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Affichage des articles dont le libellé est Rosenzweig Michel. Afficher tous les articles
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18 mars 2025

Michel Rosenzweig
18/3/2025

Les islamistes au pouvoir en Syrie ont laissé massacrer la semaine dernière des centaines de Chrétiens et Alaouites et l’UE les invite à Bruxelles leur promettant 2,5 milliards.


Le ministre syrien des Affaires étrangères, Asaad al-Shibani, a participé lundi à Bruxelles à la conférence annuelle de l'UE sur la Syrie.
Il faut démanteler l'UE et virer cette ordure, vraiment. Cette Europe-là est une honte totale.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis ce lundi 17 mars une aide financière de 2,5 milliards d'euros pour 2025 et 2026 à la Syrie, afin de soutenir la transition politique et la reconstruction du pays après la chute du régime de Bachar al-Assad en décembre dernier.

15 février 2025

Michel Rosenzweig

- 15/2/2025 - « Si la démocratie américaine peut survivre à dix ans de reproches de Greta Thunberg, alors vous pouvez survivre à quelques mois d'Elon Musk ». J.D. Vance.

Depuis hier toute la politico médiasphère bien pensante de l'Empire du Bien est en PLS, étouffée par la rage d'entendre tout ce qu'ils refusent d'admettre, comparant Munich 2025 à Munich 1938.
Too bad, ce discours du vice-président américain J.D. Vance à la conférence de Munich sur la sécurité est pourtant historique.
Alors, qu'a-t-il vraiment dit ? Plutôt que de déformer ses propos, les faits rien que les faits, voici son discours avec la traduction.

Cliquer sur l'image 

« L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu plus tôt, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai rencontré le ministre des Affaires étrangères David Lammy et j’ai plaisanté en disant que l’année dernière, nous avions tous deux des emplois différents de ceux que nous avons aujourd’hui. Mais il est désormais temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de nous voir confier le pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leurs conditions de vie.

Je tiens à dire que j'ai eu la chance de passer ces dernières 24 heures en dehors des murs de cette conférence et j'ai été très impressionné par l'hospitalité des gens, même s'ils se remettent bien sûr de l'horrible attaque d'hier. La première fois que je suis venu à Munich, c'était avec ma femme, qui est ici avec moi aujourd'hui, dans le cadre d'un voyage personnel. J'ai toujours aimé la ville de Munich et j'ai toujours aimé ses habitants.

Je tiens à vous dire que nous sommes très touchés et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à tous ceux qui sont touchés par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous serons certainement de tout cœur avec vous dans les jours et les semaines à venir.

Nous nous réunissons à cette conférence, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous parlons généralement des menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux, très nombreux chefs militaires de renom réunis ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et estime que nous pouvons parvenir à un accord raisonnable entre la Russie et l’Ukraine – et nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense – la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace qui vient de l’intérieur. Le retrait de l’Europe de certaines de ses valeurs les plus fondamentales : des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

J'ai été frappé par la récente intervention à la télévision d'un ancien commissaire européen qui s'est réjoui de l'annulation par le gouvernement roumain d'une élection. Il a prévenu que si les choses ne se déroulaient pas comme prévu, la même chose pourrait se produire en Allemagne.

Ces déclarations désinvoltes sont choquantes pour les oreilles des Américains. Depuis des années, on nous répète que tout ce que nous finançons et soutenons est fait au nom de nos valeurs démocratiques communes. De notre politique à l’égard de l’Ukraine à la censure numérique, tout est présenté comme une défense de la démocratie. Mais lorsque nous voyons des tribunaux européens annuler des élections et de hauts responsables menacer d’en annuler d’autres, nous devrions nous demander si nous nous tenons à des normes suffisamment élevées. Et je dis bien nous-mêmes, car je crois fondamentalement que nous sommes dans la même équipe.

Nous devons faire plus que parler des valeurs démocratiques. Nous devons les vivre. Aujourd’hui, de mémoire d’homme, la guerre froide a placé les défenseurs de la démocratie face à des forces bien plus tyranniques sur ce continent. Et pensez à ceux qui, dans cette lutte, ont censuré les dissidents, fermé les églises, annulé les élections. Étaient-ils les bons ? Certainement pas.

Et Dieu merci, ils ont perdu la guerre froide. Ils l'ont perdue parce qu'ils n'ont ni valorisé ni respecté tous les bienfaits extraordinaires de la liberté, la liberté de surprendre, de faire des erreurs, d'inventer, de construire. Il s'avère qu'on ne peut pas imposer l'innovation ou la créativité, tout comme on ne peut pas forcer les gens à penser, à ressentir ou à croire. Et nous pensons que ces choses sont certainement liées. Et malheureusement, quand je regarde l'Europe aujourd'hui, je ne sais pas toujours très bien ce qui est arrivé à certains des vainqueurs de la guerre froide.

Si vous vous présentez par peur de vos propres électeurs, l'Amérique ne peut rien faire pour vous.

Je pense à Bruxelles, où les commissaires de la Commission européenne ont averti les citoyens qu'ils avaient l'intention de fermer les réseaux sociaux en cas de troubles civils : dès qu'ils repéreraient ce qu'ils jugeaient être un « contenu haineux ». Ou à ce même pays, où la police a mené des descentes contre des citoyens soupçonnés d'avoir publié des commentaires antiféministes en ligne dans le cadre de la « lutte contre la misogynie » sur Internet.

Je pense à la Suède, où le gouvernement a condamné il y a deux semaines un militant chrétien pour avoir participé à l'autodafé de Corans qui a conduit au meurtre de son ami. Et comme le juge l'a fait remarquer de manière effrayante, les lois suédoises censées protéger la liberté d'expression ne donnent pas, en réalité, un « laissez-passer » pour faire ou dire n'importe quoi sans risquer d'offenser le groupe qui professe cette croyance.

Et ce qui m’inquiète le plus, c’est peut-être le cas de nos chers amis, le Royaume-Uni, où le recul des droits de conscience a mis en péril les libertés fondamentales des Britanniques religieux en particulier. Il y a un peu plus de deux ans, le gouvernement britannique a accusé Adam Smith Conner, un physiothérapeute de 51 ans et ancien combattant de l’armée, du crime odieux d’avoir prié en silence pendant trois minutes à 50 mètres d’une clinique d’avortement, sans gêner personne, sans interagir avec personne, mais en priant seul en silence. Après que les forces de l’ordre britanniques l’ont repéré et lui ont demandé pourquoi il priait, Adam a simplement répondu que c’était au nom de son fils à naître.

