmes pour s’approvisionner en nourriture et la police tapait fort quand on était pris hors de chez soi.
Les confinements mais pas seulement. Les Chinois protestent aussi contre la numérisation de leurs vies et ils ont commencé à détruire les cabines automatiques de tests anti-covid et un certain nombre d’ustensiles fonctionnant avec des codes barres attribués aux personnes et censés régenter la vie quotidienne. Même si on sent bien que les États, tous autant qu’ils sont d’ailleurs, tentent de nous emmener de concert vers ce genre d’existence sous une chape d’informatique, les Chinois sont en train de nous montrer qu’il y aurait une dose maximale admissible, supportable par l’humain et qu’en Chine, elle est en train d’être atteinte.
En Europe aussi, en France notamment, il existe une forme de ras-le-bol, avec peut-être, ce qu’on peut considérer comme des prémices, la destruction régulière de radars routiers, en Bretagne par exemple, ou dans des périphéries urbaines, ceci parce que c’est un aspect du flicage de nos vies contre lequel il semble plus facile de lutter, que contre l’informatisation de nos dossiers médicaux, par exemple. Le suivi de l’évolution des manifestations chinoises peut avoir valeur de jauge sur ce qu’il va être possible, pour un gouvernement de tendance totalitaire, y compris le nôtre, de mettre en place, ou pas, avant que ne naissent des mouvements massifs de contestation. Ils sont plus ou moins anticipés puisque Macron a fait très largement renforcer les armements des forces de l’ordre à destination, non pas d’une guerre contre un ennemi extérieur, mais bien contre des manifestations populaires de grande ampleur et on sait, au vu de l’expérience des Gilets Jaunes, qu’il peut pousser très loin dans les consignes données pour la répression. Lui aussi, doit regarder de près ce qui se passe en Chine.
Le préfet Lallemand, de triste réputation, dernièrement, donnait sa vision des répressions à venir et nous faisait un peu froid dans le dos. À ce titre, on ne sait pas si Macron pourrait se permettre ce que les Chinois se permettent, mais personne n’est sans doute prêt à parier qu’il ne le ferait pas. Reste à savoir si les forces de l’ordre accepteraient de tirer sur la foule, si l’ordre leur en était donné et si le chef de l’État, qui nous a habitué aux outrances, donnait cet ordre. L’impression générale est néanmoins, celle d’une tension entre les peuples des pays développés et leurs gouvernants, en Chine, en Iran, mais aussi dans quasiment toute l’Europe.
☐ 25/11/2022
La justice travaillerait-elle enfin ?
On se demande bien ce qui a pu décider, comme ça, d’un coup, les juges du Parquet National Financier, que l’on pensait acquis à la cause de Macron, à se pencher sur les affaires financières du président, pendant ses campagnes électorales. À vrai dire, on se demande bien comment et pourquoi cela aura mis autant de temps avant de sortir. Il n’est pas un secret que des membres du cabinet McKinsey soient venus donner un coup de main, certes bénévolement, pendant la campagne électorale de 2017. Mais ce n’est évidemment pas répréhensible. Ce qui pourrait l’être, par contre, serait un genre de renvoi d’ascenseur à cette société privée, en lui confiant la gestion des affaires de l’État, en lieu et place des fonctionnaires de la République et de leurs supérieurs hiérarchiques, les hauts fonctionnaires.
Dans la gestion de la crise du Covid, par exemple, il faut se souvenir que les membres de McKinsey étaient installés carrément dans les structures de l’État et donnaient directement leurs ordres aux fonctionnaires, se substituant ainsi à l’institution. Non seulement la configuration est impensable mais pour quel résultat ? En mars 2022, la France était le pays le plus contaminé au monde, malgré une vaccination massive et des méthodes de persuasion dignes de celles d’une dictature, avec entre autres, la suspension totalement contraire au droit du travail, de soignants et pompiers, sans compter l’ostracisation de nombreuses catégories socio-professionnelles en fonction de leur acceptation ou pas, de la mixture dans leurs veines. On serait bien curieux de savoir de qui ont émané ces idées staliniennes ? Au passage, les fameux cabinets et pas seulement McKinsey, ont eu accès à de très nombreuses données concernant l’intimité des Français : que sont devenus ces fichiers ?
Les juges se sont-ils décidés à régler quelques mauvais comptes, sans craindre pour leur avancement, allez savoir. Tout cela sent carrément la manœuvre, car dans le même temps, la justice se penche aussi sur le travail de l’ex-compagne de Ciotti, comme par hasard, au moment même où il pourrait accéder à la présidence des LR et transformer ce parti de collabos mi-chèvre mi-chou du pouvoir en véritable parti d’opposition. Cette compagne n’a pas fini de travailler hier matin et on se demande la cause de cette coïncidence qui tombe finalement à pic.
Au RPF, nous trouvons que toutes ces investigations sont parfaitement légitimes, même si certaines ont l’air téléguidées, mais mieux vaut tard que jamais, s’il y a vraiment du grain à moudre, évidemment. Mais nous réfutons totalement l’idée d’un appel à des cabinets privés pour la gestion des affaires de l’État. Ce n’était pas une pratique gaulliste et le Général faisait constamment appel, en pareil cas, aux ressources de l’État, qui ne sont pas moins compétentes que les cabinets privés. Pour preuve, les hommes du haut fonctionnariat et ceux des cabinets privés sont la plupart du temps des anciens élèves des mêmes écoles, voire même, des camarades de promotion. Si on considère ce dernier aspect, la piste du renvoi d’ascenseur prend tout son sens.

Dans la gestion de la crise du Covid, par exemple, il faut se souvenir que les membres de McKinsey étaient installés carrément dans les structures de l’État et donnaient directement leurs ordres aux fonctionnaires, se substituant ainsi à l’institution. Non seulement la configuration est impensable mais pour quel résultat ? En mars 2022, la France était le pays le plus contaminé au monde, malgré une vaccination massive et des méthodes de persuasion dignes de celles d’une dictature, avec entre autres, la suspension totalement contraire au droit du travail, de soignants et pompiers, sans compter l’ostracisation de nombreuses catégories socio-professionnelles en fonction de leur acceptation ou pas, de la mixture dans leurs veines. On serait bien curieux de savoir de qui ont émané ces idées staliniennes ? Au passage, les fameux cabinets et pas seulement McKinsey, ont eu accès à de très nombreuses données concernant l’intimité des Français : que sont devenus ces fichiers ?
Les juges se sont-ils décidés à régler quelques mauvais comptes, sans craindre pour leur avancement, allez savoir. Tout cela sent carrément la manœuvre, car dans le même temps, la justice se penche aussi sur le travail de l’ex-compagne de Ciotti, comme par hasard, au moment même où il pourrait accéder à la présidence des LR et transformer ce parti de collabos mi-chèvre mi-chou du pouvoir en véritable parti d’opposition. Cette compagne n’a pas fini de travailler hier matin et on se demande la cause de cette coïncidence qui tombe finalement à pic.
Au RPF, nous trouvons que toutes ces investigations sont parfaitement légitimes, même si certaines ont l’air téléguidées, mais mieux vaut tard que jamais, s’il y a vraiment du grain à moudre, évidemment. Mais nous réfutons totalement l’idée d’un appel à des cabinets privés pour la gestion des affaires de l’État. Ce n’était pas une pratique gaulliste et le Général faisait constamment appel, en pareil cas, aux ressources de l’État, qui ne sont pas moins compétentes que les cabinets privés. Pour preuve, les hommes du haut fonctionnariat et ceux des cabinets privés sont la plupart du temps des anciens élèves des mêmes écoles, voire même, des camarades de promotion. Si on considère ce dernier aspect, la piste du renvoi d’ascenseur prend tout son sens.

☐ 23/11/2022
Une assemblée en forme d’alibi démocratique
Le RN ne vote plus les motions de censure de la NUPES, la NUPES ne vote pas celleS du RN et les LR eux, ne votent jamais rien. En conclusion? il est urgent de ne plus déposer de motion de censure du tout, ça ne sert à rien si ce n’est agacer les citoyens et les rendre encore plus furieux qu’ils ne le sont déjà, contre cette opposition qui oscille entre stupidité et soutiens officiels à Macron.
Pour quelle raison le RN s’est-il dégonflé de la sorte ? La lassitude, sans doute, de s’associer dans une démarche vouée à l’échec faute d’avoir avec eux les LR, véritable cinquième colonne de la macronie ? Peut-être. Le constat est amer et terrible à la fois : vu les mentalités, cette action est vaine. L’attitude irresponsable des oppositions, arc-boutées sur une ligne idéologique absurde et mortifère, sonne la fin de l’opposition en France. Macron n’a plus à se demander s’il doit dissoudre, ni quand il vaut mieux le faire. La réponse est : jamais. Il a de fait la majorité qui va lui permettre de faire ce qu’il veut comme il le souhaite. On est très loin des envolées lyriques de juin, où ces partis, soi-disant contre Macron, lui signifiaient la fin de son hégémonie.
Les masques sont tombés, ces opposants d’opérettes ne savent que brasser du vent, leur réelle volonté est de ne rien changer. Les places sont trop bonnes pour être sacrifiées. Ils amusent la galerie, se plaisent en passes d’armes et joutes stériles, pendant que le peuple subit un régime autoritaire et liberticide qui les met sur la paille. Ce même peuple, une fois de plus déçu, voire écœuré de constater que ces bonimenteurs ne travaillent pas de concert pour abattre Macron, mais au contraire pour le préserver et le maintenir au pouvoir, ne pourra que lui rendre la monnaie de leur pièce. Est-ce ainsi qu’ils entendent faire retrouver le chemin des urnes aux abstentionnistes ?
La posture affichée, celle de refuser tout accord autour d’une motion de censure, devient un outrage au bon sens, une infamie contre tous ces électeurs qui ont cru qu’être opposant c’était d’abord combattre un ennemi commun déjà au pouvoir, non lui servir de support pour conserver le pouvoir en se déchirant avec les autres partis. Macron pourrait décider n’importe quoi, cette opposition infidèle et malhonnête ne broncherait pas, si ce n’est pour clabauder en exercices de rhétoriques décevants. Comme si mêler leurs voix à celles des autres oppositions, était là un pacte de sang ? C’est juste une trahison du peuple. Nupes et LR et dans une moindre mesure RN, auront à répondre de cette crapulerie.
En réalité, l’opposition n’a plus d’existence réelle en France et Macron pourrait bien sonner la disparition institutionnelle et passer à un régime autocratique pur, qu’il ne risquerait pas grand-chose puisqu'aucun élu n’a l’air de vouloir s’opposer de manière tangible. En réalité, cette opposition fantoche ne sert plus que d’alibi au pouvoir pour expliquer qu’il n’est pas réellement une dictature. Le peuple devra sans doute s’en remettre à ses propres forces pour tenter une forme d’alternative aux institutions démocratiques nationale et européenne, devenues des outils d’oppression.

☐ 22/11/2022
Macron persiste dans le sens d’une gouvernance mondiale
Au sommet de l’APEC, Macron a réitéré son souhait d’une unique gouvernance mondiale, déplorant l’opposition entre les BRICS et l’OTAN, comme source de futurs conflits, alors qu’avec une seule tête, le monde se porterait tellement mieux, selon lui, surtout si le monde suit aveuglément la bande à laquelle appartient Macron. Cette nouvelle charge, après le quasi échec du G20, ne serait-il pas aussi un cri de désespoir, conscient que l’OTAN se trouve malmenée dans le conflit ukrainien, révélateur des faiblesses et des turpitudes occidentales ? Macron commencerait-il à en prendre conscience, sans doute inquiet de voir le plan se heurter à la volonté irréfragable des nations souveraines, de ne plus se laisser mener par le bout du nez. Il poursuit néanmoins, dans sa volonté de mettre l’ensemble de la planète sous la tutelle d’une organisation supra nationale, qui n’aurait de compte à rendre à personne, mais à laquelle chaque humain devrait obéir aveuglément. Oui mais voilà, la Russie, la Chine et l’Inde, avec des méthodes certes différentes, ne veulent pas d’un monde unipolaire, mais bien d’une redistribution des influences, dans le respect des diversités, avec en point d’orgue, la maîtrise totale des destins nationaux et non la délégation des souverainetés à des organismes mafieux, comme le rêve le précieux envoyé de Davos.
Macron en pion
Qu’on ne s’y trompe pas, Macron n’est qu’un pion, le plus acharné, le plus nocif sans doute, mais il reste un fusible qui sautera si ses maîtres n’en veulent plus, ou si des événements internationaux le rattrapent au point de l’exclure d’une quelconque immunité, ou de la rendre caduque. Pour s’échiner à faire la promotion de cette super-structure, il faut en avoir reçu l’ordre et ne pas aimer la démocratie. Rien de surprenant avec cet homme qui n’aime déjà pas la France. Cet appel orwellien ressemble à un S.O.S de sa part, comprenant que la partie lui échappe à cause du conflit en Ukraine, et qu’il ne pourra, malgré toutes les sordides combines imaginées, mener à bien ce projet d’obédience nazie jusqu’à son terme. La chute serait donc une perspective, non plus lointaine, mais bel et bien à l’ordre du jour et forcerait l’organisation interlope à accélérer le mouvement, car la vérité sur le COVID, les vaccins, le climat et bien d’autres enfumages, est en route.
La bipolarité géopolitique lui fait peur, car il sait qu’il est désormais dans le camp potentiellement le plus faible, hors puissance nucléaire, qui finalement ne sert pas à grand-chose, puisqu’elle n’est pas utilisable. L’affaire ukrainienne révèle bien cet état de fait, puisque l’ensemble des autres pays refusent de suivre les délires économiques des sanctions qui ont déjà détruit l’économie européenne. Le réel finit toujours par remettre de l’ordre. Macron et sa clique se sont toujours pensés capables d’imposer leur hégémonie idéologique au monde et d’imposer leurs vues, certains que leurs sanctions et menaces feraient plier n’importe quel récalcitrant. Il n’en est rien.
Mais la Russie a révélé leurs faiblesses. On ne peut pas lutter contre un peuple conscient de sa force historique, basée sur des valeurs qu’aucune théorie et certainement pas celle du genre, ne vient ébranler. L’occident, corrompu, toujours à la pointe de la dégénérescence, n’a toujours pas compris que la force d’une société n’est pas dans son démantèlement au profit d’une quelconque intégration de minorités, mais bien dans la reconnaissance de ce qui lui a permis de résister aux invasions, dans la promotion de ce qui lui permet d’avoir une assise forte, dans une structure classique, au détriment du farfelu qui se veut « progressiste ».
Rétablir la « haute trahison »
Le conflit ukrainien est aussi celui de deux conceptions de la civilisation et force est de constater que celle défendue par les Biden, Macron et consorts, n’arrive pas à s’imposer. Il est donc urgent de revenir aux fondamentaux. Une diplomatie exercée par des professionnels conscients du respect des règles de discrétion, l’exacte contraire de la piètre démonstration de Macron et plus récemment de Trudeau, vertement rappelé à l’ordre par Xi. De retrouver le sens de la nation, de ses intérêts, en se désengageant immédiatement du forum économique mondial, pour considérer son pays comme l’acteur principal et non comme, au mieux, un moyen à ses ambitions personnelles, au pire comme un boulet dans l’accomplissement d’un plan dicté par des puissances extérieures. Rétablir le concept de « haute trahison » est de fait, une nécessité pour éviter que n’importe qui ne vendent sans sourciller la France aux puissances étrangères, comme l’a fait Macron, sans être inquiété le moins du monde. Il est évident que nous sommes loin de pouvoir rétablir cette autorité internationale avec Macron, il en est l’antithèse. Il reste néanmoins à savoir si nous avons les réserves humaines pour relever ce défi.
Rien d’évident, quand on constate la pauvreté d’une opposition qui ne se manifeste pas sur des sujets aussi brûlants, et surtout sans réelle proposition de rupture avec ce qui nous est vendu comme une fatalité incontournable. Il y a des choses à remettre en place mais pour cela il faut avoir le courage d’affronter la horde de pseudo-progressistes prêts à fondre sur ces rétablissements impérieux, aux cris de : « fachos, extrémistes ». Servir et non se servir, voilà la nuance qui fera la différence.
Macron en pion
Qu’on ne s’y trompe pas, Macron n’est qu’un pion, le plus acharné, le plus nocif sans doute, mais il reste un fusible qui sautera si ses maîtres n’en veulent plus, ou si des événements internationaux le rattrapent au point de l’exclure d’une quelconque immunité, ou de la rendre caduque. Pour s’échiner à faire la promotion de cette super-structure, il faut en avoir reçu l’ordre et ne pas aimer la démocratie. Rien de surprenant avec cet homme qui n’aime déjà pas la France. Cet appel orwellien ressemble à un S.O.S de sa part, comprenant que la partie lui échappe à cause du conflit en Ukraine, et qu’il ne pourra, malgré toutes les sordides combines imaginées, mener à bien ce projet d’obédience nazie jusqu’à son terme. La chute serait donc une perspective, non plus lointaine, mais bel et bien à l’ordre du jour et forcerait l’organisation interlope à accélérer le mouvement, car la vérité sur le COVID, les vaccins, le climat et bien d’autres enfumages, est en route.
La bipolarité géopolitique lui fait peur, car il sait qu’il est désormais dans le camp potentiellement le plus faible, hors puissance nucléaire, qui finalement ne sert pas à grand-chose, puisqu’elle n’est pas utilisable. L’affaire ukrainienne révèle bien cet état de fait, puisque l’ensemble des autres pays refusent de suivre les délires économiques des sanctions qui ont déjà détruit l’économie européenne. Le réel finit toujours par remettre de l’ordre. Macron et sa clique se sont toujours pensés capables d’imposer leur hégémonie idéologique au monde et d’imposer leurs vues, certains que leurs sanctions et menaces feraient plier n’importe quel récalcitrant. Il n’en est rien.
Mais la Russie a révélé leurs faiblesses. On ne peut pas lutter contre un peuple conscient de sa force historique, basée sur des valeurs qu’aucune théorie et certainement pas celle du genre, ne vient ébranler. L’occident, corrompu, toujours à la pointe de la dégénérescence, n’a toujours pas compris que la force d’une société n’est pas dans son démantèlement au profit d’une quelconque intégration de minorités, mais bien dans la reconnaissance de ce qui lui a permis de résister aux invasions, dans la promotion de ce qui lui permet d’avoir une assise forte, dans une structure classique, au détriment du farfelu qui se veut « progressiste ».
Rétablir la « haute trahison »
Le conflit ukrainien est aussi celui de deux conceptions de la civilisation et force est de constater que celle défendue par les Biden, Macron et consorts, n’arrive pas à s’imposer. Il est donc urgent de revenir aux fondamentaux. Une diplomatie exercée par des professionnels conscients du respect des règles de discrétion, l’exacte contraire de la piètre démonstration de Macron et plus récemment de Trudeau, vertement rappelé à l’ordre par Xi. De retrouver le sens de la nation, de ses intérêts, en se désengageant immédiatement du forum économique mondial, pour considérer son pays comme l’acteur principal et non comme, au mieux, un moyen à ses ambitions personnelles, au pire comme un boulet dans l’accomplissement d’un plan dicté par des puissances extérieures. Rétablir le concept de « haute trahison » est de fait, une nécessité pour éviter que n’importe qui ne vendent sans sourciller la France aux puissances étrangères, comme l’a fait Macron, sans être inquiété le moins du monde. Il est évident que nous sommes loin de pouvoir rétablir cette autorité internationale avec Macron, il en est l’antithèse. Il reste néanmoins à savoir si nous avons les réserves humaines pour relever ce défi.
Rien d’évident, quand on constate la pauvreté d’une opposition qui ne se manifeste pas sur des sujets aussi brûlants, et surtout sans réelle proposition de rupture avec ce qui nous est vendu comme une fatalité incontournable. Il y a des choses à remettre en place mais pour cela il faut avoir le courage d’affronter la horde de pseudo-progressistes prêts à fondre sur ces rétablissements impérieux, aux cris de : « fachos, extrémistes ». Servir et non se servir, voilà la nuance qui fera la différence.
Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF

Secrétaire national du RPF

☐ 21/11/2022
Un bond en arrière de 20 ans pour les filles
Un bond en arrière de 20 ans pour les filles
La France veut se réindustrialiser, retrouver son savoir-faire nucléaire, trouver de nouveau carburants et s’informatiser. Mais il manque des milliers d’ingénieurs, dans tous les compartiments industriels. La France en forme chaque année 38 000 nouveaux, alors qu’il en faudrait 60 000. Pire, les filles qui étaient parvenues à représenter 47% des élèves au bac scientifique, grâce à un intéressant travail de promotion, sont passées à 24% du nombre de ces bacheliers. Et la part des filles a encore baissé chez les élèves recevant plus de 6 heures de cours de maths en terminale, soit une baisse de 61% depuis la réforme du bac de 2019, sous le quinquennat Macron. Le président peut toujours se payer de discours fantoches et faire exactement le contraire de ce qu’il raconte. Non seulement, il y a un recul significatif des jeunes filles dans les filières scientifiques, mais en terminale, seulement 1,6 % des élèves choisissent les filières d’ingénieurs et 2,5 % celles du numérique et des sciences de l’information.
Pourtant, les écoles, les fédérations professionnelles et les entreprises, ont multiplié les politiques d’incitation adressées aux jeunes femmes, mais les vocations sont en panne, chez les filles évidemment, mais également chez les garçons. Il va être difficile de répondre aux nouveaux défis industriels et d’engager les projets de réindustrialisation de la France. Cette pénurie de talents touche tout particulièrement les entreprises du numérique.
Des professionnels du secteur et le RPF, avancent quelques solutions, comme la modification des programmes et surtout le développement des maths et des sciences dès la primaire et la maternelle. Une meilleure formation des professeurs, qui sont justement en majorité des femmes et une sensibilisation aux métiers de l’ingénierie. Et la mise en place de partenariats d’apprentissages avec des entreprises thématiques, représentatives de leurs secteurs d’activité.
Depuis cinq ans, on a assisté à un détricotage en règle du système éducatif et effectué un bond en arrière de 20 ans sur la thématique des filles dans les filières scientifiques, ceci avec un gouvernement qui explique qu’il a fait de l’égalité hommes/femmes un enjeu de sa gouvernance.
Pourtant, les écoles, les fédérations professionnelles et les entreprises, ont multiplié les politiques d’incitation adressées aux jeunes femmes, mais les vocations sont en panne, chez les filles évidemment, mais également chez les garçons. Il va être difficile de répondre aux nouveaux défis industriels et d’engager les projets de réindustrialisation de la France. Cette pénurie de talents touche tout particulièrement les entreprises du numérique.
Des professionnels du secteur et le RPF, avancent quelques solutions, comme la modification des programmes et surtout le développement des maths et des sciences dès la primaire et la maternelle. Une meilleure formation des professeurs, qui sont justement en majorité des femmes et une sensibilisation aux métiers de l’ingénierie. Et la mise en place de partenariats d’apprentissages avec des entreprises thématiques, représentatives de leurs secteurs d’activité.
Depuis cinq ans, on a assisté à un détricotage en règle du système éducatif et effectué un bond en arrière de 20 ans sur la thématique des filles dans les filières scientifiques, ceci avec un gouvernement qui explique qu’il a fait de l’égalité hommes/femmes un enjeu de sa gouvernance.
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Pretty female student doing practical work at factory |
☐ 21/11/2022
Sortir de l’engeance mondialiste
Sortir de l’engeance mondialiste
L’horreur s’invite en Occident par l’intermédiaire de la Nouvelle Zélande, qui institutionnalise la délation sous couvert de protection terroriste. Depuis quand ce pays est-il dans le viseur des terroristes ? Il faut bien décortiquer ce que cache ce terme dans l’esprit des initiateurs de cette démarche, pour comprendre qu’il ne s’agit nullement de sauver des vies, comme l’indique la responsable des services secrets, mais bien de protéger le pouvoir en place contre toutes formes de contestation. C’est d’ailleurs ce qu’elle finit par avouer en parlant de comportements complotistes, du genre « eux contre nous », et en donnant l’exemple des mesures COVID. Il ne s’agit en réalité que d’éviter qu’un autre son de cloche ne vienne semer le doute dans les esprits, et permettre au citoyen de douter du bien fondé des mesures prises. L’interrogation est donc devenue interdite. Qu’importe les preuves accablantes, qui seraient irréfutables, il faut les taire. La vérité ne se décline pas selon des bases factuelles, mais sont choisies soigneusement par les dirigeants, en fonction de leurs orientations. Ce n’est ni plus ni moins que l’essence même d’une dictature. Il n’y a que ce type de régime pour vouloir contrôler les pensées et la parole. Un vrai régime démocratique ne craint pas la confrontation, car il sait que la vérité triomphe toujours.
Un régime autoritaire ne peut supporter ces échanges. Nous avons connu les camps de concentration, les camps de rééducation, tous étaient destinés à écarter les voix dissidentes pour protéger un pouvoir délétère. Mesure extrémiste par excellence, elle s’inspire de la vision nazie ou stalinienne du pouvoir, et elle s’attaque à présent, avec le concours souhaité de la population, à l’épuration de toute opposition. Être contre les mesures gouvernementales devient un délit, un crime, car c’est s’opposer à LA vérité, qu’ils ont décrétée comme inattaquable. Ils posent un principe dogmatique et quiconque le réfute devient un hérétique. L’histoire se répète dans ce qu’elle a de plus immonde. Comme à l’époque de l’Inquisition, pendant le III Reich, ou sous Staline, les opinions contraires à la doxa deviennent répréhensibles, donc condamnables. Bien entendu la justification première est celle du sauvetage de vies ! Imparable. Moins ambitieux que l’Église qui voulait sauver les âmes, mais tout aussi infect que les précitées dictatures. La main sur le cœur ils vous diront qu’ils acceptent la contradiction, pour autant qu’elle ne remette pas en cause leurs décisions. En réalité, pour eux, croire aux vertus de l’échange est un sacrilège, traité par l’excommunication sociale, ou l’emprisonnement. Ce pays installe le IV Reich sans honte. Ainsi « le pays du long nuage blanc », teinte sa liberté de pensée d’un voile noir.
Les caciques de Davos
Cette façon de faire, très actuelle en Europe et aux États-Unis, révèle la vraie mentalité de ces caciques de Davos. C’est là l’essence même de leur philosophie, et c’est ce qui doit être détruit. L’Alberta a déjà fait entendre cette volonté, c’est au tour du gouvernement flamand de déclarer son intention de se détacher du Forum économique mondial. Sage et vertueuse décision, où l’on se prêterait à penser que la raison l’emporte enfin, poussée par l’intégrité retrouvée des consciences, ainsi que par la farouche volonté de ne plus être le toutou de ces autoproclamés « élites ».
Ce club impose, commande, dicte au monde entier les bons comportements à avoir, s’arrogeant le droit universel de dire comment on doit vivre, respirer, penser. C’est avec l’air professoral qu’ils viennent déverser leur abjecte ambition. Les mêmes ont tenté de soudoyer le Pérou, pour imposer leur agenda. À quel titre Klaus Schwab est-il intervenu au G20 ? Quel mandat lui confère une autorité pour donner ses ordres aux dirigeants démocratiquement élus ? S’il se permet de le faire c’est que l’ensemble des gouvernements est corrompu et qu’il gouverne seul avec ses amis. À moins que ce ne soit pour redorer un blason en perte d’éclat ?
L’Europe de Maastricht, fief de ce gang, doit disparaître au profit d’une nouvelle organisation plus respectueuse du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, de penser en fonction de leurs affinités, sans être obligés d’obéir à une doxa extra-nationale. L’Occident est devenu un cancer pour le reste de l’humanité.
Des représentants peu représentatifs
Il est temps que les nouvelles puissances reprennent la main et se débarrassent de ces dictateurs, que d’autres appellent « l’État profond », qui nous conduisent à l’asservissement le plus total, ou à la prison, pour pensées jugées subversives. La disparition d’instances telles que le G20, l’ONU, l’OMS, ne pourra qu’être une bouffée d’oxygène pour la sécurité des peuples. Ces millionnaires bientôt grabataires, ne représentent même pas 10% de la population mondiale et viennent dicter leurs volontés au reste de la planète. L’idée de la Russie de quitter l’ONU est excellente et celle sans doute, d’en finir avec le G20 qu’entretiennent à présent les Chinois, sera la bienvenue. Que les puissances indépendantes donnent une bonne leçon à ce quarteron de corrompus, qu’ils les isolent, ils sont déjà réduits économiquement, militairement, il suffit à présent de les anéantir intellectuellement en n’accordant plus aucun crédit à leurs discours aux relents d’empire nazi. Dans une sémantique choisie, faisant de l’eugénisme moderne la nouvelle arme de stabilité mondiale, ils dénoncent l’épuisement provoqué des sociétés séculaires et s’en servent comme motif d’une régénération par l’autoritarisme accepté, la contrainte volontaire et le lavage des cerveaux, par les médias subventionnés.
L’avenir de la planète n’est pas de construire des voitures électriques, mais de se débarrasser de ces institutions internationales dirigées en réalité par des structures supranationales. Ce n’est pas l’augmentation de quelques degrés qui sèmera le trouble, mais la poursuite du plan imaginé par cette pègre. Il y a urgence à les écarter des décisions et les temps semblent propices pour trancher le nœud gordien. Les opposants, qui pensaient subsister dans cette huileuse compromission, se sont trompés. L’agenda mortifère préparé est l’acceptation par les peuples des famines, épidémies, guerres, planifiées et utilisée pour imposer les bases d’un « monde nouveau », non démocratique. Il nous faut des opposants courageux qui oseront les affronter, sans autre calcul que celui de servir la justice et la liberté. Qui aura cette ardeur ? Les places sont à prendre, les peuples attendent et historiquement, les situations de crises font émerger des hommes forts, en remplacement de toute la caste actuelle, plus ou moins compromise. Au RPF nous ne soutiendrons jamais un parti qui fait allégeance avec ces thèses et se fait le complice de Davos. Nous attendons avec empressement que les oppositions se positionnent sur leur éventuelle non-participation à ce Forum de la honte et prennent conscience de la possibilité de nous voir imposer une société unique, orwellienne. La prise de conscience des peuples, leur refus massif de cet avenir digne d’un roman de science-fiction, qui nous est promis, est en cours. Nous souhaiterions maintenant voir les dirigeants refuser d’assister aux messes de Schwab, Attali et consorts. La sortie de cet engrenage se fera en premier lieu par le refus massif d’écouter et de se conformer à des consignes, qui, comme celles vécues pendant la crise sanitaire, se révèlent non seulement inutiles, mais contre-productives.
Gilles La Carbona


☐ 19/11/2022
Europe : on doit reposer la question
Europe : on doit reposer la question
L’étrange fascination pour l’Union Européenne tourne à l’aveuglement obsidional, notamment pour la France, qui se rêvait moteur avec l’Allemagne et qui se retrouve à jouer les seconds rôles, quand il ne s’agit pas de simple figuration. Le rêve de puissance concurrente aux USA n’aura pas tenu longtemps, faute d’avoir eu à la tête de notre pays, un homme capable de défendre les intérêts de la France, au lieu d’aller clamer un peu partout que sa priorité était l’Europe et qu’il était prêt à démanteler notre rayonnement, au profit de cette nébuleuse dirigée par l’Allemagne.
Macron n’a jamais compris que sa soumission totale, ajoutée à sa déloyauté envers son propre pays, ne serait jamais vue comme un gage de solide alliance, mais bien l’inverse. On ne respecte qu’un partenaire fort, un paillasson, on s’y essuie les pieds avec indifférence. Quant aux félons qui accompagnent les leaders, ils ne sont jamais considérés que comme de vils moyens qu’il faut surveiller et tenir éloignés des décisions du pouvoir, bien trop décadents pour s’asseoir à la table des grands.
L’Allemagne, depuis quelque temps montre son vrai visage, celui d’une puissance historique qui ne travaille que pour les siens. Depuis qu’elle s’acharne à voir la France plaider sa cause pour l’obtention d’un poste permanent au conseil de sécurité, elle n’a eu de cesse de s’opposer aux intérêts de notre pays à son unique profit. Elle a abandonné le projet d’avion de combat, torpillé la vente des sous-marins à l’Australie, s’ingénie à préférer sa vision monétaire au détriment de celle de Christine Lagarde. Malgré ces revers, nos dirigeants, hypnotisés par le songe européen, ne parviennent pas à voir le véritable jeu de l’Allemagne, qui ne se cache plus dans son désir de devenir la première armée continentale européenne. Comme Pétain en son temps, Macron se comporte en vassal zélé, accourant dès que le chancelier siffle et se pliant en quatre pour satisfaire ses exigences, sans jamais regimber.
D’ailleurs d’une façon générale, Macron favorise toujours l’étranger, en lieu et place de son pays. Cet homme n’aime pas le pays dans lequel il vit, se pensant au-dessus de cette nation et de toute notion de nation, qu’il abhorre. Le plus triste, c’est de voir nos « oppositions » gérer la déchéance, à coups de compromissions, d’acceptations tièdes et de cautionner à demi-mot la déliquescence programmée, au profit de l’Allemagne. Éblouis sans doute par les fumeuses promesses du début de cette association, très peu ont le courage de relever la tête et de dire stop. L’hémicycle reste muet sur les questions embarrassantes d’un partenariat avec l’Allemagne de plus en plus à sens unique et loin d’une équité de considération.
Le sujet de l’Europe doit revenir sur la table
Ces opposants de salon s’imaginent encore que l’Union Européenne sauvera la France du désastre, alors qu’elle est déjà en souffrance, et que l’Allemagne n’hésitera pas à abandonner cet allié encombrant et cette structure inutile, si elle juge que ses intérêts sont ailleurs. Le réveil sera brutal. C’est au peuple de décider s’il veut poursuivre dans cette voie sans issue, c’est surtout aux opposants de prendre ouvertement position sur le nécessaire débat à avoir au sein de notre nation, pour exposer les dérives anti-démocratiques enregistrées depuis la gestion du COVID et surtout la servitude inadmissible vis-à-vis d’une commission non élue et d’un pseudo-allié qui se comporte désormais en maître absolu. Il est faux de croire que les Français sont hostiles à l’idée de quitter l’UE, comme il l’est de prétendre qu’ils veulent y rester coûte que coûte. Il est encore plus faux de prétendre que sans la divine protection de l’UE, la France serait isolée, réduite à pleurer dans un coin sur sa grandeur passée, puisque cette dernière n’est déjà qu’un souvenir. La Grande Bretagne ne nous prouve-t-elle pas l’inverse ? On ne peut parler d’immigration, d’économie, de défense, sans se heurter au diktat de la commission européenne. Tout projet présidentiel qui aborde ces sujets en pensant s’affranchir de l’adoubement de l’Impératrice Ursula, ment. Qui voit dans cette sécession les sources de complications futures, méconnaît les ressources d’un peuple deux fois millénaires, et se vautre dans l’oppressant discours de la défaite. Il est plus facile de se comporter comme un esclave que comme un être libre. Plus facile d’attendre qu’autrui nous construise notre destin que de le dessiner soi-même. C’est de ce courage dont nous avons besoin. Les discours et l’attitude de Macron à l’extérieur de nos frontières, contribuent largement au dépérissement de notre aura. Il faudra des années après ce régime pour rétablir la France sur la scène internationale, en ayant le courage de changer les alliances, de sortir de ces vieux dogmes, devenus des poisons confortables. Mais c’est dès à présent qu’il faut hausser le ton et engager la France vers ce changement, anticiper ce mouvement qui arrive. Que feront nos caciques fervents d’une Europe à tout prix, si l’Allemagne se détache sans préavis ? Que feront-ils si l’euro, panacée des monnaies, s’écroule et qu’ils se retrouvent à devoir rétablir en urgence une monnaie nationale ? Il y a plus de chance de vivre ce scénario qu’autre chose, même si les habitués avanceront que l’Euro en a vu d’autres. Pour toutes ces raisons objectives et parce que le référendum sur l’adhésion à l’Europe a été confisqué en 2005, il est temps de remettre le sujet sur la table et de demander son avis au peuple.
Macron n’a jamais compris que sa soumission totale, ajoutée à sa déloyauté envers son propre pays, ne serait jamais vue comme un gage de solide alliance, mais bien l’inverse. On ne respecte qu’un partenaire fort, un paillasson, on s’y essuie les pieds avec indifférence. Quant aux félons qui accompagnent les leaders, ils ne sont jamais considérés que comme de vils moyens qu’il faut surveiller et tenir éloignés des décisions du pouvoir, bien trop décadents pour s’asseoir à la table des grands.
L’Allemagne, depuis quelque temps montre son vrai visage, celui d’une puissance historique qui ne travaille que pour les siens. Depuis qu’elle s’acharne à voir la France plaider sa cause pour l’obtention d’un poste permanent au conseil de sécurité, elle n’a eu de cesse de s’opposer aux intérêts de notre pays à son unique profit. Elle a abandonné le projet d’avion de combat, torpillé la vente des sous-marins à l’Australie, s’ingénie à préférer sa vision monétaire au détriment de celle de Christine Lagarde. Malgré ces revers, nos dirigeants, hypnotisés par le songe européen, ne parviennent pas à voir le véritable jeu de l’Allemagne, qui ne se cache plus dans son désir de devenir la première armée continentale européenne. Comme Pétain en son temps, Macron se comporte en vassal zélé, accourant dès que le chancelier siffle et se pliant en quatre pour satisfaire ses exigences, sans jamais regimber.
D’ailleurs d’une façon générale, Macron favorise toujours l’étranger, en lieu et place de son pays. Cet homme n’aime pas le pays dans lequel il vit, se pensant au-dessus de cette nation et de toute notion de nation, qu’il abhorre. Le plus triste, c’est de voir nos « oppositions » gérer la déchéance, à coups de compromissions, d’acceptations tièdes et de cautionner à demi-mot la déliquescence programmée, au profit de l’Allemagne. Éblouis sans doute par les fumeuses promesses du début de cette association, très peu ont le courage de relever la tête et de dire stop. L’hémicycle reste muet sur les questions embarrassantes d’un partenariat avec l’Allemagne de plus en plus à sens unique et loin d’une équité de considération.
Le sujet de l’Europe doit revenir sur la table
Ces opposants de salon s’imaginent encore que l’Union Européenne sauvera la France du désastre, alors qu’elle est déjà en souffrance, et que l’Allemagne n’hésitera pas à abandonner cet allié encombrant et cette structure inutile, si elle juge que ses intérêts sont ailleurs. Le réveil sera brutal. C’est au peuple de décider s’il veut poursuivre dans cette voie sans issue, c’est surtout aux opposants de prendre ouvertement position sur le nécessaire débat à avoir au sein de notre nation, pour exposer les dérives anti-démocratiques enregistrées depuis la gestion du COVID et surtout la servitude inadmissible vis-à-vis d’une commission non élue et d’un pseudo-allié qui se comporte désormais en maître absolu. Il est faux de croire que les Français sont hostiles à l’idée de quitter l’UE, comme il l’est de prétendre qu’ils veulent y rester coûte que coûte. Il est encore plus faux de prétendre que sans la divine protection de l’UE, la France serait isolée, réduite à pleurer dans un coin sur sa grandeur passée, puisque cette dernière n’est déjà qu’un souvenir. La Grande Bretagne ne nous prouve-t-elle pas l’inverse ? On ne peut parler d’immigration, d’économie, de défense, sans se heurter au diktat de la commission européenne. Tout projet présidentiel qui aborde ces sujets en pensant s’affranchir de l’adoubement de l’Impératrice Ursula, ment. Qui voit dans cette sécession les sources de complications futures, méconnaît les ressources d’un peuple deux fois millénaires, et se vautre dans l’oppressant discours de la défaite. Il est plus facile de se comporter comme un esclave que comme un être libre. Plus facile d’attendre qu’autrui nous construise notre destin que de le dessiner soi-même. C’est de ce courage dont nous avons besoin. Les discours et l’attitude de Macron à l’extérieur de nos frontières, contribuent largement au dépérissement de notre aura. Il faudra des années après ce régime pour rétablir la France sur la scène internationale, en ayant le courage de changer les alliances, de sortir de ces vieux dogmes, devenus des poisons confortables. Mais c’est dès à présent qu’il faut hausser le ton et engager la France vers ce changement, anticiper ce mouvement qui arrive. Que feront nos caciques fervents d’une Europe à tout prix, si l’Allemagne se détache sans préavis ? Que feront-ils si l’euro, panacée des monnaies, s’écroule et qu’ils se retrouvent à devoir rétablir en urgence une monnaie nationale ? Il y a plus de chance de vivre ce scénario qu’autre chose, même si les habitués avanceront que l’Euro en a vu d’autres. Pour toutes ces raisons objectives et parce que le référendum sur l’adhésion à l’Europe a été confisqué en 2005, il est temps de remettre le sujet sur la table et de demander son avis au peuple.
Gilles La Carbona
☐ 16/11/2022
La religion du GIEC…
Le changement climatique s’invite dans les décisions politiques, comme si l’homme, doté d’une puissance déifiée, pouvait à lui seul changer le cours de l’histoire de notre planète. Avec cette prétention de maîtriser l’histoire du climat, nos dirigeants se sont hissés sur l’Olympe du mensonge et ont créé l’organisme clé, pour faire avaler cette nouvelle religion. Celle qui consiste à ne voir dans le contrôle et la pénurie que le sacerdoce indispensable à une rédemption de l’humanité. Ce GIEC, ou Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat impose sa sainte parole depuis 1988, depuis son siège de Zurich. Mais historiquement, depuis le début, cet organisme mondial n’a pas eu pour but d’être une académie d’experts. On y retrouve toute une foule de personnages aussi éloignés de l’expertise climatique, que des saints sacrements, comme ce président d’origine indienne, ingénieur des chemins de fer, qui s’était reconverti dans la publication de revues pornographiques.
En 2002, Chirac y plaça le nébuleux Jean Jouzel, promu très vite vice-président. Ce chercheur aux études contestées publia une étude qui selon lui établissait le lien entre concentration de CO2 et réchauffement climatique, très appréciée des écolos bobos de la planète qui l’ont immédiatement érigée en dogme. Cette théorie est cependant toujours autant décriée par une grande partie de la communauté scientifique internationale. Cependant s’attaquer, ou simplement s’interroger sur les fondements de Jouzel conduit à la mise au ban de la société, à une relégation au rang de négationniste. Le terme exact de GIEC est lui né sous la houlette de Jouzel, lorsque ce dernier accéda à son second mandat en 2007. La crédibilité de cet organisme est entachée par de troubles associations avec des sulfureuses ONG telle que Greenpeace, entre autres, ainsi que par le financement de ses travaux, révélé par des journalistes britanniques et norvégiens, par des sociétés telles que Rio Tinto, Coca Cola, Montsanto, Apple, Microsoft. Des soupçons de pot-de-vin pour avoir commis de faux rapport dans le seul but de paniquer l’humanité, leurs sont notamment reprochés.
Pas de débat démocratique qui tienne...
On doit se souvenir de cet historique pour tenter de comprendre le poids et l’importance que les gens de Davos lui accordent, se servant de ces arguments pour poursuivre leurs folies et imposer toujours plus de contraintes aux peuples. Pourquoi les autres études, comme ce fut le cas pour le COVID, ne sont-elles pas débattues ? Pourquoi l’ensemble de la communauté scientifique n’est-elle pas interrogée ? Pourquoi les seules conclusions alarmistes sont-elles retenues ? D’autant que la Nasa constate, également officiellement, depuis des années l’augmentation de la masse de la calotte glacière de l’antarctique, avec une baisse régulière de ses températures. Étrange que dans une planète censée se réchauffer nous puissions observer un tel phénomène, sans que le bon sens refuse de s’interroger sur le pourquoi de la chose. Des chercheurs du CNRS et de la NASA ont, par ailleurs, noté un réchauffement général des planètes du système solaire et contredit les conclusions du GIEC, qui prétendait que dans 10 ans les mollusques se retrouveraient avec des carapaces ramollies. L’acidification des océans a été contredite avec une simple équation chimique du niveau de la classe de seconde. Pourtant nos dirigeants n’ont pas dévié d’un pouce, et poursuivent dans le sens qui les arrange, comme pour le défunt catastrophique trou dans l’ozone qui devait nous faire cuire sur place avant l’an 2000 et dont plus personne ne parle.
La dissimulation de ces informations, du moins la non prise en compte d’éléments autres, se font avec quels desseins ? La question du débat contradictoire mérite assurément d’être posée, puisqu’il en va de nos vies et de leurs organisations, des futures privations de liberté. Cela alors que la plus petite contradiction vaut l’excommunication sociale. Cela rappelle ce pauvre Galilée obligé de se parjurer, pour ne pas finir sur un fagot de bois. La science n’avait plus son mot à dire dans ce procès d’intention, ou seule l’idéologie primait. Il en est exactement de même aujourd’hui, les nouveaux maîtres du monde ont décidé que le changement climatique était la priorité et qu’à défaut de tenter de s’acclimater, comme les hommes l’ont toujours fait depuis 4 millions d’années, nous devions corriger la trajectoire de l’histoire de la Terre, en nous prétendant plus forts que le créateur lui-même, tout en jugeant l’homme comme l’unique responsable de ce changement. Ainsi toutes les mesures seront bonnes et surtout déclarées incontestables, dans un système où, pour ce sujet là, comme pour d’autres, on se passe de débats démocratiques pour pouvoir ériger des dogmes.
En 2002, Chirac y plaça le nébuleux Jean Jouzel, promu très vite vice-président. Ce chercheur aux études contestées publia une étude qui selon lui établissait le lien entre concentration de CO2 et réchauffement climatique, très appréciée des écolos bobos de la planète qui l’ont immédiatement érigée en dogme. Cette théorie est cependant toujours autant décriée par une grande partie de la communauté scientifique internationale. Cependant s’attaquer, ou simplement s’interroger sur les fondements de Jouzel conduit à la mise au ban de la société, à une relégation au rang de négationniste. Le terme exact de GIEC est lui né sous la houlette de Jouzel, lorsque ce dernier accéda à son second mandat en 2007. La crédibilité de cet organisme est entachée par de troubles associations avec des sulfureuses ONG telle que Greenpeace, entre autres, ainsi que par le financement de ses travaux, révélé par des journalistes britanniques et norvégiens, par des sociétés telles que Rio Tinto, Coca Cola, Montsanto, Apple, Microsoft. Des soupçons de pot-de-vin pour avoir commis de faux rapport dans le seul but de paniquer l’humanité, leurs sont notamment reprochés.
Pas de débat démocratique qui tienne...
On doit se souvenir de cet historique pour tenter de comprendre le poids et l’importance que les gens de Davos lui accordent, se servant de ces arguments pour poursuivre leurs folies et imposer toujours plus de contraintes aux peuples. Pourquoi les autres études, comme ce fut le cas pour le COVID, ne sont-elles pas débattues ? Pourquoi l’ensemble de la communauté scientifique n’est-elle pas interrogée ? Pourquoi les seules conclusions alarmistes sont-elles retenues ? D’autant que la Nasa constate, également officiellement, depuis des années l’augmentation de la masse de la calotte glacière de l’antarctique, avec une baisse régulière de ses températures. Étrange que dans une planète censée se réchauffer nous puissions observer un tel phénomène, sans que le bon sens refuse de s’interroger sur le pourquoi de la chose. Des chercheurs du CNRS et de la NASA ont, par ailleurs, noté un réchauffement général des planètes du système solaire et contredit les conclusions du GIEC, qui prétendait que dans 10 ans les mollusques se retrouveraient avec des carapaces ramollies. L’acidification des océans a été contredite avec une simple équation chimique du niveau de la classe de seconde. Pourtant nos dirigeants n’ont pas dévié d’un pouce, et poursuivent dans le sens qui les arrange, comme pour le défunt catastrophique trou dans l’ozone qui devait nous faire cuire sur place avant l’an 2000 et dont plus personne ne parle.
La dissimulation de ces informations, du moins la non prise en compte d’éléments autres, se font avec quels desseins ? La question du débat contradictoire mérite assurément d’être posée, puisqu’il en va de nos vies et de leurs organisations, des futures privations de liberté. Cela alors que la plus petite contradiction vaut l’excommunication sociale. Cela rappelle ce pauvre Galilée obligé de se parjurer, pour ne pas finir sur un fagot de bois. La science n’avait plus son mot à dire dans ce procès d’intention, ou seule l’idéologie primait. Il en est exactement de même aujourd’hui, les nouveaux maîtres du monde ont décidé que le changement climatique était la priorité et qu’à défaut de tenter de s’acclimater, comme les hommes l’ont toujours fait depuis 4 millions d’années, nous devions corriger la trajectoire de l’histoire de la Terre, en nous prétendant plus forts que le créateur lui-même, tout en jugeant l’homme comme l’unique responsable de ce changement. Ainsi toutes les mesures seront bonnes et surtout déclarées incontestables, dans un système où, pour ce sujet là, comme pour d’autres, on se passe de débats démocratiques pour pouvoir ériger des dogmes.
☐ 15/11/2022
Vers la fin des institutions internationales ?
Quand les mots ne sont plus reconnus dans leur définition première et mènent à une incompréhension frauduleuse de la pensée, le dialogue devient impossible. C’est ce qui est en train de se produire sur la scène internationale, où nous assistons à un débat de sourds entre des partenaires qui, poussés par des intérêts divergents, refusent de s’en remettre à la simple lecture du droit international, tel qu’il est décrit dans les traités ou conventions.
Il serait pourtant simple, au lieu d’interpréter les textes en fonction des buts ou délires recherchés, de les appliquer avec l’impartialité d’un juge indépendant. C’est trop demander au bloc occidental, dominé par les Américains, qui ne conçoit l’échange qu’à l’aune de ce qu’il a préalablement décidé et donc jugé comme vrai. Dans ce climat de corruption intellectuelle, corollaire de la corruption tout court, la solution est donc l’éclatement des institutions internationales, lesquelles, il faut bien finir par le reconnaître, sont dirigées par des organisations mafieuses supranationales, telles que les gens du forum de Davos. À titre d’exemple, on assiste à un G20 des chefs d’État, où l’on retrouve Klaus Schwab et Bill Gates : que font-ils là et à quel titre ?
Dans ce contexte insoluble, la Russie envisage de se retirer de l’ONU et de créer une autre organisation, plus respectueuse des textes et de leurs applications, sans détournement de leurs natures intrinsèques. Qu’adviendra-t-il dans un tel cas ? Si la Russie est seule, elle se retrouvera isolée et forcément mise à l’index, condamnée à lutter contre le reste du monde. En revanche, si, comme on peut l’imaginer, cette initiative trouve un écho favorable chez d’autres partenaires comme la Chine, l’Inde, ou des pays qui frappent à la porte des BRICS, la situation devient plus complexe et plus périlleuse aussi. Deux blocs seront créés, mais avec les mêmes textes, car il ne s’agit pas pour la Russie de réécrire le droit international, mais de l’appliquer autrement. Ils produiront, pour un même cas, deux décisions différentes, et au milieu plus personne pour arbitrer. L’hégémonie des USA, via l’ONU et du bloc occidental, sera alors fortement entamée et les gendarmes du monde autoproclamés, réduits à devoir composer avec un contre-pouvoir qu’ils ne maîtriseront pas. La sécurité de la planète en sera-t-elle menacée ? Pas plus qu’elle ne l’est aujourd’hui, quand les USA, traînant dans leurs sillages les pays européens, ne conçoivent leur existence qu’à travers les conflits qu’ils déclenchent, en fonction de leurs intérêts, depuis des décennies. Le dollar ne sera bientôt plus la monnaie internationale, la puissance militaire US ne fait plus suffisamment peur. Si demain la diplomatie internationale leur échappe, il ne restera plus rien de l’empire de l’oncle Sam, et de son arrogance, incarnés par un vieillard que l’on dit sénile.
Un camp du « bien » autoproclamé
Dans leurs turpitudes guerrières Schwab, Biden, von der Leyen, Macron et consorts, illusionnés par une importance passée, ont tenté d’imposer sanctions et chaos à l’ensemble de la planète. Leur discours, en réalité haineux, est censé représenter le camp du bien. Mais cela semble bien moins marcher dorénavant et surtout, cela ne reçoit plus l’assentiment des peuples européens, rincés par les privations, l’inflation et une certaine incompréhension devant le narratif déroulé, Covid, vaccin, plus Ukraine, de plus en plus mensonger. L’organe de substitution au FMI est déjà en place et l’ancien monde se fracture sous nos yeux. L’Occident s’enfonce, l’Europe se désindustrialise, se ruine en mesures inutiles contre la Russie. Dans ce contexte d’hystérie idéologique, l’Allemagne envisagerait de rejoindre les BRICS, ayant compris, bien avant notre « Mozart de la finance », l’absurde destin qu’ils construisaient en s’associant aveuglément aux USA et à la France. Le basculement géopolitique en cours signifie également, à court ou moyen termes, un bouleversement des instances comme l’OTAN ou la CEE qui apparaissent désormais comme des moyens de coercition plus que de développement. Nous devons en revenir à l’esprit gaulliste de souveraineté des peuples et de collaborations entre nations.
☐ 14/11/2022
Menaces sur les petites maisons…Le démantèlement de la propriété privée est, quoiqu’en dise le pouvoir, un des objectifs de Davos. Le gourou Schwab ne s’en est même pas caché : « Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux. » Quelle étrange fascination pour la soumission et l’abandon, et a contrario pour le contrôle total des faits et gestes des citoyens. Qu’y a-t-il à redouter des peuples si ces derniers sont traités avec égard, si la justice et le bien commun restent la priorité ? Rien. C’est donc bien pour des raisons peu avouables, voire méphitiques que cette destruction est mise en place.
Leur but, rendre l’accès à la propriété impossible, soit par le coût des taxes, soit par l’obligation des normes de construction ou d’aménagement, toujours plus contraignantes et onéreuses.
Une forme de féodalisation, ou de stalinisation, de la société est à l’ordre du jour, les biens immobiliers ne seront financièrement plus accessibles. Face à cela il ne restera qu’une solution, vendre à des grands groupes qui deviendront les bailleurs institutionnels. L’excuse climatique aide bien dans la mise en place de ces mesures, qui en elles-mêmes ne sauveront pas la planète, mais contribueront à déclasser les petits propriétaires. Nous allons devenir des nomades, à la merci de ces bailleurs qui pourront, par des lois appropriées conditionner l’accès ou la conservation d’un logement à certaines contraintes, comme celle d’être vacciné, ou de ne pas avoir fait l’objet d’une censure sur les réseaux sociaux ou d’autres motifs encore plus liberticides.
Nous sommes entrés depuis longtemps dans un nouveau totalitarisme qui ne cessera qu’avec un réveil massif des consciences, ce qui ne semble pas être pour demain. Bien entendu le saccage de la propriété privé ne se fera pas d’un seul coup, trop violent, trop visible. Il se fera par étapes, tronçonnant le parc immobilier, pour toucher peu à peu l’ensemble des propriétaires. Morceler les attaques pour isoler les personnes touchées et empêcher ainsi une action de masse. Tout se fera selon le motif désormais incontournable de l’urgence climatique, qui au fil du temps se révèle n’être qu’un prétexte pour imposer ce changement. Comment refuser quand la larme à l’œil, on vous explique l’impérieuse nécessité de transformer nos habitudes, si nous ne voulons pas mourir de chaud, ou noyés par la montée des eaux, avec sur la conscience l’extinction des ours blancs. Pour ce qui nous concerne elle devra passer par une modification de notre Constitution, mais qu’à cela ne tienne, elle sera approuvée par l’ensemble de nos représentants, car vu la placidité dont ils font preuve depuis juin, on finit par être convaincu qu’ils ne travaillent qu’à la sauvegarde de leurs propres intérêts.
Le climat est devenu un sujet tabou, comme le fut en son temps l’héliocentrisme par rapport au géocentrisme prôné par l’Église. Si l’honnêteté intellectuelle était respectée, nous aurions des débats sains, avec l’ensemble de la communauté scientifique représentant les deux camps. Or systématiquement les « contre » sont catalogués comme des imbéciles, et leurs voix sont étouffées par principe : la vérité est déjà diffusée par les évangélistes désignés d’office comme les gardiens du temple, du vrai. Qui remet en cause le postulat admis par le GIEC, s’attire forcément les foudres des autoproclamés gentils.
La Nasa n’a-t-elle pas reconnue récemment une augmentation de l’ensemble des températures de toutes les planètes ? Dépolluer oui, mais s’acharner à obliger les propriétaires à devoir entreprendre des travaux autres que ceux liés à la salubrité ou à la sécurité des installations est une aberration, dans un pays ou trouver un logement, dans certaines zones, est devenu un parcours du combattant nécessitant des revenus de plus en plus élevés. Alors que d’autres zones, déclassées pour cause d’éloignement, se désertifient. Il faut se rendre à l’évidence, nous ne sauverons pas une planète vieille de plus de 4 milliards d’années et qui en a vu bien d’autres en termes de changements climatiques, que les quelques troubles que nous connaissons actuellement. Il y a 80 millions d’années, les fougères mesuraient 25 mètres et le climat était tropical partout, était-ce la faute aux chaudières à gasoil, ou aux joints des fenêtres mal isolées ?
La fin organisée de la propriété privée sous couvert d’une pseudo nécessité planétaire, n’est qu’une escroquerie de plus, et si c’était celle de trop ? On peut toujours rêver.
Leur but, rendre l’accès à la propriété impossible, soit par le coût des taxes, soit par l’obligation des normes de construction ou d’aménagement, toujours plus contraignantes et onéreuses.
Une forme de féodalisation, ou de stalinisation, de la société est à l’ordre du jour, les biens immobiliers ne seront financièrement plus accessibles. Face à cela il ne restera qu’une solution, vendre à des grands groupes qui deviendront les bailleurs institutionnels. L’excuse climatique aide bien dans la mise en place de ces mesures, qui en elles-mêmes ne sauveront pas la planète, mais contribueront à déclasser les petits propriétaires. Nous allons devenir des nomades, à la merci de ces bailleurs qui pourront, par des lois appropriées conditionner l’accès ou la conservation d’un logement à certaines contraintes, comme celle d’être vacciné, ou de ne pas avoir fait l’objet d’une censure sur les réseaux sociaux ou d’autres motifs encore plus liberticides.
Nous sommes entrés depuis longtemps dans un nouveau totalitarisme qui ne cessera qu’avec un réveil massif des consciences, ce qui ne semble pas être pour demain. Bien entendu le saccage de la propriété privé ne se fera pas d’un seul coup, trop violent, trop visible. Il se fera par étapes, tronçonnant le parc immobilier, pour toucher peu à peu l’ensemble des propriétaires. Morceler les attaques pour isoler les personnes touchées et empêcher ainsi une action de masse. Tout se fera selon le motif désormais incontournable de l’urgence climatique, qui au fil du temps se révèle n’être qu’un prétexte pour imposer ce changement. Comment refuser quand la larme à l’œil, on vous explique l’impérieuse nécessité de transformer nos habitudes, si nous ne voulons pas mourir de chaud, ou noyés par la montée des eaux, avec sur la conscience l’extinction des ours blancs. Pour ce qui nous concerne elle devra passer par une modification de notre Constitution, mais qu’à cela ne tienne, elle sera approuvée par l’ensemble de nos représentants, car vu la placidité dont ils font preuve depuis juin, on finit par être convaincu qu’ils ne travaillent qu’à la sauvegarde de leurs propres intérêts.
Le climat est devenu un sujet tabou, comme le fut en son temps l’héliocentrisme par rapport au géocentrisme prôné par l’Église. Si l’honnêteté intellectuelle était respectée, nous aurions des débats sains, avec l’ensemble de la communauté scientifique représentant les deux camps. Or systématiquement les « contre » sont catalogués comme des imbéciles, et leurs voix sont étouffées par principe : la vérité est déjà diffusée par les évangélistes désignés d’office comme les gardiens du temple, du vrai. Qui remet en cause le postulat admis par le GIEC, s’attire forcément les foudres des autoproclamés gentils.
La Nasa n’a-t-elle pas reconnue récemment une augmentation de l’ensemble des températures de toutes les planètes ? Dépolluer oui, mais s’acharner à obliger les propriétaires à devoir entreprendre des travaux autres que ceux liés à la salubrité ou à la sécurité des installations est une aberration, dans un pays ou trouver un logement, dans certaines zones, est devenu un parcours du combattant nécessitant des revenus de plus en plus élevés. Alors que d’autres zones, déclassées pour cause d’éloignement, se désertifient. Il faut se rendre à l’évidence, nous ne sauverons pas une planète vieille de plus de 4 milliards d’années et qui en a vu bien d’autres en termes de changements climatiques, que les quelques troubles que nous connaissons actuellement. Il y a 80 millions d’années, les fougères mesuraient 25 mètres et le climat était tropical partout, était-ce la faute aux chaudières à gasoil, ou aux joints des fenêtres mal isolées ?
La fin organisée de la propriété privée sous couvert d’une pseudo nécessité planétaire, n’est qu’une escroquerie de plus, et si c’était celle de trop ? On peut toujours rêver.
Gilles La Carbona


☐ 12/11/2022
Prof : ce n’est pas si facile que ça…
Prof : ce n’est pas si facile que ça…
Deux mois après la rentrée, voilà les professeurs recrutés au lance-pierre devant les réalités de terrain. Beaucoup ont déjà jeté l’éponge, remplacés par d’autres recrutés du même type, dont la même proportion jettera l’éponge à son tour. Selon une histoire sans fin.
Pour ceux qui restent et s’accrochent, le quotidien est dur, mais ils ont le mérite de tenir bon. L’un d’eux explique avec réalisme à la radio qui le sollicite, qu’il lui faudra cinq à six ans pour intégrer son nouveau métier et il est parfaitement dans le vrai. Il faut aussi cinq à six ans, formation comprise, pour devenir infirmière ou pilote de ligne. Mais ces enseignants, il leur faudra 5 à 6 ans, après leurs études de déjà 4 à 5 ans, c’est à dire qu’il faut dix ans, au bas mot, pour qu’un jeune soit opérationnel correctement devant une classe.
La solution pour réduire ce temps serait de remplacer ces six ans de galère en solitaire sur le terrain, par une formation solide de deux années. Quand on dit une formation solide, il s’agit d’une formation technique et pas du bourrage de crâne actuel, idéologique, sur les concepts à fourguer aux enfants en matière de lutte contre l’homophobie, d’écologie, ou d’accueil des migrants et on en passe.
Pour le Ministre aussi, le moment de réalisme est là. On ne peut pas recruter n’importe qui, pour faire n’importe quoi et le métier de prof ne s’improvise pas, comme on voudrait nous le faire croire et accessoirement, cela dispense d’augmenter les profs, qui n’ont pas la moindre compétence, vous voyez bien, puisque n’importe quel quidam peut les remplacer au pied levé. Eh bien non, justement.
Pour s’en sortir, il faut que les jeunes aient envie de faire ce métier et qu’ils n’y soient pas contraints, faute de trouver autre chose. Pour cela, il faut encore, entre autres, que les conditions de travail et les rémunérations soient plus attrayantes, que l’autorité de l’école soit restaurée et que le cadre éducatif tienne un peu mieux la route face aux attaques répétées des élèves, de leurs parents et que l’administration soutienne ses agents, sans la moindre faille, même dans l’adversité. Au RPF, la thématique de l’école et de l’enseignement est une question centrale. C’est sur l’instruction que l’on bâtit un pays moderne.

