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Affichage des articles dont le libellé est Bizien Yann. Afficher tous les articles
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14 août 2025

Yann Bizien

-14/8/2025- Emmanuel Macron a réalisé une performance peu remarquée hier au fort de Brégançon.
Flanqué de ses deux valets chargés de l'Europe, des Affaires étrangères et de la Défense, et du Président tournant du Conseil européen, il a prononcé douze fois le mot "Europe" en 1 minute et trente secondes.
En 2017, puis en 2022, des Français ont été capables de porter au pouvoir un individu qui n'aime ni la France souveraine, ni son peuple, et qui est en réalité un agent fédéraliste de Bruxelles.
Il a un rêve : l'Europe fédérale.
Il réalise son plan : déconstruire l'État nation par le fait accompli, profiter de toutes les circonstances en suscitant de la peur, tirer avantages de la guerre en Ukraine et au Proche-Orient, entraîner le plus grand nombre de fédéralistes derrière lui pour faire son Europe sans vote et sans référendum.
Des Français ont considéré qu'ils votaient pour élire un président de la France sur les deux derniers scrutins présidentiels. Ils ont en réalité voté pour un simple gouverneur de région et pour un ambassadeur d'un projet fédéraliste qu'une majorité d'entre nous a clairement refusé en 2005.
Emmanuel Macron est une arnaque. Il a trompé les Français. Et il va encore les tromper. Il ne les aime pas. Pour lui, ils ne sont que des choses et des objets à manipuler froidement et cyniquement.

23 juillet 2025

Yann Bizien

-23/7/2025- Le général d’armée aérienne Fabien Mandon, actuel chef d’état-major particulier d'Emmanuel Macron, ex-chef du cabinet militaire du ministre des Armées, a été nommé ce matin en Conseil des ministres chef d’état-major des armées françaises, en remplacement du général Thierry Burkhard qui vient de faire une quasi déclaration de guerre à la Russie à la demande du chef de l'État. Emmanuel Macron nomme ainsi son plus fidèle officier général à la tête de nos armées. J'en profite pour rappeler au général Mandon, dont le parcours sous les étoiles est très politique, que nos armées sont avant tout celles de la nation et du peuple, pas uniquement celles d'un homme, encore moins celles, exclusivement, d'un chef d'État sans majorité, en échec et en disgrâce.

14 juillet 2025

Yann Bizien

-14/7/2025- En ciblant la Russie, Emmanuel Macron a déclaré hier soir que nos enfants ne toucheraient pas "les dividendes de la paix".
Le chef de l'État a repris une vieille notion que ma génération a beaucoup entendu au lendemain de la chute du mur de Berlin en 1989.
Nous savons tous pourquoi. Emmanuel Macron a décidé de tirer avantage de la guerre entre la Russie et l'Ukraine ainsi que de l'élection du très patriote et conservateur Donald Trump aux États-Unis pour accélérer son agenda personnel d'une Europe fédérale que les Français ont pourtant refusé en 2005.
Chacun sait ici que nos enfants ne tirent effectivement pas les dividendes de la paix. Leur horizon est beaucoup plus bouché que celui de ma génération. Avec davantage d'études, ils galèrent bien plus que nous à l'époque pour trouver aujourd’hui un emploi. Leurs entreprises font davantage faillite. Ils ne peuvent plus sortir en sécurité.
Paupérisation et insécurité physique, culturelle et économique ont donc gagné des millions de jeunes Français. Mais ce n'est pourtant pas à cause de la Russie de Vladimir Poutine.
Par ailleurs, tous mes camarades officiers récemment retirés savent parfaitement que la "menace russe" n'a rien de nouveau. Elle n'a pas changé d'échelle depuis 2008, année où l'OTAN a déclaré unilatéralement vouloir intégrer l'Ukraine dans la plus grande alliance politico-militaire de tous les temps. En 2015, la Marine nationale consommait déjà beaucoup de potentiel pour pister les sous-marins russes en Manche et mer du Nord, dans l'océan Atlantique et en Méditerranée.

Emmanuel Macron ment aux Français pour servir avant tout son intérêt personnel qui se situe à Bruxelles.

