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Affichage des articles dont le libellé est Macron. Afficher tous les articles
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6 juin 2025

Yann Bizien

-6/6/2025- Pourquoi autant d'agitation coûteuse d'Emmanuel Macron, sur des tapis rouges ou derrière des pupitres à l'étranger, et pour quels effets politiques et stratégiques ?
New Delhi, Stockholm, Bruxelles, Washington, Berlin, Lisbonne, Singapour, Djakarta, Hanoï, Yaoundé, Porto Novo, Bissau, Pékin, Brasilia, Kiev, Londres, Madagascar, Rabat, Rome, ... Emmanuel Macron s'incruste partout. Il cherche à exister. Il parle. Il annonce la signature de contrats. Il provoque. Mais il condamne et isole de plus en plus la France qui ne remonte toujours pas la pente de son déclassement bien engagé.
Notre président est même capable d'amener Yassine Bellatar en survêtement et dans ses bagages au Maroc, de rencontrer des francs-maçons un jour à Paris, d’inviter un ex-terroriste syrien le lendemain à l'Elysée, d'être éjecté du continent africain, de proposer la mise sur pied d'une coalition armée contre le Hamas, avant de reculer, de prélever des capacités militaires sur nos stocks pour des dons au régime corrompu de Kiev, d'annoncer de façon arbitraire et exclusive le déploiement de troupes françaises en Ukraine, de diluer notre force de dissuasion nucléaire en Europe, d'émettre l'idée de partager notre siège de membre permanent du Conseil de sécurité à l'ONU, de liquider notre souveraineté contre notre volonté et de recevoir une vraie gifle en mondiovision.
Le chef de l'Etat est capable de tout pour faire exploser le compteur de l'avion présidentiel et celui de nos comptes public, tant pour sa gloire et son destin personnels, que pour faire durer son mandat.
Hélas, Emmanuel Macron ne parle à l'étranger que de lui et des autres, de l'Europe, de l'Ukraine, de la Russie, d'Israël et de l'Amérique de Trump. Il bombe le torse, "roule les mécaniques" et cherche le rapport de force avec la Russie de Poutine, l'Amérique de Trump et le régime israélien, mais sans appliquer la même méthode pour l'Algérie où il n'ose plus se rendre.
Il ne parle jamais de la France, des Français, de nos 9 millions de pauvres, de la submersion migratoire, de l'explosion des trafics, de la violence, de l'islamisation engagée de notre société, des causes des émeutes, du laxisme judiciaire, de la mission devenue impossible de nos forces de l'ordre et des solutions urgentes qu'il faut décider pour y remédier.
La France fracturée s'effondre mais notre président voyage sans compter les jours d'avion, il plane et glisse à travers nos réalités, il esquive nos problèmes, il ne décide rien, il ne démissionne toujours pas et il verrouille la clef de voûte de tout le système politique paralysé de la cinquième République.
Le chef de l'Etat se promène beaucoup à nos frais et risques. Il goûte sans limites au faste des visites d'Etat après avoir démantelé notre outil diplomatique historique.
C'est évidemment suspect. Pire, c'est de la haute trahison.
Pour quels résultats ? Pas grand-chose.
Emmanuel Macron prépare surtout son avenir et, en particulier, la troisième partie de sa carrière.
La situation politique, économique, budgétaire, sociale, agricole, sécuritaire, identitaire et culturelle de la France ne s'améliore toujours pas, mais le chef de l'Etat papillonne à l'étranger comme si la réalité intérieure au pays dont il a pourtant la responsabilité ne l'intéressait plus.

1 juin 2025

Radu Portocala

-30/5/2025- Exaspéré par les stupidités et les hystéries de la campagne de 2017, j’écrivais ceci quelques semaines après les élections : « Il est permis d’imaginer (et même d’espérer) que Monsieur Macron ira très loin : il finira haï de tous. »
Je ne me suis par trompé, mais je n’avais pas imaginé que sa prévisible débâcle allait être aussi celle de la France, que ses postures grotesques, ses attitudes grotesques, ses propos grotesques s’imposeront comme ceux de la France, qu’il allait transformer la France en objet de mépris et de moquerie. Ni, d’ailleurs, que la France pouvait supporter si longtemps cette humiliation sans précédent, ou qu’elle accepte, par le caprice d’un seul homme, ce pitoyable suicide.

