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20 novembre 2023

De la dystopie à l'utopie

Michel Rosenzweig

Souvenirs lointains

18/11/2021 - En réalité toute discussion, tout échange, tout débat sur le Covid est biaisé dans ses fondements et ne mène qu'à des discours qui finissent par s'épuiser d'eux-mêmes.
Comme je l'ai déjà dit et écrit à de nombreuses reprises, tant que le logiciel sera paramétré comme il l'a été dès le départ, on n'en sortira pas.
L'équation est insoluble et le logiciel structurellement, volontairement et intentionnellement biaisé : c'est très grave, il n'y a pas de traitement, vaccinez-vous, les vaccins sont sûrs, les non-vaccinés nous contaminent.
Tout ce qui se dit et s'écrit ensuite découle de ce mantra.
Seuls ceux qui le remettent en question font avancer la pensée.
Conclusion, ça tourne en rond et à vide, car le Co vide est vide de sens, ce qui ne veut pas dire qu'il n'existe pas, mais que sa réalité ne correspond pas à sa représentation officielle.
Nous vivons dans une réalité virtuelle, une sorte de duplication biaisée de la réalité et nous en sommes prisonniers.
Tant que les paramètres ne changeront pas, nous resterons enfermés dans cette dystopie sanitaire, car elle sert le biopouvoir dans sa volonté de se maintenir tout en étouffant toute contestation, voire toute révolte.
Et les efforts des uns et des autres n'y suffiront pas tant que ceux qui nous gouvernent et incarnent l'autorité, politique, scientifique, médicale, médiatique, ne changeront pas leur discours tout en pratiquant la censure et l'épuration idéologique.
Un renversement radical des discours officiels s'impose.
Radical c'est-à-dire à la racine.
Il faudrait renoncer à ce logiciel.
Idéalement.
Et revenir aux fondements de la médecine et de la science.
Passer de la dystopie à l'utopie.
© Michel Rosenzweig.

29 septembre 2023

Michel Rosenzweig

La Pologne envisage de demander au Canada l’extradition du vétéran nazi Yaroslav Hunka, 98 ans, ovationné au parlement.
C'est fou comme ces anciens nazis vivent longtemps en très bonne forme.
Le mal absolu comme gage de longévité...


26 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Rubrique cynisme et hypocrisie : et l'enclave arménienne au Haut-Karabakh, on en parle ?
Ah ben non vous comprenez, l'UE achète du gaz au Président Dictateur de l'Azerbaïdjan.
Mais pas à la Russie, enfin, pas directement.
C'est quoi la différence entre un bon et un mauvais dictateur ?
C'est comme les bons et les mauvais chasseurs.
Poutine : mauvais dictateur.
Ilham Aliyev : bon dictateur.
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Ben non.
Circulez y a rien à voir.
Plus de 13 000 Arméniens ont dû fuir le Haut-Karabakh, après l'intervention de l'armée azerbaïdjanaise, dans l’indifférence générale de la communauté internationale.

24 septembre 2023

Conflit ukrainien

Michel Rosenzweig

Cette guerre est une imposture politique et idéologique.
On veut nous faire croire depuis 19 mois qu’il s’agit de défendre les valeurs occidentales contre un régime totalitaire bla-bla-bla.
BS. Foutaises.
Il s’agit de sphère d’influences, de pognon, de marché, de volonté de puissance et d’hégémonie.
Coût humain : déjà 500.000 morts
Et de juteux contrats déjà signés.
Le tout avec la complicité des Européens et des Ukrainiens aidés de leurs idiots utiles, tous hypnotisés par la caste politico médiatique et persuadés d’être engagés dans un combat existentiel.

22 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Pendant longtemps j'ai pensé que l'abandon était la blessure la plus importante, voire la plus grave dans la vie d'une personne.
Mais avec le temps et l'âge avançant, c'est la trahison qui m'apparaît comme la blessure la plus intense.
L'abandon est une blessure qui peut se transformer en perle, à l'instar de l'huitre qui enrobe sa blessure de nacre.
En revanche, la trahison est une blessure profonde qui laisse des traces indélébiles.
Il n'y a probablement rien de pire que la trahison dans le registre des blessures affectives, et rien ne peut la racheter, c'est pourquoi elle s'est toujours payée très cher dans toutes les cultures et dans toutes les civilisations ainsi que dans toutes les relations intimes.
Illustration : la mort de César, Camuccini, 1806.