Le chef de l'État ignore complètement une grande évidence que plus aucun Français n'ignore : il y a bien une guerre civile hybride en France.
Elle se déroule sur un même sol, national. Elle est culturelle, communautaire, ethnique, religieuse, idéologique et politique. L'affrontement est effectif, asymétrique, du fort au faible. Dans cette guerre civile, on ne se dispute pas le monopole de la violence. Les assaillants sont toujours les mêmes. Les victimes tombent toujours du même côté. Cette guerre civile est effectivement menée par une racaille islamisée dominante qui a la nationalité française, la même que les victimes. Elle a un commandant en chef : Jean Luc Mélenchon. Elle est soutenue par un parti politique : la France insoumise.
En face de cette racaille islamisée, que beaucoup appellent la "cinquième colonne", d'autres Français dépossédés, démunis, dépourvus, désemparés et désarmés.
Les guerres civiles ne se ressemblent pas toutes. La nôtre a déjà fait de nombreuses victimes et a déjà provoqué des déplacements de populations sur notre sol national. Le centre-ville de nombreuses communes de France est quasiment entièrement communautarisé. Les blancs sont partis en périphérie.
Les officiers généraux ayant actuellement autorité sur nos armées sont complètement "macronisés". Ils ont oublié leurs devoirs pour la Patrie et pour tout un peuple déjà en danger, qui n'est toujours pas attaqué par la Russie mais qui est chaque jour exposé à une menace intérieure que plus personne n'ignore puisque nous la subissons tous.

13 juillet 2025

Yann Bizien

-13/7/2025- La France sans frontières, submergée, ensauvagée, fracturée, déclassée et surendettée est en voie de désintégration totale. Elle est dirigée et sabotée par un pervers narcissique qui stérilise toutes les oppositions devant un peuple dépossédé de ses attributs de souveraineté et de sa sécurité, tout ceci avec la complicité aveugle du haut encadrement militaire.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets que le 10 mai 1940 : la débâcle, et "l'étrange défaite".
La France n'est plus une puissance mondiale. C'est désormais une ancienne puissance qui ne retrouvera jamais son rang avec Emmanuel Macron au pouvoir.
Ce n'est pas le bavardage permanent qui fait d'un pays une puissance. Par ailleurs, on ne fait pas une puissance en important massivement des individus qui nous détestent, en reculant devant l'islamisme, en bradant nos entreprises stratégiques et en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles.

4 juillet 2025

Yann Bizien

-4/7/2025- Les États-Unis décident de stopper la livraison de missiles et de munitions à l’Ukraine pour obliger Zelensky à négocier enfin la paix.
Ce n'est pas une trahison des Américains. C'est la prise de conscience d'une guerre d'usure, meurtrière, coûteuse et surtout ingagnable.
Donald Trump est un réaliste. Pas un idéaliste. Il a pris conscience d'une évidence que seuls les dirigeants européens, aveugles, ne veulent toujours pas voir.
Il faut désormais regarder cette guerre plus froidement, autrement, sans orgueil et sans passion.
L’Union européenne ne peut certainement pas compenser la fin de l'aide militaire américaine à l'Ukraine en qualité et en quantité. Ses États membres sont bien trop divisés, surendettés, désindustrialisés et affaiblis pour intensifier leur soutien financier et militaire à l'Ukraine.
Par ailleurs, les contribuables français ne vont pas vouloir se serrer davantage la ceinture pour Zelensky et pour cette guerre déjà mondialisée tant les soutiens directs sont nombreux entre deux blocs.
Emmanuel Macron doit renoncer à son ambition narcissique et impossible. Il ne parviendra jamais à faire plier le régime russe. Sans majorité, en disgrâce, il n'a plus assez de légitimité pour nous imposer sa volonté d'amplifier le soutien français à l'Ukraine.
La guerre est avant tout un affrontement de volontés et, depuis février 2022, le président français sous-estime largement la détermination des Russes à préserver leurs intérêts vitaux contre l'expansion ostentatoire de l'OTAN vers l'est.
Les solutions pour un cessez-le-feu et pour la paix à l'est de notre continent sont connues. Il suffit de les regarder en face avec davantage de lucidité, de réalisme et d'humilité.
La décision de Donald Trump est un vrai coup dur, pas seulement pour Zelensky, mais aussi pour nos dirigeants européens qui rêvaient jusqu'ici de faire chuter le régime russe et de remporter une grande victoire dans une guerre par procuration qui aura sacrifié honteusement deux peuples à cause de l'absurdité des hommes, mais aussi les contribuables que nous sommes.
Depuis plus de trois ans maintenant, tout ce que j'affirme ici est validé par la réalité de cette guerre.
Toutes les guerres doivent avoir une fin. Il est temps de terminer celle-ci. Mais nos parlementaires n'ont toujours pas le courage de destituer un président prêt à nous réclamer davantage d'efforts pour ce que nous devons tous redouter : l'escalade du pire.

30 juin 2025

Yann Bizien
30/6/2025

Il fait chaud. C'est évident.
Le discours est donc dominé par l'idéologie écologiste militante, culpabilisante, autoritaire et péremptoire. Ce discours sentencieux, intangible et doctrinaire, cible avant tout les classes populaires et moyennes.
L'écologisme est de retour. Il incarne l'excès d'écologie qui plombe notre compétitivité, notre économie et le pouvoir d'achat.
L'impératif écologiste contribue au "suicide français". C'est un impératif technocratique, irrationnel, brutal, antisocial et bourgeois.
Il ne suffit pas de vouloir protéger, préserver ou restaurer notre environnement. Il faut aussi respecter la condition humaine, ce que l'écologisme a oublié.
L'écologisme est vert en apparence, mais rouge à l'intérieur. C'est le nouveau communisme du XXIème siècle.