31 mai 2025

Yann Bizien

-31/5/2025- Huit ans de en même temps, de comédie, de trompe-l'œil, de bricolage, de pensée sans convictions, de chaos économique, sécuritaire, migratoire et de supercheries nées sur les décombres du socialisme.
 
• 82 % des Français estiment que le projet politique de Macron est un échec.
 
• 8 sur 10 pensent que le macronisme ne survivra pas à 2027.
 
• 63 % de ses propres électeurs de 2017/2022 n’y croient plus.

• 59 % ne le considèrent même pas comme un courant politique... (Sondage Odoxa – Le Figaro)

Emmanuel Macron a beau s'agiter, parler beaucoup, user de la communication, donner des leçons à tous, organiser ou participer à des sommets internationaux, se mêler aux affaires intérieures d'autres États, c’est terminé. C'est un président en échec, sans majorité, en disgrâce, coupé du peuple, déconnecté des réalités, sans héritier et sans avenir.
 
Le macronisme a commencé par la promesse d'une révolution et de grandes réformes menées par la société civile. Et il s'achève avec François Bayrou dans l'immobilisme. Il a abouti au gouvernement le plus illégitime et le moins désiré par les Français depuis le début de la cinquième République.
 
Avec le macronisme, la France a perdu le contrôle de ses finances publiques, de ses frontières, de sa démographie, de sa souveraineté, de son indépendance, de son identité, de sa liberté et de son avenir.

Ce qui reste d'Emmanuel Macron, c'est un bloc central minoritaire qui se maintient laborieusement au pouvoir après avoir organisé des barrages sur les dernières législatives.
 
Emmanuel Macron a percuté son kit de survie à l'Elysée. Mais les Français anticipent la fin du macronisme et le retour du clivage traditionnel gauche/droite.

Nota : La première décision à prendre au lendemain du scrutin présidentiel de 2027, c'est un vaste plan de dégagement autoritaire de tous les macronistes nommés dans les Ambassades, dans les Préfectures, au Conseil d'État, à la Cour des Comptes, à l'ARCOM, au Conseil Constitutionnel et à Bruxelles.

27 mai 2025

Pierre Duriot

À la fin, il reste quoi ?

Ses partisans nous expliquent que nous sommes toujours dans la critique, que ce n’est pas constructif, que ça met une mauvaise ambiance. Mais on a beau tout retourner dans tous les sens, tout regarder, se repasser tous les épisodes à froid, on ne voit pas ce qu’il a bien pu réussir, à quel moment il a pu nous faire honneur, à quel moment il a défendu la France et les Français, à quel moment son comportement, son attitude ont été représentatifs d’un État moderne, à quel moment ses décisions sont allées dans le sens de la grandeur et de cette élégance toute française que le monde nous enviait autrefois. Non, de bévues en boulettes, de ridicule en honte, de palpations vulgaires en annonces décousues, nous sommes arrivés très objectivement à des bilans calamiteux sur tous les sujets, tous les fronts, tous les compartiments de la politique intérieure comme extérieure. Il n’y a rien de positif, jamais, nulle part et on met bien au défi qui que ce soit de trouver un seul constat positif de ses huit années de règne pour la nation France.

18 mai 2025

Natalia Routkevitch


Devenir, en relativement peu de temps, la risée du monde entier est, à sa manière, une véritable performance.
Dilapider non seulement les actifs nationaux en contribuant activement à la vente du pays à la découpe, mais aussi le capital symbolique – qui n’était pas négligeable – restera dans l’histoire comme le parachèvement d’une dégringolade spectaculaire.
On plaisantait encore en 2017, ou pendant la période des Gilets jaunes, sur l’état d’apesanteur du Mozart de la finance, celui qui traverse la rue pour se payer un costard, tout en dissertant doctement sur « les gens qui ne sont rien ».
Mais l’affaire semble aujourd’hui bien plus grave.
Dans "La Pensée perverse au pouvoir", un véritable réquisitoire à l’encontre du chef de l’État – qui, hélas, éclaire bien des choses que nous observons, incrédules et atterrés –, le sociologue Marc Joly écrivait :
« Incarnation de l’administration néolibérale et symptomatique de la crise de la démocratie, Macron démontre, jour après jour, “son incompétence fondamentale en matière d’évaluation de lui-même et d’appréciation des situations”.
Il est incapable de prendre la mesure de la contradiction entre sa soif individuelle de pouvoir souverain et la faible disposition sociale à accepter une autorité qui ne fasse pas la preuve de sa contribution au service de l’intérêt commun. Incapable de considérer un autre point de vue que le sien, “inaccessible à la moindre remise en question autre que posturale”. »

