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Affichage des articles dont le libellé est Bizien Yann. Afficher tous les articles
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18 octobre 2025

Yann Bizien

-18/10/2025- Sous l’impulsion de Donald Trump, et grâce à son président patriote et conservateur, Viktor Orban, la Hongrie, membre de l’Union européenne, peut jouer le rôle de "place de la paix" entre la Russie et l’Ukraine.
Je ne peux que me réjouir de ce pont pour la paix entre deux pays en guerre à l’est de notre continent, même si je sais que cette option irrite Ursula von der Leyen, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz ainsi que tous leurs fanatiques qui viennent répandre régulièrement leur narratif belliciste ici.
Il est question de débattre de la nécessité de la paix plutôt que de la continuité de la guerre, sans oublier les masses d’argent et les volumes d'armements que les dirigeants européens ont déversé sans compter vers l’Ukraine corrompue, en perdant leur neutralité et donc leur capacité à négocier la paix avec la partie russe.
Nous devons pouvoir critiquer nos dirigeants européens qui n’apportent toujours aucune solution à ce conflit mais qui s’attachent, au contraire, à le nourrir à notre détriment puisque nous payons toutes leurs factures salées.
Enfin, sur le plan purement politique, Donald Trump a davantage besoin de gagner les dividendes de la paix plutôt que de vendre de l’armement à outrance en Ukraine.

15 octobre 2025

Yann Bizien
15/10/2025

LA FOLIE DÉPENSIÈRE ET FISCALE EST EN MARCHE GRÂCE AUX SOCIALISTES ET AU RÉPUBLICAINS

Nous voulions moins de dépenses publiques et moins d’impôts et nous allons avoir tout le contraire.
Demain, jeudi, les Socialistes et les Républicains, main dans la main, vont s’associer pour cautionner le budget du gouvernement Lecornu 2 qui ne défend aucune baisse significative d'impôts et qui prévoit beaucoup plus de dépenses et de taxes :
- Une taxation encore plus forte de l’héritage, voulue par Yaël Braun Pivet, "ce truc malsain qui tombe du ciel" ;
- Le gel des pensions de retraite ;
- La fiscalisation des revenus des jobs étudiants, souvent oubliés par les gouvernements antérieurs ;
- La taxation des tickets-restaurant.
Par ailleurs, nous allons payer très cher les engagements d'Emmanuel Macron pour :
- L’Ukraine (soutien à l’effort de guerre et reconstruction) ;
- Gaza (c’est son projet) ;
- L'immigration (40 Md€/an), dont la Santé (1,38 milliards d'euros d’aide médicale d'Etat) et l’assistance sociale des étrangers ;
- L’écologisme punitif cher à la gauche.
Roland Lescure confirme 14 milliards d’euros de hausses d’impôts, dont 2,5 milliards pour les plus riches et 4 milliards pour les entreprises. Cela fait encore beaucoup à payer pour les autres, dont les classes moyennes. Pour mémoire, en avril dernier, l'ancien ministre Eric Lombard déclarait « Il est hors de question d'augmenter les impôts. »
La France était déjà le pays où l’on payait le plus d’impôts et taxes avec seulement 28 millions de Français actifs sur une population de 68 millions. Près de 200 000 ménages supplémentaires devraient contribuer à l’impôt sur le revenu.
Depuis 2017, Emmanuel Macron a porté les dépenses publiques en pourcentage du PIB en France à 57,2 %, soit un niveau supérieur à celui de l'Union soviétique et de son économie planifiée.
La France n’a pas un problème de recettes car l’État prélève déjà chaque année 1300 milliards d’euros d’impôts et cotisations. C’est d'ailleurs un record absolu dans l’OCDE.
La France a un problème de dépenses. Il faut supprimer des milliards de dépenses publiques pour sauver et relancer ce pays.
Pour mettre un terme à tous les excès macronistes, il faut censurer le gouvernement Lecornu 2 ce jeudi.

11 octobre 2025

Yann Bizien
11/10/2025

La fidélité et la loyauté jusqu'au bout, au profit d’Emmanuel Macron, c'est tout accepter et tout cautionner : la méthode du président, son style, ses choix, ses mauvaises décisions, sa manipulation, sa soumission, son mépris des Français et des urnes, son bellicisme, ses échecs, ses trahisons et son bilan calamiteux.
Sébastien Lecornu a fait un très mauvais choix politique en acceptant de servir un président narcissique qui confisque le pouvoir à des fins personnelles, au détriment de la France et des Français.