☐ 7/11/2022
Le sénateur Houpert, la députée Wonner, se retrouvent mis en accusation par l’Ordre des médecins, pour des propos pourtant tenus dans le cadre de leur mandat électif, qui rappelons-le, sont couverts par l’immunité parlementaire. Comment un ordre interne peut-il s’affranchir d’un droit constitutionnel et par quel miracle, ou tour de passe-passe, l’Ordre des médecins peut-il faire ce qu’un juge, dont c’est le métier, ne peut réaliser sans au préalable un vote des parlementaires, pour autoriser cette levée ? Et pas un journaliste, ou un constitutionnaliste, de faire remarquer que l’Ordre des médecins n’est pas dans son rôle.
Cette immunité ne serait-elle active que quand elle s’adresse au camp auto-proclamé du bien ? Le fait même qu’un groupuscule privé puisse au grand jour, défier l’un des principes majeurs de notre droit est un crime. Cet état de fait devrait susciter une vive réaction des autorités judiciaires et même du Conseil constitutionnel, si ce dernier effectuait honnêtement son travail. Il est vrai qu’il nous a habitués, ces derniers mois, à un éloignement de toute forme d’impartialité et de logique.
Un élu de la chambre des députés, dans le cadre de ses fonctions, ne peut être condamné pour ses propos, sauf à ce que ces pairs lui ôtent cette protection, pour le cas précis incriminé. Tout autre organisme qui voudrait établir une justice parallèle, est donc hors-la-loi. Nos gouvernants ne cessent de se braquer dès qu’on emploie le mot dictature, ou despotisme, mais ils ne se pressent pas pour dénoncer cette incongruité, quand l’Ordre des médecins se place au-dessus de la Constitution et installe de fait, un nouvel ordre judiciaire.
Quand bien même les propos de ces deux parlementaires seraient de nature à être poursuivis, c’est à la justice républicaine de s’en charger. Le procès qui leur est fait ressemble à celui de Galilée, condamné pour avoir eu l’outrecuidance d’affirmer que la terre tournait autour du soleil et non l’inverse. Dans le cas de ces deux parlementaires et depuis les révélations de Pfizer, plus personne ne conteste à présent l’inutilité du vaccin dans la transmission du virus. Quant aux effets secondaires dénoncés, l’actualité donne tous les jours la preuve qu’ils existent et dans des proportions dantesques. Certes ils restent tabous dans ce pays, et pourtant en France comme dans tous les pays fortement vaccinés, on note une augmentation à trois chiffres de plusieurs types de pathologies. Le corps scientifique pour le moment, en reste à une observation muette et naïvement incrédule, ne comprenant pas les causes de cette brutale augmentation de cancers, myocardites, AVC, comme de celui du nombre de décès. Ceci pour ceux qui suivent le narratif officiel bien entendu.
On ne sait plus vraiment, comment s’applique la loi aujourd’hui dans le ce pays et le « Un seul pays et une seule loi », cher au général de Gaulle, a fait place au fait du prince et à la dictature de la doxa progressiste, associée à celle des laboratoires. La France seule, persiste à ne pas reprendre ses soignants non vaccinés, à ne pas reconnaître la masse des effets secondaires, quand bien même de jeunes sportifs médicalement bien suivis, s’écroulent sur les pelouses. Il serait temps de dissoudre cette Assemblée, de faire tomber ce gouvernement, de sortir de cette chape de plomb de nature totalitaire qui s’est installée, en lieu et place de nos principes constitutionnels.
Cette immunité ne serait-elle active que quand elle s’adresse au camp auto-proclamé du bien ? Le fait même qu’un groupuscule privé puisse au grand jour, défier l’un des principes majeurs de notre droit est un crime. Cet état de fait devrait susciter une vive réaction des autorités judiciaires et même du Conseil constitutionnel, si ce dernier effectuait honnêtement son travail. Il est vrai qu’il nous a habitués, ces derniers mois, à un éloignement de toute forme d’impartialité et de logique.
Un élu de la chambre des députés, dans le cadre de ses fonctions, ne peut être condamné pour ses propos, sauf à ce que ces pairs lui ôtent cette protection, pour le cas précis incriminé. Tout autre organisme qui voudrait établir une justice parallèle, est donc hors-la-loi. Nos gouvernants ne cessent de se braquer dès qu’on emploie le mot dictature, ou despotisme, mais ils ne se pressent pas pour dénoncer cette incongruité, quand l’Ordre des médecins se place au-dessus de la Constitution et installe de fait, un nouvel ordre judiciaire.
Quand bien même les propos de ces deux parlementaires seraient de nature à être poursuivis, c’est à la justice républicaine de s’en charger. Le procès qui leur est fait ressemble à celui de Galilée, condamné pour avoir eu l’outrecuidance d’affirmer que la terre tournait autour du soleil et non l’inverse. Dans le cas de ces deux parlementaires et depuis les révélations de Pfizer, plus personne ne conteste à présent l’inutilité du vaccin dans la transmission du virus. Quant aux effets secondaires dénoncés, l’actualité donne tous les jours la preuve qu’ils existent et dans des proportions dantesques. Certes ils restent tabous dans ce pays, et pourtant en France comme dans tous les pays fortement vaccinés, on note une augmentation à trois chiffres de plusieurs types de pathologies. Le corps scientifique pour le moment, en reste à une observation muette et naïvement incrédule, ne comprenant pas les causes de cette brutale augmentation de cancers, myocardites, AVC, comme de celui du nombre de décès. Ceci pour ceux qui suivent le narratif officiel bien entendu.
On ne sait plus vraiment, comment s’applique la loi aujourd’hui dans le ce pays et le « Un seul pays et une seule loi », cher au général de Gaulle, a fait place au fait du prince et à la dictature de la doxa progressiste, associée à celle des laboratoires. La France seule, persiste à ne pas reprendre ses soignants non vaccinés, à ne pas reconnaître la masse des effets secondaires, quand bien même de jeunes sportifs médicalement bien suivis, s’écroulent sur les pelouses. Il serait temps de dissoudre cette Assemblée, de faire tomber ce gouvernement, de sortir de cette chape de plomb de nature totalitaire qui s’est installée, en lieu et place de nos principes constitutionnels.
☐ 3/11/2022
Darmanin prêt à détruire le droit du travail
Darmanin avait déjà réussi le tour de force de dire tout et son contraire dans la même phrase, ce qui en soi révèle déjà le degré de perversité, ou de confusion du personnage, en affirmant, je cite : « Je ne fais pas le lien entre immigration et délinquance, mais une partie des étrangers dans les grandes métropoles, commettent l’essentiel des actes de délinquance. »
Mais il ne pouvait s’arrêter en si bon chemin, voilà qu’avec son éminent collègue Dussopt, ils s’apprêtent à nous concocter une nouvelle loi sur l’immigration. Il est d’usage en France, quand on est incapable de faire appliquer une loi existante, d’en faire une nouvelle, qui ne sera pas plus appliquée que l’ancienne. Elle sert à occuper l’espace de discussion sur le nouveau texte, censé corriger toutes les erreurs, ou défauts, du précédent. Alors que c’est bien l’absence de volonté et de fermeté qu’il eut fallu rétablir, en lieu et place d’un nouveau texte.
Donc ce brillant texte reposerait sur la notion de la création d’un titre de séjour concernant les « métiers en tension », pour les travailleurs sans papiers. Le législateur va donc créer une nouvelle catégorie avec ces métiers, dits « en tension », qui désignera les secteurs où le recrutement est difficile, comme la restauration par exemple. Régulariser des sans papiers n’est pas une nouveauté, les socialistes avaient ouvert le bal, sous Mitterrand, mais la singularité réside dans la régularisation de personnes officiellement embauchées. Cela va permettre, « en même temps » d’absoudre les employeurs d’avoir recruté des personnes en toute illégalité, plus d’ailleurs pour le coût de revient, que pour le prétexte de pénurie de main-d’œuvre.
Darmanin va donc passer l’éponge pour des patrons qui, ouvertement, auront fait travailler des clandestins : merveilleux non ? Et par ce tour de magie, il imagine répondre à l’attente des Français en matière d’immigration, un sujet intégralement piloté par Bruxelles. Ce n’est pas parce qu’une infraction se banalise qu’elle n’en demeure pas moins un délit, car répétons-le, c’est un délit de recruter sciemment des personnes étrangères sans papiers. La macronie résout ainsi les problèmes, ce qu’elle ne maîtrise plus : elle donne l’absolution aux contrevenants qui préfèrent embaucher des clandestins à bas coût, plutôt que de payer décemment des employés nationaux.
C’est une façon de détruire toute l’assise du droit du travail et de remplacer les salariés trop « grassement payés », par une main-d’œuvre bon marché, qu’il suffira de faire venir pour qu’elle soit régularisée au motif que le secteur est tendu. Le pire c’est que cette loi, qui ne réglera absolument pas les problèmes de l’immigration et de la sécurité, va passer, puisque les LR ont majoritairement rejoint la macronie. Ne comptons pas non plus sur la NUPES, qui sera la première à voter un tel texte, arguant d’humanisme et d’apport « culturel », selon ses bonnes formules, pour ensuite s’occuper des « droits » des nouveaux arrivants, tout en délaissant ceux de ses adhérents historiques, comme à son habitude.
Ce genre de textes toxiques auraient pu être évité, si les traîtres LR avaient eu le courage de renverser ce gouvernement, mais ils ont préféré le pantouflage. Dans cette veine, on assistera peut-être, prochainement, à une forme de « légalisation » de l’ensemble de la délinquance, au prétexte qu’on n’arrive plus à la juguler.
Mais il ne pouvait s’arrêter en si bon chemin, voilà qu’avec son éminent collègue Dussopt, ils s’apprêtent à nous concocter une nouvelle loi sur l’immigration. Il est d’usage en France, quand on est incapable de faire appliquer une loi existante, d’en faire une nouvelle, qui ne sera pas plus appliquée que l’ancienne. Elle sert à occuper l’espace de discussion sur le nouveau texte, censé corriger toutes les erreurs, ou défauts, du précédent. Alors que c’est bien l’absence de volonté et de fermeté qu’il eut fallu rétablir, en lieu et place d’un nouveau texte.
Donc ce brillant texte reposerait sur la notion de la création d’un titre de séjour concernant les « métiers en tension », pour les travailleurs sans papiers. Le législateur va donc créer une nouvelle catégorie avec ces métiers, dits « en tension », qui désignera les secteurs où le recrutement est difficile, comme la restauration par exemple. Régulariser des sans papiers n’est pas une nouveauté, les socialistes avaient ouvert le bal, sous Mitterrand, mais la singularité réside dans la régularisation de personnes officiellement embauchées. Cela va permettre, « en même temps » d’absoudre les employeurs d’avoir recruté des personnes en toute illégalité, plus d’ailleurs pour le coût de revient, que pour le prétexte de pénurie de main-d’œuvre.
Darmanin va donc passer l’éponge pour des patrons qui, ouvertement, auront fait travailler des clandestins : merveilleux non ? Et par ce tour de magie, il imagine répondre à l’attente des Français en matière d’immigration, un sujet intégralement piloté par Bruxelles. Ce n’est pas parce qu’une infraction se banalise qu’elle n’en demeure pas moins un délit, car répétons-le, c’est un délit de recruter sciemment des personnes étrangères sans papiers. La macronie résout ainsi les problèmes, ce qu’elle ne maîtrise plus : elle donne l’absolution aux contrevenants qui préfèrent embaucher des clandestins à bas coût, plutôt que de payer décemment des employés nationaux.
C’est une façon de détruire toute l’assise du droit du travail et de remplacer les salariés trop « grassement payés », par une main-d’œuvre bon marché, qu’il suffira de faire venir pour qu’elle soit régularisée au motif que le secteur est tendu. Le pire c’est que cette loi, qui ne réglera absolument pas les problèmes de l’immigration et de la sécurité, va passer, puisque les LR ont majoritairement rejoint la macronie. Ne comptons pas non plus sur la NUPES, qui sera la première à voter un tel texte, arguant d’humanisme et d’apport « culturel », selon ses bonnes formules, pour ensuite s’occuper des « droits » des nouveaux arrivants, tout en délaissant ceux de ses adhérents historiques, comme à son habitude.
Ce genre de textes toxiques auraient pu être évité, si les traîtres LR avaient eu le courage de renverser ce gouvernement, mais ils ont préféré le pantouflage. Dans cette veine, on assistera peut-être, prochainement, à une forme de « légalisation » de l’ensemble de la délinquance, au prétexte qu’on n’arrive plus à la juguler.
☐ 2/11/2022
Philippe, gêné aux entournures…
Philippe, gêné aux entournures…
Edouard Philippe, l’ancien premier Ministre, n’est pas très à l’aise, quand un journaliste lui demande de faire le point sur les accusations qui sont portées contre lui, pour son inaction volontaire de lutter contre une épidémie. Il se trouve qu’Agnès Buzyn est carrément mise en examen, là où Philippe n’est encore que témoin assisté. Il n’empêche que l’ancienne Ministre de la santé commence à se désolidariser de son ancien patron et même, on pourrait dire qu’elle « balance », expliquant qu’elle a prévenu tout le monde de la gravité de ce qui nous arrivait et que personne ne l’a écoutée. Ca fait tout de même un peu court et surtout ça ne cadre pas avec les faits.
Il faudra sans doute que les uns et les autres s’expliquent sur ce qui pourrait apparaître comme des détails et qui n’en sont pas : la mise au rebut de l’hydroxychloroquine, vendue pendant 70 ans, bien connue, avec peu d’effets secondaires et passée dans la catégorie des substances vénéneuses juste avant la déferlante Covid. À l’époque, la Ministre nous avait dit que ce médicament était inefficace contre le virus. Mais s’il était inefficace, pourquoi l’avoir supprimé, d’autant qu’il n’a plus pu remplir son office contre d’autres maladies ? En réalité, il devait être efficace puisque Raoult, sans trahir le secret médical, a expliqué que de nombreuses personnalités étaient venues se faire soigner avec, chez lui. Dans la foulée, Jean Lassale, dans une vidéo, a expliqué lui aussi que nombre de Ministres et pas mal de députés ne s’étaient pas faits vacciner : pourquoi donc ?
Même schéma avec l’Ivermectine : pourquoi donc avoir supprimé ce médicament, pour les mêmes raisons de manque d’efficacité, ce qui a entravé la lutte contre d’autres maladies, notamment dans les DOM-TOM ? Et pourquoi avoir court-circuité l’Ordre des médecins, pour créer un Conseil de certification des praticiens, sous couvert de « qualité des pratiques », si ce n’est pour s’assurer que tous tiennent le « bon discours », par rapport aux vaccins ? Pourquoi avoir fait tant de misères aux médecins qui ne faisaient que leur devoir, soigner, plutôt que vacciner ? Pourquoi enfin, avoir, dans un premier temps, interdit les masques, pour ensuite les rendre obligatoires ?
On se sait pas encore si les juges vont aller jusqu’au bout de toutes ces questions, ou s’ils vont se contenter de débats superficiels de procédures. Le moins que l’on puisse dire est que chez Sotto, mercredi matin, Philippe n’était pas spécialement serein et que Buzyn, en audition, frisait les larmes. Après la vague sanitaire, la vague judiciaire va peut-être rétablir des vérités dites au moment où il le fallait, mais opportunément tues par les promoteurs d’un produit dont même son fabricant, Albert Boula, PDG de Pfizer, a expliqué que tous les tests n’avaient pas été menés au moment des premières injections
Il faudra sans doute que les uns et les autres s’expliquent sur ce qui pourrait apparaître comme des détails et qui n’en sont pas : la mise au rebut de l’hydroxychloroquine, vendue pendant 70 ans, bien connue, avec peu d’effets secondaires et passée dans la catégorie des substances vénéneuses juste avant la déferlante Covid. À l’époque, la Ministre nous avait dit que ce médicament était inefficace contre le virus. Mais s’il était inefficace, pourquoi l’avoir supprimé, d’autant qu’il n’a plus pu remplir son office contre d’autres maladies ? En réalité, il devait être efficace puisque Raoult, sans trahir le secret médical, a expliqué que de nombreuses personnalités étaient venues se faire soigner avec, chez lui. Dans la foulée, Jean Lassale, dans une vidéo, a expliqué lui aussi que nombre de Ministres et pas mal de députés ne s’étaient pas faits vacciner : pourquoi donc ?
Même schéma avec l’Ivermectine : pourquoi donc avoir supprimé ce médicament, pour les mêmes raisons de manque d’efficacité, ce qui a entravé la lutte contre d’autres maladies, notamment dans les DOM-TOM ? Et pourquoi avoir court-circuité l’Ordre des médecins, pour créer un Conseil de certification des praticiens, sous couvert de « qualité des pratiques », si ce n’est pour s’assurer que tous tiennent le « bon discours », par rapport aux vaccins ? Pourquoi avoir fait tant de misères aux médecins qui ne faisaient que leur devoir, soigner, plutôt que vacciner ? Pourquoi enfin, avoir, dans un premier temps, interdit les masques, pour ensuite les rendre obligatoires ?
On se sait pas encore si les juges vont aller jusqu’au bout de toutes ces questions, ou s’ils vont se contenter de débats superficiels de procédures. Le moins que l’on puisse dire est que chez Sotto, mercredi matin, Philippe n’était pas spécialement serein et que Buzyn, en audition, frisait les larmes. Après la vague sanitaire, la vague judiciaire va peut-être rétablir des vérités dites au moment où il le fallait, mais opportunément tues par les promoteurs d’un produit dont même son fabricant, Albert Boula, PDG de Pfizer, a expliqué que tous les tests n’avaient pas été menés au moment des premières injections
☐ 30/10/2022
Soignants : la France bête et méchante
Soignants : la France bête et méchante
L’évidence s’impose à tous, sauf à la France et un par un, plusieurs pays industrialisés réintègrent les personnels soignants non-vaccinés. Aux États-Unis, en Italie, par exemple, cependant qu’en Allemagne et au niveau de l’Europe, les révélations se multiplient sur les dessous de ce qui pourrait bien devenir le scandale de ce siècle naissant. On n’ose même plus dire le scandale du siècle, tant ces affaires se multiplient. D’autres pays donc, ont bien compris l’intérêt de retrouver ces personnels soignants, puisqu’il faut maintenant faire face à une recrudescence de crises cardiaques, comme dernièrement à Séoul, où des dizaines de personnes ont été prises en charge en arrêt cardiaque, lors des célébrations d’Halloween. Il s’agissait certes d’une bousculade, mais ce n’était pas la première dans le cadre de ces manifestations, lesquelles ne produisent habituellement pas ces effets. Même chose en Allemagne, où le Ministre de la santé a fait ouvrir des services dédiés aux pathologies cardiaques en recrudescence.
En France, on ne bouge pas. Le président se lamente à la télévision, sur les services hospitaliers qui ne sont plus à la hauteur, décrète des mesures d’urgence pour sauver la pédiatrie, mais ne se décide pas à proposer le retour à plus de 15 000 soignants non-vaccinés, virés sans ménagement. Il va même jusqu’à expliquer qu’ils ont « quitté le métier », alors qu’il les a faits licencier par Elizabeth Borne, selon une formule « sans indemnités » totalement illégale, complètement inexistante en droit du travail français et qui pourtant n’a fait bouger personne. Il est vrai que l’heure en était quasiment à vouloir tuer les non-vaccinés qui faisaient l’objet de discours violents et haineux à longueur d’antenne, sans que là non plus, la justice ne trouve quoi que ce soit à redire.
Depuis, la roue a tourné et les constats sont bien là partout : la vaccination n’a empêché ni la transmission, ni la maladie et si on s’accroche encore au mythe de l’évitement de la « forme grave », il apparaît de plus plus en plus que les vaccins ont évité la forme grave à ceux qui, de toute façon, n’en auraient pas faites : les moins de 60 ans, sans comorbidité. Quant aux plus de 60 ans et aux personnes fragiles, ils sont tout de même morts, si bien qu’on a de la peine à mesurer la protection effective apportée par un produit, présenté comme fiable à 95 % voici 18 mois et sur lequel désormais, plus personne ne se hasarde à faire le moindre pronostic.
Macron s’accroche au mythe en forme de mensonge, braque de manière démente de braves gens dont on aurait besoin, juste pour ne pas avoir à se faire remarquer qu’il s’est trompé, alors que tout le monde reconnaît qu’on s’est trompé. Au RPF, nous avons toujours tenu la même ligne : le vaccin doit relever du choix libre et éclairé et n’est pas, en droit du travail, un motif de licenciement. Au jour d’aujourd’hui, il apparaît que l’on pourrait plus aisément se passer des inistres qui ont piloté cette folie sanitaire, que des soignants dont on a un cruel besoin.
En France, on ne bouge pas. Le président se lamente à la télévision, sur les services hospitaliers qui ne sont plus à la hauteur, décrète des mesures d’urgence pour sauver la pédiatrie, mais ne se décide pas à proposer le retour à plus de 15 000 soignants non-vaccinés, virés sans ménagement. Il va même jusqu’à expliquer qu’ils ont « quitté le métier », alors qu’il les a faits licencier par Elizabeth Borne, selon une formule « sans indemnités » totalement illégale, complètement inexistante en droit du travail français et qui pourtant n’a fait bouger personne. Il est vrai que l’heure en était quasiment à vouloir tuer les non-vaccinés qui faisaient l’objet de discours violents et haineux à longueur d’antenne, sans que là non plus, la justice ne trouve quoi que ce soit à redire.
Depuis, la roue a tourné et les constats sont bien là partout : la vaccination n’a empêché ni la transmission, ni la maladie et si on s’accroche encore au mythe de l’évitement de la « forme grave », il apparaît de plus plus en plus que les vaccins ont évité la forme grave à ceux qui, de toute façon, n’en auraient pas faites : les moins de 60 ans, sans comorbidité. Quant aux plus de 60 ans et aux personnes fragiles, ils sont tout de même morts, si bien qu’on a de la peine à mesurer la protection effective apportée par un produit, présenté comme fiable à 95 % voici 18 mois et sur lequel désormais, plus personne ne se hasarde à faire le moindre pronostic.
Macron s’accroche au mythe en forme de mensonge, braque de manière démente de braves gens dont on aurait besoin, juste pour ne pas avoir à se faire remarquer qu’il s’est trompé, alors que tout le monde reconnaît qu’on s’est trompé. Au RPF, nous avons toujours tenu la même ligne : le vaccin doit relever du choix libre et éclairé et n’est pas, en droit du travail, un motif de licenciement. Au jour d’aujourd’hui, il apparaît que l’on pourrait plus aisément se passer des inistres qui ont piloté cette folie sanitaire, que des soignants dont on a un cruel besoin.
☐ 27/10/2022
Le grand show se poursuit chez les LR, avec Ciotti, au micro de RMC, qui tente à son tour d’expliquer pourquoi il était utile, voire nécessaire, de trahir l’opposition, en votant contre la motion de censure. L’homme, en presque pédagogue, nous explique doctement que voter la motion de censure, ce serait avoir Mélenchon comme premier ministre et Marine comme ministre de l’Intérieur. Au-delà du délire du propos, destiné à attiser les peurs, ce qui est la marque de la macronie, dont il reprend les préceptes, on comprend mieux pourquoi depuis le 25 octobre, l’argument est vide, l’allégation stupide et sans fondement, à l’image de son parti, vidé du bon sens, gorgé de trahisons et de renoncements. Le voilà, à se contorsionner dans l’espoir de s’attirer les bonnes grâces d’un électorat qui fuit désormais, cherchant dans la démagogie, un hypothétique rebond électoral. L’hémorragie ne va pas s’arrêter et il est probable qu’aucun de ces collaborateurs zélés du macronisme ne retrouvera son siège après une éventuelle dissolution.
« Faut-il en pleurer, faut-il en rire ? » chantait Ferrat. Ni l’un ni l’autre, le sort qui les attend n’est que celui qu’ils se construisent, à force de retournements de veste. Les LR n’ont toujours pas compris que derrière leur siège, il y avait des électeurs et qu’eux, loin de tremper dans de sordides compromissions, voulaient une opposition qui s’oppose et non des valets à la solde de Macron. On ne peut pas expliquer sans risque qu’il faut être gentil avec le pouvoir et raisonnable pour ne pas créer du chaos : c’est le chaos. Ils sont si peu à l’aise avec leur choix, qu’ils sont obligés de le justifier. Tout cela est bien peu convaincant, comme le montrent les commentaires des internautes, qui n’ont pas l’air de gober ces explications calamiteuses. Certes ils vont encore pérorer sur les bancs de l’Assemblée nationale, mais le retour dans les circonscriptions risque de s’avérer douloureux. Leur parole est discréditée, la confiance est brisée… et le pronostic vital est engagé.
Le grand show se poursuit chez les LR, avec Ciotti, au micro de RMC, qui tente à son tour d’expliquer pourquoi il était utile, voire nécessaire, de trahir l’opposition, en votant contre la motion de censure. L’homme, en presque pédagogue, nous explique doctement que voter la motion de censure, ce serait avoir Mélenchon comme premier ministre et Marine comme ministre de l’Intérieur. Au-delà du délire du propos, destiné à attiser les peurs, ce qui est la marque de la macronie, dont il reprend les préceptes, on comprend mieux pourquoi depuis le 25 octobre, l’argument est vide, l’allégation stupide et sans fondement, à l’image de son parti, vidé du bon sens, gorgé de trahisons et de renoncements. Le voilà, à se contorsionner dans l’espoir de s’attirer les bonnes grâces d’un électorat qui fuit désormais, cherchant dans la démagogie, un hypothétique rebond électoral. L’hémorragie ne va pas s’arrêter et il est probable qu’aucun de ces collaborateurs zélés du macronisme ne retrouvera son siège après une éventuelle dissolution.
« Faut-il en pleurer, faut-il en rire ? » chantait Ferrat. Ni l’un ni l’autre, le sort qui les attend n’est que celui qu’ils se construisent, à force de retournements de veste. Les LR n’ont toujours pas compris que derrière leur siège, il y avait des électeurs et qu’eux, loin de tremper dans de sordides compromissions, voulaient une opposition qui s’oppose et non des valets à la solde de Macron. On ne peut pas expliquer sans risque qu’il faut être gentil avec le pouvoir et raisonnable pour ne pas créer du chaos : c’est le chaos. Ils sont si peu à l’aise avec leur choix, qu’ils sont obligés de le justifier. Tout cela est bien peu convaincant, comme le montrent les commentaires des internautes, qui n’ont pas l’air de gober ces explications calamiteuses. Certes ils vont encore pérorer sur les bancs de l’Assemblée nationale, mais le retour dans les circonscriptions risque de s’avérer douloureux. Leur parole est discréditée, la confiance est brisée… et le pronostic vital est engagé.
☐ 26/10/2022
La Corée du Nord selon Jadot
Dans le florilège des turpitudes de notre classe politique, il se trouve toujours une belle âme pour repousser les limites. Le déjà oscarisé Jadot, l’homme aux 4.63%, s’est fendu d’une nouvelle leçon de stalinisme. Il suggère que les futures motions de censure soient « invotables » (sic !) pour le RN et veut donc écarter tout risque de voir le gouvernement se faire renverser, en interdisant de vote les élus RN, sous prétexte qu’ils sont… RN, donc « d’extrême droite ». Pratique, il ne représente personne, mais détient la vérité et décide de qui peut voter ou non.
Lui qui s’est rallié à sa cause, au soir de sa déculottée du premier tour, cherche comment protéger son ami Macron et sa solution est imparable : écarter du vote les députés qui gênent. Dans sa démence dictatoriale, il est à craindre que d’ici quelques semaines, il n’étende sa demande à l’ensemble des textes débattus à l’Assemblée nationale. Derrière cette forme de terrorisme constitutionnel, se profile surtout le vrai visage du personnage, pur produit stalinien. Sa vision du débat et du respect des institutions est angoissante. Au-delà du délire, il y a bien une attaque violente de nos institutions et l’anti constitutionnalité du propos est évidente. Elle devrait susciter à elle seule, une sanction. [...]
Lui qui s’est rallié à sa cause, au soir de sa déculottée du premier tour, cherche comment protéger son ami Macron et sa solution est imparable : écarter du vote les députés qui gênent. Dans sa démence dictatoriale, il est à craindre que d’ici quelques semaines, il n’étende sa demande à l’ensemble des textes débattus à l’Assemblée nationale. Derrière cette forme de terrorisme constitutionnel, se profile surtout le vrai visage du personnage, pur produit stalinien. Sa vision du débat et du respect des institutions est angoissante. Au-delà du délire, il y a bien une attaque violente de nos institutions et l’anti constitutionnalité du propos est évidente. Elle devrait susciter à elle seule, une sanction. [...]
☐ 26/10/2022
Vers une disparition des LR ?
On ne peut que féliciter le RN pour sa réelle opposition, ils ont fait leur travail sans arrière-pensée, sans calcul foireux ou posture démagogique. La motion était justifiée, ils l’ont votée, tous les vrais opposants les remercient. À n’en pas douter, en suivant cette logique, le RN marque des points et les esprits. Quant aux autres…
La NUPES n’a pas voté celle du RN, que dire d’eux ? Rien, ils sont corsetés par une idéologie qui les fait dériver vers un absolutisme qui ne peut que les isoler tout en faisant le jeu de Macron. Se drapant dans une fausse indignation, comme si mêler ses voix à celles du RN devenait une honte impossible à laver. Ces mêmes députés, poussant des cris d’orfraie aujourd’hui, n’ont pas été aussi délicats, en juin dernier, pour récupérer les voix RN afin d’être élus. L’indignation est à géométrie variable, on crache sur les élus, mais on évite de s’en prendre aux électeurs, comme si les uns ne faisaient pas les autres. Ce n’est pas grave, ils pensent résolument que l’opposition c’est eux et qu’ils détiennent, tout comme Macron, la vérité absolue. En dehors d’eux, point de salut, c’est eux, avec eux et personne d’autre ! Avec un tel raisonnement, ils seront dans l’opposition pour longtemps.
Les LR auraient pu, eux qui se vantaient d’être dans l’opposition, être les arbitres de ce jeu et contribuer à faire tomber ce gouvernement. Ils auraient d’abord mis en accord leurs actes avec leurs propos et auraient redoré un blason bien terne depuis la Présidentielle. Ce n’est certes pas avec ce genre d’attitude qu’ils vont remonter dans l’estime des électeurs, bien au contraire, les opposants à Macron, même dans leur camp, vont ouvrir les yeux sur les réelles orientations de ce parti caméléon.
Nous avons d’abord eu la députée Annie Genevard, qui annonçait que son parti ne voterait aucune motion, sous-entendu, jamais. On a pensé à un cri isolé, désespéré, d’une députée en manque de reconnaissance, en recherche d’un maroquin. Mais non, 53 députés ont dans son sillage, déclaré dans le JDD qu’ « ils ne souhaitaient pas se joindre au théâtre de ceux qui spéculent sur l’effondrement du pays ». On en rirait si ce n’était aussi désolant. L’effondrement n’est pas à venir, il est là, explosion des faillites, ruine de notre économie, débâcle énergétique, insécurité grandissante, etc… Et pour ceux qui en sont encore à croire que la stabilité de ce gouvernement est un gage pour l’avenir, cela relève de la pathologie, ou de la mauvaise foi.
Les LR ne sont donc pas dans l’opposition mais bien la 5ème colonne de Macron. Le choix de trahir leurs électeurs ne pourra leur porter chance sur le long terme. Si les électeurs les ont choisi en lieu et place de candidats macronistes, c’est parce qu’ils ne voulaient pas de Macron, sinon ils auraient voté pour l’original. Les masques sont tombés et ils suivront la courbe du PS. Comme eux, ils deviendront insignifiants, et disparaîtront de l’échiquier politique, personne ne pouvant désormais plus leur faire confiance dans la moindre alliance.
La NUPES n’a pas voté celle du RN, que dire d’eux ? Rien, ils sont corsetés par une idéologie qui les fait dériver vers un absolutisme qui ne peut que les isoler tout en faisant le jeu de Macron. Se drapant dans une fausse indignation, comme si mêler ses voix à celles du RN devenait une honte impossible à laver. Ces mêmes députés, poussant des cris d’orfraie aujourd’hui, n’ont pas été aussi délicats, en juin dernier, pour récupérer les voix RN afin d’être élus. L’indignation est à géométrie variable, on crache sur les élus, mais on évite de s’en prendre aux électeurs, comme si les uns ne faisaient pas les autres. Ce n’est pas grave, ils pensent résolument que l’opposition c’est eux et qu’ils détiennent, tout comme Macron, la vérité absolue. En dehors d’eux, point de salut, c’est eux, avec eux et personne d’autre ! Avec un tel raisonnement, ils seront dans l’opposition pour longtemps.
Les LR auraient pu, eux qui se vantaient d’être dans l’opposition, être les arbitres de ce jeu et contribuer à faire tomber ce gouvernement. Ils auraient d’abord mis en accord leurs actes avec leurs propos et auraient redoré un blason bien terne depuis la Présidentielle. Ce n’est certes pas avec ce genre d’attitude qu’ils vont remonter dans l’estime des électeurs, bien au contraire, les opposants à Macron, même dans leur camp, vont ouvrir les yeux sur les réelles orientations de ce parti caméléon.
Nous avons d’abord eu la députée Annie Genevard, qui annonçait que son parti ne voterait aucune motion, sous-entendu, jamais. On a pensé à un cri isolé, désespéré, d’une députée en manque de reconnaissance, en recherche d’un maroquin. Mais non, 53 députés ont dans son sillage, déclaré dans le JDD qu’ « ils ne souhaitaient pas se joindre au théâtre de ceux qui spéculent sur l’effondrement du pays ». On en rirait si ce n’était aussi désolant. L’effondrement n’est pas à venir, il est là, explosion des faillites, ruine de notre économie, débâcle énergétique, insécurité grandissante, etc… Et pour ceux qui en sont encore à croire que la stabilité de ce gouvernement est un gage pour l’avenir, cela relève de la pathologie, ou de la mauvaise foi.
Les LR ne sont donc pas dans l’opposition mais bien la 5ème colonne de Macron. Le choix de trahir leurs électeurs ne pourra leur porter chance sur le long terme. Si les électeurs les ont choisi en lieu et place de candidats macronistes, c’est parce qu’ils ne voulaient pas de Macron, sinon ils auraient voté pour l’original. Les masques sont tombés et ils suivront la courbe du PS. Comme eux, ils deviendront insignifiants, et disparaîtront de l’échiquier politique, personne ne pouvant désormais plus leur faire confiance dans la moindre alliance.
Gilles La Carbona


☐ 21/10/2022
Les Allemands ont acté la défaite
Les Allemands ont acté la défaite
L’Allemagne a mis 200 milliards sur la table pour sauver ses entreprises. Macron n’a pas été prévenu et il n’est pas content. Autant dire que les Allemands ont déjà acté la défaite en Ukraine et qu’ils tentent de remonter une pente dans laquelle ils se sont laissés entraîner par Ursula von der Leyen et surtout les Américains : il fallait mettre la Russie à genou. Visiblement, ça ne marche pas. La Russie, qui a vaincu Napoléon et Hitler, n’avait aucune raison de plier devant Biden, qui va peut être bien perdre les élections de mi-mandat. Et Olaf Scholz l’a bien compris, qui tente de sauver les meubles. Il va faire cavalier seul et a annulé son rendez-vous de la semaine prochaine, avec la France, avec Macron en particulier, qui a ainsi deux raisons d’en vouloir à l’Allemagne.
Et Macron d’appeler à une solidarité européenne, lui qui livre du gaz à l’Allemagne, en échange d’un hypothétique retour en électricité, si besoin. Mais l’Allemagne, tout à son sauvetage de sa brillante industrie, risque bien de faire passer les siens avant les nôtres. Il n’y a bien que Macron pour attendre quelque chose d’eux. Reste à savoir si pour leur armée, les Allemands vont continuer à acheter chez ces Américains qui les ont mis dans la mouise. Chez nous, la mode est à la sobriété, vous parlez d’un avenir ! Se chauffer à moins de 19°C, fermer les piscines, les gymnases, les cantines et lire un bon livre, à la lueur des chandelles, vêtu d’un pull à col roulé. Nous en rêvons tous.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous pensons exactement le contraire, qu’il faut produire plus d’énergie, certes la plus propre possible, afin d’alimenter une industrie qu’il faut rapatrier et rénover. Mettre le paquet sur la formation, l’enseignement, doter la France de filières éducatives et professionnelles d’excellence, investir dans la recherche et développement, rénover les réseaux et infrastructures et assurer plusieurs indépendances de secteurs stratégiques, comme l’alimentation, l’énergie, l’armement, le numérique. Mais il faut commencer par virer Macron et ce gouvernement maudit qui nous ont menés à la ruine. Et donc voter les motions de censure, même si c’est en se bouchant le nez.
Mais outre la géopolitique qui nous a échappé, en embuscade rôdent dans la société, des crimes atroces de plus en plus fréquents et des effets secondaires des vaccins, qu’il ne faut pas encore nommer comme tels, mais qui envoient au tapis de plus en plus de personnes. La conjonction d’un ensemble de paramètres peu maîtrisés nous promet un hiver agité.

Et Macron d’appeler à une solidarité européenne, lui qui livre du gaz à l’Allemagne, en échange d’un hypothétique retour en électricité, si besoin. Mais l’Allemagne, tout à son sauvetage de sa brillante industrie, risque bien de faire passer les siens avant les nôtres. Il n’y a bien que Macron pour attendre quelque chose d’eux. Reste à savoir si pour leur armée, les Allemands vont continuer à acheter chez ces Américains qui les ont mis dans la mouise. Chez nous, la mode est à la sobriété, vous parlez d’un avenir ! Se chauffer à moins de 19°C, fermer les piscines, les gymnases, les cantines et lire un bon livre, à la lueur des chandelles, vêtu d’un pull à col roulé. Nous en rêvons tous.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous pensons exactement le contraire, qu’il faut produire plus d’énergie, certes la plus propre possible, afin d’alimenter une industrie qu’il faut rapatrier et rénover. Mettre le paquet sur la formation, l’enseignement, doter la France de filières éducatives et professionnelles d’excellence, investir dans la recherche et développement, rénover les réseaux et infrastructures et assurer plusieurs indépendances de secteurs stratégiques, comme l’alimentation, l’énergie, l’armement, le numérique. Mais il faut commencer par virer Macron et ce gouvernement maudit qui nous ont menés à la ruine. Et donc voter les motions de censure, même si c’est en se bouchant le nez.
Mais outre la géopolitique qui nous a échappé, en embuscade rôdent dans la société, des crimes atroces de plus en plus fréquents et des effets secondaires des vaccins, qu’il ne faut pas encore nommer comme tels, mais qui envoient au tapis de plus en plus de personnes. La conjonction d’un ensemble de paramètres peu maîtrisés nous promet un hiver agité.

☐ 20/10/2022
Elle est où, l’opposition ?
Où en est l’intelligence de la pseudo opposition en France ? On est loin de la réflexion théorique sur le bien fondé de la motion. La seule question qui devrait agiter les cerveaux des députés est : « Est-elle justifiée ? ». Si la réponse est oui, il faut la voter, qu’importe son dépositaire.
Mais point de cette considération dans la tête de nos représentants, ils sont dans la cour d’une école et on ne veut pas jouer avec le petit camarade d’en face parce qu’il est… d’en face. Où est l’intérêt général ? Où se cache la volonté d’agir pour sauver la France, du moins ce qu’il en reste ? Nulle part, ils s’en moquent et le terme est gentil. Ils veulent simplement comparer leurs forces, sans la volonté de sortir un gouvernement qui nous conduit à la plus grande crise depuis des lustres. Qui pourra encore faire confiance à ces meutes qui s’entre-déchirent, alors qu’elles avaient été élues pour attaquer le véritable ennemi : Macron ? Qui pourra encore croire dans leurs discours, eux qui refusent de s’entendre pour renverser un gouvernement, qu’ils sont censés combattre ? La réponse est simple : personne.
Nous avions, selon Guy Mollet, la droite la plus bête du monde, nous avons à présent la classe politique dans son ensemble, la plus bête du monde. Ils font le lit de Macron et ce dernier doit bien rire, quand il voit ces pitres l’insulter, lui promettre les foudres de l’enfer, alors que majoritaires, ils ne sont pas capables de se réunir pour voter une même motion de censure. On ne demande pas aux RN, NUPES, ou LR, de se renier, encore moins de changer de parti, mais de s’allier dans un vote pour faire tomber un gouvernement qu’ils ne cessent de fustiger à longueur de séance, soit pour son inaction face aux crimes odieux perpétrés sur notre sol, soit pour les inconséquentes mesures contre la Russie, qui nous conduisent à la faillite. Macron va vivre son second quinquennat tranquillement, il a la preuve qu’il n’y a pas d’opposition en face de lui et qu’il pourra, grâce au 49.3, faire passer tout ce qu’il veut. Il avait d’ailleurs dit qu’il dissoudrait en cas de motion, il n’y songe même plus, tant cet effectif lui convient finalement, en tous points.
Ces chers députés RN, NUPES, LR, faisaient moins la fine bouche lors du second tour, quand Marine Le Pen, lors de la présidentielle, a récupéré sans gêne, des voix venues de l’extrême gauche, tant leurs programmes sont finalement assez proches. Et lors des duels de second tour des législatives, quand les candidats d’opposition ont ratissé large et sans état d’âme pour s’imposer face à Renaissance. Et comment comptent-ils contrer Macron en agissant de la sorte ? Borne a désormais les coudées franches, elle présente son 49-3, les oppositions proposent chacune leur petite motion, que les autres ne votent pas et c’est comme s’il n’y avait pas la moindre opposition. La rente de situation leur convient parfaitement, au point de ne surtout pas déranger l’ordre des choses. Velours rouge, caméras, célébrité, émoluments, valent bien que l’on trahisse les électeurs.
Dans Rassemblement du Peuple Français, il y a rassemblement et il faut y songer, pour nous tirer de là. Se rassembler parce que, quel que soit leur bord, les opposants à Macron sont les plus nombreux parmi le peuple et de très loin. Qui mettre à sa place est une autre question et un second temps. Il y a lieu dans l’immédiat de l’empêcher d’agir, puisque pour lui, agir, c’est détruire. Que leur faut-il à ces députés, une affaire Lola tous les jours ? Un bon coup de froid et une panne de chauffage ? Des faillites d’entreprises en cascade ? Des crises cardiaques suspectes tous les jours ? Qu’ils se rassurent, dans quelques semaines, on y sera.
Mais point de cette considération dans la tête de nos représentants, ils sont dans la cour d’une école et on ne veut pas jouer avec le petit camarade d’en face parce qu’il est… d’en face. Où est l’intérêt général ? Où se cache la volonté d’agir pour sauver la France, du moins ce qu’il en reste ? Nulle part, ils s’en moquent et le terme est gentil. Ils veulent simplement comparer leurs forces, sans la volonté de sortir un gouvernement qui nous conduit à la plus grande crise depuis des lustres. Qui pourra encore faire confiance à ces meutes qui s’entre-déchirent, alors qu’elles avaient été élues pour attaquer le véritable ennemi : Macron ? Qui pourra encore croire dans leurs discours, eux qui refusent de s’entendre pour renverser un gouvernement, qu’ils sont censés combattre ? La réponse est simple : personne.
Nous avions, selon Guy Mollet, la droite la plus bête du monde, nous avons à présent la classe politique dans son ensemble, la plus bête du monde. Ils font le lit de Macron et ce dernier doit bien rire, quand il voit ces pitres l’insulter, lui promettre les foudres de l’enfer, alors que majoritaires, ils ne sont pas capables de se réunir pour voter une même motion de censure. On ne demande pas aux RN, NUPES, ou LR, de se renier, encore moins de changer de parti, mais de s’allier dans un vote pour faire tomber un gouvernement qu’ils ne cessent de fustiger à longueur de séance, soit pour son inaction face aux crimes odieux perpétrés sur notre sol, soit pour les inconséquentes mesures contre la Russie, qui nous conduisent à la faillite. Macron va vivre son second quinquennat tranquillement, il a la preuve qu’il n’y a pas d’opposition en face de lui et qu’il pourra, grâce au 49.3, faire passer tout ce qu’il veut. Il avait d’ailleurs dit qu’il dissoudrait en cas de motion, il n’y songe même plus, tant cet effectif lui convient finalement, en tous points.
Ces chers députés RN, NUPES, LR, faisaient moins la fine bouche lors du second tour, quand Marine Le Pen, lors de la présidentielle, a récupéré sans gêne, des voix venues de l’extrême gauche, tant leurs programmes sont finalement assez proches. Et lors des duels de second tour des législatives, quand les candidats d’opposition ont ratissé large et sans état d’âme pour s’imposer face à Renaissance. Et comment comptent-ils contrer Macron en agissant de la sorte ? Borne a désormais les coudées franches, elle présente son 49-3, les oppositions proposent chacune leur petite motion, que les autres ne votent pas et c’est comme s’il n’y avait pas la moindre opposition. La rente de situation leur convient parfaitement, au point de ne surtout pas déranger l’ordre des choses. Velours rouge, caméras, célébrité, émoluments, valent bien que l’on trahisse les électeurs.
Dans Rassemblement du Peuple Français, il y a rassemblement et il faut y songer, pour nous tirer de là. Se rassembler parce que, quel que soit leur bord, les opposants à Macron sont les plus nombreux parmi le peuple et de très loin. Qui mettre à sa place est une autre question et un second temps. Il y a lieu dans l’immédiat de l’empêcher d’agir, puisque pour lui, agir, c’est détruire. Que leur faut-il à ces députés, une affaire Lola tous les jours ? Un bon coup de froid et une panne de chauffage ? Des faillites d’entreprises en cascade ? Des crises cardiaques suspectes tous les jours ? Qu’ils se rassurent, dans quelques semaines, on y sera.
Gilles La Carbona & Pierre Duriot

☐ 18/10/2022
Les communes aux abois
Il aurait fallu y penser avant, mais en 2010, une loi, à l’époque soutenue par la gauche et par la droite, a obligé les communes à se fournir sur le marché privé de l’électricité. Ainsi, elles ont des contrats en dehors de l’opérateur historique, avec des boutiques, qui rappelons-le, ne produisent rien, mais achètent à bas prix à EDF et revendent avec bénéfices, à des particuliers, des entreprises et donc des communes, selon un tour de passe-passe en forme de non-sens industriel, dont l’objectif est uniquement d’engraisser des actionnaires privés, avec un produit généré par la collectivité, puisque l’État, nous donc, est actionnaire majoritaire d’EDF.
Et ces communes en sont à renégocier leurs contrats avec leurs fournisseurs qui proposent désormais des augmentations situées entre 300 et 400 %. Il est bien entendu qu’il s’agit là du résultat de la pure spéculation générée par le temps de guerre et les décisions ineptes de nos dirigeants, français et européens, souhaitant « mettre à genou » l’économie russe. Non seulement elle n’est pas à genou, mais Poutine s’en va voir ses copains au sommet Asie-Orient, montrant ainsi au monde, qu’il n’est en aucune façon isolé.
Les maires rament, doivent arbitrer entre subventions aux associations et chauffage. Cantines, médiathèques, piscines, gymnases devront peut-être, au cas par cas, être fermés. L’association des maires de France, celle des maires ruraux et autres, demandent à pouvoir rejoindre les tarifs de l’opérateur historique, par abrogation de la loi de 2010 et comptent les sous. Les conseils généraux et régionaux sont dans les mêmes cas avec leurs installations, lycées et collèges et mettent sur pied des fonctionnement dignes d’un pays du tiers monde, pour ne pas passer purement et simplement dans la banqueroute. Ils proposent également, que l’école ne commence qu’à 9 heures, pour économiser une heure de chauffage. Heureusement, le mois d’octobre est clément et les choses ne se voient encore pas trop : nous sommes quelques semaines avant la tempête.
Il est urgent, puisque l’apprenti sorcier qui nous sert de président clame que nous ne sommes pas en guerre avec la Russie, de lui proposer de racheter du gaz. Lui aussi, sent venir le Maelström.

Et ces communes en sont à renégocier leurs contrats avec leurs fournisseurs qui proposent désormais des augmentations situées entre 300 et 400 %. Il est bien entendu qu’il s’agit là du résultat de la pure spéculation générée par le temps de guerre et les décisions ineptes de nos dirigeants, français et européens, souhaitant « mettre à genou » l’économie russe. Non seulement elle n’est pas à genou, mais Poutine s’en va voir ses copains au sommet Asie-Orient, montrant ainsi au monde, qu’il n’est en aucune façon isolé.
Les maires rament, doivent arbitrer entre subventions aux associations et chauffage. Cantines, médiathèques, piscines, gymnases devront peut-être, au cas par cas, être fermés. L’association des maires de France, celle des maires ruraux et autres, demandent à pouvoir rejoindre les tarifs de l’opérateur historique, par abrogation de la loi de 2010 et comptent les sous. Les conseils généraux et régionaux sont dans les mêmes cas avec leurs installations, lycées et collèges et mettent sur pied des fonctionnement dignes d’un pays du tiers monde, pour ne pas passer purement et simplement dans la banqueroute. Ils proposent également, que l’école ne commence qu’à 9 heures, pour économiser une heure de chauffage. Heureusement, le mois d’octobre est clément et les choses ne se voient encore pas trop : nous sommes quelques semaines avant la tempête.
Il est urgent, puisque l’apprenti sorcier qui nous sert de président clame que nous ne sommes pas en guerre avec la Russie, de lui proposer de racheter du gaz. Lui aussi, sent venir le Maelström.

☐ 16/10/2022
Transmission du virus : on nous aurait menti ?

Depuis l’audition au Parlement européen, le 10 octobre, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer, des marchés internationaux du laboratoire, on sait qu’il n’y avait pas eu de tests des futurs vaccins, concernant la transmission ou pas du virus, par les personnes vaccinées. Et pour la simple raison qu’il n’existait pas, à l’époque, de protocole permettant de vérifier la capacité des personnes vaccinées à transmettre, ou pas le virus. Soit, mais en l’absence de cette donnée primordiale, pourquoi avoir autorisé la commercialisation et l’inoculation de ce produit ?
Mais il y a pire, l’absence de cette donnée rend caduques bon nombre d’assertions martelées durant l’épisode le plus hystérisé de la pandémie. Ainsi « Tous vaccinés, tous protégés », n’était étayé par aucune validation scientifique. Cymès expliquant doctement que des irresponsables, les non-vaccinés, allaient compromettre, en étant des transmetteurs, la sécurité de la nation : c’était faux. Ces journalistes et politiciens qui ont expliqués que les non-vaccinés étaient des contaminateurs en puissance qui ne devaient plus être soignés, ni accueillis en hôpitaux, n’avaient aucun motif valable de tenir ce genre de discours.
Les passe-sanitaire et vaccinal, qui ont interdit aux personnes non-vaccinées de se rendre dans un restaurant ou un cinéma, pour « ne pas contaminer les autres », alors même que les gens vaccinés pouvaient également contaminer, n’avaient aucune justification non plus.
Ces différents intervenants, médecins ou simples commentateurs ont parlé alors qu’ils ne disposaient strictement d’aucune forme de preuve, pour la simple et bonne raison qu’elle n’existait pas. Ils pourraient, dans un premier temps, être poursuivis pour « propagation de fausses nouvelles ». Au moment où l’on parle de faire la chasse aux « fake-news », pas besoin d’aller les chercher bien loin, elles étaient sur les chaînes subventionnées.
Ces gens pourraient également être poursuivis pour appel à la haine, envers les non-vaccinés et certains, pour injures publiques. On se souvient des « pauvres connards », par Didier Bourdon, désignant les non-vaccinés. Sans parler de ceux qui voulaient leur faire payer leurs soins ou les faire piquer de force, entre deux flics.
Il y a fort à parier, qu’avec le temps et l’évidence, qui montre que les non-vaccinés ne meurent pas plus du Covid que les vaccinés, comme le montrent les statistiques des hôpitaux anglais, qui elles aussi, commencent à sortir, que ces gentilles personnes vont adopter des profils discrets. Et si ça se trouve, elles mourront de crises cardiaques avant d’être jugées.
Mais il y a pire, l’absence de cette donnée rend caduques bon nombre d’assertions martelées durant l’épisode le plus hystérisé de la pandémie. Ainsi « Tous vaccinés, tous protégés », n’était étayé par aucune validation scientifique. Cymès expliquant doctement que des irresponsables, les non-vaccinés, allaient compromettre, en étant des transmetteurs, la sécurité de la nation : c’était faux. Ces journalistes et politiciens qui ont expliqués que les non-vaccinés étaient des contaminateurs en puissance qui ne devaient plus être soignés, ni accueillis en hôpitaux, n’avaient aucun motif valable de tenir ce genre de discours.
Les passe-sanitaire et vaccinal, qui ont interdit aux personnes non-vaccinées de se rendre dans un restaurant ou un cinéma, pour « ne pas contaminer les autres », alors même que les gens vaccinés pouvaient également contaminer, n’avaient aucune justification non plus.
Ces différents intervenants, médecins ou simples commentateurs ont parlé alors qu’ils ne disposaient strictement d’aucune forme de preuve, pour la simple et bonne raison qu’elle n’existait pas. Ils pourraient, dans un premier temps, être poursuivis pour « propagation de fausses nouvelles ». Au moment où l’on parle de faire la chasse aux « fake-news », pas besoin d’aller les chercher bien loin, elles étaient sur les chaînes subventionnées.
Ces gens pourraient également être poursuivis pour appel à la haine, envers les non-vaccinés et certains, pour injures publiques. On se souvient des « pauvres connards », par Didier Bourdon, désignant les non-vaccinés. Sans parler de ceux qui voulaient leur faire payer leurs soins ou les faire piquer de force, entre deux flics.
Il y a fort à parier, qu’avec le temps et l’évidence, qui montre que les non-vaccinés ne meurent pas plus du Covid que les vaccinés, comme le montrent les statistiques des hôpitaux anglais, qui elles aussi, commencent à sortir, que ces gentilles personnes vont adopter des profils discrets. Et si ça se trouve, elles mourront de crises cardiaques avant d’être jugées.

☐ 13/10/2022
Macron continue son solo. Le voilà qui décide de fragiliser un peu plus notre armée en envoyant du matériel et des hommes pas très loin de la guerre en Ukraine. A quoi joue-t-il ? Compte-t-il engager nos troupes contre celles de Moscou ? Avec qui a-t-il décidé cela ? Il paraît que cela entrerait dans le cadre habituel d’échanges et de manœuvres inter-armées. Le contexte actuel donne pourtant une signification très différente à ces échanges. En réalité, il continue à se passer de l’aval de l’Assemblée qui ne lui est pas favorable et gouverne en solo.
Il parle aussi en solo, s’invite tout seul à la télévision à une heure de grande écoute pour parler, encore une fois, de ce qui se dit dans les conseils, de défense, sanitaires, de sécurité, peu importe le mot, la méthode est là. Il fait des réunions d’initiés et comme dirait Coluche : ce sont des milieux autorisés où on s’autorise des trucs. Sauf que ce n’est pas vraiment la démocratie. Jupiter n’a été regardé « que » par 5.832.000 personnes : une misère. Et encore, cela ne signifie pas, 5,8 millions de sympathisants. En questionneuse, une femme très en cour, Caroline Roux, épouse de Laurent Solly, ex-directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, proche de Macron et directeur général de Facebook France. C’est-à-dire, patron de la censure sur ce réseau et on sait si elle est virulente. En résumé : de l’entre soi.
8 millions d’auditeurs le 14 juillet 2020, 6,7 millions le 14 juillet 2022, 5,8 millions cette semaine. Autant dire qu’il n’intéresse plus. À se demander comment il a pu être réélu et surtout, qu’en cas de dissolution, il est quasiment sûr d’avoir encore moins de députés. D’ailleurs, il n’en parle plus. Pour s’affranchir de cette Assemblée qui ne lui est pas favorable, mais qu’il ne peut pas trop prendre le risque de dissoudre, il convoque le peuple, à travers son « bidule » du moment, le Conseil National de le Refondation, pâle imitation du Conseil National de la Résistance. Comme si Macron avait une seule fois, fait mine d’écouter le peuple. Des indiscrétions de l’Élysée disent que le président serait très énervé. Comme chaque fois, quand on ne fait pas comme il veut.
Reste que cette Assemblée a un côté « gérable », étant donné que les députés LR ont un peu le cul entre deux chaises. S’ils votent avec Renaissance, ils vont passer pour des collabos et se renier en tant qu’opposition. S’ils votent avec le RN et la NUPES, ils vont passer pour des extrémistes. Et s’ils s’abstiennent, ils vont passer pour des mous, qui ne font pas le job. Il faut tout de même qu’ils prennent conscience que leur disparition pourrait être au bout de la route et qu’elle est bien plus certaine s’ils votent avec Renaissance. En plus de la collaboration, il y aura une trahison de leurs électeurs, lesquels auraient voté directement Renaissance, s’ils avaient voulu d’une collaboration avec Macron. Ils seraient bien inspirés, s’ils veulent avoir une chance de survie, de profiter du 49.3 qui se profile, pour faire tomber ce gouvernement qui ne réussit qu’à nous enfoncer dans les multiples crises qui frappent le pays.

☐ 7/10/2022
5,2 M€ : l’homme qui brutalise
Par Gilles La Carbona & Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français
Notre cher Président, celui qu’il fallait absolument avoir pour ne pas sombrer dans le chaos de l’extrême droite, adepte de la fin de l’abondance, des privations et restrictions en tous genres, a décidé d’augmenter le budget de l’Élysée de 5.2 millions d’euros. Pourquoi faire exactement, il ne peut plus mettre un pied nulle part et risque donc de beaucoup moins se déplacer ?
Aux gueux les restrictions, les privations, les menaces de sanctions financières, si jamais ils n’ont pas le comportement adéquat face aux pénuries, directement imputables à l’impéritie de sa majesté et de ses ministres godillots, mais pour lui, le confort doit être absolu. Et nos députés ne disent rien, trop occupés sans doute, à savoir qui bat sa femme, à l’extrême gauche.
Macron promet des milliards à Bill Gates, prélève du matériel militaire directement dans les stocks de notre armée et personne ne bronche. C’est bien au parlement d’approuver et de contrôler l’ensemble des finances de notre pays non ? Donc s’il veut 5,2 millions de plus pour le fonctionnement de son palais, c’est bien après que l’Assemblée nationale lui en ait donné l’autorisation ? Mesdames et messieurs les députés rassurez-nous, il ne se sert tout de même lui-même comme il l’entend ? Face à votre inertie on se demande si vous lui avez signé une procuration, avec laquelle il vient taper dans la caisse, comme bon lui semble, avec votre bénédiction.
N’y a-t-il plus que le simple citoyen pour être choqué de voir la nouvelle noblesse se vautrer dans l’argent facile, tout en demandant au peuple de plus en plus de sacrifices ? Les journalistes ne parlent pas de cette dérive, trop occupés à préserver un pouvoir qui les subventionne et les syndicats ne cillent pas non plus.
Il y a du cynisme à faire une telle demande au moment où il intime l’ordre au peuple de faire des économies. Ce n’est pas seulement offensant, c’est scandaleux. Nous n’avons plus l’impression d’être au sein d’une république, mais bien d’une royauté ou d’un empire, dans lequel le monarque disposerait du pouvoir absolu, dont il userait et abuserait, face au peuple démuni, à la merci de ses décisions les plus folles, les plus outrageantes, et contre lesquelles ses soi-disant représentants demeureraient, par on ne sait quelles motivations, impuissants. Au moment où Mélenchon dresse un parallèle avec les Versaillaises qui avaient ramené le roi, on l’accuse de « brutaliser » la vie politique. C’est curieux, on avait l’impression que Macron avait brutalisé la vie tout court, au flash-ball, au confinement et au Rivotril, entre autres…
Tout de même, il consent une aide d’État sur l’essence, que nous payons et un chèque énergie, que nous payons aussi. Magnanime, il nous aide avec notre argent, nous restitue des miettes et se taille la part du lion. Mélenchon, qui n’est pas notre tasse de thé, laisse en filigrane, une question qu’il faut maintenant se poser : la France peut-elle s’en sortir par la voie institutionnelle ? Macron lui même ne le pense pas. Il avait expliqué, qu’il fallait venir le chercher.

☐ 6/10/2022
Je me marre… nous allons bientôt savoir qui en a des grosses dans ce pays, grâce au camarade Zelensky. Le patron des bataillons Asov, les mecs avec des tatouages en forme de croix gammées, en appelle aux combattants volontaires. On imagine que nos vaillants députés, unanimes en standing ovation pour l’ambassadeur d’Ukraine à l’Assemblée, vont s’y ruer. Que toutes les hystériques du féminisme vont aller combattre le méchant mâle blanc russe et le machisme incarné par le dictateur Poutine. Que les moutons zélés, piquouzés, en jaune et bleu, vivant à 15°C dans leur salon pour sauver la planète, vont faire leurs bagages et acheter une paire de rangers. Que tous les autistes qui préfèrent ne pas voir le massacre des Arméniens, ou le bombardement du Yémen par l’Arabie saoudite, vont saisir cette occasion de devenir des héros. Et que tous ceux qui pensent que les USA ne mènent que des guerres conformes au droit international, vont aller manier le matériel US livré aux Ukrainiens… ça va en faire du monde pour aller casser la gueule aux Russes et en plus, ça va nous débarrasser le plancher.

Je me marre… nous allons bientôt savoir qui en a des grosses dans ce pays, grâce au camarade Zelensky. Le patron des bataillons Asov, les mecs avec des tatouages en forme de croix gammées, en appelle aux combattants volontaires. On imagine que nos vaillants députés, unanimes en standing ovation pour l’ambassadeur d’Ukraine à l’Assemblée, vont s’y ruer. Que toutes les hystériques du féminisme vont aller combattre le méchant mâle blanc russe et le machisme incarné par le dictateur Poutine. Que les moutons zélés, piquouzés, en jaune et bleu, vivant à 15°C dans leur salon pour sauver la planète, vont faire leurs bagages et acheter une paire de rangers. Que tous les autistes qui préfèrent ne pas voir le massacre des Arméniens, ou le bombardement du Yémen par l’Arabie saoudite, vont saisir cette occasion de devenir des héros. Et que tous ceux qui pensent que les USA ne mènent que des guerres conformes au droit international, vont aller manier le matériel US livré aux Ukrainiens… ça va en faire du monde pour aller casser la gueule aux Russes et en plus, ça va nous débarrasser le plancher.

☐ 2/10/2022
Votre appartenance à la famille Gaulliste fait de vous les héritiers de son œuvre, de son esprit, mais aussi l’ultime rempart contre le délitement de l’idée de nation et de souveraineté nationale. Nous devons, ensemble, préserver ces idées gaullistes, attaquées de toutes parts par ceux qui se prétendent progressistes, mais détruisent les fondements même de notre nation, au prétexte que la mondialisation l’exigerait et qu’elle serait l’unique voie d’avenir.
Depuis des années, pour faire bonne figure et tenter de ne pas être ostracisés par la presse subventionnée, vous vous êtes rangés, parfois à contre-cœur et avez soutenu des lois, des réformes, dont vous sentiez bien la dérive vers ce qui n’est plus l’essence de notre famille. Mais la pression médiatique, la volonté de ne pas pratiquer l’obstruction, vous ont conduits à abandonner les fondements du gaullisme, à savoir l’indépendance et la souveraineté, ciment de la République Française.
La Commission européenne, non élue, non légitime, est devenue omnipotente, au point d’imposer ses vues, sans même que les parlements nationaux puissent s’y opposer, rendant obsolète et même malvenue, la souveraineté nationale, chère au général de Gaulle. Le dépeçage de notre industrie nucléaire, au motif de délires idéologiques, n’est-il pas la dernière preuve de ce constat ? Aurait-on pu imaginer que l’indépendance énergétique, construite avec tant de génie et de constance, pouvait être sacrifiée sur l’autel d’intérêts supranationaux et de mensonges écologiques ?
Les aides à l’Ukraine pourraient également être évoquées, elles qui ne sont décidées et entérinées que par la Commission européenne et par le président Macron, alors qu’il s’agit de matériel pris sur nos propres troupes et non des pièces sorties des usines. Est-il concevable que nos armées soient dépouillées de cette façon, sans que le parlement n’ait son mot à dire ?
Aujourd’hui, notre système de retraites, fondé sur la solidarité nationale intergénérationnelle, directement issue du CNR, représente un pacte commun entre les générations et constitue un gage d’avenir pour tous ceux qui ont travaillé. Ce système de retraite est financé jusqu’en 2032, il n’y a donc aucune urgence à le démanteler. Et Macron avait, dans un premier temps, assuré qu’il ne repousserait pas l’âge de départ à la retraite.
La macronie veut finir de détruire le dernier bastion gaulliste et réduire à néant la valeur travail, à l’origine de l’essor de notre civilisation et également, garantie de sa pérennité. Vous ne pouvez pas vous laisser entraîner à briser ce socle et à laisser l’épargne de plusieurs générations, filer entre les mains de fonds de pensions étrangers. Penser que la spéculation assurera les retraites de demain, n’est pas un pari osé, c’est de la folie. Les bourses n’auront jamais, dans leurs tourmentes habituelles, la sécurité de caisses gérées et contrôlées par notre État. Le général de Gaulle, visionnaire, avait compris qu’une débâcle financière ne pourrait toucher un tel système et qu’il assurerait le versement des retraites, pour peu que l’on ne détruise pas ce qui lui permet d’exister, à savoir, un environnement économique stable et diversifié, une industrie locale capable de donner du travail à la majorité des citoyens. Certes, il n’avait pas prévu les délocalisations et la recherche constante de la satisfaction des actionnaires.
Il n’y a pas d’urgence du financement, mais bel et bien une urgence dans la formation des jeunes, la relocalisation de nos industries, la valorisation du travail manuel. Une autre voie est possible et elle passe par une autre vision de ce dossier. Nos jeunes doivent pouvoir entrer dans la vie active plus tôt, dans des infrastructures adaptées. Et nos anciens doivent pouvoir cesser de travail, sans être usés et malades et en ayant transmis leurs savoir-faire. C’est là le vrai cœur de la réforme des retraites. Il est urgent d’attendre et de se servir de ce dossier pour faire tomber ce gouvernement inepte, qui nous mène aux rationnements, à la ruine et aux privations de libertés.
Votre appartenance à la famille Gaulliste fait de vous les héritiers de son œuvre, de son esprit, mais aussi l’ultime rempart contre le délitement de l’idée de nation et de souveraineté nationale. Nous devons, ensemble, préserver ces idées gaullistes, attaquées de toutes parts par ceux qui se prétendent progressistes, mais détruisent les fondements même de notre nation, au prétexte que la mondialisation l’exigerait et qu’elle serait l’unique voie d’avenir.
Depuis des années, pour faire bonne figure et tenter de ne pas être ostracisés par la presse subventionnée, vous vous êtes rangés, parfois à contre-cœur et avez soutenu des lois, des réformes, dont vous sentiez bien la dérive vers ce qui n’est plus l’essence de notre famille. Mais la pression médiatique, la volonté de ne pas pratiquer l’obstruction, vous ont conduits à abandonner les fondements du gaullisme, à savoir l’indépendance et la souveraineté, ciment de la République Française.
La Commission européenne, non élue, non légitime, est devenue omnipotente, au point d’imposer ses vues, sans même que les parlements nationaux puissent s’y opposer, rendant obsolète et même malvenue, la souveraineté nationale, chère au général de Gaulle. Le dépeçage de notre industrie nucléaire, au motif de délires idéologiques, n’est-il pas la dernière preuve de ce constat ? Aurait-on pu imaginer que l’indépendance énergétique, construite avec tant de génie et de constance, pouvait être sacrifiée sur l’autel d’intérêts supranationaux et de mensonges écologiques ?
Les aides à l’Ukraine pourraient également être évoquées, elles qui ne sont décidées et entérinées que par la Commission européenne et par le président Macron, alors qu’il s’agit de matériel pris sur nos propres troupes et non des pièces sorties des usines. Est-il concevable que nos armées soient dépouillées de cette façon, sans que le parlement n’ait son mot à dire ?
Aujourd’hui, notre système de retraites, fondé sur la solidarité nationale intergénérationnelle, directement issue du CNR, représente un pacte commun entre les générations et constitue un gage d’avenir pour tous ceux qui ont travaillé. Ce système de retraite est financé jusqu’en 2032, il n’y a donc aucune urgence à le démanteler. Et Macron avait, dans un premier temps, assuré qu’il ne repousserait pas l’âge de départ à la retraite.
La macronie veut finir de détruire le dernier bastion gaulliste et réduire à néant la valeur travail, à l’origine de l’essor de notre civilisation et également, garantie de sa pérennité. Vous ne pouvez pas vous laisser entraîner à briser ce socle et à laisser l’épargne de plusieurs générations, filer entre les mains de fonds de pensions étrangers. Penser que la spéculation assurera les retraites de demain, n’est pas un pari osé, c’est de la folie. Les bourses n’auront jamais, dans leurs tourmentes habituelles, la sécurité de caisses gérées et contrôlées par notre État. Le général de Gaulle, visionnaire, avait compris qu’une débâcle financière ne pourrait toucher un tel système et qu’il assurerait le versement des retraites, pour peu que l’on ne détruise pas ce qui lui permet d’exister, à savoir, un environnement économique stable et diversifié, une industrie locale capable de donner du travail à la majorité des citoyens. Certes, il n’avait pas prévu les délocalisations et la recherche constante de la satisfaction des actionnaires.
Il n’y a pas d’urgence du financement, mais bel et bien une urgence dans la formation des jeunes, la relocalisation de nos industries, la valorisation du travail manuel. Une autre voie est possible et elle passe par une autre vision de ce dossier. Nos jeunes doivent pouvoir entrer dans la vie active plus tôt, dans des infrastructures adaptées. Et nos anciens doivent pouvoir cesser de travail, sans être usés et malades et en ayant transmis leurs savoir-faire. C’est là le vrai cœur de la réforme des retraites. Il est urgent d’attendre et de se servir de ce dossier pour faire tomber ce gouvernement inepte, qui nous mène aux rationnements, à la ruine et aux privations de libertés.
Gilles La Carbona
☐ 1/10/2022
Je me marre… Biden prévient solennellement, « L’Otan défendra chaque centimètre carré de son territoire ». On ignorait, jusqu’à présent que l’Ukraine faisait partie des territoires de l’Otan : c’est nouveau, ça vient de sortir. Les mêmes nous expliquent que Poutine n’a rien à foutre en Ukraine, le long de sa frontière, dans des régions russophones, mais eux trouvent normal d’installer des bases militaires et de participer à une guerre, dans un pays situé à 7800 kilomètres de chez eux.
Je me marre… Biden prévient solennellement, « L’Otan défendra chaque centimètre carré de son territoire ». On ignorait, jusqu’à présent que l’Ukraine faisait partie des territoires de l’Otan : c’est nouveau, ça vient de sortir. Les mêmes nous expliquent que Poutine n’a rien à foutre en Ukraine, le long de sa frontière, dans des régions russophones, mais eux trouvent normal d’installer des bases militaires et de participer à une guerre, dans un pays situé à 7800 kilomètres de chez eux.
☐ 30/9/2022
Je me marre… mais enfin, quand une femme se fait violer à Nantes, par trois Africains, en pleine rue, c’est bien un lien avec l’immigration ? Ah non, pas du tout, rien à voir. Mais, mais, quand il y a 70 % de gens étrangers, ou d’origine étrangère, dans les prisons, c’est bien un lien avec l’immigration ? Non plus, rien à voir. Mais, et quand on juge des mecs pour terrorisme, parce qu’ils ont foncé en camion sur les gens, à Nice, au nom de leur dieu qui n’est pas le nôtre, ça a bien à voir avec l’immigration. Non, encore cette fois, ça n’a rien à voir. Mais c’est dingue ça, ça n’a rien à voir, ça n’a rien à voir… mais c’est quand même la réalité. Mais non, ce n’est pas la réalité, il ne faut pas faire d’amalgame. Il n’est pas question d’amalgame, mais juste qu’il y a un lien. Mais justement, il n’y a pas de lien. Mais, comment peux-tu dire ça, puisque le lien est évident, explique moi ? C’est trop difficile, tu ne comprendrais pas. Pour comprendre, il faut être de gauche et toi, tu es d’extrême droite.
Je me marre… mais enfin, quand une femme se fait violer à Nantes, par trois Africains, en pleine rue, c’est bien un lien avec l’immigration ? Ah non, pas du tout, rien à voir. Mais, mais, quand il y a 70 % de gens étrangers, ou d’origine étrangère, dans les prisons, c’est bien un lien avec l’immigration ? Non plus, rien à voir. Mais, et quand on juge des mecs pour terrorisme, parce qu’ils ont foncé en camion sur les gens, à Nice, au nom de leur dieu qui n’est pas le nôtre, ça a bien à voir avec l’immigration. Non, encore cette fois, ça n’a rien à voir. Mais c’est dingue ça, ça n’a rien à voir, ça n’a rien à voir… mais c’est quand même la réalité. Mais non, ce n’est pas la réalité, il ne faut pas faire d’amalgame. Il n’est pas question d’amalgame, mais juste qu’il y a un lien. Mais justement, il n’y a pas de lien. Mais, comment peux-tu dire ça, puisque le lien est évident, explique moi ? C’est trop difficile, tu ne comprendrais pas. Pour comprendre, il faut être de gauche et toi, tu es d’extrême droite.
☐ 30/9/2022
Il faut aller chercher « Kizivienne »
En cas de motion de censure, « je dissous tout de suite l’Assemblée Nationale », menace par avance, le prince président. Menacer devient une méthode, façon von der Leyen, qui s’en prend aux Italiens. Macron défie la représentation nationale, refuse le jeu classique de nos institutions, l’idée même de discussion et de démocratie, passe en force et en caprice, n’entend pas la contrariété, ni même la critique. Il n’a pas de programme, il a une feuille de route et veut s’affranchir de devoir expliquer que sa réforme est aussi inutile que vide d’argument, qu’elle ne repose sur aucun fondement sérieux, si ce n’est la volonté bruxelloise de casser notre modèle social, ou de souscrire aux injonctions des cabinets-conseils.
Mais une partie de l’opposition, enfin, affirme qu’elle ne se laissera pas embobiner et qu’à ce coup de force elle répondrait par une motion de censure. Et l’encore président de s’énerver. Mais de quoi menace-t-il nos représentants en réalité ? De les renvoyer chez eux, de les priver de leur position d’élus nantis, s’ils n’obéissent pas à la consigne de vote ? C’est insultant pour la fonction, car il la réduit à une simple rente de situation, la vidant de toute conviction capable de dépasser les seuls intérêts personnels. Est-ce donc la norme chez les LREM ?
Élire un LREM c’est donc voter pour une marionnette. Au RPF, nous avons la conviction que ce genre de député est indigne de siéger et de représenter les électeurs. Mais Macron tente de faire basculer l’esprit des plus faibles. Il brandit la fin de l’opulence, pour ces nouveaux députés, qui devront retourner à leur triste sort dans la vie de tous les jours et repartir en campagne, serrer des louches aux marchés du samedi matin. L’exercice est-il osé de sa part ? Dans le fond non, la constitution lui donne ce pouvoir, mais dans la forme, oui. Les scandales et l’intimidation sont sa marque de fabrique et il se glorifie même d’avoir à sa botte, institutions, médias et grands corps d’État. Il provoque donc les députés de l’opposition, menace de les virer de leurs beaux fauteuils en velours, et table sur le fait qu’ils n’auront pas envie de retourner en campagne et de prendre le risque de tout perdre : quelle vision de la démocratie.
Qui serait bénéficiaire de ce coup de force, lui et son parti, ou l’opposition ? La situation générale ne plaide pas en faveur d’un vote de confiance du peuple envers le gouvernement, ce serait même plutôt l’inverse. Les Français se reconnaîtront sans doute plus aisément dans des représentants qui auront pris la responsabilité de la rupture, plutôt que celle de la soumission au maître. Les Français ne veulent pas de valets esclaves, mais des femmes et des hommes dignes, qui ne reculeront pas devant la frayeur de perdre un siège et ses avantages. Si nos députés de l’opposition font preuve de courage et de conviction, ils en sortiront gagnants et retrouveront encore plus de place, au détriment des godillots du président.
Les LR seraient d’ailleurs bien inspirés de se montrer pugnaces, en la circonstance et de mener le combat. Ils ont tout à gagner à montrer leur loyauté aux Français, sans se retrancher derrière une abstention qui sera l’aveu honteux de leur soumission à la volonté macroniste. En restant en retrait, ou en laissant le président les intimider de cette façon, en ne votant pas la motion, ils n’en sortiront qu’affaiblis. Au moment où se profilent privations et pénuries, arrivera une assemblée encore plus défavorable à ce président, qui se rapprochera de la procédure de destitution. Mesdames et messieurs de l’opposition, ne tremblez pas, retrouvez les valeurs de nos représentants et l’esprit de combat démocratique, allez le chercher, puisqu’il le demande : faites tomber ce gouvernement de fantoches en cols roulés.
Mais une partie de l’opposition, enfin, affirme qu’elle ne se laissera pas embobiner et qu’à ce coup de force elle répondrait par une motion de censure. Et l’encore président de s’énerver. Mais de quoi menace-t-il nos représentants en réalité ? De les renvoyer chez eux, de les priver de leur position d’élus nantis, s’ils n’obéissent pas à la consigne de vote ? C’est insultant pour la fonction, car il la réduit à une simple rente de situation, la vidant de toute conviction capable de dépasser les seuls intérêts personnels. Est-ce donc la norme chez les LREM ?
Élire un LREM c’est donc voter pour une marionnette. Au RPF, nous avons la conviction que ce genre de député est indigne de siéger et de représenter les électeurs. Mais Macron tente de faire basculer l’esprit des plus faibles. Il brandit la fin de l’opulence, pour ces nouveaux députés, qui devront retourner à leur triste sort dans la vie de tous les jours et repartir en campagne, serrer des louches aux marchés du samedi matin. L’exercice est-il osé de sa part ? Dans le fond non, la constitution lui donne ce pouvoir, mais dans la forme, oui. Les scandales et l’intimidation sont sa marque de fabrique et il se glorifie même d’avoir à sa botte, institutions, médias et grands corps d’État. Il provoque donc les députés de l’opposition, menace de les virer de leurs beaux fauteuils en velours, et table sur le fait qu’ils n’auront pas envie de retourner en campagne et de prendre le risque de tout perdre : quelle vision de la démocratie.
Qui serait bénéficiaire de ce coup de force, lui et son parti, ou l’opposition ? La situation générale ne plaide pas en faveur d’un vote de confiance du peuple envers le gouvernement, ce serait même plutôt l’inverse. Les Français se reconnaîtront sans doute plus aisément dans des représentants qui auront pris la responsabilité de la rupture, plutôt que celle de la soumission au maître. Les Français ne veulent pas de valets esclaves, mais des femmes et des hommes dignes, qui ne reculeront pas devant la frayeur de perdre un siège et ses avantages. Si nos députés de l’opposition font preuve de courage et de conviction, ils en sortiront gagnants et retrouveront encore plus de place, au détriment des godillots du président.
Les LR seraient d’ailleurs bien inspirés de se montrer pugnaces, en la circonstance et de mener le combat. Ils ont tout à gagner à montrer leur loyauté aux Français, sans se retrancher derrière une abstention qui sera l’aveu honteux de leur soumission à la volonté macroniste. En restant en retrait, ou en laissant le président les intimider de cette façon, en ne votant pas la motion, ils n’en sortiront qu’affaiblis. Au moment où se profilent privations et pénuries, arrivera une assemblée encore plus défavorable à ce président, qui se rapprochera de la procédure de destitution. Mesdames et messieurs de l’opposition, ne tremblez pas, retrouvez les valeurs de nos représentants et l’esprit de combat démocratique, allez le chercher, puisqu’il le demande : faites tomber ce gouvernement de fantoches en cols roulés.
Gilles La Carbona, secrétaire national du RPF, chargé du suivi de la vie parlementaire

☐ 28/9/2022
55 mètres, c’est la profondeur moyenne de la mer Baltique. Soit une descente accessible avec une bouteille d'air comprimé parfaitement ordinaire, avec la possibilité de rester une petite dizaine de minutes sans avoir à faire trop de paliers de décompression. Largement le temps pour une équipe de plongeurs expérimentés, type « Forces spéciales », de caler une centaine de kilos d’explosifs. Il se trouve, mais c’est un hasard, que des navires de guerre américains croisaient justement dans les parages. Pour ce qui est des Russes, ils avaient juste à couper le robinet qui leur appartient, pourquoi se seraient-ils emmerdés à plonger dans l’eau froide ?

55 mètres, c’est la profondeur moyenne de la mer Baltique. Soit une descente accessible avec une bouteille d'air comprimé parfaitement ordinaire, avec la possibilité de rester une petite dizaine de minutes sans avoir à faire trop de paliers de décompression. Largement le temps pour une équipe de plongeurs expérimentés, type « Forces spéciales », de caler une centaine de kilos d’explosifs. Il se trouve, mais c’est un hasard, que des navires de guerre américains croisaient justement dans les parages. Pour ce qui est des Russes, ils avaient juste à couper le robinet qui leur appartient, pourquoi se seraient-ils emmerdés à plonger dans l’eau froide ?

☐ 28/9/2022
Je me marre… les Allemands plongent dans les sanctions à la Russie, programmées par les Américains. Les Allemands veulent se doter de la première armée européenne, avec des F-35 américains, des patrouilleurs maritimes américains, des ravitailleurs américains, des chars de combat américains. Olaf s’en va benoîtement en Arabie pour quémander du gaz GNL arabe, au lieu du gaz GNL américain et curieusement, les Américains font sauter les gazoducs qui alimentent l’Allemagne. Les Polonais les en remercient et Biden, toujours follement adroit, avait prévenu voilà quelques mois, qu’il pouvait le faire : il l’a fait. Depuis le temps que les Allemands nous entubent, avec la bénédiction de Macron, les voilà entubés à leur tour. Et comme cette Allemagne est notre premier partenaire économique, nous serons entubés aussi. Un genre de petit train qui sied parfaitement aux pratiques de nos dirigeants.
Je me marre… les Allemands plongent dans les sanctions à la Russie, programmées par les Américains. Les Allemands veulent se doter de la première armée européenne, avec des F-35 américains, des patrouilleurs maritimes américains, des ravitailleurs américains, des chars de combat américains. Olaf s’en va benoîtement en Arabie pour quémander du gaz GNL arabe, au lieu du gaz GNL américain et curieusement, les Américains font sauter les gazoducs qui alimentent l’Allemagne. Les Polonais les en remercient et Biden, toujours follement adroit, avait prévenu voilà quelques mois, qu’il pouvait le faire : il l’a fait. Depuis le temps que les Allemands nous entubent, avec la bénédiction de Macron, les voilà entubés à leur tour. Et comme cette Allemagne est notre premier partenaire économique, nous serons entubés aussi. Un genre de petit train qui sied parfaitement aux pratiques de nos dirigeants.
☐ 28/9/2022
Depuis la victoire de Giorgina Meloni, la meute politico-médiatique est aux abois, car elle craint de voir ses privilèges contestés, et son autoritarisme se heurter à une volonté de souveraineté. Elle lance donc ses chiens de garde, les journalistes, qui en ont terminé avec « la seule solution c’est la vaccination » et ressassent maintenant en boucle, « le fascisme est à nos portes ». On leur fait dire ce qu’on veut.
Rien, quand von der Leyen, promettait des mesures de rétorsions aux Italiens, s’ils avaient le malheur de « mal » voter. Rien non plus, quand la même a dit préférer la guerre en Ukraine à la voie de l’apaisement. Ces « braves » gens relaient en écho que s’afficher chrétien aimant son pays, refuser l’invasion migratoire afro-arabo-musulmane, orchestrée par von der Leyen, c’est être d’extrême droite. Ils font l’apologie de la destruction de leur propre civilisation en remplaçant ses fondements millénaires par une « nouvelle culture », qui n’en est pas une et qu’une minorité tente de faire passer pour la pensée majoritaire.
Souvenez-vous de leur propos lors du Brexit. Les Anglais allaient fuir en masse pour ne pas quitter l’Europe, un peu comme les jeunes Russes aujourd’hui, pour éviter la mobilisation. Le pays devait sombrer dans le chaos, un peu comme la Russie devait le faire grâce aux sanctions si justement distillées par les brillants esprits non élus. Et Poutine, mal en point, devait mourir rapidement. Et ces valets serviles des pouvoirs d’accuser la Russie d’organiser de faux référendums. Ils n’ont quasiment rien dit sur le non au traité européen de 2005, prestement transformé en oui. Observateurs et impartiaux : mon œil.
Pour autant, Meloni est attendue au coin du bois et le souvenir de Tsipras, en Grèce, est encore dans les mémoires, lui dont l’élection promettait tant de changements, s’est rapidement vu défait, corseté par la puissante Europe, qui ne pouvait accepter un trublion dans ses rangs. Il a dû battre en retraite et faire exactement l’inverse de ce qu’il avait promis. Oui, mais l’Italie n’est pas la Grèce, elle possède un tissu industriel conséquent, contribue, comme la France, au budget européen plus qu’elle ne reçoit, et sa dette est détenue en grande majorité par les Italiens eux-mêmes… Attendons de voir si von der Leyen, va, comme il est probable qu’elle le fasse, mettre en application les sanctions qu’elle a déjà imaginées. Cela a déjà dû commencé, car Meloni s’est fendue d’un tweet de soutien à la politique ukrainienne, certes à minima.
Si l’Italie tient bon, à savoir : Les amendes, elle ne les paye pas, et le transfert de son budget, elle ne le fait pas, que va faire la grande démocrate non élue ? Que valent des sanctions sur un pays qui affirme sa souveraineté et se moque de ce qu’une étrangère peut clabauder au loin ? Ursula von der Leyen a eu beau se mettre en colère contre Poutine, lui promettre qu’elle n’achètera plus rien et qu’elle va continuer à lui faire la guerre, est-ce que Poutine est venu ramper à ses pieds ? Meloni serait bien inspirée d’user de la même fermeté, pour faire plier cette dame qui se rêve impératrice de l’Europe avec ses valets préférés, Macron et Sholtz. Ce dernier, maintenant qu’il s’est fait couper le gaz, grâce à deux sabotages, très probablement par ses « amis » américains, va devoir mettre un bon pull et arrêter son industrie… et nous avec.
☐ 26/9/2022
Je me marre… le gouvernement français qui ampute les Gilets Jaunes à la grenade et crève leurs yeux au flashball, coffre les provinciaux irrévérencieux pour trois cailloux jetés, enferme sa population pour une banale grippe, ment sur l’engorgement des services hospitaliers, décide du sort de la nation lors de conseils de défense classés secrets, explique qu’il va être attentif au « respect des droits de l’homme » dans l’Italie des patriotes nouvellement élus. C’est drôle non ? Histoire de rire encore un bon coup, les mêmes, avec l’air grave, qui ferment des maternités, licencient des médecins et des infirmières, liquident des lits d’hôpitaux et des services entiers, se promettent de veiller à ce que les femmes italiennes puissent encore avorter. Vraiment, on se remarre. Enfin, toujours les mêmes, qui livrent des canons, dilapident des milliards de nos impôts pour les bons services des bataillons Azov, aux tatouages nazis, qualifient la blonde égérie amoureuse de son Italie, de « dangereuse extrémiste de droite ». En matière d’extrémisme, avec le gouvernement Macron, on a été servi, mais attention aux autres, on ne se sait jamais, des fois qu’ils arriveraient à foutre un bordel pire qu’en France.
Je me marre… le gouvernement français qui ampute les Gilets Jaunes à la grenade et crève leurs yeux au flashball, coffre les provinciaux irrévérencieux pour trois cailloux jetés, enferme sa population pour une banale grippe, ment sur l’engorgement des services hospitaliers, décide du sort de la nation lors de conseils de défense classés secrets, explique qu’il va être attentif au « respect des droits de l’homme » dans l’Italie des patriotes nouvellement élus. C’est drôle non ? Histoire de rire encore un bon coup, les mêmes, avec l’air grave, qui ferment des maternités, licencient des médecins et des infirmières, liquident des lits d’hôpitaux et des services entiers, se promettent de veiller à ce que les femmes italiennes puissent encore avorter. Vraiment, on se remarre. Enfin, toujours les mêmes, qui livrent des canons, dilapident des milliards de nos impôts pour les bons services des bataillons Azov, aux tatouages nazis, qualifient la blonde égérie amoureuse de son Italie, de « dangereuse extrémiste de droite ». En matière d’extrémisme, avec le gouvernement Macron, on a été servi, mais attention aux autres, on ne se sait jamais, des fois qu’ils arriveraient à foutre un bordel pire qu’en France.
☐ 24/9/2022
Je me marre… le charnier des crimes de guerre russes, à Izyum est devenu, en quelque sorte, « secret défense » et Amnesty-International, qui a déjà mis en doute l’évangile selon Zelensky a été bouté hors du site, sur décision du Ministère de la défense ukrainien. Un charnier, ma brave dame, où les méchants ont tout de même pris le temps de planter des croix individuelles. Vous nous excuserez, mais on nous a déjà fait le coup à Timisoara, alors on va aller boire un coup jusqu’à plus amples informations.

Je me marre… le charnier des crimes de guerre russes, à Izyum est devenu, en quelque sorte, « secret défense » et Amnesty-International, qui a déjà mis en doute l’évangile selon Zelensky a été bouté hors du site, sur décision du Ministère de la défense ukrainien. Un charnier, ma brave dame, où les méchants ont tout de même pris le temps de planter des croix individuelles. Vous nous excuserez, mais on nous a déjà fait le coup à Timisoara, alors on va aller boire un coup jusqu’à plus amples informations.