Michel Rosenzweig

Texte publié dans France Soir le 4 octobre 2021. Après ce texte je n'ai plus publié un seul article sur ce sujet. Depuis, j'ai délaissé le Covid avec le sentiment du devoir accompli, une trentaine d'articles. La saison 4 du Covid n'a pas donné lieu à une cinquième saison. Mais qui sait...

https://www.francesoir.fr/.../sars-cov-2-saison-4-end-game


Sars-Cov2 saison 4 : End Game

"Je ne connais pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi." Dune, Frank Herbert.

Cette phrase à l'allure d'un mantra entendu hier lors de la projection de la deuxième adaptation du célèbre roman de Frank Herbert, "Dune" m'a percuté par son caractère si actuel.
La peur, qui est aussi le titre d'un recueil de nouvelles de Stefan Zweig, et qui nous gouverne depuis mars 2020, a désormais conquis la grosse majorité des esprits et des consciences.
Les jeux sont faits, rien ne va plus, game over, fin de partie, end game.
Les voix de la raison et de la liberté ont-elles pour autant dit leurs derniers mots ?
Non bien entendu.
Mais sont-elles audibles dans ce vaste champ de propagande biopolitique qui domine l'espace médiatique et sociopolitique et ont-elles un quelconque effet susceptible de renverser le cours des choses ?
Je ne le pense pas tout en entendant et en respectant ceux qui le pensent et le croient encore.
Le constat est cependant sans appel : après un an et demi d'offensive tous azimuts, le biopouvoir mondialisé a atteint un de ses premiers objectifs : vacciner quelques milliards d'individus contre un virus dont l'immense majorité en réchappe sans problème, soit 99,8% de la population mondiale, pourcentage qui rejoint d'ailleurs probablement celui des adhérents au narratif officiel.
Cependant, les seules vraies questions qui demeurent dans cet épisode inédit en santé publique n'ont à ce jour pas trouvé de réponse officielle satisfaisante et ces interrogations sont devenues pour moi le socle sur lequel se sont bâties quelques convictions acquises au cours de cette période, dont voici quelques-unes :
- Cette crise n'est pas et n'a jamais été d'ordre strictement sanitaire.
- La médecine et la science ont été clairement dévoyées par le biopouvoir et par les conflits d'intérêts dont le caractère systémique n'est plus à démontrer.
- Pour la première fois dans l'histoire de la médecine l'Ordre politique et l'Ordre médical ont interdit aux médecins de soigner et de traiter avec des molécules connues et éprouvées afin de permettre, de toute évidence, une autorisation de mise sur le marché de thérapies géniques vaccinales expérimentales.
- Le tout vaccinal au détriment de la prise en charge précoce est une ineptie et une énigme épistémologique pour une maladie dont les taux de mortalité et de létalité demeurent très faibles.
- Le concept de gravité de l'épidémie a été construit de toute pièce selon des paramètres plus proches de ceux du laboratoire que de ceux de la vraie vie, et ce afin d'entretenir la peur indéfiniment et de justifier ainsi le régime sanitaire d'urgence.
- De nombreuses personnes sont mortes par défaut de prise en charge.
- Les lois liberticides totalement inconstitutionnelles n'ont eu que peu d'impact en matière de santé publique, mais beaucoup d'impact en matière psycho émotionnelle et socioéconomique.
- L'extorsion du consentement vaccinal a été obtenu par la propagande, la contrainte, la menace, le chantage et l'intimidation.
- L'état de droit a été sérieusement affaibli et son champ d'application considérablement rétréci.
- Cette pandémie est pilotée mondialement de manière synchronisée selon les mêmes paramètres biopolitiques et selon l'agenda du groupe international de Davos (Great Reset), son but étant un changement de paradigme socioéconomique et anthropo-social ainsi que l'avènement de l'identité numérique avec pour corollaires la surveillance et le contrôle des populations par l'intermédiaire d'un passe (port) sanitaire dont l'extension du domaine d'application sera bientôt et exclusivement à caractère vaccinal.
- La partie émergée de l'iceberg des effets secondaires graves dus aux injections est estimée à 10%.
- La presse officielle n'est que le bras médiatique armé du biopouvoir et sa courroie de transmission propagandiste, et le journalisme d'investigation est mort.