7 octobre 2025

Yann Bizien

-7/10/2025- C'est le modèle extrême du pervers narcissique : aucune empathie pour le peuple. Il ignore les désirs des autres. Une besoin obsessionnel de pouvoir, de domination, de contrôle, d'emprise, de manipulation, de dévalorisation et de culpabilisation pour esquiver ses responsabilités. Aucune capacité à reconnaître ses torts. Les seuls coupables, ce sont toujours les autres. Le pervers narcissique provoque, humilie, clive, sabote, déconstruit et isole. Il retourne habilement toutes les situations à son profit. Il n’est jamais fautif. Il cherche le conflit, à brouiller (Ukraine, Proche-Orient), à punir (les Gilets jaunes, les antivax) et à rabaisser (les Français qui ne sont rien...). Le pervers narcissique s'agace du bonheur des autres. Il ne veut que sa réussite, pas celle des autres. Il ne voit que par sa méthode. Les autres ne sont que des objets utiles. Le pervers narcissique se veut au centre de toutes les attentions. Pour cela, il est prêt à tout, à piétiner les limites, jusqu'à se contredire, à mentir et à trahir avec mépris et arrogance.

4 octobre 2025

Yann Bizien

-4/10/2025- Hier, sur ordre d'un président de la République narcissique, en échec et en disgrâce, le nouveau premier ministre d'une République agonisante, a décidé de s'autocensurer pour diluer le pouvoir, pour s'affaiblir davantage, pour tenter d'éviter une censure avant le vote du budget et pour espérer durer dans le chaos, loin des électeurs, des isoloirs et des urnes.
Comment mieux synthétiser la déclaration de Sébastien Lecornu qui ressemble à "l'étrange défaite" de Marc Bloch ?
Plus rien ne tient dans ce pays. La tripartition de la vie politique voulue et imposée par le socialo-centriste Emmanuel Macron a abîmé la vie politique, liquéfié le vote et déchiré le pouvoir législatif.
À gauche, il y a ceux qui veulent la nouvelle France ouverte au tiers-monde et "créolisée" façon Mélenchon.
Au centre, il y a les européistes qui sabotent notre souveraineté et qui confisquent le pouvoir pour construire une Europe fédérale par la politique du fait accompli, sans vote.
À droite, il y a ce qui reste des patriotes, des Républicains toujours attirés sur leur gauche et une femme en échec sur tous les scrutins nationaux décisifs.
Mais comment durer dans ces conditions, c'est-à-dire avec un président rejeté par 79% des Français, sans majorité, avec un pouvoir dilué, sans vision, sans projet et sans budget ?
Comment gagner du temps d'ici la sortie officielle du pouvoir d'Emmanuel Macron ?
En faisant courir tous les jours le risque de la guerre contre notre plus grand voisin et son gigantesque arsenal nucléaire ?
En simulant un bras de fer permanent avec Poutine ?
En brûlant notre argent dans une guerre ingagnable ?
En donnant satisfaction aux revendications de la cinquième colonne sur un État palestinien ?
En s'opposant toujours plus au Premier ministre israélien ?
En faisant de l'anti trumpisme ?
En empêchant la paix en Ukraine et au Proche-Orient ?
Bref, en ajoutant toujours de la discorde à la discorde ?
La vie politique française est devenue une foire d'empoigne permanente, un spectacle éprouvant et désespérant, un chaos institutionnalisé.
Tout ce spectacle lamentable n'a évidemment qu'un seul but : sauver le Prince à bout de souffle et le maintenir au pouvoir quoi qu'il en coûte à la France et aux Français, cela sous le regard effaré du reste du monde.
La seule urgence de notre classe politico-médiatique, la priorité du moment, celle qui revient à chaque censure, c'est de durer dans le chaos en préservant le Prince, et son "socle commun", plutôt que de chercher à sauver ce pays et notre civilisation en grand danger.
De la "Grande défaite" au suicide collectif, il n'y a plus qu'un petit pas.

29 septembre 2025

Yann Bizien
29/9/2025

Scandale politicien, islamo-gauchiste et électoraliste à Strasbourg, aux frais des contribuables, à quelques mois du scrutin municipal

La municipalité puise dans le budget de la commune pour financer sans modestie ni pudeur une campagne de collaboration avec l’islam politique et radical, comme le régime de Vichy avec le nazisme.
La Maire écologiste de la ville de Strasbourg choisit une femme voilée pour incarner le slogan « Strasbourg, la douceur de ville ».
Une ville qui choisit une femme voilée pour incarner sa “douceur”, c’est une ville soumise à l’islam politique, une ville qui tourne le dos à la laïcité, une ville qui rabaisse la femme au-dessous des hommes et une ville qui collabore avec des fondamentalistes.
C'est une ville qui plaide pour l’infériorité des femmes plutôt que pour leur émancipation. C'est une municipalité prête à tout pour gagner quelques électeurs au mois de mars 2026.
Dans ma France de jadis, je n'imaginais pas qu'un maire puisse un jour choisir une femme voilée pour représenter sa ville.
L'islamisme gagne du terrain sur notre sol avec tous ces élus qui collaborent à son travail de domination culturelle, de séparatisme politique et de conquête territoriale avec un clientélisme déguisé.
Qu'en pensent les femmes et les jeunes femmes de Strasbourg ?
Que va faire le Préfet ? Que décidera Bruno Retailleau contre cette propagande islamiste qui sape les fondations de notre nation ?
Stop !

