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16 septembre 2025

Yann Bizien
16/9/2025

Emmanuel Macron reçoit Karol Navrocky, le nouveau président de la Pologne à l'Elysée

Notre président comédien va pouvoir mettre en scène une nouvelle étape de son soutien militaire et financier inconditionnel à l'Ukraine et de son bellicisme anti-russe en recevant le président d'un pays membre de l'UE moteur du réarmement accéléré.
Emmanuel Macron va surtout nous reparler de son obsession de partager le parapluie de notre dissuasion nucléaire avec les pays de l'est.
Pour mémoire, avec son armée de terre, la Pologne aligne d'ores et déjà plus de 1.700 blindés de combat (contre seulement 515 en France) et 140 lance-roquettes. Et ce pays finance largement le complexe militaro-industriel américain.
Karol Navrocky, historien, conservateur, anti immigration, et souverainiste de 42 ans, a été élu largement en juin et contre la volonté de la Commission européenne à Bruxelles. Il vient d'ailleurs d'ordonner le retrait du drapeau européen de son bureau.
Pro Trump, comme Giorgia Meloni, qui l'a déjà reçu à Rome, le nouveau président polonais est évidemment l'homme qui dérange les européistes et les fédéralistes comme Emmanuel Macron.
En juin dernier, le peuple polonais a triomphé de façon souveraine. Il a repoussé dans les urnes les mondialistes, les progressistes, les fédéralistes, les européistes, les technocrates et les immigrationnistes en portant au pouvoir un candidat non conforme à la volonté de Bruxelles.
Il faut féliciter ce peuple courageux qui ne s'est pas laissé intimider et manipuler et qui a voté pour reprendre son destin en main.
C'est aussi le premier triomphe du mouvement politique MAGA en Europe qui refuse une Europe fédérale et bruxelloise qui piétine la souveraineté des vieux États nations et qui reste impuissante face à la submersion migratoire.

14 septembre 2025

Yann Bizien
14/9/2025

Une bonne infographie vaut bien mieux qu'un long discours

Dans les conditions d'engagement "pour la guerre", il y a celle, incontournable, de l'opinion. Lorsque l'indicateur est au rouge, et c'est le cas pour Emmanuel Macron, il est évidemment hors de question d'approuver et de décider un engagement militaire.
Pire, le chef de l'État n'a pas l'opinion avec lui ni de majorité pour se lancer dans une aventure militaire à très hauts risques.
Il y a bien sûr d'autres conditions nécessaires pour juger de l'opportunité d'entrer en guerre, comme, par exemple, l'aptitude à avoir des alliés, à obtenir un mandat clair du Conseil de sécurité des Nations-Unies (mais la Russie dispose de son droit de veto en sa qualité de membre permanent), à disposer d'un outil militaire opérationnel, de ressources industrielles suffisantes sur le long terme, à pouvoir mobiliser toute la nation, à avoir des chances raisonnables de succès...
Certains critères ont beau être au vert, il n'empêche qu'Emmanuel Macron n'a clairement plus la confiance des Français et la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, sans majorité, ne changera rien à la situation d'instabilité chronique de ce pays. Il pourra s'agiter, faire des annonces, la situation politique restera bloquée et la France en souffrira.
Le piège de la tripartition de la vie politique, avec trois blocs inconciliables, s'est refermé sur la France fracturée et bloquée.
Il nous faut donc faut revenir à un vrai clivage gauche/droite dans l'intérêt du pays. À droite, c'est à Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez, Nicolas Dupond Aignan, Eric Ciotti, Eric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, Marine le Pen, Jordan Bardella et à François Asselineau de se mettre au travail.
Hélas, ils ne sont toujours pas prêts à rompre avec leur égoïsme, au détriment de la Nation. Sur le marché de l'électorat, à chacun sa part du gâteau.