☐ 23/9/2022
De quoi se permet Ursula ?
De quoi se permet Ursula ?
Plus le temps passe et moins l’Europe se cache de ses projets. Voilà qu’Ursula passe à la menace de rétorsion directe devant les velléités italiennes de voter pour ce qu’elle appelle et que tous les journalistes « main-stream » doivent avoir consigne d’appeler, « l’extrême droite ». Elle explique benoîtement et avec un grand sourire encore, que si les Italiens vont dans « le mauvais sens », elle a, à sa disposition, des outils de rétorsion. Et elle précise, « comme avec la Pologne, ou la Hongrie ».
Qu’a donc fait Meloni pour penser si mal ? Elle a réaffirmé la nature chrétienne de l’Italie. Oui et, ce ne serait pas le cas ? Elle a également plébiscité la famille traditionnelle. Là encore, cette famille ne représente-t-elle pas l’écrasante majorité des familles européennes et ce à quoi aspire encore les Européens ?
De la part de von der Leyen, cela sous-entend deux postures : elle ne veut pas d’une valeur historique et culturelle chrétienne, ni d’un modèle de société basé sur la famille et le travail. Elle veut quoi ? On ne voit encore pas trop, mais on comprend qu’elle a autre chose, non pas à proposer, mais à imposer, puisqu’elle parle de « mauvais sens » et de rétorsion. Plus loin, cette femme non élue, partisane de la guerre à la Russie, instigatrice des mesures d’embargo contre la Russie qui étranglent l’Europe, qui fait de l’affrontement avec Poutine, une affaire personnelle, se permet de dicter à un pays entier, dont elle n’est pas, la manière dont il doit voter, avec menaces à la clé.
Elle signe ainsi la réalité de ce que tout le monde perçoit maintenant : cette Europe ne représente ni la paix, ni la prospérité, ni la démocratie. Reste une espèce de 4ième Reich, arrogant, guerrier et oppresseur, qui tente de substituer à l’Europe des nations, voulue par De-Gaulle, une Europe dictatoriale et surpassant les démocraties locales. Celle commencée le 29 mai 2005, quand les Français ont dit non et qu’ils ont eu quand même. Cette femme, ruine de nos pays, de nos économies et de nos quotidiens, devrait déjà et pour beaucoup d’autres raisons, être dans le box des accusés.
Qu’a donc fait Meloni pour penser si mal ? Elle a réaffirmé la nature chrétienne de l’Italie. Oui et, ce ne serait pas le cas ? Elle a également plébiscité la famille traditionnelle. Là encore, cette famille ne représente-t-elle pas l’écrasante majorité des familles européennes et ce à quoi aspire encore les Européens ?
De la part de von der Leyen, cela sous-entend deux postures : elle ne veut pas d’une valeur historique et culturelle chrétienne, ni d’un modèle de société basé sur la famille et le travail. Elle veut quoi ? On ne voit encore pas trop, mais on comprend qu’elle a autre chose, non pas à proposer, mais à imposer, puisqu’elle parle de « mauvais sens » et de rétorsion. Plus loin, cette femme non élue, partisane de la guerre à la Russie, instigatrice des mesures d’embargo contre la Russie qui étranglent l’Europe, qui fait de l’affrontement avec Poutine, une affaire personnelle, se permet de dicter à un pays entier, dont elle n’est pas, la manière dont il doit voter, avec menaces à la clé.
Elle signe ainsi la réalité de ce que tout le monde perçoit maintenant : cette Europe ne représente ni la paix, ni la prospérité, ni la démocratie. Reste une espèce de 4ième Reich, arrogant, guerrier et oppresseur, qui tente de substituer à l’Europe des nations, voulue par De-Gaulle, une Europe dictatoriale et surpassant les démocraties locales. Celle commencée le 29 mai 2005, quand les Français ont dit non et qu’ils ont eu quand même. Cette femme, ruine de nos pays, de nos économies et de nos quotidiens, devrait déjà et pour beaucoup d’autres raisons, être dans le box des accusés.
Une entreprise de diabolisation est en cours en Italie, afin de faire passer Giorgia Meloni pour une candidate d’extrême droite et même, une héritière de Mussolini, rien moins. La réalité est que les Italiens sont aux abois dès le 15 du mois et que l’enjeu du quotidien est de payer les factures et de manger, pour une bonne partie d’entre eux, survivre en fait. Cette candidate, qui rassemble sur des valeurs transversales de travail, de famille et de sécurité, est facilement cataloguée à l’extrême droite par les « progressistes » auto-proclamés, tendance Macron et von der Leyen, qui tentent de substituer, à ces valeurs largement partagées en Europe, le non-genre, le métissage ethnique et le réchauffement planétaire. La doxa, soutenue par l’ensemble de la presse, voudrait ainsi faire croire que le désir d’avoir une famille, de vivre décemment de son travail et de se sentir en sécurité dans son propre pays, seraient des aspirations fascisantes.
Il n’en est rien, vouloir des filles et des garçons hétérosexuels n’a jamais empêché les gens de respecter les homosexuels, c’était le cas jusque dans les années 80. Vouloir vivre en sécurité n’a jamais empêché d’accueillir celui qui arrive pour vivre en paix, nous l’avons bien pratiqué avec les Ibères et justement, les Italiens. La réalité est qu’une minorité déconnectée, fondatrice de concepts hors-sols, veut les substituer à des valeurs parfaitement recevables, qui sont populaires, mais aussi totalement archaïques, dans la mesure où elles sont partagées avec les animaux qui nous ressemblent et qui tiennent eux-aussi à leurs groupes sociaux, à leur sécurité et à leurs territoires. Nous y ajoutons la culture.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous soutenons également ces valeurs rassembleuses et en premier lieu, celle du travail, qui permet à une famille de vivre décemment dans la société. Mais également, l’histoire, dont nous devons être fiers, la culture, l’une des plus riches au monde et la sécurité, valeur fondamentale dans une société moderne. Que les Italiens se tournent vers un parti n’ayant pas eu de compromission avec les pouvoirs qui les ont menés à la ruine, semble parfaitement légitime. Les gens des pouvoirs actuels sont plus occupés à vouloir substituer à des aspirations parfaitement légitimes, des considérations conceptuelles, contre lesquelles les populations européennes commencent à sérieusement se raidir et ils font le choix de diaboliser plutôt que d’écouter. Ils font eux-mêmes le lit de ce qu’ils dénoncent.
☐ 20/9/2022
Retraites, et si nous ne prenions pas le problème par le bon bout ?
Un constat, le Conseil d’Orientation des Retraites vient d’annoncer un bilan positif du financement. Plus de 900 millions sont venus grossir la cagnotte et ce chiffre devrait passer à 3.2 milliards l’an prochain. L’organisme ne se prononce pas sur la suite, préférant rester sur les prévisions d’avant 2020, pour réaffirmer qu’avant 2032, il n’y aura pas de défaut de paiement. Et la brutale augmentation des décès au cours de l’été, totalement inexpliquée, va sans doute laisser des caisses encore plus pleines qu’aujourd’hui. Quant à l’échéance de 2032, les personnes nées en 1945 auront 87 ans, autant dire que beaucoup ne seront déjà plus de ce monde.
Le financement des retraites n’est, en soi, pas un problème, la preuve, dans un contexte présenté comme « compliqué », les caisses font des bénéfices. Il serait opportun que l’État remette également les 33 milliards du Fonds de réserve des retraites créé par Jospin et quelque peu détournés par Woerth... Après tout, depuis deux ans nous assistons à une valse de chèques impressionnante pour soutenir les mesures COVID et maintenant l’Ukraine, et nos dirigeants voudraient nous faire croire qu’ils ne peuvent pas trouver 33 milliards, quand en moins de deux ans ils en ont dépensé, au moins 10 fois plus. Ce n’est pas sérieux. Un salarié peut espérer arriver jusqu’à 64 ans sans avoir de soucis de motricité, au-delà, les choses se compliquent. Faut-il prendre ce prétexte pour user jusqu’à la corde un salarié et lui permettre de partir une fois ses réserves naturelles totalement épuisées ? Quelle société pourrait afficher de telles ambitions sans se faire taxer de monstrueuse ?
Et si depuis 25 ans, nous ne regardions pas le problème par le bon bout ? On s’attache à la conclusion du cycle du travail, alors qu’il faut assurer le chemin qui y mène. L’âge moyen d’entrée dans la vie active est de 27 ans, soit environ 10 ans de plus qu’il y a trente ans. Quelle perte colossale de revenus de cotisations. Imaginez, un jeune actuel qui débute à 27 ans, doit cotiser 42 ans, ce qui lui donnera une pension à taux plein à 69 ans. Rallonger l’âge de départ n’arrangera pas sa situation puisqu’il devra intrinsèquement cotiser plus.
Et si, au lieu d’augmenter le nombre d’annuités de cotisation, ou l’âge légal de la retraite, on s’attachait à faire entrer nos jeunes bien avant 27 ans ? En fait, ce n’est pas le système de retraite qu’il faut réformer pour assurer son financement, mais bien tout ce qu’il y a autour de lui. La formation, l’apprentissage, la réindustrialisation. Faire en sorte que les délocalisations ne soient plus cette manne providentielle pour les tenants de la rente. En appliquant la réforme de capitalisation par points de Macron, ça ne fera qu’inciter les fonds de pensions, détenteurs du système, à chercher toujours plus de profits. Non seulement vous ne sauverez pas les retraites et encore moins les salariés, mais en plus vous contribuerez à la spéculation et à de nouvelles délocalisations, en clair, à la destruction définitive de notre tissu économique. Comment croyez vous que la capitalisation sera prise en compte, si le chômage explose, ou si les emplois proposés sont sous-qualifiés ? Pensez vous sincèrement qu’un minimum de revenu pourra être assuré, si en face, les cotisations ne rentrent pas ?
De plus, par quel miracle deux systèmes totalement différents vont-ils coexister financièrement, sans devoir mettre en place un mécanisme d’une complexité et d’une lourdeur, comme seule la France est capable d’en imaginer ? Nous avons jusqu’en 2032 pour réformer ce qui doit l’être et permettre à nos jeunes de trouver rapidement du travail, de cotiser et donc d’assurer, comme l’avait pensé le général de Gaulle, la pérennité du système de répartition, tout en cimentant le socle républicain, qui se veut solidaire entre générations, et non individualiste, comme le préconise la doctrine macroniste.
Il est temps de revoir notre vision du problème, nous avons largement le temps et les moyens d’y parvenir. Ce n’est donc pas le système des retraites que vous devez réformer, mais tout ce qui conduit à pouvoir prétendre à un travail correctement rémunéré, en obtenant des diplômes valorisés et utiles et en travaillant sur le sol national, sans devoir s’expatrier, faute de trouver des entreprises sur place. Renvoyez donc cette réforme aux calendes grecques, et proposez à sa place, les mesures nécessaires pour permettre une création d’emplois sur le long terme.
Gilles La Carbona
Retraites, et si nous ne prenions pas le problème par le bon bout ?
Un constat, le Conseil d’Orientation des Retraites vient d’annoncer un bilan positif du financement. Plus de 900 millions sont venus grossir la cagnotte et ce chiffre devrait passer à 3.2 milliards l’an prochain. L’organisme ne se prononce pas sur la suite, préférant rester sur les prévisions d’avant 2020, pour réaffirmer qu’avant 2032, il n’y aura pas de défaut de paiement. Et la brutale augmentation des décès au cours de l’été, totalement inexpliquée, va sans doute laisser des caisses encore plus pleines qu’aujourd’hui. Quant à l’échéance de 2032, les personnes nées en 1945 auront 87 ans, autant dire que beaucoup ne seront déjà plus de ce monde.
Le financement des retraites n’est, en soi, pas un problème, la preuve, dans un contexte présenté comme « compliqué », les caisses font des bénéfices. Il serait opportun que l’État remette également les 33 milliards du Fonds de réserve des retraites créé par Jospin et quelque peu détournés par Woerth... Après tout, depuis deux ans nous assistons à une valse de chèques impressionnante pour soutenir les mesures COVID et maintenant l’Ukraine, et nos dirigeants voudraient nous faire croire qu’ils ne peuvent pas trouver 33 milliards, quand en moins de deux ans ils en ont dépensé, au moins 10 fois plus. Ce n’est pas sérieux. Un salarié peut espérer arriver jusqu’à 64 ans sans avoir de soucis de motricité, au-delà, les choses se compliquent. Faut-il prendre ce prétexte pour user jusqu’à la corde un salarié et lui permettre de partir une fois ses réserves naturelles totalement épuisées ? Quelle société pourrait afficher de telles ambitions sans se faire taxer de monstrueuse ?
Et si depuis 25 ans, nous ne regardions pas le problème par le bon bout ? On s’attache à la conclusion du cycle du travail, alors qu’il faut assurer le chemin qui y mène. L’âge moyen d’entrée dans la vie active est de 27 ans, soit environ 10 ans de plus qu’il y a trente ans. Quelle perte colossale de revenus de cotisations. Imaginez, un jeune actuel qui débute à 27 ans, doit cotiser 42 ans, ce qui lui donnera une pension à taux plein à 69 ans. Rallonger l’âge de départ n’arrangera pas sa situation puisqu’il devra intrinsèquement cotiser plus.
Et si, au lieu d’augmenter le nombre d’annuités de cotisation, ou l’âge légal de la retraite, on s’attachait à faire entrer nos jeunes bien avant 27 ans ? En fait, ce n’est pas le système de retraite qu’il faut réformer pour assurer son financement, mais bien tout ce qu’il y a autour de lui. La formation, l’apprentissage, la réindustrialisation. Faire en sorte que les délocalisations ne soient plus cette manne providentielle pour les tenants de la rente. En appliquant la réforme de capitalisation par points de Macron, ça ne fera qu’inciter les fonds de pensions, détenteurs du système, à chercher toujours plus de profits. Non seulement vous ne sauverez pas les retraites et encore moins les salariés, mais en plus vous contribuerez à la spéculation et à de nouvelles délocalisations, en clair, à la destruction définitive de notre tissu économique. Comment croyez vous que la capitalisation sera prise en compte, si le chômage explose, ou si les emplois proposés sont sous-qualifiés ? Pensez vous sincèrement qu’un minimum de revenu pourra être assuré, si en face, les cotisations ne rentrent pas ?
De plus, par quel miracle deux systèmes totalement différents vont-ils coexister financièrement, sans devoir mettre en place un mécanisme d’une complexité et d’une lourdeur, comme seule la France est capable d’en imaginer ? Nous avons jusqu’en 2032 pour réformer ce qui doit l’être et permettre à nos jeunes de trouver rapidement du travail, de cotiser et donc d’assurer, comme l’avait pensé le général de Gaulle, la pérennité du système de répartition, tout en cimentant le socle républicain, qui se veut solidaire entre générations, et non individualiste, comme le préconise la doctrine macroniste.
Il est temps de revoir notre vision du problème, nous avons largement le temps et les moyens d’y parvenir. Ce n’est donc pas le système des retraites que vous devez réformer, mais tout ce qui conduit à pouvoir prétendre à un travail correctement rémunéré, en obtenant des diplômes valorisés et utiles et en travaillant sur le sol national, sans devoir s’expatrier, faute de trouver des entreprises sur place. Renvoyez donc cette réforme aux calendes grecques, et proposez à sa place, les mesures nécessaires pour permettre une création d’emplois sur le long terme.
Gilles La Carbona
☐ 15/9/2022
Le choix du suicide européen
La pénurie des énergies est une équation à plusieurs entrées. Bien sûr, il y a la guerre en Ukraine avec qui, rappelons-le, nous n’avons aucun accord militaire, ou diplomatique. Mais les pénuries viennent bien des décisions des dirigeants européens, non élus, von der Leyen en tête, qui ont décrété des sanctions contre Moscou, sans même que les élus nationaux n’aient à se prononcer. Celle-ci, on la sait déjà trempée jusqu’au cou avec les pharmaceutiques, par l’intermédiaire de son mari et on ne peut guère lui accorder la moindre confiance.
Macron a menti sur l’état de santé de la centrale de Fessenheim, pour pouvoir la fermer et plaire à des groupes de pression écologistes peu représentatifs, en terme de poids électoral. Ou organiser à dessein la pénurie énergétique. Pour cela et pour tout le reste, on ne peut pas lui faire confiance non plus.
En cause également, les fournisseurs d’énergie alternatifs, qui n’ont aucune existence commerciale viable puisqu’ils ne font qu’acheter de l’électricité à un producteur EDF monopolistique et la revendre en prenant un bénéfice. Il s’agit d’un non-sens économique, une construction financière inutile, mais qui rapporte gros à quelques amis des pouvoirs en place. Dans la situation de pénurie, ils pourraient tous perdre gros et on ne peut pas laisser des amis actionnaires perdre de l’argent, selon la bonne formule des profits privatisés et des dettes mutualisées.
En arrière-plan, des millions de foyers européens, dont beaucoup ne pourront pas encaisser financièrement les augmentations et des millions de PME et même des grands groupes, dont la comptabilité ne supportera pas des factures multipliées par quatre ou cinq. Ils mettront la clé sous la porte et enverront à la rue des millions de travailleurs qui pourront encore moins s’acquitter des factures énergétiques.
L’équation revient donc à faire de savants calculs, pour savoir jusqu’où on peut faire payer le peuple, sans qu’il ne rouspète trop, grâce à un « bouclier tarifaire », que nous payons, puisque l’État c’est nous. Jusqu’où on peut étrangler les entreprises, sans qu’elles ne meurent trop et jusqu’où on peut demander à des amis actionnaires de perdre un peu d’argent, pour que tout le monde ne soit pas trop mécontent et que l’édifice tiennent encore debout.
Parce que s’il y a un truc qu’on ne fera pas et qui pourtant serait la meilleure solution : on n’achètera plus rien à Poutine. Pour ne pas se dédire, les dirigeants arrogants qui nous gouvernent préféreront nous faire crever jusqu’au dernier, plutôt que de changer de cap. D’où les discours alambiqués de Borne et de von der Leyen, la première tentant de nous faire croire que tout va se résoudre en économisant 10 % de notre consommation. La seconde en préconisant d’envoyer nos factures d’électricité à Moscou, comme si ce n’était pas elle qui était à l’origine de ce suicide collectif.
À moins que la contre-offensive soi-disant ukrainienne, en réalité menée avec le matériel de l’OTAN, à défaut des troupes, ne sonne comme une déclaration de guerre totale, histoire de pousser Poutine à la guerre nucléaire, sinon, plus de Russie.
Il semble de plus en plus qu’il n’y ait plus rien à attendre de ces dirigeants, tous incapables d’auto-critique, d’écoute et de bon sens, soit par intérêt financier, soit pas fierté inconsidérée, soit encore par soumission totale à des intérêts américains. Il faudra à minima, les mettre dehors, on ne sait encore pas trop comment, même si certains en ont une petite idée, et leur demander des comptes.
Le choix du suicide européen
La pénurie des énergies est une équation à plusieurs entrées. Bien sûr, il y a la guerre en Ukraine avec qui, rappelons-le, nous n’avons aucun accord militaire, ou diplomatique. Mais les pénuries viennent bien des décisions des dirigeants européens, non élus, von der Leyen en tête, qui ont décrété des sanctions contre Moscou, sans même que les élus nationaux n’aient à se prononcer. Celle-ci, on la sait déjà trempée jusqu’au cou avec les pharmaceutiques, par l’intermédiaire de son mari et on ne peut guère lui accorder la moindre confiance.
Macron a menti sur l’état de santé de la centrale de Fessenheim, pour pouvoir la fermer et plaire à des groupes de pression écologistes peu représentatifs, en terme de poids électoral. Ou organiser à dessein la pénurie énergétique. Pour cela et pour tout le reste, on ne peut pas lui faire confiance non plus.
En cause également, les fournisseurs d’énergie alternatifs, qui n’ont aucune existence commerciale viable puisqu’ils ne font qu’acheter de l’électricité à un producteur EDF monopolistique et la revendre en prenant un bénéfice. Il s’agit d’un non-sens économique, une construction financière inutile, mais qui rapporte gros à quelques amis des pouvoirs en place. Dans la situation de pénurie, ils pourraient tous perdre gros et on ne peut pas laisser des amis actionnaires perdre de l’argent, selon la bonne formule des profits privatisés et des dettes mutualisées.
En arrière-plan, des millions de foyers européens, dont beaucoup ne pourront pas encaisser financièrement les augmentations et des millions de PME et même des grands groupes, dont la comptabilité ne supportera pas des factures multipliées par quatre ou cinq. Ils mettront la clé sous la porte et enverront à la rue des millions de travailleurs qui pourront encore moins s’acquitter des factures énergétiques.
L’équation revient donc à faire de savants calculs, pour savoir jusqu’où on peut faire payer le peuple, sans qu’il ne rouspète trop, grâce à un « bouclier tarifaire », que nous payons, puisque l’État c’est nous. Jusqu’où on peut étrangler les entreprises, sans qu’elles ne meurent trop et jusqu’où on peut demander à des amis actionnaires de perdre un peu d’argent, pour que tout le monde ne soit pas trop mécontent et que l’édifice tiennent encore debout.
Parce que s’il y a un truc qu’on ne fera pas et qui pourtant serait la meilleure solution : on n’achètera plus rien à Poutine. Pour ne pas se dédire, les dirigeants arrogants qui nous gouvernent préféreront nous faire crever jusqu’au dernier, plutôt que de changer de cap. D’où les discours alambiqués de Borne et de von der Leyen, la première tentant de nous faire croire que tout va se résoudre en économisant 10 % de notre consommation. La seconde en préconisant d’envoyer nos factures d’électricité à Moscou, comme si ce n’était pas elle qui était à l’origine de ce suicide collectif.
À moins que la contre-offensive soi-disant ukrainienne, en réalité menée avec le matériel de l’OTAN, à défaut des troupes, ne sonne comme une déclaration de guerre totale, histoire de pousser Poutine à la guerre nucléaire, sinon, plus de Russie.
Il semble de plus en plus qu’il n’y ait plus rien à attendre de ces dirigeants, tous incapables d’auto-critique, d’écoute et de bon sens, soit par intérêt financier, soit pas fierté inconsidérée, soit encore par soumission totale à des intérêts américains. Il faudra à minima, les mettre dehors, on ne sait encore pas trop comment, même si certains en ont une petite idée, et leur demander des comptes.
☐ 15/9/2022
Qatar : c'est toujours l'Occident qui plie
Amnesty International nous apprend que 48 % des Français ne comptent pas regarder la prochaine Coupe du monde de football, au Qatar. L'heure est à la polémique et les bien-pensants demandent aux joueurs de ne pas y aller, aux spectateurs de ne pas regarder. Les mêmes qui n'ont rien dit quand cette coupe a été attribuée à ce pays. Le Qatar n'a pourtant pas bougé beaucoup depuis 2010 et ceux qui arguaient que cette attribution allait se traduire par des avancées démocratiques et en matière de droits de l'homme significatives dans ce pays, se sont lourdement trompés. C'était l'argument de rigueur à l'époque. Il fallait leur donner des événements internationaux, pour les faire entrer dans le cercle des nations qui partagent des valeurs identiques, les nôtres. C'était sans prendre en compte la dimension monolithique de l'islam rigoriste, aux manettes dans ce pays. Et pas que dans ce pays d'ailleurs. Ce n'est jamais l'islam radical qui s'assouplit au contact des valeurs laïques et démocratiques, mais les valeurs en question qui reculent devant l'islam, on le voit aussi dans nos quartiers sensibles.
Cette histoire montre une fois de plus le décalage entre les dirigeants et les peuples. Au sein des instances footballistiques, un seul pays avait émis quelques réserves mais ne s'était toutefois pas opposé. L'attribution de la coupe au Qatar avait fait l'objet d'une quasi-unanimité, face aux Australiens, Sud-Coréens, Japonais, ou encore Américains, eux aussi candidats.
Dès mai 2014, Sepp Blatter a reconnu que l'attribution du Mondial au Qatar était une erreur, dénonçant des pressions politiques de la France de Sarkozy et de l'Allemagne, dans la décision de la compétition dans le pays du Moyen-Orient. L'année d'après, neuf membres de la Fifa se sont retrouvés mis au ban, pour des affaires de pots de vin de plus de 150 millions de dollars, autour de l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar.
Le reste, on le connaît, des centaines de morts sur les chantiers, un non-sens écologique et une ministre de Macron qui nous explique qu'il faut y aller parce que, de toute façon, ça ne changerait rien. Bien sûr que si : si la France ne joue pas, ça fera ça de moins de climatisation. Les enjeux financiers dépassent bien entendu, une fois de plus, les considérations humanitaires et écologiques et la Clio diesel de Martine et Stéphane, qui vont au boulot, fait hurler les écologistes, bien plus que la gabegie énergétique qui s'annonce. Ils préfèrent s'en prendre aux proies faciles, comme tous les charognards.
Les téléspectateurs, plus sages que leurs dirigeants, qu'on n'entend plus beaucoup sur le sujet, prennent de bonnes décisions, mais le mal est fait. Il est même probable que cet épisode ne serve pas de leçon. Ainsi les pays occidentaux, inventeurs du football, vont aller jouer une coupe dans un pays aux antipodes des valeurs qu'ils défendent. À supposer encore, que la compétition ne se passe pas trop mal. Les coupables dans l'affaire, ne sont pas les joueurs qui étaient encore enfants en 2010, mais bien les dirigeants sportifs et politiques qui nous ont mis dans cette galère.
Qatar : c'est toujours l'Occident qui plie
Amnesty International nous apprend que 48 % des Français ne comptent pas regarder la prochaine Coupe du monde de football, au Qatar. L'heure est à la polémique et les bien-pensants demandent aux joueurs de ne pas y aller, aux spectateurs de ne pas regarder. Les mêmes qui n'ont rien dit quand cette coupe a été attribuée à ce pays. Le Qatar n'a pourtant pas bougé beaucoup depuis 2010 et ceux qui arguaient que cette attribution allait se traduire par des avancées démocratiques et en matière de droits de l'homme significatives dans ce pays, se sont lourdement trompés. C'était l'argument de rigueur à l'époque. Il fallait leur donner des événements internationaux, pour les faire entrer dans le cercle des nations qui partagent des valeurs identiques, les nôtres. C'était sans prendre en compte la dimension monolithique de l'islam rigoriste, aux manettes dans ce pays. Et pas que dans ce pays d'ailleurs. Ce n'est jamais l'islam radical qui s'assouplit au contact des valeurs laïques et démocratiques, mais les valeurs en question qui reculent devant l'islam, on le voit aussi dans nos quartiers sensibles.
Cette histoire montre une fois de plus le décalage entre les dirigeants et les peuples. Au sein des instances footballistiques, un seul pays avait émis quelques réserves mais ne s'était toutefois pas opposé. L'attribution de la coupe au Qatar avait fait l'objet d'une quasi-unanimité, face aux Australiens, Sud-Coréens, Japonais, ou encore Américains, eux aussi candidats.
Dès mai 2014, Sepp Blatter a reconnu que l'attribution du Mondial au Qatar était une erreur, dénonçant des pressions politiques de la France de Sarkozy et de l'Allemagne, dans la décision de la compétition dans le pays du Moyen-Orient. L'année d'après, neuf membres de la Fifa se sont retrouvés mis au ban, pour des affaires de pots de vin de plus de 150 millions de dollars, autour de l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar.
Le reste, on le connaît, des centaines de morts sur les chantiers, un non-sens écologique et une ministre de Macron qui nous explique qu'il faut y aller parce que, de toute façon, ça ne changerait rien. Bien sûr que si : si la France ne joue pas, ça fera ça de moins de climatisation. Les enjeux financiers dépassent bien entendu, une fois de plus, les considérations humanitaires et écologiques et la Clio diesel de Martine et Stéphane, qui vont au boulot, fait hurler les écologistes, bien plus que la gabegie énergétique qui s'annonce. Ils préfèrent s'en prendre aux proies faciles, comme tous les charognards.
Les téléspectateurs, plus sages que leurs dirigeants, qu'on n'entend plus beaucoup sur le sujet, prennent de bonnes décisions, mais le mal est fait. Il est même probable que cet épisode ne serve pas de leçon. Ainsi les pays occidentaux, inventeurs du football, vont aller jouer une coupe dans un pays aux antipodes des valeurs qu'ils défendent. À supposer encore, que la compétition ne se passe pas trop mal. Les coupables dans l'affaire, ne sont pas les joueurs qui étaient encore enfants en 2010, mais bien les dirigeants sportifs et politiques qui nous ont mis dans cette galère.
☐ 13/9/2022
Prospective politique : sortir de l’Europe
L’Europe commence à se craqueler avec les dissensions entraînées par les effets économiques désastreux des mesures d’embargo contre la Russie. Même la taille imposante de certaines entreprises ne les empêche pas de penser à mettre la clé sous la porte, tant le prix de l’énergie plombe les factures. Ainsi, les gros sidérurgistes allemands, ou les champions de la chimie, sont au bord de la rupture, avec le risque d’entraîner vers le chômage des dizaines de milliers de travailleurs. La question se pose encore avec plus d’acuité, de savoir s’il faut rester dans cette Europe folle, désormais en guerre contre les États qui la composent, ou s’en sauver le plus vite possible ?
On l’a vu avec le Royaume-Uni, entamer des négociations de sortie est difficile et le sombre Attali expliquait lui-même, que tout avait été fait, à dessein, pour qu’on ne puisse jamais sortir de ce piège. Un chef d’État français pourrait alors tenter de nous en faire virer, selon le scénario suivant. On ne paye plus notre cotisation à l’Europe. En conséquence, elle ne nous reverse plus la moindre subvention. On s’en fiche un peu, on donne plus que ce qu’on reçoit. Elle empêche logiquement nos députés européens de siéger. Nous répondons en n’appliquant plus les règlements européens et leur substituons nos règlements nationaux. L’Europe nous inflige amende sur amende. On ne les paye pas. Nous remettons en service une monnaie nationale. Elle n’a pas d’armée pour nous envahir, mais pourrait éventuellement décréter des mesures de rétorsion économique, est-ce bien possible, tant les économies européennes sont intriquées ? Et encore, si la France se lançait dans ce genre de fronde, elle ne serait sans doute pas la seule, ce qui augmenterait le poids de sa démarche.
La Hongrie montre la voie. Pas tout à fait entrée complètement dans l’Europe, elle refuse ostensiblement de se suicider, c’est à dire de sacrifier, comme nous, son économie qui dépend entièrement du gaz russe, elle attise la colère de Mikulas Beck, le ministre tchèque des affaires européennes, qui évoque la non finalisation du processus d’adhésion de la Hongrie. Rappelons que la République Tchèque préside actuellement l’Europe. Certes, il n’est pas prévu dans les textes que l’Europe puisse virer l’un de ses membres, mais cela pourrait bien arriver à Orban, qui persiste à être un président au service de son pays. Et si d’aventure la Hongrie était virée, rien ne s’opposerait à ce que nous tentions le coup nous aussi. Il faudrait juste destituer Macron avant.
Prospective politique : sortir de l’Europe
L’Europe commence à se craqueler avec les dissensions entraînées par les effets économiques désastreux des mesures d’embargo contre la Russie. Même la taille imposante de certaines entreprises ne les empêche pas de penser à mettre la clé sous la porte, tant le prix de l’énergie plombe les factures. Ainsi, les gros sidérurgistes allemands, ou les champions de la chimie, sont au bord de la rupture, avec le risque d’entraîner vers le chômage des dizaines de milliers de travailleurs. La question se pose encore avec plus d’acuité, de savoir s’il faut rester dans cette Europe folle, désormais en guerre contre les États qui la composent, ou s’en sauver le plus vite possible ?
On l’a vu avec le Royaume-Uni, entamer des négociations de sortie est difficile et le sombre Attali expliquait lui-même, que tout avait été fait, à dessein, pour qu’on ne puisse jamais sortir de ce piège. Un chef d’État français pourrait alors tenter de nous en faire virer, selon le scénario suivant. On ne paye plus notre cotisation à l’Europe. En conséquence, elle ne nous reverse plus la moindre subvention. On s’en fiche un peu, on donne plus que ce qu’on reçoit. Elle empêche logiquement nos députés européens de siéger. Nous répondons en n’appliquant plus les règlements européens et leur substituons nos règlements nationaux. L’Europe nous inflige amende sur amende. On ne les paye pas. Nous remettons en service une monnaie nationale. Elle n’a pas d’armée pour nous envahir, mais pourrait éventuellement décréter des mesures de rétorsion économique, est-ce bien possible, tant les économies européennes sont intriquées ? Et encore, si la France se lançait dans ce genre de fronde, elle ne serait sans doute pas la seule, ce qui augmenterait le poids de sa démarche.
La Hongrie montre la voie. Pas tout à fait entrée complètement dans l’Europe, elle refuse ostensiblement de se suicider, c’est à dire de sacrifier, comme nous, son économie qui dépend entièrement du gaz russe, elle attise la colère de Mikulas Beck, le ministre tchèque des affaires européennes, qui évoque la non finalisation du processus d’adhésion de la Hongrie. Rappelons que la République Tchèque préside actuellement l’Europe. Certes, il n’est pas prévu dans les textes que l’Europe puisse virer l’un de ses membres, mais cela pourrait bien arriver à Orban, qui persiste à être un président au service de son pays. Et si d’aventure la Hongrie était virée, rien ne s’opposerait à ce que nous tentions le coup nous aussi. Il faudrait juste destituer Macron avant.
☐ 13/9/2022
Je me marre… attention les gueux, cet hiver et même dès l’automne, il faudra faire des économies de carburant, d’électricité, de bouffe, de tout en fait. Ils croient quoi au gouvernement, que jusqu’ici les gens de ce pays s’amusaient à laisser les lumières allumées, à chauffer à 25°C chez eux et à griller du gasoil pour se balader ? Les mecs n’ont pas dû rencontrer un Français depuis un bail, il faut donc les mettre au courant. Tout en étant encore « pas chère », l’électricité l’est déjà suffisamment et personne ne la gaspille en allumant tout son logement en permanence. Plus personne ne chauffe inconsidérément pour les mêmes raisons, le fioul et le gaz de chauffage étant déjà prohibitifs. Et les balades de 300 kilomètres le week-end sont finies depuis belle lurette, sauf pour quelques privilégiés évidemment. Les gens font plutôt gaffe, ne roulent plus, dans leur grande majorité, que pour les trajets indispensables, aller au boulot, emmener les gosses à l’école et faire quelques courses. Et encore, souvent en ne roulant même pas au maximum des vitesses autorisées, par mesure d’économie. Demander aux Français de faire des économies, c’est comme demander à un type qui ne prend qu’un repas par jour, de diminuer sa ration. Ça a l’air de beaucoup faire rire les élites, qui non contentes de nous expliquer que nous gaspillons, se proposent de nous enseigner les gestes qui économisent, tout en se gavant à nos frais. Il semble même y avoir, au plus haut niveau, une certaine jouissance à étrangler le petit peuple et surtout à lui faire croire qu’il est le seul responsable de ce qui lui arrive. Et le peuple continue à rouler pour aller au boulot le matin, mais s’il ne peut plus faire rouler sa bagnole, il finira peut-être par faire rouler des têtes...
Je me marre… attention les gueux, cet hiver et même dès l’automne, il faudra faire des économies de carburant, d’électricité, de bouffe, de tout en fait. Ils croient quoi au gouvernement, que jusqu’ici les gens de ce pays s’amusaient à laisser les lumières allumées, à chauffer à 25°C chez eux et à griller du gasoil pour se balader ? Les mecs n’ont pas dû rencontrer un Français depuis un bail, il faut donc les mettre au courant. Tout en étant encore « pas chère », l’électricité l’est déjà suffisamment et personne ne la gaspille en allumant tout son logement en permanence. Plus personne ne chauffe inconsidérément pour les mêmes raisons, le fioul et le gaz de chauffage étant déjà prohibitifs. Et les balades de 300 kilomètres le week-end sont finies depuis belle lurette, sauf pour quelques privilégiés évidemment. Les gens font plutôt gaffe, ne roulent plus, dans leur grande majorité, que pour les trajets indispensables, aller au boulot, emmener les gosses à l’école et faire quelques courses. Et encore, souvent en ne roulant même pas au maximum des vitesses autorisées, par mesure d’économie. Demander aux Français de faire des économies, c’est comme demander à un type qui ne prend qu’un repas par jour, de diminuer sa ration. Ça a l’air de beaucoup faire rire les élites, qui non contentes de nous expliquer que nous gaspillons, se proposent de nous enseigner les gestes qui économisent, tout en se gavant à nos frais. Il semble même y avoir, au plus haut niveau, une certaine jouissance à étrangler le petit peuple et surtout à lui faire croire qu’il est le seul responsable de ce qui lui arrive. Et le peuple continue à rouler pour aller au boulot le matin, mais s’il ne peut plus faire rouler sa bagnole, il finira peut-être par faire rouler des têtes...
☐ 11/9/2022
Pas au service de son pays
S’il y a bien des records que la France sait battre, ce sont les plus calamiteux. Chaque mois permet d’enregistrer un nouveau gouffre financier et juillet n’a pas fait exception avec 14,5 milliard d'euros, après 13,3 milliards en juin, 13,1 milliards en mai et 12,4 milliards en avril. Soit 129,8 milliards d'euros cumulés sur 12 mois. Rapport des douanes paru le 8 septembre. La saison estivale et le tourisme, pourtant relativement bons, n’ont pas su enrayer le plongeon.
Les importations sont chroniquement supérieures aux exportations. 63,3 milliards d'euros, contre 48,7 milliards, on est très loin d’une forme d’équilibre. Même la facture énergétique a augmenté de 0,4 milliard d'euros en juillet, alors que les chauffages sont à l’arrêt. Entre hausse des prix de l’énergie, baisse de l’Euro, perte de la place d’exportateur d’électricité, pour devenir importateur, le bouillon est bu.
Une mesure plus technique, sur trois mois glissants, montre que le déficit commercial s'est creusé de 0,5 milliard d'euros, passant de 13,5 milliards à 14 milliards d'euros. Seuls les échanges de biens de consommation restent stables, à 0,8 milliard. On ne nous fera pas croire que tout cela est aléatoire et que le gouvernement gère les imprévus. Il organise la déconfiture, arguant d’accords d’aides énergétiques qui nous obligeraient, alors que certains pays européens n’en sont pas et que donc, il n’y a pas d’obligation. Il a rendu le travail hors de prix par la taxe et permis des délocalisations massives qui plombent la production de biens et donc nos possibilités exportatrices. Et pour finir, liquidé la filière énergétique, avec une organisation largement préméditée, par la vente des turbines Arabelle par Macron, alors qu’il n‘était encore que ministre. Ce président n’est clairement pas au service de son pays comme il le devrait, mais se situe dans l’intelligence avec des intérêts étrangers et la trahison. Et le voilà réduit à expliquer aux Français qu’il faut manger local, soit le discours de Montebourg, ou du RN.
Au RPF, nous répétons de baisser le prix du travail, relocaliser les entreprises, travailler aux indépendances énergétique, alimentaire, militaire, coupler l’éducation nationale aux entrepreneurs, rénover les filières industrielles et artisanales, rééquilibrer les poids économiques respectifs des régions, rénover les réseaux et en créer de nouveaux. Sous le quinquennat Macron, l’argent des citoyens est massivement passé à des intérêts privés et dans un social devenu fou. La machinerie infernale doit s’arrêter et nous le répétons, l’opposition majoritaire coordonnée doit se mettre au travail.
Pas au service de son pays
S’il y a bien des records que la France sait battre, ce sont les plus calamiteux. Chaque mois permet d’enregistrer un nouveau gouffre financier et juillet n’a pas fait exception avec 14,5 milliard d'euros, après 13,3 milliards en juin, 13,1 milliards en mai et 12,4 milliards en avril. Soit 129,8 milliards d'euros cumulés sur 12 mois. Rapport des douanes paru le 8 septembre. La saison estivale et le tourisme, pourtant relativement bons, n’ont pas su enrayer le plongeon.
Les importations sont chroniquement supérieures aux exportations. 63,3 milliards d'euros, contre 48,7 milliards, on est très loin d’une forme d’équilibre. Même la facture énergétique a augmenté de 0,4 milliard d'euros en juillet, alors que les chauffages sont à l’arrêt. Entre hausse des prix de l’énergie, baisse de l’Euro, perte de la place d’exportateur d’électricité, pour devenir importateur, le bouillon est bu.
Une mesure plus technique, sur trois mois glissants, montre que le déficit commercial s'est creusé de 0,5 milliard d'euros, passant de 13,5 milliards à 14 milliards d'euros. Seuls les échanges de biens de consommation restent stables, à 0,8 milliard. On ne nous fera pas croire que tout cela est aléatoire et que le gouvernement gère les imprévus. Il organise la déconfiture, arguant d’accords d’aides énergétiques qui nous obligeraient, alors que certains pays européens n’en sont pas et que donc, il n’y a pas d’obligation. Il a rendu le travail hors de prix par la taxe et permis des délocalisations massives qui plombent la production de biens et donc nos possibilités exportatrices. Et pour finir, liquidé la filière énergétique, avec une organisation largement préméditée, par la vente des turbines Arabelle par Macron, alors qu’il n‘était encore que ministre. Ce président n’est clairement pas au service de son pays comme il le devrait, mais se situe dans l’intelligence avec des intérêts étrangers et la trahison. Et le voilà réduit à expliquer aux Français qu’il faut manger local, soit le discours de Montebourg, ou du RN.
Au RPF, nous répétons de baisser le prix du travail, relocaliser les entreprises, travailler aux indépendances énergétique, alimentaire, militaire, coupler l’éducation nationale aux entrepreneurs, rénover les filières industrielles et artisanales, rééquilibrer les poids économiques respectifs des régions, rénover les réseaux et en créer de nouveaux. Sous le quinquennat Macron, l’argent des citoyens est massivement passé à des intérêts privés et dans un social devenu fou. La machinerie infernale doit s’arrêter et nous le répétons, l’opposition majoritaire coordonnée doit se mettre au travail.
☐ 8/9/2022
Un pari risqué...
Bruno Le Maire n’en démord pas et quelques européistes non plus : les sanctions contre la Russie vont mettre son économie à genoux. Et nous à la maison, pour aider à ce que Poutine soit sans le sou, nous devons diminuer le nombre de nos douches et baisser le chauffage. Ce que Macron, jamais avare de coups tordus, on le connaît depuis cinq ans, appelle : « accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs ». Ben voyons. Au RPF, nous appelons cela : payer malgré nous le prix de son incurie. Rassurez-vous, il continue à faire du jet-ski.
Il ne paye pas, ni de son argent, ni de sa personne, ne réduira ni ses douches, ni son chauffage et ses proches non plus. Il n’a consulté personne sur ce qu’il fallait faire vis-à-vis de l’Ukraine et personne de chez nous ne doit rien à ce pays, ni en matière d'accueil de réfugiés, ni en envoi d’armes ou d’argent et quand bien même, cela ne nécessite pas qu’on affame la population de ce pays. Ni à aucun pays d’ailleurs pour ce qui est des réfugiés.
Le fait est que la Russie s’est gavée d’argent depuis la guerre, en vendant moins de pétrole et de gaz, mais en les vendant beaucoup plus cher. Bruno Le Maire qui voulait « provoquer l’effondrement de l’économie russe », a tout faux. Mais attention, la Russie souffre quand même, les deux tiers, 66% de ses importations viennent de l’Europe et des USA et la voilà à court de machines outils, de pièces de rechange et de moyens de maintenance. Oui, mais nous, nous subissons une inflation galopante, des pénuries de tous ordres et des ravages sociaux. Sans compter l’ambiance que met sur le moral, les incertitudes sur l’hiver prochain, pour nos entreprises, nos emplois, nos approvisionnements.
On se fait pourtant royalement enfler, puisque nous sommes finalement peu nombreux à décréter l’embargo sur la Russie. Ce pays a des partenaires économiques aussi et même plus solides que nous : la Chine et l’Inde, mais aussi, la Turquie, l’Afrique, l’Amérique du sud, tous ces pays qui ont dit non aux sanctions. Et on continue à acheter du pétrole et du gaz russes, que nous revendent la Chine et l’Inde, au prix fort, très fort. En faisant mine de ne pas le savoir, bien sûr.
9,1% d’inflation en Zone Euro : l’Europe morfle. La Russie morfle aussi, mais moins et pas de la même manière. Le PIB russe devrait reculer de 6% cette année, près de 4% l’an prochain, avec eux aussi, de l’inflation. Les deux blocs sont en train de s’auto-ruiner, chacun pensant que l’autre sera épuisé le premier. Mais avec notre Euro en décrépitude, nos usines parties ailleurs et nos populations moins habituées à souffrir que les Russes, pas sûr que nous ayons quelque chose à espérer. Cette Europe, notre président, font le pari que les Russes seront morts de faim avant nous et peut-être aussi, qu’ils se révolteront et pas nous. À ce jeu, soit nous finirons morts de faim, soit cette caste de dirigeants inconséquents, finira la tête coupée. Ils ont pris les paris…
Un pari risqué...
Bruno Le Maire n’en démord pas et quelques européistes non plus : les sanctions contre la Russie vont mettre son économie à genoux. Et nous à la maison, pour aider à ce que Poutine soit sans le sou, nous devons diminuer le nombre de nos douches et baisser le chauffage. Ce que Macron, jamais avare de coups tordus, on le connaît depuis cinq ans, appelle : « accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs ». Ben voyons. Au RPF, nous appelons cela : payer malgré nous le prix de son incurie. Rassurez-vous, il continue à faire du jet-ski.
Il ne paye pas, ni de son argent, ni de sa personne, ne réduira ni ses douches, ni son chauffage et ses proches non plus. Il n’a consulté personne sur ce qu’il fallait faire vis-à-vis de l’Ukraine et personne de chez nous ne doit rien à ce pays, ni en matière d'accueil de réfugiés, ni en envoi d’armes ou d’argent et quand bien même, cela ne nécessite pas qu’on affame la population de ce pays. Ni à aucun pays d’ailleurs pour ce qui est des réfugiés.
Le fait est que la Russie s’est gavée d’argent depuis la guerre, en vendant moins de pétrole et de gaz, mais en les vendant beaucoup plus cher. Bruno Le Maire qui voulait « provoquer l’effondrement de l’économie russe », a tout faux. Mais attention, la Russie souffre quand même, les deux tiers, 66% de ses importations viennent de l’Europe et des USA et la voilà à court de machines outils, de pièces de rechange et de moyens de maintenance. Oui, mais nous, nous subissons une inflation galopante, des pénuries de tous ordres et des ravages sociaux. Sans compter l’ambiance que met sur le moral, les incertitudes sur l’hiver prochain, pour nos entreprises, nos emplois, nos approvisionnements.
On se fait pourtant royalement enfler, puisque nous sommes finalement peu nombreux à décréter l’embargo sur la Russie. Ce pays a des partenaires économiques aussi et même plus solides que nous : la Chine et l’Inde, mais aussi, la Turquie, l’Afrique, l’Amérique du sud, tous ces pays qui ont dit non aux sanctions. Et on continue à acheter du pétrole et du gaz russes, que nous revendent la Chine et l’Inde, au prix fort, très fort. En faisant mine de ne pas le savoir, bien sûr.
9,1% d’inflation en Zone Euro : l’Europe morfle. La Russie morfle aussi, mais moins et pas de la même manière. Le PIB russe devrait reculer de 6% cette année, près de 4% l’an prochain, avec eux aussi, de l’inflation. Les deux blocs sont en train de s’auto-ruiner, chacun pensant que l’autre sera épuisé le premier. Mais avec notre Euro en décrépitude, nos usines parties ailleurs et nos populations moins habituées à souffrir que les Russes, pas sûr que nous ayons quelque chose à espérer. Cette Europe, notre président, font le pari que les Russes seront morts de faim avant nous et peut-être aussi, qu’ils se révolteront et pas nous. À ce jeu, soit nous finirons morts de faim, soit cette caste de dirigeants inconséquents, finira la tête coupée. Ils ont pris les paris…
☐ 7/9/2022
Je me marre… le délire est reparti. Pendant le Covid, il fallait emmener les non-vax de force chez le médecin, entre deux flics, les interner, arrêter de les soigner, leur coller des bracelets électroniques. Maintenant qu’il y a la crise énergétique, les mêmes lobotomisés, se sentant investis d’une mission divine, s’en donnent à cœur joie, débranchent les enseignes, dégonflent les pneus des grosses voitures, veulent interdire les sports motorisés, les avions, les voitures de luxe, le ski nautique, la viande et on en passe, avec la même hystérie, forcément légitimée par des ayatollahs verts, aussi bêtes et méchants que les originaux. À Grenoble, Piolle a voulu faire son intéressant en proposant des repas sans viande, « pour la planète ». Bilan : 94 % de refus. Les écolos tarés ne seraient donc que 6 % et occuperaient 100 % de l’espace médiatique. À votre avis, les gens veulent d’une vie frugale ? Non, ils voudraient acheter ce dont ils rêvent presque tous : une belle maison individuelle, une plus grosse voiture, une piscine privée, des vacances à l’autre bout du monde en avion, ou des sorties en mer au départ d’un joli port méditerranéen. Ceux qui ont déjà tout ça leur font une morale culpabilisante sur le carbone que ça produirait si tout le monde se mettait à vivre comme les donneurs de leçons. Et quelques idiots utiles, pauvres et frustrés, se chargent de jouer aux policiers de la pensée, ça leur donne une importance qu’ils n’ont pas et la possibilité de laisser libre cours à leurs tares. La France représente moins de 1 % de la population et de la pollution mondiales, ce débat satanique, virant au harcèlement des gens modestes, n’a pas la moindre raison d’être.
Je me marre… le délire est reparti. Pendant le Covid, il fallait emmener les non-vax de force chez le médecin, entre deux flics, les interner, arrêter de les soigner, leur coller des bracelets électroniques. Maintenant qu’il y a la crise énergétique, les mêmes lobotomisés, se sentant investis d’une mission divine, s’en donnent à cœur joie, débranchent les enseignes, dégonflent les pneus des grosses voitures, veulent interdire les sports motorisés, les avions, les voitures de luxe, le ski nautique, la viande et on en passe, avec la même hystérie, forcément légitimée par des ayatollahs verts, aussi bêtes et méchants que les originaux. À Grenoble, Piolle a voulu faire son intéressant en proposant des repas sans viande, « pour la planète ». Bilan : 94 % de refus. Les écolos tarés ne seraient donc que 6 % et occuperaient 100 % de l’espace médiatique. À votre avis, les gens veulent d’une vie frugale ? Non, ils voudraient acheter ce dont ils rêvent presque tous : une belle maison individuelle, une plus grosse voiture, une piscine privée, des vacances à l’autre bout du monde en avion, ou des sorties en mer au départ d’un joli port méditerranéen. Ceux qui ont déjà tout ça leur font une morale culpabilisante sur le carbone que ça produirait si tout le monde se mettait à vivre comme les donneurs de leçons. Et quelques idiots utiles, pauvres et frustrés, se chargent de jouer aux policiers de la pensée, ça leur donne une importance qu’ils n’ont pas et la possibilité de laisser libre cours à leurs tares. La France représente moins de 1 % de la population et de la pollution mondiales, ce débat satanique, virant au harcèlement des gens modestes, n’a pas la moindre raison d’être.
☐ 6/9/2022
La voie de la Trabant
C’est symptomatique de la bien-pensance, cette manière de reprocher à des joueurs de première division, bien payés, à des clubs bourrés d’argent, avec la bénédiction de l’État, de prendre un jet privé. Sont-ils les seuls riches à prendre des jets privés ? Et quand Ursula von der Leyen prend un jet privé pour 50 kilomètres, entend-on la presse ? Quand Castex en prenait un pour aller voter dans son village des Pyrénées, a-t-on entendu une telle curée ? Ils ont été maladroits, oui et alors, ne sait-on pas que les footeux ne sont pas de grands intellos ?
Les enfers sont pavés de bonnes intentions et en la matière, la grande presse, qui est à peine moins riche que les footballeurs auxquels elle fait des reproches, roule également en voiture de luxe, part en vacances en avion, sinon en jet privé elle aussi. Que cherche-t-elle ? Les personnes fortunées disposent de moyens de locomotions puissants et polluants depuis plus d’un siècle et cela n’indispose habituellement pas plus que cela. Pourquoi donc, spécialement aujourd’hui, le jet du PSG serait mal. Après tout, qui ne rêve pas d’être riche et de disposer lui aussi, d’une puissante voiture ou d’un jet ?
Il y a une solution très simple à mettre en œuvre : un seul modèle de voiture, le même pour tout le monde. Ainsi, pas de jaloux. Ne riez pas, cela a existé, la Lada en URSS, ou la Trabant en ex-RDA. Et des limousines, mais uniquement pour les dirigeants. C’est de cela dont vous rêvez ? Pour les uns, il s’agit de pure jalousie, mais personne ne les empêche de devenir riches et d’avoir le même train de vie qu’au PSG. Pour les directeurs de conscience de la presse, ils ne manquent pas d’air, ils polluent au moins autant que ceux qu’ils dénoncent et nous jettent en pâture, peut-être bien pour qu’on ne s’intéresse pas trop à eux-mêmes.
Souvenez-vous que la France représente 0,9 % de la pollution mondiale et qu’une équipe de foot se déplace en jet ou en train sur 300 kilomètres, ça ne change rien. Le barnum actuel autour de ces bac-12 à ballon, doit servir à dissimuler autre chose, comme toujours. La suppression du jet du PSG rendra logique celle de votre vieux diesel : c’est tout.
☐ 6/9/2022
Macron : une impensable méthode
Macron ne se renouvelle pas beaucoup dans ses techniques de manipulation des masses. Pour le Covid, il avait fait supprimer des médicaments dont on soupçonnait qu’ils puissent avoir une utilité, fermait des lits d’hôpitaux et expliquait aux Français qu’ils n’étaient « pas raisonnables », avec les gestes barrière pour justifier ses infamies : bâillon pour les enfants qui ne risquaient pas de forme grave, passe vaccinal, avec des vaccins qui n’empêchaient pas la transmission et interdiction de prendre son café assis, ou de circuler librement sans « auto-autorisation ».
Il réitère avec l’énergie et annonce : « Si la responsabilité collective n’est pas au rendez-vous, alors on ira vers des mesures de rationnement et de sobriété contraintes ». Vous avez bien lu. Après s’être vanté d’avoir fermé Fessenheim, avoir laissé sans entretien une partie conséquente de nos centrales nucléaires, avoir sciemment négligé l’entretien des barrages hydro-électriques, puis décrété de manière tout à fait unilatérale et sans l’avis du parlement, des sanctions contre la Russie, pour une guerre dans laquelle nous n’avons strictement aucun accord de défense, le voilà qui menace et culpabilise les Français par avance, d’une consommation trop importante du produit dont il a organisé la pénurie.
Et d’ajouter : « La meilleure énergie, c’est celle que l’on ne consomme pas ». Le président recordman des voyages en avions, des escortes motorisées à n’en plus finir et des décorations élyséennes hors de prix, ne manque pas d’un certain toupet. À ce niveau, on est dans le mépris du peuple et la tentative de manipulation grossière. Pour l’énergie comme pour le Covid, la ficelle est énorme, mais l’homme persiste à prendre le pays en otage et à jouer avec les nerfs de Français, dans un pays où la détestation de la classe dirigeante est à son comble.
On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les créent et au RPF, nous estimons urgent, depuis plusieurs semaines, de tenter une procédure de destitution. Ce président-là va trop loin dans la mise en place, pour la population, des pires mesures coercitives qu’il nous ait été donné de vivre dans le pays, depuis l’occupation.
☐ 4/9/2022
2 watts moins le quart avant l’effondrement
L’effondrement de l’économie arrive à grands pas et l’insouciance, comme le déni, sont les dénominateurs communs que se partagent citoyens et dirigeants politiques. Quelques voix s’élèvent pourtant, noyées par l’idéologie otanienne et la ligne de conduite de Davos, dont la principale occupation est d’étouffer la vérité et le bon sens, pour ne pas avoir à avouer qu’ils se sont trompés.
Outre-Rhin, le ministre de l’Économie sonne l’alarme et s’évertue à expliquer que l’économie allemande s’écroule. Les entreprises ferment en cascade et personne ne l’écoute. Il prêche dans le désert, il a beau expliquer que la disponibilité ne conditionne pas le prix, personne ne retient la leçon. Le prix de l’énergie, en explosant, entraîne la ruine de nos économies. Si le coût répercuté sur le produit final rend le produit trop cher, donc invendable, l’entreprise ferme. Comme Duralex chez nous. Nos élites ont souscrit à l’idée qu’il y avait trop de PME et qu’il fallait en éliminer une bonne part, au profit des grands groupes en place. Mais avec le doublement, voire plus, du prix de l’électricité, petites entreprises comme grands groupes mettront la clé sous la porte. Le boulanger local qui allumera son four, sera touché autant que l’aciérie transnationale. En Grande-Bretagne, deux grandes sociétés d’engrais azotés ont fermé leurs portes. Ces faillites vont se multiplier, sous le regard ahuri de nos dirigeants qui pensaient, et on se demande bien pourquoi, que seules les PME seraient emportées. Les Français ne semblent pas avoir encore compris qu’une explosion du prix de l’électricité impactera toute notre vie dans tous ses aspects. Tous les appareils, dans un hôpital, marchent avec de l’électricité, les chaînes de montage auto, les verreries, internet, les distributeurs de billets, les caisses enregistreuses, les rayons réfrigérés des supermarchés, les systèmes d’alarme et de surveillance, etc… toutes les coupures impacteront et rendront la production compliquée, ou les condamnera à une disparition certaine, faute de trouver assez de consommateurs solvables.
Les Français ont l’air persuadés qu’on va passer à travers les gouttes, l’insouciance de l’été est encore là. La baisse du prix sur les carburants est l’emplâtre qui les rassure. En face nous avons nos députés, mis en vacances par Macron et visiblement très satisfaits de ce repos forcé, contre lequel ils ne se rebellent pas. Ils laissent le monarque continuer sa politique, démembrer notre pays et son économie, à grands coups de mesures aussi stupides qu’inutiles. Le Maire, inconditionnel disciple de la politique européenne, a voulu mettre la Russie à genoux, mais c’est notre économie qui s’effondre. L’Allemagne sombre dans l’indifférence du nouveau chancelier, trop préoccupé à suivre l’idéologie américaine et soudainement incapable de voir l’intérêt de son peuple. L’Allemagne nous avait pourtant habitués, ces dernières années, à plus de nationalisme. Les nôtres ayant depuis longtemps abdiqué, préférant le sacrifice de notre nation sur l’autel du mondialisme et de l’immigration africaine, chances pour l’Europe. Nous voyons le mur s’avancer, mais nos parlementaires sont en vacances… quand tout se sera écroulé, quand l’effondrement de l’économie aura emporté les dernières illusions de grandeur de l’Europe et de la France, en particulier et avec elles, les institutions qui seront devenues obsolètes, qui récupérera le pouvoir abandonné par l’opposition ? L’opposition a choisi de rester spectatrice du carnage, approuvant de fait les gesticulations de Macron et regarde l’Europe se suicider, sous la seule volonté d’une poignée d’irresponsables. Qui, sur les débris de nos économies, de nos propres existences, prendra le pouvoir devenu vacant ? Certainement pas cette opposition déjà moribonde, qui ne songe déjà plus à contester le système qui l’a placée là où elle est. Dans ces navigations troubles qui précèdent les grands naufrages, il va falloir que rapidement, naissent de grands capitaines.
Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du RPF
2 watts moins le quart avant l’effondrement
L’effondrement de l’économie arrive à grands pas et l’insouciance, comme le déni, sont les dénominateurs communs que se partagent citoyens et dirigeants politiques. Quelques voix s’élèvent pourtant, noyées par l’idéologie otanienne et la ligne de conduite de Davos, dont la principale occupation est d’étouffer la vérité et le bon sens, pour ne pas avoir à avouer qu’ils se sont trompés.
Outre-Rhin, le ministre de l’Économie sonne l’alarme et s’évertue à expliquer que l’économie allemande s’écroule. Les entreprises ferment en cascade et personne ne l’écoute. Il prêche dans le désert, il a beau expliquer que la disponibilité ne conditionne pas le prix, personne ne retient la leçon. Le prix de l’énergie, en explosant, entraîne la ruine de nos économies. Si le coût répercuté sur le produit final rend le produit trop cher, donc invendable, l’entreprise ferme. Comme Duralex chez nous. Nos élites ont souscrit à l’idée qu’il y avait trop de PME et qu’il fallait en éliminer une bonne part, au profit des grands groupes en place. Mais avec le doublement, voire plus, du prix de l’électricité, petites entreprises comme grands groupes mettront la clé sous la porte. Le boulanger local qui allumera son four, sera touché autant que l’aciérie transnationale. En Grande-Bretagne, deux grandes sociétés d’engrais azotés ont fermé leurs portes. Ces faillites vont se multiplier, sous le regard ahuri de nos dirigeants qui pensaient, et on se demande bien pourquoi, que seules les PME seraient emportées. Les Français ne semblent pas avoir encore compris qu’une explosion du prix de l’électricité impactera toute notre vie dans tous ses aspects. Tous les appareils, dans un hôpital, marchent avec de l’électricité, les chaînes de montage auto, les verreries, internet, les distributeurs de billets, les caisses enregistreuses, les rayons réfrigérés des supermarchés, les systèmes d’alarme et de surveillance, etc… toutes les coupures impacteront et rendront la production compliquée, ou les condamnera à une disparition certaine, faute de trouver assez de consommateurs solvables.
Les Français ont l’air persuadés qu’on va passer à travers les gouttes, l’insouciance de l’été est encore là. La baisse du prix sur les carburants est l’emplâtre qui les rassure. En face nous avons nos députés, mis en vacances par Macron et visiblement très satisfaits de ce repos forcé, contre lequel ils ne se rebellent pas. Ils laissent le monarque continuer sa politique, démembrer notre pays et son économie, à grands coups de mesures aussi stupides qu’inutiles. Le Maire, inconditionnel disciple de la politique européenne, a voulu mettre la Russie à genoux, mais c’est notre économie qui s’effondre. L’Allemagne sombre dans l’indifférence du nouveau chancelier, trop préoccupé à suivre l’idéologie américaine et soudainement incapable de voir l’intérêt de son peuple. L’Allemagne nous avait pourtant habitués, ces dernières années, à plus de nationalisme. Les nôtres ayant depuis longtemps abdiqué, préférant le sacrifice de notre nation sur l’autel du mondialisme et de l’immigration africaine, chances pour l’Europe. Nous voyons le mur s’avancer, mais nos parlementaires sont en vacances… quand tout se sera écroulé, quand l’effondrement de l’économie aura emporté les dernières illusions de grandeur de l’Europe et de la France, en particulier et avec elles, les institutions qui seront devenues obsolètes, qui récupérera le pouvoir abandonné par l’opposition ? L’opposition a choisi de rester spectatrice du carnage, approuvant de fait les gesticulations de Macron et regarde l’Europe se suicider, sous la seule volonté d’une poignée d’irresponsables. Qui, sur les débris de nos économies, de nos propres existences, prendra le pouvoir devenu vacant ? Certainement pas cette opposition déjà moribonde, qui ne songe déjà plus à contester le système qui l’a placée là où elle est. Dans ces navigations troubles qui précèdent les grands naufrages, il va falloir que rapidement, naissent de grands capitaines.
Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du RPF
☐ 1/9/2022
Messieurs-dames les députés : bougez !
On ne peut tolérer que l’avenir de notre pays se réduise à la seule volonté d’un homme, fut-il élu au suffrage universel. Il y a des orientations qui ne peuvent être prises qu’après consultation, si ce n’est du peuple, au moins de ses représentants. Ainsi, il est anormal de laisser à Macron le soin de décréter des sanctions à mettre en place contre un pays, dès lors que les conséquences qui en découleront, toucheront gravement l’ensemble des citoyens et de l’économie du pays. En réalité, c’est bien la liquidation quasi-totale de ce qui reste de notre industrie qui s’annonce, avec un prix du courant électrique qui rendra impossible à rentabiliser toute forme de production.
Il ne saurait être tolérable de laisser à un seul personnage, entouré d’un conseil secret, non démocratique, le soin de décider des coupures de courant, sachant que la pénurie électrique est directement imputable à la décision d’arrêter la moitié des réacteurs nucléaires qui nous assuraient l’indépendance énergétique. Il y a de la folie dans ses décisions, il y en aura tout autant en le laissant faire comme bon lui semble. Lui et son gouvernement sabotent au préalable pour pouvoir crier au loup. Si nous manquons d’énergie cet hiver, c’est uniquement parce que Macron et ses affidés ont pris des décisions qui conduisent à cette catastrophe en devenir.
Il est temps qu’un vrai débat national soit engagé sur l’opportunité de poursuivre des sanctions qui nous mènent à la ruine, sur la dépendance énergétique qu’entraîne une posture écologique violemment tenue par des groupuscules enragés, qui nous ont fait presque abandonner le nucléaire. Rester en dehors de ce débat et de ces décisions, c’est admettre que Macron est en droit de gouverner seul, c’est accepter d’être une opposition vassalisée entérinant ses décisions. Il est de votre devoir de siéger, même contre son avis, vous devez montrer à l’exécutif qu’il ne pourra plus décider en catimini. Et si le palais Bourbon vous est interdit, réunissez vous ailleurs, montrez au reste du monde qu’en France, on ne bâillonne pas les représentants du peuple, faites vaciller enfin ce pouvoir hautain. Comme en leur temps, vos prédécesseurs investirent le Jeu de Paume. Les Français vous regardent et pour le moment, ils ne constatent qu’une apathie, qui n’est pas pour les rassurer sur l’avenir incertain qui avance et dont ils devront, si vous ne vous faites pas le travail d’élus, assumer seuls les conséquences.
Par Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Messieurs-dames les députés : bougez !
On ne peut tolérer que l’avenir de notre pays se réduise à la seule volonté d’un homme, fut-il élu au suffrage universel. Il y a des orientations qui ne peuvent être prises qu’après consultation, si ce n’est du peuple, au moins de ses représentants. Ainsi, il est anormal de laisser à Macron le soin de décréter des sanctions à mettre en place contre un pays, dès lors que les conséquences qui en découleront, toucheront gravement l’ensemble des citoyens et de l’économie du pays. En réalité, c’est bien la liquidation quasi-totale de ce qui reste de notre industrie qui s’annonce, avec un prix du courant électrique qui rendra impossible à rentabiliser toute forme de production.
Il ne saurait être tolérable de laisser à un seul personnage, entouré d’un conseil secret, non démocratique, le soin de décider des coupures de courant, sachant que la pénurie électrique est directement imputable à la décision d’arrêter la moitié des réacteurs nucléaires qui nous assuraient l’indépendance énergétique. Il y a de la folie dans ses décisions, il y en aura tout autant en le laissant faire comme bon lui semble. Lui et son gouvernement sabotent au préalable pour pouvoir crier au loup. Si nous manquons d’énergie cet hiver, c’est uniquement parce que Macron et ses affidés ont pris des décisions qui conduisent à cette catastrophe en devenir.
Il est temps qu’un vrai débat national soit engagé sur l’opportunité de poursuivre des sanctions qui nous mènent à la ruine, sur la dépendance énergétique qu’entraîne une posture écologique violemment tenue par des groupuscules enragés, qui nous ont fait presque abandonner le nucléaire. Rester en dehors de ce débat et de ces décisions, c’est admettre que Macron est en droit de gouverner seul, c’est accepter d’être une opposition vassalisée entérinant ses décisions. Il est de votre devoir de siéger, même contre son avis, vous devez montrer à l’exécutif qu’il ne pourra plus décider en catimini. Et si le palais Bourbon vous est interdit, réunissez vous ailleurs, montrez au reste du monde qu’en France, on ne bâillonne pas les représentants du peuple, faites vaciller enfin ce pouvoir hautain. Comme en leur temps, vos prédécesseurs investirent le Jeu de Paume. Les Français vous regardent et pour le moment, ils ne constatent qu’une apathie, qui n’est pas pour les rassurer sur l’avenir incertain qui avance et dont ils devront, si vous ne vous faites pas le travail d’élus, assumer seuls les conséquences.
Par Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 30/8/2022
Les conseils secrets doivent cesser
Après les conseils de défense COVID, dont on sait aujourd’hui qu’ils ne furent qu’une vaste mascarade, voilà ceux sur l’énergie. Ne pouvant se défaire de l’envie de nous nuire et n’ayant plus de grain à moudre avec la fausse pandémie, il se rabat sur l’énergie. L’homme aime l’emphase, il a besoin de frapper les esprits pour se grandir faute de porter, dans son action, l’excellence qu’il s’attribue. Quoi de plus martial qu’un conseil de défense ? Mais défense de quoi ? Où est l’ennemi qui frapperait à notre porte et justifierait ces alcôves furtives et ténébreuses ? Il faut bien, par un jeu savamment orchestré, justifier l’injustifiable. Restriction, pénurie, démolition de la France et de son économie, seront au menu concocté « pour notre bien ».
Il organise lui-même son petit cénacle et dirige les débats dans l’obscurantisme le plus complet. Il ne règle pas les problèmes, il les créés. C’est uniquement sa faute, si nous devons subir une hausse du prix du gaz de l’électricité et des produits alimentaires, pour suivre aveuglément et sans discernement les délires, ou les plans, de Van Der Leyen et de Biden. Il nous annonce un cataclysme et se fera un plaisir de nous dire qu’il a évité le pire grâce aux décisions prises en dehors de tout contrôle parlementaire. Cet homme se fiche de la démocratie qu’il considère comme un frein. La liberté est pour lui une plaie et il use de tous les stratagèmes pour la contourner tout en martelant qu’il agit pour notre bien.
L’opposition, qui commence à regimber, doit arrêter cette mascarade et interdire que ces conseils se réunissent en catimini, sous la seule volonté du Président. Nous ne sommes pas en régime Présidentiel pur, il est donc urgent de faire cesser cette pratique. S’empressera-t-il de classer secret défense tout ce qui va s’y dire ? S’il veut vraiment aider notre pays, la solution est simple, pour éviter une crise énergétique et sociale : cesser d’alimenter la guerre en Ukraine. Qui a protesté quand les Américains ont démantelé la Yougoslavie ? Quand les Français ne pourront plus ni se chauffer, ni se nourrir, que croit-il qu’il se passera ? Borne, après s’être félicitée de la fermeture des réacteurs de Fessenheim comme étant la panacée de l’écologie, vient aujourd’hui nous expliquer qu’il faut des restrictions dans toutes les entreprises, pour pallier la pénurie d’énergie qu’elle a elle-même organisée. La planification de nos malheurs apparaît maintenant de plus en plus clairement aux yeux des observateurs. Il est nécessaire de mettre cet homme et ce gouvernement hors d’état de nuire, par la voie légale de la destitution : on ne peut rien construire avec un président qui est devenu l’ennemi intérieur du pays.
Par Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Les conseils secrets doivent cesser
Après les conseils de défense COVID, dont on sait aujourd’hui qu’ils ne furent qu’une vaste mascarade, voilà ceux sur l’énergie. Ne pouvant se défaire de l’envie de nous nuire et n’ayant plus de grain à moudre avec la fausse pandémie, il se rabat sur l’énergie. L’homme aime l’emphase, il a besoin de frapper les esprits pour se grandir faute de porter, dans son action, l’excellence qu’il s’attribue. Quoi de plus martial qu’un conseil de défense ? Mais défense de quoi ? Où est l’ennemi qui frapperait à notre porte et justifierait ces alcôves furtives et ténébreuses ? Il faut bien, par un jeu savamment orchestré, justifier l’injustifiable. Restriction, pénurie, démolition de la France et de son économie, seront au menu concocté « pour notre bien ».
Il organise lui-même son petit cénacle et dirige les débats dans l’obscurantisme le plus complet. Il ne règle pas les problèmes, il les créés. C’est uniquement sa faute, si nous devons subir une hausse du prix du gaz de l’électricité et des produits alimentaires, pour suivre aveuglément et sans discernement les délires, ou les plans, de Van Der Leyen et de Biden. Il nous annonce un cataclysme et se fera un plaisir de nous dire qu’il a évité le pire grâce aux décisions prises en dehors de tout contrôle parlementaire. Cet homme se fiche de la démocratie qu’il considère comme un frein. La liberté est pour lui une plaie et il use de tous les stratagèmes pour la contourner tout en martelant qu’il agit pour notre bien.
L’opposition, qui commence à regimber, doit arrêter cette mascarade et interdire que ces conseils se réunissent en catimini, sous la seule volonté du Président. Nous ne sommes pas en régime Présidentiel pur, il est donc urgent de faire cesser cette pratique. S’empressera-t-il de classer secret défense tout ce qui va s’y dire ? S’il veut vraiment aider notre pays, la solution est simple, pour éviter une crise énergétique et sociale : cesser d’alimenter la guerre en Ukraine. Qui a protesté quand les Américains ont démantelé la Yougoslavie ? Quand les Français ne pourront plus ni se chauffer, ni se nourrir, que croit-il qu’il se passera ? Borne, après s’être félicitée de la fermeture des réacteurs de Fessenheim comme étant la panacée de l’écologie, vient aujourd’hui nous expliquer qu’il faut des restrictions dans toutes les entreprises, pour pallier la pénurie d’énergie qu’elle a elle-même organisée. La planification de nos malheurs apparaît maintenant de plus en plus clairement aux yeux des observateurs. Il est nécessaire de mettre cet homme et ce gouvernement hors d’état de nuire, par la voie légale de la destitution : on ne peut rien construire avec un président qui est devenu l’ennemi intérieur du pays.
Par Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 30/8/2022
Du discours trompeur...
L’hôpital craque, ça on le savait. Mais cela va beaucoup plus loin. Sur France-Info, qui n’est pas spécialement une radio complotiste, un président de collectif de défense expliquait que les urgences devaient fermer la nuit et que la sécurité des patients n’était plus assurée. Il prenait comme exemple, une vieille dame, morte dans un service d’urgence, dont France-Info ne mentionnait pas le nom, après avoir passé sept heures sur une chaise, à attendre en vain qu’on la prenne en charge. Le président d’expliquer que ce genre de cas n’était pas isolé. Mais la radio nationale, pourtant légèrement la « voix de son maître », car largement subventionnée, s’est fendue d’un floutage des voix des intervenants qui racontaient ces horreurs. Et pourquoi donc ?
Explication, toujours par le président du collectif : « nous subissons des pressions impensables pour ne pas raconter la réalité » de nos hôpitaux, aujourd’hui. En réalité, malgré le Covid, la période estivale propice aux accidents, les lits ont continué à fermer, en grande quantité, pendant que le gouvernement ne communique pas sur ces décisions et pire, fait croire que tout va bien et ordonne la chape de plomb, au point que personne n’ose raconter quoi que ce soit, de peur de perdre son travail et ne propose de s’exprimer qu’anonymement et avec la voix masquée, dans quel pays vit-on ? À tel point qu’à l’hôpital de Laval, deux syndicats ont déposé un signalement auprès du procureur de la République de Mayenne, alertant sur « la mise en danger du personnel hospitalier de Laval ». Ce service souffre depuis plusieurs mois de fermetures à répétition, à cause d’un manque de personnel et de suppression de lits.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous alertons depuis quelques temps sur la tromperie par le discours. L’État ne tente pas de résoudre les crises qui se présentent, contrairement à ce qu’il prétend, il les organise. La destruction méthodique des services publics résulte bien d’une volonté politique, du moins en ce qui concerne la santé, avec les suppressions de lits, la mise à l’écart de personnels non-vaccinés, alors même qu’il est acté que la vaccination n’empêche pas la transmission. Il en va de même, en matière d’éducation, avec la sous-rémunération chronique des profs, les recrutements hasardeux et les suppressions de postes. En matière d’énergie également, puisque le programme a consisté à fermer des centrales nucléaires, sur des critères idéologiques, pour ensuite décréter le rationnement. Ce ne sont pas seulement les personnels hospitaliers de Laval qui sont en danger, c’est la nation tout entière.
Du discours trompeur...
L’hôpital craque, ça on le savait. Mais cela va beaucoup plus loin. Sur France-Info, qui n’est pas spécialement une radio complotiste, un président de collectif de défense expliquait que les urgences devaient fermer la nuit et que la sécurité des patients n’était plus assurée. Il prenait comme exemple, une vieille dame, morte dans un service d’urgence, dont France-Info ne mentionnait pas le nom, après avoir passé sept heures sur une chaise, à attendre en vain qu’on la prenne en charge. Le président d’expliquer que ce genre de cas n’était pas isolé. Mais la radio nationale, pourtant légèrement la « voix de son maître », car largement subventionnée, s’est fendue d’un floutage des voix des intervenants qui racontaient ces horreurs. Et pourquoi donc ?
Explication, toujours par le président du collectif : « nous subissons des pressions impensables pour ne pas raconter la réalité » de nos hôpitaux, aujourd’hui. En réalité, malgré le Covid, la période estivale propice aux accidents, les lits ont continué à fermer, en grande quantité, pendant que le gouvernement ne communique pas sur ces décisions et pire, fait croire que tout va bien et ordonne la chape de plomb, au point que personne n’ose raconter quoi que ce soit, de peur de perdre son travail et ne propose de s’exprimer qu’anonymement et avec la voix masquée, dans quel pays vit-on ? À tel point qu’à l’hôpital de Laval, deux syndicats ont déposé un signalement auprès du procureur de la République de Mayenne, alertant sur « la mise en danger du personnel hospitalier de Laval ». Ce service souffre depuis plusieurs mois de fermetures à répétition, à cause d’un manque de personnel et de suppression de lits.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous alertons depuis quelques temps sur la tromperie par le discours. L’État ne tente pas de résoudre les crises qui se présentent, contrairement à ce qu’il prétend, il les organise. La destruction méthodique des services publics résulte bien d’une volonté politique, du moins en ce qui concerne la santé, avec les suppressions de lits, la mise à l’écart de personnels non-vaccinés, alors même qu’il est acté que la vaccination n’empêche pas la transmission. Il en va de même, en matière d’éducation, avec la sous-rémunération chronique des profs, les recrutements hasardeux et les suppressions de postes. En matière d’énergie également, puisque le programme a consisté à fermer des centrales nucléaires, sur des critères idéologiques, pour ensuite décréter le rationnement. Ce ne sont pas seulement les personnels hospitaliers de Laval qui sont en danger, c’est la nation tout entière.
☐ 30/8/2022
Je me marre... prof solide, tout temps et tout terrain, derniers échelons de la hors-classe et de la classe exceptionnelle, quarante ans d’expérience, habillé pas à la mode, avec des méthodes ringardes basées sur le travail et la discipline, exigeant avec les filles et les garçons, quelles que soient leur couleur de peau, leur origine ethnique et leur religion, attend qu’on se mette en rang le matin, qu’on ne parle pas pendant le travail et qui explique et réexplique jusqu’à ce que tout le monde ait compris. Passe pour un vieux con, mais s’en fout. Sait écrire sans faute. N'a pas pris un seul jour de congé pendant le Covid. Espèce en voie de disparition. Fait sa pré-rentrée demain. C’est pas le tout de passer son été à faire le zouave sous l’eau et dans le ciel.
Je me marre... prof solide, tout temps et tout terrain, derniers échelons de la hors-classe et de la classe exceptionnelle, quarante ans d’expérience, habillé pas à la mode, avec des méthodes ringardes basées sur le travail et la discipline, exigeant avec les filles et les garçons, quelles que soient leur couleur de peau, leur origine ethnique et leur religion, attend qu’on se mette en rang le matin, qu’on ne parle pas pendant le travail et qui explique et réexplique jusqu’à ce que tout le monde ait compris. Passe pour un vieux con, mais s’en fout. Sait écrire sans faute. N'a pas pris un seul jour de congé pendant le Covid. Espèce en voie de disparition. Fait sa pré-rentrée demain. C’est pas le tout de passer son été à faire le zouave sous l’eau et dans le ciel.
☐ 25/8/2022
L’organisation de la fin de l’insouciance
Macron a beau jeu de clamer « la fin de l’insouciance », il l’a lui-même organisée. Maniant en permanence l’injonction contradictoire, il a envoyé Philippe, le premier ministre, expliquer à la tribune, que le masque ne servait à rien, puis a rendu le masque obligatoire, y compris pour les enfants du cours préparatoire. Puis il a incité à la vaccination, ne l’a pas rendue obligatoire, ça aurait été illégal, mais a privé les non-vaccinés de vie sociale. A fait licencier des personnels soignants et des pompiers, les privant d’avenir et nous privant de ressources humaines. A empêché les malades chroniques non-vaccinés, d’aller se faire soigner. A laissé planer le doute sur les mesures coercitives. A commencé par traiter de « complotistes » ceux qui ont vu arriver le passe-vaccinal, avant de traiter encore de « complotistes », les mêmes qui finalement ont refusé de s’y soumettre. Il a décidé de tout, quasiment tout seul, tout en expliquant benoîtement que pour le reste, c’est l’Europe qu’on est obligé de suivre : l’inflation, les sanctions à l’Ukraine, la guerre inconsidérée contre la Russie… et servi sa formule « c’est pas bibi », à propos du prix du pétrole.
Si bien qu’un jeune ménage ne sait plus tout à fait s’il peut faire un projet d’avenir avec un crédit, si ses enfants seront bien enseignés, si les grands enfants trouveront un travail décent à l’issue de leurs études, si cet hiver, on pourra se chauffer, voire manger. Il complote, avec ses amis de Bruxelles et traite encore de « complotistes » ceux qui le voient arriver avec six mois d’avance et qui sont désormais très nombreux. Le pyromane annonce le feu qu’il a lui même allumé et il a dans sa besace, dit-il, les moyens de l’éteindre, il faut le faire, par solidarité, avec qui, on se le demande. Pour la planète ? alors que nous sommes un pays qui produit moins de un pour cent de la pollution mondiale et que nous pourrions bien couler dans l’Atlantique, que le réchauffement climatique ne bougerait pas d’un iota.
Ses solutions, on les connaît : rationnements, ségrégations, privations, coercitions. Il n’a fait que cela depuis plus de cinq ans, quelles raisons aurions de croire que cela pourrait changer ?
L’organisation de la fin de l’insouciance
Macron a beau jeu de clamer « la fin de l’insouciance », il l’a lui-même organisée. Maniant en permanence l’injonction contradictoire, il a envoyé Philippe, le premier ministre, expliquer à la tribune, que le masque ne servait à rien, puis a rendu le masque obligatoire, y compris pour les enfants du cours préparatoire. Puis il a incité à la vaccination, ne l’a pas rendue obligatoire, ça aurait été illégal, mais a privé les non-vaccinés de vie sociale. A fait licencier des personnels soignants et des pompiers, les privant d’avenir et nous privant de ressources humaines. A empêché les malades chroniques non-vaccinés, d’aller se faire soigner. A laissé planer le doute sur les mesures coercitives. A commencé par traiter de « complotistes » ceux qui ont vu arriver le passe-vaccinal, avant de traiter encore de « complotistes », les mêmes qui finalement ont refusé de s’y soumettre. Il a décidé de tout, quasiment tout seul, tout en expliquant benoîtement que pour le reste, c’est l’Europe qu’on est obligé de suivre : l’inflation, les sanctions à l’Ukraine, la guerre inconsidérée contre la Russie… et servi sa formule « c’est pas bibi », à propos du prix du pétrole.
Si bien qu’un jeune ménage ne sait plus tout à fait s’il peut faire un projet d’avenir avec un crédit, si ses enfants seront bien enseignés, si les grands enfants trouveront un travail décent à l’issue de leurs études, si cet hiver, on pourra se chauffer, voire manger. Il complote, avec ses amis de Bruxelles et traite encore de « complotistes » ceux qui le voient arriver avec six mois d’avance et qui sont désormais très nombreux. Le pyromane annonce le feu qu’il a lui même allumé et il a dans sa besace, dit-il, les moyens de l’éteindre, il faut le faire, par solidarité, avec qui, on se le demande. Pour la planète ? alors que nous sommes un pays qui produit moins de un pour cent de la pollution mondiale et que nous pourrions bien couler dans l’Atlantique, que le réchauffement climatique ne bougerait pas d’un iota.
Ses solutions, on les connaît : rationnements, ségrégations, privations, coercitions. Il n’a fait que cela depuis plus de cinq ans, quelles raisons aurions de croire que cela pourrait changer ?
☐ 23/8/2022
Du vaccin au changement climatique
[Gilles La Carbona]
Une question se pose avec acuité et l’opposition devrait être en mesure d’y apporter une réponse claire. Quand cessera enfin la délégation des décisions en matière sanitaire ? Le nouveau conseil scientifique, par sa présidente Brigitte Autran, pense qu’il n’y a pas assez de vaccinés en France. Vaccinés, contre quoi ? Un virus qui a disparu à force de mutation ? L’annonce surprend d’autant que le mois dernier, Delfraissy et Fischer dénonçaient l’instrumentalisation du conseil scientifique, et l’inutilité de la vaccination, la comparant au mieux à un traitement. Les effets secondaires semblent encore parfaitement d’actualité et toujours aussi mal connus et pourtant, la chape de plomb, les réticences et les mensonges perdurent. Des décès par crises cardiaques, cancers foudroyants, seraient en augmentation. Et les articles scientifiques n’en finissent plus de dénoncer la dangerosité de ces vaccins. Mais voilà que la nouvelle égérie de la science médicale, version Macron, en remet une couche. Dans le même temps, un syndicat de soignants indépendant nous apprend que 57% des médecins sont aujourd’hui hostiles à ces injections. Notez bien que ce nouveau conseil scientifique est aussi chargé d’évaluer l’impact du changement climatique sur la santé. Ne serait- ce pas une mission pour attribuer nos maux au changement climatique ?
L’homme serait-il devenu à ce point fragile qu’il ne supporte plus une variation de température, lui qui depuis son arrivé sur Terre a connu périodes de refroidissements et de réchauffements sans pour autant disparaître. Il ne fait pas encore, en Europe, les températures africaines et les Africains survivent non ? La ficelle est bien grosse et il ne saurait être question de subir à présent une nouvelle vague de restriction ou de mesures délirantes. Il est urgent que le parlement reprenne le contrôle et qu’il se débarrasse de ce nouveau conseil, dont on ne voit pas ce qu’il pourrait faire de mieux que l’ancien, dont on sait aujourd’hui tous les travers et les compromissions qui l’ont caractérisé. Combien de ces éminents scientifiques avaient touché de l’argent des labos ? Combien de ce nouveau conseil sont dans le même cas ? Il appartient aux parlementaires de faire la lumière sur les éventuelles collusions et de prendre les mesures pour les écarter du pouvoir. Il est inadmissible qu’un pouvoir se cache derrière une structure non élue, dont les débats sont en plus, classés secret défense. Une démocratie ne peut laisser en place une telle structure. Au pire elle doit non seulement la contrôler mais aussi être à l’origine du choix de ses membres. Les citoyens ont clairement exprimé, en juin, leur besoin de changement, il appartient à l’opposition, détentrice de la majorité, de refuser cette façon de gouverner. Par respect des mandats qui lui ont été confiés, cette opposition doit défaire cette commission, ou a minima, rendre ses discussions publiques.
[Gilles La Carbona]
Une question se pose avec acuité et l’opposition devrait être en mesure d’y apporter une réponse claire. Quand cessera enfin la délégation des décisions en matière sanitaire ? Le nouveau conseil scientifique, par sa présidente Brigitte Autran, pense qu’il n’y a pas assez de vaccinés en France. Vaccinés, contre quoi ? Un virus qui a disparu à force de mutation ? L’annonce surprend d’autant que le mois dernier, Delfraissy et Fischer dénonçaient l’instrumentalisation du conseil scientifique, et l’inutilité de la vaccination, la comparant au mieux à un traitement. Les effets secondaires semblent encore parfaitement d’actualité et toujours aussi mal connus et pourtant, la chape de plomb, les réticences et les mensonges perdurent. Des décès par crises cardiaques, cancers foudroyants, seraient en augmentation. Et les articles scientifiques n’en finissent plus de dénoncer la dangerosité de ces vaccins. Mais voilà que la nouvelle égérie de la science médicale, version Macron, en remet une couche. Dans le même temps, un syndicat de soignants indépendant nous apprend que 57% des médecins sont aujourd’hui hostiles à ces injections. Notez bien que ce nouveau conseil scientifique est aussi chargé d’évaluer l’impact du changement climatique sur la santé. Ne serait- ce pas une mission pour attribuer nos maux au changement climatique ?
L’homme serait-il devenu à ce point fragile qu’il ne supporte plus une variation de température, lui qui depuis son arrivé sur Terre a connu périodes de refroidissements et de réchauffements sans pour autant disparaître. Il ne fait pas encore, en Europe, les températures africaines et les Africains survivent non ? La ficelle est bien grosse et il ne saurait être question de subir à présent une nouvelle vague de restriction ou de mesures délirantes. Il est urgent que le parlement reprenne le contrôle et qu’il se débarrasse de ce nouveau conseil, dont on ne voit pas ce qu’il pourrait faire de mieux que l’ancien, dont on sait aujourd’hui tous les travers et les compromissions qui l’ont caractérisé. Combien de ces éminents scientifiques avaient touché de l’argent des labos ? Combien de ce nouveau conseil sont dans le même cas ? Il appartient aux parlementaires de faire la lumière sur les éventuelles collusions et de prendre les mesures pour les écarter du pouvoir. Il est inadmissible qu’un pouvoir se cache derrière une structure non élue, dont les débats sont en plus, classés secret défense. Une démocratie ne peut laisser en place une telle structure. Au pire elle doit non seulement la contrôler mais aussi être à l’origine du choix de ses membres. Les citoyens ont clairement exprimé, en juin, leur besoin de changement, il appartient à l’opposition, détentrice de la majorité, de refuser cette façon de gouverner. Par respect des mandats qui lui ont été confiés, cette opposition doit défaire cette commission, ou a minima, rendre ses discussions publiques.