25 septembre 2025

Yann Bizien

-24/9/2025- Accusé par Donald Trump de vouloir "instaurer la charia" à Londres, le maire Sadiq Khan l’accuse d’être "raciste, sexiste, misogyne et islamophobe" (le Figaro).
Le président américain irrite les artisans du malheur européen. Calmement, à la tribune de l'ONU, il met les fossoyeurs de nos vieilles nations européennes devant leurs échecs et leurs responsabilités.
Il rappelle les conséquences insupportables de la politique d'immigration extra-européenne massive et délirante vers notre continent pour nos nations : "Vous allez tout droit vers l'enfer et la destruction de votre civilisation".
La réalité est que l'immigration de masse importe des jeunes violents, brise l'unité de nos sociétés, fait exploser l'insécurité, provoque un choc culturel, génère des crispations identitaires, développe le communautarisme et le clanisme, impacte nos finances publiques, transforme notre démographie, engorge nos tribunaux, sature nos prisons et coûte beaucoup aux vieilles nations chrétiennes et européennes.
En Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, en Espagne, en Belgique, en Italie, partout en Europe, les peuples subissent les effets d'une immigration imposée et qu'ils n'ont jamais voulue.

21 septembre 2025

Yann Bizien


-20/9/2025- Voici le résultat de la politique de François Hollande, d'Emmanuel Macron, d'Edouard Philippe, de Jean Castex, d'Elisabeth Borne, de Gabriel Attal, de Michel Barnier, de François Bayrou et de Sébastien Lecornu, sans oublier les présidents et les Premiers ministres qui se sont succédés au pouvoir depuis 1974.
Pendant que la France est humiliée et déclassée, notre voisin italien, gouverné par une femme plus clairvoyante, plus audacieuse et plus courageuse, se redresse fièrement.
Il y a en France des militants de gauche qui manifestent encore contre la baisse des dépenses publiques et pour la taxation des riches, c'est-à-dire les autres. Ils mènent une offensive favorable aux taxes sur les entreprises et à l'impôt sur les entrepreneurs, tandis que nous savons pourtant que notre pays n'a pas de problème de recettes fiscales mais un problème grave de dépenses publiques.
Mais il y a pourtant une autre catégorie de citoyens et de contribuables, dont je suis, qui est prête pour la baisse des dépenses, pour des économies sur le train de vie de l'État et pour des réformes de structures dans le secteur public : 82 % des Français préfèrent la baisse des dépenses publiques plutôt que la hausse des impôts ! 77 % des Français sont favorables à la préférence nationale pour le versement des aides sociales ! Ils sont nombreux à rejeter l'aide médicale d'État, le regroupement familial, le droit du sol, l'aide juridictionnelle aux étrangers !
Face à la dette, une grande majorité de Français a parfaitement compris l'urgence et n'est pas contre des réformes et pas contre des économies. Bien au contraire ! Ils rejettent tout un système de spoliation institutionnalisé contre leur volonté. Ils refusent l'État social et prédateur fiscal. Ils ne veulent plus des taxes de la gauche. Ils sont favorables à l'arrêt immédiat de l'hémorragie de la dépense publique idéologique, inutile, redondante, inefficace.
Ce n'est pas la contribution fiscale qui va sauver nos finances publiques et qui va participer au redressement de la France. Ce sont les économies, donc moins de dépenses !
Stop à la logique socialiste et communiste du toujours "plus d'impôts" et notre pays s'en portera mieux !
Cessons de punir ce pays et les Français honnêtes, ceux qui travaillent, comme tous ceux qui sont désormais à la retraite, qui ont travaillé dur, et qui l'ont bien méritée !

18 septembre 2025

Yann Bizien
18/9/2025

Quelques chiffres sur l'immigration en France et les conséquences sur le portefeuille des Français

L'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII) paye environ 52 000 nuits d'hôtel par jour à des migrants en 2025.
Ceci représente un coût annuel de 1,2 milliard d'euros pour les Français.
Les demandeurs d'asile appelant l'OFII bénéficient d'un temps d'attente moyen de 30 secondes seulement.
L’OFII compte 31 directions territoriales et 7 représentations à l’étranger.
La France compte 1 062 centres d’hébergement pour migrants.