25 juin 2025

Yann Bizien

-25/6/2025- Les Français ont le droit d'avoir un exécutif qui fonctionne, le droit d'avoir un gouvernement cohérent et capable d'agir, le droit d'avoir une majorité absolue ayant la légitimité des urnes à l’Assemblée nationale, le droit d'avoir des institutions impartiales, le droit d'avoir une justice débarrassée de l'idéologie gauchiste, le droit d'aller et venir en sécurité, le droit d'avoir des frontières surveillées et inviolables, le droit d'avoir des forces de l'ordre respectées et le droit d'avoir un État bien géré avec un budget en équilibre.
Les Français ont des devoirs, qu'il faut rappeler, mais ils ont aussi des droits et des attendus politiques.
Le problème est qu'Emmanuel Macron nous prive à lui seul de tous ces droits.
David Lisnard, qui n'a pourtant pas la réputation d'être un dangereux extrêmiste, a raison d'appeler à la démission ce comédien en disgrâce, cet agitateur sans majorité, ce pervers narcissique déconnecté, cet européiste qui sabote notre souveraineté, cet immigrationniste convaincu, ce belliciste qui brûle notre argent dans la guerre et ce chef de l'État inutile et inefficace qui se moque bien de notre sécurité dans la France qu'il a ensauvagée en ignorant nos frontières, en maintenant tous les leviers d'assistanat, en laissant entrer des centaines de milliers de clandestins sur notre sol, clandestins dont nous ignorons tout de leur passé et de leurs intentions.
Emmanuel Macron a surendetté la France et l'a rendue ingouvernable. Il doit donc démissionner et, s'il ne le veut pas, ce qui est le cas, il faut le destituer en rappelant qu'il s'agit d'une procédure démocratique.
Le contexte international ne justifie en aucun cas le sacrifice de la France qui ne peut plus attendre.
Le gouvernement doit sortir de son impuissance et doit gouverner. Et l'Assemblée nationale doit pouvoir voter des bonnes lois, efficaces, non censurées.
Il n'y a aucune raison valable pour maintenir au pouvoir un président qui ne sert pas l'intérêt national depuis 2017.

19 juin 2025

Yann Bizien

-19/6/2025- Nous allons souffrir. Car Léa Salamé va imposer un supplice socialiste quotidien à tous les Français qui regardent encore des JT wokistes et islamo-gauchistes à 20h.
"Cette nomination de Léa Salamé marque un tournant aussi inattendu qu’inquiétant pour une rédaction déjà fragilisée. En perte de vitesse depuis plusieurs années, confrontée à une érosion continue de son audience et à une perte de confiance de la part des téléspectateurs, France Télévisions semble avoir fait le pire choix idéologique possible : confier son rendez-vous d’information phare à une personnalité clivante, surcotée et perçue comme déconnectée du quotidien des Français."
"Ce n’est pas un choix stratégique, c’est une fuite en avant. Une décision symptomatique d’une direction désorientée, prisonnière de sa bulle parisienne et coupée des réalités du pays."
"Égérie d’une gauche bobo et élitiste, Salamé incarne davantage le microcosme germanopratin que l’universalité attendue du service public. Elle parle souvent au nom du peuple, mais n’en partage ni le quotidien, ni les angoisses, ni les repères."
"Ses interviews politiques sont régulièrement critiquées pour leur tonalité inquisitrice, leurs sous-entendus idéologiques et leur tendance à réduire les sujets à des confrontations binaires. Ses questions, souvent orientées, visent davantage à piéger qu’à éclairer, et à fabriquer des moments viraux."
"Son traitement de l'information, émotionnel, partisan, militant et spectaculaire, éloigne le service public de sa mission première : informer, contextualiser, éclairer, aider à comprendre."
"Difficile d’ignorer la situation personnelle de Léa Salamé, en couple avec Raphaël Glucksmann, eurodéputé et candidat quasi-déclaré à l’élection présidentielle de 2027. Dans son émission hebdomadaire sur France 2, la présentatrice raille fréquemment les ennemis politiques de son conjoint tandis que ce dernier se trouve miraculeusement épargné par la production."
"Comment prétendre à la neutralité journalistique dans un tel contexte ? Comment garantir l’impartialité du traitement de l’information avec un profil aussi tendancieux ?"
"Ce choix incarne une incompréhension totale des attentes des téléspectateurs. À l’heure où le public réclame davantage de clarté, de proximité et d’indépendance, France Télévisions opte pour le contraire : une journaliste perçue comme partisane, élitiste et en quête de reconnaissance médiatique. Plutôt qu’un renouveau, cette nomination risque d’accélérer la perte de confiance envers une institution déjà malmenée. C’est une erreur de casting majeure, qui en dit long sur l’état de déconnexion des dirigeants du service public télévisuel."
Le "média citoyen"

