Translate

Affichage des articles dont le libellé est Macron. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Macron. Afficher tous les articles

14 septembre 2025

Yann Bizien
14/9/2025

Une bonne infographie vaut bien mieux qu'un long discours

Dans les conditions d'engagement "pour la guerre", il y a celle, incontournable, de l'opinion. Lorsque l'indicateur est au rouge, et c'est le cas pour Emmanuel Macron, il est évidemment hors de question d'approuver et de décider un engagement militaire.
Pire, le chef de l'État n'a pas l'opinion avec lui ni de majorité pour se lancer dans une aventure militaire à très hauts risques.
Il y a bien sûr d'autres conditions nécessaires pour juger de l'opportunité d'entrer en guerre, comme, par exemple, l'aptitude à avoir des alliés, à obtenir un mandat clair du Conseil de sécurité des Nations-Unies (mais la Russie dispose de son droit de veto en sa qualité de membre permanent), à disposer d'un outil militaire opérationnel, de ressources industrielles suffisantes sur le long terme, à pouvoir mobiliser toute la nation, à avoir des chances raisonnables de succès...
Certains critères ont beau être au vert, il n'empêche qu'Emmanuel Macron n'a clairement plus la confiance des Français et la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, sans majorité, ne changera rien à la situation d'instabilité chronique de ce pays. Il pourra s'agiter, faire des annonces, la situation politique restera bloquée et la France en souffrira.
Le piège de la tripartition de la vie politique, avec trois blocs inconciliables, s'est refermé sur la France fracturée et bloquée.
Il nous faut donc faut revenir à un vrai clivage gauche/droite dans l'intérêt du pays. À droite, c'est à Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez, Nicolas Dupond Aignan, Eric Ciotti, Eric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, Marine le Pen, Jordan Bardella et à François Asselineau de se mettre au travail.
Hélas, ils ne sont toujours pas prêts à rompre avec leur égoïsme, au détriment de la Nation. Sur le marché de l'électorat, à chacun sa part du gâteau.

10 septembre 2025

Radu Portocala

-10/9/2025- Emmanuel Macron a des ambitions dangereuses. Pas pour lui, heureusement, mais pour tout ce qui l’entoure. L’une d’entre elles, qui occupe sans doute ses rêveries vespérales, est de faire la guerre à la Russie, d’aboutir là où Napoléon et Hitler ont échoué. Noble et grand projet, disent les enthousiastes qui ne s’embarrassent pas du fardeau de la pensée ; terribles désastres en perspective, répondent les lucides rabat-joie.
Bien entendu, comme tout grand démolisseur, il cherche à se faire accompagner dans son entreprise. Il a, donc, trouvé dans le britannique Starmer et l’allemand Merz ses futurs compagnons d’armes.
Pour l’instant, il lui faut gagner l’opinion d’outre-Manche. Alors, il fait ce qu’il sait faire : il frotte le dos du roi, il fait des clins d’œil complices à la princesse de Galles et il promet de prêter aux Anglais la tapisserie de Bayeux. Il transforme ainsi un grotesque exercice de diplomatie personnelle en danger pour un trésor national.
Les restaurateurs et les conservateurs sont unanimes à lui dire que toutes les manipulations qu’implique ce voyage peuvent provoquer des dégâts irrécupérables à la tapisserie. Il n’en tient pas compte. Sa volonté, ses caprices passent avant l’avis de ceux qui savent. C’est ainsi qu’agissent les dictateurs. Et c’est ainsi qu’ils produisent les pires désastres.
La tapisserie de Bayeux aura bientôt mille ans. La toile sur laquelle elle a été tissée est d’une extrême finesse, donc d’une extrême fragilité. Si Macron impose sa volonté – et il y a peu de chances, comme dans n’importe quelle dictature, que son projet soit abandonné – il faudra l’enlever de sa vitrine, l’enrouler, la transporter à Londres, la dérouler, l’exposer dans une vitrine, puis, à la fin de l’exposition, l’enlever de cette vitrine, l’enrouler de nouveau, la ramener en France, la dérouler une fois de plus et, enfin, la remettre dans sa vitrine. À quel point faut-il être indécent pour prétendre que toutes ces opérations n’auront aucun effet, ne produiront aucun dégât ?
Mais la volonté de Macron met à mal le bon sens, l’annule, s’en moque. La volonté de Macron est supérieure à la raison. L’homme qui a tout raté à droit à cette reconnaissance.