Yann Bizien

-14/9/2025- Je reviens un instant sur la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon par Emmanuel Macron.
Le résultat des législatives issues de sa dissolution devait conduire à un quasi gouvernement de "co-habitation" avec un président défait et déchu sur les deux derniers grands scrutins de la nation.
Or nous avons aujourd'hui un parfait alignement politique et idéologique entre le palais de l'Élysée et l'hôtel de Matignon. Entre les deux centres de gravité du pouvoir exécutif, les états-majors, la vision, les méthodes et les objectifs sont les mêmes.
Une preuve ? Lors de sa prise de pouvoir, Sébastien Lecornu a déclaré qu'il voulait de la stabilité, mais aussi "une rupture, pas seulement sur la forme et sur la méthode, mais aussi sur le fond".
"Stabilité et rupture", les deux mots sont pourtant antinomiques. Ils nous renvoient à l'obsession du "en même temps" du chef de l'État. Il ne faut donc certainement pas voir cette rupture comme une distance entre l'Élysée et Matignon.
Bien au contraire.
En récompensant la fidélité d'un ministre, plutôt que de tenir compte du résultat des urnes, Emmanuel Macron a confisqué le pouvoir et repris en main toute la politique de l'exécutif dans un entre-soi inadmissible.
La nomination de Lecornu suinte le mépris de la volonté du peuple. Ce pouvoir autoritaire et exclusif n'est plus démocratique et bicéphale. Il est arrangé entre amis et certainement monocéphale. Politiquement, et sur le plan idéologique, Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu ne font plus qu'un. Ce sont les mêmes.
Le Premier ministre est la "voix de son maître". S'il lui ordonne de cajoler le parti socialiste, il le fera.
Emmanuel Macron est un pervers narcissique qui a besoin de contrôler et de conserver son emprise. À l'international, ses homologues voient bien que la France est ingouvernable. Certains leaders bien élus se moquent même de lui. Et cela lui est insupportable. La nomination de Lecornu à Matignon lui permet donc de reprendre le contrôle sur l'action de l'exécutif.
Il ne faut pas le voir autrement.
Enfin, quand Lecornu prétend ne pas avoir d'ambitions pour la présidence de la République, rappelons-nous de cette citation de Georges Pompidou : "L'envie de l'Élysée naît à la seconde ou l'on gravit le perron de Matignon".
Dans une République démocratique qui considère, dans sa constitution, que le souverain c'est le peuple, le pouvoir est donc ici emprunté, détourné et confisqué. Grâce aux petites combines du régime des partis, ceux qui perdent les scrutins, et qui n'ont plus les faveurs de l'opinion, sont aux responsabilités.
Et ils entendent bien y rester.
C'est grave. Dans le combat politique, le machiavélisme n'a pas de limite, pourvu qu'il soit efficace.

Yann Bizien

-13/9/2025- Zelensky publie un nouveau communiqué très alarmiste ce soir. Depuis plus de trois ans, il cherche à entraîner toute l'Europe dans une guerre qui n'est pas la nôtre.
Nous sommes tous les jours au bord d'une guerre pouvant s'étendre sur tout notre continent.
La "coalition des volontaires" menace toujours plus la Russie qui devient toujours plus agressive : c'est une "logique de guerre", pas de paix.
Depuis des mois j'affirme qu'il s'agit d'une mauvaise stratégie, que la Russie ne cédera jamais et que la France n'est pas du tout prête à entrer en conflit direct avec notre plus grand voisin, même avec quelques alliés européens qui sont eux aussi, dans la même situation que nous : de la dette, de la désindustrialisation, des centaines de milliers de clandestins, de la violence intérieure, une menace islamiste forte et un pouvoir fragilisé.
Halte au feu.