☐ 11/8/2022
Brèves politiquement incorrectes…
[Gilles La Carbona]
Diplomatie
Les communications téléphoniques entre Macron et Poutine sont coupées. C’est le résultat de l’inconséquence des révélations de conversations, qui auraient dû rester secrètes, entre les deux hommes. Le gamin de l’Élysée, frivole et irrationnel, a cru malin de diffuser une conversation à caractère stratégique et diplomatique. Il a pensé éblouir, par son audace, un public en manque de sensation forte. Sans doute conseillé par son entourage, pour se montrer irrévérencieux et combatif : monsieur « casse les codes » et surtout l’image de la diplomatie française, qu’il a liquidée, ça se voit. Encore une fois la réalité rattrape ces névrosés et la sanction tombe. Macron n’a plus de relations privilégiées avec Poutine, la France s’isole sur le plan international. Après un second épisode, en forme de tournée calamiteuse en Afrique, Macron laisse la place aux vrais chefs d’État et Erdogan prendre la main sur les relations entre l’Europe et la Russie.
Politique intérieure
Nouveau couac pour les macronistes, l’Assemblée nationale a rejeté le projet de loi de règlement du budget 2021. Oh certes, rien ne sera remis en cause, c’est habituellement une formalité, un document technique qui revient sur les comptes de l’année passée. Mais c’est surtout le signe que dorénavant le pouvoir ne dispose plus de marge de manœuvre quant à l’utilisation de l’arme du déficit budgétaire, qui a atteint 6.4% du PIB en 2021. Son rejet n’entraîne pas de conséquence sur la programmation budgétaire de 2023. Quand les oppositions s’unissent, elles contrôlent réellement la vie publique de notre pays. Elles ont encore beaucoup de mal à le comprendre, surtout quand on voit l’abstention du RN concernant l’adhésion à l’OTAN de la Finlande et de la Suède. Il va falloir que nos députés comprennent une bonne fois pour toute que nous ne les envoyons pas siéger pour s’abstenir, mais pour se positionner. On veut de la clarté, du OUI ou du NON, pas du JE NE SAIS PAS. Ces esquives sont insupportables, s’ils ne savent pas, c’est qu’ils n’ont rien à faire là.
Véran l’épouvantail
Revoilà Véran, en super-vilain, façon Joker, menaçant les Français sur les choix énergétiques qu’ils devront arbitrer cet hiver : se chauffer, faire la cuisine, ou se laver. Rien que ça. Choix qui n’est que la conséquence de l’incurie de la politique suivie par l’Europe et imposée à l’ensemble des pays membres. D’autres voies étaient possibles, mais il fallait abandonner l’idéologie davosienne/otanienne. En l’absence de sanctions contre la Russie, nous n’aurions pas de soucis. Rajoutons à cette débandade la moitié de nos centrales nucléaires à l’arrêt, pour faire plaisir à la minorité écologique qui ne cesse d’imposer des choix idéologiques d’écolo-urbains hors-sol et vous avez un cocktail détonnant avant l’hiver. Comble de l’ironie, nos réserves de gaz pourraient être en partie revendues à l’Allemagne. Macron ne voit donc aucun inconvénient à priver son peuple d’énergie au profit de l’étranger. Véran n’est heureux que dans le drame, la menace, la peur. Cet homme se complaît dans l’annonce de catastrophes, la diffusion d’angoisse et l’orchestration des asservissements qui en découlent. Et nous payons les factures.
Doses de malheur
Côté vaccination, ou plutôt effets secondaires, c’est le sauve-qui-peut. Après les déballages de Delfraissy, de Fischer, le Lancet, par l’intermédiaire d’un directeur de recherches au CNRS, s’exprime en son propre nom et écrit : « en conclusion, la vaccination COVID-19 est un facteur de risque majeur pour les infections chez les patients en état critique » et de poursuivre, « ces perturbations (celles dues au vaccin ARN), ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurovégétatives, la myocardites, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la réponse altérée aux dommage de l’ADN et la tumorigenèse… » « Nous pensons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARN, remet en question leur contribution positive à la santé publique. » Combien de temps avant explosion dans les médias classiques, toujours sous influence ?
[Gilles La Carbona]
Diplomatie
Les communications téléphoniques entre Macron et Poutine sont coupées. C’est le résultat de l’inconséquence des révélations de conversations, qui auraient dû rester secrètes, entre les deux hommes. Le gamin de l’Élysée, frivole et irrationnel, a cru malin de diffuser une conversation à caractère stratégique et diplomatique. Il a pensé éblouir, par son audace, un public en manque de sensation forte. Sans doute conseillé par son entourage, pour se montrer irrévérencieux et combatif : monsieur « casse les codes » et surtout l’image de la diplomatie française, qu’il a liquidée, ça se voit. Encore une fois la réalité rattrape ces névrosés et la sanction tombe. Macron n’a plus de relations privilégiées avec Poutine, la France s’isole sur le plan international. Après un second épisode, en forme de tournée calamiteuse en Afrique, Macron laisse la place aux vrais chefs d’État et Erdogan prendre la main sur les relations entre l’Europe et la Russie.
Politique intérieure
Nouveau couac pour les macronistes, l’Assemblée nationale a rejeté le projet de loi de règlement du budget 2021. Oh certes, rien ne sera remis en cause, c’est habituellement une formalité, un document technique qui revient sur les comptes de l’année passée. Mais c’est surtout le signe que dorénavant le pouvoir ne dispose plus de marge de manœuvre quant à l’utilisation de l’arme du déficit budgétaire, qui a atteint 6.4% du PIB en 2021. Son rejet n’entraîne pas de conséquence sur la programmation budgétaire de 2023. Quand les oppositions s’unissent, elles contrôlent réellement la vie publique de notre pays. Elles ont encore beaucoup de mal à le comprendre, surtout quand on voit l’abstention du RN concernant l’adhésion à l’OTAN de la Finlande et de la Suède. Il va falloir que nos députés comprennent une bonne fois pour toute que nous ne les envoyons pas siéger pour s’abstenir, mais pour se positionner. On veut de la clarté, du OUI ou du NON, pas du JE NE SAIS PAS. Ces esquives sont insupportables, s’ils ne savent pas, c’est qu’ils n’ont rien à faire là.
Véran l’épouvantail
Revoilà Véran, en super-vilain, façon Joker, menaçant les Français sur les choix énergétiques qu’ils devront arbitrer cet hiver : se chauffer, faire la cuisine, ou se laver. Rien que ça. Choix qui n’est que la conséquence de l’incurie de la politique suivie par l’Europe et imposée à l’ensemble des pays membres. D’autres voies étaient possibles, mais il fallait abandonner l’idéologie davosienne/otanienne. En l’absence de sanctions contre la Russie, nous n’aurions pas de soucis. Rajoutons à cette débandade la moitié de nos centrales nucléaires à l’arrêt, pour faire plaisir à la minorité écologique qui ne cesse d’imposer des choix idéologiques d’écolo-urbains hors-sol et vous avez un cocktail détonnant avant l’hiver. Comble de l’ironie, nos réserves de gaz pourraient être en partie revendues à l’Allemagne. Macron ne voit donc aucun inconvénient à priver son peuple d’énergie au profit de l’étranger. Véran n’est heureux que dans le drame, la menace, la peur. Cet homme se complaît dans l’annonce de catastrophes, la diffusion d’angoisse et l’orchestration des asservissements qui en découlent. Et nous payons les factures.
Doses de malheur
Côté vaccination, ou plutôt effets secondaires, c’est le sauve-qui-peut. Après les déballages de Delfraissy, de Fischer, le Lancet, par l’intermédiaire d’un directeur de recherches au CNRS, s’exprime en son propre nom et écrit : « en conclusion, la vaccination COVID-19 est un facteur de risque majeur pour les infections chez les patients en état critique » et de poursuivre, « ces perturbations (celles dues au vaccin ARN), ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurovégétatives, la myocardites, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la réponse altérée aux dommage de l’ADN et la tumorigenèse… » « Nous pensons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARN, remet en question leur contribution positive à la santé publique. » Combien de temps avant explosion dans les médias classiques, toujours sous influence ?

☐ 8/8/2022
En finir avec les rodéos
[Jean-Pierre Clément-Jabouina]

☐ 31/7/2022En finir avec les rodéos
[Jean-Pierre Clément-Jabouina]
Les rodéos des « racailles » de banlieues, dont tout le monde connaît le profil, sans possibilité de le nommer, sont un phénomène franco-français, qui n’existe nulle part ailleurs en Europe. Preuve qu’en France, on peut se permettre, à condition d’avoir le bon profil, à peu près tout et n’importe quoi. Et les intervenants, sur ce sujet, font pitié. À commencer par les promoteurs LREM de la loi sur la criminalisation des rodéos, qui expliquent benoîtement qu’il est bien difficile de poursuivre les auteurs en milieu très urbanisé, alors qu’en campagne, cela pose moins de problème. Traduire qu’en campagne, on n’a pas les associations de bien-pensance sur le dos en cas de blessure de l’un des protagonistes, au cours de sa fuite. De toute façon, en province profonde, le phénomène est anecdotique.
Même type de sous-entendu chez les syndicalistes policiers, qui expliquent qu’ils ont très peur que les jeunes se blessent lors d’une fuite précédent une arrestation, auquel cas, cela déclenche des enquêtes administratives et un barouf médiatique sur les « violences policières ». Les députés de préconiser des caméras de surveillance, alors que ces « jeunes » se filment déjà et se mettent en scène sur les réseaux sociaux. Et de proposer des arrestations a posteriori. Comment prouver avec sûreté que l’homme sur la moto est bien celui-là ? Résultat des courses, un nombre d’arrestations dérisoire par rapport au nombre de faits et encore moins de condamnations.
Castaner, dans un éclair de lucidité, avait pointé une forme de défiance envers la République, une manière d’en évaluer la solidité. En pratique, de la faire reculer, petit à petit, en prenant possession de pans de territoires de plus en plus grands et de plus en plus peuplés, qui passent ainsi sous la coupe de l’islam radical, dont les liens avec la voyoucratie marquée ethniquement, sont avérés. Beaucoup des participants à des attentats djihadistes, sont des gens « défavorablement connus » des services de police. À la toute fin, toujours la même histoire, on laisse faire pour ne pas risquer l’embrasement des quartiers entiers. En s’imaginant qu’en laissant faire, on n’aura sans doute jamais la guerre civile : elle est déjà là.
Il faut associer, cela s’est déjà fait ailleurs, police et armée, dans des binômes, occuper et quadriller le terrain. Pratiquer des peines plus lourdes, assurer les OQTF, qui ne le sont quasiment pas, pratiquer la suppression des allocations, y compris familiales, quand les participants sont mineurs, la confiscation systématique des véhicules. À New-York, Rudolph Guiliani s’est sorti de la délinquance galopante dans sa ville, comme quoi s’est possible. Nos dirigeants français ont systématiquement baissé la culotte devant ces voyous, leur permettant de se renforcer et de nous défier de plus en plus violemment et au passage, sacrifient aussi de plus en plus de nos concitoyens.
Même type de sous-entendu chez les syndicalistes policiers, qui expliquent qu’ils ont très peur que les jeunes se blessent lors d’une fuite précédent une arrestation, auquel cas, cela déclenche des enquêtes administratives et un barouf médiatique sur les « violences policières ». Les députés de préconiser des caméras de surveillance, alors que ces « jeunes » se filment déjà et se mettent en scène sur les réseaux sociaux. Et de proposer des arrestations a posteriori. Comment prouver avec sûreté que l’homme sur la moto est bien celui-là ? Résultat des courses, un nombre d’arrestations dérisoire par rapport au nombre de faits et encore moins de condamnations.
Castaner, dans un éclair de lucidité, avait pointé une forme de défiance envers la République, une manière d’en évaluer la solidité. En pratique, de la faire reculer, petit à petit, en prenant possession de pans de territoires de plus en plus grands et de plus en plus peuplés, qui passent ainsi sous la coupe de l’islam radical, dont les liens avec la voyoucratie marquée ethniquement, sont avérés. Beaucoup des participants à des attentats djihadistes, sont des gens « défavorablement connus » des services de police. À la toute fin, toujours la même histoire, on laisse faire pour ne pas risquer l’embrasement des quartiers entiers. En s’imaginant qu’en laissant faire, on n’aura sans doute jamais la guerre civile : elle est déjà là.
Il faut associer, cela s’est déjà fait ailleurs, police et armée, dans des binômes, occuper et quadriller le terrain. Pratiquer des peines plus lourdes, assurer les OQTF, qui ne le sont quasiment pas, pratiquer la suppression des allocations, y compris familiales, quand les participants sont mineurs, la confiscation systématique des véhicules. À New-York, Rudolph Guiliani s’est sorti de la délinquance galopante dans sa ville, comme quoi s’est possible. Nos dirigeants français ont systématiquement baissé la culotte devant ces voyous, leur permettant de se renforcer et de nous défier de plus en plus violemment et au passage, sacrifient aussi de plus en plus de nos concitoyens.