Lui et son ancienne petite amie avaient déjà avorté des années auparavant. Mais les policiers n'ont pas bougé. Adam a été reconnu coupable d'avoir enfreint la nouvelle loi sur les zones tampons, qui criminalise la prière silencieuse et d'autres actions susceptibles d'influencer la décision d'une personne à moins de 200 mètres d'un centre d'avortement. Il a été condamné à payer des milliers de livres sterling de frais de justice au ministère public.

J’aimerais pouvoir dire qu’il s’agit d’un hasard, d’un exemple unique et insensé d’une loi mal rédigée adoptée contre une seule personne. Mais non. En octobre dernier, il y a quelques mois à peine, le gouvernement écossais a commencé à distribuer des lettres aux citoyens dont les maisons se trouvent dans des zones d’accès dites sûres, les avertissant que même la prière privée dans leur propre maison peut être considérée comme une infraction à la loi. Naturellement, le gouvernement a exhorté les lecteurs à signaler tout concitoyen soupçonné d’être coupable de délit de pensée en Grande-Bretagne et dans toute l’Europe.

La liberté d’expression, je le crains, est en recul et, dans l’intérêt de la comédie, mes amis, mais aussi dans l’intérêt de la vérité, je dois admettre que parfois les voix les plus fortes en faveur de la censure ne viennent pas d’Europe, mais de mon propre pays, où l’administration précédente a menacé et intimidé les sociétés de médias sociaux pour qu’elles censurent ce qu’on appelle la désinformation. De la désinformation, comme par exemple l’idée que le coronavirus avait probablement fuité d’un laboratoire en Chine. Notre propre gouvernement a encouragé les entreprises privées à faire taire les personnes qui osaient dire ce qui s’est avéré être une vérité évidente.

Je ne viens donc pas ici avec une simple observation, mais avec une proposition. Et tout comme l’administration Biden semblait désespérée de faire taire les gens qui s’exprimaient, l’administration Trump fera exactement le contraire, et j’espère que nous pourrons travailler ensemble sur ce sujet.

À Washington, un nouveau shérif est en poste. Sous la direction de Donald Trump, nous pouvons être en désaccord avec vos opinions, mais nous nous battrons pour défendre votre droit de les exprimer sur la place publique. Aujourd’hui, la situation est devenue si mauvaise qu’en décembre dernier, la Roumanie a purement et simplement annulé les résultats d’une élection présidentielle sur la base des soupçons fragiles d’une agence de renseignement et d’une énorme pression de ses voisins continentaux. Si j’ai bien compris, l’argument était que la désinformation russe avait infecté les élections roumaines. Mais je demanderais à mes amis européens de prendre du recul. Vous pouvez croire que c’est mal pour la Russie d’acheter des publicités sur les réseaux sociaux pour influencer vos élections. Nous le pensons certainement. Vous pouvez même condamner cela sur la scène internationale. Mais si votre démocratie peut être détruite avec quelques centaines de milliers de dollars de publicité numérique provenant d’un pays étranger, alors elle n’était pas très solide au départ.

La bonne nouvelle, c’est que je pense que vos démocraties sont bien moins fragiles que beaucoup de gens le craignent.

Croire en la démocratie, c'est comprendre que chacun de nos citoyens a de la sagesse et a une voix.

Je crois vraiment que permettre à nos citoyens de s’exprimer les rendra encore plus forts. Ce qui nous ramène bien sûr à Munich, où les organisateurs de cette conférence ont interdit aux parlementaires représentant les partis populistes de gauche comme de droite de participer à ces discussions. Nous ne sommes pas obligés d’être d’accord avec tout ce que disent les gens. Mais lorsque les dirigeants politiques représentent un groupe important, il nous incombe au moins de participer au dialogue avec eux.

Aujourd’hui, pour beaucoup d’entre nous de l’autre côté de l’Atlantique, cela ressemble de plus en plus à de vieux intérêts bien ancrés se cachant derrière des termes laids de l’ère soviétique comme « mésinformation » et « désinformation », qui n’aiment tout simplement pas l’idée que quelqu’un avec un point de vue alternatif puisse exprimer une opinion différente ou, Dieu nous en préserve, voter différemment, ou pire encore, gagner une élection.

Il s’agit d’une conférence sur la sécurité et je suis sûr que vous êtes tous venus ici préparés à parler de la manière dont vous comptez augmenter les dépenses de défense au cours des prochaines années, conformément à un nouvel objectif. Et c’est formidable, car comme le président Trump l’a clairement indiqué, il estime que nos amis européens doivent jouer un rôle plus important dans l’avenir de ce continent. Nous ne pensons pas que vous entendiez ce terme de « partage des charges », mais nous pensons qu’il est important que les Européens intensifient leurs efforts tandis que l’Amérique se concentre sur les régions du monde qui sont en grand danger.

Mais permettez-moi de vous demander comment vous allez commencer à réfléchir aux questions budgétaires si nous ne savons pas ce que nous défendons en premier lieu. J'ai déjà entendu beaucoup de choses au cours de mes conversations et j'ai eu de très nombreuses conversations intéressantes avec de nombreuses personnes réunies ici dans cette salle. J'ai beaucoup entendu parler de ce contre quoi vous devez vous défendre, et bien sûr, c'est important. Mais ce qui m'a semblé un peu moins clair, et certainement à de nombreux citoyens européens, c'est ce pour quoi vous vous défendez exactement. Quelle est la vision positive qui anime ce pacte de sécurité partagé que nous considérons tous comme si important ?

Je crois profondément qu’il n’y a pas de sécurité si l’on a peur des voix, des opinions et de la conscience qui guident son propre peuple. L’Europe est confrontée à de nombreux défis. Mais la crise à laquelle ce continent est confronté en ce moment, la crise à laquelle nous sommes tous confrontés ensemble, je crois, est une crise que nous avons nous-mêmes provoquée. Si vous vous présentez dans la peur de vos propres électeurs, l’Amérique ne peut rien faire pour vous. Et d’ailleurs, vous ne pouvez rien faire pour le peuple américain qui m’a élu et qui a élu le président Trump. Vous avez besoin de mandats démocratiques pour accomplir quoi que ce soit de valable dans les années à venir.

N’avons-nous pas appris que des mandats trop restrictifs produisent des résultats instables ? Pourtant, il y a tant de choses qui peuvent être accomplies avec le type de mandat démocratique qui, je pense, résultera d’une plus grande réactivité aux voix de vos citoyens. Si vous voulez profiter d’économies compétitives, d’une énergie abordable et de chaînes d’approvisionnement sûres, vous avez besoin de mandats pour gouverner, car vous devez faire des choix difficiles pour profiter de toutes ces choses.

Et bien sûr, nous le savons très bien. Aux États-Unis, on ne peut pas gagner un mandat démocratique en censurant ses adversaires ou en les mettant en prison. Qu'il s'agisse du chef de l'opposition, d'un humble chrétien priant chez lui ou d'un journaliste essayant de rapporter l'actualité. On ne peut pas non plus gagner un mandat démocratique en ignorant son électorat de base sur des questions comme celle de savoir qui a le droit de faire partie de notre société commune.