13 septembre 2025

Yann Bizien

PLUS LA SITUATION INTÉRIEURE ÉCHAPPE AU CONTRÔLE D'EMMANUEL MACRON, PLUS IL EST OFFENSIF À L'EXTÉRIEUR

-13/9/2025- Sur les deux fronts, intérieur et extérieur, la politique de l'autruche est insupportable.
Notre élite politico-militaire, intellectuelle et bourgeoise, est en train de sacrifier la France et les Français sur ces deux fronts.
Elle nous enlève notre garantie de sécurité physique et culturelle en négligeant la menace intérieure et celle qui vient du sud.
Cette menace est clairement celle de la conquête violente et de la domination islamiste et du grand remplacement démographique et culturel.
À l'intérieur, nous risquons une guerre civile. Et cette élite regarde toujours ailleurs.
À l'extérieur, cette élite nous paupérise et nous entraîne dans un risque de guerre mondiale avec la "menace russe".
Le soutien financier et militaire nous coûte trop cher par rapport à notre situation budgétaire et économique. Une agence de notation vient d'ailleurs de déclasser la France.
Sur ces deux fronts, les solutions sont pourtant simples et connues des Français.
À l'intérieur, notre élite préfère la stratégie de la soumission, du renoncement, du pourrissement, de la faiblesse et, finalement, de la fatalité : nous sommes progressivement remplacés et dépossédés de la nation, de notre identité, de notre sécurité et de notre destin.
La solution, pourtant, existe. C'est celle du courage. Derrière Philippe de Villiers, au dessus de toutes les mêlées, elle est portée aujourd'hui par un seul parti politique dont la leader incontestable, à droite, est devenue Sarah Knafo. Il suffit de l'écouter honnêtement et sans préjugés pour admettre qu'elle a évidemment raison.
À l'extérieur, notre élite fait le pari de l'illusion stratégique du rapport de forces avec sa "coalition symbolique" des "volontaires" vidée de ses forces de jadis.
Ce "bluff stratégique" est un pari en trompe-l'œil. C'est une tactique mensongère.
Au lieu d'envisager un statut de neutralité de l'Ukraine et des rapports de partenariats économiques et commerciaux avec la Russie, pour diminuer le niveau de frustration de notre plus grand voisin, puissance nucléaire, notre élite bourgeoise et éduquée (elle se reconnaîtra), insiste dans la logique absurde, aveugle et dangereuse du rapport de forces et du risque évident d'une extension d'un conflit de très haute intensité et meurtrier auquel notre société surendettée, submergée, ensauvagée, fracturée, désindustrialisée, désarmée et extrêmement fragilisée ne pourrait pas survivre.
Il y a donc un nœud dur dans le processus de paix à l'est de notre continent. Et il y a un autre nœud dans le traitement de notre problème intérieur.
Le résultat, à ce stade, c'est le risque d'une guerre civile à l'intérieur et le risque d'une guerre mondiale à l'extérieur.
Ces deux nœuds sont l'œuvre de nos élites incapables de résoudre nos problèmes intérieurs et du monde. Trop d'orgueil, trop de narcissisme, trop d'ambitions personnelles, trop de tactiques politiciennes et électoralistes, trop de division, trop d'instabilité, pas assez de vision, de dignité, d'honneur, de courage, d'amour de la France et de respect du peuple.
J'agace et j'énerve cette élite européiste, multiculturaliste, politico-militaire, médiatique et intellectuelle, soumise à Bruxelles et aux banlieues, parce que j'affirme courageusement qu'elle se trompe gravement sur les deux fronts intérieur et extérieur.

9 septembre 2025

La démission d’Emmanuel Macron n’est pas une option mais un devoir et une solution "pour la France"

Yann Bizien

-9/9/2025- Comme ses prédécesseurs, l’homme du compromis mou, François Bayrou, politiquement condamné, désavoué, est balayé.
Pourquoi nommer un nouveau Premier ministre et former un nouveau gouvernement qui ne pourra toujours pas gouverner ce pays ?
Emmanuel Macron, empêtré, dans le flou, est face à une équation politique impossible à résoudre, sauf à démissionner.
Il n’est pas motivé par le souci de notre quotidien et du destin de la France. Nous savons pourquoi il refuse de quitter le pouvoir : l’immensité de son orgueil, la monstruosité de son narcissisme, le besoin de satisfaire ses ambitions personnelles et européistes, son désir de guerre et de revanche sur Vladimir Poutine, sa volonté de se différencier de Donald Trump et de reconnaître un État palestinien devant l’Assemblée générale de l’ONU avec un gouvernement formé, nommé et en place dans son calendrier.
Il a désiré toutes ces échéances pour se rendre exclusif et politiquement indispensable.
Or le salut français ne peut que venir du peuple souverain qui doit pouvoir exprimer son dernier mot dans les urnes. Ce salut ne viendra certainement pas des partis discrédités, des politiciens fixés sur leurs mandats et verrouillés sur leurs sièges, des petits arrangements, des combines et des compromis d'apparences.
Non. La confiance est rompue. Le fossé est désormais trop profond entre la classe politique et le peuple.
Il y a dans ce pays des coupables de tous les blocages, de l’instabilité, de la paralysie et de l'effondrement national.
Le premier d’entre-eux, celui qui tient depuis huit ans tout un édifice institutionnel et politique en train de pourrir, alors qu’il en est pourtant le garant, c’est Emmanuel Macron.
Depuis sa dernière dissolution, et sa « grenade dégoupillée » vers les Français, il méprise le fait majoritaire, ignore le résultat des urnes, n’entend plus le peuple et piétine l’esprit de la Constitution.
Comme un forcené sourd et aveugle, le chef de l’État abuse de son pouvoir, de la tambouille politicienne et de son narcissisme. Il est en train de sacrifier tout le pays, ses intérêts, son peuple, sa civilisation, son identité, sa sécurité, sa dissuasion nucléaire, son siège au Conseil de sécurité des nations unies, sa prospérité et son destin.
C’est évident, Emmanuel Macron manque à ses devoirs pour la France.
Or l’alternance politique n’est pas une insulte à la démocratie. Bien au contraire. Lorsque le pays reste enfermé dans le chaos, elle en est sa respiration et son souffle. Il faut donc la provoquer.
Voilà pourquoi Emmanuel Macron doit démissionner. Il ne peut plus se retrancher dans le palais de l'Élysée. Sa démission est une solution démocratique pour la France. Elle est même prévue et organisée dans notre Constitution. Il ne faut pas la redouter. Le général de Gaulle, père de la 5ème République, a montré sagement ce chemin en avril 1969.
Il faut espérer et réclamer la démission d'Emmanuel Macron. Face au mur de son impopularité, à ses échecs, et à son isolement, elle est indispensable.
Pour la France.