6 juin 2025

Yann Bizien

-6/6/2025- Pourquoi autant d'agitation coûteuse d'Emmanuel Macron, sur des tapis rouges ou derrière des pupitres à l'étranger, et pour quels effets politiques et stratégiques ?
New Delhi, Stockholm, Bruxelles, Washington, Berlin, Lisbonne, Singapour, Djakarta, Hanoï, Yaoundé, Porto Novo, Bissau, Pékin, Brasilia, Kiev, Londres, Madagascar, Rabat, Rome, ... Emmanuel Macron s'incruste partout. Il cherche à exister. Il parle. Il annonce la signature de contrats. Il provoque. Mais il condamne et isole de plus en plus la France qui ne remonte toujours pas la pente de son déclassement bien engagé.
Notre président est même capable d'amener Yassine Bellatar en survêtement et dans ses bagages au Maroc, de rencontrer des francs-maçons un jour à Paris, d’inviter un ex-terroriste syrien le lendemain à l'Elysée, d'être éjecté du continent africain, de proposer la mise sur pied d'une coalition armée contre le Hamas, avant de reculer, de prélever des capacités militaires sur nos stocks pour des dons au régime corrompu de Kiev, d'annoncer de façon arbitraire et exclusive le déploiement de troupes françaises en Ukraine, de diluer notre force de dissuasion nucléaire en Europe, d'émettre l'idée de partager notre siège de membre permanent du Conseil de sécurité à l'ONU, de liquider notre souveraineté contre notre volonté et de recevoir une vraie gifle en mondiovision.
Le chef de l'Etat est capable de tout pour faire exploser le compteur de l'avion présidentiel et celui de nos comptes public, tant pour sa gloire et son destin personnels, que pour faire durer son mandat.
Hélas, Emmanuel Macron ne parle à l'étranger que de lui et des autres, de l'Europe, de l'Ukraine, de la Russie, d'Israël et de l'Amérique de Trump. Il bombe le torse, "roule les mécaniques" et cherche le rapport de force avec la Russie de Poutine, l'Amérique de Trump et le régime israélien, mais sans appliquer la même méthode pour l'Algérie où il n'ose plus se rendre.
Il ne parle jamais de la France, des Français, de nos 9 millions de pauvres, de la submersion migratoire, de l'explosion des trafics, de la violence, de l'islamisation engagée de notre société, des causes des émeutes, du laxisme judiciaire, de la mission devenue impossible de nos forces de l'ordre et des solutions urgentes qu'il faut décider pour y remédier.
La France fracturée s'effondre mais notre président voyage sans compter les jours d'avion, il plane et glisse à travers nos réalités, il esquive nos problèmes, il ne décide rien, il ne démissionne toujours pas et il verrouille la clef de voûte de tout le système politique paralysé de la cinquième République.
Le chef de l'Etat se promène beaucoup à nos frais et risques. Il goûte sans limites au faste des visites d'Etat après avoir démantelé notre outil diplomatique historique.
C'est évidemment suspect. Pire, c'est de la haute trahison.
Pour quels résultats ? Pas grand-chose.
Emmanuel Macron prépare surtout son avenir et, en particulier, la troisième partie de sa carrière.
La situation politique, économique, budgétaire, sociale, agricole, sécuritaire, identitaire et culturelle de la France ne s'améliore toujours pas, mais le chef de l'Etat papillonne à l'étranger comme si la réalité intérieure au pays dont il a pourtant la responsabilité ne l'intéressait plus.