Parmi tous les défis urgents auxquels sont confrontées les nations représentées ici, je pense qu’il n’y en a pas de plus urgent que la migration de masse. Aujourd’hui, près d’une personne sur cinq vivant dans ce pays a immigré de l’étranger. Il s’agit, bien sûr, d’un chiffre record. C’est d’ailleurs un chiffre similaire aux États-Unis, également un record historique. Le nombre d’immigrants entrés dans l’UE en provenance de pays tiers a doublé entre 2021 et 2022 seulement. Et bien sûr, il a beaucoup augmenté depuis.

Et nous connaissons la situation. Elle ne s'est pas matérialisée dans le vide. C'est le résultat d'une série de décisions conscientes prises par des hommes politiques de tout le continent et d'autres pays du monde entier, au cours d'une décennie. Nous avons vu les horreurs provoquées par ces décisions hier dans cette même ville. Et bien sûr, je ne peux pas évoquer à nouveau ce sujet sans penser aux terribles victimes qui ont vu une belle journée d'hiver à Munich gâchée. Nos pensées et nos prières les accompagnent et resteront avec elles. Mais pourquoi tout cela est-il arrivé en premier lieu ?

C’est une histoire terrible, mais nous l’avons entendue trop souvent en Europe, et malheureusement trop souvent aux États-Unis également. Un demandeur d’asile, souvent un jeune homme d’une vingtaine d’années, déjà connu de la police, a foncé dans une foule et a brisé une communauté. L’unité. Combien de fois devrons-nous subir ces revers effroyables avant de changer de cap et de donner à notre civilisation commune une nouvelle direction ? Aucun électeur sur ce continent n’est allé aux urnes pour ouvrir les vannes à des millions d’immigrés non contrôlés. Mais vous savez pour quoi ils ont voté ? En Angleterre, ils ont voté pour le Brexit. Et qu’ils soient d’accord ou non, ils ont voté pour. Et de plus en plus de gens partout en Europe votent pour des dirigeants politiques qui promettent de mettre fin à une migration incontrôlable. Il se trouve que je suis d’accord avec beaucoup de ces préoccupations, mais vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec moi.

Je pense simplement que les gens se soucient de leur maison, de leurs rêves, de leur sécurité et de leur capacité à subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants.

Et ils sont intelligents. Je pense que c'est l'une des choses les plus importantes que j'ai apprises au cours de ma brève carrière politique. Contrairement à ce que l'on pourrait entendre à quelques montagnes de Davos, les citoyens de nos pays ne se considèrent généralement pas comme des animaux éduqués ou comme des rouages ​​interchangeables de l'économie mondiale. Il n'est donc pas surprenant qu'ils ne souhaitent pas être bousculés ou ignorés sans relâche par leurs dirigeants. Et c'est le rôle de la démocratie de trancher ces grandes questions lors des urnes.

Acceptez ce que vos gens vous disent, même si c'est surprenant, même si vous n'êtes pas d'accord

Je crois que le fait de rejeter les gens, de faire fi de leurs préoccupations ou, pire encore, de bloquer les médias, d’empêcher les élections ou d’exclure les gens du processus politique ne protège rien. En fait, c’est le moyen le plus sûr de détruire la démocratie. S’exprimer et exprimer ses opinions n’est pas une ingérence électorale. Même lorsque des personnes expriment des opinions en dehors de votre propre pays, et même lorsque ces personnes sont très influentes – et croyez-moi, je dis cela avec humour – si la démocratie américaine peut survivre à dix ans de réprimandes de Greta Thunberg, vous pouvez survivre à quelques mois d’Elon Musk.

Mais aucune démocratie, qu’elle soit américaine, allemande ou européenne, ne survivra à l’idée de dire à des millions d’électeurs que leurs pensées et leurs préoccupations, leurs aspirations, leurs appels à l’aide, ne sont pas valables ou ne méritent même pas d’être pris en considération.

La démocratie repose sur le principe sacré selon lequel la voix du peuple compte. Il n’y a pas de place pour les pare-feu. Soit on respecte ce principe, soit on ne le fait pas. Les Européens, les citoyens ont voix au chapitre. Les dirigeants européens ont le choix. Et je suis fermement convaincu que nous n’avons pas à avoir peur de l’avenir.

Acceptez ce que votre peuple vous dit, même si c'est surprenant, même si vous n'êtes pas d'accord. Et si vous le faites, vous pourrez affronter l'avenir avec certitude et confiance, sachant que la nation est derrière chacun de vous. Et c'est là, pour moi, la grande magie de la démocratie. Elle ne réside pas dans ces bâtiments en pierre ou dans ces beaux hôtels. Elle ne réside même pas dans les grandes institutions que nous avons bâties ensemble en tant que société commune.

Croire en la démocratie, c'est comprendre que chacun de nos citoyens est doté de sagesse et a une voix. Et si nous refusons d'écouter cette voix, même nos combats les plus victorieux n'aboutiront à rien. Comme l'a dit un jour le pape Jean-Paul II, à mon avis l'un des plus extraordinaires défenseurs de la démocratie sur ce continent ou sur tout autre, « n'ayez pas peur ». Nous ne devons pas avoir peur de nos citoyens, même lorsqu'ils expriment des opinions qui ne sont pas celles de leurs dirigeants. Merci à tous. Bonne chance à vous tous. Que Dieu vous bénisse. »

James David Vance

29 février 2024

Michel Rosenzweig

Tout ça parce qu’on affirme ça et là que Poutine ira forcément et nécessairement au conflit avec un pays de l’OTAN après l’Ukraine.

Je ne crois pas à ce storytelling.
Poutine est tout ce qu’on voudra mais il n’est ni suicidaire ni cinglé, citons le :

« Celui qui ne regrette pas l’Union soviétique n’a pas de cœur, celui qui souhaite son retour n’a pas de tête. »

L’objectif reste de neutraliser l’Ukraine pour éviter son adhésion à l’OTAN afin d’éviter d’entrer en guerre avec un pays de l’Otan.

Justement.

En fait la paranoïa règne en maître, d’un côté la Russie se sent encerclée et menacée par l’avancée inexorable de l’OTAN vers ses frontières, de l’autre l’Occident se croit obligé d’avancer vers son ennemi héréditaire afin de se protéger d’une menace supposée permanente.

Chacun prête à l’autre des velléités d’attaque et chacun édifie une stratégie de défense contre une attaque imaginaire et fantasmée.

Dialogue de sourds entre deux super puissances nucléaires qui se craignent mutuellement et qui s’accusent des mêmes intentions.