7 septembre 2025

Yann Bizien

-7/9/2025- Nous vivons et nous subissons le cumul et la « cascade » de toutes les crises possibles.
La France est submergée, surendettée, ensauvagée et bloquée. Elle a perdu sa grandeur, sa puissance, son indépendance, sa souveraineté, ses capacités à investir, à produire, à innover et à rayonner. Les Français ont été dépossédés de leur sécurité physique, culturelle et économique.
Le pays n’est plus au bord mais déjà au fond de l’abîme.
La 5ème République est en train de mourir devant nous, dans les mêmes conditions que la 4ème en mai 1958, sous des combines pitoyables et des petits arrangements de circonstances et d'intérêts.
Des gouvernements hybrides, illégitimes, éphémères, chutent les uns derrière les autres dans un climat politique instable et virulent. Ils sont sous la pression et la « féodalité de l’État profond socialiste et de la « République des juges » qui nous imposent une double préférence : « l’étranger avant le national et le coupable avant la victime ».
Il ne s’agit plus de savoir si nous allons chuter.
L’horizon des Français est bouché dans ce bourbier.
Le pouvoir a perdu pied. Il ne maîtrise plus rien. Il glisse vers l’autoritarisme, le mensonge, l’européisme, l’immigrationnisme, la guerre, la répression, le régime des partis et la confiscation du pouvoir. Il tourne en rond depuis 50 ans, incapable de résoudre nos problèmes faute de dirigeants lucides, courageux, responsables, visionnaires et stratèges.
La confiance entre le peuple sacrifié et un pouvoir tacticien attaché à ses privilèges et à ses mandats est rompue.
Emmanuel Macron n’a pas de majorité à l’Assemblée nationale et ne peut plus avoir de gouvernement pour diriger démocratiquement notre pays.
Pour Philippe de Villiers, il n’y a plus de chef, donc plus d’État.
La priorité, pour tous les Français, est donc parfaitement claire : il nous faut un nouveau chef de l’État.
Il s’agit désormais de savoir avec qui et comment nous allons nous redresser.
Il y a dans ce pays une crise de régime, une crise politique, une crise économique, une crise financière, une crise migratoire, une crise sécuritaire, une crise démographique, une crise culturelle, une crise identitaire, une crise civilisationnelle, une crise existentielle et une crise géopolitique.
Philippe de Villiers nous rappelle dans le JDD que nous avons perdu les réflexes qui nous sauvaient lorsque l’on se retrouvait au bord du gouffre. Il évoque « l’éclipse de la conscience nationale », et des réflexes qui n’ont plus pour but de défendre la France, de la sauver et de veiller à la préservation de sa puissance et des intérêts de son peuple.
Il l’affirme depuis des années et nous pouvons le vérifier chaque jour : « le pronostic vital de la France est engagé ».
Notre pays est en urgence absolue.
Philippe de Villiers nous alerte sur le fait que « la gente politicienne est responsable d’un crime » et qu’elle échappe au « jugement de l’instant ». Pour lui, quand on tue un homme, cela s’appelle un homicide. Quand on tue un peuple, c’est un « populicide ».
S’appuyant sur des faits incontestables, il ajoute : « nous y sommes, et on nous le cache ».
Philippe de Villiers est le dernier homme d’État à avoir le souci de l’enjeu, du sacrifice, du peuple, de sa souveraineté et du destin français. Il nous invite à « corriger les élites dans les urnes », à changer la clef de voûte politique du pays pour débloquer la situation et pour sauver la France.
Dans le JDD, ce matin, il nous dit pourquoi et comment. Il a un diagnostic, des solutions, un remède et, surtout, une volonté.
« Encore un instant, Monsieur le bourreau ». Le peuple de France n’est pas encore mort. Il n’a pas dit son dernier mot.
Yann Bizien

-7/9/2025- Voici ce que déclare Emmanuel Macron sur son compte Twitter/X après la dernière attaque massive de la Russie sur l'Ukraine, qui a notamment endommagé des bâtiments du régime corrompu de Kiev.
Je cite un extrait de sa communication :
 
« La Russie a de nouveau fait pleuvoir des centaines de drones et une dizaine de missiles dans la nuit sur l'Ukraine, en frappant de manière indiscriminée, y compris des zones résidentielles et le siège du gouvernement. »

Vous comprendrez pourquoi je conteste et refuse le déploiement de nos soldats sur le sol ukrainien. Ils seront la cible des forces russes.
Emmanuel Macron et, derrière lui, tous les bellicistes, sont devenus fous.
Il y a d'autres options pour la paix que la projection de troupes euro atlantistes dans le bourbier ukrainien.
Cessez votre comédie narcissique, orgueilleuse, dangereuse et suicidaire.
Mon patriotisme s'arrête à nos frontières !