4 juin 2025

Yann Bizien

-4/6/2025- DonaldTrump et JD Vance avaient bien un projet conservateur et de droite soigneusement pensé, conceptualisé et élaboré avant leur triomphe électoral.
Ce projet n’avait pas seulement pour but de rendre sa puissance à l’Amérique. C’est aussi un projet civilisationnel qui doit débarrasser l’Occident de l’idéologie progressiste, de l’immigrationnisme, du wokisme et de l’écologisme.
Le projet de Donald Trump n’a donc pas qu’une dimension nationale. Il vise à préserver tout un héritage civilisationnel saboté aujourd’hui par des idéologues et par des responsables politiques comme Emmanuel Macron, Keir Starmer, von der Leyen, Thierry Breton, Gabriel Attal, Nathalie Loiseau, Valérie Hayer, Olivier Faure, Jean Luc Mélenchon et sa « meute ».
C’est la dimension internationale et occidentale de ce projet qui a conduit JD Vance à prononcer à Munich, en février dernier, un discours sur la sécurité qui fera date.
Et c’est ce discours qui a relancé sur notre continent la bataille des conservateurs et des patriotes contre les progressistes et les mondialistes, qui est aussi une lutte des souverainistes contre les fédéralistes.
Donald Trump avait déjà des alliés en Europe avec Giorgia Meloni et Viktor Orban, au moment de son élection. Il vient de gagner un nouvel « allié civilisationnel » avec Karol Nawrocki, élu dimanche dernier président de la République en Pologne. Et il était à deux doigts d’en gagner un autre en Roumanie.
Il ne faut pas prendre à la légère les échecs des représentants des partis centristes aux élections en Europe. Ils traduisent une volonté des peuples dépossédés de sauvegarder leurs biens politiques et immatériels les plus précieux : des valeurs, une identité, une culture, la patrie, la nation, la souveraineté, l'indépendance et la liberté d’expression.
Pays-Bas, Argentine, Autriche, Salvador et Israël s’inscrivent dans le même mouvement de sauvegarde de civilisations menacées, abîmées et sabotées par des forces politiques de gauche et des adversaires de l'intérieur.
Giorgia Meloni vient d’ailleurs de communiquer sur l’adoption définitive d’une loi qui a pour but de renforcer la protection des citoyens italiens et de tous les serviteurs de l’État sous uniformes. C’est une loi qui va accélérer les expulsions, qui va intensifier la lutte contre les occupations abusives de logements, qui va mieux protéger les propriétaires mais aussi les personnes vulnérables et qui va traiter bon nombre d’injustices liées à des politiques publiques progressistes.

2 juin 2025

Yann Bizien

-2/6/2025- Un historien de 42 ans devient président de la Pologne, contre la volonté de la Commission européenne à Bruxelles.
Le peuple polonais vient de triompher de façon souveraine. Il a repoussé dans les urnes les mondialistes, les progressistes, les fédéralistes, les européistes, les technocrates et les immigrationnistes en portant au pouvoir un patriote, un souverainiste et un conservateur.
Il faut féliciter ce peuple courageux qui ne s'est pas laissé intimider et manipuler et qui a voté pour reprendre son destin en main.
C'est aussi le premier triomphe du mouvement politique MAGA en Europe.
Un axe politique souverainiste, conservateur et patriote se lève et résiste en Europe. Il refuse une Europe fédérale et bruxelloise qui piétine la souveraineté des vieux États nations. Il fait le choix d'une Europe des nations souveraines qui coopèrent librement.









31 mai 2025

Yann Bizien

-31/5/2025- Huit ans de en même temps, de comédie, de trompe-l'œil, de bricolage, de pensée sans convictions, de chaos économique, sécuritaire, migratoire et de supercheries nées sur les décombres du socialisme.
 
• 82 % des Français estiment que le projet politique de Macron est un échec.
 
• 8 sur 10 pensent que le macronisme ne survivra pas à 2027.
 
• 63 % de ses propres électeurs de 2017/2022 n’y croient plus.

• 59 % ne le considèrent même pas comme un courant politique... (Sondage Odoxa – Le Figaro)

Emmanuel Macron a beau s'agiter, parler beaucoup, user de la communication, donner des leçons à tous, organiser ou participer à des sommets internationaux, se mêler aux affaires intérieures d'autres États, c’est terminé. C'est un président en échec, sans majorité, en disgrâce, coupé du peuple, déconnecté des réalités, sans héritier et sans avenir.
 
Le macronisme a commencé par la promesse d'une révolution et de grandes réformes menées par la société civile. Et il s'achève avec François Bayrou dans l'immobilisme. Il a abouti au gouvernement le plus illégitime et le moins désiré par les Français depuis le début de la cinquième République.
 
Avec le macronisme, la France a perdu le contrôle de ses finances publiques, de ses frontières, de sa démographie, de sa souveraineté, de son indépendance, de son identité, de sa liberté et de son avenir.

Ce qui reste d'Emmanuel Macron, c'est un bloc central minoritaire qui se maintient laborieusement au pouvoir après avoir organisé des barrages sur les dernières législatives.
 
Emmanuel Macron a percuté son kit de survie à l'Elysée. Mais les Français anticipent la fin du macronisme et le retour du clivage traditionnel gauche/droite.

Nota : La première décision à prendre au lendemain du scrutin présidentiel de 2027, c'est un vaste plan de dégagement autoritaire de tous les macronistes nommés dans les Ambassades, dans les Préfectures, au Conseil d'État, à la Cour des Comptes, à l'ARCOM, au Conseil Constitutionnel et à Bruxelles.