Que diable allait-il faire dans cette galère ?
Emmanuel Macron joue un jeu impossible en Afrique, très loin du « Je vous ai compris » du Général de Gaulle. Cameroun, Bénin, Guinée-Bissau... que va-t-il faire dans ces pays où il n’a jamais mis les pieds avant ? Hormis son narcissisme qui voudrait qu’il ait envie de s’y faire acclamer, alors qu’en France, il ne peut pas faire un pas sans se faire siffler. Adepte, dit-il, du dialogue « direct » et « décomplexé », il n’en finit plus de virer à l’autisme. Entre défiance et même parfois francophobie, la France n’est plus forcément en odeur de sainteté et ses opérations militaires locales ont des relents de néocolonialisme. Mais 36 États africains sur 54 qui n’ont jamais vécu la colonisation française et les autres sont indépendants depuis 60 ans. Qu’ont-ils fait de cette indépendance ? On se le demande. Les jeunes Africains rêvent souvent de venir en Europe et sont régulièrement en complet décalage avec des dirigeants menant des mandats à rallonge.
Notre Macron prétend entendre les aspirations des peuples et « en même temps », discute et conforte les dictateurs dans leurs pouvoirs. Jamais un acte ou une parole forte, un genre de blabla mi-chèvre mi-chou, dans lequel le président pratique la morale, dénonçant une « corruption », sans penser à balayer lui-même, devant sa porte. Il discute, mais n’émancipe pas, ne reconnaît pas. Notre ancien « pré-carré » sur le continent africain n’est plus et des États indépendants ne sont pas vraiment nés. Être un État indépendant, c’est pratiquer le partenariat économique, mais pas demander de l’aide. Macron donne bon an, mal an, une dizaine de milliards d’argent public chaque année, aux pays d’Afrique. Il faudrait savoir. Ce sont des échanges économiques où c’est une aumône dans un puit sans fond et un soutien aux dictateurs en place ?
Résultat, la France plane à 18% de perception positive auprès des opérateurs économiques africains, à la sixième place, derrière les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, la Chine, la Grande-Bretagne, juste devant les Émirats Arabes Unis, le Japon, la Russie et la Turquie. 71% des jeunes Gabonais, 68% Sénégalais, 60% Maliens 58% Togolais, ont une « mauvaise image de la France », ce qui profite à la Russie qui avance régulièrement ses pions, tout comme la concurrence anglo-saxonne, dans des pays pourtant francophones. Pour couronner le tout, les pays africains n’adhèrent pas plus que cela à la russophobie ambiante sur le dossier de l’Ukraine. Bref, la France n’est plus une puissance coloniale, même plus un genre de grand-frère. Elle n’a plus les moyens de ses ambitions en Afrique, peine à trouver un autre mode de relation à ces pays et s’y fait déborder par des concurrents meilleurs qu’elle. Et Macron n’a clairement pas su passer à autre chose.
Emmanuel Macron joue un jeu impossible en Afrique, très loin du « Je vous ai compris » du Général de Gaulle. Cameroun, Bénin, Guinée-Bissau... que va-t-il faire dans ces pays où il n’a jamais mis les pieds avant ? Hormis son narcissisme qui voudrait qu’il ait envie de s’y faire acclamer, alors qu’en France, il ne peut pas faire un pas sans se faire siffler. Adepte, dit-il, du dialogue « direct » et « décomplexé », il n’en finit plus de virer à l’autisme. Entre défiance et même parfois francophobie, la France n’est plus forcément en odeur de sainteté et ses opérations militaires locales ont des relents de néocolonialisme. Mais 36 États africains sur 54 qui n’ont jamais vécu la colonisation française et les autres sont indépendants depuis 60 ans. Qu’ont-ils fait de cette indépendance ? On se le demande. Les jeunes Africains rêvent souvent de venir en Europe et sont régulièrement en complet décalage avec des dirigeants menant des mandats à rallonge.
Notre Macron prétend entendre les aspirations des peuples et « en même temps », discute et conforte les dictateurs dans leurs pouvoirs. Jamais un acte ou une parole forte, un genre de blabla mi-chèvre mi-chou, dans lequel le président pratique la morale, dénonçant une « corruption », sans penser à balayer lui-même, devant sa porte. Il discute, mais n’émancipe pas, ne reconnaît pas. Notre ancien « pré-carré » sur le continent africain n’est plus et des États indépendants ne sont pas vraiment nés. Être un État indépendant, c’est pratiquer le partenariat économique, mais pas demander de l’aide. Macron donne bon an, mal an, une dizaine de milliards d’argent public chaque année, aux pays d’Afrique. Il faudrait savoir. Ce sont des échanges économiques où c’est une aumône dans un puit sans fond et un soutien aux dictateurs en place ?
Résultat, la France plane à 18% de perception positive auprès des opérateurs économiques africains, à la sixième place, derrière les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, la Chine, la Grande-Bretagne, juste devant les Émirats Arabes Unis, le Japon, la Russie et la Turquie. 71% des jeunes Gabonais, 68% Sénégalais, 60% Maliens 58% Togolais, ont une « mauvaise image de la France », ce qui profite à la Russie qui avance régulièrement ses pions, tout comme la concurrence anglo-saxonne, dans des pays pourtant francophones. Pour couronner le tout, les pays africains n’adhèrent pas plus que cela à la russophobie ambiante sur le dossier de l’Ukraine. Bref, la France n’est plus une puissance coloniale, même plus un genre de grand-frère. Elle n’a plus les moyens de ses ambitions en Afrique, peine à trouver un autre mode de relation à ces pays et s’y fait déborder par des concurrents meilleurs qu’elle. Et Macron n’a clairement pas su passer à autre chose.
☐ 31/7/2022
Delfraissy viré, balance…
Le conseil sanitaire est dissout et Delfraissy dénonce dans les médias, crache sur tout ce qu’il a fait faire au gouvernement, durant deux ans. Comme on aurait aimé de cet homme qu’il le fasse quand il était en fonction, avec ses amis. Comme on aurait apprécié ce courage, cette bravoure, s’il s’était opposé à cette époque, avec ses arguments d’aujourd’hui. Mais non, il est à l’origine des confinements, des ausweis, de la suspension des personnels non vacciné, de la vaccination obligatoire, du passe sanitaire : il est co-responsable de tout. Il s’est servi de sa notoriété pour pousser au crime. Il a contribué aux mesures liberticides, au lynchage médiatique d’éminents professeurs, il s’est commis avec la fange mondialiste, avec le pouvoir macroniste. Il est venu sur les plateaux des télés, avec le masque et son discours bien rodé, pour diffuser la propagande gouvernementale, au mépris de la plus basique éthique scientifique. Il a donné son nom à l’entreprise la plus odieuse qui soit et maintenant que l’ANSM avoue l’explosion des effets secondaires, que l’hécatombe n’est plus dissimulable, voilà notre Delfraissy qui vient jouer les victimes, nous expliquer qu’il a été le jouet du méchant pouvoir. Ce grand garçon n’a pas eu le cran de dénoncer à ce moment-là toutes les turpitudes qu’il dévoile aujourd’hui ? En quel honneur, toutes ces discussions ont-elles été classées « secret défense » ? Y discutait-on de la position des sous-marins stratégiques ?
Des médecins de renom appellent maintenant à soigner, à « vivre avec le virus », comme nous le faisons avec celui de la grippe depuis des lustres. Ce qui a toujours été la position du Rassemblement du Peuple Français : vaccin pour les volontaires, liberté de prescription pour les médecins, gestes barrières. Pour Delfraissy, le repentir est tardif, le crime est consommé. On juge de la sincérité d’un homme à sa capacité de refuser l’inacceptable, à se dresser contre l’adversité, à affronter, au besoin seul, les tourments de l’instant, pour servir la vérité. Delfraissy a collaboré consciencieusement, se courbant sous les demandes du pouvoir, les validant, les suggérant même. Jamais, au plus fort des doutes et des controverses, il n’a fait entendre un seul argument pour s’opposer. Ses lamentations d’aujourd’hui n’effaceront pas son infâme collusion. On se demande si un jour, un tribunal se chargera de cette affaire, qui doit être déclassifiée au plus vite, la nouvelle assemblée devrait se pencher sur la question.
Le conseil sanitaire est dissout et Delfraissy dénonce dans les médias, crache sur tout ce qu’il a fait faire au gouvernement, durant deux ans. Comme on aurait aimé de cet homme qu’il le fasse quand il était en fonction, avec ses amis. Comme on aurait apprécié ce courage, cette bravoure, s’il s’était opposé à cette époque, avec ses arguments d’aujourd’hui. Mais non, il est à l’origine des confinements, des ausweis, de la suspension des personnels non vacciné, de la vaccination obligatoire, du passe sanitaire : il est co-responsable de tout. Il s’est servi de sa notoriété pour pousser au crime. Il a contribué aux mesures liberticides, au lynchage médiatique d’éminents professeurs, il s’est commis avec la fange mondialiste, avec le pouvoir macroniste. Il est venu sur les plateaux des télés, avec le masque et son discours bien rodé, pour diffuser la propagande gouvernementale, au mépris de la plus basique éthique scientifique. Il a donné son nom à l’entreprise la plus odieuse qui soit et maintenant que l’ANSM avoue l’explosion des effets secondaires, que l’hécatombe n’est plus dissimulable, voilà notre Delfraissy qui vient jouer les victimes, nous expliquer qu’il a été le jouet du méchant pouvoir. Ce grand garçon n’a pas eu le cran de dénoncer à ce moment-là toutes les turpitudes qu’il dévoile aujourd’hui ? En quel honneur, toutes ces discussions ont-elles été classées « secret défense » ? Y discutait-on de la position des sous-marins stratégiques ?
Des médecins de renom appellent maintenant à soigner, à « vivre avec le virus », comme nous le faisons avec celui de la grippe depuis des lustres. Ce qui a toujours été la position du Rassemblement du Peuple Français : vaccin pour les volontaires, liberté de prescription pour les médecins, gestes barrières. Pour Delfraissy, le repentir est tardif, le crime est consommé. On juge de la sincérité d’un homme à sa capacité de refuser l’inacceptable, à se dresser contre l’adversité, à affronter, au besoin seul, les tourments de l’instant, pour servir la vérité. Delfraissy a collaboré consciencieusement, se courbant sous les demandes du pouvoir, les validant, les suggérant même. Jamais, au plus fort des doutes et des controverses, il n’a fait entendre un seul argument pour s’opposer. Ses lamentations d’aujourd’hui n’effaceront pas son infâme collusion. On se demande si un jour, un tribunal se chargera de cette affaire, qui doit être déclassifiée au plus vite, la nouvelle assemblée devrait se pencher sur la question.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
☐ 24/7/2022
À quoi joue Philippe Bas ?
Le sénateur Philippe Bas, en sous-main, a réintroduit l’article 2 du projet de loi sanitaire, via un certificat de voyage. Un changement de terme destiné à masquer sa félonie consommée, mais personne n’est dupe. Face à cette trahison, dix sénateurs ont publié une tribune appelant à supprimer totalement cette loi. Deux visions différentes, dont l’une devrait prendre le dessus sur l’autre. Mais ce piètre représentant, non pas du peuple, car il n’est pas élu au suffrage universel, mais par ses coreligionnaires, justifie son amendement par l’impérieux souci de s’aligner sur la décision de l’UE en la matière. Monsieur Bas, plutôt que de suivre l’avis du peuple, qui a mis Macron en minorité, se pose en membre d’une « noblesse » institutionnelle et s’empresse de faire allégeance à une entité extra nationale, tout en léchant au passage, les bottes de ce gouvernement. Ce notable LR salit la mémoire du Général de Gaulle, trahit non seulement le résultat des urnes, mais aussi la souveraineté de la France, lui préférant la servitude affichée à l’Europe. Que fait-il de l’indépendance d’une nation souveraine ? Le camp des Républicains serait bien inspiré de remettre de l’ordre dans ses troupes, ils sont censés être dans l’opposition et non incarner la 5ème colonne de Macron. Si Bas roule pour Macron, que les instances LR le dégagent purement et simplement. À perpétuer ce genre d’attitude, à les tolérer, les LR pourraient sombrer lors des prochaines échéances, qui ne sont peut-être pas si loin finalement.
Les Français sont lassés de cette clique de félons que seul l’appât du gain attire, de ces renégats prétentieux qui trahissent à la première occasion le résultat des urnes. Ils sont fatigués des artifices sémantiques pour expliquer l’inexplicable et faire prendre des vessies pour des lanternes. À attiser la colère, on récolte la haine. Dans une histoire qui commence à s’écrire, Bas semble nager à contre-courant. Cet amendement doit être rejeté et les sénateurs d’opposition, seraient bien inspirés de ne pas déjuger leurs camarades députés du même parti. Les parjures doivent être éjectés.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire. 21/7/2022
Le sénateur Philippe Bas, en sous-main, a réintroduit l’article 2 du projet de loi sanitaire, via un certificat de voyage. Un changement de terme destiné à masquer sa félonie consommée, mais personne n’est dupe. Face à cette trahison, dix sénateurs ont publié une tribune appelant à supprimer totalement cette loi. Deux visions différentes, dont l’une devrait prendre le dessus sur l’autre. Mais ce piètre représentant, non pas du peuple, car il n’est pas élu au suffrage universel, mais par ses coreligionnaires, justifie son amendement par l’impérieux souci de s’aligner sur la décision de l’UE en la matière. Monsieur Bas, plutôt que de suivre l’avis du peuple, qui a mis Macron en minorité, se pose en membre d’une « noblesse » institutionnelle et s’empresse de faire allégeance à une entité extra nationale, tout en léchant au passage, les bottes de ce gouvernement. Ce notable LR salit la mémoire du Général de Gaulle, trahit non seulement le résultat des urnes, mais aussi la souveraineté de la France, lui préférant la servitude affichée à l’Europe. Que fait-il de l’indépendance d’une nation souveraine ? Le camp des Républicains serait bien inspiré de remettre de l’ordre dans ses troupes, ils sont censés être dans l’opposition et non incarner la 5ème colonne de Macron. Si Bas roule pour Macron, que les instances LR le dégagent purement et simplement. À perpétuer ce genre d’attitude, à les tolérer, les LR pourraient sombrer lors des prochaines échéances, qui ne sont peut-être pas si loin finalement.
Les Français sont lassés de cette clique de félons que seul l’appât du gain attire, de ces renégats prétentieux qui trahissent à la première occasion le résultat des urnes. Ils sont fatigués des artifices sémantiques pour expliquer l’inexplicable et faire prendre des vessies pour des lanternes. À attiser la colère, on récolte la haine. Dans une histoire qui commence à s’écrire, Bas semble nager à contre-courant. Cet amendement doit être rejeté et les sénateurs d’opposition, seraient bien inspirés de ne pas déjuger leurs camarades députés du même parti. Les parjures doivent être éjectés.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire. 21/7/2022
☐ 22/7/2022
Mesdames et messieurs les députés, ramenez le gouvernement à la raison
Le Sénat a demandé à la Haute autorité de santé de se prononcer sur la réintégration des soignants et des pompiers non vaccinés. La réponse a été négative, comme on pouvait s’y attendre. Cette décision de suspendre un personnel fonctionnaire, sans lui verser de salaire et sans le licencier, est illégale et certains plaignants ont eu gain de cause devant les tribunaux. La nouvelle assemblée, libérée du poids des décisions d’hier se doit, pour des raisons humaines et de justice, de déposer une proposition de loi pour réintégrer l’ensemble des personnels non vaccinés suspendus, sans devoir s’en remettre à l’autorité qui est à l’origine même de cette suspension. Il n’y a plus aucune raison scientifique de poursuivre dans cette voie, les constats objectifs ayant montré que la vaccination ne dispense ni d’être malade, ni d’être contagieux, ni même de formes graves de la maladie. Persister c’est s’enfermer dans un dogme dépassé et dangereux, à la seule fin de ne pas se dédire, en faisant fi des dommages humains collatéraux. Nous vous demandons donc officiellement de déposer cette proposition de loi et de marquer ainsi, votre opposition et votre raison, après les dérives sanitaires, qui conduisent à la fermeture de pans entiers de services à la population et à la marginalisation de personnels compétents et volontaires.
☐ 19/7/2022
La liquidation de l’hôpital en cours
Le gouvernement est en train de liquider l’hôpital public en douce, pendant l’été, tout en faisant croire qu’il le sauve. Il opère ce qu’il appelle, des glissements, c’est-à-dire qu’il transfère l’activité d’une structure vers une autre. La première ferme, faute de personnels soignants et la seconde, en délicatesse également avec ses effectifs, n’est pas prête à accueillir l’activité qu’on lui impose. Le système est en train de craquer et l’été qui avance ne devrait pas arranger les choses, avec les traditionnels accidents estivaux, chutes, noyades, accidents de sports… mais le clash est attendu pour septembre et il est à craindre, il est même sûr, que d’ici là, aucun des problèmes de structures et personnels ne sera résolu.
Les professionnels, directeurs et médecins chefs avertissent pourtant depuis des mois. Ils sont plombés par la suspension des personnels non-vaccinés, totalement inutile, la pénurie de candidats pour les métiers hospitaliers et sanitaires, le retard pris dans la formation, qui n’a pas été anticipée avec suffisamment de clairvoyance. Sachant que la formation des infirmières et aides-soignantes se déroule sur des périodes de deux à quatre ans, nous sommes bien à l’intérieur du quinquennat Macron. Les directeurs d’hôpitaux et DRH tentent de parer au plus pressé et demandent aux personnels en place de faire des heures supplémentaires, mais sans argent. On propose en échange, à ces gens, des journées de récupération hypothétiques, ou des retraites, prises plus tôt, ce qui est encore plus hypothétique. Les personnels veulent bien à la rigueur travailler plus, mais pour gagner plus, selon la formule consacrée, mais pas à salaire égal. Rappelons que les infirmières gagnent, en début de carrière, à peine plus que le SMIC.
On est donc dans un genre de débandade, avec un éloignement géographique du soin pour beaucoup de Français des territoires, un suivi de plus en plus difficile des maladies chroniques, l’accueil des urgences problématiques et une hémorragie des personnels restant, qui laissent l’hôpital pour la pratique de ville, ou pire, le départ pour l’étranger. Au RPF, nous avons alerté aussi sur cette décrépitude tournant à la catastrophe et surtout, sur le mensonge d’État qui consiste à faire croire qu’il sauvegarde, alors qu’en réalité, il liquide. Il devient urgent, pour les oppositions, désormais majoritaires, d’imposer un nouveau plan au gouvernement, en faveur des hôpitaux.
Le gouvernement est en train de liquider l’hôpital public en douce, pendant l’été, tout en faisant croire qu’il le sauve. Il opère ce qu’il appelle, des glissements, c’est-à-dire qu’il transfère l’activité d’une structure vers une autre. La première ferme, faute de personnels soignants et la seconde, en délicatesse également avec ses effectifs, n’est pas prête à accueillir l’activité qu’on lui impose. Le système est en train de craquer et l’été qui avance ne devrait pas arranger les choses, avec les traditionnels accidents estivaux, chutes, noyades, accidents de sports… mais le clash est attendu pour septembre et il est à craindre, il est même sûr, que d’ici là, aucun des problèmes de structures et personnels ne sera résolu.
Les professionnels, directeurs et médecins chefs avertissent pourtant depuis des mois. Ils sont plombés par la suspension des personnels non-vaccinés, totalement inutile, la pénurie de candidats pour les métiers hospitaliers et sanitaires, le retard pris dans la formation, qui n’a pas été anticipée avec suffisamment de clairvoyance. Sachant que la formation des infirmières et aides-soignantes se déroule sur des périodes de deux à quatre ans, nous sommes bien à l’intérieur du quinquennat Macron. Les directeurs d’hôpitaux et DRH tentent de parer au plus pressé et demandent aux personnels en place de faire des heures supplémentaires, mais sans argent. On propose en échange, à ces gens, des journées de récupération hypothétiques, ou des retraites, prises plus tôt, ce qui est encore plus hypothétique. Les personnels veulent bien à la rigueur travailler plus, mais pour gagner plus, selon la formule consacrée, mais pas à salaire égal. Rappelons que les infirmières gagnent, en début de carrière, à peine plus que le SMIC.
On est donc dans un genre de débandade, avec un éloignement géographique du soin pour beaucoup de Français des territoires, un suivi de plus en plus difficile des maladies chroniques, l’accueil des urgences problématiques et une hémorragie des personnels restant, qui laissent l’hôpital pour la pratique de ville, ou pire, le départ pour l’étranger. Au RPF, nous avons alerté aussi sur cette décrépitude tournant à la catastrophe et surtout, sur le mensonge d’État qui consiste à faire croire qu’il sauvegarde, alors qu’en réalité, il liquide. Il devient urgent, pour les oppositions, désormais majoritaires, d’imposer un nouveau plan au gouvernement, en faveur des hôpitaux.
☐ 18/7/2022
Je me marre... les Américains vont reprendre leurs vols conjoints avec la Russie vers la Station spatiale internationale, dès septembre prochain. Deux cosmonautes russes voleront même, pour la première fois, à bord de fusées américaines de SpaceX. Pendant que l'astronaute américain Frank Rubio volera à bord d'une fusée Soyouz. Et tout ce petit monde, fera la fête en orbite, avec des nanas, puisqu'il y aura des dames cosmonautes russes à bord. Pendant que ces cons d'Européens se suicident à coups de mesures d'embargo contre la Russie, qui se porte de mieux en mieux et se permet de mener un train de vie spatial avec, paraît-il, son pire ennemi.
☐ 18/7/2022
Le sale effet psychologique
Cette impression qu’on n’arrivera pas à changer le cours des décisions, tient aussi d’un effet psychologique qui touche nos dirigeants et leur interdit de sortir du tunnel de mauvaises décisions dans lequel ils se sont engouffrés. Pour la réintégration des soignants non-vaccinés, il y a une impossibilité morale. Même si depuis, il est avéré que la vaccination n’empêche, ni la contamination, ni la maladie, même si des soignants vaccinés et malades vont tout de même travailler, même s’il est devenu évident qu’il n’y a plus aucune justification scientifique à leur mise à l’écart, les réintégrer serait un aveu d’erreur et pour nos dirigeants, c’est impossible.
Avec les effets secondaires, on est sur une ligne identique. Malgré des preuves de nocivité qui s’accumulent, en Suisse, en Australie, en Amérique du Sud, dans le milieu des pilotes professionnels américains, malgré la réticence de plus en plus marquée des peuples à se rendre aux injections suivantes et bien que le rythme des contaminations ne baisse pas, l’institution ne peut avouer qu’elle a choisi une mauvaise solution, aidée en cela par des intérêts financiers colossaux, qui nous dépassent. Elle continue à promouvoir sa ligne de conduite du tout vaccinal et règle les effets secondaires par de la communication et du déni.
Pour l’Ukraine et les sanctions contre la Russie, le même effet mortifère est à l’œuvre. La Russie s’en sort économiquement mieux que l’Europe, malgré les sanctions. Le rouble est devenu une monnaie fiable, pendant que l’euro est à son plus bas niveau face au dollar. Les trains de mesures économiques contre la Russie ont fait déraper la puissante exportation allemande, déficitaire pour la première fois depuis des décennies. En France, les faillites d’entreprises battent des records, malgré plus de 300 milliards de cotisations non recouvrées, auprès des entreprises et un niveau de prélèvement jamais atteint en termes de fiscalité.
Même principe pour l’énergie. Les voies entreprises nous ont conduits à la pénurie. Mauvais choix technologiques, mauvaise maintenance de l’existant, mauvais choix politiques, primauté à des intérêts privés et la seule solution devient les économies d’énergie à grande échelle, autrement dit, la voie d’une activité industrielle tiers-mondisée. Mais là encore, tout arrêter serait se renier et sur ces quatre dossiers, les gouvernants emmènent le pays au clash, sacrifient des pans entiers de nos économies et des cortèges de concitoyens, à la seule fin de ne pas se dédire.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous avons eu des positions radicalement opposées depuis le début : réintégrer les soignants, abroger toutes les formes d’obligations vaccinales, revenir à la voie diplomatique avec la Russie, revenir dans la moyenne européenne en termes de coût du travail, ne plus subventionner l’arrivée d’étrangers en France, sanctionner sévèrement l’évasion et les fraudes, fiscale et aux allocations, relancer le nucléaire, explorer des solutions énergétiques nouvelles. Mais il faut se débarrasser, dans un premier temps de ces équipes, qui ont créé les problèmes et sur lesquelles on ne peut pas compter pour les résoudre. Utiliser l’absence de majorité absolue de Macron et de Borne, pour contrecarrer l’emballement dans lequel ils se sont fourvoyés et dont il leur est désormais impossible de se sortir. Que les oppositions sachent s’unir pour faire barrage et qu’une grande majorité d’entre nous fasse comprendre que tout cela commence à suffire.
Cette impression qu’on n’arrivera pas à changer le cours des décisions, tient aussi d’un effet psychologique qui touche nos dirigeants et leur interdit de sortir du tunnel de mauvaises décisions dans lequel ils se sont engouffrés. Pour la réintégration des soignants non-vaccinés, il y a une impossibilité morale. Même si depuis, il est avéré que la vaccination n’empêche, ni la contamination, ni la maladie, même si des soignants vaccinés et malades vont tout de même travailler, même s’il est devenu évident qu’il n’y a plus aucune justification scientifique à leur mise à l’écart, les réintégrer serait un aveu d’erreur et pour nos dirigeants, c’est impossible.
Avec les effets secondaires, on est sur une ligne identique. Malgré des preuves de nocivité qui s’accumulent, en Suisse, en Australie, en Amérique du Sud, dans le milieu des pilotes professionnels américains, malgré la réticence de plus en plus marquée des peuples à se rendre aux injections suivantes et bien que le rythme des contaminations ne baisse pas, l’institution ne peut avouer qu’elle a choisi une mauvaise solution, aidée en cela par des intérêts financiers colossaux, qui nous dépassent. Elle continue à promouvoir sa ligne de conduite du tout vaccinal et règle les effets secondaires par de la communication et du déni.
Pour l’Ukraine et les sanctions contre la Russie, le même effet mortifère est à l’œuvre. La Russie s’en sort économiquement mieux que l’Europe, malgré les sanctions. Le rouble est devenu une monnaie fiable, pendant que l’euro est à son plus bas niveau face au dollar. Les trains de mesures économiques contre la Russie ont fait déraper la puissante exportation allemande, déficitaire pour la première fois depuis des décennies. En France, les faillites d’entreprises battent des records, malgré plus de 300 milliards de cotisations non recouvrées, auprès des entreprises et un niveau de prélèvement jamais atteint en termes de fiscalité.
Même principe pour l’énergie. Les voies entreprises nous ont conduits à la pénurie. Mauvais choix technologiques, mauvaise maintenance de l’existant, mauvais choix politiques, primauté à des intérêts privés et la seule solution devient les économies d’énergie à grande échelle, autrement dit, la voie d’une activité industrielle tiers-mondisée. Mais là encore, tout arrêter serait se renier et sur ces quatre dossiers, les gouvernants emmènent le pays au clash, sacrifient des pans entiers de nos économies et des cortèges de concitoyens, à la seule fin de ne pas se dédire.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous avons eu des positions radicalement opposées depuis le début : réintégrer les soignants, abroger toutes les formes d’obligations vaccinales, revenir à la voie diplomatique avec la Russie, revenir dans la moyenne européenne en termes de coût du travail, ne plus subventionner l’arrivée d’étrangers en France, sanctionner sévèrement l’évasion et les fraudes, fiscale et aux allocations, relancer le nucléaire, explorer des solutions énergétiques nouvelles. Mais il faut se débarrasser, dans un premier temps de ces équipes, qui ont créé les problèmes et sur lesquelles on ne peut pas compter pour les résoudre. Utiliser l’absence de majorité absolue de Macron et de Borne, pour contrecarrer l’emballement dans lequel ils se sont fourvoyés et dont il leur est désormais impossible de se sortir. Que les oppositions sachent s’unir pour faire barrage et qu’une grande majorité d’entre nous fasse comprendre que tout cela commence à suffire.
☐ 12/7/2022
Je me marre... L’Allemagne s’est permis de sortir au pas de charge du nucléaire, et du charbon, sûre et confiante dans son gaz russe, qui permettait d’amadouer les écologistes, soucieux du recyclage des déchets nucléaires dont personne ne voulait. Là-dessus, la voilà dépendante, pour son industrie florissante, quasiment pour moitié, du commerce avec Poutine. Mais voilà, on est en guerre, d’une guerre qui ne regarde pas l’Allemagne, mais comme elle s’équipe militairement chez l’oncle Sam, elle prend le train des mesures d’embargo et se suicide économiquement. Pour la première fois depuis des lustres, sa balance commerciale est déficitaire, pendant que la russe bat des records et que Poutine vend son énergie ailleurs et plus cher et se permet de plastronner. Adieu, veaux, vaches, cochons, pardon, voitures électriques, machines-outils, trains à grande vitesse, quelqu’un a une idée ? Oui, on va relancer le charbon. Dans la hiérarchie de la correction politique, mieux vaut le nuage de suie, que la poignée de main à Poutine. Les écologistes vont se la fermer et peut-être même qu’ils vont s’apercevoir que le nucléaire est une énergie décarbonnée.
☐ 10/7/2022
Braun : la voix de son maître
François Braun, un nouveau ministre de la santé, aurait déjà aidé Macron à élaborer son programme santé, qui peut se résumer à la poursuite de la démolition de l’hôpital public et à l’ostracisation du personnel non vacciné. L’élève récolte déjà de sérieux bons points, nombre de services d’urgence ferment, d’autres réduisent la voilure, par manque de personnel, le recrutement est en panne, selon une Bérézina parfaitement orchestrée. Mais ce personnel est-il manquant simplement à cause des suspendus, ou s’y ajoutent les victimes des effets secondaires, maintenant en incapacité de travailler ? Le ministre reste muet sur cet épineux sujet. L’élève doit ravir le maître, d’ailleurs s’il est à ce poste, c’est sans doute pour avoir fortement donné satisfaction en plein cœur de l’épidémie, en s’illustrant notamment dans le transport, plus photogénique qu’efficace, des malades Covid en TGV et en hélico. Cette mise en scène à été dévoilée par le rapport de l’ATIH, qui nous révéla très officiellement que les patients COVID n’avaient représenté que 2% de l’ensemble de patients hospitalisés en 2020. Où était cette fameuse urgence face à un tel constat, si ce n’est à terroriser un peu plus la population pour lui faire accepter des mesures liberticides, et au passage se faire mousser grâce à la propagande ?
Non content d’avoir joué les acteurs dans ce mauvais film, Braun ne s’est pas arrêté là, en déclarant le 21 avril 2021, à propos du vaccin Astra Zeneca que : « le bénéfice du vaccin est largement au-delà des risques liés à son utilisation ». Étrange, surtout que la décision de l’ANSM d’interdire ce vaccin datait du 15 mars 2021. On apprend sur ce, le 9 juillet 2021, qu’ Astra Zeneca a versé 40 000 euros au CHR de Metz-Thionville, où exerçait Braun. Pas de conclusions hâtives, mais des faits troublants qui auraient dû entraîner une enquête. La presse est subventionnée et n’a pas été pressée de creuser l’affaire. Il ne veut pas réintégrer les personnels suspendus, alors même que les vaccinés sont à la fois possiblement malades et contagieux eux aussi.
Pur produit de la macronie, valet serviable du pouvoir politique et financier, il sera dans la continuité de Véran et finira de détruire ce qui reste de l’hôpital public, avec une sémantique macroniste alambiquée bien connue : fermer des services pour sauver l’hôpital, fermer des écoles pour sauver l’éducation, fermer des tribunaux pour sauver la justice et fermer des casernes pour sauver l’armée. L’opposition doit rapidement rappeler à ce ministre que le gouvernement doit exécuter la volonté du peuple, qui s’exprime par l’Assemblée et proposer une loi pour réintégrer le personnel non-vacciné, ramener le conseil scientifique à un rôle de simple consultant et lever le secret défense des délibérations prises jusque-là par ce cénacle de scientifiques aux liens parfois troubles avec les labos.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
François Braun, un nouveau ministre de la santé, aurait déjà aidé Macron à élaborer son programme santé, qui peut se résumer à la poursuite de la démolition de l’hôpital public et à l’ostracisation du personnel non vacciné. L’élève récolte déjà de sérieux bons points, nombre de services d’urgence ferment, d’autres réduisent la voilure, par manque de personnel, le recrutement est en panne, selon une Bérézina parfaitement orchestrée. Mais ce personnel est-il manquant simplement à cause des suspendus, ou s’y ajoutent les victimes des effets secondaires, maintenant en incapacité de travailler ? Le ministre reste muet sur cet épineux sujet. L’élève doit ravir le maître, d’ailleurs s’il est à ce poste, c’est sans doute pour avoir fortement donné satisfaction en plein cœur de l’épidémie, en s’illustrant notamment dans le transport, plus photogénique qu’efficace, des malades Covid en TGV et en hélico. Cette mise en scène à été dévoilée par le rapport de l’ATIH, qui nous révéla très officiellement que les patients COVID n’avaient représenté que 2% de l’ensemble de patients hospitalisés en 2020. Où était cette fameuse urgence face à un tel constat, si ce n’est à terroriser un peu plus la population pour lui faire accepter des mesures liberticides, et au passage se faire mousser grâce à la propagande ?
Non content d’avoir joué les acteurs dans ce mauvais film, Braun ne s’est pas arrêté là, en déclarant le 21 avril 2021, à propos du vaccin Astra Zeneca que : « le bénéfice du vaccin est largement au-delà des risques liés à son utilisation ». Étrange, surtout que la décision de l’ANSM d’interdire ce vaccin datait du 15 mars 2021. On apprend sur ce, le 9 juillet 2021, qu’ Astra Zeneca a versé 40 000 euros au CHR de Metz-Thionville, où exerçait Braun. Pas de conclusions hâtives, mais des faits troublants qui auraient dû entraîner une enquête. La presse est subventionnée et n’a pas été pressée de creuser l’affaire. Il ne veut pas réintégrer les personnels suspendus, alors même que les vaccinés sont à la fois possiblement malades et contagieux eux aussi.
Pur produit de la macronie, valet serviable du pouvoir politique et financier, il sera dans la continuité de Véran et finira de détruire ce qui reste de l’hôpital public, avec une sémantique macroniste alambiquée bien connue : fermer des services pour sauver l’hôpital, fermer des écoles pour sauver l’éducation, fermer des tribunaux pour sauver la justice et fermer des casernes pour sauver l’armée. L’opposition doit rapidement rappeler à ce ministre que le gouvernement doit exécuter la volonté du peuple, qui s’exprime par l’Assemblée et proposer une loi pour réintégrer le personnel non-vacciné, ramener le conseil scientifique à un rôle de simple consultant et lever le secret défense des délibérations prises jusque-là par ce cénacle de scientifiques aux liens parfois troubles avec les labos.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 8/7/2022
Je me marre… c’est rigolo, cette vague de maladie virale pendant l’été. Parce que d’habitude, pendant l’été, il fait chaud et les rhumes, grippes et autres bricoles du genre sont aux oubliettes. Et les hôpitaux accueillent des chutes en montagne et des accidents de jets skis ou de vélos. L’intoxication alimentaire, les cystites, la constipation, l’insolation, les jambes lourdes, l’otite, les angines, la déshydratation, le bouton de fièvre, les verrues… sont les dix maladies répertoriées les plus présentes en été. Ou alors, les virus prospèrent rapidement, spécialement cette année, dans une population fragilisée, mais on se demande bien pourquoi et comment.
☐ 7/7/2022
Votez la motion de censure
On attendait le discours de Borne avec impatience, curieux de connaître les arguments qu’elle avancerait pour éviter une nouvelle déroute publique, elle qui, avec la morgue affichée de la macronie, a refusé de demander la traditionnelle confiance, semblant certaine qu’aucune motion de censure ne pouvait l’atteindre. D’où lui venait cette assurance ?
Elle a parlé mais il n’y a rien de nouveau : du non-sens, des mensonges et de l’hypocrisie. Elle s’est d’abord attaquée au RN et à LFI, ne cherchant pas à composer avec eux, mais à trouver les moyens de fonctionner malgré eux et malgré la part du peuple qu’ils représentent. Elle demande les moyens de continuer dans le macronisme, sans entendre que justement, plus grand monde ne veut du maronisme.
Responsable d’une dette à 114% du PIB, d’un déficit record de la balance extérieure, de l’asthénie de notre économie, de la paupérisation grandissante de l’ensemble des Français, artisan assidue de la débâcle, la représentante de cette ligne politique ose ironiser sur des solutions alternatives et se cantonne à des chèques en forme d’aumône aux contribuables les plus pauvres, tout en continuant à verser des milliards à McKinsey, aux laboratoires pharmaceutiques, à la presse aux ordres et à organiser en sous-main les pénuries alimentaires et énergétiques de l’hiver prochain.
Le RPF s’adresse ici au RN et aux LR : il n’y a pas d’excuse pour ne pas voter la motion de censure, pas d’excuse pour maintenir Borne aux commandes. Les représentants des forces non-macronistes ont été élus par tous ceux qui ne veulent plus de ce président-là, de sa méthode et de ses ministres. Vous êtes comptables et redevables, devant les électeurs, de la confiance qu’ils ont placée en vous, pour arrêter cinq années d’une politique délétère qui nous a menés à la ruine. En laissant Borne à sa place, vous confortez Macron dans l’idée que ne pas avoir de majorité absolue de l’empêchera pas de continuer son œuvre de destruction de notre pays. Votez cette motion de censure.
Par le Rassemblement du Peuple Français
On attendait le discours de Borne avec impatience, curieux de connaître les arguments qu’elle avancerait pour éviter une nouvelle déroute publique, elle qui, avec la morgue affichée de la macronie, a refusé de demander la traditionnelle confiance, semblant certaine qu’aucune motion de censure ne pouvait l’atteindre. D’où lui venait cette assurance ?
Elle a parlé mais il n’y a rien de nouveau : du non-sens, des mensonges et de l’hypocrisie. Elle s’est d’abord attaquée au RN et à LFI, ne cherchant pas à composer avec eux, mais à trouver les moyens de fonctionner malgré eux et malgré la part du peuple qu’ils représentent. Elle demande les moyens de continuer dans le macronisme, sans entendre que justement, plus grand monde ne veut du maronisme.
Responsable d’une dette à 114% du PIB, d’un déficit record de la balance extérieure, de l’asthénie de notre économie, de la paupérisation grandissante de l’ensemble des Français, artisan assidue de la débâcle, la représentante de cette ligne politique ose ironiser sur des solutions alternatives et se cantonne à des chèques en forme d’aumône aux contribuables les plus pauvres, tout en continuant à verser des milliards à McKinsey, aux laboratoires pharmaceutiques, à la presse aux ordres et à organiser en sous-main les pénuries alimentaires et énergétiques de l’hiver prochain.
Le RPF s’adresse ici au RN et aux LR : il n’y a pas d’excuse pour ne pas voter la motion de censure, pas d’excuse pour maintenir Borne aux commandes. Les représentants des forces non-macronistes ont été élus par tous ceux qui ne veulent plus de ce président-là, de sa méthode et de ses ministres. Vous êtes comptables et redevables, devant les électeurs, de la confiance qu’ils ont placée en vous, pour arrêter cinq années d’une politique délétère qui nous a menés à la ruine. En laissant Borne à sa place, vous confortez Macron dans l’idée que ne pas avoir de majorité absolue de l’empêchera pas de continuer son œuvre de destruction de notre pays. Votez cette motion de censure.
Par le Rassemblement du Peuple Français
☐ 6/7/2022
Députés de l'opposition : votez tous ensemble
Vous faites partie de l’opposition, mais, par la volonté du peuple, vous faites aussi partie de la majorité composite qui s’oppose à Macron. Certes à vous seul vous ne détenez pas le pouvoir, mais ensemble oui. C’est là, la plus grande des leçons que ce peuple de France vient de donner à la face du monde, à charge pour vous d’en être les dignes représentants. N’oubliez jamais que, bien que de bords différents, c’est l’ensemble de l’opposition qui parviendra à faire plier Macron. Sans cette union, il aura finalement gain de cause et poursuivra sa route, laissant de côté, les gesticulations d’une Assemblée dont il ne craindra rien, car trop occupée à se déchirer pour des postures idéologiques, dont la majorité des Français ne veulent plus. Bien entendu que les sensibilités sont différentes, mais elles sont scellées par un seul but, un seul mot d’ordre : tout sauf Macron. C’est la priorité des Français, qu’ils soient de votre bord ou pas, tous ceux qui ont voté pour un autre candidat, que le président ne souhaitent qu’une seule chose, en finir avec le macronisme. Au RPF, nous avons défendu cette position entre les deux tours des législatives, sans autre souci que d’empêcher Macron d’obtenir une majorité, sans se contraindre à regarder la couleur politique des candidats, l’urgence était de battre Macron, c’est fait. Pour autant cette urgence n’est pas totalement éteinte, si à présent, l’opposition reste incapable de réaliser le vœu des Français, à savoir contrarier les plans macronistes, et même le destituer. Tenter de trouver, comme certains le voudraient des arrangements pour gouverner avec lui est un leurre et ne correspond pas au vote des Français. Refuser d’associer vos voix avec le reste de l’opposition, est à présent une faute que les Français ne vous pardonneront pas. Ils attendent de vous que vous signifiiez à cet homme qu’il n’est plus le maître à jouer et que les Français ne veulent plus de lui ni de ses amis. Tout sauf Macron doit rester votre ligne de conduite, aussi nous vous demandons, à chaque fois que cela sera possible, motion de censure, proposition de loi scélérate du gouvernement, ou même procédure de destitution, de ne pas hésiter, de ne pas chercher des excuses partisanes, il n’y a depuis votre place, qu’une seule obligation, celle de servir la France, et notre pays réclame la neutralisation de ce président le plus détesté de la Vème République.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
Vous faites partie de l’opposition, mais, par la volonté du peuple, vous faites aussi partie de la majorité composite qui s’oppose à Macron. Certes à vous seul vous ne détenez pas le pouvoir, mais ensemble oui. C’est là, la plus grande des leçons que ce peuple de France vient de donner à la face du monde, à charge pour vous d’en être les dignes représentants. N’oubliez jamais que, bien que de bords différents, c’est l’ensemble de l’opposition qui parviendra à faire plier Macron. Sans cette union, il aura finalement gain de cause et poursuivra sa route, laissant de côté, les gesticulations d’une Assemblée dont il ne craindra rien, car trop occupée à se déchirer pour des postures idéologiques, dont la majorité des Français ne veulent plus. Bien entendu que les sensibilités sont différentes, mais elles sont scellées par un seul but, un seul mot d’ordre : tout sauf Macron. C’est la priorité des Français, qu’ils soient de votre bord ou pas, tous ceux qui ont voté pour un autre candidat, que le président ne souhaitent qu’une seule chose, en finir avec le macronisme. Au RPF, nous avons défendu cette position entre les deux tours des législatives, sans autre souci que d’empêcher Macron d’obtenir une majorité, sans se contraindre à regarder la couleur politique des candidats, l’urgence était de battre Macron, c’est fait. Pour autant cette urgence n’est pas totalement éteinte, si à présent, l’opposition reste incapable de réaliser le vœu des Français, à savoir contrarier les plans macronistes, et même le destituer. Tenter de trouver, comme certains le voudraient des arrangements pour gouverner avec lui est un leurre et ne correspond pas au vote des Français. Refuser d’associer vos voix avec le reste de l’opposition, est à présent une faute que les Français ne vous pardonneront pas. Ils attendent de vous que vous signifiiez à cet homme qu’il n’est plus le maître à jouer et que les Français ne veulent plus de lui ni de ses amis. Tout sauf Macron doit rester votre ligne de conduite, aussi nous vous demandons, à chaque fois que cela sera possible, motion de censure, proposition de loi scélérate du gouvernement, ou même procédure de destitution, de ne pas hésiter, de ne pas chercher des excuses partisanes, il n’y a depuis votre place, qu’une seule obligation, celle de servir la France, et notre pays réclame la neutralisation de ce président le plus détesté de la Vème République.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
☐ 5/7/2022
Le problème, c’est bien lui...
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
Rien de neuf en Macronie. Le nouveau gouvernement n’a de nouveau que le nom. On y a recyclé de vieux boulets, faute de débauchage dans d’autres formations. L’odieux Véran, le controversé Moretti et Darmanin, l’homme du stade de France, sont inamovibles. Abad ne bénéficie plus de la présomption d’innocence. La Macronie est génétiquement incapable de changer, de se transformer, son modèle est figé. Macron n’a pas compris ce qui s’est passé en juin et cherche surtout comment contourner cette assemblée hostile. Il se moque des institutions et de la démocratie : ce doit être uniquement comme ça l’arrange. Pour contourner l’Assemblée nationale il n’a qu’un seul moyen, rester dans l’état d’urgence. Le rôle de l’opposition sera justement de clore ce chapitre de notre histoire, pour revenir à un fonctionnement normal du pays.
Le pantin vit son fantasme, entouré au G7, de ce qui se pense encore les maîtres du monde. Le G7 n’est plus rien d’autres que la cacochyme représentation d’une structure dépassée et ne représentant plus grand-chose. Le monde a basculé, la puissance est ailleurs, et ils ne l’ont pas vu. L’imprécation qui se voulait vérité se heurte au mur de la réalité. Le front ukrainien se fracasse, et l’armée russe avance à grand pas, à tel point qu’un plan de reconstruction est mis en place par Poutine et notre avatar de président de croire à ses propres mensonges. L’Otan ne gagnera pas en Ukraine, c’est un fait. L’Allemagne sa grande amie se rend compte de la stupidité des sanctions et pourrait, dans un très proche avenir, laisser Macron seul avec son délire de vouloir mettre à genoux la Russie. Le représentant des syndicats allemands ne s’y est pas trompé, qui a déclaré « des branches entières de l’industrie risquent de s’effondrer définitivement : aluminium, verres etc… ». Les coupures de gaz ne sont pas supportables pour l’économie germanique qui consomme à 45 % du gaz russe et elle ne pourra pas se permettre de poursuivre ces sanctions. Et dans sa volonté de se préserver de l’inflation, elle pourrait dans le même temps couler l’Italie, dont les intérêts divergent sur cette question.
Macron continue de se moquer des Français, n’a plus de marge de manœuvre et n’a toujours pas compris qu’il ne pourrait plus imposer sa politique. Il ne lui reste que deux choix : dissoudre, à ses risques et périls, ou démissionner. Connaissant le personnage il pourrait risquer une troisième option : le coup d’État. Nous sommes bien en crise institutionnelle, et aucun « arrangement » ne sera possible, il faut accélérer le mouvement et l’ensemble de l’opposition doit s’unir dans le seul but de destituer Macron, qui reste le seul obstacle à un retour aux fondamentaux démocratiques de la cinquième République. Nous sommes assis sur de la dynamite, l’insouciance estivale passée, le prix de l’énergie et l’inflation généralisée seront un cocktail détonnant. Il sera toujours temps d’envoyer les CRS pour mater la colère, mais le problème ne sera en rien résolu. Déclencher un processus de destitution, ne doit plus être un tabou. Comme l’avait dit Pasqua : « la France en a vu d’autres ». Il faut du courage en politique, et ce dernier ne consiste pas toujours à arrondir les angles, pour sauver les apparences, mais bien à renverser la table.
Le pantin vit son fantasme, entouré au G7, de ce qui se pense encore les maîtres du monde. Le G7 n’est plus rien d’autres que la cacochyme représentation d’une structure dépassée et ne représentant plus grand-chose. Le monde a basculé, la puissance est ailleurs, et ils ne l’ont pas vu. L’imprécation qui se voulait vérité se heurte au mur de la réalité. Le front ukrainien se fracasse, et l’armée russe avance à grand pas, à tel point qu’un plan de reconstruction est mis en place par Poutine et notre avatar de président de croire à ses propres mensonges. L’Otan ne gagnera pas en Ukraine, c’est un fait. L’Allemagne sa grande amie se rend compte de la stupidité des sanctions et pourrait, dans un très proche avenir, laisser Macron seul avec son délire de vouloir mettre à genoux la Russie. Le représentant des syndicats allemands ne s’y est pas trompé, qui a déclaré « des branches entières de l’industrie risquent de s’effondrer définitivement : aluminium, verres etc… ». Les coupures de gaz ne sont pas supportables pour l’économie germanique qui consomme à 45 % du gaz russe et elle ne pourra pas se permettre de poursuivre ces sanctions. Et dans sa volonté de se préserver de l’inflation, elle pourrait dans le même temps couler l’Italie, dont les intérêts divergent sur cette question.
Macron continue de se moquer des Français, n’a plus de marge de manœuvre et n’a toujours pas compris qu’il ne pourrait plus imposer sa politique. Il ne lui reste que deux choix : dissoudre, à ses risques et périls, ou démissionner. Connaissant le personnage il pourrait risquer une troisième option : le coup d’État. Nous sommes bien en crise institutionnelle, et aucun « arrangement » ne sera possible, il faut accélérer le mouvement et l’ensemble de l’opposition doit s’unir dans le seul but de destituer Macron, qui reste le seul obstacle à un retour aux fondamentaux démocratiques de la cinquième République. Nous sommes assis sur de la dynamite, l’insouciance estivale passée, le prix de l’énergie et l’inflation généralisée seront un cocktail détonnant. Il sera toujours temps d’envoyer les CRS pour mater la colère, mais le problème ne sera en rien résolu. Déclencher un processus de destitution, ne doit plus être un tabou. Comme l’avait dit Pasqua : « la France en a vu d’autres ». Il faut du courage en politique, et ce dernier ne consiste pas toujours à arrondir les angles, pour sauver les apparences, mais bien à renverser la table.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
☐ 5/7/2022
Ursula et notre argent
Il faut parler d’Ursula Gertrud Von Der Leyen, issue d'une famille de la grande bourgeoisie, avec des ascendances aristocratiques, à la fois Belge, Allemande, avec des origines américaines, britanniques et même russes. Jamais élue par le peuple, elle a été plusieurs fois ministre en Allemagne et même pressentie pour être chancelière. Le jeu d’influence en a décidé autrement et la voilà propulsée à la tête de la commission européenne, au sein d’un cénacle dont on a l’impression que le fonctionnement nous échappe. Mais ce n’est pas qu’une impression. L’élégante sexagénaire est en réalité une mamie confiture, dotée d’une batterie de casseroles élaborée au ministère de la défense allemand. Elle a fait entrer dans ce ministère sensible, le cabinet McKinsey, encore lui, avec déjà, des dépenses qualifiées d’opaques, qui sont toujours objet d’enquête. Les très sévères censeurs allemands dénoncent une gestion parfaitement inexplicable des fonds alloués à ce cabinet de conseil et explique qu’on ne sait toujours pas qui a fait quoi et pour combien. Les enquêteurs pointent aussi des conflits d’intérêt, pensez-donc. David Van Der Leyen, le fils, est cadre dirigeant chez McKinsey, aucun risque de conflit. Avec au passage, une dépossession des prérogatives pour les hauts fonctionnaires allemands.
La même, à la commission européenne, a remis le couvert avec McKinsey, selon un budget en augmentation régulière, pour parvenir à une enveloppe de près d’un milliard par an, on parle bien de l’argent de nos impôts. En toile de fond, la gestion de l’épidémie et l’achat des vaccins, mis au point en un an. On soupçonne l’élégante d’avoir échangé, avec Bourla, PDG de Pfizer, des séries de messages dont la presse aimerait le détail. Elle en a le droit, en démocratie, puisqu’il s’agit d’une dépense évaluée à 4,2 milliards d’euros, d’argent des Européens bien sûr. Tractations et dépenses opaques sont encore de mise, avec une nouvelle fois, l’arrière-plan du conflit d’intérêt, le mari d’Ursula, Heiko, étant lui même directeur de l’entreprise Orgenesis, dont Pfizer est actionnaire. Les enquêteurs allemands sont bien sur les dents, mais les informations semblent bien difficiles à obtenir. Et personne ne sait encore, quelle direction les demandes de transparence émises par des députés européens, vont bien pouvoir prendre.
Pour finir, Ursula est aussi au cœur de la répartition de l’enveloppe d’argent faramineuse, émise sur dos de nos enfants, à rembourser plus tard donc, se montant à 723,8 milliards d’euros. Au passage, la France s’est faite rouler dans la farine en récupérant 40 milliards et en s’endettant de 80. Une nouvelle fois, manque de transparence et absence de liste des bénéficiaires. Quand un importun a le toupet de demander à la dame ce qu’elle fait de tout cet argent, elle répond qu’en fait, elle ne sait pas trop. Qui des collectivités locales, des entreprises ou des États a reçu et pour combien : mystère, du moins officiellement. En résumé Ursula dépense notre argent mais rechigne à fournir les tickets de caisse. On est loin de la rigueur des comptabilités des démocraties nordiques et très loin de l’esprit gaulliste, celui du service du peuple. Et de cette Europe-là, qui en veut encore ?
Il faut parler d’Ursula Gertrud Von Der Leyen, issue d'une famille de la grande bourgeoisie, avec des ascendances aristocratiques, à la fois Belge, Allemande, avec des origines américaines, britanniques et même russes. Jamais élue par le peuple, elle a été plusieurs fois ministre en Allemagne et même pressentie pour être chancelière. Le jeu d’influence en a décidé autrement et la voilà propulsée à la tête de la commission européenne, au sein d’un cénacle dont on a l’impression que le fonctionnement nous échappe. Mais ce n’est pas qu’une impression. L’élégante sexagénaire est en réalité une mamie confiture, dotée d’une batterie de casseroles élaborée au ministère de la défense allemand. Elle a fait entrer dans ce ministère sensible, le cabinet McKinsey, encore lui, avec déjà, des dépenses qualifiées d’opaques, qui sont toujours objet d’enquête. Les très sévères censeurs allemands dénoncent une gestion parfaitement inexplicable des fonds alloués à ce cabinet de conseil et explique qu’on ne sait toujours pas qui a fait quoi et pour combien. Les enquêteurs pointent aussi des conflits d’intérêt, pensez-donc. David Van Der Leyen, le fils, est cadre dirigeant chez McKinsey, aucun risque de conflit. Avec au passage, une dépossession des prérogatives pour les hauts fonctionnaires allemands.
La même, à la commission européenne, a remis le couvert avec McKinsey, selon un budget en augmentation régulière, pour parvenir à une enveloppe de près d’un milliard par an, on parle bien de l’argent de nos impôts. En toile de fond, la gestion de l’épidémie et l’achat des vaccins, mis au point en un an. On soupçonne l’élégante d’avoir échangé, avec Bourla, PDG de Pfizer, des séries de messages dont la presse aimerait le détail. Elle en a le droit, en démocratie, puisqu’il s’agit d’une dépense évaluée à 4,2 milliards d’euros, d’argent des Européens bien sûr. Tractations et dépenses opaques sont encore de mise, avec une nouvelle fois, l’arrière-plan du conflit d’intérêt, le mari d’Ursula, Heiko, étant lui même directeur de l’entreprise Orgenesis, dont Pfizer est actionnaire. Les enquêteurs allemands sont bien sur les dents, mais les informations semblent bien difficiles à obtenir. Et personne ne sait encore, quelle direction les demandes de transparence émises par des députés européens, vont bien pouvoir prendre.
Pour finir, Ursula est aussi au cœur de la répartition de l’enveloppe d’argent faramineuse, émise sur dos de nos enfants, à rembourser plus tard donc, se montant à 723,8 milliards d’euros. Au passage, la France s’est faite rouler dans la farine en récupérant 40 milliards et en s’endettant de 80. Une nouvelle fois, manque de transparence et absence de liste des bénéficiaires. Quand un importun a le toupet de demander à la dame ce qu’elle fait de tout cet argent, elle répond qu’en fait, elle ne sait pas trop. Qui des collectivités locales, des entreprises ou des États a reçu et pour combien : mystère, du moins officiellement. En résumé Ursula dépense notre argent mais rechigne à fournir les tickets de caisse. On est loin de la rigueur des comptabilités des démocraties nordiques et très loin de l’esprit gaulliste, celui du service du peuple. Et de cette Europe-là, qui en veut encore ?
☐ 4/7/2022
Je me marre… revoilà, à cause de la délinquance qui augmente, l’excuse de la pauvreté, qui justifierait que les gens d’origine étrangère, dont il ne faut mentionner ni l’origine, ni la religion, interviendraient dans 80 % de la délinquance, au bas mot. Il faut se le dire, aucune étude sérieuse ne fait de lien objectif entre pauvreté et délinquance. Cela est parfaitement vérifiable et si tel n’était pas le cas, les départements les plus pauvres comme la Lozère, la Corrèze, la Creuse et la Nièvre, seraient de véritables coupe-gorges, or c’est le contraire. Les déclencheurs de la délinquance sont la présence d’argent et plus particulièrement d’argent sale et la présence des gens d’origine étrangère dont il ne faut mentionner ni l’origine, ni la religion. Illustration : la Seine Saint-Denis, 15ième département le plus riche de France en termes de PIB, champion de l’argent sale et champion de la présence des gens d’origine étrangère, dont il ne faut mentionner ni l’origine, ni la religion, qui termine, département le plus délinquant de France, avec les Bouches-du-Rhône à la seconde place et le Rhône à la troisième. La réalité est bien sans appel.
☐ 2/7/2022
Je me marre… Français, pas d’obligation, nous comptons sur votre esprit de responsabilité… blablabla. Et des moutons lobotomisés en rajoutent, portant leur masque dehors, dans la rue, avec « responsabilité », selon le bon plaisir d’un gouvernement d’irresponsables, dont le premier travail a été de supprimer tout ce qui permettait de se soigner. L’homme « responsable » devient ainsi celui qui obéit, le plus, le mieux et le plus immédiatement, à une injonction débile déguisée en bon conseil. Et les « élites » en embuscade, comptent la proportion d’esclaves soumis qui se plient à ce qu’ils croient être une proposition de responsabilité. Et si la proportion atteint un seuil suffisamment intéressant, ce qui n’était que conseillé deviendra obligatoire. Et tous les co...ards qui portent 10kg de chaînes sans qu’on leur en donne l’ordre, proposeront d’en porter 20kg et se croiront plus responsables que les autres.
☐ 2/7/2022
Deux balles dans le pied
L’Union Européenne s’enfonce dans l’absurde, avec ses trains de mesures économiques contre la Russie. Elle n’a pas su faire respecter, sur son continent, les accords de Minsk, concernant l’extension de l’OTAN à l’est. Qu’auraient dit les États-Unis si la Russie avait installé vingt-cinq bases militaires et des laboratoires bactériologiques, au nord du Mexique, au sud du Canada et à Cuba ? Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit, la Russie est cernée de bases US. Non contente de s’être fourvoyée une première fois, l’Europe ne négocie pas en amont avec Poutine et enclenche des mesures d’embargo économique, à grand renfort de communication orientée, pour ne pas dire de bourrage de crânes. Et l’Européen qui ne soutient pas l’Ukraine, se retrouve comme un paria non-vacciné. Les Européens avaient-ils été sommés de soutenir la Yougoslavie quand l’OTAN bombardait Belgrade ? On ne nous demande pas de réfléchir mais de brailler avec les loups. Et on se tire une première balle dans le pied.
Il faut se passer des énergies russes séance tenante. Ce sera facile pour certains, moins pour d’autres, comme l’Allemagne ou la Hongrie. Le branle-bas de combat commence, la Russie doit être asphyxiée économiquement. C’est l’Europe qui l’est en fait, peu prête, parce qu’elle n'a pas suffisamment travaillé, à se passer de tant de cette énergie, dont on a battu le record de consommation en 2021. Poutine, l’homme qui a remis son pays dans le concert des grandes nations, après la ruine soviétique, avait anticipé le coup. Non seulement, il récupère des fleurons, comme Renault ou Mac-Donald, mais se trouve des débouchés commerciaux pour ses énergies. Résultat, le Rouble devient une monnaie très performante et la Russie n’a jamais gagné autant d’argent avec son gaz et son pétrole. À tel point qu’elle se permet même de couper ses vannes vers l’Europe. Voilà, M. Poutine, on n’achète plus votre énergie. Non, messieurs les Européens, c’est moi qui ne vous la vend plus. Et il ne va pas être facile pour les Européens de compenser la part russe de leur consommation, tous les fournisseurs potentiels étant déjà au taquet.
En admettant que les Européens, sous la conduite le leur nouveau président, qui remplace Macron, retrouvent un peu de bon sens et reviennent sur les mesures imbéciles qui nous conduisent à de probables rationnements l’hiver prochain, il n’est même pas dit que Poutine accepterait de revenir aux contrats passés, vu qu’il en a trouvé de biens meilleurs. Nous nous tirons une seconde balle dans le pied. Les États-Unis ne risquent pas de souffrir des restrictions, n’ont pas de guerre sur leur sol, n’auront pas à financer la reconstruction de l’Ukraine. Le fouteur de merde s’en tire tranquillement et nous laisse à gérer une situation devenue inextricable, dans laquelle nous allons perdre encore beaucoup de plumes, sans réel espoir de retrouver une stabilité économique autant que diplomatique.
L’Union Européenne s’enfonce dans l’absurde, avec ses trains de mesures économiques contre la Russie. Elle n’a pas su faire respecter, sur son continent, les accords de Minsk, concernant l’extension de l’OTAN à l’est. Qu’auraient dit les États-Unis si la Russie avait installé vingt-cinq bases militaires et des laboratoires bactériologiques, au nord du Mexique, au sud du Canada et à Cuba ? Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit, la Russie est cernée de bases US. Non contente de s’être fourvoyée une première fois, l’Europe ne négocie pas en amont avec Poutine et enclenche des mesures d’embargo économique, à grand renfort de communication orientée, pour ne pas dire de bourrage de crânes. Et l’Européen qui ne soutient pas l’Ukraine, se retrouve comme un paria non-vacciné. Les Européens avaient-ils été sommés de soutenir la Yougoslavie quand l’OTAN bombardait Belgrade ? On ne nous demande pas de réfléchir mais de brailler avec les loups. Et on se tire une première balle dans le pied.
Il faut se passer des énergies russes séance tenante. Ce sera facile pour certains, moins pour d’autres, comme l’Allemagne ou la Hongrie. Le branle-bas de combat commence, la Russie doit être asphyxiée économiquement. C’est l’Europe qui l’est en fait, peu prête, parce qu’elle n'a pas suffisamment travaillé, à se passer de tant de cette énergie, dont on a battu le record de consommation en 2021. Poutine, l’homme qui a remis son pays dans le concert des grandes nations, après la ruine soviétique, avait anticipé le coup. Non seulement, il récupère des fleurons, comme Renault ou Mac-Donald, mais se trouve des débouchés commerciaux pour ses énergies. Résultat, le Rouble devient une monnaie très performante et la Russie n’a jamais gagné autant d’argent avec son gaz et son pétrole. À tel point qu’elle se permet même de couper ses vannes vers l’Europe. Voilà, M. Poutine, on n’achète plus votre énergie. Non, messieurs les Européens, c’est moi qui ne vous la vend plus. Et il ne va pas être facile pour les Européens de compenser la part russe de leur consommation, tous les fournisseurs potentiels étant déjà au taquet.
En admettant que les Européens, sous la conduite le leur nouveau président, qui remplace Macron, retrouvent un peu de bon sens et reviennent sur les mesures imbéciles qui nous conduisent à de probables rationnements l’hiver prochain, il n’est même pas dit que Poutine accepterait de revenir aux contrats passés, vu qu’il en a trouvé de biens meilleurs. Nous nous tirons une seconde balle dans le pied. Les États-Unis ne risquent pas de souffrir des restrictions, n’ont pas de guerre sur leur sol, n’auront pas à financer la reconstruction de l’Ukraine. Le fouteur de merde s’en tire tranquillement et nous laisse à gérer une situation devenue inextricable, dans laquelle nous allons perdre encore beaucoup de plumes, sans réel espoir de retrouver une stabilité économique autant que diplomatique.
☐ 1/7/2022
Je me marre… la progression du Covid, dans notre pays, dont la presse nous parle, sans que nous en voyions les effets et dans un pays où 90 % des gens sont vaccinés, est bien le signe d’un échec de la vaccination. Si après on nous explique qu’il faut urgemment aller à la piqûre tous les trois mois, juste pour faire une forme moins grave, c’est qu’on se fiche de nous. En Afrique, presque personne n’est vacciné et ils ont eu moins de morts que nous.
☐ 30/6/2022
Je me marre… le méchant Poutine aurait bombardé un centre commercial, selon France-Info. Selon d’autres, il a bombardé un dépôt de munitions et le feu s’est propagé à un centre commercial désaffecté tout proche. Ils n’oseraient tout de même pas nous mener en bateau, à France-Info. Je suis sûr qu’ils disent la vérité, ce sont des journalistes sérieux et totalement indépendants, tout le monde le sait.
☐ 29/6/2022
Que va-t-il encore inventer ?
Macron est gêné aux entournures avec cette Assemblée Nationale qui n’obéit plus à ses injonctions. Il voulait imposer Lescure au perchoir, il a Braun-Pivet. Diable : ses propres troupes ne lui obéissent plus. Pendant 5 ans il a eu des godillots serviles, il ne les a plus. Son groupe s’est féminisé et souvent femme varie. Le voilà coincé entre Brigitte, Elisabeth et Yaël, autant dire, refait.
Si Borne ne subit pas de motion de censure, elle reste en place mais n’a pas de majorité et devra naviguer à vue, avec des rangs macronistes où la dame ne semble pas faire l’unanimité. Qui d’autre que Borne ? Il lui faudra dissoudre à un moment et organiser de nouvelles élections, entre 20 et 40 jours après. S’il dissout tout de suite, il tombe en plein été, avec les classes populaires qui seront disponibles pour aller voter, pendant que les Macronistes se doreront la pilule loin des urnes. Attendre septembre sera tout aussi risqué, la rentrée s’annonce chaude. Pénurie de toutes sortes, flambée du prix des carburants, éventuelles restrictions COVID, rentrée scolaire avec manque de profs : les électeurs mécontents lui feraient payer durement cette soviétisation de notre société. En fin d’année, les élections US pourraient tourner à l’avantage des Républicains et remettre en cause les options concoctées avec Biden. Macron serait isolé. Et si Borne est renversée début juillet, les options vont encore se réduire et tout sera en place pour prendre une déculottée encore plus sévère que celle encaissée début juin.
Quant à l’Allemagne, alimentée à plus de 40 % par de l’énergie russe, elle risque de finir par renâcler sur les sanctions plutôt que de sacrifier son outil de production haut de gamme. Mais dieu seul sait où en sera la guerre en Ukraine. Macron a beau répéter que la Russie ne peut pas et ne doit pas gagner, les incantations n’ont jamais assuré la victoire. Pour couronner le tout, quand il met un pied au stade de France, il se fait huer par la foule. Alors l’enfant gâté voyage, regarde de loin le foutoir économique et politique engendré par ses plans foireux. Il se comporte comme un gamin qui fait son intéressant au milieu des adultes, interrompt Biden, se moque de Poutine, pose en chemise, trimballe Brigitte… fait son cirque. S’il était malade, psychologiquement, on pourrait dire qu’il décompense, mais tel n’est pas le cas bien sûr, il se ressource, histoire d’élaborer l’une des pirouettes qu’on lui connaît, entre les deux mâchoires d’un étau qui se resserre.
Par Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français.
Macron est gêné aux entournures avec cette Assemblée Nationale qui n’obéit plus à ses injonctions. Il voulait imposer Lescure au perchoir, il a Braun-Pivet. Diable : ses propres troupes ne lui obéissent plus. Pendant 5 ans il a eu des godillots serviles, il ne les a plus. Son groupe s’est féminisé et souvent femme varie. Le voilà coincé entre Brigitte, Elisabeth et Yaël, autant dire, refait.
Si Borne ne subit pas de motion de censure, elle reste en place mais n’a pas de majorité et devra naviguer à vue, avec des rangs macronistes où la dame ne semble pas faire l’unanimité. Qui d’autre que Borne ? Il lui faudra dissoudre à un moment et organiser de nouvelles élections, entre 20 et 40 jours après. S’il dissout tout de suite, il tombe en plein été, avec les classes populaires qui seront disponibles pour aller voter, pendant que les Macronistes se doreront la pilule loin des urnes. Attendre septembre sera tout aussi risqué, la rentrée s’annonce chaude. Pénurie de toutes sortes, flambée du prix des carburants, éventuelles restrictions COVID, rentrée scolaire avec manque de profs : les électeurs mécontents lui feraient payer durement cette soviétisation de notre société. En fin d’année, les élections US pourraient tourner à l’avantage des Républicains et remettre en cause les options concoctées avec Biden. Macron serait isolé. Et si Borne est renversée début juillet, les options vont encore se réduire et tout sera en place pour prendre une déculottée encore plus sévère que celle encaissée début juin.
Quant à l’Allemagne, alimentée à plus de 40 % par de l’énergie russe, elle risque de finir par renâcler sur les sanctions plutôt que de sacrifier son outil de production haut de gamme. Mais dieu seul sait où en sera la guerre en Ukraine. Macron a beau répéter que la Russie ne peut pas et ne doit pas gagner, les incantations n’ont jamais assuré la victoire. Pour couronner le tout, quand il met un pied au stade de France, il se fait huer par la foule. Alors l’enfant gâté voyage, regarde de loin le foutoir économique et politique engendré par ses plans foireux. Il se comporte comme un gamin qui fait son intéressant au milieu des adultes, interrompt Biden, se moque de Poutine, pose en chemise, trimballe Brigitte… fait son cirque. S’il était malade, psychologiquement, on pourrait dire qu’il décompense, mais tel n’est pas le cas bien sûr, il se ressource, histoire d’élaborer l’une des pirouettes qu’on lui connaît, entre les deux mâchoires d’un étau qui se resserre.
Par Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français.
☐ 29/6/2022
La panne de compétences
Bruno Le Maire annonce sans rire que le gouvernement va faire rouvrir la centrale à charbon, bien polluante, de Saint-Avold, pour pallier les possibles coupures de courant cet hiver et cela fait bondir les écologistes, mais là n’est pas le plus grave. Tout en continuant tout de même à inciter les Français à acheter des voitures électriques. Il marche sur la tête. Pourquoi le gouvernement ne relance-t-il pas une partie du parc des centrales nucléaires qui est, pour moitié, à l’arrêt ? Tout simplement parce que nous ne disposons plus de suffisamment de personnel compétent pour remettre une centrale nucléaire en route, et ça c’est autrement grave qu’un peu de pollution aux fumées de charbon. Ce n’est pas l’apanage du secteur nucléaire, mais une tendance de fond : les chefs d'entreprises citent à 83 % la problématique « des recrutements de plus en plus difficiles et des pénuries de compétences ». Cette part monte à 94 % dans la construction et 76 % dans les services. La France est en panne de compétence, d’intelligence, de courage et de créativité. Et la question se pose avec acuité : saurions-nous encore construire et entretenir une centrale nucléaire, en France, avec du personnel français ?
Au Rassemblement du Peuple Français, nous n’avons eu de cesse de le répéter. Le renouveau doit partir de l’école, de la création de potentialités et de compétences, en primaire et maternelle. D’une pré-orientation vers des métiers, par des collaborations entre établissements scolaires et entreprises, à partir de la quatrième, par le biais de projets et de stages. Une hausse des exigences à l’examen du bac et l’orientation préalable vers des métiers à compétences artisanales, du plus haut niveau possible, pour tous les élèves peu enclins à suivre des cursus scolaires théoriques, quitte à retrouver des taux de réussite au bac du niveau des années 80 : la compétence ne se décrète pas politiquement et encore moins électoralement. Remettre au goût du jour, travail, rigueur, exigence, sélection par le mérite. Rehausser le niveau des écoles d’ingénieurs et des filières d’excellence, moyennant quoi, nous pourrons tisser à nouveau, un maillage industriel du pays et trouver une place pour chacun dans le monde du travail. Il s’agit d’un projet à mener sur plusieurs quinquennats, évidemment et dont il ne faut pas espérer cueillir les fruits, avant une dizaine d’années. Même en changeant radicalement de voie pour le système d’enseignement, nous aurons froid cet hiver et l’hiver prochain. Mais si rien ne change, nous risquons d’avoir froid très longtemps.
Bruno Le Maire annonce sans rire que le gouvernement va faire rouvrir la centrale à charbon, bien polluante, de Saint-Avold, pour pallier les possibles coupures de courant cet hiver et cela fait bondir les écologistes, mais là n’est pas le plus grave. Tout en continuant tout de même à inciter les Français à acheter des voitures électriques. Il marche sur la tête. Pourquoi le gouvernement ne relance-t-il pas une partie du parc des centrales nucléaires qui est, pour moitié, à l’arrêt ? Tout simplement parce que nous ne disposons plus de suffisamment de personnel compétent pour remettre une centrale nucléaire en route, et ça c’est autrement grave qu’un peu de pollution aux fumées de charbon. Ce n’est pas l’apanage du secteur nucléaire, mais une tendance de fond : les chefs d'entreprises citent à 83 % la problématique « des recrutements de plus en plus difficiles et des pénuries de compétences ». Cette part monte à 94 % dans la construction et 76 % dans les services. La France est en panne de compétence, d’intelligence, de courage et de créativité. Et la question se pose avec acuité : saurions-nous encore construire et entretenir une centrale nucléaire, en France, avec du personnel français ?
Au Rassemblement du Peuple Français, nous n’avons eu de cesse de le répéter. Le renouveau doit partir de l’école, de la création de potentialités et de compétences, en primaire et maternelle. D’une pré-orientation vers des métiers, par des collaborations entre établissements scolaires et entreprises, à partir de la quatrième, par le biais de projets et de stages. Une hausse des exigences à l’examen du bac et l’orientation préalable vers des métiers à compétences artisanales, du plus haut niveau possible, pour tous les élèves peu enclins à suivre des cursus scolaires théoriques, quitte à retrouver des taux de réussite au bac du niveau des années 80 : la compétence ne se décrète pas politiquement et encore moins électoralement. Remettre au goût du jour, travail, rigueur, exigence, sélection par le mérite. Rehausser le niveau des écoles d’ingénieurs et des filières d’excellence, moyennant quoi, nous pourrons tisser à nouveau, un maillage industriel du pays et trouver une place pour chacun dans le monde du travail. Il s’agit d’un projet à mener sur plusieurs quinquennats, évidemment et dont il ne faut pas espérer cueillir les fruits, avant une dizaine d’années. Même en changeant radicalement de voie pour le système d’enseignement, nous aurons froid cet hiver et l’hiver prochain. Mais si rien ne change, nous risquons d’avoir froid très longtemps.
Par Pierre Duriot, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, en charge des questions d’enseignement.
☐ 28/6/2022
L’effet psychologique Macron
Il y a une forme d’affolement très actuel dans la vie économique, une perception de l’incapacité à gérer les crises qui se présentent, une découverte tardive du fait que les sanctions contre la Russie se révèlent être plus néfastes pour l’Europe que pour la Russie et la distillation de petites phrases dans les médias n’arrange rien. L’état psychologique de la nation, est aussi préoccupant que la question des finances. L’économie, pour bien tourner, les familles, pour bien vivre, ont besoin d’une lisibilité de l’avenir, au moins à court et moyen terme.
Or actuellement, même le court terme est illisible et il suffit de prendre le temps de discuter avec des patrons de PME, des commerçants ou des parents. Même les vacances des mois d’été sont incertaines, entre mesures sanitaires, manque de personnel aéroportuaire, grèves des cheminots et menaces de pénurie d’une essence déjà hors de prix. La situation politique génère également des facteurs d’angoisse, à savoir si ce gouvernement dont personne ne veut, va arriver à perdurer, ou s’il va pouvoir continuer de nuire.
Les chefs d’entreprises sont dans le flou. Pénurie de main-d’œuvre, incertitudes sur les approvisionnements énergétiques et de matières premières, crainte de mesures sanitaires démentielles, plombant l’activité et l’organisation du travail, le tout sur fond d’effets inattendus, de ces injections dont il ne faut pas parler, mais dont la conséquence la plus entendue est celle d’une « fatigue chronique », en plus d’une efficacité largement mise en doute, puisque l’épidémie repartirait, du moins dans la bouche des « spécialistes ».
Le gouvernement, non content de ne pas se soucier de l’adage principal qui voudrait que « gouverner c’est prévoir », ne prévoit rien. Pire, il jette de l’huile sur le feu, avec Le Maire, qui explique que les finances publiques sont au bord de la rupture. Il est bien placé pour le dire, c’est à cause de lui. Il évoque même des pénuries alimentaires. Estrosi, qui explique qu’on va vers un retour du passe vaccinal, lui qui est allé se faire soigner chez Raoult. Macron, qui prévoit la réouverture des centrales à charbon et fait étalage de conversations surréalistes avec Poutine. Breton et le G7, qui, non contents de plonger l’économie européenne dans l’abîme, disent réfléchir à un nouveau train de mesures économiques contre la Russie, c’est-à-dire, contre nous.
On finit par se demander si Macron est confronté à cette entropie maximale, ou s’il la génère et force est de constater qu’en réalité, il la génère, par ses caprices, son inconséquence, ses méthodes et sa personnalité alambiquée à l’extrême, qui lui fait détruire à peu près tout ce qu’il touche. (...)
Il y a une forme d’affolement très actuel dans la vie économique, une perception de l’incapacité à gérer les crises qui se présentent, une découverte tardive du fait que les sanctions contre la Russie se révèlent être plus néfastes pour l’Europe que pour la Russie et la distillation de petites phrases dans les médias n’arrange rien. L’état psychologique de la nation, est aussi préoccupant que la question des finances. L’économie, pour bien tourner, les familles, pour bien vivre, ont besoin d’une lisibilité de l’avenir, au moins à court et moyen terme.
Or actuellement, même le court terme est illisible et il suffit de prendre le temps de discuter avec des patrons de PME, des commerçants ou des parents. Même les vacances des mois d’été sont incertaines, entre mesures sanitaires, manque de personnel aéroportuaire, grèves des cheminots et menaces de pénurie d’une essence déjà hors de prix. La situation politique génère également des facteurs d’angoisse, à savoir si ce gouvernement dont personne ne veut, va arriver à perdurer, ou s’il va pouvoir continuer de nuire.
Les chefs d’entreprises sont dans le flou. Pénurie de main-d’œuvre, incertitudes sur les approvisionnements énergétiques et de matières premières, crainte de mesures sanitaires démentielles, plombant l’activité et l’organisation du travail, le tout sur fond d’effets inattendus, de ces injections dont il ne faut pas parler, mais dont la conséquence la plus entendue est celle d’une « fatigue chronique », en plus d’une efficacité largement mise en doute, puisque l’épidémie repartirait, du moins dans la bouche des « spécialistes ».
Le gouvernement, non content de ne pas se soucier de l’adage principal qui voudrait que « gouverner c’est prévoir », ne prévoit rien. Pire, il jette de l’huile sur le feu, avec Le Maire, qui explique que les finances publiques sont au bord de la rupture. Il est bien placé pour le dire, c’est à cause de lui. Il évoque même des pénuries alimentaires. Estrosi, qui explique qu’on va vers un retour du passe vaccinal, lui qui est allé se faire soigner chez Raoult. Macron, qui prévoit la réouverture des centrales à charbon et fait étalage de conversations surréalistes avec Poutine. Breton et le G7, qui, non contents de plonger l’économie européenne dans l’abîme, disent réfléchir à un nouveau train de mesures économiques contre la Russie, c’est-à-dire, contre nous.
On finit par se demander si Macron est confronté à cette entropie maximale, ou s’il la génère et force est de constater qu’en réalité, il la génère, par ses caprices, son inconséquence, ses méthodes et sa personnalité alambiquée à l’extrême, qui lui fait détruire à peu près tout ce qu’il touche. (...)
☐ 27/6/2022
Renversez ce gouvernement et ce président
L’indignation ne peut qu’être à son comble après les déclarations de Macron et de son sous-fifre Pap Ndiaye concernant la place qu’ils entendent donner au RN et à LFI/Nupes, dans le débat politique.
Sa défaite aux législatives lui fait perdre la raison, le voilà se pensant investi d’une qualité de monarque de droit divin. À ce titre, il juge, estime, et tranche. « LFI et le RN ne s’inscrivent pas comme des partis de gouvernement. » Macron n’a toujours pas admis qu’il n’avait plus de majorité. Le pouvoir c’est lui, le droit c’est lui, la vérité, c’est encre lui. Il donne les bons et mauvais points, s’arroge le droit de décider qui est fréquentable et qui doit être ostracisé. Mais entre corruption, prises illégales d’intérêts et plaintes pour viol, ses rangs à lui, sont tout aussi infréquentables. Ecarter de la représentation nationale plus de la moitié de l’électorat, c’est se poser de facto en anti-démocrate et nier l’expression du suffrage universel, garante du droit et de la justice. Son idéologie outrancière est reprise par Pap Ndiyae, sur les ondes de France Inter, qui refusera de répondre aux questions des députés jugés « mauvais ». De quel droit ? Où est-il inscrit dans le règlement de l’Assemblée Nationale, ou dans la constitution, qu’un membre du gouvernement peut choisir parmi ses interlocuteurs élus ? La Macronie applique ses propres règles, se place ainsi en dehors de la constitution et passe de fait dans la dictature.
Au RPF nous expliquons depuis des mois, la propension de ce président à se situer en dehors des institutions qui nous régissent et surtout nous protègent. Il est un danger pour la démocratie et ceux qui riaient devraient ouvrir les yeux. Il tente de séduire quelques écolos, PS et LR, pour trouver suffisamment de voix afin de faire passer en force un agenda européiste issu du forum de Davos : il est grand temps de le stopper. Nupes, RN et LR, doivent constituer, au-delà de leurs divergences, une opposition solide et majoritaire, pour maintenir l’état de droit, la démocratie et préserver le rôle politique et décisionnel du parlement, c’est à dire, renverser ce gouvernement par la voie constitutionnelle, utiliser l’article 68, qui sanctionne un manquement incompatible avec l’exercice du mandat : « passer outre le résultat des urnes et ne pas tenir compte de catégories d’élus de la représentation nationale ». Que l’opposition soit à la hauteur de la confiance des électeurs, avant qu’il n’interdise l’accès du palais Bourbon, aux députés « désignés comme indignes ».
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
L’indignation ne peut qu’être à son comble après les déclarations de Macron et de son sous-fifre Pap Ndiaye concernant la place qu’ils entendent donner au RN et à LFI/Nupes, dans le débat politique.
Sa défaite aux législatives lui fait perdre la raison, le voilà se pensant investi d’une qualité de monarque de droit divin. À ce titre, il juge, estime, et tranche. « LFI et le RN ne s’inscrivent pas comme des partis de gouvernement. » Macron n’a toujours pas admis qu’il n’avait plus de majorité. Le pouvoir c’est lui, le droit c’est lui, la vérité, c’est encre lui. Il donne les bons et mauvais points, s’arroge le droit de décider qui est fréquentable et qui doit être ostracisé. Mais entre corruption, prises illégales d’intérêts et plaintes pour viol, ses rangs à lui, sont tout aussi infréquentables. Ecarter de la représentation nationale plus de la moitié de l’électorat, c’est se poser de facto en anti-démocrate et nier l’expression du suffrage universel, garante du droit et de la justice. Son idéologie outrancière est reprise par Pap Ndiyae, sur les ondes de France Inter, qui refusera de répondre aux questions des députés jugés « mauvais ». De quel droit ? Où est-il inscrit dans le règlement de l’Assemblée Nationale, ou dans la constitution, qu’un membre du gouvernement peut choisir parmi ses interlocuteurs élus ? La Macronie applique ses propres règles, se place ainsi en dehors de la constitution et passe de fait dans la dictature.
Au RPF nous expliquons depuis des mois, la propension de ce président à se situer en dehors des institutions qui nous régissent et surtout nous protègent. Il est un danger pour la démocratie et ceux qui riaient devraient ouvrir les yeux. Il tente de séduire quelques écolos, PS et LR, pour trouver suffisamment de voix afin de faire passer en force un agenda européiste issu du forum de Davos : il est grand temps de le stopper. Nupes, RN et LR, doivent constituer, au-delà de leurs divergences, une opposition solide et majoritaire, pour maintenir l’état de droit, la démocratie et préserver le rôle politique et décisionnel du parlement, c’est à dire, renverser ce gouvernement par la voie constitutionnelle, utiliser l’article 68, qui sanctionne un manquement incompatible avec l’exercice du mandat : « passer outre le résultat des urnes et ne pas tenir compte de catégories d’élus de la représentation nationale ». Que l’opposition soit à la hauteur de la confiance des électeurs, avant qu’il n’interdise l’accès du palais Bourbon, aux députés « désignés comme indignes ».
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 26/6/2022
Explosion du nombre de pauvres
Plusieurs associations s’alarment des effets de l’inflation et donc de l’augmentation des prix des denrées alimentaires. Il était question de manger cinq fruits et légumes par jour, que beaucoup n’avaient déjà pas les moyens de se payer. Le nombre de pauvres en France pourrait avoisiner les 12 millions de personnes, en ce milieu 2022, soit près de 18,46 % de la population. Le nombre de demandes d’allocations RSA a grimpé en flèche (+14 %) depuis la mi-2020. Le prix de l’énergie s’imposant à tous et plus particulièrement, aux personnes vivant en milieu rural, il faut rogner sur d’autres dépenses et en particulier la nourriture. Au passage, on peut noter que le prix de l’essence ne semble pas importuner plus que cela le gouvernement en place, étant donné qu’il nuit aux populations provinciales campagnardes, qui votent majoritairement dans l’opposition.
Il n’empêche, au-delà du calcul politique, les denrées alimentaires sont plus chères dans les centres urbains qu’à la campagne et les deux s’équilibrent afin que tout le monde pâtisse. Le résultat à moyen terme sera une explosion des maladies liées à une nourriture déséquilibrée et le prix qu’il va en coûter dans une population déjà majoritairement en surpoids. La réponse de l’État tient en quelques mesurettes, sous forme d’aides ciblées aux plus faibles, lesquelles sont payées par les un peu moins faibles, mais selon une méthode qui ne pourra être maintenue si le produit intérieur progresse moins vite que les demandes d’aides. Mieux que l’aumône des aides ciblées, pouvoir vivre décemment de son travail doit redevenir la règle, et vivre n’est pas seulement arriver à manger. Le coût salarial pour l’employeur se monte à plus du double de ce qu’il verse en salaire net à son salarié, c’est donc bien l’État qui exploite les travailleurs et pas les chefs d’entreprises. Il en découle une tendance à vouloir payer tout le monde au SMIC, afin de pouvoir diminuer à la fois la masse salariale et les charges, moins élevées sur les petits salaires.
Au niveau national, il faut sortir de cette spirale de la taxation, on le voit avec plus d’acuité actuellement, avec les salariés des compagnies aériennes low-cost, pratiquement tous payés au SMIC, malgré un niveau de qualification important. Et valoriser par la rémunération, l’acquisition de nouvelles compétences. Au niveau international, sortir du processus de sanctions économiques contre la Russie, dont découle une partie, mais une partie seulement, du processus inflationniste qui frappe les familles actuellement. À moins que, comme on peut en avoir la très nette impression, cette spirale de l’appauvrissement globale de quasiment toutes les couches sociales, de pauvres à aisées, au bénéfice des très aisées, ne cache une volonté farouche d’instaurer un autre type de société.
Plusieurs associations s’alarment des effets de l’inflation et donc de l’augmentation des prix des denrées alimentaires. Il était question de manger cinq fruits et légumes par jour, que beaucoup n’avaient déjà pas les moyens de se payer. Le nombre de pauvres en France pourrait avoisiner les 12 millions de personnes, en ce milieu 2022, soit près de 18,46 % de la population. Le nombre de demandes d’allocations RSA a grimpé en flèche (+14 %) depuis la mi-2020. Le prix de l’énergie s’imposant à tous et plus particulièrement, aux personnes vivant en milieu rural, il faut rogner sur d’autres dépenses et en particulier la nourriture. Au passage, on peut noter que le prix de l’essence ne semble pas importuner plus que cela le gouvernement en place, étant donné qu’il nuit aux populations provinciales campagnardes, qui votent majoritairement dans l’opposition.
Il n’empêche, au-delà du calcul politique, les denrées alimentaires sont plus chères dans les centres urbains qu’à la campagne et les deux s’équilibrent afin que tout le monde pâtisse. Le résultat à moyen terme sera une explosion des maladies liées à une nourriture déséquilibrée et le prix qu’il va en coûter dans une population déjà majoritairement en surpoids. La réponse de l’État tient en quelques mesurettes, sous forme d’aides ciblées aux plus faibles, lesquelles sont payées par les un peu moins faibles, mais selon une méthode qui ne pourra être maintenue si le produit intérieur progresse moins vite que les demandes d’aides. Mieux que l’aumône des aides ciblées, pouvoir vivre décemment de son travail doit redevenir la règle, et vivre n’est pas seulement arriver à manger. Le coût salarial pour l’employeur se monte à plus du double de ce qu’il verse en salaire net à son salarié, c’est donc bien l’État qui exploite les travailleurs et pas les chefs d’entreprises. Il en découle une tendance à vouloir payer tout le monde au SMIC, afin de pouvoir diminuer à la fois la masse salariale et les charges, moins élevées sur les petits salaires.
Au niveau national, il faut sortir de cette spirale de la taxation, on le voit avec plus d’acuité actuellement, avec les salariés des compagnies aériennes low-cost, pratiquement tous payés au SMIC, malgré un niveau de qualification important. Et valoriser par la rémunération, l’acquisition de nouvelles compétences. Au niveau international, sortir du processus de sanctions économiques contre la Russie, dont découle une partie, mais une partie seulement, du processus inflationniste qui frappe les familles actuellement. À moins que, comme on peut en avoir la très nette impression, cette spirale de l’appauvrissement globale de quasiment toutes les couches sociales, de pauvres à aisées, au bénéfice des très aisées, ne cache une volonté farouche d’instaurer un autre type de société.
☐ 24/6/2022
L’Europe contre les Européens
Il est étonnant que la septième vague de Covid dont on commence à parler, en France, coïncide très exactement, avec le vote, à l’Europe, le 23 juin, d’un maintien du dispositif de passe sanitaire, activable par les États membres, encore pendant un an. Comme si l’un justifiait l’autre. Ces parlementaires ont voté l’exact contraire de la consultation populaire, qu’ils avaient pourtant initiée. Cette grande consultation visait à connaître l’opinion du peuple sur la suspension, ou non, du certificat Covid européen. 385 000 Européens ont répondu à cette consultation et 97 % d’entre eux étaient opposés à la prolongation du certificat. En France le gouvernement voudrait faire prolonger l'état d'urgence sanitaire et le passe et on se demande bien si la nouvelle opposition sera d’accord. La réalité est que les peuples n’en veulent plus et s’il ne s’agit que de rassurer les compagnies aériennes sur la possibilité de refouler un passager avec la température, il n’est pas nécessaire d’appliquer cette règle à plus de 90 % de gens qui ne prennent pas l’avion.
Reste que cette septième vague n’existe que dans les médias et n’est corroborée par aucun mort, ni aucun regain d’hospitalisations. Les 50 000 cas par jour, si tant est que le chiffre soit exact, ne doivent être que des formes bénignes et comme 90 % des gens sont vaccinés, quel intérêt de prolonger ce dispositif ? La seule conclusion à tirer est que l’Europe se fiche éperdument de ce que pensent les Européens. Pour la France, Jadot, Morano, Loiseau, Sanders, Didier, Glusksmann, Aubry (qui explique l’avoir voté par erreur : on y croit : NDLR), ont voté pour, même ceux donc, qui sont censés être dans l’opposition à Macron. Il y a bien eu plusieurs mea-culpa, dans le monde de la presse, après l’épisode Covid, sur le thème, « c’est vrai, on en a trop fait », mais on se prépare néanmoins à en remettre une couche et accessoirement à prendre les Français pour des veaux. Pour quoi faire au juste, empêcher les gens de partir en vacances, ou les cueillir à la rentrée ? A quoi jouent cette Europe et ce gouvernement Français désormais désavoué ?
Au Rassemblement du Peuple Français, notre ligne a toujours été la même, depuis le début : liberté de consentement à la vaccination, liberté de prescription pour les médecins, réintégration des personnels soignants et pompiers licenciés, autorisation des traitements existants, appel à la responsabilité individuelle pour les gestes barrières. La même politique, en somme, que pour les habituelles épidémies de grippe annuelles.
Il est étonnant que la septième vague de Covid dont on commence à parler, en France, coïncide très exactement, avec le vote, à l’Europe, le 23 juin, d’un maintien du dispositif de passe sanitaire, activable par les États membres, encore pendant un an. Comme si l’un justifiait l’autre. Ces parlementaires ont voté l’exact contraire de la consultation populaire, qu’ils avaient pourtant initiée. Cette grande consultation visait à connaître l’opinion du peuple sur la suspension, ou non, du certificat Covid européen. 385 000 Européens ont répondu à cette consultation et 97 % d’entre eux étaient opposés à la prolongation du certificat. En France le gouvernement voudrait faire prolonger l'état d'urgence sanitaire et le passe et on se demande bien si la nouvelle opposition sera d’accord. La réalité est que les peuples n’en veulent plus et s’il ne s’agit que de rassurer les compagnies aériennes sur la possibilité de refouler un passager avec la température, il n’est pas nécessaire d’appliquer cette règle à plus de 90 % de gens qui ne prennent pas l’avion.
Reste que cette septième vague n’existe que dans les médias et n’est corroborée par aucun mort, ni aucun regain d’hospitalisations. Les 50 000 cas par jour, si tant est que le chiffre soit exact, ne doivent être que des formes bénignes et comme 90 % des gens sont vaccinés, quel intérêt de prolonger ce dispositif ? La seule conclusion à tirer est que l’Europe se fiche éperdument de ce que pensent les Européens. Pour la France, Jadot, Morano, Loiseau, Sanders, Didier, Glusksmann, Aubry (qui explique l’avoir voté par erreur : on y croit : NDLR), ont voté pour, même ceux donc, qui sont censés être dans l’opposition à Macron. Il y a bien eu plusieurs mea-culpa, dans le monde de la presse, après l’épisode Covid, sur le thème, « c’est vrai, on en a trop fait », mais on se prépare néanmoins à en remettre une couche et accessoirement à prendre les Français pour des veaux. Pour quoi faire au juste, empêcher les gens de partir en vacances, ou les cueillir à la rentrée ? A quoi jouent cette Europe et ce gouvernement Français désormais désavoué ?
Au Rassemblement du Peuple Français, notre ligne a toujours été la même, depuis le début : liberté de consentement à la vaccination, liberté de prescription pour les médecins, réintégration des personnels soignants et pompiers licenciés, autorisation des traitements existants, appel à la responsabilité individuelle pour les gestes barrières. La même politique, en somme, que pour les habituelles épidémies de grippe annuelles.
☐ 24/6/2022
De la posture à l’imposture
L’enfant gâté n’a pas supporté pas qu’on lui casse son jouet préféré. Cette situation ingérable, ce n’est évidemment pas sa faute, d’ailleurs rien n’est jamais de sa faute. Les électeurs ont mal voté. Et les insolents députés de l’opposition ne sont pas disposés à avaliser ses caprices. Macron se permet un ultimatum : 48 heures et pas plus pour rentrer dans le rang, suivre sa cohorte de députés godillots et voter sans discuter. Voilà la conception de la démocratie, qu’on lui connaît. Son interprétation de la constitution, uniquement à son service.
L’incongruité de sa légitimité augmente tous les jours. Le décalage est saisissant entre la présidentielle et les législatives. Comment un président fraîchement élu, avec une très confortable avance, peut-il dégringoler aussi vite, alors qu’il n’a rien fait ou dit de pire que durant les cinq années écoulées ? La NUPES devançant Macron ne manquait pas de surprendre. Le résultat du RN non plus, même les sondeurs se sont lourdement trompés sur ce parti. Comment, deux formations distancées en avril, ont-elles pu en deux mois, non seulement refaire leur retard, mais surclasser Macron à elles deux, au point de le mettre en minorité ? Comment ces mêmes sondeurs, qui prédisaient tous une large majorité à Macron, ont-ils pu glisser et se rendre à l’évidence, quelques jours seulement avant les législatives, sinon la veille ? Sur cette anomalie repose la gêne du président, qui reconnaît à demi-mot ce défaut de légitimité, en affirmant lors de son allocution : « Je suis décidé à prendre en charge la volonté de changement que le pays a clairement exprimé ». Il confesse donc qu’il n’y a pas d’adéquation entre son élection et celle de l’Assemblée nationale, et cette incongruité devrait, selon lui, être corrigée par la soumission des députés à sa seule volonté.
Son arrogance dépasse l’entendement, sa posture ne peut qu’inquiéter sur le rapport qu’il entretient avec le pouvoir et la place qu’il pense devoir lui revenir de plein droit, telle une évidence que les urnes ne sauraient remettre en question. A-t-il lu la constitution et compris le fonctionnement des institutions de la Vème république ? Difficile à croire, et si oui, il se met volontairement hors du champ légal de cette dernière, en posant un ultimatum aux députés, en imposant un mandat impératif. Combien de temps le parlement et le Sénat vont-t-ils laisser ce prince président gesticuler de cette façon, en toute impunité ? Combien de temps ces questions et leurs effets sur nos institutions resteront-elles sans réponse ? La nation entre bien en crise mais par la seule faute d’un souverain qui se rêve inamovible et incontestable, avec devant lui une opposition de principe, muette et soumise. Les parlementaires doivent eux-aussi, utiliser la constitution de la cinquième, fort bien rédigée, mais rédigée pour des hommes d’honneur et imaginer une autre suite, sans l’omnipotent président, afin de mettre en œuvre, le profond désir populaire de changement, sorti des urnes.
L’enfant gâté n’a pas supporté pas qu’on lui casse son jouet préféré. Cette situation ingérable, ce n’est évidemment pas sa faute, d’ailleurs rien n’est jamais de sa faute. Les électeurs ont mal voté. Et les insolents députés de l’opposition ne sont pas disposés à avaliser ses caprices. Macron se permet un ultimatum : 48 heures et pas plus pour rentrer dans le rang, suivre sa cohorte de députés godillots et voter sans discuter. Voilà la conception de la démocratie, qu’on lui connaît. Son interprétation de la constitution, uniquement à son service.
L’incongruité de sa légitimité augmente tous les jours. Le décalage est saisissant entre la présidentielle et les législatives. Comment un président fraîchement élu, avec une très confortable avance, peut-il dégringoler aussi vite, alors qu’il n’a rien fait ou dit de pire que durant les cinq années écoulées ? La NUPES devançant Macron ne manquait pas de surprendre. Le résultat du RN non plus, même les sondeurs se sont lourdement trompés sur ce parti. Comment, deux formations distancées en avril, ont-elles pu en deux mois, non seulement refaire leur retard, mais surclasser Macron à elles deux, au point de le mettre en minorité ? Comment ces mêmes sondeurs, qui prédisaient tous une large majorité à Macron, ont-ils pu glisser et se rendre à l’évidence, quelques jours seulement avant les législatives, sinon la veille ? Sur cette anomalie repose la gêne du président, qui reconnaît à demi-mot ce défaut de légitimité, en affirmant lors de son allocution : « Je suis décidé à prendre en charge la volonté de changement que le pays a clairement exprimé ». Il confesse donc qu’il n’y a pas d’adéquation entre son élection et celle de l’Assemblée nationale, et cette incongruité devrait, selon lui, être corrigée par la soumission des députés à sa seule volonté.
Son arrogance dépasse l’entendement, sa posture ne peut qu’inquiéter sur le rapport qu’il entretient avec le pouvoir et la place qu’il pense devoir lui revenir de plein droit, telle une évidence que les urnes ne sauraient remettre en question. A-t-il lu la constitution et compris le fonctionnement des institutions de la Vème république ? Difficile à croire, et si oui, il se met volontairement hors du champ légal de cette dernière, en posant un ultimatum aux députés, en imposant un mandat impératif. Combien de temps le parlement et le Sénat vont-t-ils laisser ce prince président gesticuler de cette façon, en toute impunité ? Combien de temps ces questions et leurs effets sur nos institutions resteront-elles sans réponse ? La nation entre bien en crise mais par la seule faute d’un souverain qui se rêve inamovible et incontestable, avec devant lui une opposition de principe, muette et soumise. Les parlementaires doivent eux-aussi, utiliser la constitution de la cinquième, fort bien rédigée, mais rédigée pour des hommes d’honneur et imaginer une autre suite, sans l’omnipotent président, afin de mettre en œuvre, le profond désir populaire de changement, sorti des urnes.
Par Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français.
☐ 21/6/2022
De Macron jusqu’à l’Europe
On sait qu’au fil du temps, l’Europe laisse de moins en moins de place aux gouvernements nationaux. On l’a vu pendant la crise du Covid, quand Macron était en pointe dans le domaine de la coercition du peuple, avec une France faisant figure de champ d’expérimentation de ce que pouvait supporter une population, par la mise en place de contraintes n’ayant strictement aucun rapport avec les questions sanitaires. Avec encore, la posture de Macron sur le dossier ukrainien, quand il livre des armes sans légitimation par le peuple, ou les élus du peuple et pousse à la guerre, sans se soucier des éventuelles conséquences sur les paniers des ménages. Là où les Allemands mesurent les conséquences économiques et l’impact sur les populations. Macron est la tête de pont, en Europe, de cette congrégation européenne, non élue, orchestrée par Van der Leyen, elle même sous la coupe, par son mari, agent des laboratoires et par sa proximité avec Bourla, le patron de Pfizer, des grands lobbyistes européens. Van der Leyen traîne des affaires, de son ancien ministère allemand et d’autres, de ses négociations avec les pharmas, dans le cadre de la crise sanitaire. La gifle électorale essuyée par Macron coïncide avec la fin de son mandat de président de l’Europe et le tandem délétère qu’il forme avec Van der Leyen a du plomb dans l’aile. Il faut certes se satisfaire, dans une certaine mesure, du bâton dans les roues mis au président français, mais il faut aller plus loin, à Bruxelles, pour faire en sorte que les peuples européens retrouvent un minimum de souveraineté et quelques marges d’autodétermination, en face d’une Europe fonctionnant depuis trois ans, selon des intérêts qui nous échappent et de manière totalement autocratique, pour ne pas dire dictatoriale.
Les Allemands ne sont pas logés à la même enseigne que nous. On le voit en matière militaire, où ils trahissent en permanence leur appartenance à l’Europe, en commandant presque systématiquement du matériel de guerre américain et en pratiquant parallèlement le démantèlement des savoir-faire français en la matière, avec la complicité de Macron, toujours prompt à brader l’industrie nationale. Cette conjonction de la claque électorale et de la fin de la présidence européenne de Macron, doit représenter une occasion d’aller beaucoup plus loin, en matière de restauration de nos souverainetés nationales, de faire cesser la soumission de la France et même de demander des comptes appuyés sur la gestion du Covid et les défections à répétition de l’État major allemand en matière d’équipements de défense.
Par Jean-Pierre Clément-Jabouina, secrétaire général et Pierre Duriot, porte parole du Rassemblement du Peuple Français. 20/6/2022
On sait qu’au fil du temps, l’Europe laisse de moins en moins de place aux gouvernements nationaux. On l’a vu pendant la crise du Covid, quand Macron était en pointe dans le domaine de la coercition du peuple, avec une France faisant figure de champ d’expérimentation de ce que pouvait supporter une population, par la mise en place de contraintes n’ayant strictement aucun rapport avec les questions sanitaires. Avec encore, la posture de Macron sur le dossier ukrainien, quand il livre des armes sans légitimation par le peuple, ou les élus du peuple et pousse à la guerre, sans se soucier des éventuelles conséquences sur les paniers des ménages. Là où les Allemands mesurent les conséquences économiques et l’impact sur les populations. Macron est la tête de pont, en Europe, de cette congrégation européenne, non élue, orchestrée par Van der Leyen, elle même sous la coupe, par son mari, agent des laboratoires et par sa proximité avec Bourla, le patron de Pfizer, des grands lobbyistes européens. Van der Leyen traîne des affaires, de son ancien ministère allemand et d’autres, de ses négociations avec les pharmas, dans le cadre de la crise sanitaire. La gifle électorale essuyée par Macron coïncide avec la fin de son mandat de président de l’Europe et le tandem délétère qu’il forme avec Van der Leyen a du plomb dans l’aile. Il faut certes se satisfaire, dans une certaine mesure, du bâton dans les roues mis au président français, mais il faut aller plus loin, à Bruxelles, pour faire en sorte que les peuples européens retrouvent un minimum de souveraineté et quelques marges d’autodétermination, en face d’une Europe fonctionnant depuis trois ans, selon des intérêts qui nous échappent et de manière totalement autocratique, pour ne pas dire dictatoriale.
Les Allemands ne sont pas logés à la même enseigne que nous. On le voit en matière militaire, où ils trahissent en permanence leur appartenance à l’Europe, en commandant presque systématiquement du matériel de guerre américain et en pratiquant parallèlement le démantèlement des savoir-faire français en la matière, avec la complicité de Macron, toujours prompt à brader l’industrie nationale. Cette conjonction de la claque électorale et de la fin de la présidence européenne de Macron, doit représenter une occasion d’aller beaucoup plus loin, en matière de restauration de nos souverainetés nationales, de faire cesser la soumission de la France et même de demander des comptes appuyés sur la gestion du Covid et les défections à répétition de l’État major allemand en matière d’équipements de défense.
Par Jean-Pierre Clément-Jabouina, secrétaire général et Pierre Duriot, porte parole du Rassemblement du Peuple Français. 20/6/2022
☐ 21/6/2022
Je me marre... la presse est très gênée aux entournures. Pendant la campagne de 2017, elle a soutenu Macron à 95 %, obligeant même tout interviewé, sur un plateau télé, à se prononcer pour Macron avant même de parler de quoi que ce soit, sous peine d’être frappé d’extrémisme. Les mêmes, pendant l’épisode des Gilets Jaunes, n’ont eu de cesse de les faire passer pour des benêts ineptes, en donnant la parole aux plus bourrins qu’ils pouvaient trouver. Ils se sont sentis déconfits quand par hasard, un Gilet Jaune avec un cerveau plus brillant que le leur, arrivait à les mettre en difficulté. Pendant l’épisode Covid, ces journalistes, pour la plupart incultes en médecine, et incultes tout court pour beaucoup, ont matraqué jour et nuit la nécessité vaccinale, prenant bien soin de ne pas parler d’effets secondaires, ou de records de contamination malgré la couverture vaccinale, presque totale. Ils se sont trouvés, à défaut de Gilets Jaunes, des brebis galeuses, non vaccinées, qu’ils ont pu à loisir insulter, menacer, haïr, sans la moindre sanction de la part du gendarme des médias, à la solde du gouvernement. Ils ont enchaîné sur la pédagogie de la détestation de Poutine et et de Trump, qui ont en commun des réussites économiques, mais le défaut de n’être pas soumis au wokisme. En 2022, arrosés de subventions publiques, ils ont fait la campagne de Macron, évité de parler de son bilan calamiteux, tenté un service après-vente pitoyable de cinq années d’enfer, avant de changer leur fusil d’épaule aux législatives, en nous vendant 60 % du temps de parole réservé aux NUPES. Les voilà, maintenant que la NUPES explose, qui tentent de se remettre à faire du journalisme, ne sachant pas, comme Macron ne peut plus mener sa politique délétère, si leurs subventions vont continuer à tomber et si certains titres pourront tout simplement survivre. Très honnêtement, si une bonne partie de ces valets serviles jusqu’au mensonge et au déni, disparaissait du PAF, l’information ne s’en porterait que mieux...
☐ 20/6/2022
Les cinq propositions du RPF
Le camouflet est cinglant pour LREM et ses alliés. Le président reste majoritaire avec 245 députés, mais très loin de la majorité absolue et avec beaucoup de difficulté à draguer à droite et à gauche, les partis traditionnels ayant enfin compris ce qu’il en coûtait de fricoter avec Macron.
Macron se retrouve en difficulté grâce la mobilisation des électeurs, même si l’abstention a été importante. Cet abandon des urnes révèle son échec à mobiliser les électeurs en sa faveur, mais c’est bien par le vote que nous avons pu lui barrer la route et non en restant au fond de notre canapé, à deviser sur le système corrompu, tout en trouvant de la noblesse d’âme, à ne pas participer à la mascarade.
Macron a un genou à terre, mais il convient de rester sur nos gardes quant à un futur gouvernement. Ne perdons pas de vue que Macron a un profil psychique très particulier et qu’il nous a habitués à une logique très personnelle. Il est urgent de pousser nos députés d’opposition à faire ce qu’ils ont dit, à les voir siéger et harceler ce qui reste de la macronie. Au RPF nous demandons à ce que cette puissante opposition se focalise sur des points institutionnels importants, notamment sur la mise en place de la proportionnelle aux prochaines législatives, pour être certain d’envoyer aux oubliettes ce qui reste de la macronie, si d’aventure, le prince président décidait de dissoudre l’Assemblée nationale.
Seconde initiative à déclencher : la mise en place du Référendum d’Initiative Citoyenne, afin de permettre aux citoyens de participer plus largement aux décisions qui les concernent.
Troisième initiative et pas des moindres : la refonte du Conseil Constitutionnel, nécessaire si on veut retrouver un contre-pouvoir digne d’une véritable démocratie. On a vu ce qu’il était devenu avec un Fabius totalement inféodé au président et en conflit d’intérêt avec le cabinet McKinsey.
Quatrième initiative : la réintégration de tous les personnels soignants suspendus et le versement de tous leurs salaires.
Cinquième initiative : entamer des négociations réelles pour la paix en Ukraine, en abandonnant la ligne suivie jusque-là.
Il faut envoyer un signal fort à Macron, en lui rappelant que les décisions reviennent au pouvoir législatif et non à l’exécutif, qu’il devra à son tour se soumettre à la force du parlement. Certes, le capricieux mondain va trépigner, lui, l’enfant gâté qui avait l’habitude de décider seul. Ces mesures seront une indication précise adressée aux électeurs, montrant qu’ils peuvent à nouveau faire confiance à leurs élus et à leurs institutions et qu’en démocratie, c’est en votant que l’on change les choses. La chute du prince a débuté, notre combat se poursuit, nous n’avons gagné qu’une bataille. L’objectif reste de chasser du pouvoir ce président omnipotent qui a mis à sa botte l’ensemble des institutions et médias.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Le camouflet est cinglant pour LREM et ses alliés. Le président reste majoritaire avec 245 députés, mais très loin de la majorité absolue et avec beaucoup de difficulté à draguer à droite et à gauche, les partis traditionnels ayant enfin compris ce qu’il en coûtait de fricoter avec Macron.
Macron se retrouve en difficulté grâce la mobilisation des électeurs, même si l’abstention a été importante. Cet abandon des urnes révèle son échec à mobiliser les électeurs en sa faveur, mais c’est bien par le vote que nous avons pu lui barrer la route et non en restant au fond de notre canapé, à deviser sur le système corrompu, tout en trouvant de la noblesse d’âme, à ne pas participer à la mascarade.
Macron a un genou à terre, mais il convient de rester sur nos gardes quant à un futur gouvernement. Ne perdons pas de vue que Macron a un profil psychique très particulier et qu’il nous a habitués à une logique très personnelle. Il est urgent de pousser nos députés d’opposition à faire ce qu’ils ont dit, à les voir siéger et harceler ce qui reste de la macronie. Au RPF nous demandons à ce que cette puissante opposition se focalise sur des points institutionnels importants, notamment sur la mise en place de la proportionnelle aux prochaines législatives, pour être certain d’envoyer aux oubliettes ce qui reste de la macronie, si d’aventure, le prince président décidait de dissoudre l’Assemblée nationale.
Seconde initiative à déclencher : la mise en place du Référendum d’Initiative Citoyenne, afin de permettre aux citoyens de participer plus largement aux décisions qui les concernent.
Troisième initiative et pas des moindres : la refonte du Conseil Constitutionnel, nécessaire si on veut retrouver un contre-pouvoir digne d’une véritable démocratie. On a vu ce qu’il était devenu avec un Fabius totalement inféodé au président et en conflit d’intérêt avec le cabinet McKinsey.
Quatrième initiative : la réintégration de tous les personnels soignants suspendus et le versement de tous leurs salaires.
Cinquième initiative : entamer des négociations réelles pour la paix en Ukraine, en abandonnant la ligne suivie jusque-là.
Il faut envoyer un signal fort à Macron, en lui rappelant que les décisions reviennent au pouvoir législatif et non à l’exécutif, qu’il devra à son tour se soumettre à la force du parlement. Certes, le capricieux mondain va trépigner, lui, l’enfant gâté qui avait l’habitude de décider seul. Ces mesures seront une indication précise adressée aux électeurs, montrant qu’ils peuvent à nouveau faire confiance à leurs élus et à leurs institutions et qu’en démocratie, c’est en votant que l’on change les choses. La chute du prince a débuté, notre combat se poursuit, nous n’avons gagné qu’une bataille. L’objectif reste de chasser du pouvoir ce président omnipotent qui a mis à sa botte l’ensemble des institutions et médias.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 19/6/2022
Je me marre... Brigitte Bourguignon, nouvelle Ministre de la santé, à peine nommée, a eu cette phrase étonnante, passée inaperçue des analystes de la santé : « Il faut être clair, la liberté de ces ces 10 % de non-vaccinés, s’arrête là où commence celle des 90 % de vaccinés ». Dit comme cela, ça a un côté sentencieux, intelligent, constructif. Mais si on analyse bien, on ne voit pas de quoi elle parle. Les 10 % de non-vaccinés n’ont pas privé de liberté les 90 % de vaccinés, c’est même le contraire. Grâce à leur vaccin, les 90 % ont eu droit à des libertés que les 10 % n’ont pas eues. En quelque sorte, parce que 90 % des gens ont accepté un vaccin, cela a permis au gouvernement de priver les 10 % restant de liberté, en instaurant un passe. Si on regarde maintenant du côté sanitaire. En ne se vaccinant pas, les 10 % n’ont pas privé les 90 % de leur protection due au vaccin, puisque le vaccin empêche la forme grave chez celui qui est vacciné, selon le narratif officiel. Les vaccinés n’ont pas été privés de leur accès à l’hôpital, puisque les non-vaccinés ne pouvaient même plus aller se faire soigner, c’est d’ailleurs encore le cas : ils n’ont donc pas pris les places. En somme, ce que dit la Ministre est totalement inepte et ne repose sur aucune réalité, ni sociale, ni scientifique. Non seulement c’est inepte, mais c’est complètement con. Et il est étonnant qu’elle puisse dire un truc aussi idiot à la télévision, à une heure de grande écoute et encore plus idiot que quelqu’un la prenne au sérieux. Elle est digne de la macronie, totalement c...e.
☐ 26/5/2022
Effets secondaires : exiger la transparence des données
Plusieurs scientifiques se sont retrouvés au Sénat, un bâtiment officiel donc, pour évoquer l’après Covid. En conférence de presse, Christine Cotton, biostatisticienne, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan, enseignants-chercheurs, ont été entendus en audition privée dans le cadre des travaux de l’Office et en ont profité pour alerter sur les graves effets secondaires de ces vaccins. Ils ont évoqué en premier lieu, d’importants biais dans les essais cliniques de phase 3 et une opacité de l’information, avec des données publiques sur les vaccins qui ne sont ni ouvertes au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française. Ils ont dénoncé une volonté de dissimuler la réalité de l’effet de ces vaccins et surtout la méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance, qui ne permet pas l’obtention de données complètes. Cela se traduit par une sous-évaluation notable des effets indésirables, lesquels ne seraient que 1% à 10% à être officiellement déclarés. Selon eux, les chiffres de la mortalité sont alarmants et les bases de données de pharmacovigilance européennes, font état d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin, le nombre de décès est très probablement beaucoup plus élevé. Les mêmes bases de données, officielles donc, de pharmacovigilance montrent : 1 788% d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus. 62% de ces effets indésirables surviennent le jour même de la vaccination. Au-delà des croyances des uns et des autres, il serait normal que les scientifiques concernés puissent avoir accès à des données claires. Il s’agit de santé et pas de d’armes stratégiques secrètes. Depuis les négociations de contrats avec les pharmaceutiques, jusqu’aux données concernant les effets secondaires, l’ensemble de la chaîne est frappé du sceau du secret alors même que les organismes officiels montrent déjà des effets qui devraient en temps normal, inciter à un minimum de prudence.
☐ 16/6/2022
Ni « emmerdeur », ni « chef de guerre »
Macron ne recule devant rien et l’entre deux tours de ces législatives est marqué du sceau de la macronie, à savoir, mépris, magouille et peur. Madame Bourguignon annonce sans rire, que la liberté des 10 % de non-vaccinés s’arrête, là ou commence celle des 90 % de vaccinés. Alors que les vaccinés ont été aussi malades que les autres et que ce sont bien les non-vaccinés qui ont été privés de liberté. Elle va continuer à « emmerder » les non vaccinés et il n’y a rien « d’affectueux ». La liberté des 75 % qui n’ont pas voté Macron s’arrête-t-elle, là où commence celle de ceux qui ont voté Macron ? Darmanin l’embrouille a omis de comptabiliser environ 300 000 voix comme mélenchonistes, pour permettre au capricieux de l’Élysée de virer en tête au premier tour. Et le patron, fidèle à son habitude, a pris la poudre d’escampette. Comme il l’avait fait pendant les premières semaines des Gilets Jaunes, avec ses absences chroniques du samedi, il part en nous jouant sa comédie habituelle… « si je n’ai pas de majorité ce sera le chaos ». Mais c’est lui le chaos. Comme il se sent mal engagé, il est tout de même passé voir le président du Sénat, Larcher, pour sans doute, négocier en douce des voix, des compromis, bref pour corrompre, en cas de majorité relative. Il espère une réserve de voix chez des LR, où quelques-uns sont prêts à tourner casaque. Macron parie sur l’international et la posture de chef de guerre, qui ne lui a pourtant jamais réussie : il est moqué à l’étranger. Mais surtout, les Français se désintéressent de l’Ukraine et n’ont plus peur de l’ours nucléaire.
Qu’auriez-vous fait, en tant que résistants pendant la seconde guerre mondiale, si vous aviez dû combattre aux côtés des communistes, ou avec des partisans de droite ? Vous auriez refusé au prétexte que vous ne vouliez pas vous mêler à ces gens-là ? Nos aînés ont fait preuve de plus de discernement et combattu ensemble. Dimanche donc, résistons ensemble et montrons que nous ne voulons plus de lui, ni comme « emmerdeur », ni comme « chef de guerre ».
Gilles La Carbona et Pierre Duriot : secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français
Macron ne recule devant rien et l’entre deux tours de ces législatives est marqué du sceau de la macronie, à savoir, mépris, magouille et peur. Madame Bourguignon annonce sans rire, que la liberté des 10 % de non-vaccinés s’arrête, là ou commence celle des 90 % de vaccinés. Alors que les vaccinés ont été aussi malades que les autres et que ce sont bien les non-vaccinés qui ont été privés de liberté. Elle va continuer à « emmerder » les non vaccinés et il n’y a rien « d’affectueux ». La liberté des 75 % qui n’ont pas voté Macron s’arrête-t-elle, là où commence celle de ceux qui ont voté Macron ? Darmanin l’embrouille a omis de comptabiliser environ 300 000 voix comme mélenchonistes, pour permettre au capricieux de l’Élysée de virer en tête au premier tour. Et le patron, fidèle à son habitude, a pris la poudre d’escampette. Comme il l’avait fait pendant les premières semaines des Gilets Jaunes, avec ses absences chroniques du samedi, il part en nous jouant sa comédie habituelle… « si je n’ai pas de majorité ce sera le chaos ». Mais c’est lui le chaos. Comme il se sent mal engagé, il est tout de même passé voir le président du Sénat, Larcher, pour sans doute, négocier en douce des voix, des compromis, bref pour corrompre, en cas de majorité relative. Il espère une réserve de voix chez des LR, où quelques-uns sont prêts à tourner casaque. Macron parie sur l’international et la posture de chef de guerre, qui ne lui a pourtant jamais réussie : il est moqué à l’étranger. Mais surtout, les Français se désintéressent de l’Ukraine et n’ont plus peur de l’ours nucléaire.
Qu’auriez-vous fait, en tant que résistants pendant la seconde guerre mondiale, si vous aviez dû combattre aux côtés des communistes, ou avec des partisans de droite ? Vous auriez refusé au prétexte que vous ne vouliez pas vous mêler à ces gens-là ? Nos aînés ont fait preuve de plus de discernement et combattu ensemble. Dimanche donc, résistons ensemble et montrons que nous ne voulons plus de lui, ni comme « emmerdeur », ni comme « chef de guerre ».
Gilles La Carbona et Pierre Duriot : secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français
☐ 13/6/2022
De l’abstention « jeunes »
Les jeunes de moins de 35 ans, sont 70 % à ne pas être allés voter. Peut-être ne croient-ils plus dans le système ? Peut-être privilégient-ils autre chose, comme type d’action, que le bulletin de vote ? Peut-être aussi, vivent-ils dans l’instant, sans se soucier du lendemain et que quelque part, ils n’en ont rien à faire ? On peut comprendre qu’ils n’aient pas perçu le changement radical de la face de la France, comme les plus de 50 ans, qui l’ont connue comme pays de cocagne, riche, insouciant et sécurisé, jusqu’au milieu des années 80. La France dans laquelle ils vivent n’est pas forcément enthousiasmante et le taux de suicide, ou de déprime, chez les jeunes, montre bien le malaise. Pour autant le système est là et c’est le seul qui s’offre à eux. Historiquement, les changements de paradigmes ne sont jamais venus de gens extérieurs, mais plutôt de personnes intérieures, impliquées et participatives. Au Rassemblement du Peuple Français, nous appelons ces jeunes à aller voter, pour un programme, pour des idées, qui leur conviennent et si rien ne leur convient, il peuvent voter contre, ce qui ne leur plaît pas au premier chef. Voter « pour » ou voter « contre », quand on a moins de trente ans, c’est décider du monde que l’on veut construire, et pas de celui dont on veut hériter, avec pour obligation, de s’en débrouiller. Et ça n’empêche pas les autres formes d’actions. Même si le principe de la jeunesse, nous sommes tous passés par là, est de vivre dans l’instant, il faut savoir se projeter, échafauder, s’imaginer dans 10 ans, 20 ans, 30 ans, voter pour le monde dans lequel on veut vivre, ou voter contre, celui dans lequel on ne veut pas vivre. Il n’y a pas plus mortifère que de laisser vos grands-parents, dont la vie est finissante et qui eux, vont voter, décider de votre sort à votre place. Nous appelons, au RPF, les moins de 30 ans à rejoindre la communauté nationale, avec tous les autres abstentionnistes, à voter « pour », ou à voter « contre », même par dépit, sachant que l’action ne donne pas forcément le résultat attendu, mais que l’inaction ne donne à coup sûr, aucun résultat. Ces jeunes sont ceux qui ont le plus souffert, de la désindustrialisation, des confinements, qui pâtissent le plus, de l’insécurité et de l’inflation. Dimanche, reprenez la main, rejoignez le peuple français et votez, « pour » ou « contre », mais votez.
Les jeunes de moins de 35 ans, sont 70 % à ne pas être allés voter. Peut-être ne croient-ils plus dans le système ? Peut-être privilégient-ils autre chose, comme type d’action, que le bulletin de vote ? Peut-être aussi, vivent-ils dans l’instant, sans se soucier du lendemain et que quelque part, ils n’en ont rien à faire ? On peut comprendre qu’ils n’aient pas perçu le changement radical de la face de la France, comme les plus de 50 ans, qui l’ont connue comme pays de cocagne, riche, insouciant et sécurisé, jusqu’au milieu des années 80. La France dans laquelle ils vivent n’est pas forcément enthousiasmante et le taux de suicide, ou de déprime, chez les jeunes, montre bien le malaise. Pour autant le système est là et c’est le seul qui s’offre à eux. Historiquement, les changements de paradigmes ne sont jamais venus de gens extérieurs, mais plutôt de personnes intérieures, impliquées et participatives. Au Rassemblement du Peuple Français, nous appelons ces jeunes à aller voter, pour un programme, pour des idées, qui leur conviennent et si rien ne leur convient, il peuvent voter contre, ce qui ne leur plaît pas au premier chef. Voter « pour » ou voter « contre », quand on a moins de trente ans, c’est décider du monde que l’on veut construire, et pas de celui dont on veut hériter, avec pour obligation, de s’en débrouiller. Et ça n’empêche pas les autres formes d’actions. Même si le principe de la jeunesse, nous sommes tous passés par là, est de vivre dans l’instant, il faut savoir se projeter, échafauder, s’imaginer dans 10 ans, 20 ans, 30 ans, voter pour le monde dans lequel on veut vivre, ou voter contre, celui dans lequel on ne veut pas vivre. Il n’y a pas plus mortifère que de laisser vos grands-parents, dont la vie est finissante et qui eux, vont voter, décider de votre sort à votre place. Nous appelons, au RPF, les moins de 30 ans à rejoindre la communauté nationale, avec tous les autres abstentionnistes, à voter « pour », ou à voter « contre », même par dépit, sachant que l’action ne donne pas forcément le résultat attendu, mais que l’inaction ne donne à coup sûr, aucun résultat. Ces jeunes sont ceux qui ont le plus souffert, de la désindustrialisation, des confinements, qui pâtissent le plus, de l’insécurité et de l’inflation. Dimanche, reprenez la main, rejoignez le peuple français et votez, « pour » ou « contre », mais votez.
☐ 12/6/2022
Je me marre... la Russie reprend à son compte les anciens McDonald's, laissés là par le géant américain de la bouffe, de la malbouffe, diront certains. 30 ans de présence, 51 000 salariés et on abandonne tout, en réaction au conflit en Ukraine, pour aider le type qui jouait de la guitare à poil. « Le nouveau nom de Mac-Do, est "Vkousno i totchka", les 51 000 ex-employés de McDonald's vont conserver leur travail, la Russie récupère 850 restaurants. Sinon, elle vend autant de pétrole et de gaz qu'avant et se permet même de le vendre plus cher. Heureusement que les sanctions occidentales sont censées affamer les Russes.
☐ 12/6/2022

☐ 12/6/2022
Un amendement fort à propos
Le texte actant l’interdiction de la vente de véhicules thermiques en Europe, en 2035, sous la présidence Macron, doit permettre à l’UE d’atteindre les objectifs climatiques qu'elle s'est elle-même fixés, alors qu’elle est déjà le continent développé le plus propre. Il a été voté à 339 voix « Pour » contre 249 « Contre » et 24 abstentions, soit très loin d'un consensus général. Mais il contient un discret amendement, favorable aux constructeurs fabriquant des séries de moins de 1000 voitures. Entendez, les voitures de luxe. Ferrari aurait des difficultés plus importantes pour les modèles haut de gamme, à passer à la motorisation électrique, en continuant à faire des bénéfices : fallacieux. On se soucie peu des familles modestes qui auront du mal à acheter les fameuses voitures. Plus loin, on peut penser que dans la même veine, les jets et les yachts privés bénéficieront du même type d'exemption "carbone", basé par exemple sur les capacités inférieures à 30 passagers, afin de maintenir intact le train de vie d'une certaine caste. Le tout dans un paysage de probables restrictions d'électricité, dès l'hiver prochain. Et alors que l'extraction des matières premières, constitutives des batteries électriques, nécessite de défoncer les sols avec des engins diesel, de les traiter et d'en évacuer les précieux métaux sur des dizaines de milliers de kilomètres, pour laisser une surface lunaire. Il est assez aisé de comprendre que ce genre de décision n'a rien d'écologique et préfigure un prétexte d'asservissement des masses, qui vont devoir compter leurs kilomètres, selon un passe-carbone, sans doute suivi d'un passe-viande, l'élevage étant lui-aussi générateur de gaz à effet de serre, le tout assorti d'un passe-sanitaire, afin de régler chaque détail de nos vies, comme dans un roman d'anticipation. On peut toujours sourire, il y a deux ans, ceux qui parlaient du passe-sanitaire étaient de dangereux "complotistes", avant qu'il n'advienne et que ceux qui le refusaient ne deviennent eux-aussi des "complotistes".
Le texte actant l’interdiction de la vente de véhicules thermiques en Europe, en 2035, sous la présidence Macron, doit permettre à l’UE d’atteindre les objectifs climatiques qu'elle s'est elle-même fixés, alors qu’elle est déjà le continent développé le plus propre. Il a été voté à 339 voix « Pour » contre 249 « Contre » et 24 abstentions, soit très loin d'un consensus général. Mais il contient un discret amendement, favorable aux constructeurs fabriquant des séries de moins de 1000 voitures. Entendez, les voitures de luxe. Ferrari aurait des difficultés plus importantes pour les modèles haut de gamme, à passer à la motorisation électrique, en continuant à faire des bénéfices : fallacieux. On se soucie peu des familles modestes qui auront du mal à acheter les fameuses voitures. Plus loin, on peut penser que dans la même veine, les jets et les yachts privés bénéficieront du même type d'exemption "carbone", basé par exemple sur les capacités inférieures à 30 passagers, afin de maintenir intact le train de vie d'une certaine caste. Le tout dans un paysage de probables restrictions d'électricité, dès l'hiver prochain. Et alors que l'extraction des matières premières, constitutives des batteries électriques, nécessite de défoncer les sols avec des engins diesel, de les traiter et d'en évacuer les précieux métaux sur des dizaines de milliers de kilomètres, pour laisser une surface lunaire. Il est assez aisé de comprendre que ce genre de décision n'a rien d'écologique et préfigure un prétexte d'asservissement des masses, qui vont devoir compter leurs kilomètres, selon un passe-carbone, sans doute suivi d'un passe-viande, l'élevage étant lui-aussi générateur de gaz à effet de serre, le tout assorti d'un passe-sanitaire, afin de régler chaque détail de nos vies, comme dans un roman d'anticipation. On peut toujours sourire, il y a deux ans, ceux qui parlaient du passe-sanitaire étaient de dangereux "complotistes", avant qu'il n'advienne et que ceux qui le refusaient ne deviennent eux-aussi des "complotistes".
☐ 11/6/2022
Des vidéos et des hommes...
C’est étonnant ce qui s’est passé à Gaillac, avec cette lycéenne, qui n’a pas froid aux yeux et qui demande au président, pourquoi il embauche des ministres soupçonnés de viol. La gamine ne brasse pas du vent, elle dit la réalité connue et la voilà extraite de sa classe par les gendarmes, devant ses camarades et sa prof, pour une leçon de morale : « Ce n’est pas bien mademoiselle, ce que vous avez fait ». La vidéo de l’échange, qui circulait abondamment sur les réseaux sociaux, circule moins bien, y compris dans les messages privés, où elle disparaît même des historiques. Tout comme les images du stade de France, dont on se demande bien, malgré les explications alambiquées, pourquoi les vidéos d’un événement d’ampleur internationale, dont le côté scandaleux a été mis en évidence le soir même, n’ont pas été saisies dans les 24 heures, et qu’il ait fallu attendre sept jours pour que la justice s’en soucie. Idem pour les images du métro, pouvant éventuellement montrer l’arrivée de racailles à Saint-Denis, disparues elles aussi. Pour l’instant, le pouvoir se fend encore d’explications vaseuses, ou de dénis, mais pour combien de temps ? Depuis l’élection présidentielle, la confiscation de la démocratie, du droit de dire, a pris un coup d’accélérateur et la répression de la parole, en direct et sur les réseaux sociaux est clairement en augmentation. Elle avait commencé durant la pandémie, où toute mise en doute des produits vaccinaux, vous valait immédiatement une censure féroce. La France est d’ailleurs épinglée régulièrement, pour son niveau de censure bien supérieur à celui des autres pays occidentaux. Allons-nous vers la sanction pour toute forme de critique du pouvoir ? Dans l’histoire des dictatures, la disparition des témoignages matériels et photographiques précède la disparition des témoins humains. Encore quelques pas dans cette direction et la lycéenne aux questions dérangeantes ne sera plus extraite de sa classe, elle sera extraite tout court et personne ne la reverra. Il est encore temps, par le vote, d’arrêter ce pouvoir-là.
C’est étonnant ce qui s’est passé à Gaillac, avec cette lycéenne, qui n’a pas froid aux yeux et qui demande au président, pourquoi il embauche des ministres soupçonnés de viol. La gamine ne brasse pas du vent, elle dit la réalité connue et la voilà extraite de sa classe par les gendarmes, devant ses camarades et sa prof, pour une leçon de morale : « Ce n’est pas bien mademoiselle, ce que vous avez fait ». La vidéo de l’échange, qui circulait abondamment sur les réseaux sociaux, circule moins bien, y compris dans les messages privés, où elle disparaît même des historiques. Tout comme les images du stade de France, dont on se demande bien, malgré les explications alambiquées, pourquoi les vidéos d’un événement d’ampleur internationale, dont le côté scandaleux a été mis en évidence le soir même, n’ont pas été saisies dans les 24 heures, et qu’il ait fallu attendre sept jours pour que la justice s’en soucie. Idem pour les images du métro, pouvant éventuellement montrer l’arrivée de racailles à Saint-Denis, disparues elles aussi. Pour l’instant, le pouvoir se fend encore d’explications vaseuses, ou de dénis, mais pour combien de temps ? Depuis l’élection présidentielle, la confiscation de la démocratie, du droit de dire, a pris un coup d’accélérateur et la répression de la parole, en direct et sur les réseaux sociaux est clairement en augmentation. Elle avait commencé durant la pandémie, où toute mise en doute des produits vaccinaux, vous valait immédiatement une censure féroce. La France est d’ailleurs épinglée régulièrement, pour son niveau de censure bien supérieur à celui des autres pays occidentaux. Allons-nous vers la sanction pour toute forme de critique du pouvoir ? Dans l’histoire des dictatures, la disparition des témoignages matériels et photographiques précède la disparition des témoins humains. Encore quelques pas dans cette direction et la lycéenne aux questions dérangeantes ne sera plus extraite de sa classe, elle sera extraite tout court et personne ne la reverra. Il est encore temps, par le vote, d’arrêter ce pouvoir-là.
☐ 5/6/2022
Le ras le bol des pompiers et gendarmes
Chez les gendarmes, comme dans quantité de service de l’État, le manque de moyens occasionne une fuite en avant pour tenter de sauver les apparences. En réalité, la pénurie de personnel plombe l'ensemble de l'activité et une hiérarchie, déconnectée, contribue à maintenir un semblant d'efficacité alors que le commandement passe dans une quasi opposition aux personnels et à la sécurité du peuple. Comme chez les soignants, la vaccination, pas vraiment obligatoire, mais matraquée, a entraîné des mutations d'office et des mises à l’écart de leurs prérogatives, pour de nombreux gendarmes. Résultat, le service de reconversion est saturé, les aides diminuées et les quota de congés sans solde pour l'année, déjà atteint. La Direction Générale de la Gendarmerie Nationale a commandé une enquête sociologique pour comprendre ce que les gens de terrain ont compris depuis des mois. En 2021 déjà, 500 gendarmes avaient été recrutés à la hâte pour pallier les départs imprévus. La plupart de ceux qui partent ne trouvent plus aucun sens dans leur métier, qui était pourtant un métier passion.
Chez les confrères pompiers, qui sont souvent d’anciens militaires, les chiffres officiels des pompiers suspendus, qui ne comptent pas dans les chiffres du ministère de la santé des soignants suspendus, se montent à 7000 pompiers volontaires et 300 pompiers professionnels. Autant dire, qu'au total, avec les soignants, l’État se passe délibérément d'environ 25 000 personnes qualifiées, pour une épidémie terminée. Sachant qu'en février/mars dernier, la France vaccinée enregistrait le plus gros taux de contamination mondiale.
Tout ça pour ça, serait-on tenté de dire et le président, qui s'est toujours assis sur la déontologie de sa fonction, invoque des raisons déontologiques pour se passer des soignants non-vaccinés et de salariés des forces de l'ordre : un comble. Une politique totalement incompréhensible qui met en péril les fonctions régaliennes.
Chez les gendarmes, comme dans quantité de service de l’État, le manque de moyens occasionne une fuite en avant pour tenter de sauver les apparences. En réalité, la pénurie de personnel plombe l'ensemble de l'activité et une hiérarchie, déconnectée, contribue à maintenir un semblant d'efficacité alors que le commandement passe dans une quasi opposition aux personnels et à la sécurité du peuple. Comme chez les soignants, la vaccination, pas vraiment obligatoire, mais matraquée, a entraîné des mutations d'office et des mises à l’écart de leurs prérogatives, pour de nombreux gendarmes. Résultat, le service de reconversion est saturé, les aides diminuées et les quota de congés sans solde pour l'année, déjà atteint. La Direction Générale de la Gendarmerie Nationale a commandé une enquête sociologique pour comprendre ce que les gens de terrain ont compris depuis des mois. En 2021 déjà, 500 gendarmes avaient été recrutés à la hâte pour pallier les départs imprévus. La plupart de ceux qui partent ne trouvent plus aucun sens dans leur métier, qui était pourtant un métier passion.
Chez les confrères pompiers, qui sont souvent d’anciens militaires, les chiffres officiels des pompiers suspendus, qui ne comptent pas dans les chiffres du ministère de la santé des soignants suspendus, se montent à 7000 pompiers volontaires et 300 pompiers professionnels. Autant dire, qu'au total, avec les soignants, l’État se passe délibérément d'environ 25 000 personnes qualifiées, pour une épidémie terminée. Sachant qu'en février/mars dernier, la France vaccinée enregistrait le plus gros taux de contamination mondiale.
Tout ça pour ça, serait-on tenté de dire et le président, qui s'est toujours assis sur la déontologie de sa fonction, invoque des raisons déontologiques pour se passer des soignants non-vaccinés et de salariés des forces de l'ordre : un comble. Une politique totalement incompréhensible qui met en péril les fonctions régaliennes.
☐ 5/6/2022
Un pseudo Conseil pour le pire
« Le Conseil National de la Refondation », voulu par Macron est un genre d’aveu. Il s’agit là d’une allusion directe au Conseil National de la Résistance de De Gaulle et au sortir de la guerre, il y avait à fonder, le système des retraites, la sécurité sociale, le droit au travail, aux vacances, à l’instruction. Il en a découlé les Trente Glorieuses. Qu’y aurait-il à refonder de tout cela, en dehors de ce que Macron a lui-même détruit ? S’il y a un besoin de refondation, c’est bien parce que tout cet héritage là a été détruit. Et à l’extrême gauche, qui en appelle a une sixième République, pourquoi se débarrasser de cette cinquième, qui a permis le rayonnement de la France ? La réalité est qu’à la fois la cinquième République et les œuvres du Conseil National de la Résistance, ont été dévoyées, depuis François Mitterrand, à partir de 1981, jusqu’à être quasiment liquidées par Macron et la clique au pouvoir, avec qui, tout ce qui est hors la loi, passe quand même, puisque les mécanismes de contrôle, mis en place par De Gaulle, n’opèrent plus. Le Conseil d’État de Napoléon et le Conseil Constitutionnel de la Cinquième, sont aux abonnés absents, ou pire, corrompus et il ne faut plus rien attendre d’eux pour contrecarrer les atteintes faites au peuple et à la nation.
Mais connaissant Macron, ce sera une manœuvre bien pire. Ce Conseil n’aura pas pour objet de refonder quoi que ce soit, mais de faire croire au peuple, par un pseudo Conseil totalement inféodé, que les mesures délétères et de destruction finale qui nous attendent, en matière de retraite, d’identité numérique et de contrôle citoyen, viennent d’une entité représentative du peuple : un « conseil ». En réalité, Macron piaffe d’impatience de pouvoir finir le job, celui qui lui a été commandité au niveau des instances supra-nationales, au niveau européen, avec Ursula Van der Leyen, qui mène la danse, et au niveau international avec le Forum économique et l’Organisation Mondiale de la Santé, devenue un organisme privé, qui veut récupérer les commandes de la « santé » de l’ensemble de la race humaine et mettre en place une gestion des masses basée sur l’acceptation régulière de « vaccins ». Il n’attend qu’une majorité absolue dont il faut absolument le priver.
Il ne faut pas se tromper, le président Macron est bien la tête de pont en Europe de ce système qui nous pend au nez et il singe De Gaulle à dessein, alors qu’il est bien dans le rôle opposé, celui du dictateur qui veut imposer un nouveau genre de Reich.
« Le Conseil National de la Refondation », voulu par Macron est un genre d’aveu. Il s’agit là d’une allusion directe au Conseil National de la Résistance de De Gaulle et au sortir de la guerre, il y avait à fonder, le système des retraites, la sécurité sociale, le droit au travail, aux vacances, à l’instruction. Il en a découlé les Trente Glorieuses. Qu’y aurait-il à refonder de tout cela, en dehors de ce que Macron a lui-même détruit ? S’il y a un besoin de refondation, c’est bien parce que tout cet héritage là a été détruit. Et à l’extrême gauche, qui en appelle a une sixième République, pourquoi se débarrasser de cette cinquième, qui a permis le rayonnement de la France ? La réalité est qu’à la fois la cinquième République et les œuvres du Conseil National de la Résistance, ont été dévoyées, depuis François Mitterrand, à partir de 1981, jusqu’à être quasiment liquidées par Macron et la clique au pouvoir, avec qui, tout ce qui est hors la loi, passe quand même, puisque les mécanismes de contrôle, mis en place par De Gaulle, n’opèrent plus. Le Conseil d’État de Napoléon et le Conseil Constitutionnel de la Cinquième, sont aux abonnés absents, ou pire, corrompus et il ne faut plus rien attendre d’eux pour contrecarrer les atteintes faites au peuple et à la nation.
Mais connaissant Macron, ce sera une manœuvre bien pire. Ce Conseil n’aura pas pour objet de refonder quoi que ce soit, mais de faire croire au peuple, par un pseudo Conseil totalement inféodé, que les mesures délétères et de destruction finale qui nous attendent, en matière de retraite, d’identité numérique et de contrôle citoyen, viennent d’une entité représentative du peuple : un « conseil ». En réalité, Macron piaffe d’impatience de pouvoir finir le job, celui qui lui a été commandité au niveau des instances supra-nationales, au niveau européen, avec Ursula Van der Leyen, qui mène la danse, et au niveau international avec le Forum économique et l’Organisation Mondiale de la Santé, devenue un organisme privé, qui veut récupérer les commandes de la « santé » de l’ensemble de la race humaine et mettre en place une gestion des masses basée sur l’acceptation régulière de « vaccins ». Il n’attend qu’une majorité absolue dont il faut absolument le priver.
Il ne faut pas se tromper, le président Macron est bien la tête de pont en Europe de ce système qui nous pend au nez et il singe De Gaulle à dessein, alors qu’il est bien dans le rôle opposé, celui du dictateur qui veut imposer un nouveau genre de Reich.
☐ 2/6/2022
Comptes espagnols
Le journal espagnol El-Pais, qui comme chacun sait, n'est pas un torchon complotiste, relate l'opération "Jenner", dans laquelle une enquête a permis de livrer des noms, à l'issue d'une vaste enquête sur des personnes non-vaccinées contre le Covid, mais qui ont payé pour être inscrites dans la base de données comme "vaccinées". Au total, une liste assez hétéroclite de 2200 noms, pour l'instant, mais surtout, des noms célèbres dans le domaine du sport ou du spectacle, comme les rappeurs espagnols Kidd Keo, Anier et José del Olmo et Jarfaiter, ou Omar Montes, le chanteur, qui seraient sur la liste de la police nationale, selon les sources de l’affaire. L’actrice Veronica Echegui ferait également l’objet d’une enquête. Également, les noms d'hommes politiques qui appelaient publiquement à la vaccination. Puis le volleyeur, Fabio Díez Steinaker, vice-champion d’Europe, le boxeur Valencien José Luis Zapater. Le Dr Camilo Esquivel, chirurgien prestigieux. Cerise sur le gâteau, apparaît le nom de José María Fernández Sousa-Faro, Président de PharmaMar, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques d’Espagne. Cette boîte a mis au point un traitement contre le Covid, la Plitidepsine, comme quoi, c'était possible et même, selon les agences de santé, il fonctionne très bien. À ce point que l'homme qui le fabrique a préféré l'utiliser plutôt que de s'injecter un vaccin expérimental. On se demande bien pourquoi des gens célèbres et informés ont bien pu avoir la moindre réticence ? La France, encore une fois, reste accrochée à la doxa, tout en maintenant le flou sur le statut vaccinal des principaux responsables : tout a été parfaitement circonstancié, il n'y a pas de tricheurs, il n'y a pas de problèmes, tous les responsables politiques et artistiques ont montré l'exemple et point n'est nécessité de la moindre enquête et pas un canard du calibre d'El-Païs n'a besoin de publier le moindre article. C'est à cela qu'on mesure l'excellence d'une politique sanitaire.
Le journal espagnol El-Pais, qui comme chacun sait, n'est pas un torchon complotiste, relate l'opération "Jenner", dans laquelle une enquête a permis de livrer des noms, à l'issue d'une vaste enquête sur des personnes non-vaccinées contre le Covid, mais qui ont payé pour être inscrites dans la base de données comme "vaccinées". Au total, une liste assez hétéroclite de 2200 noms, pour l'instant, mais surtout, des noms célèbres dans le domaine du sport ou du spectacle, comme les rappeurs espagnols Kidd Keo, Anier et José del Olmo et Jarfaiter, ou Omar Montes, le chanteur, qui seraient sur la liste de la police nationale, selon les sources de l’affaire. L’actrice Veronica Echegui ferait également l’objet d’une enquête. Également, les noms d'hommes politiques qui appelaient publiquement à la vaccination. Puis le volleyeur, Fabio Díez Steinaker, vice-champion d’Europe, le boxeur Valencien José Luis Zapater. Le Dr Camilo Esquivel, chirurgien prestigieux. Cerise sur le gâteau, apparaît le nom de José María Fernández Sousa-Faro, Président de PharmaMar, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques d’Espagne. Cette boîte a mis au point un traitement contre le Covid, la Plitidepsine, comme quoi, c'était possible et même, selon les agences de santé, il fonctionne très bien. À ce point que l'homme qui le fabrique a préféré l'utiliser plutôt que de s'injecter un vaccin expérimental. On se demande bien pourquoi des gens célèbres et informés ont bien pu avoir la moindre réticence ? La France, encore une fois, reste accrochée à la doxa, tout en maintenant le flou sur le statut vaccinal des principaux responsables : tout a été parfaitement circonstancié, il n'y a pas de tricheurs, il n'y a pas de problèmes, tous les responsables politiques et artistiques ont montré l'exemple et point n'est nécessité de la moindre enquête et pas un canard du calibre d'El-Païs n'a besoin de publier le moindre article. C'est à cela qu'on mesure l'excellence d'une politique sanitaire.
☐ 26/5/2022
Qu’il se taise à la fin
Macron se tait. Il a été réélu d’une manière alambiquée, avec des doutes, un barrage contre ce que la presse ose encore appeler l’extrême droite. Il a mis des plombes à se trouver une première ministre, et elle est controversée. Laquelle a mis un bail pour se constituer une équipe, renfermant elle-aussi des types controversés. Résultat, cette dynamique qui voudrait que l’on élise un président et que dans la foulée, on lui donne une majorité, n’est plus de mise. Les sondages qui prédisaient, à Macron, une large majorité, sont en train de s’effondrer et dans le temps des polémiques, le président a perdu 30 à 40 sièges. Pire, les éditorialistes, pourtant bien en cour et subventionnés, répètent à l’envi qu’il faut prendre ces sondages avec des pincettes, « ce n’est pas la présidentielle », dans les circonscriptions, tout est bien plus compliqué et qu’une élection « n’est jamais jouée d’avance ». Le soufflet est retombé et pas sûr que ceux qui ont fait barrage et voté Macron en se pinçant le nez, se mobilisent pour lui. Au Rassemblement du Peuple Français, nous avons pris acte de cette réélection du moins gaulliste des candidats, dont nous ne voulions pas et avons là, une occasion de l’empêcher de continuer à nuire au pays et d’aggraver, encore, les bilans calamiteux qu’on lui connaît dans tous les domaines. (...) Il ne faut juste pas lui donner la moindre majorité. Voici quelques années, les Belges se sont passés de gouvernement pendant un an en demi. Expédier les affaires courantes ne fut pas une catastrophe et d’une crise institutionnelle et gouvernementale, il pourra peut-être sortir quelque chose qui donne enfin au pays la possibilité de voir un peu plus loin que la prochaine et hypothétique hystérie sanitaire qui semble devenue son seul programme.