- Nous avons changé de paradigme civilisationnel et il n'y aura pas de retour en arrière, nous sommes à l'ère sanitaire de l'hygiénisme radical et de l'idéal de pureté et nous sommes gouvernés par une caste médico-scientifique au service d’un biopouvoir sanitaire tyrannique et totalitaire régissant nos vies quotidiennes.
- La vaccination fonctionne selon un abonnement aux rappels illimités dans le temps.
- La société a été fracturée selon une ligne biopolitique apparentée au régime de l'apartheid.
- Le formatage mental des consciences a été réalisé par un gigantesque programme d'ingénierie sociale mondial basé sur les techniques éprouvées de la PNL (Programmation neuro Linguistique).
- Ce que nous vivons depuis mars 2020 ne relève ni du hasard ni de la contingence, mais bien d'une intention opportuniste délibérée.
Ce nouveau régime de gouvernance est fait pour durer longtemps, car il a été conçu par une oligarchie politique, médicale et scientifique afin d'instaurer un capitalisme de contrôle et de surveillance pour en finir avec la notion d'état nation et avec la démocratie libérale devenue encombrante, trop lente et menaçante dans sa forme dite "populiste".
Le rapport de force entre cette oligarchie mondialisée et les peuples soumis en quelques mois à ce régime sanitaire globalitaire est d'une telle inégalité qu'il est vain d'espérer pouvoir le menacer d'une manière ou d'une autre, c'est ce que je pense profondément après 18 mois d'observation et d'analyses décrites en plus de 200 pages de textes écrits sous forme de petites chroniques sanitaires entre mars 2020 et aujourd'hui.
Ce que j'écris aujourd'hui n'est ni un renoncement ni une abdication face à ce que Ariane Bilheran a nommé très judicieusement dès le début comme étant un "déferlement totalitaire".
C'est un constat personnel lucide face aux faits et aux données.
Mon travail n'a jamais été celui d'un militant, j'ai à plusieurs reprises précisé que le militantisme n'était pas ma nature, je laisse cette tâche à ceux qui s'en sentent investis.
Chacun doit assumer son rôle sans prétendre pouvoir tout faire.
Mon seul souci a été et reste de rétablir la carte du territoire, de chercher la vérité des faits réels au-delà des discours et de la restituer, de la restaurer en essayant de réécrire un autre narratif, tâche difficile entre le dogme du narratif officiel relayé par la propagande médiatique trop puissante, et ceux déployés par tous les adeptes des théories radicales les plus farfelues et portées par leurs chefs de file avides de récupérer le moindre signe et la plus insignifiante donnée afin de conforter leurs convictions préconçues.
La voie du milieu est celle qui consiste à ne pas trop tendre la corde afin qu'elle ne se rompe pas et à ne pas trop la détendre faute de quoi elle ne produira plus aucun son.
Je continuerai à la pratiquer et à chercher la vérité du Covid qui se dissimule encore sous les couches du millefeuille actuel, la quête de la vérité et celle du sens étant tout ce qui m'anime.
Je l'ai écrit il y a déjà quelques mois: il n'y aura pas de "révolution" du Covid, c'était une évidence déjà l'année passée, c'est encore plus évident pour moi aujourd'hui. Ni révolution, ni insurrection, ni soulèvement.
Certains signes font dire à quelques-uns que le biopouvoir recule et que l'édifice se fissure.
Je n'en crois rien, je pense même le contraire, le pouvoir a gagné cette première manche et il le sait.
Seul un événement d'envergure qui ne relèverait pas du "signe", mais bien d'un "cygne noir" serait de nature à renverser le cours des choses, pour reprendre la théorie développée par le statisticien Nassim Nicholas Taleb dans son essai Le Cygne noir, théorie selon laquelle un certain événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler a de grandes conséquences et un rôle historique déterminant... lorsqu'il se produit, c'est la puissance de l'imprévisible.
Le cygne noir est l'illustration d'un biais cognitif. Les Européens ont longtemps cru que tous les cygnes étaient blancs avant de faire la découverte de l'existence des cygnes noirs en Australie.
Faisons le pari audacieux qu'il existe un cygne noir quelque part et décillons les yeux.
© Michel Rosenzweig, 21 septembre 2021, équinoxe d'automne.
Photo : les photovores