Le narcissisme – trait toléré, voire attendu chez un homme politique – devient une pathologie dangereuse lorsqu’on évacue complètement le devoir de représentation, lorsqu’on se dissocie du peuple que l’on prétend incarner, au profit d’un pur exercice de « personal branding ».
Quant à la fameuse « ambivalence stratégique », elle n’est en réalité qu’un mode de fonctionnement visant à « embrouiller pour nuire ». Le logiciel de Macron consiste à semer la confusion tout en affirmant vouloir clarifier la situation. Dire tout et son contraire : une matrice du pervers.
« Il a été un voleur de clarté », écrit Joly. « Avec lui, on est sur un registre qui n’est pas l’ambiguïté, mais la paradoxalité. Faute de pouvoir élaborer le conflit, il l’expulse. Il enferme donc autrui – en fait, il prend en otage tout un pays – dans des dilemmes insolubles. C’est cela la paradoxalité : la production de pièges de la pensée, le nouage de propositions parfaitement inconciliables, ce qui rend fou. Si on ne comprend pas ce mécanisme, on ne comprend pas le malaise que produit massivement Macron, le rejet j’allais dire physique, viscéral, qu’il inspire. »
L’incapacité à saisir le réel, à s’auto-évaluer, à se voir à travers le regard des autres, ainsi qu'à rester en cohérence avec l’imaginaire national porte en elle des conséquences extrêmement graves.
Enfin, il est vertigineux de constater la dégringolade de ce cher vieux pays. C’est douloureux pour tous ceux qui l’aiment, malgré ce qu’il devient progressivement, et qui portent dans leur cœur les images d’autres époques, bien plus glorieuses.
Mais tout cela… n’était-ce pas prévisible depuis bien longtemps ?

« Les races pétrifiées dans le dogme ou démoralisées par le lucre sont impropres à la conduite de la civilisation. La génuflexion devant l’idole ou devant l’écu atrophie le muscle qui marche et la volonté qui va. L’absorption hiératique ou marchande amoindrit le rayonnement d’un peuple, abaisse son horizon, en abaissant son niveau, et lui retire cette intelligence à la fois humaine et divine du but universel, qui fait les nations missionnaires. Babylone n’a pas d’idéal ; Carthage n’a pas d’idéal. Athènes et Rome ont et gardent, même à travers toute l’épaisseur nocturne des siècles, des auréoles de civilisation.
La matière existe, la minute existe, les intérêts existent, le ventre existe ; mais il ne faut pas que le ventre soit la seule sagesse. La vie momentanée a son droit, nous l’admettons, mais la vie permanente a le sien. Hélas ! être monté, cela n’empêche pas de tomber. On voit ceci dans l’histoire plus souvent qu’on ne voudrait. Une nation est illustre ; elle goûte à l’idéal, puis elle mord dans la fange, et elle trouve cela bon ; et si on lui demande d’où vient qu’elle abandonne Socrate pour Falstaff, elle répond : "C’est que j’aime les hommes d’État" ».
Victor Hugo, Les Misérables. T. V

14 mai 2025

MACRON VU PAR COLUCHE

Gabriel Nerciat

-14/5/2025- C'est l'histoire d'un mec qui croit que le général De Gaulle lui a légué des ogives nucléaires pour protéger la Pologne.
"Moi, je sais pas où c'est la Pologne, qu'y dit, mais si je peux plus pisser tranquillement chez moi, je veux bien aller arroser les plates-bandes des autres. De toute façon, c'est les Polacks qui tireront la chasse, à la fin, parce que je suis un mec serviable mais je suis pas con, comme mec, quand même. Eh, les cons, c'est vous : vous m'avez élu deux fois ; hein Madame Binet. Poutine, lui, il rigole bien à mes blagues ; il est pas comme vous."
Voir un chef d'Etat aussi emprunté et diminué qu'hier soir, aussi vil et méprisable soit-il, laisse une impression étrange : on a le sentiment que dans son malheur l'échec et l'impuissance qu'il assume enfin deux ans avant la retraite vise d'abord à décourager son auditoire, dont il se moque à l'évidence, ainsi que ses potentiels successeurs.
Même dans la fatigue de Macron, on sent poindre encore la marque de son mépris, qui le rapprocherait presque du Mitterrand des vieux jours : "Vous êtes tellement misérables que je ne me donne même plus la peine d'essayer de vous convaincre. Si je vous ai déçu, c'est d'abord parce que vous le méritez."
C'est l'histoire d'un mec qui sait pas comment il peut faire pour terminer son histoire.

28 avril 2025

Yann Bizien

-28/4/2025- Accroître la pression sur la Russie, avec quoi ? Avec un seul porte-avions rentré au port base avant hier, en bout de potentiel ?
Emmanuel Macron est frustré car il n'est pas au cœur du processus de négociations pour la paix. Il est rejeté à la périphérie de ce processus.
Alors il s'agite pour exister, pour apparaître dans la galerie des grands et pour espérer retirer tous les dividendes politiques d'un processus de paix.
Nous l'avons constaté samedi matin lorsqu'il a voulu s'afficher sur la photo aux côtés de Donald Trump et de Zelensky.
Emmanuel Macron n'a plus assez de crédibilité pour négocier directement avec le régime russe. Trop belliciste, trop partisan, pas assez neutre. Il joue donc la comédie. Il se montre. Il multiplie les déclarations martiales sans effet. Il touche Zelensky. Il le prend dans ses bras. Il lui promet monts et merveilles, aux frais des contribuables. Et il organise des sommets coûteux et inutiles.
Nous ne sommes pas dupes. Je rappelle que les grands de ce monde savent que le président Français a moins de 30% d'opinion favorable, qu'il n'a aucune majorité pour diriger ce pays, qu'il a nommé par défaut un gouvernement hybride, paralysé et sous la menace permanente d'une censure, que notre Assemblée nationale est éclatée, que l'État est en faillite, que les plans sociaux et les liquidations se multiplient et que notre société se déchire dans un face à face engagé.
Les grands de ce monde savent qu'Emmanuel Macron n'a plus les moyens de la puissance pour exécuter ce qu'il dit.
Les grands de ce monde peuvent dormir tranquilles. L'agitateur parle dans le vide de l'impuissance.

26 avril 2025

Régis de Castelnau

Rubrique : incruste
 
Et ça recommence ! Plus gênant tu meurs.
L’autre zigoto se précipite pour essayer de taper l’incruste.
« Mais qu’est ce que tu fous là toi ? Casse-toi Simplet, on ne t’a pas sonné. C’est une discussion sérieuse… »
À la face du monde, ce type nous fout la honte tous les jours.

24 avril 2025

Contre les Russes, Macron bientôt tout nu ?

Régis de Castelnau


-23/4/2025- Au fond, en Occident personne n’a intérêt à la survie de l’Ukraine en tant qu’État. Rappelons que les pays de l’OTAN ont transféré entre 300 et 400 milliards (dollars et euros) de leurs fonds publics à ce pays qui affiche deux caractéristiques : tout d’abord l’État est dirigé par des groupes néonazis qui ont mis la main sur toutes les structures et notamment l’armée. (Il faut lire l’article du Berliner Zeitung à ce sujet). Ensuite c’est un État mafieux corrompu jusqu’à l’os, ce qui implique qu’il n’y aura jamais un quelconque remboursement. Et ce d’autant qu’aucun véritable processus de suivi de ces énormes apports n’a été mis en place. Personne ne sait, les Américains eux-mêmes le reconnaissent, où sont passés ces fonds. Il n’y en a désormais aucune trace ! Sans parler du considérable matériel fourni, mais aussi disparu, soit en fumée sur le champ de bataille où les Russes ont vaporisé tous les fameux « game changers », soit dans des trafics inavouables. Malgré cela, Zelinsky continue à mendier, et l’Union Européenne est prête à faire fonctionner la planche à billets et à lui renvoyer 200 nouveaux milliards !