3 septembre 2025

Yann Bizien

-2/9/2025- Voici une campagne de publicité (payée par nos impôts) pour promouvoir la nouvelle présentatrice (payée par nos impôts) du JT d'une chaîne publique (payée par nos impôts) que des millions de contribuables, asphyxiés par l'impôt, ne regardent plus.
Il y a partout des économies à faire, François Bayrou.
Mettons un terme à ce régime macroniste qui étouffe les contribuables et qui les prend pour des imbéciles

29 août 2025

Yann Bizien

-29/8/2025- Les ministres et les secrétaires d'État du gouvernement Bayrou sont lancés dans une course contre la montre pour le sauvetage du Premier ministre.
Ils ont tous les mêmes "éléments de langage", comme Juliette Méadel, qui les répète avec un aplomb stupéfiant : il faut préserver la stabilité des institutions, faire confiance au Premier ministre et maintenir les mêmes au pouvoir.
La stabilité est le caractère de ce qui tend à demeurer dans le même état et dans un équilibre permanent.
Autrement dit, ce pouvoir préfère la continuité dans le chaos et refuse toute idée d'alternance et de rupture avec un passé qui nous a pourtant conduit à être les derniers de la classe.
Ce positionnement est intenable : on ne peut pas plaider pour la stabilité quand ce pays est plongé dans une instabilité réelle.
Ce pouvoir ment et trompe les Français.
Nous atteignons des records de faillites d'entreprises. Cela génère de la précarité et de la pauvreté. François Bayrou n'a pas découvert le surendettement de notre pays, comme sa submersion migratoire. François Fillon parlait déjà de la faillite de l'État en 2009, comme Jean-Marie Le Pen soulignait déjà les risques de l'immigration au début des années 80.
Nous avons une classe politique sans courage qui tergiverse, qui tourne en rond et qui ne règle pas les problèmes de ce pays.
Il faut rompre avec tous ceux qui ont confisqué le pouvoir, qui n'apportent aucune solution concrète et efficace à la France et aux Français et pour lesquels il n'y a plus aucune raison de faire confiance.

18 août 2025

Yann Bizien
18/8/2025

La France va mettre 67 ans à éponger sa dette Covid contre 7 ans pour l'Allemagne et 26 ans pour l'Italie. Nous allons également devoir contribuer à la reconstruction de l'Ukraine évaluée à 500 milliards d'euros, quand le Premier ministre ne sait toujours pas comment faire 44 milliards d'euros d'économies sur notre budget. Le duo Macron - Le Maire a laissé un fardeau énorme pour les générations à venir. La France ne peut plus soutenir un effort de guerre. Ceux qui vous affirment le contraire, vous mentent.

17 août 2025

Yann Bizien

-17/8/2025- Macron est déconnecté et en disgrâce et Donald Trump le sait puisqu'il estime que tout ce que dit le président Français est "insignifiant". Le président des États-Unis sait également que la France est surendettée, désindustrialisée, déclassée, submergée, fracturée, menacée de l'intérieur et le pays le plus violent en l'Europe. Il sait également que nos armées n'ont pas assez de munitions, que Macron a perdu les deux derniers scrutins, qu'il n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale, qu'il n'est pas soutenu par l'opinion et qu'il ne pèse plus rien en France comme à l'international.

14 août 2025

Yann Bizien

-14/8/2025- Emmanuel Macron a réalisé une performance peu remarquée hier au fort de Brégançon.
Flanqué de ses deux valets chargés de l'Europe, des Affaires étrangères et de la Défense, et du Président tournant du Conseil européen, il a prononcé douze fois le mot "Europe" en 1 minute et trente secondes.
En 2017, puis en 2022, des Français ont été capables de porter au pouvoir un individu qui n'aime ni la France souveraine, ni son peuple, et qui est en réalité un agent fédéraliste de Bruxelles.
Il a un rêve : l'Europe fédérale.
Il réalise son plan : déconstruire l'État nation par le fait accompli, profiter de toutes les circonstances en suscitant de la peur, tirer avantages de la guerre en Ukraine et au Proche-Orient, entraîner le plus grand nombre de fédéralistes derrière lui pour faire son Europe sans vote et sans référendum.
Des Français ont considéré qu'ils votaient pour élire un président de la France sur les deux derniers scrutins présidentiels. Ils ont en réalité voté pour un simple gouverneur de région et pour un ambassadeur d'un projet fédéraliste qu'une majorité d'entre nous a clairement refusé en 2005.
Emmanuel Macron est une arnaque. Il a trompé les Français. Et il va encore les tromper. Il ne les aime pas. Pour lui, ils ne sont que des choses et des objets à manipuler froidement et cyniquement.