Macron se tait. Il a été réélu d’une manière alambiquée, avec des doutes, un barrage contre ce que la presse ose encore appeler l’extrême droite. Il a mis des plombes à se trouver une première ministre, et elle est controversée. Laquelle a mis un bail pour se constituer une équipe, renfermant elle-aussi des types controversés. Résultat, cette dynamique qui voudrait que l’on élise un président et que dans la foulée, on lui donne une majorité, n’est plus de mise. Les sondages qui prédisaient, à Macron, une large majorité, sont en train de s’effondrer et dans le temps des polémiques, le président a perdu 30 à 40 sièges. Pire, les éditorialistes, pourtant bien en cour et subventionnés, répètent à l’envi qu’il faut prendre ces sondages avec des pincettes, « ce n’est pas la présidentielle », dans les circonscriptions, tout est bien plus compliqué et qu’une élection « n’est jamais jouée d’avance ». Le soufflet est retombé et pas sûr que ceux qui ont fait barrage et voté Macron en se pinçant le nez, se mobilisent pour lui. Au Rassemblement du Peuple Français, nous avons pris acte de cette réélection du moins gaulliste des candidats, dont nous ne voulions pas et avons là, une occasion de l’empêcher de continuer à nuire au pays et d’aggraver, encore, les bilans calamiteux qu’on lui connaît dans tous les domaines. (...) Il ne faut juste pas lui donner la moindre majorité. Voici quelques années, les Belges se sont passés de gouvernement pendant un an en demi. Expédier les affaires courantes ne fut pas une catastrophe et d’une crise institutionnelle et gouvernementale, il pourra peut-être sortir quelque chose qui donne enfin au pays la possibilité de voir un peu plus loin que la prochaine et hypothétique hystérie sanitaire qui semble devenue son seul programme.