Je me défends pour que tu sois dissuadé de m’attaquer, discours en miroir, mise en abîme de peurs et d’angoisses qui remontent à la nuit des temps.

Si tu veux la paix prépare la guerre.

Certes.

Sauf que personne ne sait si l’autre veut vraiment cette guerre et qu’à force, la guerre peut survenir sans l’avoir vraiment voulue.

Jouer avec des allumettes conduit parfois à faire pipi au lit disait on jadis…

Il faudrait peut-être consulter avant de se réveiller inondé.

9 février 2024

Michel Rosenzweig

Depuis sa mise en ligne aujourd'hui à minuit, beaucoup de commentaires circulent et même de fausses traductions, dont une qui évoque la guerre à Gaza et Israël, alors que ce sujet n'est jamais abordé dans l'interview. Le compte de Zoé Sagan notamment ainsi que d'autres se sont engouffrés dans la fabrication de faux avérés. Lamentable.
J'ai donc consacré deux heures à regarder attentivement cette entretien troublant, passionnant et même fascinant à certains égards.
Mais sans aucune naïveté.
Poutine, c'est l'histoire d'un petit voyou de St Pétersbourg devenu chef de bande, puis chef de clan, kagébiste et enfin président du plus grand pays de la planète.
Poutine c'est aussi l'enfant qui a grandi dans la famille des voisins, une famille juive pour laquelle il gardera une certaine gratitude, ce qui ne l'empêchera pas de soutenir aussi les islamistes par pur opportunisme politique.
Mais Poutine c'est surtout un homme (chef de clan et parrain) déçu et blessé qui voulait entrer dans le club du camp adverse pour faire alliance avec lui, le club de l'OTAN qui n'a pas voulu de lui, comme l'illustre ici le court extrait.
Dans cet entretien on ressent bien cette blessure, ce ressentiment et le rejet vécu par celui qui voulait collaborer avec l'Occident et en faire partie tout en gardant son identité et sa souveraineté.
C'est donc un homme déçu et trahi qui s'exprime ici et qui justifie son opération militaire spéciale en Ukraine comme l'ultime moyen de se faire entendre et de préserver la sécurité et la souveraineté du pays dont il a la charge.
Il faut saluer la manière dont cet entretien a été mené par Tucker Carlson, probablement téléguidé par Trump, même s'il est évident que ce dernier a de la sympathie pour le Maître du Kremlin et un parti pris évident, aucune agressivité, des questions essentielles (mais aucune question qui fâche évidemment), une évidente naïveté de sa part qui trahit pas mal d'ignorance, beaucoup de complaisance et même une certaine complicité dans deux ou trois séquences où l'on voit bien la connivence dans les sourires échangés entre les deux hommes.
Poutine apparaît en pleine forme physique et mentale et très sûr de lui, il se dégage de lui une affirmation de soi et de sa fonction présidentielle, une incarnation de la fonction avec une assurance et une autorité naturelle qui impose le respect et inspire la crainte.
Cependant, et je le répète encore une fois contrairement à ce que d'aucuns continuent à affirmer, Poutine n'est pas Hitler, définitivement pas, et ceux qui lui prêtent des velléités de s'en prendre à la Pologne ou aux pays Baltes afin de reconstituer l'Empire soviétique ou russe se trompent.
Vladimir Vladimirovitch Poutine n'est ni un ange ni un enfant de chœur, c’est un autocrate mafieux qui dirige la Russie comme un Capo dei capi, il est froid et dur, son regard est celui d'un loup disposé à tuer sans état d'âme pour défendre sa meute et ses intérêts, il ment et réécrit l’histoire, certes, mais il n'est pas nécessairement le prédateur conquérant décrit par la propagande occidentale.
Et il n'est pas dépourvu d'humour fut-il grinçant.

20 novembre 2023

De la dystopie à l'utopie

Michel Rosenzweig

Souvenirs lointains

18/11/2021 - En réalité toute discussion, tout échange, tout débat sur le Covid est biaisé dans ses fondements et ne mène qu'à des discours qui finissent par s'épuiser d'eux-mêmes.
Comme je l'ai déjà dit et écrit à de nombreuses reprises, tant que le logiciel sera paramétré comme il l'a été dès le départ, on n'en sortira pas.
L'équation est insoluble et le logiciel structurellement, volontairement et intentionnellement biaisé : c'est très grave, il n'y a pas de traitement, vaccinez-vous, les vaccins sont sûrs, les non-vaccinés nous contaminent.
Tout ce qui se dit et s'écrit ensuite découle de ce mantra.
Seuls ceux qui le remettent en question font avancer la pensée.
Conclusion, ça tourne en rond et à vide, car le Co vide est vide de sens, ce qui ne veut pas dire qu'il n'existe pas, mais que sa réalité ne correspond pas à sa représentation officielle.
Nous vivons dans une réalité virtuelle, une sorte de duplication biaisée de la réalité et nous en sommes prisonniers.
Tant que les paramètres ne changeront pas, nous resterons enfermés dans cette dystopie sanitaire, car elle sert le biopouvoir dans sa volonté de se maintenir tout en étouffant toute contestation, voire toute révolte.
Et les efforts des uns et des autres n'y suffiront pas tant que ceux qui nous gouvernent et incarnent l'autorité, politique, scientifique, médicale, médiatique, ne changeront pas leur discours tout en pratiquant la censure et l'épuration idéologique.
Un renversement radical des discours officiels s'impose.
Radical c'est-à-dire à la racine.
Il faudrait renoncer à ce logiciel.
Idéalement.
Et revenir aux fondements de la médecine et de la science.
Passer de la dystopie à l'utopie.
© Michel Rosenzweig.

29 septembre 2023

Michel Rosenzweig

La Pologne envisage de demander au Canada l’extradition du vétéran nazi Yaroslav Hunka, 98 ans, ovationné au parlement.
C'est fou comme ces anciens nazis vivent longtemps en très bonne forme.
Le mal absolu comme gage de longévité...


26 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Rubrique cynisme et hypocrisie : et l'enclave arménienne au Haut-Karabakh, on en parle ?
Ah ben non vous comprenez, l'UE achète du gaz au Président Dictateur de l'Azerbaïdjan.
Mais pas à la Russie, enfin, pas directement.
C'est quoi la différence entre un bon et un mauvais dictateur ?
C'est comme les bons et les mauvais chasseurs.
Poutine : mauvais dictateur.
Ilham Aliyev : bon dictateur.
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Ben non.
Circulez y a rien à voir.
Plus de 13 000 Arméniens ont dû fuir le Haut-Karabakh, après l'intervention de l'armée azerbaïdjanaise, dans l’indifférence générale de la communauté internationale.