"Les étudiants étrangers occupent 33 % des logements CROUS.
66 % des étudiants étrangers n’obtiennent pas leur licence en 3 ans, et jusqu’à 75 % pour les étudiants maghrébins, si tant est qu’ils l’obtiennent.
60 % des aides d’urgence aux étudiants sont attribuées aux étudiants étrangers, alors qu’ils ne représentent que 14 % des étudiants." (Nicolas Pouvreau-Monti sur Cnews).
Parallèlement, en France, le nombre de salariés au SMIC est passé d’environ 1,7 million en 2015 à 2,7 millions en 2024.
Record en 2023 : 3,1 millions.
Soit 17,3 % des salariés contre 11,1 % en 2015.
Soit +1 million de personnes concernées en moins de 10 ans.
Le Gouvernement, les médias du service public, France TV, mais aussi Le Monde, BFMTV et LCI ne vous livreront jamais ces chiffres parce qu'ils sont emblématique des masses d'argent public, celui des contribuables, mis à la disposition de l'immigration.
(Source : DARES - Artemis - Strasbourg Policy Center - OFII)

16 septembre 2025

Yann Bizien
16/9/2025

Emmanuel Macron reçoit Karol Navrocky, le nouveau président de la Pologne à l'Elysée

Notre président comédien va pouvoir mettre en scène une nouvelle étape de son soutien militaire et financier inconditionnel à l'Ukraine et de son bellicisme anti-russe en recevant le président d'un pays membre de l'UE moteur du réarmement accéléré.
Emmanuel Macron va surtout nous reparler de son obsession de partager le parapluie de notre dissuasion nucléaire avec les pays de l'est.
Pour mémoire, avec son armée de terre, la Pologne aligne d'ores et déjà plus de 1.700 blindés de combat (contre seulement 515 en France) et 140 lance-roquettes. Et ce pays finance largement le complexe militaro-industriel américain.
Karol Navrocky, historien, conservateur, anti immigration, et souverainiste de 42 ans, a été élu largement en juin et contre la volonté de la Commission européenne à Bruxelles. Il vient d'ailleurs d'ordonner le retrait du drapeau européen de son bureau.
Pro Trump, comme Giorgia Meloni, qui l'a déjà reçu à Rome, le nouveau président polonais est évidemment l'homme qui dérange les européistes et les fédéralistes comme Emmanuel Macron.
En juin dernier, le peuple polonais a triomphé de façon souveraine. Il a repoussé dans les urnes les mondialistes, les progressistes, les fédéralistes, les européistes, les technocrates et les immigrationnistes en portant au pouvoir un candidat non conforme à la volonté de Bruxelles.
Il faut féliciter ce peuple courageux qui ne s'est pas laissé intimider et manipuler et qui a voté pour reprendre son destin en main.
C'est aussi le premier triomphe du mouvement politique MAGA en Europe qui refuse une Europe fédérale et bruxelloise qui piétine la souveraineté des vieux États nations et qui reste impuissante face à la submersion migratoire.

14 septembre 2025

Yann Bizien
14/9/2025

Une bonne infographie vaut bien mieux qu'un long discours

Dans les conditions d'engagement "pour la guerre", il y a celle, incontournable, de l'opinion. Lorsque l'indicateur est au rouge, et c'est le cas pour Emmanuel Macron, il est évidemment hors de question d'approuver et de décider un engagement militaire.
Pire, le chef de l'État n'a pas l'opinion avec lui ni de majorité pour se lancer dans une aventure militaire à très hauts risques.
Il y a bien sûr d'autres conditions nécessaires pour juger de l'opportunité d'entrer en guerre, comme, par exemple, l'aptitude à avoir des alliés, à obtenir un mandat clair du Conseil de sécurité des Nations-Unies (mais la Russie dispose de son droit de veto en sa qualité de membre permanent), à disposer d'un outil militaire opérationnel, de ressources industrielles suffisantes sur le long terme, à pouvoir mobiliser toute la nation, à avoir des chances raisonnables de succès...
Certains critères ont beau être au vert, il n'empêche qu'Emmanuel Macron n'a clairement plus la confiance des Français et la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, sans majorité, ne changera rien à la situation d'instabilité chronique de ce pays. Il pourra s'agiter, faire des annonces, la situation politique restera bloquée et la France en souffrira.
Le piège de la tripartition de la vie politique, avec trois blocs inconciliables, s'est refermé sur la France fracturée et bloquée.
Il nous faut donc faut revenir à un vrai clivage gauche/droite dans l'intérêt du pays. À droite, c'est à Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez, Nicolas Dupond Aignan, Eric Ciotti, Eric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, Marine le Pen, Jordan Bardella et à François Asselineau de se mettre au travail.
Hélas, ils ne sont toujours pas prêts à rompre avec leur égoïsme, au détriment de la Nation. Sur le marché de l'électorat, à chacun sa part du gâteau.