19 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Selon certains observateurs et spécialistes avisés, Poutine serait condamné à court ou moyen terme à l'instar de Khadafi et de Saddam Hussein, 69 ans tous les deux, comme Poutine.
Le problème c'est que ces mêmes experts autoproclamés ont dit la même chose en 2011 de Bachar El Assad et que le bougre est toujours en place grâce au soutien de la Russie et de l'Iran.
La chute de Poutine est toutefois assez vraissemblable, vu la tournure de cette guerre et ses conséquences au plan intérieur russe.
Toutefois, la chute de son régime est, elle, beaucoup moins évidente, et il se pourrait bien qu'un jour certains regrettent Poutine, car quoi qu'en dise la médiasphère bien pensante et la doxa officielle, l'autocrate du Kremlin est un modéré qui mène son "opération spéciale" avec beaucoup de retenue, raison pour laquelle son entourage ultra radical le pousse à commettre l'irréparable en rêvant de le renverser afin de prendre le pouvoir.
Ceux qui prétendent encore que Poutine et Hitler sont pareils n'auront que les larmes pour pleurer si d'aventure un jour un de ces fous furieux génocidaires habités par une pensée millénariste apocalyptique, arrivait à la tête du Kremlin avec le doigt sur la gâchette nucléaire, prêt à tirer sans aucun état d'âme.

24 juillet 2023

Chronique météo-climatique d'été

Michel Rosenzweig

Ça tombe bien je suis un passionné de climat ET de météo.
Encombrement nuageux de l'Atlantique jusqu'à Moscou (encore un coup de Poutine), le tout baigné dans un courant maritime polaire sur l'Europe de l'ouest jusqu'au sud.
Résultat : temps automnal, frais, pluvieux et sombre.
Et toujours aucune alarme météo sur les médias officiels.
Mais que fait le GIEC ?
Et cela va continuer ainsi pour les 14 jours à venir.
Quand ça canicule, y a du monde, mais quand ça bascule dans la fraîcheur de l'anomalie de saison, là y a plus personne.
Tiens au fait, des nouvelles de la sécheresse ? Des nappes phréatico-aquifères ? Là aussi, plus personne. Et pourtant il pleut, mais sans doute pas la bonne pluie. Normal faut que ça saigne...
Vont-ils se rattraper sur cette anomalie climato-météorologique pour continuer à alimenter l'angoisse et la peur ou choisiront-ils de l'ignorer pour conforter leur dogme en continuant à colorier les cartes en 50 nuances de rouge ?
Chiche.
En attendant il fait très sombre, gris, pluvieux et mossad (encore un coup des sionistes), comme en plein mois de novembre avec des températures en dessous des normes dans certaines zones.
Bref, nous avons eu l'été en juin et l'automne en été. Y a plus de saison ma bonne dame, c'est ce que je n'ai cessé d'entendre dans mon enfance et c'était il y a fort longtemps dans une autre galaxie, far far away...

16 juin 2023

La guerre en Ukraine n'est pas une guerre territoriale (vidéo)

Michel Rosenzweig

Une conférence fondamentale pour comprendre pourquoi et comment nous en sommes arrivés là. Il est essentiel de garder à l'esprit que les USA n'ont jamais voulu que la Russie et l'Europe s'arriment à un projet commun et que leur obsession a été et est restée d'en finir avec la Russie. Cette guerre n'est que le prolongement de la 2ème guerre mondiale après un simulacre de paix européenne au prix de la vassalisation complète du continent européen. L'UE n'est qu'un protectorat des USA et l'Ukraine est l'enjeu de l'extension de ce protectorat au détriment de la Russie.
Nikola Mirkovic, (''Le Martyre du Kosovo", ''Bienvenue au Kosovo'', ''L'Amérique empire'', ''Le Chaos ukrainien''), président de l’association Ouest-Est ;
François Martin, président du Groupement Professionnel HEC Géostratégies & Co-président du Pôle HEC Globalisation, auteur de "L'Ukraine : un basculement du monde".