24 septembre 2023

Conflit ukrainien

Michel Rosenzweig

Cette guerre est une imposture politique et idéologique.
On veut nous faire croire depuis 19 mois qu’il s’agit de défendre les valeurs occidentales contre un régime totalitaire bla-bla-bla.
BS. Foutaises.
Il s’agit de sphère d’influences, de pognon, de marché, de volonté de puissance et d’hégémonie.
Coût humain : déjà 500.000 morts
Et de juteux contrats déjà signés.
Le tout avec la complicité des Européens et des Ukrainiens aidés de leurs idiots utiles, tous hypnotisés par la caste politico-médiatique et persuadés d’être engagés dans un combat existentiel. 24/9/2023

22 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Pendant longtemps j'ai pensé que l'abandon était la blessure la plus importante, voire la plus grave dans la vie d'une personne.
Mais avec le temps et l'âge avançant, c'est la trahison qui m'apparaît comme la blessure la plus intense.
L'abandon est une blessure qui peut se transformer en perle, à l'instar de l'huitre qui enrobe sa blessure de nacre.
En revanche, la trahison est une blessure profonde qui laisse des traces indélébiles.
Il n'y a probablement rien de pire que la trahison dans le registre des blessures affectives, et rien ne peut la racheter, c'est pourquoi elle s'est toujours payée très cher dans toutes les cultures et dans toutes les civilisations ainsi que dans toutes les relations intimes.
Illustration : la mort de César, Camuccini, 1806.

Michel Rosenzweig

Texte publié dans France Soir le 4 octobre 2021. Après ce texte je n'ai plus publié un seul article sur ce sujet. Depuis, j'ai délaissé le Covid avec le sentiment du devoir accompli, une trentaine d'articles. La saison 4 du Covid n'a pas donné lieu à une cinquième saison. Mais qui sait...

https://www.francesoir.fr/.../sars-cov-2-saison-4-end-game


Sars-Cov2 saison 4 : End Game

"Je ne connais pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi." Dune, Frank Herbert.

Cette phrase à l'allure d'un mantra entendu hier lors de la projection de la deuxième adaptation du célèbre roman de Frank Herbert, "Dune" m'a percuté par son caractère si actuel.
La peur, qui est aussi le titre d'un recueil de nouvelles de Stefan Zweig, et qui nous gouverne depuis mars 2020, a désormais conquis la grosse majorité des esprits et des consciences.
Les jeux sont faits, rien ne va plus, game over, fin de partie, end game.
Les voix de la raison et de la liberté ont-elles pour autant dit leurs derniers mots ?
Non bien entendu.
Mais sont-elles audibles dans ce vaste champ de propagande biopolitique qui domine l'espace médiatique et sociopolitique et ont-elles un quelconque effet susceptible de renverser le cours des choses ?
Je ne le pense pas tout en entendant et en respectant ceux qui le pensent et le croient encore.
Le constat est cependant sans appel : après un an et demi d'offensive tous azimuts, le biopouvoir mondialisé a atteint un de ses premiers objectifs : vacciner quelques milliards d'individus contre un virus dont l'immense majorité en réchappe sans problème, soit 99,8% de la population mondiale, pourcentage qui rejoint d'ailleurs probablement celui des adhérents au narratif officiel.
Cependant, les seules vraies questions qui demeurent dans cet épisode inédit en santé publique n'ont à ce jour pas trouvé de réponse officielle satisfaisante et ces interrogations sont devenues pour moi le socle sur lequel se sont bâties quelques convictions acquises au cours de cette période, dont voici quelques-unes :
- Cette crise n'est pas et n'a jamais été d'ordre strictement sanitaire.
- La médecine et la science ont été clairement dévoyées par le biopouvoir et par les conflits d'intérêts dont le caractère systémique n'est plus à démontrer.
- Pour la première fois dans l'histoire de la médecine l'Ordre politique et l'Ordre médical ont interdit aux médecins de soigner et de traiter avec des molécules connues et éprouvées afin de permettre, de toute évidence, une autorisation de mise sur le marché de thérapies géniques vaccinales expérimentales.
- Le tout vaccinal au détriment de la prise en charge précoce est une ineptie et une énigme épistémologique pour une maladie dont les taux de mortalité et de létalité demeurent très faibles.
- Le concept de gravité de l'épidémie a été construit de toute pièce selon des paramètres plus proches de ceux du laboratoire que de ceux de la vraie vie, et ce afin d'entretenir la peur indéfiniment et de justifier ainsi le régime sanitaire d'urgence.
- De nombreuses personnes sont mortes par défaut de prise en charge.
- Les lois liberticides totalement inconstitutionnelles n'ont eu que peu d'impact en matière de santé publique, mais beaucoup d'impact en matière psycho émotionnelle et socioéconomique.
- L'extorsion du consentement vaccinal a été obtenu par la propagande, la contrainte, la menace, le chantage et l'intimidation.
- L'état de droit a été sérieusement affaibli et son champ d'application considérablement rétréci.
- Cette pandémie est pilotée mondialement de manière synchronisée selon les mêmes paramètres biopolitiques et selon l'agenda du groupe international de Davos (Great Reset), son but étant un changement de paradigme socioéconomique et anthropo-social ainsi que l'avènement de l'identité numérique avec pour corollaires la surveillance et le contrôle des populations par l'intermédiaire d'un passe (port) sanitaire dont l'extension du domaine d'application sera bientôt et exclusivement à caractère vaccinal.
- La partie émergée de l'iceberg des effets secondaires graves dus aux injections est estimée à 10%.
- La presse officielle n'est que le bras médiatique armé du biopouvoir et sa courroie de transmission propagandiste, et le journalisme d'investigation est mort.
- Nous avons changé de paradigme civilisationnel et il n'y aura pas de retour en arrière, nous sommes à l'ère sanitaire de l'hygiénisme radical et de l'idéal de pureté et nous sommes gouvernés par une caste médico-scientifique au service d’un biopouvoir sanitaire tyrannique et totalitaire régissant nos vies quotidiennes.
- La vaccination fonctionne selon un abonnement aux rappels illimités dans le temps.
- La société a été fracturée selon une ligne biopolitique apparentée au régime de l'apartheid.
- Le formatage mental des consciences a été réalisé par un gigantesque programme d'ingénierie sociale mondial basé sur les techniques éprouvées de la PNL (Programmation neuro Linguistique).
- Ce que nous vivons depuis mars 2020 ne relève ni du hasard ni de la contingence, mais bien d'une intention opportuniste délibérée.
Ce nouveau régime de gouvernance est fait pour durer longtemps, car il a été conçu par une oligarchie politique, médicale et scientifique afin d'instaurer un capitalisme de contrôle et de surveillance pour en finir avec la notion d'état nation et avec la démocratie libérale devenue encombrante, trop lente et menaçante dans sa forme dite "populiste".
Le rapport de force entre cette oligarchie mondialisée et les peuples soumis en quelques mois à ce régime sanitaire globalitaire est d'une telle inégalité qu'il est vain d'espérer pouvoir le menacer d'une manière ou d'une autre, c'est ce que je pense profondément après 18 mois d'observation et d'analyses décrites en plus de 200 pages de textes écrits sous forme de petites chroniques sanitaires entre mars 2020 et aujourd'hui.
Ce que j'écris aujourd'hui n'est ni un renoncement ni une abdication face à ce que Ariane Bilheran a nommé très judicieusement dès le début comme étant un "déferlement totalitaire".
C'est un constat personnel lucide face aux faits et aux données.
Mon travail n'a jamais été celui d'un militant, j'ai à plusieurs reprises précisé que le militantisme n'était pas ma nature, je laisse cette tâche à ceux qui s'en sentent investis.
Chacun doit assumer son rôle sans prétendre pouvoir tout faire.
Mon seul souci a été et reste de rétablir la carte du territoire, de chercher la vérité des faits réels au-delà des discours et de la restituer, de la restaurer en essayant de réécrire un autre narratif, tâche difficile entre le dogme du narratif officiel relayé par la propagande médiatique trop puissante, et ceux déployés par tous les adeptes des théories radicales les plus farfelues et portées par leurs chefs de file avides de récupérer le moindre signe et la plus insignifiante donnée afin de conforter leurs convictions préconçues.
La voie du milieu est celle qui consiste à ne pas trop tendre la corde afin qu'elle ne se rompe pas et à ne pas trop la détendre faute de quoi elle ne produira plus aucun son.
Je continuerai à la pratiquer et à chercher la vérité du Covid qui se dissimule encore sous les couches du millefeuille actuel, la quête de la vérité et celle du sens étant tout ce qui m'anime.
Je l'ai écrit il y a déjà quelques mois: il n'y aura pas de "révolution" du Covid, c'était une évidence déjà l'année passée, c'est encore plus évident pour moi aujourd'hui. Ni révolution, ni insurrection, ni soulèvement.
Certains signes font dire à quelques-uns que le biopouvoir recule et que l'édifice se fissure.
Je n'en crois rien, je pense même le contraire, le pouvoir a gagné cette première manche et il le sait.
Seul un événement d'envergure qui ne relèverait pas du "signe", mais bien d'un "cygne noir" serait de nature à renverser le cours des choses, pour reprendre la théorie développée par le statisticien Nassim Nicholas Taleb dans son essai Le Cygne noir, théorie selon laquelle un certain événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler a de grandes conséquences et un rôle historique déterminant... lorsqu'il se produit, c'est la puissance de l'imprévisible.
Le cygne noir est l'illustration d'un biais cognitif. Les Européens ont longtemps cru que tous les cygnes étaient blancs avant de faire la découverte de l'existence des cygnes noirs en Australie.
Faisons le pari audacieux qu'il existe un cygne noir quelque part et décillons les yeux.
© Michel Rosenzweig, 21 septembre 2021, équinoxe d'automne.
Photo : les photovores