23 juillet 2025

Yann Bizien

-23/7/2025- Le général d’armée aérienne Fabien Mandon, actuel chef d’état-major particulier d'Emmanuel Macron, ex-chef du cabinet militaire du ministre des Armées, a été nommé ce matin en Conseil des ministres chef d’état-major des armées françaises, en remplacement du général Thierry Burkhard qui vient de faire une quasi déclaration de guerre à la Russie à la demande du chef de l'État. Emmanuel Macron nomme ainsi son plus fidèle officier général à la tête de nos armées. J'en profite pour rappeler au général Mandon, dont le parcours sous les étoiles est très politique, que nos armées sont avant tout celles de la nation et du peuple, pas uniquement celles d'un homme, encore moins celles, exclusivement, d'un chef d'État sans majorité, en échec et en disgrâce.

14 juillet 2025

Yann Bizien

-14/7/2025- En ciblant la Russie, Emmanuel Macron a déclaré hier soir que nos enfants ne toucheraient pas "les dividendes de la paix".
Le chef de l'État a repris une vieille notion que ma génération a beaucoup entendu au lendemain de la chute du mur de Berlin en 1989.
Nous savons tous pourquoi. Emmanuel Macron a décidé de tirer avantage de la guerre entre la Russie et l'Ukraine ainsi que de l'élection du très patriote et conservateur Donald Trump aux États-Unis pour accélérer son agenda personnel d'une Europe fédérale que les Français ont pourtant refusé en 2005.
Chacun sait ici que nos enfants ne tirent effectivement pas les dividendes de la paix. Leur horizon est beaucoup plus bouché que celui de ma génération. Avec davantage d'études, ils galèrent bien plus que nous à l'époque pour trouver aujourd’hui un emploi. Leurs entreprises font davantage faillite. Ils ne peuvent plus sortir en sécurité.
Paupérisation et insécurité physique, culturelle et économique ont donc gagné des millions de jeunes Français. Mais ce n'est pourtant pas à cause de la Russie de Vladimir Poutine.
Par ailleurs, tous mes camarades officiers récemment retirés savent parfaitement que la "menace russe" n'a rien de nouveau. Elle n'a pas changé d'échelle depuis 2008, année où l'OTAN a déclaré unilatéralement vouloir intégrer l'Ukraine dans la plus grande alliance politico-militaire de tous les temps. En 2015, la Marine nationale consommait déjà beaucoup de potentiel pour pister les sous-marins russes en Manche et mer du Nord, dans l'océan Atlantique et en Méditerranée.

Emmanuel Macron ment aux Français pour servir avant tout son intérêt personnel qui se situe à Bruxelles.

Le chef de l'État ignore complètement une grande évidence que plus aucun Français n'ignore : il y a bien une guerre civile hybride en France.
Elle se déroule sur un même sol, national. Elle est culturelle, communautaire, ethnique, religieuse, idéologique et politique. L'affrontement est effectif, asymétrique, du fort au faible. Dans cette guerre civile, on ne se dispute pas le monopole de la violence. Les assaillants sont toujours les mêmes. Les victimes tombent toujours du même côté. Cette guerre civile est effectivement menée par une racaille islamisée dominante qui a la nationalité française, la même que les victimes. Elle a un commandant en chef : Jean Luc Mélenchon. Elle est soutenue par un parti politique : la France insoumise.
En face de cette racaille islamisée, que beaucoup appellent la "cinquième colonne", d'autres Français dépossédés, démunis, dépourvus, désemparés et désarmés.
Les guerres civiles ne se ressemblent pas toutes. La nôtre a déjà fait de nombreuses victimes et a déjà provoqué des déplacements de populations sur notre sol national. Le centre-ville de nombreuses communes de France est quasiment entièrement communautarisé. Les blancs sont partis en périphérie.
Les officiers généraux ayant actuellement autorité sur nos armées sont complètement "macronisés". Ils ont oublié leurs devoirs pour la Patrie et pour tout un peuple déjà en danger, qui n'est toujours pas attaqué par la Russie mais qui est chaque jour exposé à une menace intérieure que plus personne n'ignore puisque nous la subissons tous.