Yann Bizien

-14/9/2025- Je reviens un instant sur la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon par Emmanuel Macron.
Le résultat des législatives issues de sa dissolution devait conduire à un quasi gouvernement de "co-habitation" avec un président défait et déchu sur les deux derniers grands scrutins de la nation.
Or nous avons aujourd'hui un parfait alignement politique et idéologique entre le palais de l'Élysée et l'hôtel de Matignon. Entre les deux centres de gravité du pouvoir exécutif, les états-majors, la vision, les méthodes et les objectifs sont les mêmes.
Une preuve ? Lors de sa prise de pouvoir, Sébastien Lecornu a déclaré qu'il voulait de la stabilité, mais aussi "une rupture, pas seulement sur la forme et sur la méthode, mais aussi sur le fond".
"Stabilité et rupture", les deux mots sont pourtant antinomiques. Ils nous renvoient à l'obsession du "en même temps" du chef de l'État. Il ne faut donc certainement pas voir cette rupture comme une distance entre l'Élysée et Matignon.
Bien au contraire.
En récompensant la fidélité d'un ministre, plutôt que de tenir compte du résultat des urnes, Emmanuel Macron a confisqué le pouvoir et repris en main toute la politique de l'exécutif dans un entre-soi inadmissible.
La nomination de Lecornu suinte le mépris de la volonté du peuple. Ce pouvoir autoritaire et exclusif n'est plus démocratique et bicéphale. Il est arrangé entre amis et certainement monocéphale. Politiquement, et sur le plan idéologique, Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu ne font plus qu'un. Ce sont les mêmes.
Le Premier ministre est la "voix de son maître". S'il lui ordonne de cajoler le parti socialiste, il le fera.
Emmanuel Macron est un pervers narcissique qui a besoin de contrôler et de conserver son emprise. À l'international, ses homologues voient bien que la France est ingouvernable. Certains leaders bien élus se moquent même de lui. Et cela lui est insupportable. La nomination de Lecornu à Matignon lui permet donc de reprendre le contrôle sur l'action de l'exécutif.
Il ne faut pas le voir autrement.
Enfin, quand Lecornu prétend ne pas avoir d'ambitions pour la présidence de la République, rappelons-nous de cette citation de Georges Pompidou : "L'envie de l'Élysée naît à la seconde ou l'on gravit le perron de Matignon".
Dans une République démocratique qui considère, dans sa constitution, que le souverain c'est le peuple, le pouvoir est donc ici emprunté, détourné et confisqué. Grâce aux petites combines du régime des partis, ceux qui perdent les scrutins, et qui n'ont plus les faveurs de l'opinion, sont aux responsabilités.
Et ils entendent bien y rester.
C'est grave. Dans le combat politique, le machiavélisme n'a pas de limite, pourvu qu'il soit efficace.

Yann Bizien

-13/9/2025- Zelensky publie un nouveau communiqué très alarmiste ce soir. Depuis plus de trois ans, il cherche à entraîner toute l'Europe dans une guerre qui n'est pas la nôtre.
Nous sommes tous les jours au bord d'une guerre pouvant s'étendre sur tout notre continent.
La "coalition des volontaires" menace toujours plus la Russie qui devient toujours plus agressive : c'est une "logique de guerre", pas de paix.
Depuis des mois j'affirme qu'il s'agit d'une mauvaise stratégie, que la Russie ne cédera jamais et que la France n'est pas du tout prête à entrer en conflit direct avec notre plus grand voisin, même avec quelques alliés européens qui sont eux aussi, dans la même situation que nous : de la dette, de la désindustrialisation, des centaines de milliers de clandestins, de la violence intérieure, une menace islamiste forte et un pouvoir fragilisé.
Halte au feu.

13 septembre 2025

Yann Bizien

PLUS LA SITUATION INTÉRIEURE ÉCHAPPE AU CONTRÔLE D'EMMANUEL MACRON, PLUS IL EST OFFENSIF À L'EXTÉRIEUR

-13/9/2025- Sur les deux fronts, intérieur et extérieur, la politique de l'autruche est insupportable.
Notre élite politico-militaire, intellectuelle et bourgeoise, est en train de sacrifier la France et les Français sur ces deux fronts.
Elle nous enlève notre garantie de sécurité physique et culturelle en négligeant la menace intérieure et celle qui vient du sud.
Cette menace est clairement celle de la conquête violente et de la domination islamiste et du grand remplacement démographique et culturel.
À l'intérieur, nous risquons une guerre civile. Et cette élite regarde toujours ailleurs.
À l'extérieur, cette élite nous paupérise et nous entraîne dans un risque de guerre mondiale avec la "menace russe".
Le soutien financier et militaire nous coûte trop cher par rapport à notre situation budgétaire et économique. Une agence de notation vient d'ailleurs de déclasser la France.
Sur ces deux fronts, les solutions sont pourtant simples et connues des Français.
À l'intérieur, notre élite préfère la stratégie de la soumission, du renoncement, du pourrissement, de la faiblesse et, finalement, de la fatalité : nous sommes progressivement remplacés et dépossédés de la nation, de notre identité, de notre sécurité et de notre destin.
La solution, pourtant, existe. C'est celle du courage. Derrière Philippe de Villiers, au dessus de toutes les mêlées, elle est portée aujourd'hui par un seul parti politique dont la leader incontestable, à droite, est devenue Sarah Knafo. Il suffit de l'écouter honnêtement et sans préjugés pour admettre qu'elle a évidemment raison.
À l'extérieur, notre élite fait le pari de l'illusion stratégique du rapport de forces avec sa "coalition symbolique" des "volontaires" vidée de ses forces de jadis.
Ce "bluff stratégique" est un pari en trompe-l'œil. C'est une tactique mensongère.
Au lieu d'envisager un statut de neutralité de l'Ukraine et des rapports de partenariats économiques et commerciaux avec la Russie, pour diminuer le niveau de frustration de notre plus grand voisin, puissance nucléaire, notre élite bourgeoise et éduquée (elle se reconnaîtra), insiste dans la logique absurde, aveugle et dangereuse du rapport de forces et du risque évident d'une extension d'un conflit de très haute intensité et meurtrier auquel notre société surendettée, submergée, ensauvagée, fracturée, désindustrialisée, désarmée et extrêmement fragilisée ne pourrait pas survivre.
Il y a donc un nœud dur dans le processus de paix à l'est de notre continent. Et il y a un autre nœud dans le traitement de notre problème intérieur.
Le résultat, à ce stade, c'est le risque d'une guerre civile à l'intérieur et le risque d'une guerre mondiale à l'extérieur.
Ces deux nœuds sont l'œuvre de nos élites incapables de résoudre nos problèmes intérieurs et du monde. Trop d'orgueil, trop de narcissisme, trop d'ambitions personnelles, trop de tactiques politiciennes et électoralistes, trop de division, trop d'instabilité, pas assez de vision, de dignité, d'honneur, de courage, d'amour de la France et de respect du peuple.
J'agace et j'énerve cette élite européiste, multiculturaliste, politico-militaire, médiatique et intellectuelle, soumise à Bruxelles et aux banlieues, parce que j'affirme courageusement qu'elle se trompe gravement sur les deux fronts intérieur et extérieur.

9 septembre 2025

La démission d’Emmanuel Macron n’est pas une option mais un devoir et une solution "pour la France"

Yann Bizien

-9/9/2025- Comme ses prédécesseurs, l’homme du compromis mou, François Bayrou, politiquement condamné, désavoué, est balayé.
Pourquoi nommer un nouveau Premier ministre et former un nouveau gouvernement qui ne pourra toujours pas gouverner ce pays ?
Emmanuel Macron, empêtré, dans le flou, est face à une équation politique impossible à résoudre, sauf à démissionner.
Il n’est pas motivé par le souci de notre quotidien et du destin de la France. Nous savons pourquoi il refuse de quitter le pouvoir : l’immensité de son orgueil, la monstruosité de son narcissisme, le besoin de satisfaire ses ambitions personnelles et européistes, son désir de guerre et de revanche sur Vladimir Poutine, sa volonté de se différencier de Donald Trump et de reconnaître un État palestinien devant l’Assemblée générale de l’ONU avec un gouvernement formé, nommé et en place dans son calendrier.
Il a désiré toutes ces échéances pour se rendre exclusif et politiquement indispensable.
Or le salut français ne peut que venir du peuple souverain qui doit pouvoir exprimer son dernier mot dans les urnes. Ce salut ne viendra certainement pas des partis discrédités, des politiciens fixés sur leurs mandats et verrouillés sur leurs sièges, des petits arrangements, des combines et des compromis d'apparences.
Non. La confiance est rompue. Le fossé est désormais trop profond entre la classe politique et le peuple.
Il y a dans ce pays des coupables de tous les blocages, de l’instabilité, de la paralysie et de l'effondrement national.
Le premier d’entre-eux, celui qui tient depuis huit ans tout un édifice institutionnel et politique en train de pourrir, alors qu’il en est pourtant le garant, c’est Emmanuel Macron.
Depuis sa dernière dissolution, et sa « grenade dégoupillée » vers les Français, il méprise le fait majoritaire, ignore le résultat des urnes, n’entend plus le peuple et piétine l’esprit de la Constitution.
Comme un forcené sourd et aveugle, le chef de l’État abuse de son pouvoir, de la tambouille politicienne et de son narcissisme. Il est en train de sacrifier tout le pays, ses intérêts, son peuple, sa civilisation, son identité, sa sécurité, sa dissuasion nucléaire, son siège au Conseil de sécurité des nations unies, sa prospérité et son destin.
C’est évident, Emmanuel Macron manque à ses devoirs pour la France.
Or l’alternance politique n’est pas une insulte à la démocratie. Bien au contraire. Lorsque le pays reste enfermé dans le chaos, elle en est sa respiration et son souffle. Il faut donc la provoquer.
Voilà pourquoi Emmanuel Macron doit démissionner. Il ne peut plus se retrancher dans le palais de l'Élysée. Sa démission est une solution démocratique pour la France. Elle est même prévue et organisée dans notre Constitution. Il ne faut pas la redouter. Le général de Gaulle, père de la 5ème République, a montré sagement ce chemin en avril 1969.
Il faut espérer et réclamer la démission d'Emmanuel Macron. Face au mur de son impopularité, à ses échecs, et à son isolement, elle est indispensable.
Pour la France.

7 septembre 2025

Yann Bizien

-7/9/2025- Nous vivons et nous subissons le cumul et la « cascade » de toutes les crises possibles.
La France est submergée, surendettée, ensauvagée et bloquée. Elle a perdu sa grandeur, sa puissance, son indépendance, sa souveraineté, ses capacités à investir, à produire, à innover et à rayonner. Les Français ont été dépossédés de leur sécurité physique, culturelle et économique.
Le pays n’est plus au bord mais déjà au fond de l’abîme.
La 5ème République est en train de mourir devant nous, dans les mêmes conditions que la 4ème en mai 1958, sous des combines pitoyables et des petits arrangements de circonstances et d'intérêts.
Des gouvernements hybrides, illégitimes, éphémères, chutent les uns derrière les autres dans un climat politique instable et virulent. Ils sont sous la pression et la « féodalité de l’État profond socialiste et de la « République des juges » qui nous imposent une double préférence : « l’étranger avant le national et le coupable avant la victime ».
Il ne s’agit plus de savoir si nous allons chuter.
L’horizon des Français est bouché dans ce bourbier.
Le pouvoir a perdu pied. Il ne maîtrise plus rien. Il glisse vers l’autoritarisme, le mensonge, l’européisme, l’immigrationnisme, la guerre, la répression, le régime des partis et la confiscation du pouvoir. Il tourne en rond depuis 50 ans, incapable de résoudre nos problèmes faute de dirigeants lucides, courageux, responsables, visionnaires et stratèges.
La confiance entre le peuple sacrifié et un pouvoir tacticien attaché à ses privilèges et à ses mandats est rompue.
Emmanuel Macron n’a pas de majorité à l’Assemblée nationale et ne peut plus avoir de gouvernement pour diriger démocratiquement notre pays.
Pour Philippe de Villiers, il n’y a plus de chef, donc plus d’État.
La priorité, pour tous les Français, est donc parfaitement claire : il nous faut un nouveau chef de l’État.
Il s’agit désormais de savoir avec qui et comment nous allons nous redresser.
Il y a dans ce pays une crise de régime, une crise politique, une crise économique, une crise financière, une crise migratoire, une crise sécuritaire, une crise démographique, une crise culturelle, une crise identitaire, une crise civilisationnelle, une crise existentielle et une crise géopolitique.
Philippe de Villiers nous rappelle dans le JDD que nous avons perdu les réflexes qui nous sauvaient lorsque l’on se retrouvait au bord du gouffre. Il évoque « l’éclipse de la conscience nationale », et des réflexes qui n’ont plus pour but de défendre la France, de la sauver et de veiller à la préservation de sa puissance et des intérêts de son peuple.
Il l’affirme depuis des années et nous pouvons le vérifier chaque jour : « le pronostic vital de la France est engagé ».
Notre pays est en urgence absolue.
Philippe de Villiers nous alerte sur le fait que « la gente politicienne est responsable d’un crime » et qu’elle échappe au « jugement de l’instant ». Pour lui, quand on tue un homme, cela s’appelle un homicide. Quand on tue un peuple, c’est un « populicide ».
S’appuyant sur des faits incontestables, il ajoute : « nous y sommes, et on nous le cache ».
Philippe de Villiers est le dernier homme d’État à avoir le souci de l’enjeu, du sacrifice, du peuple, de sa souveraineté et du destin français. Il nous invite à « corriger les élites dans les urnes », à changer la clef de voûte politique du pays pour débloquer la situation et pour sauver la France.
Dans le JDD, ce matin, il nous dit pourquoi et comment. Il a un diagnostic, des solutions, un remède et, surtout, une volonté.
« Encore un instant, Monsieur le bourreau ». Le peuple de France n’est pas encore mort. Il n’a pas dit son dernier mot.
Yann Bizien

-7/9/2025- Voici ce que déclare Emmanuel Macron sur son compte Twitter/X après la dernière attaque massive de la Russie sur l'Ukraine, qui a notamment endommagé des bâtiments du régime corrompu de Kiev.
Je cite un extrait de sa communication :
 
« La Russie a de nouveau fait pleuvoir des centaines de drones et une dizaine de missiles dans la nuit sur l'Ukraine, en frappant de manière indiscriminée, y compris des zones résidentielles et le siège du gouvernement. »

Vous comprendrez pourquoi je conteste et refuse le déploiement de nos soldats sur le sol ukrainien. Ils seront la cible des forces russes.
Emmanuel Macron et, derrière lui, tous les bellicistes, sont devenus fous.
Il y a d'autres options pour la paix que la projection de troupes euro atlantistes dans le bourbier ukrainien.
Cessez votre comédie narcissique, orgueilleuse, dangereuse et suicidaire.
Mon patriotisme s'arrête à nos frontières !

3 septembre 2025

Yann Bizien

-2/9/2025- Voici une campagne de publicité (payée par nos impôts) pour promouvoir la nouvelle présentatrice (payée par nos impôts) du JT d'une chaîne publique (payée par nos impôts) que des millions de contribuables, asphyxiés par l'impôt, ne regardent plus.
Il y a partout des économies à faire, François Bayrou.
Mettons un terme à ce régime macroniste qui étouffe les contribuables et qui les prend pour des imbéciles

29 août 2025

Yann Bizien

-29/8/2025- Les ministres et les secrétaires d'État du gouvernement Bayrou sont lancés dans une course contre la montre pour le sauvetage du Premier ministre.
Ils ont tous les mêmes "éléments de langage", comme Juliette Méadel, qui les répète avec un aplomb stupéfiant : il faut préserver la stabilité des institutions, faire confiance au Premier ministre et maintenir les mêmes au pouvoir.
La stabilité est le caractère de ce qui tend à demeurer dans le même état et dans un équilibre permanent.
Autrement dit, ce pouvoir préfère la continuité dans le chaos et refuse toute idée d'alternance et de rupture avec un passé qui nous a pourtant conduit à être les derniers de la classe.
Ce positionnement est intenable : on ne peut pas plaider pour la stabilité quand ce pays est plongé dans une instabilité réelle.
Ce pouvoir ment et trompe les Français.
Nous atteignons des records de faillites d'entreprises. Cela génère de la précarité et de la pauvreté. François Bayrou n'a pas découvert le surendettement de notre pays, comme sa submersion migratoire. François Fillon parlait déjà de la faillite de l'État en 2009, comme Jean-Marie Le Pen soulignait déjà les risques de l'immigration au début des années 80.
Nous avons une classe politique sans courage qui tergiverse, qui tourne en rond et qui ne règle pas les problèmes de ce pays.
Il faut rompre avec tous ceux qui ont confisqué le pouvoir, qui n'apportent aucune solution concrète et efficace à la France et aux Français et pour lesquels il n'y a plus aucune raison de faire confiance.

18 août 2025

Yann Bizien
18/8/2025

La France va mettre 67 ans à éponger sa dette Covid contre 7 ans pour l'Allemagne et 26 ans pour l'Italie. Nous allons également devoir contribuer à la reconstruction de l'Ukraine évaluée à 500 milliards d'euros, quand le Premier ministre ne sait toujours pas comment faire 44 milliards d'euros d'économies sur notre budget. Le duo Macron - Le Maire a laissé un fardeau énorme pour les générations à venir. La France ne peut plus soutenir un effort de guerre. Ceux qui vous affirment le contraire, vous mentent.