9 septembre 2025

Gastel Etzwane

-9/9/2025- De Berlin à New York, tout le monde a compris : le problème de la France, ce n’est ni Moscou, ni Bruxelles, ni encore moins « le peuple ingouvernable », c’est Macron. Der Spiegel (Allemagne) le dit sans détour : il est « carbonisé », prisonnier de son propre narcissisme, incapable de gouverner autrement qu’en usant d’un charisme devenu toxique. Le vernis s’est craquelé, ne reste que l’orgueil d’un homme isolé.
Aux États-Unis, le constat est très net. Le New Yorker explique que Macron a « plongé la France dans le chaos » par ses choix hasardeux, au premier rang desquels la dissolution de l’Assemblée. Quant au New York Times et au Washington Post, ils pointent sa responsabilité directe dans la montée du Rassemblement national, conséquence de son entêtement et de son incapacité à composer. Outre-Manche, The Times et The Daily Telegraph parlent d’une humiliation pour la présidence française, réduite à l’impuissance.
En Belgique, Le Soir dénonce un président qui a offert un boulevard à l’extrême droite ; en Suisse, Le Temps s’inquiète de la dérive des valeurs républicaines. Bref, partout la sentence est claire : Macron est l’obstacle, Macron est la crise. Mais en France, silence radio : les médias tenus par les milliardaires s’interdisent d’en parler, et les soi-disant indépendants se réfugient dans la lâcheté. Le monde entier voit ce que notre presse refuse d’admettre : aujourd’hui, le problème de la France s’appelle Emmanuel Macron.
Et ce soir encore, il prendra la parole pour s’adresser aux Français. Mais qu’a-t-il à leur dire, sinon qu’ils sont des crétins, et que tout est de leur faute ? Car dans la tête d’un pervers narcissique, c’est toujours la faute des autres.
Plutôt que de vous infliger la photo qui donne des haut-le-cœur à tout le monde, celle du président français, je préfère vous montrer ce qu’il déteste par-dessus tout : la France profonde.

La démission d’Emmanuel Macron n’est pas une option mais un devoir et une solution "pour la France"

Yann Bizien

-9/9/2025- Comme ses prédécesseurs, l’homme du compromis mou, François Bayrou, politiquement condamné, désavoué, est balayé.
Pourquoi nommer un nouveau Premier ministre et former un nouveau gouvernement qui ne pourra toujours pas gouverner ce pays ?
Emmanuel Macron, empêtré, dans le flou, est face à une équation politique impossible à résoudre, sauf à démissionner.
Il n’est pas motivé par le souci de notre quotidien et du destin de la France. Nous savons pourquoi il refuse de quitter le pouvoir : l’immensité de son orgueil, la monstruosité de son narcissisme, le besoin de satisfaire ses ambitions personnelles et européistes, son désir de guerre et de revanche sur Vladimir Poutine, sa volonté de se différencier de Donald Trump et de reconnaître un État palestinien devant l’Assemblée générale de l’ONU avec un gouvernement formé, nommé et en place dans son calendrier.
Il a désiré toutes ces échéances pour se rendre exclusif et politiquement indispensable.
Or le salut français ne peut que venir du peuple souverain qui doit pouvoir exprimer son dernier mot dans les urnes. Ce salut ne viendra certainement pas des partis discrédités, des politiciens fixés sur leurs mandats et verrouillés sur leurs sièges, des petits arrangements, des combines et des compromis d'apparences.
Non. La confiance est rompue. Le fossé est désormais trop profond entre la classe politique et le peuple.
Il y a dans ce pays des coupables de tous les blocages, de l’instabilité, de la paralysie et de l'effondrement national.
Le premier d’entre-eux, celui qui tient depuis huit ans tout un édifice institutionnel et politique en train de pourrir, alors qu’il en est pourtant le garant, c’est Emmanuel Macron.
Depuis sa dernière dissolution, et sa « grenade dégoupillée » vers les Français, il méprise le fait majoritaire, ignore le résultat des urnes, n’entend plus le peuple et piétine l’esprit de la Constitution.
Comme un forcené sourd et aveugle, le chef de l’État abuse de son pouvoir, de la tambouille politicienne et de son narcissisme. Il est en train de sacrifier tout le pays, ses intérêts, son peuple, sa civilisation, son identité, sa sécurité, sa dissuasion nucléaire, son siège au Conseil de sécurité des nations unies, sa prospérité et son destin.
C’est évident, Emmanuel Macron manque à ses devoirs pour la France.
Or l’alternance politique n’est pas une insulte à la démocratie. Bien au contraire. Lorsque le pays reste enfermé dans le chaos, elle en est sa respiration et son souffle. Il faut donc la provoquer.
Voilà pourquoi Emmanuel Macron doit démissionner. Il ne peut plus se retrancher dans le palais de l'Élysée. Sa démission est une solution démocratique pour la France. Elle est même prévue et organisée dans notre Constitution. Il ne faut pas la redouter. Le général de Gaulle, père de la 5ème République, a montré sagement ce chemin en avril 1969.
Il faut espérer et réclamer la démission d'Emmanuel Macron. Face au mur de son impopularité, à ses échecs, et à son isolement, elle est indispensable.
Pour la France.