13 juillet 2025

Yann Bizien

-13/7/2025- La France sans frontières, submergée, ensauvagée, fracturée, déclassée et surendettée est en voie de désintégration totale. Elle est dirigée et sabotée par un pervers narcissique qui stérilise toutes les oppositions devant un peuple dépossédé de ses attributs de souveraineté et de sa sécurité, tout ceci avec la complicité aveugle du haut encadrement militaire.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets que le 10 mai 1940 : la débâcle, et "l'étrange défaite".
La France n'est plus une puissance mondiale. C'est désormais une ancienne puissance qui ne retrouvera jamais son rang avec Emmanuel Macron au pouvoir.
Ce n'est pas le bavardage permanent qui fait d'un pays une puissance. Par ailleurs, on ne fait pas une puissance en important massivement des individus qui nous détestent, en reculant devant l'islamisme, en bradant nos entreprises stratégiques et en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles.

4 juillet 2025

Yann Bizien

-4/7/2025- Les États-Unis décident de stopper la livraison de missiles et de munitions à l’Ukraine pour obliger Zelensky à négocier enfin la paix.
Ce n'est pas une trahison des Américains. C'est la prise de conscience d'une guerre d'usure, meurtrière, coûteuse et surtout ingagnable.
Donald Trump est un réaliste. Pas un idéaliste. Il a pris conscience d'une évidence que seuls les dirigeants européens, aveugles, ne veulent toujours pas voir.
Il faut désormais regarder cette guerre plus froidement, autrement, sans orgueil et sans passion.
L’Union européenne ne peut certainement pas compenser la fin de l'aide militaire américaine à l'Ukraine en qualité et en quantité. Ses États membres sont bien trop divisés, surendettés, désindustrialisés et affaiblis pour intensifier leur soutien financier et militaire à l'Ukraine.
Par ailleurs, les contribuables français ne vont pas vouloir se serrer davantage la ceinture pour Zelensky et pour cette guerre déjà mondialisée tant les soutiens directs sont nombreux entre deux blocs.
Emmanuel Macron doit renoncer à son ambition narcissique et impossible. Il ne parviendra jamais à faire plier le régime russe. Sans majorité, en disgrâce, il n'a plus assez de légitimité pour nous imposer sa volonté d'amplifier le soutien français à l'Ukraine.
La guerre est avant tout un affrontement de volontés et, depuis février 2022, le président français sous-estime largement la détermination des Russes à préserver leurs intérêts vitaux contre l'expansion ostentatoire de l'OTAN vers l'est.
Les solutions pour un cessez-le-feu et pour la paix à l'est de notre continent sont connues. Il suffit de les regarder en face avec davantage de lucidité, de réalisme et d'humilité.
La décision de Donald Trump est un vrai coup dur, pas seulement pour Zelensky, mais aussi pour nos dirigeants européens qui rêvaient jusqu'ici de faire chuter le régime russe et de remporter une grande victoire dans une guerre par procuration qui aura sacrifié honteusement deux peuples à cause de l'absurdité des hommes, mais aussi les contribuables que nous sommes.
Depuis plus de trois ans maintenant, tout ce que j'affirme ici est validé par la réalité de cette guerre.
Toutes les guerres doivent avoir une fin. Il est temps de terminer celle-ci. Mais nos parlementaires n'ont toujours pas le courage de destituer un président prêt à nous réclamer davantage d'efforts pour ce que nous devons tous redouter : l'escalade du pire.

30 juin 2025

Yann Bizien
30/6/2025

Il fait chaud. C'est évident.
Le discours est donc dominé par l'idéologie écologiste militante, culpabilisante, autoritaire et péremptoire. Ce discours sentencieux, intangible et doctrinaire, cible avant tout les classes populaires et moyennes.
L'écologisme est de retour. Il incarne l'excès d'écologie qui plombe notre compétitivité, notre économie et le pouvoir d'achat.
L'impératif écologiste contribue au "suicide français". C'est un impératif technocratique, irrationnel, brutal, antisocial et bourgeois.
Il ne suffit pas de vouloir protéger, préserver ou restaurer notre environnement. Il faut aussi respecter la condition humaine, ce que l'écologisme a oublié.
L'écologisme est vert en apparence, mais rouge à l'intérieur. C'est le nouveau communisme du XXIème siècle.