0:01:08 Question épineuse ukrainienne
0:01:32 Rus der Kiev
0:03:05 Ukraina
0:03:20 XIX siècle - début de l'Ukraine
0:05:17 République socialiste en Ukraine
0:05:11 L'ouest ukrainien en uniforme allemand
0:06:35 Bandera
0:07:09 Peuple ukrainien
0:08:55 Terre d'Ukraine tant convoitée
0:11:07 Reinhard Gehlen et Bandera
0:12:35 Eric Branca et son ouvrage ''Ami américain''
0:14:10 Empire américain contre empire russe
0:15:30 Puissance eurasiatique
0:16:20 Hubert Vedrine ''Donnez la promesse aux Russes qu'on n'ira pas plus loin''
0:17:08 Glaziev sur la IIIème guerre mondiale
0:18:20 Solution au conflit : que l'Europe disparaisse
0:18:48 Accord entre Gorbatchev et James Baker
0:19:30 1992 Paul Wolfowitz
0:20:50 Poutine en 2000
0:21:00 Yougoslavia
0:22:20 Politique américaine dans les banlieues françaises
0:22:47 Révolution orange
0:23:12 Afghanistan
0:23:30 Est-ce que nous sommes dans le camp du bien?
0:23:54 Pertes colossales des guerres occidentales : 3 millions de morts
0:24:30 Coup d'état de Kiev
0:25:50 L'Europe indépendante et le traité de l'Élysée
0:27:57 Nous sommes un protectorat américain
0:28:33 Cette guerre est à la fois nucléaire, locale et globale
0:30:35 Guerre existentielle
0:31:40 Négociateurs de la paix ukrainiens sont assassinés à Kiev
0:34:40 Partenariats Russie-Ukraine ; EU-Ukraine
0:36:20 Open Society
0:36:50 Victoria Nuland et BHL
0:39:50 Un pays antirusse pas un pays ukrainien
0:41:00 Gouvernement ukrainien
0:43:00 Base de Yavoriv
0:45:40 Socialisme versus capitalisme
0:48:05 Oligarchie ukrainienne
0:50:25 Cette guerre n'est pas une guerre territoriale
0:52:29 Madeleine Albright
0:54:15 Guerre militaire
0:56:50 Afrique
0:58:07 Pacte de Quincy
0:59:21 Fin du pétrodollar
QUESTIONS
1:01:00 Mythe de Zelensky
1:01:56 Les Américains servent toujours des jeunes fanatisés
1:04:17 L'opposition n'existe pas en Ukraine
1:05:00 Polonais et Ukrainiens
1:06:06 Financement de la guerre
1:09:30 C'est une guerre de dévitalisation
1:11:13 Planche à billets
1:12:25 Mauvaise soft power russe
1:14:40 Vision universelle du conflit et la guerre médiatique
1:17:40 Médias dominants
1:22:38 Sociologue turko-américain Timur Kuran ''Private Truths" et "Public Lies''
1:24:19 Déchirure dans le Donbass
1:24:57 Prêtres orthodoxes tabassés en Ukraine
1:25:38 Gestion postguerre
1:26:50 Poutine ne peut pas perdre
1:28:13 Les Américains soutiennent 2 contradicteurs en parallèle pour choisir le meilleur
1:29:10 Guerre américaine contre l'Europe
1:29:45 Novorossia et Transnistrie
1:31:10 Un empire veut conquérir l'ensemble du monde
1:33:45 On est dans un système oligarchique
1:35:50 Où sont les vrais pacifistes?

29 avril 2023

Michel Rosenzweig

Les 100 jours d'apaisement de Macroléon se termineront-ils comme les 100 jours de Napoléon à Waterloo ?

Destitution de Macron

Michel Rosenzweig

Déjà plus de 55.000 signatures

- Ladite pétition demande que "l'Assemblée nationale s'érige en haute cour de justice (impossible à dissoudre par le président) afin de pouvoir juger de la destitution de l'occupant de l'Elysée".

Selon la réglementation française, la pétition doit recueillir au moins 100 mille signatures pour être discutée en commission et au moins 500 mille signatures, issues d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer, pour être discutée en séance publique à l'hémicycle.