Ainsi, si la guerre prenait fin, entre le matériel et les fonds disparus, la dette du pays s’élèvera de 5 à 6 fois son PIB. Et si une Ukraine, même croupion, survivait, il faudrait que les dirigeants occidentaux expliquent à leurs peuples où sont partis ces fonds et ce qui a justifié ce monstrueux hold-up de fonds publics. Les États-Unis ont la solution : « c’était la guerre de Biden, et les démocrates sont responsables de la catastrophe ». Ils partiront de Kiev, comme de Saïgon, de Bagdad, de Kaboul… Et laisseront le bâton merdeux aux dirigeants européens. Lesquels, aussi stupides et incompétents soient-ils, savent que l’UE est au bord de la dislocation, et que le seul moyen de la préserver, ou plutôt de tenter de sauver leur peau, est de provoquer la Russie et de la pousser à la guerre. Désespérés, apeurés par l’idée de devoir rendre des comptes sur la catastrophe, ils veulent surtout que la guerre continue. La situation économique des principaux pays de l’UE est désastreuse, amenant certains au bord de la faillite, comme la France, le Royaume-Uni, voire aussi l’Allemagne. Et la seule chose qu’ils peuvent faire pour essayer d’unir tout le monde, c’est de déverser une propagande obscène, à base de glapissements bellicistes.

Il n’y a qu’une seule raison à cette stratégie folle : détourner l’attention de leurs responsabilités écrasantes et éviter d’affronter la colère des peuples qui finira bien par arriver. Déjà, dans l’UE les divisions s’affichent. Le pitre de l’Élysée, jamais en retard d’une rodomontade et relayé par le zombie halluciné du Quai d’Orsay, se gargarise d’une « coalition de réassurance ». Mais de quoi parle-t-il ? Combien y participent ? Actuellement trois, France, Grande-Bretagne et Danemark. Les Allemands font pour l’instant bande à part, leur nouveau chancelier, probablement le pire depuis Adolf Hitler, multiplie les déclarations martiales qui montrent qu’il meurt d’envie de refaire Barbarossa. Heureusement, on peut penser qu’il existe dans son pays quelques esprits prévoyants qui ne souhaitent pas, les moujiks ayant de la mémoire, voir l’Allemagne transformée en plaque de verre. L’Otan sans les Américains n’est qu’une coquille.

Et comme par ailleurs lorsque Trump tapera du point sur la table, Starmer se couchera immédiatement, la France a toutes les chances de voir son kéké national tout seul et tout nu.

Grotesque comme d’habitude.

8 avril 2025

Régis de Castelnau

Rubrique : roquet

-7/4/2025- Les larbins médiatiques de Macron tentent péniblement de lui donner un peu de consistance. Alors que depuis longtemps dans le monde, plus personne ne le prend au sérieux.
Emmanuel Macron hausse le ton contre Moscou : « Ces frappes de la Russie doivent prendre fin. Il faut un cessez-le-feu dans les meilleurs délais » et « des actions fortes si la Russie continue de chercher à gagner du temps et à refuser la paix ».
Des actions fortes genre celles de Bruno Le Maire ? Excellente idée, ça marche super bien.
On imagine à quel point les Russes sont plaqués au sol. Ils ne cherchent pas à « gagner » du temps, ils sont en train de gagner la guerre. Cela n’empêche pas le chihuahua de continuer à japper. Toujours plus grotesque à lancer des incantations ronflantes que personne n’écoute.

27 mars 2025

Pierre Duriot
27/3/2025

On achève bien les Français...

C’est difficile, quand on veut la guerre, de faire croire qu’on est pour la paix. Il faut user de rhétorique. « Cette paix n’est pas acceptable ». « C’est Poutine qui veut la guerre »… Accuser les autres et continuer à donner des armes et de l’argent, alors que d’autres travaillent activement à un processus de paix. Mais pourquoi voudrait-il la guerre ? Elle lui permet de continuer à ruiner la France, ce qui est sa mission première, si on regarde objectivement ses actions depuis dix ans. Elle lui permettra, une fois la France ruinée, d’expliquer que ce n’est pas sa faute, que c’était la guerre. Exactement comme il a expliqué que la ruine du Covid, ce n’était pas sa faute, c’était celle du confinement. Sauf qu’il ne fallait pas confiner, puisque ça ne servait à rien, au niveau sanitaire, pas plus qu’il ne fallait livrer des armes, puisqu’elles n’ont factuellement, rien changé au cours de la guerre. C’est difficile, quand on poursuit des desseins destructeurs et sataniques, d’apparaître comme un ange sur qui le sort s’acharne et qui fait tout ce qu’il peut pour nous sauver, alors qu’il nous coule. Il est ce « sauveteur » qui nous jette une bouée de plomb peinte en rouge et blanc, pour faire plus vrai, avec un regard de compassion et la presse aux ordres nous montre à la fois la fausse bouée et le faux sourire, afin de nous expliquer qu’il travaille à notre salut, alors qu’il tente désespérément de nous achever…

18 mars 2025

Yann Bizien

- 18/3/2025 - Emmanuel Macron a très mal pris la fuite de cette information qui amplifie le phénomène de crainte et de peur qu'il a lui-même généré dans tout le pays.
Aujourd'hui, alors que Donald Trump travaille à la paix à l'est de notre continent, le chef de l'État pousse au réarmement de l'Ukraine et à la planification de la projection de troupes européennes dans ce pays contre la volonté de Vladimir Poutine. Emmanuel Macron fait comme si cette guerre n'avait pas eu lieu, comme s'il n'y avait pas de perdant, pas de vainqueur et pas de négociations en cours.
Déconnecté des réalités, à contretemps, il parasite tout le processus comme s'il ne voulait pas vraiment de la paix.
Le narcissisme du chef de l'État est en train d'atteindre son apogée.
Nota : Vladimir Poutine ne veut pas de troupes européennes donc de l'OTAN, en Ukraine. Rappelons qu'il s'agit de la cause principale de cette guerre.

16 mars 2025

Dessin d'Ixène
Yann Bizien

- 16/3/2025 - La crise du COVID aurait donc "révélé la force de notre unité" selon Emmanuel Macron qui s'est exprimé sur son compte X.
Notre unité ?
Est-il sérieux ?
J'ai plutôt l'ardent souvenir de sa brutalité et de ses décisions qui ont clivé les Français, entre partisans de la vaccination obligatoire pour tous et ceux qui plaidaient à l'époque pour la liberté de choisir.
Il y a au moins quelque chose de constant chez ce président : sa déconnexion.

9 mars 2025

Gilles Casanova

- 9/3/2025 - De plus en plus de voix s’élèvent contre les folies de ces nains politiques qui veulent nous mener à la mort.

6 mars 2025

Nicolas Dupont-Aignan

La manipulation par le mensonge et la peur. Qui peut croire encore Emmanuel Macron ? Assez ! La destitution s’impose, tant cet homme est dangereux pour la France.

Courte vidéo ↴
Marc Amblard
6/3/2025
Jonathan Sturel
6/3/2025

Le discours d'hier soir de Macron était le discours d'un psychopathe et d'un sadique

Il faut être un psychopathe et un sadique pour faire une intervention devant des millions de Français déjà essorés afin de leur dire que "la menace russe est là" sur un ton grave tout en affichant à l'écran des infographies sur le nombre de soldats et de bombes dont dispose l'armée de Poutine, en sachant parfaitement qu'une telle menace (l'armée russe nous attaquant militairement sur notre sol) est inexistante.
Imaginez le traumatisme que de telles images sur un tel discours peuvent provoquer chez nos contemporains les plus influençables, chez les plus jeunes, chez les enfants.

Imaginez le niveau d'anxiété collective que de telles images sur un tel discours peuvent générer chez les gens. C'est une folie semblable à celle qu'il manifestait pendant le covid.

Emmanuel Macron est fou, aussi fou qu'il l'était pendant le covid, sans doute même encore plus.