25 juin 2025

Yann Bizien

-25/6/2025- Les Français ont le droit d'avoir un exécutif qui fonctionne, le droit d'avoir un gouvernement cohérent et capable d'agir, le droit d'avoir une majorité absolue ayant la légitimité des urnes à l’Assemblée nationale, le droit d'avoir des institutions impartiales, le droit d'avoir une justice débarrassée de l'idéologie gauchiste, le droit d'aller et venir en sécurité, le droit d'avoir des frontières surveillées et inviolables, le droit d'avoir des forces de l'ordre respectées et le droit d'avoir un État bien géré avec un budget en équilibre.
Les Français ont des devoirs, qu'il faut rappeler, mais ils ont aussi des droits et des attendus politiques.
Le problème est qu'Emmanuel Macron nous prive à lui seul de tous ces droits.
David Lisnard, qui n'a pourtant pas la réputation d'être un dangereux extrêmiste, a raison d'appeler à la démission ce comédien en disgrâce, cet agitateur sans majorité, ce pervers narcissique déconnecté, cet européiste qui sabote notre souveraineté, cet immigrationniste convaincu, ce belliciste qui brûle notre argent dans la guerre et ce chef de l'État inutile et inefficace qui se moque bien de notre sécurité dans la France qu'il a ensauvagée en ignorant nos frontières, en maintenant tous les leviers d'assistanat, en laissant entrer des centaines de milliers de clandestins sur notre sol, clandestins dont nous ignorons tout de leur passé et de leurs intentions.
Emmanuel Macron a surendetté la France et l'a rendue ingouvernable. Il doit donc démissionner et, s'il ne le veut pas, ce qui est le cas, il faut le destituer en rappelant qu'il s'agit d'une procédure démocratique.
Le contexte international ne justifie en aucun cas le sacrifice de la France qui ne peut plus attendre.
Le gouvernement doit sortir de son impuissance et doit gouverner. Et l'Assemblée nationale doit pouvoir voter des bonnes lois, efficaces, non censurées.
Il n'y a aucune raison valable pour maintenir au pouvoir un président qui ne sert pas l'intérêt national depuis 2017.

19 juin 2025

Yann Bizien

-19/6/2025- Nous allons souffrir. Car Léa Salamé va imposer un supplice socialiste quotidien à tous les Français qui regardent encore des JT wokistes et islamo-gauchistes à 20h.
"Cette nomination de Léa Salamé marque un tournant aussi inattendu qu’inquiétant pour une rédaction déjà fragilisée. En perte de vitesse depuis plusieurs années, confrontée à une érosion continue de son audience et à une perte de confiance de la part des téléspectateurs, France Télévisions semble avoir fait le pire choix idéologique possible : confier son rendez-vous d’information phare à une personnalité clivante, surcotée et perçue comme déconnectée du quotidien des Français."
"Ce n’est pas un choix stratégique, c’est une fuite en avant. Une décision symptomatique d’une direction désorientée, prisonnière de sa bulle parisienne et coupée des réalités du pays."
"Égérie d’une gauche bobo et élitiste, Salamé incarne davantage le microcosme germanopratin que l’universalité attendue du service public. Elle parle souvent au nom du peuple, mais n’en partage ni le quotidien, ni les angoisses, ni les repères."
"Ses interviews politiques sont régulièrement critiquées pour leur tonalité inquisitrice, leurs sous-entendus idéologiques et leur tendance à réduire les sujets à des confrontations binaires. Ses questions, souvent orientées, visent davantage à piéger qu’à éclairer, et à fabriquer des moments viraux."
"Son traitement de l'information, émotionnel, partisan, militant et spectaculaire, éloigne le service public de sa mission première : informer, contextualiser, éclairer, aider à comprendre."
"Difficile d’ignorer la situation personnelle de Léa Salamé, en couple avec Raphaël Glucksmann, eurodéputé et candidat quasi-déclaré à l’élection présidentielle de 2027. Dans son émission hebdomadaire sur France 2, la présentatrice raille fréquemment les ennemis politiques de son conjoint tandis que ce dernier se trouve miraculeusement épargné par la production."
"Comment prétendre à la neutralité journalistique dans un tel contexte ? Comment garantir l’impartialité du traitement de l’information avec un profil aussi tendancieux ?"
"Ce choix incarne une incompréhension totale des attentes des téléspectateurs. À l’heure où le public réclame davantage de clarté, de proximité et d’indépendance, France Télévisions opte pour le contraire : une journaliste perçue comme partisane, élitiste et en quête de reconnaissance médiatique. Plutôt qu’un renouveau, cette nomination risque d’accélérer la perte de confiance envers une institution déjà malmenée. C’est une erreur de casting majeure, qui en dit long sur l’état de déconnexion des dirigeants du service public télévisuel."
Le "média citoyen"