19 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Selon certains observateurs et spécialistes avisés, Poutine serait condamné à court ou moyen terme à l'instar de Khadafi et de Saddam Hussein, 69 ans tous les deux, comme Poutine.
Le problème c'est que ces mêmes experts autoproclamés ont dit la même chose en 2011 de Bachar El Assad et que le bougre est toujours en place grâce au soutien de la Russie et de l'Iran.
La chute de Poutine est toutefois assez vraisemblable, vu la tournure de cette guerre et ses conséquences au plan intérieur russe.
Toutefois, la chute de son régime est, elle, beaucoup moins évidente, et il se pourrait bien qu'un jour certains regrettent Poutine, car quoi qu'en dise la médiasphère bien pensante et la doxa officielle, l'autocrate du Kremlin est un modéré qui mène son "opération spéciale" avec beaucoup de retenue, raison pour laquelle son entourage ultra radical le pousse à commettre l'irréparable en rêvant de le renverser afin de prendre le pouvoir.
Ceux qui prétendent encore que Poutine et Hitler sont pareils n'auront que les larmes pour pleurer si d'aventure un jour un de ces fous furieux génocidaires habités par une pensée millénariste apocalyptique, arrivait à la tête du Kremlin avec le doigt sur la gâchette nucléaire, prêt à tirer sans aucun état d'âme.

24 juillet 2023

Chronique météo-climatique d'été

Michel Rosenzweig

Ça tombe bien je suis un passionné de climat ET de météo.
Encombrement nuageux de l'Atlantique jusqu'à Moscou (encore un coup de Poutine), le tout baigné dans un courant maritime polaire sur l'Europe de l'ouest jusqu'au sud.
Résultat : temps automnal, frais, pluvieux et sombre.
Et toujours aucune alarme météo sur les médias officiels.
Mais que fait le GIEC ?
Et cela va continuer ainsi pour les 14 jours à venir.
Quand ça canicule, y a du monde, mais quand ça bascule dans la fraîcheur de l'anomalie de saison, là y a plus personne.
Tiens au fait, des nouvelles de la sécheresse ? Des nappes phréatico-aquifères ? Là aussi, plus personne. Et pourtant il pleut, mais sans doute pas la bonne pluie. Normal faut que ça saigne...
Vont-ils se rattraper sur cette anomalie climato-météorologique pour continuer à alimenter l'angoisse et la peur ou choisiront-ils de l'ignorer pour conforter leur dogme en continuant à colorier les cartes en 50 nuances de rouge ?
Chiche.
En attendant il fait très sombre, gris, pluvieux et mossad (encore un coup des sionistes), comme en plein mois de novembre avec des températures en dessous des normes dans certaines zones.
Bref, nous avons eu l'été en juin et l'automne en été. Y a plus de saison ma bonne dame, c'est ce que je n'ai cessé d'entendre dans mon enfance et c'était il y a fort longtemps dans une autre galaxie, far far away...

Chronique sanitaire de l'année 2020, 24 juillet. Et toujours d'actualité.

Michel Rosenzweig

D'heure en heure ce n'est pas le coronavirus qui se propage et fait des ravages, mais le virus de la propagande thanatophore, liberticide, éroticide qui se répand par la volonté d'une clique de sociopathes cyniques incompétents aux manettes.
Et rien ne s'y oppose. La zombification des masses est totale puisque la grosse majorité de la population adhère à ces mesures sanitaires et hygiénistes totalement exagérées et sans justifications scientifiques et médicales crédibles, du moins pour les cerveaux dont le temps disponible n’a pas encore été contaminé et réduit par la fabrique du consentement.
La thanatophobie collective entretenue par le pouvoir et ses collaborateurs médico-scientifiques fera bien plus de ravages que ce coronavirus. Tous ces médecins, virologues, épidémiologues, et autres spécialistes en "logos" savant particulier, feraient mieux de s'interroger sur leur propre peur de la mort et sur leur propension à la corruption et aux conflits d'intérêts, cette peur de la mort et de la maladie qui est d'ailleurs très souvent la première raison de leur engagement dans la médecine.
Si seulement la vraie médecine et la vraie science pouvaient remettre de l'ordre dans cette pathologie mentale collective qui nous enferme dans un univers psychique émotionnel concentrationnaire délétère pour la santé mentale et physique.
Vivement le reconfinement au lieu de ce simulacre de déconfinement qui n'est qu'un enfermement individuel et collectif politiquement correct et plus acceptable.
Je préférais avant...