PETITIONS.ASSEMBLEE-NATIONALE.FR

27 avril 2023

Michel Rosenzweig

La France est prise en otage depuis 40 ans grâce à l'instrumentalisation de la famille Le Pen par toute la classe politique avec l'assentiment d'une large majorité d'idiots utiles.


21 mars 2023

Michel Rosenzweig

Ce type cherche les bâtons pour se faire taper dessus.

La stratégie du chaos et de la chienlit comme mode de gouvernance : provoquer la violence et les soulèvements pour encore réprimer et légitimer le parti de l'Ordre (moi ou de désordre).

Épreuve de force très délicate dans un monde où la violence reste le monopole de l'État et dans lequel la violence populaire légitime demeure non seulement illégale mais illégitime aux yeux d'une majorité d'individus.

Après un 49.3 pour faire passer la réforme des retraites, et le rejet des motions de censure lundi, le président de la République Emmanuel Macron a exclu à court terme une dissolution de l'Assemblée nationale, un remaniement du gouvernement ou un référendum, ont expliqué à BFMTV plusieurs participants à une réunion avec le chef de l'État ce mardi.


19 mars 2023

Antibiotiques à base de fluoroquinolones

Michel Rosenzweig

Le scandale sanitaire des antibiotiques à base de fluoroquinolones n'est pas récent mais il y a une véritable omerta sur ce dossier. Tout le monde devrait s'informer et être informé sur les graves effets secondaires de ces antibiotiques prescrits par millions comme des smarties par des médecins irresponsables. J'en parle d'autant plus aisément et en connaissance de cause pour avoir été victime d'une prescription sauvage et totalement irresponsable par un médecin qui n'a pas pris la peine de tenir compte de mon âge ni de mes données médicales. Pareil pour le pharmacien, aucune mise en garde contre le Tavanic. Conséquences : vives douleurs musculaires dans les mollets pendant deux semaines, je n'arrivais plus à marcher, deux consultations médicales dont une inutile, le toubib n'a pas pensé à me demander si je prenais cet antibiotique, le deuxième y a pensé à la fin de la consultation et m'a immédiatement ordonné d'arrêter. Trop tard, une semaine après l'arrêt, atteinte bilatérale grave des tendons d'Achille, le matin de mon anniversaire en 2019 je me lève, je mets un pied à terre et j'entends un "clac". Happy birthday ! Tendon rompu au pied gauche, taxi, hosto, opération, 6 semaines de plâtre, 2 mois de rééducation et une fragilité à vie des tendons. Plus de mouvements sollicitant les talons et les tendons, danse, ping pong, tennis etc...
Soyez donc très vigilant car ces antibiotiques sont très couramment prescrits, il faut les proscrire !


2 mars 2023

Bandera

Michel Rosenzweig

France Info se fend d'une mise au point sur Bandera. Révisionnisme relativisme et négationnisme officiels décomplexés. Oh, bien sûr ce qui est écrit n'est pas faux, non, juste un peu court, très court, trop court et surtout très sélectif, cela ressemble à un devoir de bachelier orienté destiné à minimiser et à banaliser l'idéologie de Bandera et ses conséquences sur les massacres des juifs ukrainiens et des Polonais.
Diaboliser Poutine et les Russes et édulcorer Bandera "cette figure nationaliste controversée de l'histoire ukrainienne", voilà la recette pour rallier les masses au combat des Ukrainiens.
Conclusion : Bandera et Cie, c'était pas trop grave, juste un nationaliste un peu nazi qui luttait contre les Russes pour l'indépendance de l'Ukraine. Avec quelques dégâts collatéraux. Et aujourd'hui ? Anecdotique voyons. Circulez, y a rien à voir.
Au fond, selon la version de France Info, Bandera ne serait qu'un détail de l'histoire. Comme le détail de Le Pen ? Ah non pas pareil. Il y a les bons et les mauvais détails. Bref une affaire de détail à géométrie idéologique et politique variables.