☐ 26/5/2022
Je marre... BFM, dans ses œuvres, nous raconte le système Poutine, collusion avec les grandes fortunes, muselage de la presse, asservissement des institutions, corruption, népotisme, dézingage des opposants. Le scénario bien ficelé, si un jour ils produisent un reportage sur le système Macron, ils pourront reprendre la trame, en changeant juste le nom.
Je marre... BFM, dans ses œuvres, nous raconte le système Poutine, collusion avec les grandes fortunes, muselage de la presse, asservissement des institutions, corruption, népotisme, dézingage des opposants. Le scénario bien ficelé, si un jour ils produisent un reportage sur le système Macron, ils pourront reprendre la trame, en changeant juste le nom.
☐ 23/5/2022
Vers la liquidation de l’hôpital public
Les scénarios catastrophes se profilent dans les urgences hospitalières, en France, avec pas moins de 120 services, déjà quasiment à l'arrêt, ou en grande difficulté. Au CHU de Martinique, les difficultés accumulées depuis deux ans aboutissent à une situation insurmontable et les professionnels locaux parlent de "tragédie". Manque de lits, manque de personnel, manque d'argent, l'hôpital français s'est effondré, avec derrière une véritable volonté gouvernementale de le tuer. Par la suppression régulière des lits, par les dispositions prises pendant l'épisode Covid, qui ont consisté à empêcher les médecins de soigner autrement que par le vaccin et priver les malades non-vaccinés d'avoir accès aux soins, par la pénurie de personnel qui n'a pas été anticipée par des recrutements et des formations, par les salaires dérisoires, qui plombent cette profession, par le licenciement impensable de près de 15 000 soignants formés, l'État a été le fossoyeur conscient de l'hôpital public, tout en s'en défendant dans les médias. Même Patrick Pelloux, le très conforme, très vacciné et très médiatique urgentiste, qui a un temps hurlé avec le loup Véran, met en garde contre les vacances d'été et le surplus d'accidents prévisibles, du fait des déplacements de population et des sportifs estivaux non aguerris. 24 heures d'attente parfois avant la prise en charge du patient, plusieurs jours sur un brancard, pas de prise en charge dans un service adapté : la mise en danger de la vie d'autrui devient du mode fonctionnement. Au Rassemblement du Peuple Français, nous avions, dès le début de la pandémie, proposé d'autres alternatives. Augmentation des salaires, réintégration des soignants suspendus, mise en place d'un recrutement et de formations, liberté de prescription pour les médecins. L'État a fait semblant, par du vent médiatique, de se pencher sur les malheurs de l'hôpital public, alors qu'en réalité, il en a organisé la perte, ne focalisant son action que sur la mise au pas des personnels. Il est devenu indispensable que ces personnels et la nation tout entière, retrouve cet esprit gaulliste et solidaire, pour rénover un service public qui fut un temps le meilleur du monde, avant d'être progressivement déshabillé depuis une vingtaine d'années, puis liquidé par l'équipe Macron.
☐ 23/5/2022
Rien à voir...
« Le vaccin AstraZeneca appartient à la classe des vaccins à base de vecteurs adénoviraux et la société britannique a utilisé de l’adénovirus de chimpanzé, pour servir de vecteur. C’est la première fois dans l’histoire des vaccins qu’un adénovirus de chimpanzé, étranger à l’homme, est utilisé comme vecteur dans la production d’un vaccin. Aucune étude à long terme n’a pu en démontrer l’innocuité », expliquait une publication scientifique voici un an et demi. Il est bien évident que l’apparition de la variole du singe, transmise à l’homme, n’a aucun rapport avec ce tripatouillage. Ce serait du complotisme...
Rien à voir...
« Le vaccin AstraZeneca appartient à la classe des vaccins à base de vecteurs adénoviraux et la société britannique a utilisé de l’adénovirus de chimpanzé, pour servir de vecteur. C’est la première fois dans l’histoire des vaccins qu’un adénovirus de chimpanzé, étranger à l’homme, est utilisé comme vecteur dans la production d’un vaccin. Aucune étude à long terme n’a pu en démontrer l’innocuité », expliquait une publication scientifique voici un an et demi. Il est bien évident que l’apparition de la variole du singe, transmise à l’homme, n’a aucun rapport avec ce tripatouillage. Ce serait du complotisme...
☐ 20/5/2022
Je me marre… le Covid, ça paye plus, heureusement, il y a la variole du singe, pour recommencer le cirque. Il paraît que ça vient d’Afrique, c’est quand même dingue toutes les saloperies qui arrivent de ce continent. Et en Angleterre, ça touche les homosexuels. Ça rappelle, chez les vieux, quand, dans les années 80, le père Le Pen, racontait que le sida étaient arrivé en France, parce qu’un Africain avait sodomisé un singe vert. Mais là, ça n’est pas pareil, les types qui nous racontent ça, ne sont pas d’extrême droite. Pour les variants, il n’y aura pas trop besoin de se casser la tête avec l’alphabet grec, les variants du chimpanzé, du gorille, de l’orang-outang et du bonobo devraient suffire. Le bonobo, vous voyez, le petit singe qui passe son temps à sodomiser ses congénères. La boucle est bouclée, enfin, si l’on peut dire, disons, un genre de petit train, avec la locomotive qui reviendrait dans le dernier wagon. Et ils ont déjà payé des mecs avec des diplômes pour venir expliquer ça, avec une mine de trois pieds de long, à la télévision. Rien de tel qu’une sommité médicale grassement rémunérée pour faire sérieux. Les journalistes généralistes vont pouvoir broder autour, ils sont rodés. Il va se trouver des baltringues pour gober tout ça. Fort heureusement, les boomers pétochards ne craignent rien, ils ont été vaccinés contre la variole et la forme grave ne sera pas pour eux. Mais ils en sont à faire des crises cardiaques à tour de bras, lesquelles n’ont rien à voir avec les trois doses de vaccins, comme chacun sait. Du coup, il faut faire le ménage chez les moins de quarante ans, qui n’ont pas eu le fameux vaccin, qui lui marchait, contre la variole et qui sont susceptibles de faire des formes graves. On va leur ressortir une seringue de mixture, modernisée à l’ARN, avec laquelle, il n‘y aura aucun risque cardiaque, rassurez vous. Je peux déjà vous l’assurer, Djoko préférera risquer une fièvre de singe plutôt que se faire piquer. Et Nadal, cette fois, il devrait réfléchir avant d’y aller… et vous aussi d’ailleurs.
Je me marre… le Covid, ça paye plus, heureusement, il y a la variole du singe, pour recommencer le cirque. Il paraît que ça vient d’Afrique, c’est quand même dingue toutes les saloperies qui arrivent de ce continent. Et en Angleterre, ça touche les homosexuels. Ça rappelle, chez les vieux, quand, dans les années 80, le père Le Pen, racontait que le sida étaient arrivé en France, parce qu’un Africain avait sodomisé un singe vert. Mais là, ça n’est pas pareil, les types qui nous racontent ça, ne sont pas d’extrême droite. Pour les variants, il n’y aura pas trop besoin de se casser la tête avec l’alphabet grec, les variants du chimpanzé, du gorille, de l’orang-outang et du bonobo devraient suffire. Le bonobo, vous voyez, le petit singe qui passe son temps à sodomiser ses congénères. La boucle est bouclée, enfin, si l’on peut dire, disons, un genre de petit train, avec la locomotive qui reviendrait dans le dernier wagon. Et ils ont déjà payé des mecs avec des diplômes pour venir expliquer ça, avec une mine de trois pieds de long, à la télévision. Rien de tel qu’une sommité médicale grassement rémunérée pour faire sérieux. Les journalistes généralistes vont pouvoir broder autour, ils sont rodés. Il va se trouver des baltringues pour gober tout ça. Fort heureusement, les boomers pétochards ne craignent rien, ils ont été vaccinés contre la variole et la forme grave ne sera pas pour eux. Mais ils en sont à faire des crises cardiaques à tour de bras, lesquelles n’ont rien à voir avec les trois doses de vaccins, comme chacun sait. Du coup, il faut faire le ménage chez les moins de quarante ans, qui n’ont pas eu le fameux vaccin, qui lui marchait, contre la variole et qui sont susceptibles de faire des formes graves. On va leur ressortir une seringue de mixture, modernisée à l’ARN, avec laquelle, il n‘y aura aucun risque cardiaque, rassurez vous. Je peux déjà vous l’assurer, Djoko préférera risquer une fièvre de singe plutôt que se faire piquer. Et Nadal, cette fois, il devrait réfléchir avant d’y aller… et vous aussi d’ailleurs.
☐ 19/5/2022
Je me marre… c’est l’histoire d’un mec, il devient président de la France : émeutes, délinquance, immigration incontrôlée, pandémie, vaccin pourri, système totalitaire de surveillance, inflation, dette, licenciements, précarité. Le même devient président de l’Europe : guerre en Ukraine, tensions diplomatiques, perte de souveraineté, fronde d’une bonne partie des pays européens… à ce stade, on hésite entre Caliméro et Satan. Soit le pauvre petit n’a vraiment pas de bol et tout le monde profite de lui parce qu’il est petit et faible et il ne lui arrive que des malheurs. Soit il est l’incarnation du mal et fout une merde noire partout où il passe.
Je me marre… c’est l’histoire d’un mec, il devient président de la France : émeutes, délinquance, immigration incontrôlée, pandémie, vaccin pourri, système totalitaire de surveillance, inflation, dette, licenciements, précarité. Le même devient président de l’Europe : guerre en Ukraine, tensions diplomatiques, perte de souveraineté, fronde d’une bonne partie des pays européens… à ce stade, on hésite entre Caliméro et Satan. Soit le pauvre petit n’a vraiment pas de bol et tout le monde profite de lui parce qu’il est petit et faible et il ne lui arrive que des malheurs. Soit il est l’incarnation du mal et fout une merde noire partout où il passe.
☐ 18/5/2022
La fausse diplomatie européenne
La France et quelques autres pays européens, après avoir expulsé les diplomates russes, s’étonnent de ce que la Russie, expulse leurs diplomates à eux. Et une intervenante du cru d’expliquer sur France-Info, que les diplomates européens à Moscou, bossent selon la déontologie diplomatique, alors que les Russes ne seraient, à demi-mot, que de vulgaires espions à la solde du Kremlin. Un peu comme les grands industriels qui sont des capitaines d’industrie en Europe et des oligarques en Russie. Au Rassemblement du Peuple Français, dès le début, dans un texte cosigné, par le secrétaire général et quelques autres responsables, nous avions exprimé la nécessité de privilégier la voix diplomatique et de discuter pour éviter la guerre. Ce n’est certainement pas en expulsant les leurs, sous prétexte qu’ils travailleraient mal et en expliquant qu’ils doivent garder les nôtres, sous l’autre prétexte, qu’ils respectent la déontologie, que l’on va arriver au moindre accord. C’est la technique de la diabolisation couramment employée en politique : tous mes adversaires et tous ceux qui refusent de plier, sont des fachos. Avoir un minimum de considération pour son interlocuteur et traiter avec lui d’égal à égal et non pas comme détenteur, à priori, de l’entière vérité, doit être comme un genre de préalable. L’art de la diplomatie, ou de la médiation, est de convenir, chacun, de faire un pas vers l’autre. L’Europe, dans cette manœuvre, ne cherche pas un compromis, elle cherche à isoler la Russie et à l’acculer, ça ne marchera pas. La Russie n’est pas isolée, souffre des sanctions économiques, mais pas autant que nous. Rappelons-nous que Macron, entre les deux tours, s’est permis de dissoudre le corps diplomatique, ce qui fait que n’importe quel kéké, nommé par le prince, va pouvoir s’essayer à la diplomatie internationale : on n’est pas sorti de l’auberge.
La fausse diplomatie européenne
La France et quelques autres pays européens, après avoir expulsé les diplomates russes, s’étonnent de ce que la Russie, expulse leurs diplomates à eux. Et une intervenante du cru d’expliquer sur France-Info, que les diplomates européens à Moscou, bossent selon la déontologie diplomatique, alors que les Russes ne seraient, à demi-mot, que de vulgaires espions à la solde du Kremlin. Un peu comme les grands industriels qui sont des capitaines d’industrie en Europe et des oligarques en Russie. Au Rassemblement du Peuple Français, dès le début, dans un texte cosigné, par le secrétaire général et quelques autres responsables, nous avions exprimé la nécessité de privilégier la voix diplomatique et de discuter pour éviter la guerre. Ce n’est certainement pas en expulsant les leurs, sous prétexte qu’ils travailleraient mal et en expliquant qu’ils doivent garder les nôtres, sous l’autre prétexte, qu’ils respectent la déontologie, que l’on va arriver au moindre accord. C’est la technique de la diabolisation couramment employée en politique : tous mes adversaires et tous ceux qui refusent de plier, sont des fachos. Avoir un minimum de considération pour son interlocuteur et traiter avec lui d’égal à égal et non pas comme détenteur, à priori, de l’entière vérité, doit être comme un genre de préalable. L’art de la diplomatie, ou de la médiation, est de convenir, chacun, de faire un pas vers l’autre. L’Europe, dans cette manœuvre, ne cherche pas un compromis, elle cherche à isoler la Russie et à l’acculer, ça ne marchera pas. La Russie n’est pas isolée, souffre des sanctions économiques, mais pas autant que nous. Rappelons-nous que Macron, entre les deux tours, s’est permis de dissoudre le corps diplomatique, ce qui fait que n’importe quel kéké, nommé par le prince, va pouvoir s’essayer à la diplomatie internationale : on n’est pas sorti de l’auberge.
☐ 17/5/2022
Douée en tout, ou bonne à rien ?
Elisabeth Borne, jamais élue, polytechnicienne et diplômée des Ponts-et-Chaussées, s’est toujours promenée dans l’appareil de l’État, dès 1987, où elle passe tour à tour, à l’Équipement, aux bons conseils de Jospin et de Lang, navigant toutes voiles dehors, dans les eaux socialistes, parfois glauques. Elle pantoufle également dans le privé, chez Adoma et Eiffage. Repasse par la SNCF, la mairie de Paris, s’arrête un temps comme préfète de département et de région. Revient en socialie, bras droit de Ségolène Royal, d’une redoutable efficacité, comme chacun sait. Se mêle aussi de transport, d’écologie, de solidarité, de travail d’emploi et d’insertion. À la diversité de son parcours, on pourrait la croire douée en tout, ou bonne à rien, c’est selon. Soit on se l’arrache pour ses compétences, soit on ne sait qu’en faire, à cause de son incompétence et on la met, là où on peut. A la SNCF, elle est jugée colérique, cassante et brutale, mais les cheminots ne sont jamais contents, tout le monde sait cela. A l’écologie, elle rate totalement ses objectifs et se prend une remontée de bretelles. Aux transports, elle fustige les Français, afin qu’il reviennent « aux réalités », en leur expliquant qu’il y a des trottinettes électriques à 50 euros, qui permettent qu’on abandonne les carburants. Surtout pour amener ses trois gosses à l’école. Au Travail, elle fait des pieds et des mains, pour que les soignants non-piqués, puissent être débarqués sans salaire et sans indemnité, contre toutes les règles du travail en vigueur. Elle est socialiste, ne nous plaignons pas, elle aurait pu préconiser le goulag. Pour finir la supercherie, elle est d’origine juive-russe, comme le précise son Wiki d’avant le 16 mai, avant de la passer d’origine juive-polonaise, sur le même Wiki, après le 16 mai, ça fait tout de suite plus sérieux, c’est sûr, par les temps qui courent. Pupille de la nation, boursière, elle est un pur produit du système éducatif national et gageons qu’elle aura à cœur de redorer le blason de la France, on peut toujours rêver.
Elisabeth Borne, jamais élue, polytechnicienne et diplômée des Ponts-et-Chaussées, s’est toujours promenée dans l’appareil de l’État, dès 1987, où elle passe tour à tour, à l’Équipement, aux bons conseils de Jospin et de Lang, navigant toutes voiles dehors, dans les eaux socialistes, parfois glauques. Elle pantoufle également dans le privé, chez Adoma et Eiffage. Repasse par la SNCF, la mairie de Paris, s’arrête un temps comme préfète de département et de région. Revient en socialie, bras droit de Ségolène Royal, d’une redoutable efficacité, comme chacun sait. Se mêle aussi de transport, d’écologie, de solidarité, de travail d’emploi et d’insertion. À la diversité de son parcours, on pourrait la croire douée en tout, ou bonne à rien, c’est selon. Soit on se l’arrache pour ses compétences, soit on ne sait qu’en faire, à cause de son incompétence et on la met, là où on peut. A la SNCF, elle est jugée colérique, cassante et brutale, mais les cheminots ne sont jamais contents, tout le monde sait cela. A l’écologie, elle rate totalement ses objectifs et se prend une remontée de bretelles. Aux transports, elle fustige les Français, afin qu’il reviennent « aux réalités », en leur expliquant qu’il y a des trottinettes électriques à 50 euros, qui permettent qu’on abandonne les carburants. Surtout pour amener ses trois gosses à l’école. Au Travail, elle fait des pieds et des mains, pour que les soignants non-piqués, puissent être débarqués sans salaire et sans indemnité, contre toutes les règles du travail en vigueur. Elle est socialiste, ne nous plaignons pas, elle aurait pu préconiser le goulag. Pour finir la supercherie, elle est d’origine juive-russe, comme le précise son Wiki d’avant le 16 mai, avant de la passer d’origine juive-polonaise, sur le même Wiki, après le 16 mai, ça fait tout de suite plus sérieux, c’est sûr, par les temps qui courent. Pupille de la nation, boursière, elle est un pur produit du système éducatif national et gageons qu’elle aura à cœur de redorer le blason de la France, on peut toujours rêver.
☐ 15/5/2022
La signature de trop...
La Macronie, vous en aviez rêvé, la voilà dans toute sa splendeur. Asselineau vient de soulever ce lièvre, sera-t-il suivi par les autres formations politiques, rien n’est moins certain ? Ces chers LREM, toujours en quête de nouveauté démocratique, n’ont rien trouvé de mieux que de faire signer une charte aux futurs représentants du peuple, notez bien ce terme, il est déterminant pour comprendre la suite, charte qui leur impose de ne pas s’opposer aux futures réformes que le prince président décidera. Oui mais voilà, comme le souligne très justement le président de l’UPR, une telle charte est contraire à la constitution, qui précise dans son article 27 « que tout mandat impératif est nul et que le droit de vote des membres du parlement est personnel ». Cela signifie clairement que s’attacher les futures voix, en lieu et place de la totale liberté de décision des parlementaires, est interdit. C’est là une forfaiture qui devrait entraîner l’invalidation de toutes les candidatures de l’Empereur président. En effet, un député, s’il est élu dans la circonscription, reste le représentant du peuple dans sa globalité et ne saurait se voir commander, ou dicter sa conduite par un parti. On va me dire, c’est bien ce qu’instinctivement les députés de Macron on fait jusque-là et sans signer de charte. La fidélité à un parti est une chose, promettre l’investiture d’un candidat en s’attachant par avance sa voix et en le signifiant noir sur blanc, en est une autre. En signant un tel acte, il rompt le pacte républicain et sa fidélité au peuple, pour se donner corps et âme à celle de son mentor. La chambre des députés, qui n’était déjà plus qu’une chambre d’enregistrement de fait, en devient une par acte contraire à notre constitution. Voilà la vision macronienne de la démocratie. Quid ne nos institutions ? Bof, qu’à cela ne tienne, on a déjà vu pire sous le précédent quinquennat. Quand bien même le Conseil constitutionnel serait saisi, qu’adviendra-t-il ? Rien, si ce n’est que ce cher Fabius, qui en a vu et fait d’autres, saura nous ressortir sa formule de proportionnalité de violation et nous dire que ce n’est finalement pas si grave, allez roulez jeunesse, sur la route du Vichysme, pour soi-disant, se protéger de l’extrême droite. Les temps s’annoncent sombres, et nous n’avons eu de cesse au RPF de mettre en garde contre la réélection de Macron et ses méthodes, mais rien n’y a fait, voilà la démocratie dont vous rêviez, celle qui allait vous sauver du chaos de l’extrême droite, celle des gentils défenseurs du droit. Nous attendons avec une impatience désabusée les réactions des autres responsables politiques sur ce sujet.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
La Macronie, vous en aviez rêvé, la voilà dans toute sa splendeur. Asselineau vient de soulever ce lièvre, sera-t-il suivi par les autres formations politiques, rien n’est moins certain ? Ces chers LREM, toujours en quête de nouveauté démocratique, n’ont rien trouvé de mieux que de faire signer une charte aux futurs représentants du peuple, notez bien ce terme, il est déterminant pour comprendre la suite, charte qui leur impose de ne pas s’opposer aux futures réformes que le prince président décidera. Oui mais voilà, comme le souligne très justement le président de l’UPR, une telle charte est contraire à la constitution, qui précise dans son article 27 « que tout mandat impératif est nul et que le droit de vote des membres du parlement est personnel ». Cela signifie clairement que s’attacher les futures voix, en lieu et place de la totale liberté de décision des parlementaires, est interdit. C’est là une forfaiture qui devrait entraîner l’invalidation de toutes les candidatures de l’Empereur président. En effet, un député, s’il est élu dans la circonscription, reste le représentant du peuple dans sa globalité et ne saurait se voir commander, ou dicter sa conduite par un parti. On va me dire, c’est bien ce qu’instinctivement les députés de Macron on fait jusque-là et sans signer de charte. La fidélité à un parti est une chose, promettre l’investiture d’un candidat en s’attachant par avance sa voix et en le signifiant noir sur blanc, en est une autre. En signant un tel acte, il rompt le pacte républicain et sa fidélité au peuple, pour se donner corps et âme à celle de son mentor. La chambre des députés, qui n’était déjà plus qu’une chambre d’enregistrement de fait, en devient une par acte contraire à notre constitution. Voilà la vision macronienne de la démocratie. Quid ne nos institutions ? Bof, qu’à cela ne tienne, on a déjà vu pire sous le précédent quinquennat. Quand bien même le Conseil constitutionnel serait saisi, qu’adviendra-t-il ? Rien, si ce n’est que ce cher Fabius, qui en a vu et fait d’autres, saura nous ressortir sa formule de proportionnalité de violation et nous dire que ce n’est finalement pas si grave, allez roulez jeunesse, sur la route du Vichysme, pour soi-disant, se protéger de l’extrême droite. Les temps s’annoncent sombres, et nous n’avons eu de cesse au RPF de mettre en garde contre la réélection de Macron et ses méthodes, mais rien n’y a fait, voilà la démocratie dont vous rêviez, celle qui allait vous sauver du chaos de l’extrême droite, celle des gentils défenseurs du droit. Nous attendons avec une impatience désabusée les réactions des autres responsables politiques sur ce sujet.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 15/5/2022
Michèle Rivasi demande des comptes
On s’agace en commission européenne, sur le sujet du Covid-19 et Michèle Rivasi, députée européenne française, membre de EELV, a demandé à la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, si les 27 pays membres étaient encore obligés d'acheter des millions de doses de vaccins qu’on leur propose. La première à s’en émouvoir a été la Pologne, dont les finances ne sont pas extensibles et qui peine à écouler les 25 millions de doses dont elle dispose encore, dans un contexte de fin de pandémie. Le pays se voit obligé d’accepter et donc de payer 70 millions de nouvelles doses cette année. Réponse : "La Commission européenne est en intenses discussions avec BioNTech et Pfizer, pour régler cette question de surplus en repoussant la livraison pour la fin du 3ème trimestre 2022". Et l’UE a créé une nouvelle instance sanitaire, une de plus, qui mène les mêmes discussions avec Moderna. Si on doit rediscuter, c’est qu’on a signé, mais qu’a-t-on signé au juste ? La même Michèle Rivasi explique, que sur les questions de responsabilité, en cas de problème, on ne sait rien. Que sur les clauses des contrats et les prix, on ne sait rien non plus. Est-ce que les contrats nous obligent, même en cas de produit devenant inutile ? On ne sait pas davantage. Cette Europe, soi-disant démocratique, mais qui signe des contrats, dont même les députés ne peuvent pas connaître la teneur, n’est plus tout à fait démocratique. Nous sommes sur des achats de médicaments, rappelons-le, pas sur des armements nucléaires, pour lesquels un minimum de discrétion pourrait s’entendre. Les pays baltes emboîtent le pas de la Pologne et même en France, nous sommes en situation de surcapacité vaccinale. En 2011, de guerre lasse la France avait détruit 19 millions de doses de vaccin contre la H5N1, pour un coût total d'environ 400 millions d'euros, cumulant achat et destruction. La transparence sur les responsabilités, les prix et les contrats se doit d’être totale et Ursula Van Der Layen, sur cette question, est carrément sur la sellette. Nous devons clairement demander des comptes.
On s’agace en commission européenne, sur le sujet du Covid-19 et Michèle Rivasi, députée européenne française, membre de EELV, a demandé à la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, si les 27 pays membres étaient encore obligés d'acheter des millions de doses de vaccins qu’on leur propose. La première à s’en émouvoir a été la Pologne, dont les finances ne sont pas extensibles et qui peine à écouler les 25 millions de doses dont elle dispose encore, dans un contexte de fin de pandémie. Le pays se voit obligé d’accepter et donc de payer 70 millions de nouvelles doses cette année. Réponse : "La Commission européenne est en intenses discussions avec BioNTech et Pfizer, pour régler cette question de surplus en repoussant la livraison pour la fin du 3ème trimestre 2022". Et l’UE a créé une nouvelle instance sanitaire, une de plus, qui mène les mêmes discussions avec Moderna. Si on doit rediscuter, c’est qu’on a signé, mais qu’a-t-on signé au juste ? La même Michèle Rivasi explique, que sur les questions de responsabilité, en cas de problème, on ne sait rien. Que sur les clauses des contrats et les prix, on ne sait rien non plus. Est-ce que les contrats nous obligent, même en cas de produit devenant inutile ? On ne sait pas davantage. Cette Europe, soi-disant démocratique, mais qui signe des contrats, dont même les députés ne peuvent pas connaître la teneur, n’est plus tout à fait démocratique. Nous sommes sur des achats de médicaments, rappelons-le, pas sur des armements nucléaires, pour lesquels un minimum de discrétion pourrait s’entendre. Les pays baltes emboîtent le pas de la Pologne et même en France, nous sommes en situation de surcapacité vaccinale. En 2011, de guerre lasse la France avait détruit 19 millions de doses de vaccin contre la H5N1, pour un coût total d'environ 400 millions d'euros, cumulant achat et destruction. La transparence sur les responsabilités, les prix et les contrats se doit d’être totale et Ursula Van Der Layen, sur cette question, est carrément sur la sellette. Nous devons clairement demander des comptes.
☐ 12/5/2022
La promotion Covid passe le bac
Les élèves qui vont passer le bac cette année, sont ceux de la promotion COVID. Leur première et leur terminale, avec des dizaines de protocoles, des semaines interminables de cours par écrans interposés, des professeurs et élèves absents à tour de bras : deux années d'enfer et au bout de la route, le retour de l'examen passé de manière classique, sur table et en présentiel. Le ministère de l'Éducation Nationale, conscient de la difficulté, a accordé en janvier dernier, un délai de deux mois de préparation supplémentaires pour les épreuves les plus déterminantes de l'examen, en mai et maintenu aux dates prévues, les épreuves de juin. De nombreux profs ont peiné pour venir à bout des programmes, surmonté tant bien que mal, des conditions d'apprentissage difficiles, mais la majorité des élèves semble prête pour l'examen, sans qu'on sache toutefois le niveau réel des acquis. En réalité, beaucoup d'enseignants observent chez leurs élèves des lacunes plus importantes que les années précédentes, en termes de connaissances et de méthode.
Reste que le bac n'est pas seulement un examen pour les élèves, c'est aussi une opération politique pour un gouvernement. Le taux de réussite ne peut décemment pas baisser dans ces conditions. Et on ne peut pas non plus, toujours aussi décemment, avoir des variations de taux de réussite trop importants selon les types de populations et de territoires, même si chacun le sait, les inégalités sont bien réelles et très marquées. Bref, il va falloir faire un peu comme d'habitude, appeler les correcteurs à beaucoup de compréhension, remonter les notes, harmoniser, recalculer, comme chaque année, ce n'est un secret pour personne. Mais il va sans doute falloir le faire encore un peu plus que d'habitude. Et à l'entrée dans le supérieur et plus loin dans le monde du travail, le décalage entre les attendus et la réalité risque de s'en trouver agrandi…
Les élèves qui vont passer le bac cette année, sont ceux de la promotion COVID. Leur première et leur terminale, avec des dizaines de protocoles, des semaines interminables de cours par écrans interposés, des professeurs et élèves absents à tour de bras : deux années d'enfer et au bout de la route, le retour de l'examen passé de manière classique, sur table et en présentiel. Le ministère de l'Éducation Nationale, conscient de la difficulté, a accordé en janvier dernier, un délai de deux mois de préparation supplémentaires pour les épreuves les plus déterminantes de l'examen, en mai et maintenu aux dates prévues, les épreuves de juin. De nombreux profs ont peiné pour venir à bout des programmes, surmonté tant bien que mal, des conditions d'apprentissage difficiles, mais la majorité des élèves semble prête pour l'examen, sans qu'on sache toutefois le niveau réel des acquis. En réalité, beaucoup d'enseignants observent chez leurs élèves des lacunes plus importantes que les années précédentes, en termes de connaissances et de méthode.
Reste que le bac n'est pas seulement un examen pour les élèves, c'est aussi une opération politique pour un gouvernement. Le taux de réussite ne peut décemment pas baisser dans ces conditions. Et on ne peut pas non plus, toujours aussi décemment, avoir des variations de taux de réussite trop importants selon les types de populations et de territoires, même si chacun le sait, les inégalités sont bien réelles et très marquées. Bref, il va falloir faire un peu comme d'habitude, appeler les correcteurs à beaucoup de compréhension, remonter les notes, harmoniser, recalculer, comme chaque année, ce n'est un secret pour personne. Mais il va sans doute falloir le faire encore un peu plus que d'habitude. Et à l'entrée dans le supérieur et plus loin dans le monde du travail, le décalage entre les attendus et la réalité risque de s'en trouver agrandi…
☐ 12/5/2022
Étranges maux chez les pilotes
Les malaises de pilotes recensés se multiplient, aux USA, mais aussi en France, de l'incapacité de piloter jusqu'à la crise cardiaque au manche. Un médecin américain a expliqué qu'environ 30% des pilotes professionnels seraient dans l'incapacité d'exercer, mais beaucoup d'entre eux se taisent, pour de pas perdre leur job et pilotent malgré des douleurs cardiaques et respiratoires. Beaucoup d'autres sont arrêtés par les médecins. En Bretagne dernièrement, un petit avion s'est crashé après une crise cardiaque du pilote et cette semaine encore, aux USA, un passager sans expérience de pilotage, guidé par un instructeur de vol, a réussi à poser un avion privé. Aucune information n'a été rendue publique par les autorités de Palm Beach et le pilote de l'avion privé a été transféré à l'hôpital. Il semble que tout le monde soit assez gêné aux entournures pour évoquer ce problème, devenant de plus en plus prégnant dans le domaine de l'aviation. Ceci alors que la population des pilotes est globalement en très bonne santé et suivie médicalement depuis des lustres.
Les malaises de pilotes recensés se multiplient, aux USA, mais aussi en France, de l'incapacité de piloter jusqu'à la crise cardiaque au manche. Un médecin américain a expliqué qu'environ 30% des pilotes professionnels seraient dans l'incapacité d'exercer, mais beaucoup d'entre eux se taisent, pour de pas perdre leur job et pilotent malgré des douleurs cardiaques et respiratoires. Beaucoup d'autres sont arrêtés par les médecins. En Bretagne dernièrement, un petit avion s'est crashé après une crise cardiaque du pilote et cette semaine encore, aux USA, un passager sans expérience de pilotage, guidé par un instructeur de vol, a réussi à poser un avion privé. Aucune information n'a été rendue publique par les autorités de Palm Beach et le pilote de l'avion privé a été transféré à l'hôpital. Il semble que tout le monde soit assez gêné aux entournures pour évoquer ce problème, devenant de plus en plus prégnant dans le domaine de l'aviation. Ceci alors que la population des pilotes est globalement en très bonne santé et suivie médicalement depuis des lustres.
☐ 8/5/2022
Je me marre… repris de justice, mis en examen, magouilleurs, traîtres, tourneurs de vestes, empoisonneurs, bonimenteurs et parasites, en liesse totale pour l’investiture. Un vent de folie va porter la France vers de meilleurs auspices, c’est certain...
Je me marre… Macron aurait du mal à trouver une Première ministre. Quatre femmes auraient déjà refusé ses avances. Il faut dire que la période qui s’annonce n’inspire pas à la gestion des affaires, surtout avec, sur le dos, le type le plus détesté de France, recordman du nombre de ministres épuisés en cinq ans, également du nombre de proches inquiétés par la justice, condamnés, malgré la possibilité surexploitée du « classement sans suite », encore dernièrement pour Dupont-Moretti. Côté masculin, ça ne s’annonce pas plus probant. Il était allé chercher le maire du Havre, celui des 80km/h, du fiasco de Notre-Dame-des-Landes, du masque inutile rendu obligatoire et des jeunes hommes du club de boxe. Puis Castex, avec un je ne sais quoi oscillant entre ORTF et Guignols de l’Info, maire de Prades. J’ai cherché un peu, pour aider notre bien-aimé président et j’ai trouvé Morogues, dans le Cher, un des rares bleds ruraux à placer Macron par 142 voix, contre 80 à Marine Le Pen. Le président devrait envoyer une proposition à M. Gérard Clavier, maire de ce village de 447 habitants. Que des avantages : peu connu, donc pas de casserole, issu de l’une des communes les plus pauvres de France, dans l’un des départements les plus pauvres de France, il ne risque pas de déchaîner les passions des éditorialistes parisiens et permettre au président, accablé de scandales, de se refaire une virginité grâce à un très probable honnête homme. L’expérience des grandes responsabilités, me direz-vous ? Au point où nous en sommes, en prenant à peu près n’importe qui, on est quasiment sûr de faire moins pire.
☐ 3/5/2022
Un juge italien constate l’évidence
Le jeudi 28 avril, le juge Dr Roberto Beghini, du tribunal de Padoue, a entendu l’appel d’un agent de santé de la société « Ulss n.6 Euganea », suspendu pour ne pas avoir subi de vaccination covid. Il écrit : « l’obligation de vaccination imposée aux travailleurs en question ne semble pas apte à atteindre le but qu’elle se fixe [...] On peut en effet considérer comme notoire le fait que la personne qui a subi le cycle de vaccination, peut encore contracter le virus et peut donc infecter d’autres personnes [...] Comme il ressort des données fournies par le ministère de la Santé, malgré le début de la campagne de vaccination, le plus grand nombre d’infections depuis le début de la pandémie a été enregistré le 11 janvier 2022. » Le tribunal de Padoue explique aussi le caractère déraisonnable et disproportionné de l’obligation de vaccination : « La législation italienne qui suspend de travail et de salaire le travailleur qui n’a pas l’intention de se faire vacciner, semble également violer le principe de proportionnalité consacré à l’article 52. En résumé, le vacciné n’étant pas exempt de maladie et de contagion, la vaccination obligatoire qui, en plus, contrevient aux lois en vigueur, est rendue inutile. »
Le jeudi 28 avril, le juge Dr Roberto Beghini, du tribunal de Padoue, a entendu l’appel d’un agent de santé de la société « Ulss n.6 Euganea », suspendu pour ne pas avoir subi de vaccination covid. Il écrit : « l’obligation de vaccination imposée aux travailleurs en question ne semble pas apte à atteindre le but qu’elle se fixe [...] On peut en effet considérer comme notoire le fait que la personne qui a subi le cycle de vaccination, peut encore contracter le virus et peut donc infecter d’autres personnes [...] Comme il ressort des données fournies par le ministère de la Santé, malgré le début de la campagne de vaccination, le plus grand nombre d’infections depuis le début de la pandémie a été enregistré le 11 janvier 2022. » Le tribunal de Padoue explique aussi le caractère déraisonnable et disproportionné de l’obligation de vaccination : « La législation italienne qui suspend de travail et de salaire le travailleur qui n’a pas l’intention de se faire vacciner, semble également violer le principe de proportionnalité consacré à l’article 52. En résumé, le vacciné n’étant pas exempt de maladie et de contagion, la vaccination obligatoire qui, en plus, contrevient aux lois en vigueur, est rendue inutile. »
Dont acte, en espérant que cette sagesse fasse jurisprudence dans le monde entier.
☐ 28/4/2022
L’heure de se rassembler
Tout le monde a du mal à s’organiser pour les législatives. Les droites, qui peinent à faire leur union, les gauches, qui n’existent plus en dehors de Mélenchon, prêt à les avaler, LREM, où des courants d’arrivistes se déchirent, mais laissons les se déchirer. Macron, avec ses 58 % d’exprimés, moins les probables fraudes, moins les castors qui ont fait barrage, doit planer à 15 %. Le Pen n’est pas mieux lotie avec ses 42 %, plus les fraudes, moins ceux qui ont fait barrage à Macron. Elle doit être dans les mêmes eaux. Ceux qui ont voté contre Macron doivent se souvenir que c’est cela qui les a unis, cette volonté de changer cette « démocratie défaillante », instaurée par l’homme qui décide seul de brimer le pays et qui nous dirige vers une dictature 3.0. L’ensemble des formations et partisans qui se sont positionnés pour battre Macron, doivent appeler à une Union Nationale urgente, de manière à lui imposer une cohabitation, quelles que soient les divergences et on sait qu’il y en a. L’éparpillement des voix conduira à la dilution des mouvements, ce qui est déjà fait pour les PS et LR et à l’affaiblissement conséquent des idées qu’ils portent. Ce n’est pas une banale recomposition politique qui se joue, mais l’avenir existentiel de la France et plus largement de la paix dans le monde : à savoir si nous succombons à la horde de Davos, ou si nous nous sortons d’un avenir annoncé de piqués et QR-codés. Ne pas le voir pourrait nous entraîner à vivre un drame, nous et nos enfants. Le Rassemblement du Peuple Français prône le plus large rassemblement possible, face à Macron, qui malgré sa réélection, ne satisfait pas grand monde. Nous avons d’un côté, les européïstes-mondialistes, presque une secte et de l’autre, le peuple. Au milieu de la bataille, il ne doit pas être question de marchandages des ego, seule doit rester la volonté de s’opposer avec force, puis de débarquer ce président-là, qui nous a occasionné cinq ans de malheur et qui n’a aucune raison d’avoir changé le 24 avril.
Par Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français.
Tout le monde a du mal à s’organiser pour les législatives. Les droites, qui peinent à faire leur union, les gauches, qui n’existent plus en dehors de Mélenchon, prêt à les avaler, LREM, où des courants d’arrivistes se déchirent, mais laissons les se déchirer. Macron, avec ses 58 % d’exprimés, moins les probables fraudes, moins les castors qui ont fait barrage, doit planer à 15 %. Le Pen n’est pas mieux lotie avec ses 42 %, plus les fraudes, moins ceux qui ont fait barrage à Macron. Elle doit être dans les mêmes eaux. Ceux qui ont voté contre Macron doivent se souvenir que c’est cela qui les a unis, cette volonté de changer cette « démocratie défaillante », instaurée par l’homme qui décide seul de brimer le pays et qui nous dirige vers une dictature 3.0. L’ensemble des formations et partisans qui se sont positionnés pour battre Macron, doivent appeler à une Union Nationale urgente, de manière à lui imposer une cohabitation, quelles que soient les divergences et on sait qu’il y en a. L’éparpillement des voix conduira à la dilution des mouvements, ce qui est déjà fait pour les PS et LR et à l’affaiblissement conséquent des idées qu’ils portent. Ce n’est pas une banale recomposition politique qui se joue, mais l’avenir existentiel de la France et plus largement de la paix dans le monde : à savoir si nous succombons à la horde de Davos, ou si nous nous sortons d’un avenir annoncé de piqués et QR-codés. Ne pas le voir pourrait nous entraîner à vivre un drame, nous et nos enfants. Le Rassemblement du Peuple Français prône le plus large rassemblement possible, face à Macron, qui malgré sa réélection, ne satisfait pas grand monde. Nous avons d’un côté, les européïstes-mondialistes, presque une secte et de l’autre, le peuple. Au milieu de la bataille, il ne doit pas être question de marchandages des ego, seule doit rester la volonté de s’opposer avec force, puis de débarquer ce président-là, qui nous a occasionné cinq ans de malheur et qui n’a aucune raison d’avoir changé le 24 avril.
Par Gilles La Carbona et Pierre Duriot, secrétaires nationaux du Rassemblement du Peuple Français.
☐ 28/4/2022
Ma chronique ce matin à la radio
De plus en plus gros
On le savait de manière empirique, mais le bilan des confinements et restrictions, mis en place par le gouvernement pour lutter contre la propagation du Covid, révèle des effets dévastateurs. On avait déjà acté une baisse du niveau des apprentissages, due à moins de fréquentation, moins de cours, moins de travail, moins d’habitudes de travail et encore plus d’écart entre ceux dont les parents ont une compétence pédagogique, les moyens et le temps de prendre le relais des enseignants, et les autres. Egalement, les problèmes liés à la sédentarité, sont devenus prégnants : baisse des capacités sportives, des performances musculaires et cardiaques. Pour les familles : explosion des violences conjugales, tensions des relations parents/enfants, tendances suicidaires chez les jeunes et les moins jeunes.
Dernièrement, la prise de poids des enfants a été mise en évidence. Toujours plus de jeux vidéo, moins de sorties, moins de foot avec les copains, moins de vélo, plus de compensations alimentaires, pour avoir la paix... de mauvaises habitudes alimentaires, du grignotage, des sucreries. A noter que la tendance était déjà lourde et que les restrictions n’ont rien arrangé. En réalité, la baisse des capacités sportives et l’augmentation du poids, ont été mesurées depuis une bonne vingtaine d’années, depuis en fait, la massification de la pratique du jeu vidéo. Les confinements n’ont, non seulement rien arrangé, mais le phénomène a pris une tournure alarmante. Les recettes : revoir les habitudes et les contenus alimentaires, contractualiser les jeux vidéos : une heure par jour, grand maximum et surtout, passer du temps avec ses enfants : promenade, vélo, ballon, natation… l’enfant pratique le sport en club, mais il prend surtout modèle sur nous, parents et aura d’autant plus tendance à se livrer à une activité sportive s’il voit ses parents en faire autant et ce sera encore mieux si cette pratique, occasionnellement, se fait aussi en famille. Le sport à l’école, les récréations, les clubs associatifs, c’est très bien, mais le modèle parental qu’on a envie de suivre, c’est encore mieux.
De plus en plus gros
On le savait de manière empirique, mais le bilan des confinements et restrictions, mis en place par le gouvernement pour lutter contre la propagation du Covid, révèle des effets dévastateurs. On avait déjà acté une baisse du niveau des apprentissages, due à moins de fréquentation, moins de cours, moins de travail, moins d’habitudes de travail et encore plus d’écart entre ceux dont les parents ont une compétence pédagogique, les moyens et le temps de prendre le relais des enseignants, et les autres. Egalement, les problèmes liés à la sédentarité, sont devenus prégnants : baisse des capacités sportives, des performances musculaires et cardiaques. Pour les familles : explosion des violences conjugales, tensions des relations parents/enfants, tendances suicidaires chez les jeunes et les moins jeunes.
Dernièrement, la prise de poids des enfants a été mise en évidence. Toujours plus de jeux vidéo, moins de sorties, moins de foot avec les copains, moins de vélo, plus de compensations alimentaires, pour avoir la paix... de mauvaises habitudes alimentaires, du grignotage, des sucreries. A noter que la tendance était déjà lourde et que les restrictions n’ont rien arrangé. En réalité, la baisse des capacités sportives et l’augmentation du poids, ont été mesurées depuis une bonne vingtaine d’années, depuis en fait, la massification de la pratique du jeu vidéo. Les confinements n’ont, non seulement rien arrangé, mais le phénomène a pris une tournure alarmante. Les recettes : revoir les habitudes et les contenus alimentaires, contractualiser les jeux vidéos : une heure par jour, grand maximum et surtout, passer du temps avec ses enfants : promenade, vélo, ballon, natation… l’enfant pratique le sport en club, mais il prend surtout modèle sur nous, parents et aura d’autant plus tendance à se livrer à une activité sportive s’il voit ses parents en faire autant et ce sera encore mieux si cette pratique, occasionnellement, se fait aussi en famille. Le sport à l’école, les récréations, les clubs associatifs, c’est très bien, mais le modèle parental qu’on a envie de suivre, c’est encore mieux.
☐ 28/4/2022
Je me marre… les voilà tous pris de folie après le rachat de Tweeter par Elon Musk, qui prône la liberté d’expression. Ça veut dire, que si ça se trouve, avec cette nouvelle politique, on va trouver sur ce réseau, des statistiques sur les effets secondaires des vaccins, des preuves de fraudes électorales massives, aux États-Unis et en France, des renseignements plus précis sur les profils des délinquants, des comptes-rendus économiques non autorisés sur l’état des finances publiques… en effet, c’est effrayant. D’ailleurs Elon Musk a l’habitude de faire totalement n’importe quoi et de ne pas savoir gérer ses affaires, c’est d’ailleurs pour cela qu’il est l’un des hommes les plus riches du monde. Les médias avec des « modérateurs », souvent situés au Maghreb, ne pourront plus avoir le monopole de la propagande et des informations alternatives, qui pourraient éventuellement être vraies, contribueraient à jeter des troubles et à provoquer des prises de conscience, voire des vents de panique. Il est évident que l’information a besoin d’être constamment surveillée et manipulée à des fins de stabilité sociale et que les gens puissent dormir tranquilles… rendez-vous compte, ma brave dame, de ce qui pourrait arriver si certains trucs se savaient.
☐ 26/4/2022
Je me marre… qui c’est Nadal ? Quelqu’un connaît ce gars-là ? Non, personne ? Mais enfin, Rafael Nadal, le tennisman ? Ah non, s’cusez, connais pas. Le mec est le plus grand tennisman de tous les temps et il a disparu, purement et simplement. Il est devenu politiquement incorrect. Ma brave dame, cela s’appelle : la double peine. Tu prends trois doses d’un produit de merde, parce qu’on te dit que c’est glamour. Tu brises ta carrière en t’écroulant sur le court alors que tu es une machine de guerre, dans un premier temps. Et dans un second temps, comme il ne faut pas dire que c’est la conséquence devenue classique, d’un produit que les trois-quarts des gens ont pris, histoire de ne pas leur foutre la trouille et faire risquer un méga procès aux promoteurs du bidule, tu disparais. Personne ne se préoccupe plus de tes entraînements, de l’état de tes adducteurs, de ta dernière copine, des frasques de ton coach, de la marque de ta raquette… bref, t’es mort symboliquement avant de crever tout seul comme un c... En fait non, ça ne me fait pas marrer du tout. J’ai mal pour ce magnifique champion.
☐ 26/4/2022
De M. Duriot à M. Poutine
Monsieur le Président de la Sainte Russie
Ce modeste courrier pour vous dire que je suis au courant de la livraison d’armes faite par la France à destination de l’Ukraine. Même s’il a été très récemment réélu, notre livreur, M. Macron, ne représente pas grand monde en France et plus de 75 % des gens n’ont pas voté pour lui. S’il était dans votre intention, en terme de représailles, de nous rayer de la carte, sachez que nous ne cautionnons pas tous la politique étrangère de notre président, que l’Ukraine ne fait pas partie, ni de l’OTAN, ni de l’Europe et que nous n’avons aucun traité avec ce pays. Nous sommes bien désolés de ce qui arrive et faisons notre possible pour accueillir les pauvres gens qui fuient. L’unique responsable est M. Macron, qui habite 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris. Il a répété plusieurs fois qu’on pouvait venir le chercher. On a bien essayé, mais on n’y est pas arrivé. Vous pouvez vous en charger, si vous le désirez et faire un brin de ménage dans ce lieu, par la même occasion, plutôt que de vitrifier ce pays deux fois millénaire et Fille aînée de l’Église, ce sera avec grand plaisir.
Recevez, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Monsieur le Président de la Sainte Russie
Ce modeste courrier pour vous dire que je suis au courant de la livraison d’armes faite par la France à destination de l’Ukraine. Même s’il a été très récemment réélu, notre livreur, M. Macron, ne représente pas grand monde en France et plus de 75 % des gens n’ont pas voté pour lui. S’il était dans votre intention, en terme de représailles, de nous rayer de la carte, sachez que nous ne cautionnons pas tous la politique étrangère de notre président, que l’Ukraine ne fait pas partie, ni de l’OTAN, ni de l’Europe et que nous n’avons aucun traité avec ce pays. Nous sommes bien désolés de ce qui arrive et faisons notre possible pour accueillir les pauvres gens qui fuient. L’unique responsable est M. Macron, qui habite 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris. Il a répété plusieurs fois qu’on pouvait venir le chercher. On a bien essayé, mais on n’y est pas arrivé. Vous pouvez vous en charger, si vous le désirez et faire un brin de ménage dans ce lieu, par la même occasion, plutôt que de vitrifier ce pays deux fois millénaire et Fille aînée de l’Église, ce sera avec grand plaisir.
Recevez, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
☐ 25/4/2022
De l’intérêt de la Nation et du Peuple
Macron aura été le président le plus mal élu de la cinquième République du Général de Gaulle, avec 38 % des inscrits. En comptant ceux qui ont voté pour lui à contrecœur, uniquement pour faire barrage à une extrême droite, dont le concept a été créé de toutes pièces par les médias, on peut aisément penser que ce président là ne représente qu’un quart des Français. Et encore, si cette élection est vierge de toute forme de malversation. Les réactions épidermiques de nos concitoyens ont d’ailleurs démarré dès dimanche soir. Si ce qu’a montré Macron de sa gouvernance, au cours des cinq années écoulées, peut laisser augurer du pire pour la nation, en terme de finances publiques, d’immigration, de délinquance, de services publics, de politique sanitaire et de comportements inappropriés, de la part du président et des membres de son gouvernement, il doit être possible de le forcer à une cohabitation à l’Assemblée Nationale, afin que les excès dont il a fait preuve depuis cinq ans puissent être au minimum pondérés, sinon arrêtés. Souvenez vous, quelles que soient les mesures liberticides qu’il pourrait imposer, qu’elles ne s’appliqueront que si une majorité de Français y souscrit : il faudra donc savoir dire non en masse et ne plus bêtement se soumettre à des mesures qui n’ont en aucun cas fait leurs preuves d’efficacité. Rapprochez-vous des partis d’opposition, marquez votre désapprobation à cette élection promotionnée et menée de bout en bout par des médias subventionnés. Il va nous falloir remettre sur le métier le concept gaulliste de l’intérêt de la nation et du peuple, en lieu et place de celui d’une caste et de ses affairistes.
Macron aura été le président le plus mal élu de la cinquième République du Général de Gaulle, avec 38 % des inscrits. En comptant ceux qui ont voté pour lui à contrecœur, uniquement pour faire barrage à une extrême droite, dont le concept a été créé de toutes pièces par les médias, on peut aisément penser que ce président là ne représente qu’un quart des Français. Et encore, si cette élection est vierge de toute forme de malversation. Les réactions épidermiques de nos concitoyens ont d’ailleurs démarré dès dimanche soir. Si ce qu’a montré Macron de sa gouvernance, au cours des cinq années écoulées, peut laisser augurer du pire pour la nation, en terme de finances publiques, d’immigration, de délinquance, de services publics, de politique sanitaire et de comportements inappropriés, de la part du président et des membres de son gouvernement, il doit être possible de le forcer à une cohabitation à l’Assemblée Nationale, afin que les excès dont il a fait preuve depuis cinq ans puissent être au minimum pondérés, sinon arrêtés. Souvenez vous, quelles que soient les mesures liberticides qu’il pourrait imposer, qu’elles ne s’appliqueront que si une majorité de Français y souscrit : il faudra donc savoir dire non en masse et ne plus bêtement se soumettre à des mesures qui n’ont en aucun cas fait leurs preuves d’efficacité. Rapprochez-vous des partis d’opposition, marquez votre désapprobation à cette élection promotionnée et menée de bout en bout par des médias subventionnés. Il va nous falloir remettre sur le métier le concept gaulliste de l’intérêt de la nation et du peuple, en lieu et place de celui d’une caste et de ses affairistes.
☐ 22/4/2022
Dimanche, n’ayez pas peur
Encore une fois, les sondages interrogent. Si Macron est en tête, c’est que les Français ont encore envie d’être insultés, méprisés, confinés, piqués ? Qu’ils ont encore envie de montrer leur téléphone pour aller boire un café, qu’ils ont besoin qu’on leur supprime leurs libertés, leurs droits ? Peut-être qu’ils aiment le bourrage de crâne permanent, les mensonges, les magouilles, les taxes, le gaspillage de leurs impôts, la montée de la délinquance, les violences faites à leur famille, l’augmentation des prix de la nourriture et de l’essence ? Peut-être que ces mêmes Français trouvent qu’il n’y a pas assez de chômage, de migrants, qui zonent dans leurs villes et villages, pas assez de voitures brûlées, d’attaques de voitures de police, dans leurs quartiers périphériques ? Peut-être qu’ils ont aimé masquer leurs enfants, aller trois fois par semaine, faire tester leurs petits dans les pharmacies, les garder à la maison lors des confinements et qu’ils n’apprennent plus rien ? De quoi sont donc atteints mes concitoyens, du syndrome de Stockholm ? Ou sont-ils lobotomisés par cette maudite presse qui chante, comme chaque fois dans l’histoire, les louanges du dictateur ? Nous avons l’occasion de marquer une rupture dans le processus d’asservissement qui nous est imposé, occasion d’autant plus intéressante que d’autres pays en Europe, seront nos alliés dans la rupture : ceux qui ne veulent plus de la caste bruxelloise, non élue, qui négocie secrètement des produits de mort, qui n’ont jamais montré la moindre efficacité, qui transfère nos impôts à des intérêts privés et noie notre Europe historique sous un flot de pique-assiettes, qui n’acceptent pas notre culture. Nous avons une occasion historique de nous débarrasser de nos chaînes, ne la manquons pas. Dimanche, n’ayez pas peur, mettez fin à cinq années de chaos hystérique et retrouvez confiance en l’avenir.
Encore une fois, les sondages interrogent. Si Macron est en tête, c’est que les Français ont encore envie d’être insultés, méprisés, confinés, piqués ? Qu’ils ont encore envie de montrer leur téléphone pour aller boire un café, qu’ils ont besoin qu’on leur supprime leurs libertés, leurs droits ? Peut-être qu’ils aiment le bourrage de crâne permanent, les mensonges, les magouilles, les taxes, le gaspillage de leurs impôts, la montée de la délinquance, les violences faites à leur famille, l’augmentation des prix de la nourriture et de l’essence ? Peut-être que ces mêmes Français trouvent qu’il n’y a pas assez de chômage, de migrants, qui zonent dans leurs villes et villages, pas assez de voitures brûlées, d’attaques de voitures de police, dans leurs quartiers périphériques ? Peut-être qu’ils ont aimé masquer leurs enfants, aller trois fois par semaine, faire tester leurs petits dans les pharmacies, les garder à la maison lors des confinements et qu’ils n’apprennent plus rien ? De quoi sont donc atteints mes concitoyens, du syndrome de Stockholm ? Ou sont-ils lobotomisés par cette maudite presse qui chante, comme chaque fois dans l’histoire, les louanges du dictateur ? Nous avons l’occasion de marquer une rupture dans le processus d’asservissement qui nous est imposé, occasion d’autant plus intéressante que d’autres pays en Europe, seront nos alliés dans la rupture : ceux qui ne veulent plus de la caste bruxelloise, non élue, qui négocie secrètement des produits de mort, qui n’ont jamais montré la moindre efficacité, qui transfère nos impôts à des intérêts privés et noie notre Europe historique sous un flot de pique-assiettes, qui n’acceptent pas notre culture. Nous avons une occasion historique de nous débarrasser de nos chaînes, ne la manquons pas. Dimanche, n’ayez pas peur, mettez fin à cinq années de chaos hystérique et retrouvez confiance en l’avenir.
☐ 22/4/2022
Liquidation avant cessation de République
Macron ose tout et par décret, entre les deux tours, il vient de supprimer le corps diplomatique de la France. Désormais la possibilité est ouverte, pour la nomination des copains comme ambassadeurs. On avait bien remarqué qu’il se tapait ouvertement de la compétence des hauts fonctionnaires, leur préférant ses amis privés, des cabinets privés, notamment McKinsey. Après avoir taillé en pièces l’industrie, la santé, l’école, le voilà qui dissout la diplomatie, à quatre jours du scrutin : impensable. Jamais un président n’a pris de décision aussi lourde de conséquence, à si peu de jours d’une élection. MLP a annoncé qu’elle rétablirait ce corps si elle était élue. En Macronie, on ne cherche ni compétences, ni mérite, on nomme des obligés à la botte. (...) Il va nous mener une guerre ouverte, avec une destruction accrue, en profondeur, des rouages de nos institutions, le placement d’hommes de main à tous les postes clés. Le voilà qui organise tous les ingrédients d’un pouvoir absolu, oligarchique, sans le moindre contre-pouvoir, tel un dictateur, dans un projet fascisant, dont il fait le procès d’intention à son adversaire : un comble. Il n’a de pouvoir que notre capacité à accepter la soumission. Ils sont quelques-uns et nous sommes des dizaines de millions. Il est urgent de se mobiliser en masse et de mobiliser les abstentionnistes, pour mettre en échec, dimanche, le quinquennat de liquidation du pays qui se profile sous nos yeux.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
Macron ose tout et par décret, entre les deux tours, il vient de supprimer le corps diplomatique de la France. Désormais la possibilité est ouverte, pour la nomination des copains comme ambassadeurs. On avait bien remarqué qu’il se tapait ouvertement de la compétence des hauts fonctionnaires, leur préférant ses amis privés, des cabinets privés, notamment McKinsey. Après avoir taillé en pièces l’industrie, la santé, l’école, le voilà qui dissout la diplomatie, à quatre jours du scrutin : impensable. Jamais un président n’a pris de décision aussi lourde de conséquence, à si peu de jours d’une élection. MLP a annoncé qu’elle rétablirait ce corps si elle était élue. En Macronie, on ne cherche ni compétences, ni mérite, on nomme des obligés à la botte. (...) Il va nous mener une guerre ouverte, avec une destruction accrue, en profondeur, des rouages de nos institutions, le placement d’hommes de main à tous les postes clés. Le voilà qui organise tous les ingrédients d’un pouvoir absolu, oligarchique, sans le moindre contre-pouvoir, tel un dictateur, dans un projet fascisant, dont il fait le procès d’intention à son adversaire : un comble. Il n’a de pouvoir que notre capacité à accepter la soumission. Ils sont quelques-uns et nous sommes des dizaines de millions. Il est urgent de se mobiliser en masse et de mobiliser les abstentionnistes, pour mettre en échec, dimanche, le quinquennat de liquidation du pays qui se profile sous nos yeux.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire
☐ 22/4/2022
Début du second tome...
(toute ressemblance avec un personnage existant ne pourrait être que fortuite)
Le voilà tortillé sur sa chaise, en proie à la décompensation du psychopathe, confronté à une réalité qu’il réfute et qui l’accable. Il savait que ça allait être dur, il a pris une bonne dose de cocaïne, qui lui permet de supporter l’épreuve, les deux premières heures du moins. Alors il se blinde, adopte des poses méprisantes, fait son sale gamin, boude ostensiblement, à l’énoncé de chiffres qui le hérissent, alors qu’il sait parfaitement qu’ils sont vrais. Il nie en bloc, ça sonne faux. Le voilà condamné à mal jouer le rôle appris et répété, avec son substitut de mère, lui qui n’a pas grandi suffisamment pour se passer du lien maternel. Il étale sa personnalité poreuse et de guingois, tente de rassembler les morceaux, au prix d’efforts démesurés. Même l’intervenant de service, tout à son boulot, ne peut s’empêcher de lui jeter des regards noirs et l’on devine chez lui, une vague envie de coller une bonne fessée à ce gamin insupportable. Il passe carrément dans la posture machiste, sur le thème, « qu’est ce qu’elle me veut la mégère », devant cette femme refusant obstinément de rentrer dans le rôle d’une mère trop bonne, cédant à tous les caprices de son rejeton. Un comble pour ce prépubère, coincé entre le stade anal et la période du non, à la sexualité encore mal affirmée, navigant entre posture dépressive, amour symbolique maternel incestueux, consommé pourtant, avec le substitut de mère et l’homosexualité exotique, avec des peaux d’ébène. Pitoyable comédie de pitre de foire, se frottant et refrottant le nez, à mesure que passent les effets du rail de poudre blanche. Il termine, abruti et hagard, mettant tout son monde mal à l’aise, mal dégrossi et défaillant dans un choc avec le réel qu’il ne supporte pas.
☐ 6/4/2022
De quoi a-t-il peur ?
Une esquive de plus. Macron ne débattra pas ce soir sur France 2, avec les autres candidats à l’élection présidentielle. On ne va même pas prendre la peine d’écouter ses excuses, on a compris depuis longtemps, qu’il ne voulait pérorer qu’avec un public choisi et des questions préalablement étudiées et décortiquées. Il a peur de quoi ? Affronter des candidats qui vont lui parler d’Alstom, de McKinsey, d’effets secondaires des vaccins, de turpitudes internationales, de bilan économique, de contaminations... Si quelques Français avaient encore des illusions sur ce président-là, les voilà fixés, et les journalistes zélés aussi : il a dit à tout bout de champ : « j’assume » et il n’assume pas. Ultime esquive qui devrait lui être fatale. Est-ce cela un homme d’État ? La France qui a souffert pendant 5 ans doit-elle encore supporter 5 nouvelles années d’humiliations et de risées ? Ce pays mérite mieux qu’un candidat qui tremble à l’idée de devoir débattre de son bilan, de l’avenir qu’il propose et des errements passés. L’encore président, homme de main de McKinsey et porte flingue de l’internationale financière, doit être mis hors jeu dès le 1er tour.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 5/4/2022
Se garder de l’abattement
Les désabusés de la politique, ceux qui désertent les urnes, lassés de voter et de ne rien voir changer, s’en remettent déjà aux sondages bombardés jour et nuit, pour dire que Macron serait forcément réélu. Prétextant le conflit en Ukraine pour lui donner un avantage, alors qu’il n’a servi à rien, et que la France, tout comme le reste de l’Europe, n’est pas menacée.
Ainsi, le fatalisme prend le pas sur l’action, l’abattement se faisant plus fort, voilà ces citoyens érigeant le désespoir en religion, s’avouant vaincus avant même de se battre, laissant leur destin leur échapper, attendant que le couperet tranche le peu de liberté qui leur reste encore. Pourtant ils connaissent le personnage qu’ils installeraient ainsi pour cinq ans de plus à l’Élysée. Il ne se cache pas, a déjà annoncé que « le pire est à venir ». Que leur faut-il de plus ? Voter est encore le seul moyen de sanctionner un homme et une doctrine qui a méprisé le peuple et la nation. Il suffit de glisser un bulletin qui ne porte pas le nom de Macron. Comment croire Macron qui parle de son amour pour la liberté d’expression, fait diffuser de fausses informations, cacher des réalités et fermer les comptes des opposants ? Il ne veut pas débattre, conscient de son bilan moribond et de son absence de perspectives avouables.
L’heure n’est pas à se demander si untel correspond ou pas à l’ensemble de nos aspirations, mais de savoir si on est prêt à subir cinq ans de plus une tyrannie qui ne se cache même plus. Quand la maison brûle l’important est d’éteindre l’incendie, les orientations politiques ou religieuses du pompier sont accessoires. Peu importe qui est en face de Macron, on sait ce qu’il a fait, on ne veut même pas imaginer ce qu’il pourrait faire. Aux urnes Citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
Les désabusés de la politique, ceux qui désertent les urnes, lassés de voter et de ne rien voir changer, s’en remettent déjà aux sondages bombardés jour et nuit, pour dire que Macron serait forcément réélu. Prétextant le conflit en Ukraine pour lui donner un avantage, alors qu’il n’a servi à rien, et que la France, tout comme le reste de l’Europe, n’est pas menacée.
Ainsi, le fatalisme prend le pas sur l’action, l’abattement se faisant plus fort, voilà ces citoyens érigeant le désespoir en religion, s’avouant vaincus avant même de se battre, laissant leur destin leur échapper, attendant que le couperet tranche le peu de liberté qui leur reste encore. Pourtant ils connaissent le personnage qu’ils installeraient ainsi pour cinq ans de plus à l’Élysée. Il ne se cache pas, a déjà annoncé que « le pire est à venir ». Que leur faut-il de plus ? Voter est encore le seul moyen de sanctionner un homme et une doctrine qui a méprisé le peuple et la nation. Il suffit de glisser un bulletin qui ne porte pas le nom de Macron. Comment croire Macron qui parle de son amour pour la liberté d’expression, fait diffuser de fausses informations, cacher des réalités et fermer les comptes des opposants ? Il ne veut pas débattre, conscient de son bilan moribond et de son absence de perspectives avouables.
L’heure n’est pas à se demander si untel correspond ou pas à l’ensemble de nos aspirations, mais de savoir si on est prêt à subir cinq ans de plus une tyrannie qui ne se cache même plus. Quand la maison brûle l’important est d’éteindre l’incendie, les orientations politiques ou religieuses du pompier sont accessoires. Peu importe qui est en face de Macron, on sait ce qu’il a fait, on ne veut même pas imaginer ce qu’il pourrait faire. Aux urnes Citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
☐ 4/4/2022
Benala et quelques autres...
Un certain nombre de cadavres jonchent le quinquennat Macron, à commencer par celui de Benala, l’inénarrable, avec ses passeports diplomatiques et ses accointances à l’étranger. Il s’est permis de snober les sénateurs chargés de l’enquête à son sujet : « Désolé, je ne répondrai pas à vos questions ». Et M’jid El Guerrab, député LREM, mis en examen pour avoir, en 2017, agressé Boris Faure, un membre du Parti Socialiste à coups de casque de moto, avec hémorragie cérébrale à la clé. Des nouvelles de ce monsieur ? Aussi, Lilla Merabet, vice-présidente LREM de la Région Grand Est « en charge de la compétitivité, du numérique et de la filière d’excellence », condamnée à 6 000 € d’amende pour oubli de déclaration de revenus et patrimoine. Mais encore, Jean-Marc Borello, le conseiller social du candidat Macron, délégué national LREM, ancien condamné par la cour d’appel de Paris pour avoir "facilité" le "trafic" et "l'usage de stupéfiants". Puis Mustapha Laabid, député LREM d’Ille et Vilaine, condamné à 6 mois de prison avec sursis, 10 000 € d'amende et 3 ans d'inéligibilité pour abus de confiance. Mais encore, Robert Navarro, sénateur LREM de l'Hérault, ex-condamné pour abus de confiance, pour avoir détourné 85 000 € lors de séjours en famille, billets d'avion, hôtels de luxe et limousines. Également, Claire O'Petit, candidate LREM dans l’Eure, condamnée en appel pour fautes de gestion. Et Alain Griset, ministre délégué chargé des PME, démissionnaire le 8 décembre 2021, condamné à 6 mois de prison avec sursis et à une peine d’inéligibilité de 3 ans, avec sursis, pour la « déclaration incomplète ou mensongère » de sa situation patrimoniale. Agnès Saal, nommée par Macron haut-fonctionnaire à l’égalité, à la diversité, condamnée pour détournement de fonds publics, Jean-Paul Delevoye, « ministre des retraites », condamné pour déclaration incomplète de ses intérêts... la bande à Bonnot peut aller se rhabiller, parce qu’en plus, on ne compte pas les mises en examen. Il est vrai qu’on ne choisit pas sa famille, mais ses amis et collaborateurs...
Un certain nombre de cadavres jonchent le quinquennat Macron, à commencer par celui de Benala, l’inénarrable, avec ses passeports diplomatiques et ses accointances à l’étranger. Il s’est permis de snober les sénateurs chargés de l’enquête à son sujet : « Désolé, je ne répondrai pas à vos questions ». Et M’jid El Guerrab, député LREM, mis en examen pour avoir, en 2017, agressé Boris Faure, un membre du Parti Socialiste à coups de casque de moto, avec hémorragie cérébrale à la clé. Des nouvelles de ce monsieur ? Aussi, Lilla Merabet, vice-présidente LREM de la Région Grand Est « en charge de la compétitivité, du numérique et de la filière d’excellence », condamnée à 6 000 € d’amende pour oubli de déclaration de revenus et patrimoine. Mais encore, Jean-Marc Borello, le conseiller social du candidat Macron, délégué national LREM, ancien condamné par la cour d’appel de Paris pour avoir "facilité" le "trafic" et "l'usage de stupéfiants". Puis Mustapha Laabid, député LREM d’Ille et Vilaine, condamné à 6 mois de prison avec sursis, 10 000 € d'amende et 3 ans d'inéligibilité pour abus de confiance. Mais encore, Robert Navarro, sénateur LREM de l'Hérault, ex-condamné pour abus de confiance, pour avoir détourné 85 000 € lors de séjours en famille, billets d'avion, hôtels de luxe et limousines. Également, Claire O'Petit, candidate LREM dans l’Eure, condamnée en appel pour fautes de gestion. Et Alain Griset, ministre délégué chargé des PME, démissionnaire le 8 décembre 2021, condamné à 6 mois de prison avec sursis et à une peine d’inéligibilité de 3 ans, avec sursis, pour la « déclaration incomplète ou mensongère » de sa situation patrimoniale. Agnès Saal, nommée par Macron haut-fonctionnaire à l’égalité, à la diversité, condamnée pour détournement de fonds publics, Jean-Paul Delevoye, « ministre des retraites », condamné pour déclaration incomplète de ses intérêts... la bande à Bonnot peut aller se rhabiller, parce qu’en plus, on ne compte pas les mises en examen. Il est vrai qu’on ne choisit pas sa famille, mais ses amis et collaborateurs...
☐ 3/4/2022
L’Arena désabusée...
Macron à l’Arena, on ne sait pas trop, des sièges vides, des auditeurs dubitatifs, quelques élans ciblés, de la part de petits groupes de militants pris en gros plan, peu de suiveurs sur les réseaux sociaux. L’immense salle était loin de sa jauge maximale, très loin. Le président, hagard, dans son rôle habituel de bonimenteur, en moins bien que d’habitude. Des considérations philosophiques, se méfier de l’extrême droite, des extrêmes en général. Ne serait-il pas lui l’extrême, après tout ? Lui qui a vendu des bouts de France, confiné, obligé, stigmatisé, emmerdé, qui s’est comporté comme le plus coercitif et le plus méprisant des présidents de la cinquième République. Il a eu deux crises à gérer certes, l’une, des Gilets Jaunes, qu’il a créée de toutes pièces, l’autre, du Covid, qui s’est traduite par un nombre de contaminations et des pertes financières, sans précédent. Les Français ont deux sujets de préoccupation, au premier chef, le pouvoir d’achat : il les a ruinés. Le second : l’immigration : il a fait entrer en France des centaines de milliers d’hommes jeunes, faux réfugiés, vrais pique-assiettes, dont personne ne sait que faire (...). Que le roi se rassure, il plane à 30 % dans les sondages, on se demande comment il fait. Et les commentateurs, tout en faisant mine de ne pas voir le fiasco, répètent désormais tous en boucle, qu’« on n’est pas à l’abri d’une surprise ». Et des surprises, il y en eut : Le Pen au second tour face à Chirac, Balladur, Rocard, Strauss-Kahn, Fillon, tous donnés présidents et jamais élus. Et plus récemment, la gamelle de LREM aux dernières départementales/régionales. Avec son numéro d’acteur sur le retour, il a l’air d’avoir compris que la surprise, cette année, pourrait-être sa chute sans gloire. À moins qu’avec le profil de personnalité très particulier qu’on lui connaît, il n’invente un nouveau stratagème inattendu.
L’anti-gaulliste par excellence
Dans le genre plus c’est gros, plus ça passe, Macron a eu cette déclaration tonitruante à l’Arena : « Notre projet est un projet d’indépendance et de puissance française ». Se rappeler qu’il a permis la vente du cimentier Lafarge aux Suisses, fleuron national qui depuis, a été totalement absorbé par Holcim. Alcatel aux Finlandais. Essilor et PSA sont désormais sous giron italien. Alstom et Technip sont devenus américains, nous faisant perdre au passage des brevets et souverainetés stratégiques civiles et militaires. Engie, EDF et Aéroport de Paris, sont en cours de démantèlement. Égal à lui même, il n’a de cesse de raconter l’exact contraire de ce qu’il fait. Encore cinq ans avec lui et notre pays ne nous appartient plus. Au RPF, nous souhaitons renouer avec le régalien gaulliste, la maîtrise des frontières et des infrastructures, l’aménagement du territoire, la décentralisation et la souveraineté nationale en matière de défense. Cet homme-là, déjà sous Hollande, comme secrétaire général adjoint de l’Élysée, puis ministre, n’aura eu de cesse de dilapider l’héritage gaulliste historique, qui a assuré l'indépendance alimentaire, énergétique et militaire du pays. Pourquoi devrions-nous le croire quand il explique qu’il va réparer ses propres ruines ?
Macron à l’Arena, on ne sait pas trop, des sièges vides, des auditeurs dubitatifs, quelques élans ciblés, de la part de petits groupes de militants pris en gros plan, peu de suiveurs sur les réseaux sociaux. L’immense salle était loin de sa jauge maximale, très loin. Le président, hagard, dans son rôle habituel de bonimenteur, en moins bien que d’habitude. Des considérations philosophiques, se méfier de l’extrême droite, des extrêmes en général. Ne serait-il pas lui l’extrême, après tout ? Lui qui a vendu des bouts de France, confiné, obligé, stigmatisé, emmerdé, qui s’est comporté comme le plus coercitif et le plus méprisant des présidents de la cinquième République. Il a eu deux crises à gérer certes, l’une, des Gilets Jaunes, qu’il a créée de toutes pièces, l’autre, du Covid, qui s’est traduite par un nombre de contaminations et des pertes financières, sans précédent. Les Français ont deux sujets de préoccupation, au premier chef, le pouvoir d’achat : il les a ruinés. Le second : l’immigration : il a fait entrer en France des centaines de milliers d’hommes jeunes, faux réfugiés, vrais pique-assiettes, dont personne ne sait que faire (...). Que le roi se rassure, il plane à 30 % dans les sondages, on se demande comment il fait. Et les commentateurs, tout en faisant mine de ne pas voir le fiasco, répètent désormais tous en boucle, qu’« on n’est pas à l’abri d’une surprise ». Et des surprises, il y en eut : Le Pen au second tour face à Chirac, Balladur, Rocard, Strauss-Kahn, Fillon, tous donnés présidents et jamais élus. Et plus récemment, la gamelle de LREM aux dernières départementales/régionales. Avec son numéro d’acteur sur le retour, il a l’air d’avoir compris que la surprise, cette année, pourrait-être sa chute sans gloire. À moins qu’avec le profil de personnalité très particulier qu’on lui connaît, il n’invente un nouveau stratagème inattendu.
Dans le genre plus c’est gros, plus ça passe, Macron a eu cette déclaration tonitruante à l’Arena : « Notre projet est un projet d’indépendance et de puissance française ». Se rappeler qu’il a permis la vente du cimentier Lafarge aux Suisses, fleuron national qui depuis, a été totalement absorbé par Holcim. Alcatel aux Finlandais. Essilor et PSA sont désormais sous giron italien. Alstom et Technip sont devenus américains, nous faisant perdre au passage des brevets et souverainetés stratégiques civiles et militaires. Engie, EDF et Aéroport de Paris, sont en cours de démantèlement. Égal à lui même, il n’a de cesse de raconter l’exact contraire de ce qu’il fait. Encore cinq ans avec lui et notre pays ne nous appartient plus. Au RPF, nous souhaitons renouer avec le régalien gaulliste, la maîtrise des frontières et des infrastructures, l’aménagement du territoire, la décentralisation et la souveraineté nationale en matière de défense. Cet homme-là, déjà sous Hollande, comme secrétaire général adjoint de l’Élysée, puis ministre, n’aura eu de cesse de dilapider l’héritage gaulliste historique, qui a assuré l'indépendance alimentaire, énergétique et militaire du pays. Pourquoi devrions-nous le croire quand il explique qu’il va réparer ses propres ruines ?
☐ 1/4/2022
Je me marre... Le président candidat a piqué une nouvelle crise. « Si l'extrême droite avait gagné, il y a 5 ans, vous n'auriez pas eu de vaccin parce qu'on serait sorti de l'Europe. » Exact, on n’aurait pas eu cette infâme mixture, qui n’a pas empêché les gens de tomber malades, qui n’a pas empêché la France de battre des records de contaminations, qui a généré un apartheid sanitaire avec un passe inconstitutionnel, qui a produit un nombre impensable d’effets secondaires et qui a permis à des commentateurs de pratiquer en direct et sans risque, l’appel à la haine des non-vaccinés. Et l’encore président d’enchaîner « Vous auriez peut-être eu de l'hydroxychloroquine », celle de Raoult, qui a objectivement aidé des gens et chez qui les politiciens sont allés se faire soigner. Oui, on aurait aimé l’avoir, mais vous l’avez fait supprimer. Et pour finir, le toujours président conclut : « Vous auriez été vacciné en décembre et dévacciné en janvier », bon, alors là, il délire. La dévaccination, c’est comme les formes moins graves, ça n’existe pas, il commence juste à perdre sérieusement les pédales...
Je me marre... Le président candidat a piqué une nouvelle crise. « Si l'extrême droite avait gagné, il y a 5 ans, vous n'auriez pas eu de vaccin parce qu'on serait sorti de l'Europe. » Exact, on n’aurait pas eu cette infâme mixture, qui n’a pas empêché les gens de tomber malades, qui n’a pas empêché la France de battre des records de contaminations, qui a généré un apartheid sanitaire avec un passe inconstitutionnel, qui a produit un nombre impensable d’effets secondaires et qui a permis à des commentateurs de pratiquer en direct et sans risque, l’appel à la haine des non-vaccinés. Et l’encore président d’enchaîner « Vous auriez peut-être eu de l'hydroxychloroquine », celle de Raoult, qui a objectivement aidé des gens et chez qui les politiciens sont allés se faire soigner. Oui, on aurait aimé l’avoir, mais vous l’avez fait supprimer. Et pour finir, le toujours président conclut : « Vous auriez été vacciné en décembre et dévacciné en janvier », bon, alors là, il délire. La dévaccination, c’est comme les formes moins graves, ça n’existe pas, il commence juste à perdre sérieusement les pédales...
☐ 29/3/2022
Affaire McKinsey : la France en danger
McKinsey-France, basé un temps au Delaware, paradis fiscal américain, dont Biden fut le sénateur, aurait créé, gratuitement, le concept « En Marche » dès 2016, pour permettre à Macron d'être élu. Le but étant d’installer à la tête de l'État français, un homme de banque américaine, directement influencé par les États-Unis. L’ascenseur a été largement renvoyé, puisqu’on évoque, désormais, 2,4 milliards d'euros d’argent public, payés à cette instance, qui n’a pas réglé ses impôts en France : une somme partie donc à l’étranger. On retrouve, dans l’entourage de Macron, des gens comme Mathieu Maucort, Haut-Commissaire, Martin Bohmert, « Les jeunes avec Macron » et Etienne Lacourt, membre du comité de direction LREM, pour ne citer qu’eux, qui ont tous en commun d’être des anciens de chez McKinsey. On retrouve McKinsey, dans le conseil à Enron, dont on sait comme cela s’est terminé. McKinsey est également accusé, dans divers pays, de corruption, a collaboré un temps avec Poutine et le régime chinois, est mêlé à l’affaire des opioïdes, dans laquelle on parle de 500 000 morts aux États-Unis. Le même cabinet de conseil coache les gouvernements de 65 pays et 147 des 200 plus grosses entreprises mondiales. On notera que McKinsey a aussi réglé l’élection de Zelensky, pour qui on met l’économie européenne en coupes réglées, soi-disant pour aider l’Ukraine. Cette entreprise de plus de 30 000 collaborateurs, salariés et consultants, règne en maître sur une bonne partie du monde, s’est imposée dans la gestion des campagnes de « vaccination » de divers pays, tout en ayant des intérêts dans les firmes pharmaceutiques et des hommes et femmes à elle, à la tête des pays où elle opère. Dont la France, bien-sûr. Il y a de quoi, largement, soupçonner le président candidat d’intelligence avec une puissance étrangère et de conflit d’intérêt. Il serait bon que le Parquet National Financier fasse preuve d’un peu plus de célérité, les jours de la nation sont en danger et le futur ménage à faire, s’annonce colossal.
☐ 28/3/2022
Pierre Duriot
L'Afghanistan, c'est pas pareil...
Le pouvoir politico-religieux afghan a décidé, contre toute attente, d’interdire l’enseignement secondaire aux jeunes femmes. Il semblait pourtant que nous avions conditionné nos aides financières à quelques progrès sociaux, dont celui-ci. Les féministes n’ont pas poussé de hauts cris, les philosophes non plus, les pays musulmans « modérés » encore moins. On devrait leur couper les aides internationales, décréter un embargo sur leurs produits, ne plus faire atterrir nos avions dans leurs aéroports, rapatrier les occidentaux installés là-bas, supprimer les visas pour leurs ressortissants, les sortir du système bancaire et exiger que ce gouvernement revienne sur sa décision. Mais on ne le fera pas, l’Afghanistan et les femmes de ce pays là, cette cause là, ce n’est pas pareil...
L'Afghanistan, c'est pas pareil...
Le pouvoir politico-religieux afghan a décidé, contre toute attente, d’interdire l’enseignement secondaire aux jeunes femmes. Il semblait pourtant que nous avions conditionné nos aides financières à quelques progrès sociaux, dont celui-ci. Les féministes n’ont pas poussé de hauts cris, les philosophes non plus, les pays musulmans « modérés » encore moins. On devrait leur couper les aides internationales, décréter un embargo sur leurs produits, ne plus faire atterrir nos avions dans leurs aéroports, rapatrier les occidentaux installés là-bas, supprimer les visas pour leurs ressortissants, les sortir du système bancaire et exiger que ce gouvernement revienne sur sa décision. Mais on ne le fera pas, l’Afghanistan et les femmes de ce pays là, cette cause là, ce n’est pas pareil...
Le rassemblement de soutien aux femmes afghanes n'a pas rassemblé grand monde, à Colmar, en septembre dernier.
☐ 27/3/2022
Réaliser, puis éliminer...
Avez-vous bien réalisé ? Il n’est pas complotiste de dire, puisque c’est vérifiable, qu’il y a une clique organisée, en Europe, constituée de politiciens corrompus, manœuvrés par un cabinet de conseils, lui-même émanation de services américains (...). Qui a planifié, via les médias, une grande campagne de « terrorisation » des esprits, autour d’une maladie dont la létalité a été exagérée. Suivie d’un matraquage unique, dans l’histoire moderne, en direction de la prise d’un nouveau médicament, en trois doses encore expérimentales, moyennant 35 milliards de nos impôts, visant à nous épargner une « forme grave » que nous avions moins de 1 % de chance d’attraper. Tout en interdisant aux médecins de nous soigner. Les mêmes ont instauré un apartheid sanitaire impensable, ne reposant sur aucun fondement scientifique, avec un passe sanitaire, puis vaccinal, destiné à empêcher les gens non soumis de vivre et même de se faire soigner. Ils taisent les effets secondaires effrayants de ces produits, pourtant relevés dans l’armée américaine et en Grande-Bretagne, ainsi que dans nos familles et chez nous et nos amis. Ils ont continué, avec la pédagogie de la détestation de la nation russe, ceux qui en 45, ont payé le plus lourd tribut, pour nous libérer du nazisme. Ils érigent en héros, un « artiste », devenu président par la grâce d’une campagne, organisée encore par McKinsey et soupçonné dans les Pandora-Papers, d’avoir blanchi et transféré à son profit, 40 millions de dollars. Ils nous demandent d’accepter, au nom d’un hypothétique soutien à cette marionnette, des augmentations invraisemblables de nos produits de première nécessité. Il n’y a pas de fatalité, à ce que cela continue et cela continue justement, parce que trop de gens souscrivent à cette narration, dont tout nous dit qu’elle n’est que pure construction médiatique et guerre totale, déclarée aux peuples européens. Il faut désormais entrer en conscience. Ils sont une bande de voyous et nous sommes des dizaines de millions. Nous devons retrouver les souverainetés de la nation et du peuple, chères à De Gaulle, virer donc sèchement, dès le premier tour, leur figure de proue en Europe : notre actuel président.
Réaliser, puis éliminer...
Avez-vous bien réalisé ? Il n’est pas complotiste de dire, puisque c’est vérifiable, qu’il y a une clique organisée, en Europe, constituée de politiciens corrompus, manœuvrés par un cabinet de conseils, lui-même émanation de services américains (...). Qui a planifié, via les médias, une grande campagne de « terrorisation » des esprits, autour d’une maladie dont la létalité a été exagérée. Suivie d’un matraquage unique, dans l’histoire moderne, en direction de la prise d’un nouveau médicament, en trois doses encore expérimentales, moyennant 35 milliards de nos impôts, visant à nous épargner une « forme grave » que nous avions moins de 1 % de chance d’attraper. Tout en interdisant aux médecins de nous soigner. Les mêmes ont instauré un apartheid sanitaire impensable, ne reposant sur aucun fondement scientifique, avec un passe sanitaire, puis vaccinal, destiné à empêcher les gens non soumis de vivre et même de se faire soigner. Ils taisent les effets secondaires effrayants de ces produits, pourtant relevés dans l’armée américaine et en Grande-Bretagne, ainsi que dans nos familles et chez nous et nos amis. Ils ont continué, avec la pédagogie de la détestation de la nation russe, ceux qui en 45, ont payé le plus lourd tribut, pour nous libérer du nazisme. Ils érigent en héros, un « artiste », devenu président par la grâce d’une campagne, organisée encore par McKinsey et soupçonné dans les Pandora-Papers, d’avoir blanchi et transféré à son profit, 40 millions de dollars. Ils nous demandent d’accepter, au nom d’un hypothétique soutien à cette marionnette, des augmentations invraisemblables de nos produits de première nécessité. Il n’y a pas de fatalité, à ce que cela continue et cela continue justement, parce que trop de gens souscrivent à cette narration, dont tout nous dit qu’elle n’est que pure construction médiatique et guerre totale, déclarée aux peuples européens. Il faut désormais entrer en conscience. Ils sont une bande de voyous et nous sommes des dizaines de millions. Nous devons retrouver les souverainetés de la nation et du peuple, chères à De Gaulle, virer donc sèchement, dès le premier tour, leur figure de proue en Europe : notre actuel président.
☐ 24/3/2022
McKinsey : la suite
Fillon a sauté pour quelques costumes et des heures de travail fictives. Mais l’affaire McKinsey n’en finit pas de révéler des turpitudes d’une toute autre ampleur, dont les ramifications atteignent le cœur de la nation. Pour les sommes astronomiques que nous connaissons, le cabinet était l’auteur du plan de relance de l’économie française et, plus étonnamment, de l’armée. Quel a donc été son rôle exact concernant notre défense nationale ? Il serait pertinent de connaître l’étendue des informations qui ont été dévoilées et à qui précisément. Le message est clair, les généraux, le ministre, les conseillers militaires, sont donc parfaitement incompétents pour imaginer ce que doit être notre armée de demain. L’inquiétude est à son comble : il n’y a plus de pilote dans l’avion France et ce gouvernement trouve normal de confier à une intelligence étrangère, les clés de l’organisation de notre armée. Poursuivant les révélations, nous découvrons que McKinsey travaillait en même temps pour Véran et Pfizer, et qu’il est à l’origine du « Passe-sanitaire ». Le sénat n’hésitant pas à qualifier cet organisme de « pilier de la stratégie vaccinale ». Comment qualifie-t-on le mélange des intérêts ? Conflit non ? N’est-ce pas suffisant pour débuter une enquête judiciaire et invalider toutes les mesures prises sous l’argument sanitaire, puisque influencées et pilotées par un organisme bien éloigné de la médecine et de la recherche médicale ? « En même temps » qu’il devait organiser la stratégie commerciale de vente des flacons, il organisait la campagne vaccinale. À ceux qui rétorqueraient que le problème n’était pas que français et que tous les pays ont fait la même chose, on pourra leur répondre que McKinsey était à la manœuvre dans plus de soixante pays : d’où les similitudes, qui ne sont pas dues au hasard. Compromissions et manipulations sont bien au centre de ces affaires et on s’étonne que l’ensemble de l’opposition en soit à la fois quasiment muette et passive. À quand l’heure des comptes pour ce gouvernement ? Macron président est intouchable et Macron candidat fait même de la surenchère sur les masques, à quelques jours du scrutin, alors même que sa destitution devrait être à l’ordre du jour.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Fillon a sauté pour quelques costumes et des heures de travail fictives. Mais l’affaire McKinsey n’en finit pas de révéler des turpitudes d’une toute autre ampleur, dont les ramifications atteignent le cœur de la nation. Pour les sommes astronomiques que nous connaissons, le cabinet était l’auteur du plan de relance de l’économie française et, plus étonnamment, de l’armée. Quel a donc été son rôle exact concernant notre défense nationale ? Il serait pertinent de connaître l’étendue des informations qui ont été dévoilées et à qui précisément. Le message est clair, les généraux, le ministre, les conseillers militaires, sont donc parfaitement incompétents pour imaginer ce que doit être notre armée de demain. L’inquiétude est à son comble : il n’y a plus de pilote dans l’avion France et ce gouvernement trouve normal de confier à une intelligence étrangère, les clés de l’organisation de notre armée. Poursuivant les révélations, nous découvrons que McKinsey travaillait en même temps pour Véran et Pfizer, et qu’il est à l’origine du « Passe-sanitaire ». Le sénat n’hésitant pas à qualifier cet organisme de « pilier de la stratégie vaccinale ». Comment qualifie-t-on le mélange des intérêts ? Conflit non ? N’est-ce pas suffisant pour débuter une enquête judiciaire et invalider toutes les mesures prises sous l’argument sanitaire, puisque influencées et pilotées par un organisme bien éloigné de la médecine et de la recherche médicale ? « En même temps » qu’il devait organiser la stratégie commerciale de vente des flacons, il organisait la campagne vaccinale. À ceux qui rétorqueraient que le problème n’était pas que français et que tous les pays ont fait la même chose, on pourra leur répondre que McKinsey était à la manœuvre dans plus de soixante pays : d’où les similitudes, qui ne sont pas dues au hasard. Compromissions et manipulations sont bien au centre de ces affaires et on s’étonne que l’ensemble de l’opposition en soit à la fois quasiment muette et passive. À quand l’heure des comptes pour ce gouvernement ? Macron président est intouchable et Macron candidat fait même de la surenchère sur les masques, à quelques jours du scrutin, alors même que sa destitution devrait être à l’ordre du jour.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 23/3/2022
Nadal : l'ombre d'un doute...
Rafael Nadal, souffrant, a perdu 6-3, 7-6 (7/5) en finale d'Indian Wells contre Taylor Fritz. Sa première défaite en 2022. Il explique : « Comme une aiguille qu'on appuie », sur le côté gauche du haut du corps. Il continue, « J'avais mal. J'ai du mal à respirer. Je ne sais pas si c'est au niveau des côtes... Quand je respire, quand je bouge. Et ce n'est pas seulement la douleur, ça affecte ma respiration », a expliqué l'Espagnol de 35 ans, en conférence de presse, après avoir fait appel au kiné à deux reprises, dans cette finale. La machine Nadal est grippée, avec les mêmes types de symptômes, que ceux qui ont frappé d'autres joueurs vaccinés avec trois doses, même si bien sûr, on ne peut pas tirer de conclusion. « Ce qui me préoccupe, c'est ce qui va se passer, ce que je dois faire pour récupérer et combien de temps ça va prendre », a conclu le champion. Novak Djokovich, le non-vax, trente-cinq ans lui-aussi, vient de récupérer dans un fauteuil, sa place de numéro-1 mondial. Il ne devrait pas regretter son choix.
Nadal : l'ombre d'un doute...
Rafael Nadal, souffrant, a perdu 6-3, 7-6 (7/5) en finale d'Indian Wells contre Taylor Fritz. Sa première défaite en 2022. Il explique : « Comme une aiguille qu'on appuie », sur le côté gauche du haut du corps. Il continue, « J'avais mal. J'ai du mal à respirer. Je ne sais pas si c'est au niveau des côtes... Quand je respire, quand je bouge. Et ce n'est pas seulement la douleur, ça affecte ma respiration », a expliqué l'Espagnol de 35 ans, en conférence de presse, après avoir fait appel au kiné à deux reprises, dans cette finale. La machine Nadal est grippée, avec les mêmes types de symptômes, que ceux qui ont frappé d'autres joueurs vaccinés avec trois doses, même si bien sûr, on ne peut pas tirer de conclusion. « Ce qui me préoccupe, c'est ce qui va se passer, ce que je dois faire pour récupérer et combien de temps ça va prendre », a conclu le champion. Novak Djokovich, le non-vax, trente-cinq ans lui-aussi, vient de récupérer dans un fauteuil, sa place de numéro-1 mondial. Il ne devrait pas regretter son choix.
☐ 23/3/2022
Sondages
Les sondages sont là pour vous indiquer ce que vous devez penser. Il permettent de manœuvrer et d’influencer les opinions, de faire et de défaire, de contrarier des élans et plus un candidat est dangereux, plus les sondeurs s’acharnent sur lui. Souvenez-vous que les politiciens, les sondeurs et les patrons de presse, appartiennent à la même caste, couchent ensemble, ont des enfants ensemble, dont ils sont tous, les uns les autres, les parrains et les marraines, se marient ensemble et sont les témoins de mariage les uns des autres. Et quand ils divorcent, ils se remarient entre eux. Et ça ne date pas d’hier. Ne leur faites pas confiance, faites-vous votre opinion tout seul, en écoutant ce qu’on à dire, les candidats... « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. » Winston Churchill
Les sondages sont là pour vous indiquer ce que vous devez penser. Il permettent de manœuvrer et d’influencer les opinions, de faire et de défaire, de contrarier des élans et plus un candidat est dangereux, plus les sondeurs s’acharnent sur lui. Souvenez-vous que les politiciens, les sondeurs et les patrons de presse, appartiennent à la même caste, couchent ensemble, ont des enfants ensemble, dont ils sont tous, les uns les autres, les parrains et les marraines, se marient ensemble et sont les témoins de mariage les uns des autres. Et quand ils divorcent, ils se remarient entre eux. Et ça ne date pas d’hier. Ne leur faites pas confiance, faites-vous votre opinion tout seul, en écoutant ce qu’on à dire, les candidats... « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. » Winston Churchill
☐ 23/3/2022
Soignants : supercherie à l’embauche
Le gouvernement vient d’annoncer une campagne de recrutement de personnel soignant, ainsi que le développement de l’apprentissage, pour pallier la pénurie d’environ 15 000 professionnels. La raison officielle est à la hauteur des mensonges assénés par ce gouvernement et repris en chœur par une hiérarchie tremblante, médusée, abusée, apeurée... Le métier ne serait plus attractif. Et pour tous les soignants ayant refusé de se faire vacciner, volontairement mis sur la touche et au passage, au ban de la société : pas un regard, pas une main tendue. Ou on se soumet à la volonté du grand timonier ou on est banni pour l’éternité. En allégeant les mesures concernant le passe-vaccinal, il eut été simple, d’officialiser la réintégration de ces personnels ostracisés par le régime. Cette mesure simple et peu coûteuse était cependant impossible, Véran, le Conseil scientifique et Macron, ne pouvant se dédire de la sorte, avouer une erreur, voire une incompétence... Véran s’inquiétait de l’incapacité des établissements de santé à maintenir des lits ouverts faute de soignants, tout en les licenciant, avec un glaçant mépris et en jurant à l’Assemblée nationale, main sur le cœur, découvrir le problème de pénurie et n’y rien comprendre. Jamais un tel recrutement ne permettra d’avoir rapidement du personnel opérationnel, 500 euros de prime à l’embauche ne soulèvera pas les foules non plus. Le théâtre et la supercherie continuent et les lits resteront fermés. Au RPF, nous demandons la réintégration immédiate de l’ensemble des personnels de santé, la levée de toutes les interdictions de pratiquer la médecine pour l’ensemble des spécialités et la fin de l’obligation vaccinale. Le choix éclairé et volontaire doit rester la règle. Et l’arrêt de ces cinq années de terreur.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Soignants : supercherie à l’embauche
Le gouvernement vient d’annoncer une campagne de recrutement de personnel soignant, ainsi que le développement de l’apprentissage, pour pallier la pénurie d’environ 15 000 professionnels. La raison officielle est à la hauteur des mensonges assénés par ce gouvernement et repris en chœur par une hiérarchie tremblante, médusée, abusée, apeurée... Le métier ne serait plus attractif. Et pour tous les soignants ayant refusé de se faire vacciner, volontairement mis sur la touche et au passage, au ban de la société : pas un regard, pas une main tendue. Ou on se soumet à la volonté du grand timonier ou on est banni pour l’éternité. En allégeant les mesures concernant le passe-vaccinal, il eut été simple, d’officialiser la réintégration de ces personnels ostracisés par le régime. Cette mesure simple et peu coûteuse était cependant impossible, Véran, le Conseil scientifique et Macron, ne pouvant se dédire de la sorte, avouer une erreur, voire une incompétence... Véran s’inquiétait de l’incapacité des établissements de santé à maintenir des lits ouverts faute de soignants, tout en les licenciant, avec un glaçant mépris et en jurant à l’Assemblée nationale, main sur le cœur, découvrir le problème de pénurie et n’y rien comprendre. Jamais un tel recrutement ne permettra d’avoir rapidement du personnel opérationnel, 500 euros de prime à l’embauche ne soulèvera pas les foules non plus. Le théâtre et la supercherie continuent et les lits resteront fermés. Au RPF, nous demandons la réintégration immédiate de l’ensemble des personnels de santé, la levée de toutes les interdictions de pratiquer la médecine pour l’ensemble des spécialités et la fin de l’obligation vaccinale. Le choix éclairé et volontaire doit rester la règle. Et l’arrêt de ces cinq années de terreur.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 22/3/2022
À la remorque de l’Allemagne...
On se demande à quoi sont censés servir la diplomatie et la solidarité européennes, avec l’accord conclu hier, dimanche, par l’Allemagne ? Elle ne veut plus dépendre du gaz russe, vu que la Russie est une dictature qui bombarde l’Ukraine et donc, elle passe un accord énergétique avec le Qatar, qui est une dictature monarchique religieuse sunnite, qui bombarde le Yémen. Mais ce n’est pas tout à fait pareil, le Qatar reçoit, pour sa guerre, une aide logistique des États-Unis. Au-delà du fait que les dictatures et les bombardements n’ont pas l’air de tous bénéficier du même traitement, on se demande, à travers ce cavalier seul allemand, si chacun n’est pas obligé de se débrouiller seul, pour contourner les livraisons de gaz russe, qui du reste, n’ont pas cessé, alors que les mesures d’embargo sont normalement prises collectivement. On sait aussi que l’Allemagne se désengage du passage au standard MK3 des hélicoptères de combat Tigre, dans lequel la France et l’Espagne ne vont faire qu’à deux. L’Allemagne se désengage aussi du Rafale et prend des F35, se désengage de l’avion de surveillance maritime européen, du SCAF, futur avion de chasse européen, se désengage encore du spatial, avec une base de lancement en mer du Nord… et bien d’autres. En résumé, l’Allemagne ne joue la carte européenne, que quand ça l’arrange. La diplomatie, la défense, les règles commerciales… tout doit être remis à plat, si on veut faire une Europe souveraine, ou alors, on prend acte des choix unilatéraux des Allemands et on s’en accommode, auquel cas, mieux vaut quitter cette Europe là.
À la remorque de l’Allemagne...
On se demande à quoi sont censés servir la diplomatie et la solidarité européennes, avec l’accord conclu hier, dimanche, par l’Allemagne ? Elle ne veut plus dépendre du gaz russe, vu que la Russie est une dictature qui bombarde l’Ukraine et donc, elle passe un accord énergétique avec le Qatar, qui est une dictature monarchique religieuse sunnite, qui bombarde le Yémen. Mais ce n’est pas tout à fait pareil, le Qatar reçoit, pour sa guerre, une aide logistique des États-Unis. Au-delà du fait que les dictatures et les bombardements n’ont pas l’air de tous bénéficier du même traitement, on se demande, à travers ce cavalier seul allemand, si chacun n’est pas obligé de se débrouiller seul, pour contourner les livraisons de gaz russe, qui du reste, n’ont pas cessé, alors que les mesures d’embargo sont normalement prises collectivement. On sait aussi que l’Allemagne se désengage du passage au standard MK3 des hélicoptères de combat Tigre, dans lequel la France et l’Espagne ne vont faire qu’à deux. L’Allemagne se désengage aussi du Rafale et prend des F35, se désengage de l’avion de surveillance maritime européen, du SCAF, futur avion de chasse européen, se désengage encore du spatial, avec une base de lancement en mer du Nord… et bien d’autres. En résumé, l’Allemagne ne joue la carte européenne, que quand ça l’arrange. La diplomatie, la défense, les règles commerciales… tout doit être remis à plat, si on veut faire une Europe souveraine, ou alors, on prend acte des choix unilatéraux des Allemands et on s’en accommode, auquel cas, mieux vaut quitter cette Europe là.
☐ 21/3/2022
Pouvons-nous lui faire encore confiance ?
Macron est resté égal à lui-même, à Aubervilliers, avec son « programme », prenant soin de considérer les journalistes comme de sombres incultes. Il est allé, dans sa grande mansuétude, jusqu’à leur proposer de ne pas « hésiter à demander des précisions s’ils ne comprenaient pas ». Macron tel que : hautain, imbu de sa personne, hors-sol, cynique. Sur son affiche, il est « avec vous ». Avec qui ? Ceux qu’il veut « emmerder jusqu’au bout », « ceux qui ne sont rien », ou ces ouvrières du textile, « illettrées », ceux encore qui « foutent le bordel » ? On a du mal à le suivre, dans son « en même temps » permanent. Il se sent l’héritier du siècle des lumières, rien que ça, un pur humaniste, qui n’hésite jamais à faire éborgner ceux avec qui il prétend être. Un humanisme version orange mécanique...
Le voilà souverain Européen, liquidant ni plus ni moins, la patrie, dans le magma européen, annonçant presque, la fin officielle de la cinquième république et de sa constitution, qu’il a piétinées, avec l’aide du repris de justice, qui siège au Conseil constitutionnel.
Macron esquive la campagne, ne débat pas, ne se confronte pas à son bilan, ne s’explique pas sur Alstom, ou McKinsey. Il manie le virtuel et l’illusion, nous assomme de mensonges, gesticule en pure perte, sur la scène internationale, s’en sort par la rhétorique, la comédie et le mensonge. Rien n’est plus vrai. Il faut revoir le film de ces cinq ans et ne se poser qu’une question : ce personnage, hautain et méprisant, peut-il nous proposer un avenir et pouvons-nous lui faire à nouveau confiance ? Non... Il faut une vraie rupture. Aux urnes citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Pouvons-nous lui faire encore confiance ?
Macron est resté égal à lui-même, à Aubervilliers, avec son « programme », prenant soin de considérer les journalistes comme de sombres incultes. Il est allé, dans sa grande mansuétude, jusqu’à leur proposer de ne pas « hésiter à demander des précisions s’ils ne comprenaient pas ». Macron tel que : hautain, imbu de sa personne, hors-sol, cynique. Sur son affiche, il est « avec vous ». Avec qui ? Ceux qu’il veut « emmerder jusqu’au bout », « ceux qui ne sont rien », ou ces ouvrières du textile, « illettrées », ceux encore qui « foutent le bordel » ? On a du mal à le suivre, dans son « en même temps » permanent. Il se sent l’héritier du siècle des lumières, rien que ça, un pur humaniste, qui n’hésite jamais à faire éborgner ceux avec qui il prétend être. Un humanisme version orange mécanique...
Le voilà souverain Européen, liquidant ni plus ni moins, la patrie, dans le magma européen, annonçant presque, la fin officielle de la cinquième république et de sa constitution, qu’il a piétinées, avec l’aide du repris de justice, qui siège au Conseil constitutionnel.
Macron esquive la campagne, ne débat pas, ne se confronte pas à son bilan, ne s’explique pas sur Alstom, ou McKinsey. Il manie le virtuel et l’illusion, nous assomme de mensonges, gesticule en pure perte, sur la scène internationale, s’en sort par la rhétorique, la comédie et le mensonge. Rien n’est plus vrai. Il faut revoir le film de ces cinq ans et ne se poser qu’une question : ce personnage, hautain et méprisant, peut-il nous proposer un avenir et pouvons-nous lui faire à nouveau confiance ? Non... Il faut une vraie rupture. Aux urnes citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 17/3/2022
Je me marre… Nicolas Sarkozy va rallier Macron. Ça sous-entend pas mal de trucs. Ils sont de mèche depuis un moment, mais ça, on s’en était aperçu. Il confirme, ce dont il a déjà parlé, qu’il existe bien un groupe d’hommes et de femmes, promoteur d’un ordre mondial contre les peuples, situé au-delà des partis qui s’opposent, mais seulement en théorie. Pécresse va être grillée dans son rôle d’opposante, puisque son copain de parti soutient Macron. Sacré Sarkozy, en rejoignant Macron, il espère que le président, toujours aux manettes, contribuera à limiter ses déboires judiciaires et en même temps, il flingue deux candidats d’un coup : un vrai tueur.
Je me marre… Nicolas Sarkozy va rallier Macron. Ça sous-entend pas mal de trucs. Ils sont de mèche depuis un moment, mais ça, on s’en était aperçu. Il confirme, ce dont il a déjà parlé, qu’il existe bien un groupe d’hommes et de femmes, promoteur d’un ordre mondial contre les peuples, situé au-delà des partis qui s’opposent, mais seulement en théorie. Pécresse va être grillée dans son rôle d’opposante, puisque son copain de parti soutient Macron. Sacré Sarkozy, en rejoignant Macron, il espère que le président, toujours aux manettes, contribuera à limiter ses déboires judiciaires et en même temps, il flingue deux candidats d’un coup : un vrai tueur.
☐ 15/3/2022
☐ 15/3/2022
Retour aux seringues...
L’affaire ukrainienne est pliée. Poutine va peut-être perdre plus d’hommes et de matériel que prévu, mais il va arriver à ses fins. Il y avait bien des laboratoires bactériologiques US en Ukraine et les milices Azov, sont bien nazies. Les Ukrainiens, du moins la partie des Ukrainiens qui soutient le président en exercice, se bat comme elle le peut mais n’a repris aucune des villes occupées par les troupes russes. L’affaire est entendue, les USA vont perdre quelques-uns de leurs intérêts et de leurs avancées de pions, mais ce n’est pas la première fois, ils s’en remettront. Ils ne lèveront pas le petit doigt pour l’Ukraine, qui va passer dans les pertes et profits et ne déclencheront pas une guerre nucléaire dont, de toute façon, personne ne sortirait vainqueur. D’autant qu’en regardant du côté de l’Iran et de la Chine, ça commence à chauffer, un consulat américain vient d’essuyer quelques tirs de missiles. La presse aussi se désengage des combats et fait du migrant, plus porteur, c’est un signe. Et Véran, vu que les regards se détournent de la guerre, revient avec ses piqûres, la quatrième pour les plus de 80 ans. Pourquoi faire ? Contre le Omicron qui n’est qu’un rhume ? En Israël, la quatrième dose a fait des ravages, pourquoi y va-t-on ? Il a un plan. Il se murmure, dans les milieux autorisés, comme disait Coluche, que le passe-vaccinal pourrait être rétabli fin juin et donc, une fois les vacances réservées, il faudra bien faire la quatrième dose pour aller au soleil. À moins que d’ici là, les Français ne se réveillent et ne les arrêtent, dans leurs funestes projets. Eux aussi, sont en guerre… contre nous.
Retour aux seringues...
L’affaire ukrainienne est pliée. Poutine va peut-être perdre plus d’hommes et de matériel que prévu, mais il va arriver à ses fins. Il y avait bien des laboratoires bactériologiques US en Ukraine et les milices Azov, sont bien nazies. Les Ukrainiens, du moins la partie des Ukrainiens qui soutient le président en exercice, se bat comme elle le peut mais n’a repris aucune des villes occupées par les troupes russes. L’affaire est entendue, les USA vont perdre quelques-uns de leurs intérêts et de leurs avancées de pions, mais ce n’est pas la première fois, ils s’en remettront. Ils ne lèveront pas le petit doigt pour l’Ukraine, qui va passer dans les pertes et profits et ne déclencheront pas une guerre nucléaire dont, de toute façon, personne ne sortirait vainqueur. D’autant qu’en regardant du côté de l’Iran et de la Chine, ça commence à chauffer, un consulat américain vient d’essuyer quelques tirs de missiles. La presse aussi se désengage des combats et fait du migrant, plus porteur, c’est un signe. Et Véran, vu que les regards se détournent de la guerre, revient avec ses piqûres, la quatrième pour les plus de 80 ans. Pourquoi faire ? Contre le Omicron qui n’est qu’un rhume ? En Israël, la quatrième dose a fait des ravages, pourquoi y va-t-on ? Il a un plan. Il se murmure, dans les milieux autorisés, comme disait Coluche, que le passe-vaccinal pourrait être rétabli fin juin et donc, une fois les vacances réservées, il faudra bien faire la quatrième dose pour aller au soleil. À moins que d’ici là, les Français ne se réveillent et ne les arrêtent, dans leurs funestes projets. Eux aussi, sont en guerre… contre nous.
☐ 15/3/2022
L’intouchable
Le chef de l’État utilise le compte Tweeter de l’Élysée pour diffuser sa lettre de campagne et se met de facto hors-la-loi. Mais cette loi qui frappe le justiciable anonyme, semble glisser sur l’homme, l’ami du président du Conseil Constitutionnel, Fabius, gardien zélé d’une constitution devenue fantôme et opportunément adaptée aux caprices du président tout puissant. Macron est intouchable, les soupçons, les affaires, les faits, ne sont jamais sanctionnés et la presse n’en parle jamais non plus. Qu’a-t-il fait pour mériter cette forme d’impunité ? Aurait-il gagné une guerre, en Afrique ou en Ukraine ? Ou une guerre intérieure, contre le chômage, la sécurité, l’économie… ? Non, rien et les sondages le donnent déjà vainqueur dans le cœur, ou la résignation, des Français. Macron s’est isolé, enfermé dans sa bulle absolutiste, refusant le débat ouvert, à l’aise uniquement avec des figurants, ou des questions préparées à l’avance. Cassant et méprisant, fuyant et fourbe. Combien de fois a-t-il dit avant de se dédire ? Sa parole n’est pas fiable et sa défense, de l’inversion accusatoire. Pas vraiment de programme, si ce n’est la continuité de la casse entreprise depuis 5 ans, à la solde de ses commanditaires. Le pays dépecé et dilué, dans un espace européen, perd son statut de nation, son identité et son histoire. Il disparaît en tant que pays souverain et indépendant, pour intégrer un vague ordre mondial, dont parlait déjà Sarkozy et auquel personne n’était censé pouvoir échapper. Reconduire Macron, c’est passer de « ceux qui ne sont rien », à « ce pays qui ne sera plus rien ».
L’intouchable
Le chef de l’État utilise le compte Tweeter de l’Élysée pour diffuser sa lettre de campagne et se met de facto hors-la-loi. Mais cette loi qui frappe le justiciable anonyme, semble glisser sur l’homme, l’ami du président du Conseil Constitutionnel, Fabius, gardien zélé d’une constitution devenue fantôme et opportunément adaptée aux caprices du président tout puissant. Macron est intouchable, les soupçons, les affaires, les faits, ne sont jamais sanctionnés et la presse n’en parle jamais non plus. Qu’a-t-il fait pour mériter cette forme d’impunité ? Aurait-il gagné une guerre, en Afrique ou en Ukraine ? Ou une guerre intérieure, contre le chômage, la sécurité, l’économie… ? Non, rien et les sondages le donnent déjà vainqueur dans le cœur, ou la résignation, des Français. Macron s’est isolé, enfermé dans sa bulle absolutiste, refusant le débat ouvert, à l’aise uniquement avec des figurants, ou des questions préparées à l’avance. Cassant et méprisant, fuyant et fourbe. Combien de fois a-t-il dit avant de se dédire ? Sa parole n’est pas fiable et sa défense, de l’inversion accusatoire. Pas vraiment de programme, si ce n’est la continuité de la casse entreprise depuis 5 ans, à la solde de ses commanditaires. Le pays dépecé et dilué, dans un espace européen, perd son statut de nation, son identité et son histoire. Il disparaît en tant que pays souverain et indépendant, pour intégrer un vague ordre mondial, dont parlait déjà Sarkozy et auquel personne n’était censé pouvoir échapper. Reconduire Macron, c’est passer de « ceux qui ne sont rien », à « ce pays qui ne sera plus rien ».