16 juin 2023

La guerre en Ukraine n'est pas une guerre territoriale (vidéo)

Michel Rosenzweig

16/6/2023 – Une conférence fondamentale pour comprendre pourquoi et comment nous en sommes arrivés là. Il est essentiel de garder à l'esprit que les USA n'ont jamais voulu que la Russie et l'Europe s'arriment à un projet commun et que leur obsession a été et est restée d'en finir avec la Russie. Cette guerre n'est que le prolongement de la 2ème guerre mondiale après un simulacre de paix européenne au prix de la vassalisation complète du continent européen. L'UE n'est qu'un protectorat des USA et l'Ukraine est l'enjeu de l'extension de ce protectorat au détriment de la Russie.
Nikola Mirkovic, (''Le Martyre du Kosovo", ''Bienvenue au Kosovo'', ''L'Amérique empire'', ''Le Chaos ukrainien''), président de l’association Ouest-Est ;
François Martin, président du Groupement Professionnel HEC Géostratégies & Co-président du Pôle HEC Globalisation, auteur de "L'Ukraine : un basculement du monde".



0:01:08 Question épineuse ukrainienne
0:01:32 Rus der Kiev
0:03:05 Ukraina
0:03:20 XIX siècle - début de l'Ukraine
0:05:17 République socialiste en Ukraine
0:05:11 L'ouest ukrainien en uniforme allemand
0:06:35 Bandera
0:07:09 Peuple ukrainien
0:08:55 Terre d'Ukraine tant convoitée
0:11:07 Reinhard Gehlen et Bandera
0:12:35 Eric Branca et son ouvrage ''Ami américain''
0:14:10 Empire américain contre empire russe
0:15:30 Puissance eurasiatique
0:16:20 Hubert Vedrine ''Donnez la promesse aux Russes qu'on n'ira pas plus loin''
0:17:08 Glaziev sur la IIIème guerre mondiale
0:18:20 Solution au conflit : que l'Europe disparaisse
0:18:48 Accord entre Gorbatchev et James Baker
0:19:30 1992 Paul Wolfowitz
0:20:50 Poutine en 2000
0:21:00 Yougoslavia
0:22:20 Politique américaine dans les banlieues françaises
0:22:47 Révolution orange
0:23:12 Afghanistan
0:23:30 Est-ce que nous sommes dans le camp du bien?
0:23:54 Pertes colossales des guerres occidentales : 3 millions de morts
0:24:30 Coup d'état de Kiev
0:25:50 L'Europe indépendante et le traité de l'Élysée
0:27:57 Nous sommes un protectorat américain
0:28:33 Cette guerre est à la fois nucléaire, locale et globale
0:30:35 Guerre existentielle
0:31:40 Négociateurs de la paix ukrainiens sont assassinés à Kiev
0:34:40 Partenariats Russie-Ukraine ; EU-Ukraine
0:36:20 Open Society
0:36:50 Victoria Nuland et BHL
0:39:50 Un pays antirusse pas un pays ukrainien
0:41:00 Gouvernement ukrainien
0:43:00 Base de Yavoriv
0:45:40 Socialisme versus capitalisme
0:48:05 Oligarchie ukrainienne
0:50:25 Cette guerre n'est pas une guerre territoriale
0:52:29 Madeleine Albright
0:54:15 Guerre militaire
0:56:50 Afrique
0:58:07 Pacte de Quincy
0:59:21 Fin du pétrodollar
QUESTIONS
1:01:00 Mythe de Zelensky
1:01:56 Les Américains servent toujours des jeunes fanatisés
1:04:17 L'opposition n'existe pas en Ukraine
1:05:00 Polonais et Ukrainiens
1:06:06 Financement de la guerre
1:09:30 C'est une guerre de dévitalisation
1:11:13 Planche à billets
1:12:25 Mauvaise soft power russe
1:14:40 Vision universelle du conflit et la guerre médiatique
1:17:40 Médias dominants
1:22:38 Sociologue turko-américain Timur Kuran ''Private Truths" et "Public Lies''
1:24:19 Déchirure dans le Donbass
1:24:57 Prêtres orthodoxes tabassés en Ukraine
1:25:38 Gestion postguerre
1:26:50 Poutine ne peut pas perdre
1:28:13 Les Américains soutiennent 2 contradicteurs en parallèle pour choisir le meilleur
1:29:10 Guerre américaine contre l'Europe
1:29:45 Novorossia et Transnistrie
1:31:10 Un empire veut conquérir l'ensemble du monde
1:33:45 On est dans un système oligarchique
1:35:50 Où sont les vrais pacifistes?

29 avril 2023

Michel Rosenzweig

Les 100 jours d'apaisement de Macroléon se termineront-ils comme les 100 jours de Napoléon à Waterloo ?

Destitution de Macron

Michel Rosenzweig

Déjà plus de 55.000 signatures

- Ladite pétition demande que "l'Assemblée nationale s'érige en haute cour de justice (impossible à dissoudre par le président) afin de pouvoir juger de la destitution de l'occupant de l'Elysée".

Selon la réglementation française, la pétition doit recueillir au moins 100 mille signatures pour être discutée en commission et au moins 500 mille signatures, issues d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer, pour être discutée en séance publique à l'hémicycle.

PETITIONS.ASSEMBLEE-NATIONALE.FR

27 avril 2023

Michel Rosenzweig

La France est prise en otage depuis 40 ans grâce à l'instrumentalisation de la famille Le Pen par toute la classe politique avec l'assentiment d'une large majorité d'idiots utiles.