7 septembre 2025

Yann Bizien

-7/9/2025- Voici ce que déclare Emmanuel Macron sur son compte Twitter/X après la dernière attaque massive de la Russie sur l'Ukraine, qui a notamment endommagé des bâtiments du régime corrompu de Kiev.
Je cite un extrait de sa communication :
 
« La Russie a de nouveau fait pleuvoir des centaines de drones et une dizaine de missiles dans la nuit sur l'Ukraine, en frappant de manière indiscriminée, y compris des zones résidentielles et le siège du gouvernement. »

Vous comprendrez pourquoi je conteste et refuse le déploiement de nos soldats sur le sol ukrainien. Ils seront la cible des forces russes.
Emmanuel Macron et, derrière lui, tous les bellicistes, sont devenus fous.
Il y a d'autres options pour la paix que la projection de troupes euro atlantistes dans le bourbier ukrainien.
Cessez votre comédie narcissique, orgueilleuse, dangereuse et suicidaire.
Mon patriotisme s'arrête à nos frontières !

6 septembre 2025

Gilles La Carbona
5/9/2025

Sa guerre… ? Il n’y arrivera pas.

Macron veut sa guerre et il fait tout pour y parvenir. Derrière les gesticulations qui le secouent à intervalles réguliers, sans produire autre chose que du vent, il reste la menace réelle d’un dérapage dont il serait capable. Car l’homme est maintenant seul, et donc potentiellement encore plus dangereux. Que penser des déclarations faites avec son grand ami Zelensky sur l’envoi, une fois la paix signée, détail à ne pas négliger, de troupes en Ukraine ? Rien. D’abord parce que la réponse russe a été immédiate, c’est niet ! Ensuite parce que la grande cohésion européenne doit quand même faire face aux refus italien, et espagnol, à la réticence allemande. Ça commence à faire beaucoup non ? Sans compter les pays européens de l’Est, proches du front et pas très enthousiastes. La Russie n’acceptera qu’une chose, que l’Ukraine vaincue soit démilitarisée, ceci impliquera donc qu’aucune troupe étrangère ne stationne sur son sol.
Dans la foulée, la schizophrénie des sanctions a repris les deux hommes. C’est à se demander s'ils ne vivent pas dans une bulle, ou une faille temporelle. Dix-neuf paquets n’ont pas eu raison de la puissance russe, et ils auraient soudainement trouvé l’ultime, la plus efficace ! On croit rêver devant autant d’absurdité. La seule chose qui pourrait forcer le respect, si ce n’était pas le comble de la bêtise, c’est cette constance à rester sur cette ligne qui n’a prouvé qu’une chose, son inefficacité. Mais non, on insiste, c’est dire la vision stratégique qu’ils ont et surtout la pertinence des solutions qu’ils proposent. Ils raisonnent toujours comme si nous étions en 1950, des vieux dans des corps de jeunes : surprenant ! Ils sont nus, seuls et impuissants, mais refusent d’avouer qu’ils ont perdu. La réalité est inacceptable, donc ils la nient et se persuadent qu’un énième paquet de sanctions permettra de faire ce que dix-neuf n’ont pas réussi. C’est un peu comme les armes magiques. À chaque fois elles devaient renverser les situations sur le front. Il y a eu les chars Leopard, on allait voir ce qu’on allait voir… on a vu en effet. Les Russes avaient promis le même sort qu'à ceux du III Reich dans la célèbre bataille de Koursk en 1943, ils ont tenu parole. Ensuite il y a eu les F16, mais le front inexorablement recule au profit des Russes. La consigne en Occident demeure ferme, ne pas en parler, rejeter cette réalité, trouver des faux semblants pour minimiser l’avancée russe, et la situation de plus en plus critique des troupes ukrainiennes. Finalement ils avancent mais pas si vite, pas de percées flamboyantes, donc ça ne compte pas. Voilà ce que nous vendent les éditorialistes subventionnés.
Et pourtant l’Ukraine s’effondre, doucement, inexorablement, et plus la chute est longue à venir plus elle sera totale. Mais les stratèges européens ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont imaginé depuis le début un scénario dans lequel la Russie allait être économiquement asphyxiée et militairement défaite. C’est exactement l’inverse qui se produit. Chaque jour de nouveaux mensonges sont diffusés pour tenter de faire croire, non plus que l’Ukraine va gagner – sans l’avouer, ils n’ont plus les moyens de prétendre à un renversement de la situation –, mais que l’Europe va jouer un rôle important dans le traitement du conflit. La paix finira par arriver et elle se réglera sans eux. Ils se sont disqualifiés en confondant diplomatie et deal de quartier, où les menaces et les insultes ont pris le pas sur le dialogue et la géostratégie. La finesse des raisonnements est absente des rangs européens, et ça se voit. Macron a besoin de cette guerre pour faire croire à sa puissance, à son leadership européen et accessoirement effacer ses ardoises en les noyant dans la guerre... il en va de sa survie politique qui est mal engagée.
Contraint de dissoudre l’Assemblée nationale si Bayrou tombe le 8 septembre, sa position sera ébranlée à l’international, elle est déjà fortement inconfortable, d’autant que ses amis semblent le lâcher. Sarkozy en tête qui annonce déjà la couleur avec de futures alliances avec le RN. Mais Macron n’écoute personne, ne voit rien, il suit une feuille de route qui va d’échec en échec avec la violence du désespoir qui anime parfois les fins de règne… fait-il cela tout seul ou a-t-il des commanditaires ?
Autre erreur, celle d’avoir confisqué les avoirs russes et de s’en être servi, en le disant, pour armer l’Ukraine. Quel message donne-t-on au reste du monde en agissant de la sorte ? Tout simplement que laisser son argent en Europe est dangereux et qu’il vaut mieux investir ailleurs. Les Russes ne se sont pas pour autant affolés. Ils ont simplement dit qu’ils compenseraient ces pertes en prenant des terres… Ne sont-ils pas en train de nous dire qu’Odessa tombera dans l’escarcelle, privant l’Ukraine d’une façade maritime faisant de ce pays une nation sans intérêt économique. De plus ils ont suffisamment d’avoirs, notamment en livres sterling pour s’amuser aussi ! La raison a fui depuis trop longtemps le camp autoproclamé du bien, il n’y a guère que Meloni qui peut encore être écoutée par les grands de ce monde. Tous les autres se sont comportés comme des chefs de clan en lieu et place d’hommes d’État. En France, il reste à savoir ce que feront les parlementaires si Macron, furieux de voir Bayrou défait, décide seul pour l’Ukraine histoire de punir les Français de ne pas avoir été assez fous pour l’aduler et lui vouer un culte de la personnalité qu’il s’est ingénié à construire sans en avoir ni le talent ni l’envergure.