7 février 2023

La flamme patriotique des Russes

Michel Rosenzweig

Comment dire...
Si nous ne sommes pas sous le troisième Reich, c'est parce que la Russie a pu sacrifier 27 millions d'âmes.
Les USA en ont perdu 291.000.
Ce sacrifice est profondément inscrit dans la mémoire russe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale.
La guerre défensive et à présent offensive contre la Russie ravive la flamme patriotique des Russes et conforte le soutien à Poutine.
Tout ce que fait l'Occident renforce cet ADN patriotique.
Il suffit d'écouter ce chant de la victoire contre le nazisme pour éprouver l'émotion profonde que suscite cette guerre patriotique encore aujourd'hui.
C'est cette émotion qu'il faut entendre, même si le nazisme est mort à Berlin en 1945, car dans l'univers mental, symbolique et imaginaire des Russes, c'est comme si l'histoire se répétait, et même si ce sentiment ne correspond pas à la réalité, les apparences peuvent être trompeuses pour les Russes.
Ne pas prendre en compte cette dimension historique et cette mémoire est une grave et profonde erreur qui pourrait entraîner des conséquences incalculables.


4 février 2023

Ukraine : négociations en vue ?

Michel Rosenzweig

Après avoir élaboré pendant des années une stratégie d'affaiblissement de la Russie en faisant tout pour faire tomber l'Ukraine dans l'escarcelle de l'OTAN et de l'UE et en coupant la Russie de ses attaches historiques et économiques avec l'Europe de l'Ouest, et en particulier avec l'Allemagne, le dernier rapport de la Rand Corporation fait donc du rétropédalage en conseillant à l'administration américaine une issue négociée pour minimiser l'escalade.
Traduction : Oups, ça ne marche pas comme prévu, trop risqué, trop cher.
Résultat : il se pourrait bien que d'ici la fin de l'année, les USA contraignent l'Ukraine à négocier sur base des territoires conquis et perdus de part et d'autre en excluant la Crimée (non négociable), ce qui reviendrait à une défaite pour l'Ukraine et à une victoire pour la Russie qui serait parvenue à ses fins en neutralisant l'Ukraine militairement et territorialement (Donbass au minimum).
Au prix d'immenses destructions et de plusieurs centaines de milliers de morts.
Comme quoi, la guerre est bien la continuation de la politique par d'autres moyens (Clausevitz).
Ce que la Russie n'a pas pu obtenir par la diplomatie et la négociation, elle pourrait bien l'obtenir par les armes.
Tout ça pour ça...
D'ici là, beaucoup de choses peuvent se produire...

9 janvier 2023

Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?

Michel Rosenzweig

Cette question me hante depuis que j'ai été jeté au monde comme disait Heidegger avec son concept de "Geworfenheit".
Être jeté au monde, quelle étrange expérience.
Certains pensent que nous n'avons rien demandé, d'autres au contraire sont convaincus que nous avons choisi de nous incarner et même que nous avons choisi nos géniteurs et qu'il y a un cycle infini d'incarnations.
L'ennui c'est qu'il est impossible de prouver quoi que ce soit.
Autre question taraudante : qu'est-ce que la conscience ? Est-elle produite par le cerveau ? Ou est-elle "simplement" et subtilement captée par le cerveau comme l'envisagent très sérieusement certains chercheurs loin d'être farfelus ?
Dans cette perspective, la conscience serait partout et nulle part, elle serait l'espace même à travers lequel se propage la lumière et le cerveau ne serait qu'une antenne, un récepteur.
Par conséquent il serait tout aussi vain de chercher la conscience dans le cerveau que de chercher l'émission dans le poste de radio ou de télévision (ou dans un PC).
Et ici encore, personne ne sait, aucune preuve, aucune certitude.
Rien ne prouve donc quoi que ce soit car personne n'a jamais localisé la conscience, ni dans le cerveau, ni ailleurs.
De même, ce phénomène que l'on appelle la vie par rapport à l'inanimé, reste une énigme.
Est-elle le produit d'un agencement très élaboré à partir de l'origine du Big Bang ? Ou est-elle à l'origine de l'univers lui-même ?
Ainsi, la vie et la conscience seraient le principe premier et éternel produisant tout ce que nous connaissons, n'ayant ni début ni origine ni fin.
Quant à la matière, plus on descend dans sa structure profonde et plus on constate qu'il n'y a que du vide et que ce vide n'est pas vraiment vide puisqu'il est constitué d'énergie, d'ondes et d'informations qui vibrent selon d'innombrables fréquences, constituant des potentiels d'existences qui ne peuvent surgir que lorsqu'il y a un observateur.
Pas d'observateur, pas d'univers, pas de bras pas de chocolat.
Et Dieu dans tout ça ?
Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez d'avoir un plombier le week-end ! (Woody Allen).
Bon dimanche.