30 mai 2025

Yann Bizien

-30/5/2025- Dans "Mémoricide" de Philippe de Villiers, un des chapitres les plus importants est celui sur le déclin du courage chez nos élites politiques.
Le "courage de voir, de décider et d'agir".
François Bayrou ne voit pas, ne décide pas et n'agit pas.
Au nom de son idéologie du nécessaire "vivre ensemble", et de sa déconnexion, il ne voit pas la France abîmée, sabotée, en faillite, ensauvagée, délitée, décadente, déclassée et au bord d'une guerre civile.
Faute de courage, il ne décide pas et n'agit pas. Il ne fait que garantir la continuité du pourrissement français.
Il n'a pourtant pas besoin d'un référendum pour faire des économies dans le but de stabiliser la dette et les déficits.
Il lui suffit de faire preuve de courage. Un leader avec une conscience courageuse peut tout voir, tout décider et tout faire.
Le courage de cesser enfin toutes les aides à l'immigration (40 milliards d'€uros par an), d'agir puissamment sur la fraude sociale (15 milliards par an), la fraude fiscale (100 milliards par an), le coût de la soumission à l'Algérie (10 milliards par an), le coût inutile et idéologique de l'aide au développement (15 milliards par an) et le coût des 438 agences d'État (81 milliards par an).
Ajoutons à tout ceci le coût de l'insécurité de l'ordre de 170 milliards d’euros chaque année selon le Conseiller d’État Christophe Eoche-Duval.
Les Français étouffés par l'impôt et les taxes n’ont aucun effort supplémentaires à faire à titre personnel.
Le problème, c’est l'éclipse du courage chez nos élites, c'est la continuité, l'éternel recommencement, le train de vie de l’État, ses dépenses idéologiques et l'absence de rupture politique.

20 mai 2025

Yann Bizien

-20/5/2025- Sur 73 pages documentées par les services de renseignement, un rapport remis à Bruno Retailleau dresse le tableau édifiant et inquiétant d’une France minée de l’intérieur selon Le Figaro.
Ce rapport, récemment déclassifié, met en lumière les activités politiques et idéologiques des Frères musulmans dans notre pays. Il décrit des organisations structurées ayant pour objectif la promotion de la charia.
Les Frères musulmans s'appuient sur un réseau tentaculaire opérant dans 139 lieux de culte, influençant des mosquées, 280 associations affiliées, 820 écoles coraniques et des organisations caritatives.
Tous les faits sont documentés.
Ce rapport confirme une réalité qui n'a rien à voir avec une supposée islamophobie d'État.
L'islamisation de l'Europe par submersion migratoire est une catastrophe civilisationnelle absolue, dont nous ne nous relèverons pas si nous ne sortons pas du déni de réalité et si nous ne réagissons pas très vite et très fort.
Il y a ceux qui mentaient, ceux qui trompaient, ceux qui fermaient les yeux, les irresponsables, les lâches, les complices et les naïfs. Et il y avait les lanceurs d'alertes, les lucides et les courageux qui disaient déjà tout de cette réalité et de ce danger.

7 mai 2025

Yann Bizien

-7/5/2025- La poignée de main de la compromission, de la trahison et de la honte.
Il y a un mois, Emmanuel Macron était félicité par le Hamas pour sa volonté de reconnaître l’État de Palestine en juin prochain.
Aujourd’hui, il serre la main à l’Élysée du nouveau président syrien, à la tête d'une coalition islamiste, un ancien djihadiste.
Sa compromission avec des islamistes ne fait plus aucun doute.
J’ai honte.
Nota : pour mémoire, Mme von der Leyen a débloqué récemment 235 M€ pour soutenir ce régime islamiste. Il s'agit de l'argent des contribuables européens.

4 mai 2025

Yann Bizien

-4/5/2025- Il faut écouter cette interview de Sarah Knafo sur France inter / France info ce matin. Elle y révèle habilement les leviers de la grande arnaque, de l'hypocrisie et de la lâcheté du système politico-médiatique et progressiste. C'est un système anti France, anti chrétien, qui donne toujours la priorité et l'avantage aux étrangers, au détriment des Français, dépossédés.
C'est une interview de référence pour les Français patriotes, conservateurs et souverainistes, une masterclass absolue d'éloquence, une performance politique exemplaire et un chef d'œuvre de combativité intellectuelle.
Sarah Knafo y est éblouissante d'intelligence, de culture, de talent, de bon sens et de pugnacité. Forte de ses convictions, de son pragmatisme et de son réalisme, elle met en grande difficulté ses interlocutrices de plateau, toujours prêtes à la censurer, qui doivent toutes voter à gauche et à l'extrême gauche.
Quand on écoute cette jeune femme, on entend autre chose que les éléments de langage convenus des cadres du Rassemblement national.
Je suis un électeur exigeant, juste, qui sait reconnaître la valeur de l'effort, les mérites, l'excellence et les résultats. Je reconnais à Sarah Knafo tout son mérite et tout son talent, comme pour Marion Maréchal.
Ce sont deux jeunes femmes indomptables, courageuses et besogneuses qui doivent tourner la page d'un passé amer pour se concentrer sur la nécessité d'entrer dès que possible dans un vrai gouvernement de droite. Elles doivent confirmer ce talent politique et faire leurs preuves au sein du pouvoir exécutif, face aux terribles réalités qui ravagent ce pays.
Chaque chose en son temps. Ce qui compte le plus aujourd'hui, c'est la France, au bord de la débâcle, pas les ambitions personnelles, ni la dispersion de nos talents.