3 septembre 2025

Accueillir 100 000 blessés de quoi ?

Gilles La Carbona

-2/9/2025- Sur ordre de Macron, paraît-il, les hôpitaux sont sommés de se préparer à recevoir des milliers de blessés de guerre. L’info a été relayée plusieurs fois et ne paraît pas être une fausse nouvelle. Soit, mais on a le droit de rester dubitatif tant ces dernières années les lits ont été supprimés et au plus fort de la crise Covid, la capacité d’accueil s’est révélée très insuffisante. Même s’il y a eu une intox fabuleuse sur le volume des hospitalisations Covid qui se sont révélées, après coup, situées autour de 2 à 5 % de l’activité générale. Depuis, la situation s’est continuellement détériorée. Les désirs du pouvoir semblent une fois de plus relever du fantasme, plus que de la réalité. Macron pense que les services hospitaliers vont être en mesure d’accueillir des milliers de blessés, le chiffre de cent mille a même été évoqué, ce qui ressemble aux cinq cent mille morts qui étaient attendus pour le Covid et qui heureusement n’eurent pas lieu, ou aux millions d’arbres qu’il allait planter, ou au Liban qu’il allait sauver, ou à tout un tas de trucs qui ont disparu de l’actualité, faute de réalisation. Pour autant, ce qu’il faut retenir de la nouvelle, c’est une fois de plus la volonté de faire peur, d’affoler la population, mais cette fois dans un but bien précis.
Celui de justifier de ses préparatifs et de la menace russe pour peut-être déclencher l’article 16, celui des pleins pouvoirs. D’abord recueillir autant de blessés si loin du front semble une idiotie, sauf à prétendre que la guerre serait sur notre territoire. Ou alors, la France se propose d’être une base arrière et d’accueillir les blessés des autres, sur un front situé plus à l’est. Techniquement nous l’avons déjà dit, il est matériellement impossible que la Russie envoie des troupes pour occuper simultanément l’Allemagne, la Roumanie, la Pologne et donc la France. S’il s’agit d’une attaque nucléaire, l’affaire est tout autre, mais là ce ne sont pas cent mille blessés qu’il y aura c’est au moins dix fois plus et il n’y aura plus d’hôpitaux. Soyons sérieux, ces scénarios sont absurdes… enfin, ils le seraient si à la tête des principales nations européennes nous n’avions pas des fous qui, devant la catastrophe économique et sociale qui se déploie sous leurs yeux, n’avaient d’autre solution que d’embraser le continent européen pour en finir une bonne fois pour toutes et effacer leurs ardoises. Leur seule issue est la guerre totale, dont ils ne sortiront pas vainqueur, mais pour eux c’est toujours mieux que de devoir affronter le jugement des peuples, ou peut être des tribunaux, pour certaines affaires.
Qu’importe si rien ne subsiste après eux, ils seront à l’abri, très loin. Le danger est bien là, dans cette fuite en avant, ce désir mortifère de masquer leurs échecs dans une guerre qui verra l’Europe se faire désintégrer. La situation en France est préoccupante et l’est aussi pour le reste de l’Europe, non pas face à la menace russe, mais face à l’islam conquérant qui s’exprime partout par la violence. La chute de Bayrou, préméditée ou pas, pourrait déboucher sur la volonté du chef de l’État de récupérer les pleins pouvoirs et d’assouvir sa soif de mort, de guerre, de destruction. On murmure que l’armée regimberait, certes, mais les officiers prennent-ils la mesure de l’escalade qui pourrait survenir après l’activation de l’article 16 ? Face à cette menace, qui n’est peut-être qu’absurde gesticulation une fois de plus, les parlementaires français seront très vite confrontés à la question de la destitution de Macron. Selon la suite qui sera donnée à la chute probable de Bayrou, ils devront aller vite pour décider de la destinée qu’ils entendent offrir aux Français. Soit les protéger et virer Macron, et ainsi apaiser non seulement notre nation mais aussi le reste du monde, soit approuver qu’un homme seul scelle dans le sang et les larmes le sort des nôtres et d’une partie du continent européen.
Persister à ne pas envisager la destitution de Macron en supposant que la situation suffise à le faire démissionner, est une erreur. Il l’a dit, il ne partira pas de lui-même, il faut se rappeler qu’il a un profil psychologique très particulier. Accepter de le laisser maître du jeu c’est acquiescer au projet fou d’entrer en guerre avec la Russie, dont on sait qu’elle restera invincible, avec un arsenal nucléaire dont nous n’avons pas le dixième et qu’elle se redressera toujours plus vite que nous, puisqu’elle n’a même pas plié un genou depuis trois ans. Macron n’a plus de solutions démocratiques. Dissoudre ne lui apportera pas une majorité, c’est pourtant ce qu’il devrait faire. Mais il peut aussi se moquer de cette défiance et décider de nommer dans l’urgence un autre premier ministre, toujours macroniste et qui tombera dans la foulée. Il ne lui restera plus que deux options, soit déclencher l’article 16, soit faire un référendum en mettant son mandat en jeu. Connaissant le personnage, jamais il ne se remettra en question. Son credo est : j’ai été élu démocratiquement, peu importe ce qui se passe depuis, il y est, il y reste. Les parlementaires devraient pourtant écouter le peuple, et ce dernier s’exprime depuis quelques jours par le biais d’une pétition officielle sur le site de l’Assemblée nationale, qui en quelques jours, a atteint plus de 130 000 signatures, pour voir Macron destitué. Ils doivent être vigilant et songer à le sortir constitutionnellement, faute de quoi, ils seront responsables de la suite qui, si elle est conforme aux délires de l’homme, sera un drame pour notre nation. L’heure des choix personnels s’efface devant ceux de la survie de notre nation, les députés et sénateurs en ont-ils conscience ?