17 avril 2023

Michel Rosenzweig

Ce qui est fantastique avec FB ce sont les souvenirs. Chaque jour le réseau charitable et bienveillant de Mark nous propose de revoir les publications du même jour à d'autres dates. L'occasion pour moi de revisiter ce que je publiais sur le rhume 19 depuis mars 2020 selon l'expression de Jess Theubariaire.
Une manière de se refaire le film.
Très instructif de constater la précocité de mes constats et de mes anticipations. Certains diront que je me la pète. Eh bien pourquoi pas ? Mais attention, je ne suis ni médecin, ni scientifique, juste un philosophe et un psychanalyste qui pratique l'ultracrépidarianisme au quotidien.
Pour rappel : l’ultracrépidarianisme, mot vulgarisé par le physicien et philosophe des sciences Etienne Klein, est un comportement consistant à donner son avis sur des sujets à propos desquels on n’a pas de compétence crédible ou démontrée (en clair, surtout un diplôme reconnu par une université et/ou une académie).
Ce mot est dérivé de la locution latine Sutor, ne supra crepidam, qui signifie littéralement : « Cordonnier, pas plus haut que la chaussure » et équivaut à l’expression moderne « À chacun son métier, les vaches seront bien gardées ». (Wiki)
Malheureusement, l'utracrépidarianisme est rapidement devenu une arme de disqualification massive et de discrédit majeur utilisée par les adhérents covidistes, se rajoutant à la liste des autres qualificatifs invalidants bien connus.
J'ai donc trouvé intéressant et utile de repartager certaines de mes publications de 2020 qui me semblent encore toujours d'actualité, pertinentes et parfois visionnaires. Eh oui, quand on se la pète, on ne peut plus s'arrêter.

18 avril 2020
Point labo 4 Wuhan.
Où en sommes nous ?
Il y a à peine 72 heures, l'hypothèse d'une fuite possible d'un labo sur zone était totalement inenvisageable par le pouvoir et ses relais sans être immédiatement frappé d'ostracisme et envoyé au goulag mental et symbolique en étant accablé par l'ignominie contemporaine en vigueur, le complotisme conspirationniste ou le conspirationnisme complotiste, c'est selon.
Puis, l'enquête gênante du Washington Post obligea toute la médiasphère à se prononcer, du moins à minima sur ces révélations embarrassantes.
Branle-bas de combat dans tous les états-majors, politiques, scientifiques, médiatiques pour calmer la possible contagion d'idées conspirationnistes dans la population.
On a donc vu se ramener sur les plateaux les ténors en tout genre pour tenter de refroidir les ardeurs de cellezéceux qui osent l'ouvrir en sortant du consensus comme autant de chiens de garde aux abois.
Résultat : l'option 1 d'une fuite possible du labo P4 d'un agent viral naturel est plausible.
Pas vraiment envisagée, mais plausible. Le minimum syndical obligé après cette bombe planétaire.
Mais attention, pas question d'aller plus loin.
Pas question donc à ce stade d'évoquer la possibilité d'un virus bidouillé en labo.
D'ailleurs toutes les instances scientifiques sont immédiatement montées au créneau pour nous servir la soupe officielle de la Science académique, virologues, biologistes moléculaires, chercheurs, ils étaient tous si prompts à affirmer que c'était totalement impossible.
Pour seule preuve, la certitude que le génome du Covid-19 a été séquencé et qu'il ne révèle aucune bio manipulation.
C'est bien un virus de chauve-souris.
Point barre, circulez, y a rien à voir.
Nous sommes obligés de les croire. C'est une affaire de croyance, non de savoir puisque nous sommes ignares.
Argument d'autorité de la Science érigée en instance toute puissante, seul l'Éternel peut se mesurer à elle.
Très difficile à vérifier évidemment parce que ce genre de connaissances en biologie moléculaire n'est pas à la portée de n'importe qui.
Cependant, qui peut vraiment certifier que la carte d'identité de ce virus est vierge de toute manipulation de laboratoire et qu'il ne s'agit pas d'une chimère, une combinaison de plusieurs parties de brins différents et de protéines de membrane insérées comme de possibles clefs correspondants aux serrures cellulaires humaines?
Les scientifiques en biologie moléculaire, les experts bien entendu.
Le problème ici est le même que celui de l'innocuité de l'hydroxychloroquine, on l'a vu, les avis peuvent fort diverger.
Tout simplement parce que la corruption des scientifiques existe.
Or, rien ne s'oppose, ni en théorie ni en pratique à la fabrication d'un virus qui n'existe pas dans la nature et qui serait le résultat d'un assemblage très efficace en termes de contagion et de toxicité.
Les laboratoires de virologie de haute sécurité ne le sont pas uniquement pour des raisons sanitaires.
L'objectif de ces labos n'est pas uniquement réservé à la santé.
Ils sont également conçus pour des recherches en armes biologiques.
En réalité le pouvoir est mort de trouille, il a peur d'une possible contagion du savoir.
Une contagion bien plus dangereuse que le Covid-19.

21 mars 2023

Michel Rosenzweig

Ce type cherche les bâtons pour se faire taper dessus.

La stratégie du chaos et de la chienlit comme mode de gouvernance : provoquer la violence et les soulèvements pour encore réprimer et légitimer le parti de l'Ordre (moi ou de désordre).

Épreuve de force très délicate dans un monde où la violence reste le monopole de l'État et dans lequel la violence populaire légitime demeure non seulement illégale mais illégitime aux yeux d'une majorité d'individus.

Après un 49.3 pour faire passer la réforme des retraites, et le rejet des motions de censure lundi, le président de la République Emmanuel Macron a exclu à court terme une dissolution de l'Assemblée nationale, un remaniement du gouvernement ou un référendum, ont expliqué à BFMTV plusieurs participants à une réunion avec le chef de l'État ce mardi.


19 mars 2023

Antibiotiques à base de fluoroquinolones

Michel Rosenzweig

Le scandale sanitaire des antibiotiques à base de fluoroquinolones n'est pas récent mais il y a une véritable omerta sur ce dossier. Tout le monde devrait s'informer et être informé sur les graves effets secondaires de ces antibiotiques prescrits par millions comme des smarties par des médecins irresponsables. J'en parle d'autant plus aisément et en connaissance de cause pour avoir été victime d'une prescription sauvage et totalement irresponsable par un médecin qui n'a pas pris la peine de tenir compte de mon âge ni de mes données médicales. Pareil pour le pharmacien, aucune mise en garde contre le Tavanic. Conséquences : vives douleurs musculaires dans les mollets pendant deux semaines, je n'arrivais plus à marcher, deux consultations médicales dont une inutile, le toubib n'a pas pensé à me demander si je prenais cet antibiotique, le deuxième y a pensé à la fin de la consultation et m'a immédiatement ordonné d'arrêter. Trop tard, une semaine après l'arrêt, atteinte bilatérale grave des tendons d'Achille, le matin de mon anniversaire en 2019 je me lève, je mets un pied à terre et j'entends un "clac". Happy birthday ! Tendon rompu au pied gauche, taxi, hosto, opération, 6 semaines de plâtre, 2 mois de rééducation et une fragilité à vie des tendons. Plus de mouvements sollicitant les talons et les tendons, danse, ping pong, tennis etc...
Soyez donc très vigilant car ces antibiotiques sont très couramment prescrits, il faut les proscrire !