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29 avril 2025

Yann Bizien

-29/4/2025- Voilà déjà 100 jours que Donald Trump est au pouvoir avec ses troupes de choc et son plan d’actions après être passé sur le banc des accusés, avoir miraculeusement évité un tir potentiellement mortel et gagné brillamment le scrutin présidentiel.
Certes, il suscite de la stupeur et inspire du rejet parce qu’il renverse toutes les tables en soufflant le chaud et le froid. Mais il s’attache à tenir avant tout ses promesses de campagne pour transformer l’Amérique dans le but de la rendre plus forte dans le monde et face à la Chine.
Il a accru son autorité dans le pays et au Congrès. Il a rendu les démocrates, minoritaires, impuissants. Il vient de signer 139 décrets présidentiels pour encadrer et orienter son action politique.
Il est devenu le gardien du conservatisme, de la démocratie, de la liberté d’expression, du politiquement incorrect, de la pensée plurielle et de la paix dans le monde.
Il a dynamité l’ordre établi et son pari est plutôt réussi.
Il a déclaré la guerre au fléau progressiste. Il a stoppé toutes les initiatives wokistes et donné un grand coup d’arrêt à toutes les expérimentations sociétales décadentes. Il a fait exploser tous les repères des dirigeants progressistes, majoritaires en Europe.
Il a stoppé l’immigration incontrôlée. Il a mis un coup d’arrêt aux dépenses idéologiques, au gouvernement des juges et aux bellicistes en ayant le courage de tourner le dos à ses alliés traditionnels y compris aux autocrates non élus de Bruxelles qui retirent petit à petit mais sûrement leurs souverainetés aux États membres de l’UE.
Il propose à tous les chefs d’entreprises de produire aux États-Unis et de bénéficier des impôts les plus bas au monde.
Trump a brisé l’ère des certitudes en contestant un ordre mondial dominant depuis 80 ans. En exprimant des revendications territoriales, et en renversant des alliances, il nous rappelle que l’histoire se structure avant tout sur des surprises stratégiques, sur des ambitions et dans le rapport de forces. Il a renvoyé tous les naïfs, les idéologues et les aveugles aux douloureuses réalités du monde en rétablissant une relation russo-américaine au détriment de l’Ukraine et des dirigeants européens, sauf pour l’Italie et la Hongrie.
Trump ébranle également l’OTAN qui, en s’étendant sans cesse, aveuglément, et sans limites vers l’est, jusqu’aux frontières de la Russie, nous a apporté la guerre plutôt que la paix et la stabilité. Il fragilise aussi l’ONU, le bras financier du progressisme dans le monde.
Le président américain, bien conscient d’un danger existentiel, ne lâche pas Israël. Il s’attache à limiter la puissance de l’Iran et à empêcher son accession au rang de puissance nucléaire. Dans le même ordre d'idée, il s'impose en grand défenseur du monde chrétien avec ses deux déplacements à Paris, sur la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, puis à Rome, pour les obsèques du Pape.
Il a révélé l’hypocrisie des médias américains, discrédités pour avoir masqué durant quatre ans l’état réel de santé et l’impotence de Joe Biden.
Trump bouscule donc l’ordre mondial à l’extérieur et l’État de droit à l’intérieur, qu'il sait tous deux dominés par des normes progressistes. Il démontre que la politique peut tout faire en faisant chuter le nombre de franchissements illégaux de clandestins aux frontières. Il a réduit les dépenses de l’État fédéral d’environ 1500 milliards d’€uros, ce que nos dirigeants ne savent pas faire. Il a brutalisé un État fédéral « bouffi » et couteux qu’il souhaite plus agile et plus moderne. Il s’attaque à la Justice quand elle décide de suspendre les expulsions de clandestins illégaux. Il a neutralisé tous ceux qui cherchaient à empêcher ses réformes intérieures. Et il a purgé le FBI de tous ses agents aux ordres des idéologues démocrates.
Bref, Trump applique des méthodes quasi militaires pour libérer son champ d’action au profit de sa politique intérieure. Il a voulu s’appuyer avant tout sur la loyauté absolue de son équipe. Il a d'ailleurs récompensé et imposé pour cela les personnalités les plus fidèles durant sa campagne. Elles lui doivent tout, et il le sait. Elles ont aujourd'hui pour mission de lui fournir l’autorité exécutive et le contrôle présidentiel qu’il avait eu du mal à imposer durant son premier mandat.
Alors le monde bien-pensant va déjà juger son bilan sur seulement 100 jours. Il va nous dire que la cote de popularité de Trump s’effrite. Certes, il n’a pas encore gagné la paix à l’est de notre continent. Mais il est confronté à tous ceux qui ne veulent pas vraiment de cette paix et qui œuvrent plutôt pour la continuité de cette guerre meurtrière, coûteuse et ingagnable, avec, au premier rang, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Olaf Scholz, Friedrich Merz et Ursula von der Leyen.
Trump est partout craint et redouté, à l'intérieur, comme à l'extérieur. Il se donne les moyens d’une efficacité protectionniste et d’une capacité d’action politique sans modération dont peu de chefs d’États peuvent jouir aujourd’hui. Il impose partout sa version pour défendre avant tout l’intérêt américain. [...]
Mais Trump n’en a pas terminé avec le « marécage et le fléau progressiste ». Il ne faut jamais sous-estimer les capacités de rebondissements de la gauche et du centre mou aux États-Unis et en Europe.
Le président américain a des convictions et de l’aplomb. Il va toutefois devoir traiter l’affaiblissement de Pete Hegseth à la défense. En multipliant les fautes de confidentialité dans la conduite des opérations, le Secrétaire chargé de la défense se retrouve isolé, à la tête d’un ministère essentiel pour la défense et pour la politique étrangère de l’Amérique.

28 avril 2025

Yann Bizien

-28/4/2025- Accroître la pression sur la Russie, avec quoi ? Avec un seul porte-avions rentré au port base avant hier, en bout de potentiel ?
Emmanuel Macron est frustré car il n'est pas au cœur du processus de négociations pour la paix. Il est rejeté à la périphérie de ce processus.
Alors il s'agite pour exister, pour apparaître dans la galerie des grands et pour espérer retirer tous les dividendes politiques d'un processus de paix.
Nous l'avons constaté samedi matin lorsqu'il a voulu s'afficher sur la photo aux côtés de Donald Trump et de Zelensky.
Emmanuel Macron n'a plus assez de crédibilité pour négocier directement avec le régime russe. Trop belliciste, trop partisan, pas assez neutre. Il joue donc la comédie. Il se montre. Il multiplie les déclarations martiales sans effet. Il touche Zelensky. Il le prend dans ses bras. Il lui promet monts et merveilles, aux frais des contribuables. Et il organise des sommets coûteux et inutiles.
Nous ne sommes pas dupes. Je rappelle que les grands de ce monde savent que le président Français a moins de 30% d'opinion favorable, qu'il n'a aucune majorité pour diriger ce pays, qu'il a nommé par défaut un gouvernement hybride, paralysé et sous la menace permanente d'une censure, que notre Assemblée nationale est éclatée, que l'État est en faillite, que les plans sociaux et les liquidations se multiplient et que notre société se déchire dans un face à face engagé.
Les grands de ce monde savent qu'Emmanuel Macron n'a plus les moyens de la puissance pour exécuter ce qu'il dit.
Les grands de ce monde peuvent dormir tranquilles. L'agitateur parle dans le vide de l'impuissance.

24 avril 2025

Yann Bizien

-24/4/2025- La Commission européenne veut donc nous imposer un contrôle technique obligatoire tous les ans pour les véhicules de plus de dix ans.
Après les ZFE, ils nous sortent une nouvelle dinguerie.
Les déconnectés de Bruxelles, pro von der Leyen et pro Macron, veulent harceler et broyer les classes populaires.
Ils entendent « emmerder » le plus grand nombre d'usagers pour quelques cas extrêmement marginaux.
C’est bien soviétique. Comme si tout un chacun n’était pas soucieux de sa propre sécurité.
Lamentable. Pourquoi ce sujet n'est-il pas du ressort des nations ? Encore un transfert de compétences, donc de souveraineté.
Je propose un contrôle technique populaire pour Mme von der Leyen. Pas sûr qu'elle puisse être remise rapidement en circulation.

23 avril 2025

Yann Bizien

-23/4/2025- Voilà l'Europe progressiste d'Ursula von der Leyen et d'Emmanuel Macron : elle use et abuse du pouvoir de l'argent et des subventions pour sauvegarder son pouvoir, pour garantir son exclusivité, pour imposer sa domination, pour affaiblir ses opposants et pour favoriser ses courtisans.