2 septembre 2025

Pierre Duriot

Va-t-il, peut-il... rester ?


-31/8/2025- C’est curieux, ce président qui rappelle à tout bout de champ qu’il a été élu « démocratiquement » et qu’il va rester. D’autant plus curieux qu’il est le premier à tenir ce genre de discours, comme si son élection était douteuse et qu’il faille repréciser qu’elle était bien démocratique. Il est vrai que ne pas obtenir de confortable majorité après avoir remporté brillamment une présidentielle avec 58 % des voix, ça laisse songeur. Mais l’homme a d’autres problèmes. Ses Premiers ministres sont dézingués les uns derrière les autres. Ils persistent à vouloir continuer à gaspiller quand tout le monde leur explique qu’il faudrait plutôt faire des économies. Ils persistent aussi à recycler de vieilles badernes, ou de jeunes premiers totalement ineptes, voire complètement ridicules, voire même grotesques, dont plus personne ne veut. Les bilans globaux sont calamiteux, sur tous les plans : les finances, les services publics, la sécurité, l’exercice de la démocratie… tous les murs porteurs de ce pays sont fissurés et si jamais l’heure de rendre des comptes sonne un jour, ça va être compliqué. Macron a beau expliquer qu’il a fallu payer, pour le Covid, pour la crise énergétique, pour l’Ukraine, que tout cela a coûté cher et qu’il a bien fallu s’endetter, ça ne prend pas. Toutes les crises derrière lesquelles il s’abrite sont, on le sait maintenant, des crises fabriquées de toutes pièces, artificielles, des coups montés en quelque sorte et sur cela aussi, il faudra qu’il rende des comptes et il n’est sans doute pas le seul. Sans oublier la crise des Gilets jaunes dont on s’aperçoit, à tête reposée, qu’elle a été gérée de manière totalement anti-démocratique, le mot est faible.
À l’international, même fiasco. Il veut reconnaître la Palestine, il se retrouve tout seul, ses collègues présidents des pays d’Europe ne le suivent pas. Il veut aller mettre une trempe à la Russie, Salvini lui conseille de partir devant. Malgré ses rodomontades ridicules, la France est le premier importateur de gaz russe, par des voies détournées évidemment, qui nous coûtent plus cher. Plus nous prenons de sanctions contre les Russes, plus leur économie est florissante. De manière générale, nous sommes fâchés avec à peu près tout le monde et notre influence à l'international se résume désormais à du discours et des mises en scène risibles.
Sur le plan personnel, ça ne va pas trop bien non plus. On l’a vu avec de gros muscles des bras et des avant-bras, sur une photo devenue d’anthologie, où il est grimaçant, à cogner sur un sac, avant de le revoir avec des muscles bien ordinaires, cet été à Brégançon. Un peu comme la poitrine de Brigitte qui change de taille en fonction des saisons et des tenues vestimentaires. Nous n’irons pas plus loin que ce qui est objectif parce que ça au moins, ça se voit bien sur les photos. Mais Candace Owens, la journaliste américaine, elle, va plus loin, mettant publiquement en doute l’origine de Brigitte et le couple Macron, pour qui prouver le genre de Brigitte serait pourtant très facile, persiste à vouloir utiliser des voies judiciaires complexes, se casse les dents en permanence et se retrouve chaque fois obligé de lâcher prise quand on en vient à la fourniture de preuves, à tel point qu’on se demande si l’Américaine n’a pas raison ?
Puis il y a l’affaire Alstom, jusqu’ici ça va, ça ne déborde pas trop, tous les gens ayant l’intention d’en parler avec des sources à l’appui ont aussi la bonne idée de se suicider avant de parler. Plus tout un tas de bévues accumulées, la vaisselle de l’Élysée, les dépenses de l’Élysée, Benalla, les nominations de copains à des postes clés, le limogeage de chefs d’état-major, la descente des Champs-Élysées, à saluer un public qui n’existe pas, plus tout ce qu’on ne sait encore pas… Résultat, une plongée sans précédent dans l’opinion publique, un avion de tourisme qui se balade avec la banderole "Macron Démission" et une idée de destitution précoce qui commence à faire son chemin. Oui, les fers au feu sont nombreux et ça n’a pas l’air d’aller en s’arrangeant, d’où la nécessité sans doute, d’avoir à répéter en permanence ce qui devrait aller de soi… comme pour se rassurer.