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
☐ 15/3/2022
Que sont-ils allés foutre à Versailles ?
Emmanuel Macron a pu se donner en spectacle à Versailles. Il arborait des airs jubilatoires, devant le défilé des chefs d’État, arrivant comme pour un mariage. Voitures et tapis rouge, comme à Cannes, pour une diplomatie de temps troublés. Viré des pourparlers entre Poutine et Zelensky, où se joue la vraie diplomatie discrète et feutrée, dans les coulisses de la guerre, le président candidat s'est refait la cerise en Roi-Soleil, pour apparaître comme un acteur de premier plan sur la scène internationale. En pleine campagne pour sa réélection, son équipe communique beaucoup, multipliant les publications sur les réseaux sociaux notamment, montrant un chef de l’État préoccupé, en posture de chef de guerre. Quitte à parfois en faire un peu trop. Il est normal qu'il regroupe les chefs d’États européens, il en est le président après tout. Mais que sont-ils tous allés faire à Versailles ? Les locaux européens de Bruxelles sont indisponibles ? Macron et tous les autres, ne pouvaient-ils pas aller à Bruxelles, dans leurs salles dédiées ? 2500 à 2800 FDO, 6 à 8 millions d'euros, dans le plus beau château du monde, des dizaines de bagnoles et d'aéronefs... est-ce bien sérieux quand on demande, dans le même temps, aux Français de moins se chauffer, de moins rouler, d'accepter des taxes exorbitantes qui plombent, plus sûrement que la guerre, le prix des matières premières. On se prend à regretter la frugalité gaulliste, les lieux sommaires et la simplicité des grands hommes, remplacés par des marionnettes du théâtre de Guignol.
Jean-Pierre Clément-Jabouina, secrétaire général délégué du Rassemblement du Peuple Français.
Que sont-ils allés foutre à Versailles ?
Emmanuel Macron a pu se donner en spectacle à Versailles. Il arborait des airs jubilatoires, devant le défilé des chefs d’État, arrivant comme pour un mariage. Voitures et tapis rouge, comme à Cannes, pour une diplomatie de temps troublés. Viré des pourparlers entre Poutine et Zelensky, où se joue la vraie diplomatie discrète et feutrée, dans les coulisses de la guerre, le président candidat s'est refait la cerise en Roi-Soleil, pour apparaître comme un acteur de premier plan sur la scène internationale. En pleine campagne pour sa réélection, son équipe communique beaucoup, multipliant les publications sur les réseaux sociaux notamment, montrant un chef de l’État préoccupé, en posture de chef de guerre. Quitte à parfois en faire un peu trop. Il est normal qu'il regroupe les chefs d’États européens, il en est le président après tout. Mais que sont-ils tous allés faire à Versailles ? Les locaux européens de Bruxelles sont indisponibles ? Macron et tous les autres, ne pouvaient-ils pas aller à Bruxelles, dans leurs salles dédiées ? 2500 à 2800 FDO, 6 à 8 millions d'euros, dans le plus beau château du monde, des dizaines de bagnoles et d'aéronefs... est-ce bien sérieux quand on demande, dans le même temps, aux Français de moins se chauffer, de moins rouler, d'accepter des taxes exorbitantes qui plombent, plus sûrement que la guerre, le prix des matières premières. On se prend à regretter la frugalité gaulliste, les lieux sommaires et la simplicité des grands hommes, remplacés par des marionnettes du théâtre de Guignol.
Jean-Pierre Clément-Jabouina, secrétaire général délégué du Rassemblement du Peuple Français.
☐ 10/3/2022
La facture des écoles
J’étais au micro de RCF-58, pour ma rubrique hebdomadaire sur l’actualité de l’école : La facture des écoles...
Pour les municipalités, la facture du Covid liée aux écoles va être salée. Gel hydro-alcoolique, tests, aménagements divers, pour séparer les élèves, les kilomètres d’essuie-tout, ont ouvert le bal. Ont suivi, les obligations d’aérer toutes les heures, avec, tout l’hiver, les chauffages qui ont tourné à fond tout le temps, pour compenser les fenêtres ouvertes. Il y eut aussi, les détecteurs de gaz carbonique dans les classes et les purificateurs d’air, pas partout. Hélas, les enfants séparés dans les cours de récréation, étaient mélangés à la cantine, mélangés en garderie, mélangés à la sortie de l’école. Pour l’aération, les purificateurs d’air et les détecteurs, des études sérieuses, commandées par des parents d’élèves, ont montré que l’air le plus vicié se situait dans les masques même des enfants, ce qui signifie que garder les fenêtres ouvertes n’a pas servi à grand-chose. À un stade où l’énergie atteint des tarifs prohibitifs, cette mesure va coûter un bras aux maires de France et donc, aux contribuables. On ne cesse de se gratter la tête sur le bien-fondé des mesures prises dans une forme d’hystérie généralisée, mais lors du bilan, les maires et leurs administrés vont ouvrir des yeux ronds et espérer que des épisodes de ce genre ne soient pas traités de cette manière aussi coûteuse, chaque année. Sans compter les frais de personnel pour pourvoir au nettoyage et aux désinfections permanentes qui ont nécessité embauches et heures supplémentaires. Les enfants sont malades parce qu’ils sont des enfants et ils deviennent des adultes résistants, s’ils ont été malades quand ils étaient petits. Il en va du Covid comme des autres maladies et de nombreux intervenants commencent à expliquer que ce Covid va devenir, comme la grippe, une maladie saisonnière, pour laquelle, on espère, les communes ne seront plus obligées de faire avec des consignes relevant de l’irrationalité.
Pour les municipalités, la facture du Covid liée aux écoles va être salée. Gel hydro-alcoolique, tests, aménagements divers, pour séparer les élèves, les kilomètres d’essuie-tout, ont ouvert le bal. Ont suivi, les obligations d’aérer toutes les heures, avec, tout l’hiver, les chauffages qui ont tourné à fond tout le temps, pour compenser les fenêtres ouvertes. Il y eut aussi, les détecteurs de gaz carbonique dans les classes et les purificateurs d’air, pas partout. Hélas, les enfants séparés dans les cours de récréation, étaient mélangés à la cantine, mélangés en garderie, mélangés à la sortie de l’école. Pour l’aération, les purificateurs d’air et les détecteurs, des études sérieuses, commandées par des parents d’élèves, ont montré que l’air le plus vicié se situait dans les masques même des enfants, ce qui signifie que garder les fenêtres ouvertes n’a pas servi à grand-chose. À un stade où l’énergie atteint des tarifs prohibitifs, cette mesure va coûter un bras aux maires de France et donc, aux contribuables. On ne cesse de se gratter la tête sur le bien-fondé des mesures prises dans une forme d’hystérie généralisée, mais lors du bilan, les maires et leurs administrés vont ouvrir des yeux ronds et espérer que des épisodes de ce genre ne soient pas traités de cette manière aussi coûteuse, chaque année. Sans compter les frais de personnel pour pourvoir au nettoyage et aux désinfections permanentes qui ont nécessité embauches et heures supplémentaires. Les enfants sont malades parce qu’ils sont des enfants et ils deviennent des adultes résistants, s’ils ont été malades quand ils étaient petits. Il en va du Covid comme des autres maladies et de nombreux intervenants commencent à expliquer que ce Covid va devenir, comme la grippe, une maladie saisonnière, pour laquelle, on espère, les communes ne seront plus obligées de faire avec des consignes relevant de l’irrationalité.
☐ 8/3/2022
Se garder de l’abattement
Les désabusés de la politique, ceux qui désertent les urnes, lassés de voter et de ne rien voir changer, s’en remettent déjà aux sondages bombardés jour et nuit, pour dire que Macron serait forcément réélu. Prétextant le conflit en Ukraine pour lui donner un avantage, alors qu’il n’a servi à rien, et que la France, tout comme le reste de l’Europe, n’est pas menacée.
Ainsi, le fatalisme prend le pas sur l’action, l’abattement se faisant plus fort, voilà ces citoyens érigeant le désespoir en religion, s’avouant vaincus avant même de se battre, laissant leur destin leur échapper, attendant que le couperet tranche le peu de liberté qui leur reste encore. Pourtant ils connaissent le personnage qu’ils installeraient ainsi pour cinq ans de plus à l’Élysée. Il ne se cache pas, a déjà annoncé que « le pire est à venir ». Que leur faut-il de plus ? Voter est encore le seul moyen de sanctionner un homme et une doctrine qui a méprisé le peuple et la nation. Il suffit de glisser un bulletin qui ne porte pas le nom de Macron. Comment croire Macron qui parle de son amour pour la liberté d’expression, fait diffuser de fausses informations, cacher des réalités et fermer les comptes des opposants ? Il ne veut pas débattre, conscient de son bilan moribond et de son absence de perspectives avouables.
L’heure n’est pas à se demander si untel correspond ou pas à l’ensemble de nos aspirations, mais de savoir si on est prêt à subir cinq ans de plus une tyrannie qui ne se cache même plus. Quand la maison brûle l’important est d’éteindre l’incendie, les orientations politiques ou religieuses du pompier sont accessoires. Peu importe qui est en face de Macron, on sait ce qu’il a fait, on ne veut même pas imaginer ce qu’il pourrait faire. Aux urnes Citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
Se garder de l’abattement
Les désabusés de la politique, ceux qui désertent les urnes, lassés de voter et de ne rien voir changer, s’en remettent déjà aux sondages bombardés jour et nuit, pour dire que Macron serait forcément réélu. Prétextant le conflit en Ukraine pour lui donner un avantage, alors qu’il n’a servi à rien, et que la France, tout comme le reste de l’Europe, n’est pas menacée.
Ainsi, le fatalisme prend le pas sur l’action, l’abattement se faisant plus fort, voilà ces citoyens érigeant le désespoir en religion, s’avouant vaincus avant même de se battre, laissant leur destin leur échapper, attendant que le couperet tranche le peu de liberté qui leur reste encore. Pourtant ils connaissent le personnage qu’ils installeraient ainsi pour cinq ans de plus à l’Élysée. Il ne se cache pas, a déjà annoncé que « le pire est à venir ». Que leur faut-il de plus ? Voter est encore le seul moyen de sanctionner un homme et une doctrine qui a méprisé le peuple et la nation. Il suffit de glisser un bulletin qui ne porte pas le nom de Macron. Comment croire Macron qui parle de son amour pour la liberté d’expression, fait diffuser de fausses informations, cacher des réalités et fermer les comptes des opposants ? Il ne veut pas débattre, conscient de son bilan moribond et de son absence de perspectives avouables.
L’heure n’est pas à se demander si untel correspond ou pas à l’ensemble de nos aspirations, mais de savoir si on est prêt à subir cinq ans de plus une tyrannie qui ne se cache même plus. Quand la maison brûle l’important est d’éteindre l’incendie, les orientations politiques ou religieuses du pompier sont accessoires. Peu importe qui est en face de Macron, on sait ce qu’il a fait, on ne veut même pas imaginer ce qu’il pourrait faire. Aux urnes Citoyens.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
☐ 6/3/2022
Macron joue la montre
Faire semblant d’être accaparé par la guerre en Ukraine, va devoir être la préoccupation majeure du chef de l’État en ce début de campagne. Faire semblant, car il n’a rien à y faire et strictement aucune marge de manœuvre. Poutine ne l’écoute pas, cette guerre ne regarde pas la France et il s’y joue des choses qui dépassent le candidat, président sortant. Faire semblant, car il n’a rien d’autre que cette guerre pour occuper le terrain. L’économie est à bout de souffle, l’école, l’hôpital et les services publics sont à l’agonie, le Covid est fini et va devenir une grippe annuelle, la lassitude vaccinale et les contraintes devenues inutiles, étreignent les Français. Et le bilan diplomatique est apocalyptique, avec le départ sans gloire de la force Barkhane et les humiliations à Moscou. Macron n’a rien pour faire campagne d’autre, que cette maxime qui voudrait qu’on ne change pas de capitaine pendant la tempête. Ça fait mince et si tempête il y a, elle est sur les cadrans des pompes à essence, avec un prix avoisinant les deux euros, alors que le prix du baril est inférieur à celui de 2014. À ce rythme, on se demande comment l’économie va tenir, d’autant que les sanctions infligées à la Russie vont aussi peser sur nous. Macron joue sa dernière carte et tente de faire croire que : « Le contexte international (…) ne me permettra pas, hélas, de faire campagne comme je l’aurais souhaité. » En bref, il sait qu’il est grillé. Que la guerre s’arrête la semaine prochaine et il n’aura plus rien à dire. Il n’est pas sûr que Poutine bombardera jusqu’en avril, pour lui permettre de faire son intéressant à la télé.
Macron joue la montre
Faire semblant d’être accaparé par la guerre en Ukraine, va devoir être la préoccupation majeure du chef de l’État en ce début de campagne. Faire semblant, car il n’a rien à y faire et strictement aucune marge de manœuvre. Poutine ne l’écoute pas, cette guerre ne regarde pas la France et il s’y joue des choses qui dépassent le candidat, président sortant. Faire semblant, car il n’a rien d’autre que cette guerre pour occuper le terrain. L’économie est à bout de souffle, l’école, l’hôpital et les services publics sont à l’agonie, le Covid est fini et va devenir une grippe annuelle, la lassitude vaccinale et les contraintes devenues inutiles, étreignent les Français. Et le bilan diplomatique est apocalyptique, avec le départ sans gloire de la force Barkhane et les humiliations à Moscou. Macron n’a rien pour faire campagne d’autre, que cette maxime qui voudrait qu’on ne change pas de capitaine pendant la tempête. Ça fait mince et si tempête il y a, elle est sur les cadrans des pompes à essence, avec un prix avoisinant les deux euros, alors que le prix du baril est inférieur à celui de 2014. À ce rythme, on se demande comment l’économie va tenir, d’autant que les sanctions infligées à la Russie vont aussi peser sur nous. Macron joue sa dernière carte et tente de faire croire que : « Le contexte international (…) ne me permettra pas, hélas, de faire campagne comme je l’aurais souhaité. » En bref, il sait qu’il est grillé. Que la guerre s’arrête la semaine prochaine et il n’aura plus rien à dire. Il n’est pas sûr que Poutine bombardera jusqu’en avril, pour lui permettre de faire son intéressant à la télé.
☐ 3/3/2022
Pierre Duriot
Ces réfugiés-là, c’est quand même autre chose…
Etonnant le discours des éditorialistes, parlant de l’immigration ukrainienne : « Une immigration de grande qualité, dont on pourra tirer profit. » « Ce sont des européens de culture. » « On ne parle pas de Syriens, on parle d’Européens qui nous ressemblent. » « Les Ukrainiens participent de notre espace civilisationnel et d’autres appartiennent à d’autres civilisations. » Voilà donc les défenseurs inaltérables de l’immigration chance pour la France, se mettre à expliquer doctement que oui, évidemment, les migrants ne sont pas tous les mêmes et que les Ukrainiens, c’est quand même une autre qualité, ma brave dame. Comme quoi, on avait bien raison de penser ce qu’on pense à propos de ceux « qui ne viennent pas de notre espace civilisationnel ». Quand c’est Barbier qui le dit, c’est bien, il est du bon côté du manche, mais si Zemmour dit la même chose, c’est un facho et puis c’est tout...
Ces réfugiés-là, c’est quand même autre chose…
Etonnant le discours des éditorialistes, parlant de l’immigration ukrainienne : « Une immigration de grande qualité, dont on pourra tirer profit. » « Ce sont des européens de culture. » « On ne parle pas de Syriens, on parle d’Européens qui nous ressemblent. » « Les Ukrainiens participent de notre espace civilisationnel et d’autres appartiennent à d’autres civilisations. » Voilà donc les défenseurs inaltérables de l’immigration chance pour la France, se mettre à expliquer doctement que oui, évidemment, les migrants ne sont pas tous les mêmes et que les Ukrainiens, c’est quand même une autre qualité, ma brave dame. Comme quoi, on avait bien raison de penser ce qu’on pense à propos de ceux « qui ne viennent pas de notre espace civilisationnel ». Quand c’est Barbier qui le dit, c’est bien, il est du bon côté du manche, mais si Zemmour dit la même chose, c’est un facho et puis c’est tout...
☐ 3/3/2022
Du sanitaire à la guerre...
La guerre en Ukraine aurait pu faire passer la question sanitaire au second plan. Il n’en est rien : le Covid a disparu des ondes : totalement. Cela signifie que le pays peut gérer cette maladie sans que la presse ne s’en mêle. Ou alors que le Covid a complètement disparu ? Cela signe aussi la surdimension des mesures qui ont été prises. On pourra toujours arguer qu’en l’absence de connaissance de cette maladie, il était logique de décréter des mesures draconiennes. Certes, mais à mesure que la connaissance avançait et que l’on comprenait que la vaccination n’empêchait ni la maladie ni la transmission, ces mesures auraient dû être levées. Il n’en a rien été et cela corrobore cette idée qu’il y avait bien autre chose que la simple gestion sanitaire, en direction d’un fichage des individus. (...)
Du sanitaire à la guerre...
La guerre en Ukraine aurait pu faire passer la question sanitaire au second plan. Il n’en est rien : le Covid a disparu des ondes : totalement. Cela signifie que le pays peut gérer cette maladie sans que la presse ne s’en mêle. Ou alors que le Covid a complètement disparu ? Cela signe aussi la surdimension des mesures qui ont été prises. On pourra toujours arguer qu’en l’absence de connaissance de cette maladie, il était logique de décréter des mesures draconiennes. Certes, mais à mesure que la connaissance avançait et que l’on comprenait que la vaccination n’empêchait ni la maladie ni la transmission, ces mesures auraient dû être levées. Il n’en a rien été et cela corrobore cette idée qu’il y avait bien autre chose que la simple gestion sanitaire, en direction d’un fichage des individus. (...)
☐ 23/2/2022
Je me marre… et en matière de piétinement du droit international, le gouvernement dont Attal est le porte-parole, en connaît un rayon : coups et blessures sur des manifestants pacifiques, arrestations arbitraires, fouilles préventives des voitures, entraves au droit de manifester, jugements expéditifs de Gilets Jaunes, faux policier coupable de coups et blessures, suppression des médicaments utiles, verbalisation des pharmaciens qui vendaient des masques, liquidation des anciens au Rivotril, imposition d’un produit pharmaceutique expérimental, licenciements de soignants sans motif légitime, mise sur la touche de médecins compétents au mépris du serment d’Hippocrate, instauration d’un passe vaccinal contraire aux lois européennes, classement secret défense de banales décisions sanitaires, campagnes de communication mensongères sur l’efficacité des vaccins, tromperie sur les chiffres de la pandémie, sans parler des affaires financières encore en cours. Ce brave Gabriel et sa clique naviguent à vue des rivages de la Corée du Nord, mais ils ont encore un œil sur les dérives de Poutine.
☐ 23/2/2022
Valérie Pécresse a les parrainages, mais pas les voix. Alors, elle fait régner la terreur dans le parti et vire ceux qui parraineraient Zemmour, mais pas ceux qui parrainent Mélenchon. Elle est trotskyste, ou quoi ? Seulement, il y a un vrai écueil à ce que des candidats représentatifs dans la population, comme Zemmour, Le Pen, ou Mélenchon, n’aient pas leurs parrainages, celui de faire peser un risque très lourd sur la représentativité du vainqueur et sur ses chances d’obtenir une majorité à l’assemblée, pour gouverner. Mais avec le cynisme politique actuel, moins de 20 % de représentativité ne semble pas effrayer les candidats bien pensants, l’essentiel est qu’ils aient le trône, pour perpétuer la feuille de route qui rassemble le gouvernement et l’opposition, qui voudrait faire croire qu’elle est l’opposition, mais qui a toujours tout voté, ou presque, avec le gouvernement. Pour parachever le tout, on comptabilise également les parrainages d’un président pas encore candidat, qui promet un meeting, en tant que candidat, ou que président, à Marseille ? Et les maires ne parrainent pas, de peur de perdre les subventions pour leurs villes. Alors ça marche comme cela ? Si un maire pense mal, ses administrés trinquent ? Alors qu’une loi dit que personne ne doit être inquiété pour ses opinions politiques et que tous les citoyens sont égaux devant la loi. Quand on pense que tout ce beau monde se targue de vouloir instaurer la « démocratie » chez les dictateurs africains et se permet de faire la leçon à Poutine : on rêve. Avant, on n’avait pas de pétrole, mais on avait des idées, maintenant on n’a pas de banane, mais on a la République bananière.
☐ 23/2/2022
Se sortir de l’effet des mesures scolaires
Les psychologues et sociologues se sont plongés dans l’analyse des méfaits du masque, des confinements et des contraintes diverses, qui ont frappé enfants et parents au cours des deux dernières années. On savait que les promiscuités avaient engendré des situations de conflit dans les couples et les familles, des tendances suicidaires inhabituelles chez les jeunes, des pertes de capacités sportives dues à trop de sédentarité et des trop pleins d’écrans en tous genres. Côté pédagogie, ce n’est pas très fort non plus. Apprendre à lire avec un enseignant masqué n’est pas idéal. On perd le mouvement des lèvres, l’association du regard et de la voix, l’expression des émotions. Même le son est altéré.
Les effets sont divers, de l’apathie en classe, des niveaux de lecture qui sont inférieurs à d’habitude, une peine pour les enseignants à se faire comprendre et à faire avancer les groupes. Tout cela dans un contexte où les enseignants aussi, ont les mêmes problèmes que leurs concitoyens. Ils ont été confinés, ont été cas contacts, été malades, bien qu’ils soient massivement vaccinés. Au total, entre la peine à enseigner, les peines à apprendre, les fermetures de classes, les absences des enseignants et les successions de remplaçants différents, la tâche n’a pas pu être menée aussi bien que les autres années. Ajoutons à cela la pénurie de personnels spécialisés, dans les réseaux d’aides et chez les psychologues et vous avez un tableau dont on se souviendra longtemps dans les écoles primaires. Reste à savoir quels seront les effets sur le long terme pour la scolarité, de ces deux promotions d’enfants qui ont appris à lire pendant le Covid. Pour s’en sortir, en attendant que l’école puisse reprendre son travail sous sa forme habituelle, il y a quand même des solutions du côté des parents. Ne pas s’improviser enseignant, mais relire avec eux une page du livre de lecture, refaire quelques opérations, mais surtout, utiliser tout ce qui donne envie d’apprendre, jouer à des jeux où l’on additionne des dés, où l’on compte des cases, où on lit des étiquettes. Mais également, courir dans la nature, faire du vélo et jouer au ballon, récupérer toutes ces capacités cardiaques, motrices et cognitives, qui se fabriquent avant 10 ans. Au final, les enfants qui s’en sortiront le mieux sont ceux qui ont des parents qui s’occupent d’eux, mais ça, on le savait déjà…
Les psychologues et sociologues se sont plongés dans l’analyse des méfaits du masque, des confinements et des contraintes diverses, qui ont frappé enfants et parents au cours des deux dernières années. On savait que les promiscuités avaient engendré des situations de conflit dans les couples et les familles, des tendances suicidaires inhabituelles chez les jeunes, des pertes de capacités sportives dues à trop de sédentarité et des trop pleins d’écrans en tous genres. Côté pédagogie, ce n’est pas très fort non plus. Apprendre à lire avec un enseignant masqué n’est pas idéal. On perd le mouvement des lèvres, l’association du regard et de la voix, l’expression des émotions. Même le son est altéré.
Les effets sont divers, de l’apathie en classe, des niveaux de lecture qui sont inférieurs à d’habitude, une peine pour les enseignants à se faire comprendre et à faire avancer les groupes. Tout cela dans un contexte où les enseignants aussi, ont les mêmes problèmes que leurs concitoyens. Ils ont été confinés, ont été cas contacts, été malades, bien qu’ils soient massivement vaccinés. Au total, entre la peine à enseigner, les peines à apprendre, les fermetures de classes, les absences des enseignants et les successions de remplaçants différents, la tâche n’a pas pu être menée aussi bien que les autres années. Ajoutons à cela la pénurie de personnels spécialisés, dans les réseaux d’aides et chez les psychologues et vous avez un tableau dont on se souviendra longtemps dans les écoles primaires. Reste à savoir quels seront les effets sur le long terme pour la scolarité, de ces deux promotions d’enfants qui ont appris à lire pendant le Covid. Pour s’en sortir, en attendant que l’école puisse reprendre son travail sous sa forme habituelle, il y a quand même des solutions du côté des parents. Ne pas s’improviser enseignant, mais relire avec eux une page du livre de lecture, refaire quelques opérations, mais surtout, utiliser tout ce qui donne envie d’apprendre, jouer à des jeux où l’on additionne des dés, où l’on compte des cases, où on lit des étiquettes. Mais également, courir dans la nature, faire du vélo et jouer au ballon, récupérer toutes ces capacités cardiaques, motrices et cognitives, qui se fabriquent avant 10 ans. Au final, les enfants qui s’en sortiront le mieux sont ceux qui ont des parents qui s’occupent d’eux, mais ça, on le savait déjà…
☐ 22/2/2022
Ne pas rester chez soi
Voter est-il encore utile, entend-on. Au prétexte que tout est corrompu et vérolé et que « si voter ça servait à quelque chose, il y a longtemps que ça aurait été supprimé », disait Coluche. Vous proposez quoi d’autre ? Rien, sinon se satisfaire de dire, que ce mauvais président-là, on l’a pas voté. Ça fait court, autant que le nombre dérisoire de voix qui l’ont fait arriver là. Le cynisme des dirigeants actuels fait qu’ ils se fichent d’être élus avec aussi peu de suffrages. L’oligarchie se sert de l’abstention pour se maintenir au pouvoir, qu’importe sa représentativité. La pauvreté de l’offre politique amène à la désertion des urnes et la spirale infernale s’entretient elle-même. Vouloir que tout change en criant dans le désert est irrationnel. Penser aussi qu’en restant chez soi les choses vont spontanément se transformer, est illusoire. Voter n’est plus seulement un droit, mais c’est un devoir pour chasser pacifiquement les tyrans qui ont confisqué le pouvoir. Ce droit de vote a été un long combat depuis 1789 et c’est toute cette histoire que l’abstentionnisme abandonne. Si voter pour des candidats qui ne sont pas à la hauteur de nos espérances, n’est pas la panacée, rester à la maison et attendre le Messie est une pure folie. Il y a encore des hommes et des femmes honnêtes et incorruptibles, ce sont ces personnes-là qu’il faut soutenir et pousser au-devant de la scène. C’est en votant qu’on retrouvera le pouvoir de mettre en place des élus qui nous représentent vraiment. Indéniablement, un droit qui n’est pas utilisé, finit par disparaître.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
Voter est-il encore utile, entend-on. Au prétexte que tout est corrompu et vérolé et que « si voter ça servait à quelque chose, il y a longtemps que ça aurait été supprimé », disait Coluche. Vous proposez quoi d’autre ? Rien, sinon se satisfaire de dire, que ce mauvais président-là, on l’a pas voté. Ça fait court, autant que le nombre dérisoire de voix qui l’ont fait arriver là. Le cynisme des dirigeants actuels fait qu’ ils se fichent d’être élus avec aussi peu de suffrages. L’oligarchie se sert de l’abstention pour se maintenir au pouvoir, qu’importe sa représentativité. La pauvreté de l’offre politique amène à la désertion des urnes et la spirale infernale s’entretient elle-même. Vouloir que tout change en criant dans le désert est irrationnel. Penser aussi qu’en restant chez soi les choses vont spontanément se transformer, est illusoire. Voter n’est plus seulement un droit, mais c’est un devoir pour chasser pacifiquement les tyrans qui ont confisqué le pouvoir. Ce droit de vote a été un long combat depuis 1789 et c’est toute cette histoire que l’abstentionnisme abandonne. Si voter pour des candidats qui ne sont pas à la hauteur de nos espérances, n’est pas la panacée, rester à la maison et attendre le Messie est une pure folie. Il y a encore des hommes et des femmes honnêtes et incorruptibles, ce sont ces personnes-là qu’il faut soutenir et pousser au-devant de la scène. C’est en votant qu’on retrouvera le pouvoir de mettre en place des élus qui nous représentent vraiment. Indéniablement, un droit qui n’est pas utilisé, finit par disparaître.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
☐ 21/2/2022
[Covid] Je me marre… la fable de la « forme moins grave », a la vie dure. Les moins de 40 ans, qui n’ont aucune chance de faire une « forme grave », sont allés chercher dans la piqûre, « une forme moins grave ». Mais alors, moins grave que pas grave, c’est quoi, aurait pu dire le regretté Coluche ? C’est nouveau, ça vient de sortir. Oui, c’est vrai, ça vient de sortir. En 80 ans de vaccins, on ne nous avait encore jamais fait le coup. Ben et quand on a plus de 40 ans alors ? Vacciné ou pas, on fait la même chose, vu que tout le monde termine à l’hôpital et que les vaccinés qui meurent quand même, « ont des comorbidités », précise le législateur. Et comme une fois vacciné, on ne peut scientifiquement plus savoir ce qu’on aurait donné pas vacciné, la fable est bien une fable. Le tout c’est d’y croire et de le rabâcher dans les dîners avec un air de mec qui s’y connaît...
☐ 21/2/2022
Sur cette capture d’écran du site SantéPubliqueFrance, on y voit le nombre des décès exploser chez les 0-9 ans, au cours des 45 derniers jours. Le site précise qu’il s’agit des enfants morts du Covid depuis mars 2020. On peut constater que le nombre de morts des moins de 10 ans est dérisoire durant les années 2020 et 2021, à treize décès en deux ans. Puis, subitement, on passe à 15 décès en 45 jours. Il se trouve, mais c’est sans doute un hasard, que cette période de 45 jours, correspond à l’ouverture de la vaccination aux moins de 10 ans. Et il se trouve aussi, mais c’est également un hasard, que la publicité forcenée pour la vaccination des enfants, a disparu des écrans.
☐ 19/2/2022
Déni de démocratie
Florian Philippot abandonne sa course à la présidentielle, faute d’avoir pu réunir les 500 parrainages nécessaires. Il ne se passe plus un mois sans que nos institutions ne révèlent leurs faiblesses. Un parti fort de quasiment 40 000 adhérents ne participera pas au débat démocratique, parce que les élus ont refusé de le parrainer. Qu’importe leurs motivations, ils avaient en main le pouvoir de la pluralité, ils l’ont détourné, confisqué, soit par peur du qu’en dira-t-on, soit par peur de représailles, quant à de futures subventions. Le système de l’anonymat des parrainages, a non seulement été voulu par le Général de Gaulle, mais surtout voté par le peuple Français, lors d’un référendum, le 6 novembre 1962. La levée de l’anonymat du parrainage sous couvert de transparence, donc d’égalité, aura définitivement verrouillé le système en faveur des mêmes représentants du cénacle autorisé. Comme quoi l’enfer est bien pavé de bonnes intentions. Entre les consignes des grands partis de ne pas parrainer, les peurs d’entrer en conflit avec les administrés, le système est corrompu. Il faut revenir à l’anonymat ou permettre au peuple de donner sa voix au candidat de son choix, avec un nombre de signatures préalablement décidé, déposé au Conseil Constitutionnel, via une plateforme informatique ou par courrier, pour soutenir un candidat. Il est à craindre, qu’à l’instar de Philippot, d’autres candidats grandement représentatifs soient évincés au profit de challengers, « politiquement corrects », qui ont déjà leurs signatures, mais ne pèsent rien en terme d’intentions de votes. La France est malade, il est grand temps de mettre sur la table le problème de nos institutions et de redonner sa souveraineté au peuple.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
Florian Philippot abandonne sa course à la présidentielle, faute d’avoir pu réunir les 500 parrainages nécessaires. Il ne se passe plus un mois sans que nos institutions ne révèlent leurs faiblesses. Un parti fort de quasiment 40 000 adhérents ne participera pas au débat démocratique, parce que les élus ont refusé de le parrainer. Qu’importe leurs motivations, ils avaient en main le pouvoir de la pluralité, ils l’ont détourné, confisqué, soit par peur du qu’en dira-t-on, soit par peur de représailles, quant à de futures subventions. Le système de l’anonymat des parrainages, a non seulement été voulu par le Général de Gaulle, mais surtout voté par le peuple Français, lors d’un référendum, le 6 novembre 1962. La levée de l’anonymat du parrainage sous couvert de transparence, donc d’égalité, aura définitivement verrouillé le système en faveur des mêmes représentants du cénacle autorisé. Comme quoi l’enfer est bien pavé de bonnes intentions. Entre les consignes des grands partis de ne pas parrainer, les peurs d’entrer en conflit avec les administrés, le système est corrompu. Il faut revenir à l’anonymat ou permettre au peuple de donner sa voix au candidat de son choix, avec un nombre de signatures préalablement décidé, déposé au Conseil Constitutionnel, via une plateforme informatique ou par courrier, pour soutenir un candidat. Il est à craindre, qu’à l’instar de Philippot, d’autres candidats grandement représentatifs soient évincés au profit de challengers, « politiquement corrects », qui ont déjà leurs signatures, mais ne pèsent rien en terme d’intentions de votes. La France est malade, il est grand temps de mettre sur la table le problème de nos institutions et de redonner sa souveraineté au peuple.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français au suivi de la vie parlementaire.
☐ 17/2/2022
Petits arrangements entre candidats
Le Rassemblement du Peuple Français a été l’un des premiers à en parler, mais après le rachat récent et ruineux des turbines Arabelle, pièces maîtresses de l’indépendance nucléaire française, la presse commence à envisager l’opération financière sur sa longueur. Avec Macron, ministre, qui en 2014 autorise cette vente, dans laquelle prend part Jérôme Pécresse, mari de Valérie et Patrick Kron d’Alstom. Ces deux derniers vont en tirer des revenus rondelets, qui ne sont un secret pour personne. Il s’avère que le rachat coûte finalement plus cher que la vente et la différence n’est sans doute pas perdue pour tout le monde. On peut ajouter à cela, l’obligation faite par ce président, à EDF, de vendre une part toujours plus importante de sa production à des opérateurs privés, qui la revendent ensuite plus cher aux particuliers, au risque de couler le producteur. Egalement les scandaleuses et mirobolantes subventions publiques faites à l’éolien, notamment en mer. Dès 2011, on y retrouve la famille Pécresse, avec Valérie, nommée ministre du Budget et Jérôme, son mari, promu président d'Alstom Renouvelables, qui vont arriver à initier de gigantesques et juteux projets d’éolien en mer, jusque là, à la peine. La candidate à la présidence et le pas encore candidat, sont raccords sur le juteux business de l’énergie, aux dépends de l’ex-grand service public gaulliste de l’énergie, dont ils ont tiré de beaux profits et qui risque à terme, de se traduire par la disparition pure et simple de l’héritage national, garantissant l’approvisionnement du pays en électricité.
Le Rassemblement du Peuple Français a été l’un des premiers à en parler, mais après le rachat récent et ruineux des turbines Arabelle, pièces maîtresses de l’indépendance nucléaire française, la presse commence à envisager l’opération financière sur sa longueur. Avec Macron, ministre, qui en 2014 autorise cette vente, dans laquelle prend part Jérôme Pécresse, mari de Valérie et Patrick Kron d’Alstom. Ces deux derniers vont en tirer des revenus rondelets, qui ne sont un secret pour personne. Il s’avère que le rachat coûte finalement plus cher que la vente et la différence n’est sans doute pas perdue pour tout le monde. On peut ajouter à cela, l’obligation faite par ce président, à EDF, de vendre une part toujours plus importante de sa production à des opérateurs privés, qui la revendent ensuite plus cher aux particuliers, au risque de couler le producteur. Egalement les scandaleuses et mirobolantes subventions publiques faites à l’éolien, notamment en mer. Dès 2011, on y retrouve la famille Pécresse, avec Valérie, nommée ministre du Budget et Jérôme, son mari, promu président d'Alstom Renouvelables, qui vont arriver à initier de gigantesques et juteux projets d’éolien en mer, jusque là, à la peine. La candidate à la présidence et le pas encore candidat, sont raccords sur le juteux business de l’énergie, aux dépends de l’ex-grand service public gaulliste de l’énergie, dont ils ont tiré de beaux profits et qui risque à terme, de se traduire par la disparition pure et simple de l’héritage national, garantissant l’approvisionnement du pays en électricité.
☐ 15/2/2022
Réentendre la voix du peuple
La tradition gaulliste veut que le peuple soit régulièrement consulté sur les sujets de société les plus cruciaux et les orientations politiques de la nation. Cette pratique s’est peu à peu délitée, pour être définitivement trahie, à l’initiative de Nicolas Sarkozy et des parlementaires qui, en renversant le non du référendum en un oui traître, ont bafoué la voix du peuple. Par cette trahison, les élus montrèrent déjà, à l’époque, leur arrogance et leur dégoût du peuple, ne l’autorisant à s’exprimer que pour les réélire. Le pouvoir a ainsi, plus ou moins été confisqué par une élite autoproclamée, déconnectée et régulièrement corrompue, qui sait brandir sa légitimité populaire si elle se retrouve en difficulté, mais s'abstient d'écouter ses électeurs quand ils émettent une opinion opposée à ses intérêts.
La situation politique de notre nation, n’a plus rien de démocratique, malgré quelques dénis peu crédibles. Elle est même qualifiée de « démocratie défaillante », par des observateurs internationaux. Le pouvoir est devenu tyrannique, soutenu par une partie de la police qui, régulièrement, n’a plus rien de républicaine. Et les Français désemparés, de chercher l’homme providentiel qui saura les sortir de ce bourbier, plutôt que de croire en la solidité de ses institutions. La mise en place d’un système de RIC ou RIP devient cruciale pour rendre la confiance au peuple. Aussi bien d’initiative, que révocatoire ou abrogatoire, ce système devra être incorporé dans nos institutions et sera de nature à donner au peuple la conviction que sa voix peut encore compter dans les destinées du pays.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français
La tradition gaulliste veut que le peuple soit régulièrement consulté sur les sujets de société les plus cruciaux et les orientations politiques de la nation. Cette pratique s’est peu à peu délitée, pour être définitivement trahie, à l’initiative de Nicolas Sarkozy et des parlementaires qui, en renversant le non du référendum en un oui traître, ont bafoué la voix du peuple. Par cette trahison, les élus montrèrent déjà, à l’époque, leur arrogance et leur dégoût du peuple, ne l’autorisant à s’exprimer que pour les réélire. Le pouvoir a ainsi, plus ou moins été confisqué par une élite autoproclamée, déconnectée et régulièrement corrompue, qui sait brandir sa légitimité populaire si elle se retrouve en difficulté, mais s'abstient d'écouter ses électeurs quand ils émettent une opinion opposée à ses intérêts.
La situation politique de notre nation, n’a plus rien de démocratique, malgré quelques dénis peu crédibles. Elle est même qualifiée de « démocratie défaillante », par des observateurs internationaux. Le pouvoir est devenu tyrannique, soutenu par une partie de la police qui, régulièrement, n’a plus rien de républicaine. Et les Français désemparés, de chercher l’homme providentiel qui saura les sortir de ce bourbier, plutôt que de croire en la solidité de ses institutions. La mise en place d’un système de RIC ou RIP devient cruciale pour rendre la confiance au peuple. Aussi bien d’initiative, que révocatoire ou abrogatoire, ce système devra être incorporé dans nos institutions et sera de nature à donner au peuple la conviction que sa voix peut encore compter dans les destinées du pays.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français
☐ 13/2/2022
La campagne déjà à bout d’argument...
Il faut s’arrêter discuter quelques minutes, avec les partisans de Macron, descendus dans la rue avec leurs petits fascicules. Il n’ont pas de bilan à défendre : l’économie, la sécurité, l’immigration, le Covid, ce n’est pas brillant, c’est vrai. En plus, le mieux est de ne trop rien dire, c’est démontable avec tellement de facilité. Non, l’argument béton c’est : « La France est le pays qui a donné le plus d’aide pendant la période Covid ». Là, c’est vraiment à mourir de rire. La France a donné en masse l’argent du contribuable, qu’il va falloir rembourser plus tard, non pas pour lutter contre le Covid, mais pour compenser les mesures complètement débiles déployées en pure perte, plus pour emmerder les Français, que pour des raisons sanitaires. Dernier argument : « Il n’y a personne d’autre ». Oh que si, avec un peu de chance, le premier venu qui aurait un peu de respect pour son pays, ferait à minima, moins pire. On comprend mieux la campagne, du pas encore candidat, basée sur « l’amour » et « l’envie ». Ça va être dur de tenir devant la réalité…
Il faut s’arrêter discuter quelques minutes, avec les partisans de Macron, descendus dans la rue avec leurs petits fascicules. Il n’ont pas de bilan à défendre : l’économie, la sécurité, l’immigration, le Covid, ce n’est pas brillant, c’est vrai. En plus, le mieux est de ne trop rien dire, c’est démontable avec tellement de facilité. Non, l’argument béton c’est : « La France est le pays qui a donné le plus d’aide pendant la période Covid ». Là, c’est vraiment à mourir de rire. La France a donné en masse l’argent du contribuable, qu’il va falloir rembourser plus tard, non pas pour lutter contre le Covid, mais pour compenser les mesures complètement débiles déployées en pure perte, plus pour emmerder les Français, que pour des raisons sanitaires. Dernier argument : « Il n’y a personne d’autre ». Oh que si, avec un peu de chance, le premier venu qui aurait un peu de respect pour son pays, ferait à minima, moins pire. On comprend mieux la campagne, du pas encore candidat, basée sur « l’amour » et « l’envie ». Ça va être dur de tenir devant la réalité…
☐ 10/2/2022
Je me marre… le président, qui ne peut pas pacifier le coin de sa banlieue, s’en va faire son intéressant dans la sainte Russie, pacifier l’Ukraine. Il connaît la musique. Il va chez Trudeau, il fait des bibis à Trudeau. Il va dans les îles, il paluche les iliens. Il va chez Biden, il tripote Biden. Il va chez Ursula, il frotte Ursula. Mais chez le tsar, on ne papouille personne, la méthode ne marche pas. Le patron du Kremlin connaît les penchants de l’énergumène, n’apprécie pas les câlins intéressés et le tient à distance, à n’en point douter, pour le déstabiliser. Il ne discute qu’entre costauds, détenteurs de boutons nucléaires et tout de suite, ça jette un froid.
Non content d’être allé à Moscou pour rien, puisqu’il n’a strictement rien obtenu, il s’y est fait humilier, en étant maintenu, durant toute la visite, à quatre mètres minimum et sans même avoir droit au serrage de louche. Et les éditorialistes rament comme des fous pour essayer de trouver un truc valorisant à dire. Le léchage de bottes, ma brave dame, c’est pas tous les jours facile.
☐ 8/2/2022
Pitoyable presse, une fois de plus, qui sonne la curée contre les grands argentiers de la fin de vie. La voilà qui dénonce pêle-mêle, le fric fait sur le dos des familles, les mauvais traitements, les maigres repas et les contrats de travail bidons. En oubliant sagement de préciser que tout cela se fait sous couvert des Agences régionales de santé, c’est-à-dire du gouvernement, qui supervise à peu près tout, depuis l’octroi des agréments, jusqu’aux embauches des personnels, qui sont même subventionnés par de l’argent public. L’État ne découvre pas les méthodes des grands groupes de l’accueil de la fin de vie, il les accompagne en conscience, depuis des années. On ne peut même pas dire qu’il n’ait pas été prévenu, puisque les alertes de la part des syndicalistes et des familles ont été nombreuses. Mais voilà, les contrôles sont difficiles, les inspecteurs du travail peu nombreux, l’accès aux paperasses compliqué, tout cela d’autant plus que l’on préfère fermer les yeux. L’État ne découvre certes pas, il a accompagné, il est même, n’ayons pas peur des mots, complice, de pratiques insupportables, qui durent depuis des années. Nous le répétons depuis le début de cette pseudo-campagne électorale. Quel que soit le domaine, l’argent public est dispensé sans contrôle et sans vrais comptes. Cet État qui se fait fort de dépister en un temps record, quelques milliers de faux passes-sanitaires, continue à verser des retraites à des gens morts, à subventionner de fausses cartes Vitale et à engraisser des actionnaires amis en regardant ailleurs. Il faudrait, plus que mettre de l’ordre, nettoyer les écuries d’Augias.
☐ 7/2/2022
ARN, sinon, ARN
Les dernières trouvailles légales de Véran laissent dubitatif et on comprend pourquoi le grand public n’a pas été informé plus que cela. Le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021, de gestion de la sortie de crise sanitaire, modifié au 31 janvier 2022, explique que si vous avez reçu le Janssen, vaccin classique, pour compléter votre schéma vaccinal, vous devez avoir une autre dose, mais cette fois-ci, avec un vaccin à ARN, Pfizer ou Moderna, pas le choix, sinon, pas de passe-vaccinal. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Pour ceux qui arriveraient avec un vaccin russe ou chinois, même punition : il faut un autre vaccin, obligatoirement à ARN. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Pour ceux qui ont eu deux doses, n’importe lesquelles, pour la 3ème obligatoire, pareil : ARN. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Pour ceux qui auraient un vaccin étranger peu connu, mais autorisé tout de même par l’OMS : idem : ARN. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Et si vous avez contracté la maladie, cela remplace une dose. Et là encore, il faut au moins, un ARN. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Et cerise sur le gâteau, si vous avez été malade, vous pouvez repousser l’injection, obligatoirement ARN, non plus de six mois, mais de quatre mois. Quelle justification scientifique ? Aucune, c’est comme ça. Soit il a des promesses en espèces sonnantes et trébuchantes, de chez les labos ARN, soit il y a dans ces ARN, des substances qu’on ne connaît pas vraiment, mais que tous les Français doivent impérativement avoir dans leur sang. Jusqu’à plus amples explications.
☐ 7/2/2022
Darmanin : le choix du mensonge
Darmanin, avec cette assertion, donne le ton de la future campagne. Il ne peut ignorer que ce qu’il dit est faux et qu’en plus, la réalité est l’exact contraire de ce qu’il raconte. Macron est à 24 % dans les sondages de ses amis, c’est le chiffre plancher, il doit avoir un genre de contrat avec les sondeurs. Aux dernières départementales/régionales, les listes LREM ont fait 8 % de 40 % de votants. Donc à l’évidence, Macron est plutôt là où le situent des sondages plus fiables, en provenance de l’étranger : 10/12 %. Darmanin le sait et joue la méthode Coué, avec l’aide éternelle de la presse. Non seulement Coué, mais aussi, celle du déni, qui consiste à répéter une contre-vérité en boucle, pour tenter qu’elle s’impose comme une vérité. On passe de l’analyse à la propagande, du bilan au conte pour enfant, de la réalité au fantasme. Darmanin ne choisit pas de quitter la navire en perdition, il préfère continuer à ramer sous l’eau. Le pire est qu’avec le matraquage de la presse subventionnée, la tromperie aggravée et généralisée peut faire recette, tant les Français apparaissent souvent comme anesthésiés et peu conscients de l’ampleur des maux de tous ordres infligés à une nation qui jouera en avril, bien plus qu’une élection, mais sa survie pure et simple. En 1969, Le Général De-Gaulle avait pris acte du Non à son référendum, par 52,41 %. Mais on n’est plus au temps, ni des hommes d’honneur, ni du service de la France. La mission de liquidation et la guerre ouverte contre le peuple, justifient que l’on se maintienne coûte que coûte, même au prix du mensonge éhonté.
☐ 5/2/2022
Dialogue presque imaginaire
- Tu vois mon p’tit Olivier, le passe-vaccinal, il nous emmerde.
- Ah bon, et pourquoi ?
- Ca n’est pas tenable, les autres pays le retirent les uns derrière les autres, on a l’air con.
- Disons, que tu as l’air con…
- Oui, si tu veux, mais on est mal barré, il faut qu’on en sorte, ça se voit qu’il n’a rien de sanitaire.
- Tu n’as qu’à le supprimer, c’est toi qui l’a mis en place ?
- Oui, mais si je le supprime tout de suite, je vais encore avoir l’air con.
- De toute façon, tu ne pourras pas faire une bonne campagne si tu as ce passe dans les jambes, qui emmerde tout le monde et pas seulement les non-vaccinés. Il faudrait que tu le supprimes avant de lancer ta campagne.
- Oui, c’est ça. Et histoire que je n’aie pas l’air trop con, je te charge d’annoncer que tu le supprimes avant l’été.
- Mais, Manu, avant l’été, je ne serai déjà plus ministre de la santé.
- C’est pas le problème, tu vas dire avant l’été et en fait ce sera, avant la présidentielle, donc avant la campagne présidentielle, donc, dans 15 jours, aux vacances d’hiver des parigots.
- Non mais attends, Manu, là, c’est moi qui vais avoir l’air con.
- C’est un peu le but de la manœuvre vois tu, l’air con, je l’ai déjà assez eu comme ça…
- Tu vois mon p’tit Olivier, le passe-vaccinal, il nous emmerde.
- Ah bon, et pourquoi ?
- Ca n’est pas tenable, les autres pays le retirent les uns derrière les autres, on a l’air con.
- Disons, que tu as l’air con…
- Oui, si tu veux, mais on est mal barré, il faut qu’on en sorte, ça se voit qu’il n’a rien de sanitaire.
- Tu n’as qu’à le supprimer, c’est toi qui l’a mis en place ?
- Oui, mais si je le supprime tout de suite, je vais encore avoir l’air con.
- De toute façon, tu ne pourras pas faire une bonne campagne si tu as ce passe dans les jambes, qui emmerde tout le monde et pas seulement les non-vaccinés. Il faudrait que tu le supprimes avant de lancer ta campagne.
- Oui, c’est ça. Et histoire que je n’aie pas l’air trop con, je te charge d’annoncer que tu le supprimes avant l’été.
- Mais, Manu, avant l’été, je ne serai déjà plus ministre de la santé.
- C’est pas le problème, tu vas dire avant l’été et en fait ce sera, avant la présidentielle, donc avant la campagne présidentielle, donc, dans 15 jours, aux vacances d’hiver des parigots.
- Non mais attends, Manu, là, c’est moi qui vais avoir l’air con.
- C’est un peu le but de la manœuvre vois tu, l’air con, je l’ai déjà assez eu comme ça…
☐ 3/2/2022
On se demande au Parisien, quelle est leur logique de pensée ? À moins que l'assertion "les vaccins restent très efficaces", relève du divin et qu'elle ne soit en aucun cas contestable ?
☐ 2/2/2022
7 % dans tes rêves...
Les médias titrent sans vergogne, en ce moment sur ''7 % de croissance'', en 2021, avec Le Maire qui s’autocongratule, tout en concédant que tous les secteurs ne se sont pas relevés. Et pas un journaliste économique sérieux pour arguer que 2020 s’est soldée par un plongeon de 8 %. S’il y a bien 7 % de croissance en 2021, comme le prétend le ministre, sur les deux ans, ça fait quand même -1 % et encore, moyennant un recours massif à la dette, avec le fameux « quoi qu’il en coûte ». Selon les chiffres de l’Insee, la consommation des ménages est d’ailleurs restée relativement timide en 2021 (+ 4,8 %), sans rattraper son niveau d’avant crise. On a peine à croire que l’industrie française puisse atteindre un tel niveau de croissance, plus que les États-Unis et un peu moins que la Chine, quand elle annonce en même temps une augmentation exponentielle des arrêts de travail, un passe et des mesures sanitaires qui ont vidé les restaurants, les salles de spectacle et gravement nuit au tourisme. Le voisin allemand, comme toujours plus pragmatique et bien moins impacté, avec sa gestion plus rationnelle de l’épidémie, donne des signes d’essoufflement, avec un petit +1,4 % de croissance, en 2021 et même un recul de 0,7 % au quatrième trimestre 2021. De la à penser que le gouvernement se fout de nous avec des chiffres trafiqués, on n’oserait pas. A-t-il seulement déjà trafiqué la moindre statistique ?
☐ 1/2/2022
Une semaine et puis rien...
Une semaine de passe-vaccinal déjà. Les contaminations n'ont pas baissé, les écoles ne sont toujours pas pleines de leurs élèves et les restaurants sont vides. Comme quoi, ni la vaccination ni le passe n'auront arrêté l'épidémie, ni servi à quoi que ce soit, comme le racontent plusieurs médecins sérieux. Et Toubiana de nous expliquer, preuves à l'appui, que le pire de l'épidémie, en mars 2020, était 4 à 5 fois moins important qu'une épidémie de grippe ordinaire, pour laquelle on ne faisait strictement rien de spécial. La supercherie est donc totale et tout cela aura été du vent... sauf les effets secondaires graves, dont désormais quasiment tout le monde a connaissance dans son entourage. Sauf peut-être ceux qui ont décidé de ne vraiment pas voir. On se demande seulement combien de temps il va falloir, avant de faire les comptes de tout cela.
Une semaine de passe-vaccinal déjà. Les contaminations n'ont pas baissé, les écoles ne sont toujours pas pleines de leurs élèves et les restaurants sont vides. Comme quoi, ni la vaccination ni le passe n'auront arrêté l'épidémie, ni servi à quoi que ce soit, comme le racontent plusieurs médecins sérieux. Et Toubiana de nous expliquer, preuves à l'appui, que le pire de l'épidémie, en mars 2020, était 4 à 5 fois moins important qu'une épidémie de grippe ordinaire, pour laquelle on ne faisait strictement rien de spécial. La supercherie est donc totale et tout cela aura été du vent... sauf les effets secondaires graves, dont désormais quasiment tout le monde a connaissance dans son entourage. Sauf peut-être ceux qui ont décidé de ne vraiment pas voir. On se demande seulement combien de temps il va falloir, avant de faire les comptes de tout cela.
☐ 26/1/2022
Il est beaucoup question de blouse d’écolier, mais c’est bien d’un retour aux fondamentaux dont il est question. À savoir si l’école prend en charge l’éducation, ou l’instruction. Elle ne devrait prendre en charge, justement, que l’instruction, mais s’est arrogée, pour des motifs bassement électoraux, l’éducation, histoire de dire aux électeurs, n’en faites rien, l’école et l’État, s’occupent de tout. Certains trouvent très bien que l’école s’occupe de tout et se plaignent quand ça ne leur convient pas et d’autres, au contraire, aimeraient assez que l’école ne vienne pas mettre son nez dans l’éducation dont ils ont la charge et préféreraient que l’école assure un peu mieux l’instruction. Ceux là mettent d’ailleurs souvent leurs enfants dans le privé. Et il y a la réalité : l’instruction n’est pas vraiment assurée et l’éducation non plus. Les enquêtes internationales situent les élèves français dans un ventre mou du classement, avec des pays bien moins développés que la France. Et question éducation, le maintien de la discipline est devenu le problème majeur des enseignants et un motif récurrent d’abandon de la profession. Et on ne parle même pas des secteurs sensibles... Un problème que l’État connaît parfaitement pour proposer une prime aux enseignants qui resteraient dans le 93. À vouloir se charger du four et du moulin, on n’assure finalement, ni le four, ni le moulin. Et les heures d’apprentissages fondamentaux ont objectivement diminué. Elles sont remplacées par la nutrition, les questions sanitaires, la lutte contre l’homophobie, le tri sélectif des déchets, la prévention routière et bien d’autres choses encore. Toujours est-il que la matière grise et l’excellence se raréfient et que l’industrie s’en ressent, la recherche également et tout un tas d’autres secteurs, en panne de main d’œuvre diplômée, ou titulaire de diplômes dévalorisés. Oui, derrière cette blouse symbolique, il va falloir remettre sur la table, la question du niveau scolaire, même si cela fait un peu vieux jeu.
☐ 26/1/2022
Dans un communiqué publié ce mardi 25 janvier 2022, l’Académie de médecine recommande la vaccination contre le Covid-19, pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, alors que les contaminations quotidiennes explosent, avec la vague Omicron, dans un pays déjà majoritairement vacciné. La vague d'Omicron montre justement toute l'inutilité de la vaccination et on se demande à quoi joue l'Académie de médecine, en préconisant de vacciner les enfants, avec un produit encore expérimental, pour les protéger de ce qui est reconnu comme l'équivalent d'un rhume.
☐ 25/1/2022
Un chat est un chat...
Début 2021, ceux qui parlaient du passe-vaccinal pour accéder à de nombreux établissements, étaient de dangereux complotistes. Début 2022, ceux qui s’opposent au passe-vaccinal, entré en vigueur aujourd’hui, sont de dangereux complotistes. Il ne faut pas, paraît-il, comparer ce passe, à l’apartheid, ou au statut des juifs, édicté le 03 octobre 1940, ce ne serait pas « politiquement correct ». Ah oui, et pourquoi donc, ne devrait-on pas le faire ? Parce que ceux qui ont promu cette disposition se sont auto-proclamés, les « bons », agissant pour, « notre bien » ? En 1940 aussi, ceux qui ont promulgué le statut des juifs, s’étaient auto-proclamés, les « bons » et agissaient au nom du « bien ». Et à cette époque, le statut des juifs était aussi légal que l’est aujourd’hui, le statut des non-vaccinés. Et curieusement, ils sont privés des mêmes choses : restaurants, théâtres, cinémas, piscines et comme eux, de l’accès à certains métiers. N’ayons pas peur de la dire, la similitude est totale, beaucoup de non-juifs de l’époque, trouvaient cela normal, et beaucoup de vaccinés trouvent cela normal aujourd’hui. N’ayons donc pas peur d’appeler un chat, un chat et un Etat nazi, un Etat nazi. Les complotistes avaient raison avant les autres et les Nazis qui s’en défendent, sont bien des Nazis, qu’ils l’acceptent ou non. C'est cela que nous combattons, au RPF.
Début 2021, ceux qui parlaient du passe-vaccinal pour accéder à de nombreux établissements, étaient de dangereux complotistes. Début 2022, ceux qui s’opposent au passe-vaccinal, entré en vigueur aujourd’hui, sont de dangereux complotistes. Il ne faut pas, paraît-il, comparer ce passe, à l’apartheid, ou au statut des juifs, édicté le 03 octobre 1940, ce ne serait pas « politiquement correct ». Ah oui, et pourquoi donc, ne devrait-on pas le faire ? Parce que ceux qui ont promu cette disposition se sont auto-proclamés, les « bons », agissant pour, « notre bien » ? En 1940 aussi, ceux qui ont promulgué le statut des juifs, s’étaient auto-proclamés, les « bons » et agissaient au nom du « bien ». Et à cette époque, le statut des juifs était aussi légal que l’est aujourd’hui, le statut des non-vaccinés. Et curieusement, ils sont privés des mêmes choses : restaurants, théâtres, cinémas, piscines et comme eux, de l’accès à certains métiers. N’ayons pas peur de la dire, la similitude est totale, beaucoup de non-juifs de l’époque, trouvaient cela normal, et beaucoup de vaccinés trouvent cela normal aujourd’hui. N’ayons donc pas peur d’appeler un chat, un chat et un Etat nazi, un Etat nazi. Les complotistes avaient raison avant les autres et les Nazis qui s’en défendent, sont bien des Nazis, qu’ils l’acceptent ou non. C'est cela que nous combattons, au RPF.
☐ 22/1/2022
Réformer un Conseil sous conflit d’intérêt
Le conseil constitutionnel vient de valider le passe-vaccinal de la honte, passant par-dessus les mêmes réserves qu’il avait cru bon d’instaurer, il y a quelques mois à peine. Fallait-il croire en cette institution, présidée par un repris de justice, ayant du sang sur les mains ? Son fils est directement impliqué dans la campagne de vaccination par l’intermédiaire du controversé cabinet McKinsey. Le Sénat vient d’ailleurs, de dévoiler des liens troublants et contraire à toute déontologie démocratique. Ce conseil Constitutionnel s’est parjuré. Fabius n’a même pas eu le sursaut d’honnêteté de rejeter cette loi, dont inconstitutionnalité apparaît évidente. Il a choisi l’allégeance sans borne à Macron, ou a ses maîtres. Castex n’en doutait pas, annonçant même l’application de sa loi avant le verdict du Conseil.
Il y a bien faillite de nos institutions et il faudra, par l’alternance démocratique, recréer une vraie cour de justice constitutionnelle, non corruptible. Avec des membres, non plus désignés par le pouvoir, mais tiré au sort parmi les magistrats et les avocats, avec sans doute des représentants du peuples également tirés au sort.
Le prochain scandale sanitaire sera celui des effets secondaires des vaccins, dont tous nos voisins s’inquiètent à présent, une nouvelle affaire de sang contaminé, avec qui dans le box des accusés et pour quelles peines ?
Gilles La Carbona, membre du Rassemblement du Peuple Français
☐ 22/1/2022
C’est pas moi, m’sieur
Faute de pouvoir reconnaître des erreurs, dans la gestion du Covid. Faute d’intégrer l’évidence, à savoir que les contaminations explosent et montrent l’inutilité des vaccins et ce, très probablement depuis le début. Faute de pouvoir admettre que les effets secondaires sont très nombreux et frappent dans quasiment toutes les familles. Le gouvernement s’enfonce dans ses mensonges, quitte à produire un narratif hors-sol, qui suscite les moqueries de Boris Johnson et les huées de Bruxelles. Castex s’accroche aux contrevérités, maintient un passe vaccinal dont on sait déjà qu’il ne servira à rien, puisque les autres l’abandonnent sagement. A-t-on déjà pris avant, un médicament ou un vaccin, pour les autres ? Peut-on encore s’accrocher au miracle de l’évitement de la « forme grave », alors que des concitoyens vaccinés meurent à l’hôpital ? Et le même de proposer un passe aux non-vaccinés, dès la première dose. Il signe ainsi la reconnaissance de l’inutilité de tout le fatras de mesures et de communications démentielles. À quoi servent, sur le plan sanitaire, les doses suivantes, si le passe est possible dès la première ? D’autres pays distribuent de l’Ivermectine, de l’Azythromicine et du zinc, en un mot : soignent. L’incapacité à faire amende honorable, les fait plonger dans l’irrationnel et craindre ce groupe de millions de personnes non vaccinées, qui va apparaître comme un témoin gênant, dans les statistiques futures, mais également, comme un réservoir indispensable de sang sain. Nous avons, à la manœuvre, un spécialiste du sang contaminé : il sera bientôt rejoint, sous la bannière « responsable, mais pas coupable ». Le compte à rebours est enclenché désormais, avant désintégration en vol et dieu sait, de quelle infamie ils seront encore capables, avant d’exploser.
☐ 21/1/2022
Militaires et gendarmes possiblement mutés
Militaires et gendarmes, ne sont pas épargnés par la folie vaccinale du gouvernement, alors même que les contaminations vont bon train dans un pays déjà hyper-vacciné, rendant évidente l’inutilité de ces piqûres à répétition. Ils ont donc été obligés de satisfaire à une 3ème dose avant le 15 janvier 2022 sous peine d'être considérés non vaccinés. Les résistants seraient 3% en gendarmerie. Et l’État employeur ne les épargne pas. Témoin, cet officier relevé de son commandement opérationnel de Langon, en Gironde, pour un refus de vaccination contre le Covid-19 et muté sur un poste sans contact avec le public. Dix jours d'arrêt, puis mutation vers la Direction générale de la gendarmerie à Paris. Ceci au mépris de l'article L4121-5 du code de la défense qui précise que doivent être prises en compte, les modalités personnelles du gendarme, le travail de son épouse, la scolarisation de ses enfants, la propriété, par exemple. On ne sait, par contre, si le même État va prendre en charge les effets secondaires liés aux vaccins, lesquels seront immanquablement du même ordre que ceux observés dans la population générale, nombreux selon les observateurs, marginaux selon le ministre...
Militaires et gendarmes, ne sont pas épargnés par la folie vaccinale du gouvernement, alors même que les contaminations vont bon train dans un pays déjà hyper-vacciné, rendant évidente l’inutilité de ces piqûres à répétition. Ils ont donc été obligés de satisfaire à une 3ème dose avant le 15 janvier 2022 sous peine d'être considérés non vaccinés. Les résistants seraient 3% en gendarmerie. Et l’État employeur ne les épargne pas. Témoin, cet officier relevé de son commandement opérationnel de Langon, en Gironde, pour un refus de vaccination contre le Covid-19 et muté sur un poste sans contact avec le public. Dix jours d'arrêt, puis mutation vers la Direction générale de la gendarmerie à Paris. Ceci au mépris de l'article L4121-5 du code de la défense qui précise que doivent être prises en compte, les modalités personnelles du gendarme, le travail de son épouse, la scolarisation de ses enfants, la propriété, par exemple. On ne sait, par contre, si le même État va prendre en charge les effets secondaires liés aux vaccins, lesquels seront immanquablement du même ordre que ceux observés dans la population générale, nombreux selon les observateurs, marginaux selon le ministre...
☐ 16/1/2022
Très cher détecteur...
Les détecteurs de CO2 sont la marotte des covidistes. Pour prendre soin des enfants, il faut en mettre dans toutes les classes. Les détecteurs sont donc là, sur l’armoire, affichant un taux à peu près normal de 500 particules par million et quand le seuil atteint 1000 particules par million, branle-bas de combat, ça ne rigole pas, les gosses sont en danger : risques de vomissements et maux de tête. On ouvre alors les fenêtres et on aère, avec de l’air de l’extérieur, à 500 particules par million. Vous allez me dire, mais quand on sort et qu’on respire l’air qu’on fait rentrer, il faut quand même mettre un masque. Là où c’est le plus drôle, c’est que quand on met le détecteur directement sous le masque du gamin, il affiche la bagatelle de 5000 particules par million, autrement dit, le petit s’asphyxie avec l’air qu’il re-respire en permanence. En plus d’être totalement incohérentes, vu que les enfants ne risquent pas de formes graves, on ne le dira jamais assez, ces mesures relèvent de l’empoisonnement et on ne peut pas penser une seule seconde que les décideurs ne soient pas au courant. Pour couronner le tout, vu que les chauffages fonctionnent avec des thermostats et qu’on aère dix fois par jour, les chaudières tournent en permanence, avec le prix écologique que l’on connaît, le prix tout court, que l’on connaît aussi et bien sûr, les émissions de CO2. Alors, heureux ?
☐ 14/1/2022
L’évidence s’impose...
L'Espagne s'apprête à revenir à un mode de fonctionnement social et sanitaire normal, considérant que le covid est maintenant une maladie endémique peu dangereuse, assimilable à une grippe. Aux États-Unis, la décision de l'administration Biden de rendre le vaccin obligatoire dans les entreprises a été annulée. L'OMS critique la stratégie des États de piquer les populations trois ou quatre fois par an. En France, la Justice annule l'arrêté préfectoral visant à rendre le masque obligatoire en extérieur à Paris. Au Danemark, un grand journal s'excuse auprès de son lectorat d'avoir été « absorbé de façon presque hypnotique », par les discours des autorités pendant deux ans. Peut-être entrevoit-on la fin de cet épisode invraisemblable de délire collectif. Car il faut se rendre à une évidence, énoncée par Raoult : Le vaccin ne sert à rien. Il n’a pas su endiguer la propagation. N’a pas sauvé les personnes âgées. Les vaccinés deux et trois doses sont malades exactement de la même manière que les autres. La forme moins grave est un fantasme scientifiquement invérifiable. Les pays les plus vaccinés sont aujourd’hui les plus contaminés et la France est championne du monde. La réalité s’impose quoi qu’on y fasse. La seule action concrète des vaccins aura été le transfert de plus de 30 milliards d’euros d’argent public vers des intérêts pharmaceutiques privés, sans compter le prix des tests. Au mieux, c’est un produit inutile. Au pire, les effets secondaires, déjà nombreux, sont encore devant nous. Oui, il y a eu un délire irrationnel.
☐ 13/1/2022
Je me marre… Christian Estrosi et sa femme, malades, s’en étaient allés garer la moto chez Raoult, le priant de les soigner avec de l’Hydroxychloroquine. Ce que le vieux druide avait exaucé, avec sagesse et dont l’édile s’était vanté, se pavanant dans Nice et chantant les louanges de son copain médecin, qu’il avait, lui. Voilà le même, finalement vacciné, ou vacciné dans l’évier, qui veut, sans honte, priver les non-vaccinés de subsides d’État et pourquoi pas les déporter, pendant qu’il y est. Un élu RN aurait dit la moitié de ça, qu’il se serait fait taxer de facho. Mais Estrosi peut se permettre de dire n’importe quoi, il est du bon côté du guidon. Là-dessus, voilà Véran rattrapé par le virus. Surtout Olivier, n’essayez ni la Chloroquine, ni l’Ivermectine, ce sont des poisons, vous le savez bien, vous les avez interdits. Prenez un Doliprane et hop, ça ira bien mieux. De toute façon, à trois doses, on ne fait pas de forme grave et si on en fait, on n’en meurt pas et si on en meurt, on va direct au paradis…
☐ 11/1/2022
Les profs en ont marre
Trois protocoles par semaine, des enfants qui doivent être testés trois fois en cinq jours, des files d’attente devant les pharmacies, dans le froid. Les parents s’agacent, les enfants s’impatientent. Les petits en ont marre qu’on leur enfonce des trucs dans le nez, ils crient, se débattent, hurlent. Les parents n’arrivent pas à les calmer, les pharmaciens non plus. Les parents passent leurs nerfs sur les enfants, sur les pharmaciens, sur les enseignants. Les enseignants pestent, ne savent plus à quel saint se vouer, ne savent plus quel règlement s’applique, passent leur temps au téléphone, à gérer un truc qu’ils ne comprennent pas eux-mêmes, que personne ne comprend, en fait. Les enseignants aussi sont malades, mais pas toujours, des fois ils sont consignés, juste parce qu’ils sont cas contact. Résultats, la pénurie de professeurs est là et les remplaçants n’y suffisent plus. Des maîtres spécialisés font du remplacement, des conseillers pédagogiques aussi, mais tout ça n’est pas très administrativement réglementaire et se fait par téléphone. Un genre de démerde qui se passe bien, tant que tout se passe bien, mais qu’arrivera t-il en cas de pépin professionnel, avec un enseignant qui n’est pas là où il devrait être et qui fonctionne sans ordre écrit ? Ce n’est plus de la gestion, c’est de l’improvisation, tout le monde le reconnaît et se tourne vers le ministère, qui change une fois de plus le protocole, mais sans trop le changer, histoire de calmer les colères, qui ne se calment pas. Tout le monde en a marre, très marre et les enseignants font grève, jeudi 13 janvier. Tout ceci alors que l’immense majorité d’entre eux est vaccinée et que les élèves ne risquent que des formes bénignes. A quoi tout cela rime-t-il, sinon, comme le dit le président dans une phrase qui devrait rester tristement célèbre : à emmerder.
☐ 6/1/2022
Le gouvernement travaille dur sur nos conditions sanitaires. Les élèves ne peuvent plus passer leurs examens. Les parents d’élèves font la queue devant les pharmacies, pour assurer trois tests en une semaine, pour les enfants de primaire. Les vaccinés sont tenus de respecter les gestes barrières, parce qu’ils peuvent contracter et transmettre. Les non vaccinés, qui ne vont plus nulle part, sont censés contaminer les vaccinés qui eux, sont censés être protégés. Les jauges dans les stades de foot sont réduites à 5000, mais les 5000 sont tous agglutinés au même endroit, comme à Bollaert. Les bateaux de croisière, dans lesquels tout le monde est vaccinés, se retrouvent interdits d’accoster en raison des contaminations à bord. Et les députés, à l’instigation du patron, votent un passe vaccinal, tout en reconnaissant que le vaccin n’empêche pas de contaminer, mais ne protège que des formes graves, ce qui est scientifiquement invérifiable. Et Castex en est déjà à la quatrième dose : alors heureux ? Tous ces gens là sont arrivés, sous emprise, à ne plus voir l’immense absurdité de ce qu’ils votent, de ce qu’ils racontent. Raoult parle d’un truc inouï, il a raison. A l’issue d’un retour brutal de la réalité, d’ici peu, certains diront comme toujours, à l’issue des catastrophes : « Je ne pouvais pas savoir ». Si justement, ils pouvaient savoir et nous aussi, saurons nous en souvenir le jour des échéances.
☐ 5/1/2022
INDIGNE...
Macron a tort de penser qu’il s’appuie sur une large majorité de Français, quand il parle « d’emmerder les non-vaccinés ». Dans les vaccinés, beaucoup y sont allés à contrecœur et ne le soutiennent pas. Beaucoup n’iront pas à la troisième dose et seront considérés comme non-vaccinés rapidement. Seront également considérés comme non vaccinés, tous ceux qui n’iront pas à la quatrième dose sous peu. Ne le soutiennent pas non plus tous ceux qui ont des effets secondaires graves, eux-mêmes ou dans leur famille et ils sont très nombreux, même si la « grande presse » évite, sur ordre, d’en parler. Le chiffre de non-vaccinés majoritaires pour l’accueil du Covid, est faux. Macron ne réussit qu’à dévoiler un peu plus, la personnalité controversée qu’on lui connaît et quand on dit controversée, le mot est faible. Il n’a pas de hauteur de vue, pas de sagesse, pas d’empathie, pas de respect, pas d’expérience, en un mot, il est indigne de sa fonction. Mais on le savait déjà...
Macron a tort de penser qu’il s’appuie sur une large majorité de Français, quand il parle « d’emmerder les non-vaccinés ». Dans les vaccinés, beaucoup y sont allés à contrecœur et ne le soutiennent pas. Beaucoup n’iront pas à la troisième dose et seront considérés comme non-vaccinés rapidement. Seront également considérés comme non vaccinés, tous ceux qui n’iront pas à la quatrième dose sous peu. Ne le soutiennent pas non plus tous ceux qui ont des effets secondaires graves, eux-mêmes ou dans leur famille et ils sont très nombreux, même si la « grande presse » évite, sur ordre, d’en parler. Le chiffre de non-vaccinés majoritaires pour l’accueil du Covid, est faux. Macron ne réussit qu’à dévoiler un peu plus, la personnalité controversée qu’on lui connaît et quand on dit controversée, le mot est faible. Il n’a pas de hauteur de vue, pas de sagesse, pas d’empathie, pas de respect, pas d’expérience, en un mot, il est indigne de sa fonction. Mais on le savait déjà...
☐ 4/1/2022
Castex, à l’assemblée nationale, au comble du ridicule, perd ses nerfs, accuse l’opposition de ralentir les débats en votant contre ses propositions. On ne saurait trop lui rappeler, que nous sommes censés être toujours en démocratie et que l’opposition joue son rôle : elle s’oppose. Voilà un gouvernement parti en glissade totalitaire, qui n’arrive plus à convaincre ses propres troupes de venir voter les modalités d’une politique hystérisée, à l’image de la prise de parole de son leader et qui s’en prend à une opposition qui, pour une fois, fait son travail, dans cet épisode pseudo-sanitaire, en repoussant un débat qui consiste à imposer un apartheid d’État pour un variant, que même l’OMS, considère comme un rhume. Que les oppositions de tous bords finissent le travail, qu’elles fassent cesser l’infamie et débarquent les usurpateurs...
☐ 4/1/2022
Ils sont en guerre
Véran a perdu les pédales. Avec 200 000 contaminations par jour dans un pays très largement vacciné, sa politique du tout vaccinal est un échec. Sa posture dans l’hémicycle, ses incohérences permanentes, traduisent bien d’autres préoccupations que sanitaires. Il est là pour passer en force et instaurer un contrôle des populations, comme le demande l’Europe, dont il est le valet. Avec une calculatrice, 67 millions de Français, fois trois ou quatre injections par an, divisé par 365 jours, ça donne 550 000 à 700 000 injections par jour. En admettant que tout le monde accepte. Messieurs-dames les député(e)s devraient bien réfléchir, avant de se lancer dans une aventure qui non seulement n’a rien de sanitaire, ni de préventif, mais tout de la déraison et même de l’utopie. Aventure démentielle qu’ils devront s’appliquer à eux mêmes, à leurs proches et à leurs électeurs. Le pays ne travaillera plus, il va passer son temps à faire la queue pour aller à la piqûre. Au RPF, nous avons d’autres ambitions pour ce peuple que de le piquer tous les trimestres et il serait temps que les élus redescendent sur terre et se mettent à la pensée rationnelle. « Nous sommes en guerre » avait dit le président, oui, il est en guerre, avec quelques uns, contre nous et ces députés devraient comprendre qu’ils sont les jouets politiques et médiatiques d’un système, qu’ils regretteront rapidement d’avoir cautionné.
Véran a perdu les pédales. Avec 200 000 contaminations par jour dans un pays très largement vacciné, sa politique du tout vaccinal est un échec. Sa posture dans l’hémicycle, ses incohérences permanentes, traduisent bien d’autres préoccupations que sanitaires. Il est là pour passer en force et instaurer un contrôle des populations, comme le demande l’Europe, dont il est le valet. Avec une calculatrice, 67 millions de Français, fois trois ou quatre injections par an, divisé par 365 jours, ça donne 550 000 à 700 000 injections par jour. En admettant que tout le monde accepte. Messieurs-dames les député(e)s devraient bien réfléchir, avant de se lancer dans une aventure qui non seulement n’a rien de sanitaire, ni de préventif, mais tout de la déraison et même de l’utopie. Aventure démentielle qu’ils devront s’appliquer à eux mêmes, à leurs proches et à leurs électeurs. Le pays ne travaillera plus, il va passer son temps à faire la queue pour aller à la piqûre. Au RPF, nous avons d’autres ambitions pour ce peuple que de le piquer tous les trimestres et il serait temps que les élus redescendent sur terre et se mettent à la pensée rationnelle. « Nous sommes en guerre » avait dit le président, oui, il est en guerre, avec quelques uns, contre nous et ces députés devraient comprendre qu’ils sont les jouets politiques et médiatiques d’un système, qu’ils regretteront rapidement d’avoir cautionné.
☐ 2/1/2022
Emmanuel Macron soigne ses collaborateurs les plus zélés : les journalistes. On se souvient que 95 % de la presse, en 2017, se chargeaient de sa campagne, obligeant quasiment les invités des plateaux à se prononcer en faveur du candidat Macron, sous peine de passer pour un suppôt lepéniste. Le voilà qui les arrose, à hauteur de deux milliards d’euros pour la culture, dont 483 millions d’euros pour la presse, selon les premiers éléments donnés par le président lui-même. Il s’agirait d’un vaste « plan de filière », qui a pour but d’accompagner la transformation numérique de la presse française et d‘aider à supporter « les lourdes pertes enregistrées depuis le début de la crise du Covid-19 ». Disons plutôt, les pertes dues aux décisions iniques prises par le gouvernement et la désaffection du lectorat, lassé du peu d’esprit critique des journalistes, tous dévoués à la parole gouvernementale et empressés à la promotion du tout-vaccin. Emmanuel Macron parle de nécessité de maintenir un « pluralisme », à condition sans doute, qu’il soit tout acquis à sa cause. La manœuvre, si proche des échéances électorales, avec l’argent des contribuables, bien sûr, ne trompe personne. Le président anticipe sa campagne, avec un secteur devenu, au fil du temps de moins en moins crédible et qui risque, avec cette rallonge d’argent public, d’être encore plus inféodé au pouvoir, si toutefois il peut l’être encore plus...
☐ 30/12/2021
Je me marre… ce matin, j’ai pris deux cafés, dans un bar où personne ne m’a rien demandé à l’entrée. Je me suis collé à un mange-debout, sans masque, avec mon ordinateur portable et il ne s’est strictement rien passé : est-ce normal ?
Olivier Véran soigne les gens par décret, au 14 décembre (JORF-0290). Il vient ainsi de mettre à l’index, six principes actifs, dont l’Azythromicine, en les subordonnant à un test. Même si votre médecin vous les prescrit, votre pharmacien doit vous faire passer un test oropharyngé, pour 6 euros, en cas de positif et 7 euros, en cas de négatif. Et si c’est négatif, il ne vous donne pas les antibiotiques en question et vous retournez voir votre généraliste. Et gare aux médecins qui abuseraient, un Conseil national périodique a été créé, pour les obliger à soigner selon Véran. Certaines maladies ne pourront ainsi plus être soignées avec ces six médicaments largement usités. Et il se trouve, mais c’est sans doute un hasard, que cette Azythromicine est prescrite et semble efficace, associée à l’Ivermectine, contre le Covid. Il ne faut pas concurrencer les vaccins. Contre le Covid, c’est donc Doliprane ou vaccin, mais on ne soignera pas, coûte que coûte. Comme l’Hydroxychloroquine, l’Azythromicine a été déclarée inefficace contre le Covid, mais on la supprime quand même, on ne sait jamais... qu'en dit "l'opposition" ?
Demain… désactivation
☐ 28/11/2021
Les pays européens se referment
Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond, au royaume du principe de précaution. Israël, qui en est à distribuer sa quatrième dose, se barricade devant la possibilité d’importer le nouveau variant Omicron. Les pays européens se barricadent également. Cela, parce que personne ne connaît l’efficacité réelle des vaccins sur ce nouveau variant et cela peut sembler normal. Sauf que chacun sait et les autorités de tous les pays ne se sont jamais privées de le dire : les virus évoluent. Fermer les frontières de pays massivement vaccinés face à un variant est bien le signe de l’échec du choix du tout vaccinal, puisque, provenant d’Afrique-du-Sud, chaque voyageur, quel que soit son schéma vaccinal, se voit appliquer les mêmes règles, qu’il soit non-vax, une, deux, trois ou quatre doses. Expliquer sur les chaînes de télévision, que l’efficacité des vaccins existants face au nouveau variant est incertaine et dans le même temps, nous obliger à la troisième dose, a un côté schizophrénique. Si le variant Omicron envahit les pays occidentaux et que le vaccin se révèle efficace, ce sera une chance. S’il ne l’est pas, tout aura été fait en pure perte. Le plus probable est qu’il faudra peut-être bien accepter une dose supplémentaire, spéciale « Omicron »...
☐ 29/12/2021
« Je vous demande de vous arrêter »
Castex va trop loin et ses histoires à manger debout, sont surtout à dormir debout. Plus personne n’y comprend rien, mais surtout, l’opinion se retourne comme jamais, avec un rejet massif du passe vaccinal. Même les plus obéissants de nos concitoyens, ne se voient pas aller à la piqûre tous les trois mois, pour un bénéfice désormais réduit à néant. Sans parler du train de mesures dont l’incohérence tourne au plan kafkaïen et mécontente tout le monde. Les électeurs ont bien tous compris, ou presque, que plus rien ne relevait de la considération sanitaire. Il va y avoir un vrai risque, pour les députés, à voter des dispositions majoritairement insupportables à la majorité des Français. Ces quelques godillots, habitués des votes de nuit, feraient bien de se désolidariser enfin de cette politique anti-démocratique au possible. Au RPF, nous avons la conviction, avec plusieurs centaines de scientifiques indépendants, que pour sortir de l’épidémie : il faut soigner les gens. On ne combat pas une pandémie, somme toute plutôt bénigne, en installant la dictature, la surveillance électronique et la ségrégation d’État. Nous invitons tous nos concitoyens, à refuser massivement la dérive à coup d’injections, qui faute d’adhésion majoritaire, ne pourra perdurer et à exiger le vrai plan de soins que nous réclamons depuis le début.
Castex va trop loin et ses histoires à manger debout, sont surtout à dormir debout. Plus personne n’y comprend rien, mais surtout, l’opinion se retourne comme jamais, avec un rejet massif du passe vaccinal. Même les plus obéissants de nos concitoyens, ne se voient pas aller à la piqûre tous les trois mois, pour un bénéfice désormais réduit à néant. Sans parler du train de mesures dont l’incohérence tourne au plan kafkaïen et mécontente tout le monde. Les électeurs ont bien tous compris, ou presque, que plus rien ne relevait de la considération sanitaire. Il va y avoir un vrai risque, pour les députés, à voter des dispositions majoritairement insupportables à la majorité des Français. Ces quelques godillots, habitués des votes de nuit, feraient bien de se désolidariser enfin de cette politique anti-démocratique au possible. Au RPF, nous avons la conviction, avec plusieurs centaines de scientifiques indépendants, que pour sortir de l’épidémie : il faut soigner les gens. On ne combat pas une pandémie, somme toute plutôt bénigne, en installant la dictature, la surveillance électronique et la ségrégation d’État. Nous invitons tous nos concitoyens, à refuser massivement la dérive à coup d’injections, qui faute d’adhésion majoritaire, ne pourra perdurer et à exiger le vrai plan de soins que nous réclamons depuis le début.
☐ 28/12/2021
Qu’il parte vite...
Le président est en roue libre, une fois de plus, à l’instar de son premier Ministre, qui multiplie les annonces liberticides en versant dans un totalitarisme incompréhensible, alors que de nombreuses voix s’élèvent et pas des moindres, pour expliquer que le variant Omicron est certes plus contagieux, mais infiniment moins dangereux que les précédents et correspondrait même à une fin d’épidémie. Le voilà, depuis Brégançon, seul dans son bureau, face à la caméra, avec son masque sur le nez, désireux, enfin de montrer l’exemple ? Voudrait-il faire oublier les troisièmes mi-temps de gala de football, en musique et sans masque, les sauteries européennes, avec les autres présidents, sans distanciation, les rassemblements de députés LREM festifs, sans masque, à quinze sur un selfie ? La mise en scène atteint des incohérences monstrueuses et ne fait non seulement pas oublier les calamités, mais a le don de conforter le peuple dans l’idée qu’on le manipule. On désespère de voir ce président partir et laisser derrière lui le champ de ses ruines et qu’enfin, quelqu’un de confiance s’attelle à la tâche de reconstruction.
Le président est en roue libre, une fois de plus, à l’instar de son premier Ministre, qui multiplie les annonces liberticides en versant dans un totalitarisme incompréhensible, alors que de nombreuses voix s’élèvent et pas des moindres, pour expliquer que le variant Omicron est certes plus contagieux, mais infiniment moins dangereux que les précédents et correspondrait même à une fin d’épidémie. Le voilà, depuis Brégançon, seul dans son bureau, face à la caméra, avec son masque sur le nez, désireux, enfin de montrer l’exemple ? Voudrait-il faire oublier les troisièmes mi-temps de gala de football, en musique et sans masque, les sauteries européennes, avec les autres présidents, sans distanciation, les rassemblements de députés LREM festifs, sans masque, à quinze sur un selfie ? La mise en scène atteint des incohérences monstrueuses et ne fait non seulement pas oublier les calamités, mais a le don de conforter le peuple dans l’idée qu’on le manipule. On désespère de voir ce président partir et laisser derrière lui le champ de ses ruines et qu’enfin, quelqu’un de confiance s’attelle à la tâche de reconstruction.
☐ 25/12/2021
JM Claverie enterre la gestion de l’épidémie
Le professeur Claverie, pas tout à fait un débutant, a été interrogé sur BFM-TV et il avait deux nouvelles : une bonne et une mauvaise. La bonne, c’est que Omicron est peu pathogène, bien moins que Delta. La mauvaise, c’est que « le vaccin ne marche pas du tout ». Vous avez bien lu, il a dit : « pas du tout ». Et il enchaîne : « Ces 94 000 cas sont, pour la plupart, des gens vaccinés et on sait que le vaccin n’empêche pas la transmission. » Et de citer l’exemple d’Israël : « La troisième dose dure moins longtemps, pas plus de trois mois. » Il continue avec un savant calcul : « S’il faut vacciner 67 millions de Français tous les trois mois [en admettant qu’ils acceptent NDLR], j’ai compté, ça fait 700 000 doses par jour, c’est impossible. » Là, le journaliste intervient pour lui demander si le vaccin comme seule arme, « ce sera suffisant ? » Claverie de répondre : « Actuellement, ce n’est même plus une arme » : texto. Et de conclure que la troisième dose est illusoire et qu’il faudrait se résoudre à laisser circuler ce virus, plus qu’on ne le fait actuellement. Le professeur rejoint en cela, les analyses de plusieurs de ses confrères...
Le professeur Claverie, pas tout à fait un débutant, a été interrogé sur BFM-TV et il avait deux nouvelles : une bonne et une mauvaise. La bonne, c’est que Omicron est peu pathogène, bien moins que Delta. La mauvaise, c’est que « le vaccin ne marche pas du tout ». Vous avez bien lu, il a dit : « pas du tout ». Et il enchaîne : « Ces 94 000 cas sont, pour la plupart, des gens vaccinés et on sait que le vaccin n’empêche pas la transmission. » Et de citer l’exemple d’Israël : « La troisième dose dure moins longtemps, pas plus de trois mois. » Il continue avec un savant calcul : « S’il faut vacciner 67 millions de Français tous les trois mois [en admettant qu’ils acceptent NDLR], j’ai compté, ça fait 700 000 doses par jour, c’est impossible. » Là, le journaliste intervient pour lui demander si le vaccin comme seule arme, « ce sera suffisant ? » Claverie de répondre : « Actuellement, ce n’est même plus une arme » : texto. Et de conclure que la troisième dose est illusoire et qu’il faudrait se résoudre à laisser circuler ce virus, plus qu’on ne le fait actuellement. Le professeur rejoint en cela, les analyses de plusieurs de ses confrères...
☐ 22/12/2021
Logique élémentaire...
C’est assez rigolo, cette polémique sur la proportion de vaccinés et de non-vaccinés dans les hôpitaux. Et les uns d’arguer que comme les vaccinés sont majoritaires dans la population, il est normal qu’il soient majoritaires à l’hôpital. Oui, sauf qu’ils sont vaccinés. On résume. Le gouvernement nous a expliqué que la vaccination n’empêchait ni de contracter, ni de transmettre, mais qu’elle empêchait « les formes graves ». Bien, si on suit cette idée, il n’y aurait pas de formes graves chez les vaccinés. Et en principe, on va à l’hôpital quand on est atteint d’une forme grave. On suit toujours ? Donc, en toute logique, il ne devrait y avoir aucun vacciné à l’hôpital, puisqu’ils ne font par définition, pas de « forme grave ». Le fait que les vaccinés soient majoritaires à l’hôpital puisqu’ils sont majoritaires dans la population, signe donc le fait que leur vaccin ne les protège pas plus des formes graves, que ceux qui ne l’ont pas. En toute logique.
C’est assez rigolo, cette polémique sur la proportion de vaccinés et de non-vaccinés dans les hôpitaux. Et les uns d’arguer que comme les vaccinés sont majoritaires dans la population, il est normal qu’il soient majoritaires à l’hôpital. Oui, sauf qu’ils sont vaccinés. On résume. Le gouvernement nous a expliqué que la vaccination n’empêchait ni de contracter, ni de transmettre, mais qu’elle empêchait « les formes graves ». Bien, si on suit cette idée, il n’y aurait pas de formes graves chez les vaccinés. Et en principe, on va à l’hôpital quand on est atteint d’une forme grave. On suit toujours ? Donc, en toute logique, il ne devrait y avoir aucun vacciné à l’hôpital, puisqu’ils ne font par définition, pas de « forme grave ». Le fait que les vaccinés soient majoritaires à l’hôpital puisqu’ils sont majoritaires dans la population, signe donc le fait que leur vaccin ne les protège pas plus des formes graves, que ceux qui ne l’ont pas. En toute logique.
☐ 20/12/2021
Changer radicalement de stratégie
Le professeur Jean-François Delfraissy et ses confrères ont appelé le gouvernement à instaurer des « restrictions significatives » face au risque de transmission à l’approche des fêtes de fin d’année. En somme, gâcher Noël pour seulement 310 cas d’Omicron recensés pour 67 millions d’habitants. Véran apparaît comme grand seigneur en ne suivant pas cet avis. Emmanuel Macron disait « sentir une fatigue » au sein de la population, jugeant que les Français étaient démoralisés par la 5e vague de Covid-19. Il se trompe, les Français sont démoralisés par les mesures gouvernementales dénuées de sens, prises pour lutter contre le Covid-19. Au RPF, nous réitérons nos demandes : redimensionner l’hôpital, reprendre les soignants licenciés, autoriser les médecins à prescrire, ré-autoriser les traitements interdits, supprimer le passe-sanitaire, réserver la vaccination aux volontaires, traiter, comme l’Inde, par médication, dès l’apparition des symptômes, remplacer le conseil scientifique par des médecins sans intérêts financiers auprès des firmes pharmaceutiques et gérer cette épidémie comme on gère habituellement la grippe annuelle.
Le professeur Jean-François Delfraissy et ses confrères ont appelé le gouvernement à instaurer des « restrictions significatives » face au risque de transmission à l’approche des fêtes de fin d’année. En somme, gâcher Noël pour seulement 310 cas d’Omicron recensés pour 67 millions d’habitants. Véran apparaît comme grand seigneur en ne suivant pas cet avis. Emmanuel Macron disait « sentir une fatigue » au sein de la population, jugeant que les Français étaient démoralisés par la 5e vague de Covid-19. Il se trompe, les Français sont démoralisés par les mesures gouvernementales dénuées de sens, prises pour lutter contre le Covid-19. Au RPF, nous réitérons nos demandes : redimensionner l’hôpital, reprendre les soignants licenciés, autoriser les médecins à prescrire, ré-autoriser les traitements interdits, supprimer le passe-sanitaire, réserver la vaccination aux volontaires, traiter, comme l’Inde, par médication, dès l’apparition des symptômes, remplacer le conseil scientifique par des médecins sans intérêts financiers auprès des firmes pharmaceutiques et gérer cette épidémie comme on gère habituellement la grippe annuelle.
☐ 18/12/2021
Entrer dans la matrice
On aurait tort de penser que la transformation, annoncée par Castex, de passe sanitaire en passe vaccinal, est une déclaration de guerre contre les seuls non-vaccinés. Ils ne pourront plus payer un test de confort ou de nécessité, pour obtenir un passe pour un événement obligatoire ou qui leur tient à cœur. Mais il condamne les gens vaccinés, qui se croient souvent des citoyens modèles, à accepter, les unes derrière les autres, toutes les doses à venir, quel qu’en soit le nombre, quels qu’en soient les effets sur leur corps, sur leur santé. Castex a induit hier soir une dimension digne de l’un des pires romans de sciences fiction, balayant d’un coup, état de droit, libertés individuelles, choix de destin. Il a privé les gens de soins, de travail, de loisirs, sauf à accepter de rentrer dans une matrice comprenant une piqûre d’on ne sait quoi, mais qui sera obligatoire, tous les trois ou quatre mois, pour garder le droit de vivre socialement et même, de vivre tout court, à moins que les injections à répétition ne viennent finalement à bout de vous. Peu de gens semblent prendre conscience de l’extrême gravité de ce qui nous arrive, il est temps de commencer à comprendre, tous ensemble, que tout cela va beaucoup plus loin que la simple question sanitaire.
On aurait tort de penser que la transformation, annoncée par Castex, de passe sanitaire en passe vaccinal, est une déclaration de guerre contre les seuls non-vaccinés. Ils ne pourront plus payer un test de confort ou de nécessité, pour obtenir un passe pour un événement obligatoire ou qui leur tient à cœur. Mais il condamne les gens vaccinés, qui se croient souvent des citoyens modèles, à accepter, les unes derrière les autres, toutes les doses à venir, quel qu’en soit le nombre, quels qu’en soient les effets sur leur corps, sur leur santé. Castex a induit hier soir une dimension digne de l’un des pires romans de sciences fiction, balayant d’un coup, état de droit, libertés individuelles, choix de destin. Il a privé les gens de soins, de travail, de loisirs, sauf à accepter de rentrer dans une matrice comprenant une piqûre d’on ne sait quoi, mais qui sera obligatoire, tous les trois ou quatre mois, pour garder le droit de vivre socialement et même, de vivre tout court, à moins que les injections à répétition ne viennent finalement à bout de vous. Peu de gens semblent prendre conscience de l’extrême gravité de ce qui nous arrive, il est temps de commencer à comprendre, tous ensemble, que tout cela va beaucoup plus loin que la simple question sanitaire.
☐ 17/12/2021
L’opinion ne suit plus...
Spectaculaire revirement de l’opinion en perspective, sur la vaccination. Pour plusieurs raisons : les pays européens les plus vaccinés font face à une recrudescence de cas qui ne peut être expliquée par la seule contamination des reliquats dérisoires de non-vaccinés. Cautionner encore la vaccination de masse alors qu’elle ne dispense, ni des gestes barrières, ni de la contamination, ni de la transmission, a quelque chose de surréaliste. Les effets secondaires graves, qui sont tus dans la presse, touchent de nombreuses familles. Soutenir ces injections conduit intrinsèquement à l’acceptation de plusieurs doses par an, à priori, sur le long terme, ceci alors que des vaccins classiques sont décennaux et que celui contre la grippe, est annuel. Pour toutes ces raisons, la crédibilité gouvernementale, sur cette question, se voit largement entamée et majoritairement peu suivie, d’autant que plusieurs voix connues commencent à évoquer d’autres solutions. Au RPF, notre position n’a pas varié depuis le début de cette épidémie, avec préconisation qu’elle soit traitée comme la grippe : vaccination pour les volontaires, médicaments laissés à la prescription des médecins et respect des gestes barrières, avec exclusion des passes et des confinements.
Spectaculaire revirement de l’opinion en perspective, sur la vaccination. Pour plusieurs raisons : les pays européens les plus vaccinés font face à une recrudescence de cas qui ne peut être expliquée par la seule contamination des reliquats dérisoires de non-vaccinés. Cautionner encore la vaccination de masse alors qu’elle ne dispense, ni des gestes barrières, ni de la contamination, ni de la transmission, a quelque chose de surréaliste. Les effets secondaires graves, qui sont tus dans la presse, touchent de nombreuses familles. Soutenir ces injections conduit intrinsèquement à l’acceptation de plusieurs doses par an, à priori, sur le long terme, ceci alors que des vaccins classiques sont décennaux et que celui contre la grippe, est annuel. Pour toutes ces raisons, la crédibilité gouvernementale, sur cette question, se voit largement entamée et majoritairement peu suivie, d’autant que plusieurs voix connues commencent à évoquer d’autres solutions. Au RPF, notre position n’a pas varié depuis le début de cette épidémie, avec préconisation qu’elle soit traitée comme la grippe : vaccination pour les volontaires, médicaments laissés à la prescription des médecins et respect des gestes barrières, avec exclusion des passes et des confinements.
☐ 15/12/2021
À quoi joue Véran, avec les médicaments ?
Olivier Véran soigne les gens par décret, au 14 décembre (JORF-0290). Il vient ainsi de mettre à l’index, six principes actifs, dont l’Azythromicine, en les subordonnant à un test. Même si votre médecin vous les prescrit, votre pharmacien doit vous faire passer un test oropharyngé, pour 6 euros, en cas de positif et 7 euros, en cas de négatif. Et si c’est négatif, il ne vous donne pas les antibiotiques en question et vous retournez voir votre généraliste. Et gare aux médecins qui abuseraient, un Conseil national périodique a été créé, pour les obliger à soigner selon Véran. Certaines maladies ne pourront ainsi plus être soignées avec ces six médicaments largement usités. Et il se trouve, mais c’est sans doute un hasard, que cette Azythromicine est prescrite et semble efficace, associée à l’Ivermectine, contre le Covid. Il ne faut pas concurrencer les vaccins. Contre le Covid, c’est donc Doliprane ou vaccin, mais on ne soignera pas, coûte que coûte. Comme l’Hydroxychloroquine, l’Azythromicine a été déclarée inefficace contre le Covid, mais on la supprime quand même, on ne sait jamais... qu'en dit "l'opposition" ?
☐ 15/12/2021
☐ 14/12/2021
À partir de demain, les anciens vont être « désactivés ». Pas de troisième dose, plus de vie sociale, peu importe les effets secondaires des doses précédentes, il faut y aller encore et encore. Même si le gouvernement qui oblige, dit aussi que l’efficacité diminue rapidement avec le temps, même s’il convient que cela n’empêche pas toujours les formes graves et que l’on peut mourir du Covid, même vacciné. Il ne faut pas non plus remplir des urgences qui diminuent comme peau de chagrin. Piquer aussi les enfants. Vers quoi allons nous ? Une dose tous les trois ou quatre mois, à vie, dans toute l’Europe, sinon désactivation ? Est-ce réaliste ? Tous les arguments sceptiques sont balayés : sources pas sérieuses, complotisme, alors même que la réalité montre qu’il est légitime d’avoir de sérieux doutes. Nous sommes entrés dans une irrationalité, à la fois sanitaire et informationnelle, une nouvelle dimension politique et médiatique, orchestrée, planifiée. Elle tient de la religion, de l’emprise sectaire même, contre laquelle, même les esprits les plus éclairés sont inopérants. Un genre de Reich sanitaire, aveugle et violent, monté de toutes pièces, qui va sans doute se terminer comme le troisième du nom et avec d’incommensurables dégâts.
☐ 12/12/2021
Le Japon sous pression occidentale
Le Japon sait de quoi il parle en matière d’élimination de population : il a reçu deux bombes nucléaires et a dû reconstituer ses effectifs. Encore actuellement la natalité y est faible et les personnes âgées nombreuses. Pour traiter la pandémie de Covid, il utilise les vaccins, mais aussi l’Ivermectine, invention d’un scientifique japonais. Il s’est permis de mener des études sérieuses sur les effets secondaires des vaccins, pour arriver à un constat « d’inquiétants problèmes cardiaques et d’anomalies cardiovasculaires chez des hommes jeunes sans antécédents médicaux avant vaccination ». Et le comité scientifique local a demandé au gouvernement de faire apposer la mention « effets secondaires graves », sur les documents accompagnant les vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna. Ce qui a déclenché l’ire des laboratoires Pfizer et Moderna. Ils ont fait savoir aux Japonais, avec l’appui de leur pays d’origine, que ces études et cette mention étaient perçues comme un « acte inamical », voire « hostile » et était susceptible d’avoir des conséquences négatives pour le gouvernement japonais. Et de nombreuses municipalités japonaises renâclent à l’idée d’utiliser ces produits, qui ont déjà été suspendus à plusieurs reprises dans le pays.
Le Japon sait de quoi il parle en matière d’élimination de population : il a reçu deux bombes nucléaires et a dû reconstituer ses effectifs. Encore actuellement la natalité y est faible et les personnes âgées nombreuses. Pour traiter la pandémie de Covid, il utilise les vaccins, mais aussi l’Ivermectine, invention d’un scientifique japonais. Il s’est permis de mener des études sérieuses sur les effets secondaires des vaccins, pour arriver à un constat « d’inquiétants problèmes cardiaques et d’anomalies cardiovasculaires chez des hommes jeunes sans antécédents médicaux avant vaccination ». Et le comité scientifique local a demandé au gouvernement de faire apposer la mention « effets secondaires graves », sur les documents accompagnant les vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna. Ce qui a déclenché l’ire des laboratoires Pfizer et Moderna. Ils ont fait savoir aux Japonais, avec l’appui de leur pays d’origine, que ces études et cette mention étaient perçues comme un « acte inamical », voire « hostile » et était susceptible d’avoir des conséquences négatives pour le gouvernement japonais. Et de nombreuses municipalités japonaises renâclent à l’idée d’utiliser ces produits, qui ont déjà été suspendus à plusieurs reprises dans le pays.
☐ 6/12/2021
Quoi les enfants ?
Quatre vagues, ou citées comme telles, dont les enfants sont restés à l’abri, tant en nombre de morts, qu’en nombre de contaminés et voilà que la cinquième vague, dont on ne perçoit pas vraiment les répercussions hospitalières, par rapport aux hivers précédents, s’attaquerait aux enfants ? Pourquoi cette vague là touche les enfants et pas les précédentes. Quelles mutations ont affecté le virus qui ferait que maintenant, et pas avant, il s’attaque aux enfants ? Quelles données épidémiologiques expliquent que les enfants de 5 à 11 ans, précédemment épargnés, ne le soient plus : aucune. Plus prosaïquement, maintenant que tous les adultes sont vaccinés et qu’il reste encore un peu d’argent à faire, voilà que la nouvelle vague touche les enfants. Le timing est décidément parfait, en espérant que les parents aient suffisamment peur pour courir faire piquer leurs petits. Par contre, comme nous le préconisons depuis le début, au RPF, il n’est toujours pas question de soigner, c’est-à-dire, utiliser les médicaments qui sont prescrits avec réussite en Inde ou au Japon. Au risque de plagier un personnage qui nous manque, dans cette hystérie occidentale : « n’ayez pas peur ».
Quatre vagues, ou citées comme telles, dont les enfants sont restés à l’abri, tant en nombre de morts, qu’en nombre de contaminés et voilà que la cinquième vague, dont on ne perçoit pas vraiment les répercussions hospitalières, par rapport aux hivers précédents, s’attaquerait aux enfants ? Pourquoi cette vague là touche les enfants et pas les précédentes. Quelles mutations ont affecté le virus qui ferait que maintenant, et pas avant, il s’attaque aux enfants ? Quelles données épidémiologiques expliquent que les enfants de 5 à 11 ans, précédemment épargnés, ne le soient plus : aucune. Plus prosaïquement, maintenant que tous les adultes sont vaccinés et qu’il reste encore un peu d’argent à faire, voilà que la nouvelle vague touche les enfants. Le timing est décidément parfait, en espérant que les parents aient suffisamment peur pour courir faire piquer leurs petits. Par contre, comme nous le préconisons depuis le début, au RPF, il n’est toujours pas question de soigner, c’est-à-dire, utiliser les médicaments qui sont prescrits avec réussite en Inde ou au Japon. Au risque de plagier un personnage qui nous manque, dans cette hystérie occidentale : « n’ayez pas peur ».
Les pays européens se referment
Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond, au royaume du principe de précaution. Israël, qui en est à distribuer sa quatrième dose, se barricade devant la possibilité d’importer le nouveau variant Omicron. Les pays européens se barricadent également. Cela, parce que personne ne connaît l’efficacité réelle des vaccins sur ce nouveau variant et cela peut sembler normal. Sauf que chacun sait et les autorités de tous les pays ne se sont jamais privées de le dire : les virus évoluent. Fermer les frontières de pays massivement vaccinés face à un variant est bien le signe de l’échec du choix du tout vaccinal, puisque, provenant d’Afrique-du-Sud, chaque voyageur, quel que soit son schéma vaccinal, se voit appliquer les mêmes règles, qu’il soit non-vax, une, deux, trois ou quatre doses. Expliquer sur les chaînes de télévision, que l’efficacité des vaccins existants face au nouveau variant est incertaine et dans le même temps, nous obliger à la troisième dose, a un côté schizophrénique. Si le variant Omicron envahit les pays occidentaux et que le vaccin se révèle efficace, ce sera une chance. S’il ne l’est pas, tout aura été fait en pure perte. Le plus probable est qu’il faudra peut-être bien accepter une dose supplémentaire, spéciale « Omicron »...
☐ 2/11/2021
Je me marre… après la Méditerranée, pépère est en mode breton, mal rasé, calot rouge, au café du coin. On t’a demandé un passe sanitaire ? Ben non, ni sur la Côte-d’Azur, ni en Bretagne, tout le monde a l’air de s’en foutre et tout le monde a bien raison. Les flics ne doivent pas vérifier et ils ont raison. Les cafetiers en ont marre et ils ont raison. Merci à tous ces professionnels et FDO raisonnables, qui ont décidé de ne pas collaborer à l’hystérie totalitaire.
Le débat présidentiel n’augure rien de bon, car déjà il n’est pas question des faits ni des réalités, mais de définir de quoi les débatteurs ont le droit de parler et surtout, qui a le droit de parler. Le communiste Roussel indique déjà que Zemmour devrait être privé d’antenne et Hidalgo estime que les questions qui la dérangent sont « débiles ». La doxa a la vie dure, particulièrement sur les questions d’immigration et de délinquance et ses défenseurs s’accrochent à la négation d’une réalité qui montre chaque jour que la délinquance n’est pas dans les villages de province, mais dans les cités à forte majorité immigrée. Et tous ceux qui auraient l’audace de dire la réalité, sont taxés par avance d’extrême droite et donc, interdits de débat. Il en va de même pour tous ceux qui auraient l’audace d’adopter une attitude simplement critique sur la transition énergétique, la vaccination de masse, ou les questions de souveraineté nationale : ils sont d’extrême droite. À ce point que ce sont les tenants de l’idéologie dominante qui usent de ficelles fascistes. Ils en sont là, parce que justement, la réalité nous rattrape et que leurs discours ne suffisent plus à la nier. Et ils se raidissent parce qu’ils savent déjà qu’ils seront balayés.
☐ 28/10/2021
L’élève Véran, se prend pour le prof
L’épidémie est bel et bien finie. 5000 cas par jour, et encore est-on bien sûr que ce sont des cas Covid ? Véran ne sait plus comment justifier son passe sanitaire, qui en plus d’être un véritable apartheid social, est devenu totalement inutile. Pour mémoire, les gens vaccinés, donc nantis du passe sanitaire, peuvent, selon les dires de Véran, contracter et transmettre le virus et ne sont donc pas dispensés des gestes barrière. Il font des formes « moins graves », explique le ministre, qui expliquait, un an en arrière, que les formes « graves » de covid étaient rares et qu’il fallait s’isoler avec du Doliprane. La plupart des gens font donc des formes peu graves et les vaccinés des formes moins graves du déjà, peu grave. Bref, cela ne tient pas la route et Véran bafouille devant les sénateurs, n’en sait rien, a posé des questions et attend des réponses. Mais les sénateurs ne sont pas aussi serviles que les journalistes et Marie-Pierre de la Gontrie recadre Véran et sa tête de premier de la classe, qui la prend pour une demeurée : « nous ne sommes pas à l’école » et la dame, qui pourrait être sa mère, n’entend pas se faire faire la leçon. C’est fini, Olivier, le conseil de classe, si ce n’est le conseil de discipline, ne va pas tarder...
Je me marre… après la Méditerranée, pépère est en mode breton, mal rasé, calot rouge, au café du coin. On t’a demandé un passe sanitaire ? Ben non, ni sur la Côte-d’Azur, ni en Bretagne, tout le monde a l’air de s’en foutre et tout le monde a bien raison. Les flics ne doivent pas vérifier et ils ont raison. Les cafetiers en ont marre et ils ont raison. Merci à tous ces professionnels et FDO raisonnables, qui ont décidé de ne pas collaborer à l’hystérie totalitaire.
Ils seront balayés...
Le débat présidentiel n’augure rien de bon, car déjà il n’est pas question des faits ni des réalités, mais de définir de quoi les débatteurs ont le droit de parler et surtout, qui a le droit de parler. Le communiste Roussel indique déjà que Zemmour devrait être privé d’antenne et Hidalgo estime que les questions qui la dérangent sont « débiles ». La doxa a la vie dure, particulièrement sur les questions d’immigration et de délinquance et ses défenseurs s’accrochent à la négation d’une réalité qui montre chaque jour que la délinquance n’est pas dans les villages de province, mais dans les cités à forte majorité immigrée. Et tous ceux qui auraient l’audace de dire la réalité, sont taxés par avance d’extrême droite et donc, interdits de débat. Il en va de même pour tous ceux qui auraient l’audace d’adopter une attitude simplement critique sur la transition énergétique, la vaccination de masse, ou les questions de souveraineté nationale : ils sont d’extrême droite. À ce point que ce sont les tenants de l’idéologie dominante qui usent de ficelles fascistes. Ils en sont là, parce que justement, la réalité nous rattrape et que leurs discours ne suffisent plus à la nier. Et ils se raidissent parce qu’ils savent déjà qu’ils seront balayés.
☐ 29/10/2021
103 % sur 100, selon les sondages...
Selon les « sondages », que plus personne ne croit, mais que tout le monde fait semblant de croire, histoire d’avoir quelque chose à dire, Macron est à 23 %. Ou 24 %, mais jamais moins, pour lui, les sondagistes amis ont inventé le plancher de verre. Ce qui est très drôle, c’est qu’il manque Philippot, Dupont-Aignan, Hidalgo, Lasalle et qu’on est déjà à 103 %. C’est à ce genre de détail que l’on s’aperçoit que l’on vit dans un monde totalement bidonné. Il faut aussi se dire que pour les chiffres du Covid, de la croissance, de la dette, du nombre de morts sur la route et on en passe, ce doit être le même mode de calcul.
Selon les « sondages », que plus personne ne croit, mais que tout le monde fait semblant de croire, histoire d’avoir quelque chose à dire, Macron est à 23 %. Ou 24 %, mais jamais moins, pour lui, les sondagistes amis ont inventé le plancher de verre. Ce qui est très drôle, c’est qu’il manque Philippot, Dupont-Aignan, Hidalgo, Lasalle et qu’on est déjà à 103 %. C’est à ce genre de détail que l’on s’aperçoit que l’on vit dans un monde totalement bidonné. Il faut aussi se dire que pour les chiffres du Covid, de la croissance, de la dette, du nombre de morts sur la route et on en passe, ce doit être le même mode de calcul.
L’élève Véran, se prend pour le prof
L’épidémie est bel et bien finie. 5000 cas par jour, et encore est-on bien sûr que ce sont des cas Covid ? Véran ne sait plus comment justifier son passe sanitaire, qui en plus d’être un véritable apartheid social, est devenu totalement inutile. Pour mémoire, les gens vaccinés, donc nantis du passe sanitaire, peuvent, selon les dires de Véran, contracter et transmettre le virus et ne sont donc pas dispensés des gestes barrière. Il font des formes « moins graves », explique le ministre, qui expliquait, un an en arrière, que les formes « graves » de covid étaient rares et qu’il fallait s’isoler avec du Doliprane. La plupart des gens font donc des formes peu graves et les vaccinés des formes moins graves du déjà, peu grave. Bref, cela ne tient pas la route et Véran bafouille devant les sénateurs, n’en sait rien, a posé des questions et attend des réponses. Mais les sénateurs ne sont pas aussi serviles que les journalistes et Marie-Pierre de la Gontrie recadre Véran et sa tête de premier de la classe, qui la prend pour une demeurée : « nous ne sommes pas à l’école » et la dame, qui pourrait être sa mère, n’entend pas se faire faire la leçon. C’est fini, Olivier, le conseil de classe, si ce n’est le conseil de discipline, ne va pas tarder...