30 décembre 2022

Ukraine : la Shoah par balles

Michel Rosenzweig

- 29/12/2022 - Hier soir dans l'émission "Brunet et Cie" sur LCI, une journaliste russe a cité le nationaliste ukrainien nazi Stepan Bandera en le qualifiant simplement d'indépendantiste, sans que personne ne bronche sur le plateau pour la reprendre. Cette séquence qui m'a été rapportée mais que je n'ai pas encore vue (pas de replay sur LCI, l'émission du 28 est manquante !) n'est pas la première du genre.
Depuis le début de ce conflit, je n'ai eu de cesse de rappeler le passé nazi de l'Ukraine avec ses plus d'un million cinq cent mille juifs assassinés par balles (entre 1.500.000 et 1.800.000) entre 1941 et 1944.
"La Shoah par balles"est une enquête incontournable, celle conduite de 2002 à 2007 par le père Patrick Desbois en Ukraine, dans le but de localiser les très nombreux sites de charniers qui sont autant de traces des massacres dont ont été victimes les juifs soviétiques durant l’occupation allemande. Ce travail, qui a donné lieu à un livre, Porteur de mémoires : sur les traces de la Shoah par balles, publié en 2007 a été porté à l'écran sous forme d'un documentaire de Romain Icard en 2008.
"On ne peut pas construire l'Europe sur les tombes inconnues de la Shoah" disait le père Desbois dans cet entretien avec Elise Lucet et Simone Veil en 2008 après la projection du film.
Non, Stepan Bandera, encore et toujours honoré en Ukraine par une très large partie de la population comme un héros national et dont des rues et des places portent encore le nom, n'était pas "juste" un indépendantiste. Il a été le chef de file des nazis ukrainiens ayant inspiré et encouragé l'exécution des juifs d'Ukraine à laquelle de très nombreux Ukrainiens ont participé et ce même avant l'invasion allemande.
LCI se déshonore depuis le début de cette guerre en pratiquant une espèce de révisionnisme et de négationnisme qui ne disent pas leur nom.
La terre de l'Ukraine (mais aussi celles des états Baltes et de la Pologne) est un immense cimetière, imbibée de ces crimes de masse et à ce jour aucun mea culpa officiel n'a été exprimé depuis l'indépendance en 1991.
Vous trouverez ici le débat avec Simone Veil et le père Desbois :
Simone Veil : "Il y a eu en Ukraine, avant même que les Allemands n'interviennent, la population locale qui a assassiné des quantités de juifs. À un moment où les Allemands n'étaient pas encore sensibilisés sur cette question, ce sont souvent les Ukrainiens qui ont agit eux-mêmes."


25 décembre 2022

Ukraine/Russie

Michel Rosenzweig

L'emploi des mots "génocide", "déportation" et "extermination" par certains "experts" médiatiques et par certains politiques pour décrire les crimes de guerre commis par le régime russe renvoie inévitablement à la Shoah.
 
Ceci relève d'une manipulation émotionnelle et participe d'une banalisation de la destruction industrielle des juifs d'Europe par le régime nazi.
 
On ne réécrira pas l'histoire en dépit de ces procédés malhonnêtes.

Tant que le régime ukrainien continuera à honorer ses héros nationalistes ayant collaboré à exterminer des dizaines de milliers de familles juives en Ukraine lors de la dernière guerre mondiale, l'Ukraine ne devrait pas avoir sa place dans l'UE.
 
Ce sont les Russes qui ont vaincu l'Allemagne nazie et non les Ukrainiens.

Ce sont les Ukrainiens qui ont collaboré avec les nazis contre les Russes.
 
Poutine ou pas Poutine.

Les crimes de guerre doivent être nommés correctement sous peine de conduire à un révisionnisme préjudiciable.