27 août 2025

@IfopOpinion

68 % des Français favorables à la démission d’Emmanuel Macron

18/24 ans : 69 %
25/34 ans : 72 %
35/49 ans : 72 %
50/64 ans : 70 %
65 ans et + : 62 %

Artisans et ouvriers : 82 %
Chefs d’entreprise : 77 %
Actifs : 70 %
Inactifs : 66 % / Retraités 63 %
Cadres : 59 %

23 août 2025

COMME DIT MATTEO

Gabriel Nerciat

-23/8/2025- Alors que Marine Le Pen est en vacances, Bardella chez la manucure, Mélenchon à la récup des colères populistes et Retailleau en Martinique où il regarde la mer, c'est en Italie, visiblement, que réside le dernier opposant sérieux à la Macronie.
D'une phrase, il a clos la risible comédie que le Banquier Président a initiée à l'occasion de son dernier voyage aberrant de servilité à la Maison-Blanche.
En effet, qu'il y aille, en Ukraine, Macron, et qu'il y reste.
C'est son maintien à l'Élysée qui demeure la cause essentielle du bourbier dans lequel la France va devoir patauger jusqu'au printemps 2027.
Matteo devrait demander la nationalité française ; on pourrait vaguement espérer quelque chose.

Cliquer sur l'image ↴

19 août 2025

Gastel Etzwane
18/8/2025

Ma réaction à la déclaration délirante de Macron selon laquelle « la guerre est revenue sur le territoire » :
 
1. Une dramatisation délirante et dangereuse
Affirmer que « la guerre est revenue sur le territoire » est une phrase totalement disproportionnée et mensongère. La France n’est pas en guerre, et aucune armée étrangère n’a franchi ses frontières. Une telle exagération ne relève plus de la lucidité mais d’un discours de panique entretenue pour justifier toujours plus de restrictions, de militarisation et de contrôle.

2. Un isolement pathologique
Alors que les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine, Turquie, Inde – multiplient les canaux de négociation et cherchent à stabiliser la situation en Ukraine, Macron choisit l’escalade verbale. Là où d’autres parlent d’accords de paix, lui ne parle que d’armement, de mobilisation, de guerre. C’est le signe d’une rupture avec la réalité géopolitique et diplomatique, et d’une dérive obsessionnelle.

3. Un bilan national désastreux
Depuis plus de sept ans, il a démontré sa capacité à abîmer la France :
• fracture sociale (Gilets jaunes, réformes imposées au mépris du peuple),
• gestion calamiteuse de la pandémie,
• destruction du pouvoir d’achat,
• soumission aux intérêts extérieurs au détriment de la souveraineté nationale.
Et aujourd’hui, il voudrait ajouter la psychose guerrière à la longue liste de ses méfaits.

4. Un président haï comme aucun autre
Rarement un chef d’État français aura été autant rejeté par son peuple, mais aussi méprisé à l’étranger. Il n’inspire ni respect, ni confiance, ni admiration. Partout, il est perçu comme un pantin arrogant, coupé des réalités, dont l’image ne cesse de ternir la place de la France dans le monde.

5. Un danger pour la nation
Quand un dirigeant perd tout sens de la mesure, qu’il entretient le climat de peur et se prend pour un chef de guerre sans avoir ni l’assise militaire, ni la légitimité populaire, il devient un danger pour son propre pays. Sa volonté de projeter la France dans des logiques guerrières alors qu’aucune menace directe ne la frappe montre une dérive psychologique préoccupante.
Emmanuel Macron n’est pas seulement un président impopulaire : il est devenu le symbole d’un dérèglement politique et mental inquiétant. Un homme qui fabrique des guerres imaginaires, qui instrumentalise la peur et qui s’accroche au pouvoir malgré son rejet massif. À ce titre, il est sans doute le dirigeant le plus nuisible qu’ait connu la France moderne, et il est urgent que cette spirale cesse avant qu’il n’entraîne la nation entière dans son délire.

17 août 2025

Yann Bizien

-17/8/2025- Macron est déconnecté et en disgrâce et Donald Trump le sait puisqu'il estime que tout ce que dit le président Français est "insignifiant". Le président des États-Unis sait également que la France est surendettée, désindustrialisée, déclassée, submergée, fracturée, menacée de l'intérieur et le pays le plus violent en l'Europe. Il sait également que nos armées n'ont pas assez de munitions, que Macron a perdu les deux derniers scrutins, qu'il n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale, qu'il n'est pas soutenu par l'opinion et qu'il ne pèse plus rien en France comme à l'international.

14 août 2025

Yann Bizien

-14/8/2025- Emmanuel Macron a réalisé une performance peu remarquée hier au fort de Brégançon.
Flanqué de ses deux valets chargés de l'Europe, des Affaires étrangères et de la Défense, et du Président tournant du Conseil européen, il a prononcé douze fois le mot "Europe" en 1 minute et trente secondes.
En 2017, puis en 2022, des Français ont été capables de porter au pouvoir un individu qui n'aime ni la France souveraine, ni son peuple, et qui est en réalité un agent fédéraliste de Bruxelles.
Il a un rêve : l'Europe fédérale.
Il réalise son plan : déconstruire l'État nation par le fait accompli, profiter de toutes les circonstances en suscitant de la peur, tirer avantages de la guerre en Ukraine et au Proche-Orient, entraîner le plus grand nombre de fédéralistes derrière lui pour faire son Europe sans vote et sans référendum.
Des Français ont considéré qu'ils votaient pour élire un président de la France sur les deux derniers scrutins présidentiels. Ils ont en réalité voté pour un simple gouverneur de région et pour un ambassadeur d'un projet fédéraliste qu'une majorité d'entre nous a clairement refusé en 2005.
Emmanuel Macron est une arnaque. Il a trompé les Français. Et il va encore les tromper. Il ne les aime pas. Pour lui, ils ne sont que des choses et des objets à manipuler froidement et cyniquement.

15 juillet 2025

Christian Dubuis Santini
15/7/2025

« Il y a des gens qui se croient le talent de gouverner par la seule raison qu'ils gouvernent. » (Napoléon Bonaparte)

Entre deux torgnoles de sa "dulcinée" de vingt-quatre ans plus âgée, le Mozart de la finance, liquidateur de la France, donne au monde des leçons de gouvernance…

14 juillet 2025

Yann Bizien

-14/7/2025- En ciblant la Russie, Emmanuel Macron a déclaré hier soir que nos enfants ne toucheraient pas "les dividendes de la paix".
Le chef de l'État a repris une vieille notion que ma génération a beaucoup entendu au lendemain de la chute du mur de Berlin en 1989.
Nous savons tous pourquoi. Emmanuel Macron a décidé de tirer avantage de la guerre entre la Russie et l'Ukraine ainsi que de l'élection du très patriote et conservateur Donald Trump aux États-Unis pour accélérer son agenda personnel d'une Europe fédérale que les Français ont pourtant refusé en 2005.
Chacun sait ici que nos enfants ne tirent effectivement pas les dividendes de la paix. Leur horizon est beaucoup plus bouché que celui de ma génération. Avec davantage d'études, ils galèrent bien plus que nous à l'époque pour trouver aujourd’hui un emploi. Leurs entreprises font davantage faillite. Ils ne peuvent plus sortir en sécurité.
Paupérisation et insécurité physique, culturelle et économique ont donc gagné des millions de jeunes Français. Mais ce n'est pourtant pas à cause de la Russie de Vladimir Poutine.
Par ailleurs, tous mes camarades officiers récemment retirés savent parfaitement que la "menace russe" n'a rien de nouveau. Elle n'a pas changé d'échelle depuis 2008, année où l'OTAN a déclaré unilatéralement vouloir intégrer l'Ukraine dans la plus grande alliance politico-militaire de tous les temps. En 2015, la Marine nationale consommait déjà beaucoup de potentiel pour pister les sous-marins russes en Manche et mer du Nord, dans l'océan Atlantique et en Méditerranée.

Emmanuel Macron ment aux Français pour servir avant tout son intérêt personnel qui se situe à Bruxelles.

Le chef de l'État ignore complètement une grande évidence que plus aucun Français n'ignore : il y a bien une guerre civile hybride en France.
Elle se déroule sur un même sol, national. Elle est culturelle, communautaire, ethnique, religieuse, idéologique et politique. L'affrontement est effectif, asymétrique, du fort au faible. Dans cette guerre civile, on ne se dispute pas le monopole de la violence. Les assaillants sont toujours les mêmes. Les victimes tombent toujours du même côté. Cette guerre civile est effectivement menée par une racaille islamisée dominante qui a la nationalité française, la même que les victimes. Elle a un commandant en chef : Jean Luc Mélenchon. Elle est soutenue par un parti politique : la France insoumise.
En face de cette racaille islamisée, que beaucoup appellent la "cinquième colonne", d'autres Français dépossédés, démunis, dépourvus, désemparés et désarmés.
Les guerres civiles ne se ressemblent pas toutes. La nôtre a déjà fait de nombreuses victimes et a déjà provoqué des déplacements de populations sur notre sol national. Le centre-ville de nombreuses communes de France est quasiment entièrement communautarisé. Les blancs sont partis en périphérie.
Les officiers généraux ayant actuellement autorité sur nos armées sont complètement "macronisés". Ils ont oublié leurs devoirs pour la Patrie et pour tout un peuple déjà en danger, qui n'est toujours pas attaqué par la Russie mais qui est chaque jour exposé à une menace intérieure que plus personne n'ignore puisque nous la subissons tous.

13 juillet 2025

Jean-Michel Gorsse
13/7/2025

Le chef d'état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, a déclaré que la Russie était la principale menace pour la France.
Le danger pour la France, ce n’est pas la Russie, c’est Macron et Ursula.
Un tandem ravageur : lui démolit la maison France pièce par pièce, elle rase les États membres à coups de règlements européens et de milliards qu’on n’a pas.
Macron détruit les hôpitaux, l’école, la justice, l’énergie nucléaire, les libertés publiques, la police de proximité, la diplomatie, et même la langue française, quand il ne la massacre pas à Davos entre deux poses mondialisées. Il ne gouverne pas, il liquéfie. Et il le fait avec une telle arrogance qu’on se demande s’il n’y prend pas un certain plaisir.
Von der Leyen, de son côté, n’a jamais été élue par personne, mais décide de tout : de ce qu’on doit subventionner, interdire, importer, penser. Elle prend les peuples de haut, méprise les frontières, moque l’idée même de nation, et déroule son programme comme un manuel de domination tranquille.
Et quand les peuples ne sont pas d’accord ? On sort le chéquier. Cent milliards par-ci, cinquante par-là. Ce n’est pas leur argent, alors ils arrosent. Et si ça ne suffit pas à faire plier, on sort l’arme atomique… française bien sûr, comme si la dissuasion nationale devait devenir un jouet communautaire pour bureaucrates bruxellois.
Ils ne gouvernent plus : ils administrent le chaos, habillés en progressistes, mais armés de tout ce qu’il faut pour anéantir la souveraineté, la liberté, et jusqu’au bon sens.
Ce n’est pas une politique, c’est une entreprise de démolition.
Et pendant ce temps, on explique aux Français que le vrai danger, c’est Vladimir.

Jean-Paul Brighelli
13/7/2025

Ça sent fichtrement mauvais

Le général Burkhard, dit "la voix de son maître", nous prévient il y a trois jours que la Russie (d'où tient-il son information ?) a désigné la France comme son principal ennemi.
Et demain 14 juillet, Napoléon Micron haranguera la France au fond des yeux (avez-vous remarqué qu'il regardait en fait au-delà de la caméra ?) pour expliquer qu'avec nos 3000 milliards de déficit il faudra faire un effort de réarmement, car la IIIème guerre mondiale est proche… Les retraités, qui n'ont pas vocation à se battre, ces planqués (lui non plus, vous me direz…) participeront en première ligne à l'effort de réarmement.
Ça, c'est l'étage un de la fusée.
Puis, une fois la peur installée – et nous savons depuis 2020 combien c'est facile –, on invoquera la nécessité de défendre le pays, et on fera jouer l'article 16, en cas de protestations populaires…
Il a réussi le coup avec le Covid. Pourquoi ne transformerait-il pas l'essai avec Poutine ?
Suspension des libertés d'expression et incarcération préventive des opposants – dans un pays infichu d'incarcérer de vrais délinquants et des fauteurs de trouble islamo-gauchisto-nazis.
Et report sine die des présidentielles.
Avec cette allure martiale typique des gens qui n'ont jamais tenu une arme dans leurs mains de patriciens, Napoléon IV sera en droite ligne pour être élu président à vie de l'UE. Elle est pas belle, la vie des autres ?
Allons, je prends les paris…


Yann Bizien

-13/7/2025- La France sans frontières, submergée, ensauvagée, fracturée, déclassée et surendettée est en voie de désintégration totale. Elle est dirigée et sabotée par un pervers narcissique qui stérilise toutes les oppositions devant un peuple dépossédé de ses attributs de souveraineté et de sa sécurité, tout ceci avec la complicité aveugle du haut encadrement militaire.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets que le 10 mai 1940 : la débâcle, et "l'étrange défaite".
La France n'est plus une puissance mondiale. C'est désormais une ancienne puissance qui ne retrouvera jamais son rang avec Emmanuel Macron au pouvoir.
Ce n'est pas le bavardage permanent qui fait d'un pays une puissance. Par ailleurs, on ne fait pas une puissance en important massivement des individus qui nous détestent, en reculant devant l'islamisme, en bradant nos entreprises stratégiques et en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles.