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Affichage des articles dont le libellé est Von der Leyen. Afficher tous les articles
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13 juillet 2025

Jean-Michel Gorsse
13/7/2025

Le chef d'état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, a déclaré que la Russie était la principale menace pour la France.
Le danger pour la France, ce n’est pas la Russie, c’est Macron et Ursula.
Un tandem ravageur : lui démolit la maison France pièce par pièce, elle rase les États membres à coups de règlements européens et de milliards qu’on n’a pas.
Macron détruit les hôpitaux, l’école, la justice, l’énergie nucléaire, les libertés publiques, la police de proximité, la diplomatie, et même la langue française, quand il ne la massacre pas à Davos entre deux poses mondialisées. Il ne gouverne pas, il liquéfie. Et il le fait avec une telle arrogance qu’on se demande s’il n’y prend pas un certain plaisir.
Von der Leyen, de son côté, n’a jamais été élue par personne, mais décide de tout : de ce qu’on doit subventionner, interdire, importer, penser. Elle prend les peuples de haut, méprise les frontières, moque l’idée même de nation, et déroule son programme comme un manuel de domination tranquille.
Et quand les peuples ne sont pas d’accord ? On sort le chéquier. Cent milliards par-ci, cinquante par-là. Ce n’est pas leur argent, alors ils arrosent. Et si ça ne suffit pas à faire plier, on sort l’arme atomique… française bien sûr, comme si la dissuasion nationale devait devenir un jouet communautaire pour bureaucrates bruxellois.
Ils ne gouvernent plus : ils administrent le chaos, habillés en progressistes, mais armés de tout ce qu’il faut pour anéantir la souveraineté, la liberté, et jusqu’au bon sens.
Ce n’est pas une politique, c’est une entreprise de démolition.
Et pendant ce temps, on explique aux Français que le vrai danger, c’est Vladimir.

11 juillet 2025

Kuzmanovic Georges
11/7/2025

L’Union européenne : la maison-mère de la corruption tranquille et de l’autoritarisme bureaucratique.
Un paradis pour multinationales, un bunker pour technocrates, un désert pour la démocratie.


Une motion de censure contre Ursula von der Leyen vient d’échouer.
Oui, échouer. Et on en parle si peu.
Service minimum dans la presse écrite, omerta complète dans les médias de masse.
Pourtant, cette motion portait sur un scandale d’une gravité sidérante : le Pfizergate.
Des milliards d’euros de fonds publics négociés – ou plutôt bradés – par SMS avec le PDG de Pfizer, sans appel d’offre, sans contrôle, sans transparence.
Et le tout, imposé aux citoyens d'Europe une fois le forfait accompli.
Silence généralisé, connivence institutionnelle.
La Commission européenne ? Elle se tait. C'est la spécialité des mafias.
Les médias européens ? Ils font le SAV pour les eurocrates et les globalistes.
On parle ici d’un abus de pouvoir ahurissant, de fraude massive, mais chut… circulez, y'a rien à voir.
Et le plus grotesque ?
Ce n’est ni une cour européenne, ni un parti européen, ni un journal européen qui a lancé l’alerte…
C’est le New York Times !
Oui, il a fallu qu’un journal américain intente une action en justice pour tenter d’arracher quelques bribes de vérité à madame von der Leyen.
Bravo l’Europe de la souveraineté ! On est passé de "l’Europe puissance" à l’Europe en laisse et la schlague (allemande).
Hypocrisie en cascade.
Ah, que l’UE est prompte à donner des leçons de démocratie aux pays africains, aux vilains moujiks du Kremlin ou aux Chinois !
Mais chez nous, quand l’autoritarisme prend un visage bien peigné et s’exprime en powerpoints, tout va bien.
Bienvenue dans le temple du verticalisme technocratique : c’est propre, c’est poli, c’est mortel pour la démocratie.
Et la France Insoumise ? Elle s’abstient.
Oui, s’abstient.
Quand il s’agit de voter contre une corruption massive, l’indignation flanche.
C’est apparemment plus simple d’aller faire les pitres à Budapest que de voter contre un scandale institutionnel à Bruxelles.
Heureusement, les députés du Sinn Féin irlandais et du Mouvement 5 Étoiles italien, eux, ont encore un peu de colonne vertébrale.
35 milliards d'euros. Par SMS. En toute décontraction.
Et pendant ce temps, von der Leyen ose parler "d’erreur administrative ".
Un délit qualifié devient une simple coquille.
C’est le même sketch que Bruno Le Maire, qui refuse d’assumer 1 200 milliards de dettes : pas responsable, pas coupable, juste une petite "erreur technique".
La République des irresponsables.
L’UE, c’est le Parti Unique Européen - le PUE
Le PUE. Une grande machine à dissoudre la souveraineté populaire et affaiblir les États dans l’acide du consensus oligarchique et... à déclencher des guerres en dépensant l'argent qu'ils n'ont pas, le nôtre.
Il est composé de :
PPE (droite de gouvernement)
S&D (centre-gauche de gouvernement)
Renew Europe (libéraux macronisés et les mêmes que les deux précédents)
Et les Verts/ALE, qui votent pareil que les autres dès qu’on repeint l’autoritarisme en vert pomme.
Résultat : tout ce petit monde vote ensemble pour défendre le système, se protéger mutuellement, et faire croire qu’il y a débat alors qu’il n’y a que simulacre.
Et après ça ?
Rien.
Pas de sanctions. Pas de remise en cause.
Juste l’arrogance intacte d’une caste sûre d’elle-même.
Circulez les gueux, il n’y a rien à voir.
Jusqu’ici tout va bien…
Jusqu’ici tout va bien.
Mais nous sommes en chute libre.


28 juin 2025

Kuzmanovic Georges
28/6/2025

Ursula 1ère von der Leyen, impératrice autoproclamée de l’Union européenne, poursuit sa croisade néolibérale, au mépris des peuples et des réalités économiques.

Elle « souhaite »  – sans en avoir la compétence, mais qu’importe quand on se croit souveraine – lancer une alternative à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), avec quelques pays d’Asie et des Amériques.

L’OMC est à l’agonie ? Très bien, aggravons les dégâts avec encore plus de libre-échange dérégulé !
Ce néolibéralisme forcené, ce culte du marché sans entraves, a méthodiquement démantelé les États, désindustrialisé l’Europe, affaibli les protections sociales et ruiné les souverainetés nationales. Et pourtant, ils continuent. Toujours plus loin, toujours plus vite, vers le mur.

L’Union européenne ressemble chaque jour un peu plus à l’URSS finissante : un système sclérosé, dirigé par une caste technocratique non élue, coupée du réel, arc-boutée sur des dogmes périmés et incapable de remise en question.

Il est temps de dire : STOP.
Stop à cette fuite en avant. Stop à la soumission aux lobbies. Stop à cette Europe qui détruit au lieu de protéger.

18 juin 2025

MoneyRadar
17/6/2025

Corruption massive en Europe : la vérité éclate enfin...

Cliquer sur l'image (vidéo de 14min 39s) ↴

Face à une crise économique persistante, l'Europe cache un secret inavouable : un système de corruption qui engloutit des centaines de milliards d'euros par an. Comment l'Union européenne, jadis modèle de démocratie, est-elle devenue le terrain de jeu d'une élite corrompue ? Contrats secrets négociés par SMS, députés fantômes, 50.000 lobbyistes qui achètent les lois au plus offrant - découvrez la mécanique parfaitement huilée qui transforme vos impôts en rentes privées.

16 juin 2025

Kuzmanovic Georges

-16/6/2025- Ursula von der Leyen, c’est ce médecin de l’ère médiévale qui, face à n’importe quel mal, prescrit toujours la même chose : une bonne saignée.
Et recommencer encore et encore, surtout quand ça ne marche pas.
Au G7 2025, sans surprise, elle propose… d’intensifier les sanctions contre la Russie pour, tenez-vous bien, "obtenir un cessez-le-feu en Ukraine".
Le timing est du pur génie : cela intervient juste après que le vrai patron du sommet, Donald Trump – car le G7 n’est plus un directoire mondial, mais le club docile du bloc occidental sous tutelle américaine – ait susurré des mots doux à l’égard de Poutine
Madame von der Leyen reste fidèle à elle-même : hors-sol, rigide, déconnectée.
Ursula, c'est un vieux disque rayé qui grésille au rythme de son aveuglement stratégique.

31 mai 2025

UN PRIX POUR URSULA

Jean-Claude Delhez

-31/5/2025- Ursula von der Leyen vient de recevoir le prix Charlemagne, qui récompense une personnalité remarquable œuvrant en faveur de l'Europe. Le bon Charlemagne me le confiait encore ce matin : cela aurait été dommage de ne pas le lui décerner. Il y a 15 jours à peine, la Cour de justice de l'Union européenne la condamnait pour rétention d'informations au sujet du contrat pharamineux qu'elle avait attribué à la société américaine Pfizer, à l'époque du covid. À propos de société américaine, elle fut soupçonnée d'autres malversations, avec McKinsey, cette fois, à l'époque où elle était ministre de la Défense à Berlin. À la tête de la Commission européenne, elle place ses amis aux frais des citoyens, à l'exemple de Markus Pieper, qu'elle nomme l'an dernier à un emploi fictif, avec salaire mensuel de 20.000 euros (une misère, à côté des 35.000 euros de la présidente). Elle est pointée du doigt depuis plusieurs années pour ses goûts de luxe, ses voyages en jet privé, aux frais des citoyens à nouveau. Autre critique récurrente : l'opacité de son action. Elle qui n'est pas élue prend, de plus en plus, des décisions toute seule dans son coin, décisions qui engagent une communauté d'un demi milliard d'habitants. Pour ne rien dire des nombreux contrats d'association qu'elle a signés avec des dictateurs d'Afrique et du Moyen-Orient.
Voilà un palmarès qui n'est pas à la portée du premier venu. Si je peux me permettre une légère critique : le prix Charlemagne, c'est un peu mesquin. Avec une personnalité d'une telle stature, le prix Gengis Khan s'imposait. Ou le prix Attila. C'est bien aussi, le prix Attila.

17 mai 2025

Pfizergate

Laurence Muller-Bronn
15/5/2025

Ce 14 mai 2025, la justice européenne condamne la Commission pour son refus de divulguer les SMS d'Ursula von der Leyen.

C'est un sujet que nous avons continué à suivre. "Nous" : nous les anonymes, les lanceurs d'alerte, les petites mains, les journalistes et, bien sûr, les citoyens européens et du monde qui nous préoccupons de libertés publiques et de l'accès à l'information...

Le jugement de ce procès – initié par les révélations du New York Times en avril 2021, l'entêtement principalement du journaliste Alexander Fanta, de la députée européenne Michèle Rivasi et du lanceur d'alerte et lobbyste injustement rayé des registres de la Commission européenne Frédéric Baldan, plainte soutenue par les conclusions de la médiatrice européenne et le rapport de la Cour des Comptes européenne... – était particulièrement attendu.

Tous contestaient l'abus de la Commission de refuser de donner accès à ces textos échangés entre Albert Burla, le boss de Pfizer et la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en pleine négociation des vaccins covid. Ces textos qui traitaient du prix des vaccins – à en croire du moins le New York Times et les déclarations de Albert Bourla himself – devenaient les preuves explicites d'un abus de pouvoir de la part de la Présidente de la Commission européenne. La gardienne des traités devenait celle qui les court-circuitait. Mauvais effet pour un contrat à 35 milliards d'euros…

À qui profite le crime demandait toujours Michèle Rivasi, avant d’analyser un dossier. Qui, ici, a pu profiter de ce silence et de cette opacité ?

Le Tribunal de l'Union européenne a estimé, mercredi 14 mai, que la Commission européenne avait illégalement refusé de donner accès à des échanges entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer. Ces messages, envoyés en pleine pandémie de Covid-19, concernaient les négociations sur l'achat de vaccins.

"La Commission européenne n'a pas le droit de refuser l'accès au contenu des SMS échangés durant la pandémie de Covid-19 entre sa présidente, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer, Albert Bourla. C'est ce qu'a estimé, ce mercredi 14 mai 2025, le Tribunal de l'Union européenne, en annulant la décision de la Commission de ne pas communiquer les messages concernés, qui auraient été échangés dans le cadre des négociations d'un important contrat d'achat de vaccins produits par l'entreprise pharmaceutique américaine" écrit aujourd'hui Toute l'Europe, l'un des médias officiels de l'actualité de l'Union européenne."

Qui rappelle aussi : "Ce jugement fait suite à une plainte déposée par la journaliste du New York Times, Matina Stevis, qui demandait, au nom du droit d'accès aux documents publics, de pouvoir consulter ces SMS échangés entre janvier 2021 et mai 2022. La journaliste était à l'origine des révélations, en avril 2021, concernant l'existence de ces messages et réclamait alors d'en connaître la teneur. (...) L'exécutif européen avait refusé la requête de Matina Stevis, invoquant l'absence de "contenu substantiel" qui justifierait l'archivage des messages en tant que documents publics. Une décision qui a suscité de vives critiques sur le manque de transparence de l'institution bruxelloise, qui plus est dans un contexte de montée des thèses complotistes sur les vaccins. En 2022, la médiatrice européenne alors en poste, Emily O'Reilly, avait elle-même dénoncé l'opacité de la Commission sur ce dossier."
Politico rappelait hier, aussi, le contexte et les conséquences possibles de cette décision.
Michèle, nous te le redisons : "Ensemble, nous gagnerons !"

15 mai 2025

Kuzmanovic Georges
15/5/2025

L’Union européenne ? C’est la corruption en cols blancs et la mort de la démocratie sous vernis technocratique.

Quant à Ursula von der Leyen, elle en est le sourire glacial, celui de l’Empire du Mensonge.
Pfizergate : le Tribunal de l’UE reconnaît que la Commission "aurait dû" publier les SMS échangés entre Ursula et Albert Bourla, patron de Pfizer.
Mais – ô surprise – ces SMS se sont volatilisés. Disparus. Pschitt.
Un trou noir administratif ?
Non, une vieille habitude.
Rappel : alors ministre de la Défense en Allemagne, von der Leyen, déjà, avait effacé des SMS liés à des contrats d’armement.
Une pionnière du nettoyage numérique, du "droit à l'oubli".
À ce stade, c’est de l’art.
La Commission européenne a menti. Délibérément. À la justice. Au Parlement. Aux journalistes.
Mais à Bruxelles, on ne ment pas, on « communique ».
Et les « valeurs européennes » ? Un outil de chantage pour les autres. À domicile, on préfère la magouille et le mépris démocratique.
Et maintenant ? RIEN. Nada. Nichts.
Aucune conséquence. Normal : la Commission est une structure sans contre-pouvoir réel. Elle ne rend de comptes à personne.
Macron, Merz, et tous les Glucksmann donneurs de leçons n'exigeront rien !
Les européistes sont trop occupés à dynamiter les États-nations.
Priorité : faire peur aux peuples avec une guerre improbable contre la Russie.
Pain, jeux, panique.
Et Ursula ? Parfaite pour le job.
Elle coche toutes les cases : docile à l’oligarchie, menteuse professionnelle, et toujours souriante.
Le visage idéal de l’Empire du Mensonge.
Vous avez vu les titres de la presse domestiquée ? Le mot du jour : « épinglée ».
Von der Leyen a été « épinglée ».
Comme un papillon dans une boîte. Charmant.
On dirait qu’elle a piqué un biscuit sans permission. Elle n’a pas violé les principes démocratiques de toute une institution, non : elle a juste été « épinglée ».
Circulez.
Il n’y aura AUCUNE conséquence.
Et c’est à chaque citoyen honnête de se demander : est-ce cela, l’Europe qu’il veut ?
Une Union de l’impunité, gouvernée par des marionnettes au service des lobbys, et des journalistes qui trouvent que « épinglée », c’est déjà bien assez fort ?

27 avril 2025

Anna Rocca

-27/4/2025- Des responsables de l’Union européenne sont de plus en plus convaincus de la toxicité de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et souhaitent sa démission, affirme le magazine suisse Die Weltwoche.
À l’Ouest, le litige commercial avec les États-Unis, à l’Est, le conflit ukrainien et l’aggravation des relations avec la Russie – les sanctions sont aussi une forme de guerre commerciale – ainsi qu’une confrontation continue […] avec l’Empire du Milieu.
"Dans les cercles diplomatiques, on entend dire que les hauts fonctionnaires de l’UE considèrent de plus en plus von der Leyen comme une personne toxique" et que sa démission "pourrait débloquer beaucoup de choses".
TASS Europe

27 février 2025

Marc Amblard

- 26/2/2025 - Cette vieille facho, présidente de la grosse Commission, s'est fendue hier d'une diatribe à vomir.
Je vous la fais courte :
La liberté d’expression (qu'elle nomme désinformation) n'est rien d'autre qu'un "virus" et la censure agit comme un "vaccin" pour l’empêcher de nuire.
Il faut dire qu'elle en connaît un rayon en vaccin...
Bref, on voudrait pousser les gens à détester l'Europe qu'on ne s'y prendrait pas mieux.

17 février 2025

Denis Albisser

- 16/2/2025 - Ces deux visages incarnent parfaitement le cancer qui ronge l'Europe.
Une russophobie primaire, la guerre à tout prix, la corruption, l'incompétence, l'immigration de masse, la trahison des Ukrainiens et des Européens.
Bref, l'idéologie des dégénérés de Davos, avec l'escroquerie climatique...
Et, la censure pour museler toute voix discordante...
C'est devant ces gens-là, que se prosterne toute la caste politique et médiatique...
Ils savent tous ça, jusqu'au dernier député, ou sénateur...
Ils savent que nous savons, qu'ils ne servent à rien, à quelques exceptions près.
Et, nous, nous savons, que nous devons nous débarrasser de cette caste de nuisibles...

27 janvier 2025

Gilles Casanova

Je vous pose la question : pourquoi est-ce qu’elle devrait se gêner ? Elle peut continuer, personne ne va l’ennuyer, elle se déclarera malade chaque fois que la justice voudra vérifier qu’elle a bien volé…

7 décembre 2024

Von der Leyen en grande prêtresse

Pierre Duriot

- 7/12/2024 - Il se trouvait encore des « spécialistes » pour expliquer que non, Ursula von der Leyen, ne faisait pas que ce qu’elle voulait, qu’elle n’était pas élue, donc encadrée et maîtrisée. On a eu l’épisode Covid, ses vaccins et ses messages tenus secrets. Puis l’interdiction des véhicules thermiques, puis l’Ukraine, avec ses accolades appuyées à Zelinsky, puis le Mercosur… pour ceux qui n’étaient pas encore convaincus que si, justement, elle menait la barque et mettait en permanence tout le monde devant les faits accomplis. Elle fonctionne avec des commissaires triés sur le volet pour ne pas lui faire d’opposition et un système médiatique acquis à sa cause. Ce n’est que depuis quelques mois que l’on commence à entendre des voix qui expliquent que cela a assez duré. Il y a peu pourtant, les LR européens, Bellamy en tête, votaient encore pour elle sur la base de promesses fumeuses. On se demande ce qu’il faudrait qu’elle invente encore pour qu’on lui demande enfin des comptes…

9 octobre 2024

Ze Rhubarbe Blog

9/10/2024 - Les covidistes estiment que questionner les relations incestueuses entre Pfizer et la Commission européenne relève du complotisme "antivax", cela n'a pas empêché le New York Times de déposer plainte contre von der Leyen pour non-divulgation des SMS échangés avec Bourla dans le cadre des mirifiques contrats vaccinaux Covid :
"Les SMS échangés entre Albert Bourla et Ursula von der Leyen seront-ils dévoilés un jour ? Le New York Times l'espère. Le quotidien américain a demandé à avoir accès aux messages entre le patron de Pfizer et la présidente de la Commission européenne, au titre de la liberté d'informer. N'ayant jamais eu gain de cause, il a saisi la justice de l'Union Européenne. Cette dernière a indiqué lundi que l'affaire sera étudiée le 15 novembre."
Il y aura ensuite des mois avant l'annonce d'un verdict, des mois au cours desquels les pressions politiques et mafieuses pour un non-lieu seront énormes, donc ne pas se faire d'illusions.
Reste le symbole lui-même, l'énormité de l'affaire baignant dans la corruption et le pillage de l'argent public.
Si, par miracle, le tribunal devait se prononcer contre VDL, cela pourrait ouvrir la porte à d'autres actions contre les covidistes, aujourd'hui encore parfaitement protégés par l'establishment, du moins en France.


17 juillet 2024

Vincent Verschoore

L'EuroSoviet étend son ombre sur les restes du rêve européen. Tout désaccord avec la Führerin von der Leyen est interdit : les opposants à la guerre et à la domination des intérêts américains sont identifiés comme étant "amis de Poutine" et devant faire l'objet d'un "cordon sanitaire".
Orban, en particulier, doit être rendu inaudible, et la Führerin interdit à ses commissaires de participer aux réunions informelles du Conseil de l'UE, présidées pour six mois par la Hongrie.
De quel droit, au nom de quelle interprétation des règles européennes et du principe démocratique ? Les médias et les eurodéputés devraient se dresser contre cette dictature, mais la soupe est trop bonne et la corruption trop enrichissante.


20 mai 2024

"Pfizergate" et SMS : tout comprendre à l’affaire qui menace Ursula von der Leyen

Thomas Ribaud / Marianne

Cliquer sur l'image ↴
En avril 2021, New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid durant la pandémie. Ritzau Scanpix / AFP

17/5/2024 - En avril 2021, le New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid, durant la pandémie. Ce vendredi 17 mai, une première audience s'est tenue au Tribunal de Liège.

Voilà qui fait tache, à seulement trois semaines de briguer un nouveau mandat de présidente de la Commission européenne. Ce vendredi 17 mai, le Tribunal de Liège a tenu une audience au cours de laquelle devait notamment être déterminé qui de la justice belge ou du Parquet européen (EPPO) est compétent pour poursuivre l’instruction de la plainte déposée contre Ursula von der Leyen, dans le cadre du « Pfizergate ». Explications.

LES FAITS REPROCHÉS

En avril 2021, le New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid, pour la modique somme de 36 milliards d’euros. Si ces accusations s’avèrent véridiques, Ursula von der Leyen aurait négocié un contrat d’achat de vaccins en dehors de toute règle commerciale européenne.

Le 27 mars dernier, la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, a profité d’une discussion devant la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de Covid-19 (COVI) pour voler au secours de sa cheffe, insistant sur le fait que cette dernière n’avait joué aucun rôle dans la négociation des contrats de vaccins Covid.

Le hic, c’est qu’Albert Bourla, le patron de Pfizer, ne semble pas donner du sien pour affaiblir les accusations en conflit d’intérêts. Il n’a pas hésité à raconter dans un livre qu’il avait noué une « relation étroite avec [Ursula von der Leyen] par le biais de SMS et d’appels téléphoniques » à partir de janvier 2021.


UN SILENCE QUI POSE QUESTION

Depuis les révélations du New York Times, nombre d’entités ont demandé à la présidente de la Commission européenne de rendre public ces échanges de SMS. Les membres de la Commission Covid de l’UE, la médiatrice de l’Union européenne (l’UE) Emily O'Reilly, le parquet européen et la Cour des comptes européenne se sont tous heurtés à une fin de non-recevoir.

En février 2023, le New York Times a lui-même saisi la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) afin d’obtenir la divulgation des SMS en question, après que leur demande d’accès aux documents a été refusée. La CJUE a alors déposé une plainte administrative contre la Commission européenne, qui a toujours refusé de révéler le contenu des SMS, et même de confirmer leur existence. « Tout ce qui était nécessaire à ce sujet a été dit et échangé. Et nous attendrons les résultats », a expliqué Ursula von der Leyen.

En effet, si jamais des SMS ont permis de négocier des transactions financières impliquant l’Union européenne, ces derniers deviennent des documents administratifs au sens du droit. Se refusant à les dévoiler, Ursula von der Leyen porterait atteinte aux droits consacrés dans la constitution européenne. Dans le cas où elle les aurait supprimés, cela constituerait une destruction de documents administratifs.

UNE PLAINTE DÉPOSÉE PAR UN LOBBYISTE

En avril 2023, le lobbyiste belge spécialisé dans les relations commerciales Chine-UE Frédéric Baldan a déposé plainte contre Ursula von der Leyen auprès d’un juge de Liège, pour « prise illégale d’intérêts et corruption », « usurpation de fonctions et de titre » et « destruction de documents publics ». Il estime subir un préjudice moral constitué par « la perte de confiance dans l’Union comme puissance de réalisation du bien commun ».


Surtout, il juge que les finances publiques de la Belgique auraient été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer. Il souligne que, d’après les données de l’Institut de santé publique Sciensano, fin 2022, parmi les 40,4 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 reçues par la Belgique, 27,9 millions ont été achetées à Pfizer. Le lobbyiste belge y voit un privilège octroyé au géant américain de la pharmacie. Il se trouve que le média Politico a annoncé que fin 2023, au moins 4 milliards d’euros de doses avaient été gaspillés. Le contrat liant l’Union européenne à Pfizer a ainsi dû être renégocié.

Frédéric Baldan s’est constitué par la même occasion partie civile, réclamant 50 000 euros pour son préjudice moral. Il espère que le juge d’instruction liégeois soit « en mesure de réquisitionner les SMS et pas seulement de les demander ». Ce dernier considère que si l’ancienne ministre allemande et le patron de Pfizer invoquent la nature privée de ces échanges, cela révélerait un conflit d’intérêts grave, dans le cadre de la vente de vaccins à l’Union européenne.

Des associations, partis politiques, citoyens et même des pays européens, la Hongrie de Viktor Orbán et la Pologne, à l’époque gouvernée par les ultraconservateurs du PiS, se sont joints à la plainte de Frédéric Baldan.

LES ENJEUX JURIDIQUES DERRIÈRE CETTE PREMIÈRE AUDIENCE

Le Tribunal belge devait notamment déterminer, ce 17 mai, s’il revient à la justice belge de poursuivre l’instruction de la plainte déposée, ou si c’est au Parquet européen (EPPO) de se pencher sur ce « Pfizergate ». L’EPPO s’est saisi de la plainte belge et a présenté son réquisitoire à Liège. L’organisme traite notamment des affaires revêtant une dimension transnationale ou qui concerne le budget de l’UE. Mais, de son côté, le juge d’instruction belge souhaiterait poursuivre son enquête. Le Tribunal de Liège a décidé de remettre le dossier au 6 décembre prochain, notamment dans le but de laisser aux parties le temps de se prononcer sur la compétence du parquet européen en la matière.


En attendant, le média en ligne Blast a révélé en septembre 2023 que Frédéric Baldan a vu son accréditation de lobbyiste professionnel lui être retirée, en juin de la même année, par un registre de la transparence de l’Union européenne, qui dépend de l’autorité… d’Ursula von der Leyen.

10 mars 2024

Gastel Etzwane

Clair et net, un Belge donne une leçon de courage face à von der Leyen.
Le RN et Reconquête devraient en prendre de la graine. Faudrait-il encore le vouloir...

https://www.facebook.com/1037630842/videos/964469852066571/

8 octobre 2023

URSULA ET LE SENS DE LA RAISON

Gabriel Nerciat

Madame Ursula von der Leyen, qui apparemment se prend pour l'impératrice souveraine de l'Europe en visite chez ses larbins macroniens de la petite province française de l'empire, juge depuis Paris "insensée" l'attaque terroriste de haute intensité lancée hier par le Hamas contre Israël.
Est-ce une façon de suggérer que ces braves sicaires fréristes de Gaza ne savent pas vraiment ce qu'ils font, ou bien ont collectivement perdu l'usage de la raison, comme on le dit souvent en France de tel ou tel "loup solitaire" djihadiste qui s'essaie au meurtre ou à l'agression physique contre un militaire, un prêtre, une femme pas assez vêtue ou un simple quidam ?
Madame Ursula, elle, en tout cas, est et demeure on ne peut plus rationnelle.
Dans la mesure où la Commission anti-démocratique qu'elle préside est l'une des institutions occidentales qui a le plus complaisamment et largement financé et protégé (avec l'argent des contribuables français) la confrérie fondamentaliste des Frères musulmans dont le Hamas n'est jamais que la branche arabe palestinienne, elle a toute raison de ne voir dans la violence meurtrière de l'organisation gazaouie qu'une manifestation de démence sporadique.
C'est ainsi en tout cas que j'interprète la froide condescendance avec laquelle elle traite des morts du Proche-Orient ou du Caucase, et qui tranche si ouvertement avec le surcroît d'attentions indignées et émues qu'elle réserve, à coups de milliards d'euros, depuis plus d'un an et demi, aux dirigeants ukrainiens (toujours sur le dos des contribuables européens).
"Israéliens, Arméniens, Azéris et Arabes de Palestine, si seulement vous pouviez adhérer à l'UE, vous pourriez enfin devenir des êtres rationnels et multiculturels ouverts à la tolérance, comme nous autres qui sourions d'aise en voyant d'aimables jeunes filles revêtir sans gêne ni complexe leur voile islamique au sein de nos enceintes bunkérisées. Mais c'est malheureusement hors de vos moyens et des nôtres", a-t-elle l'air de dire.
D'ailleurs, comme son majordome élyséen, elle appelle Israël et ses ennemis à ne pas prolonger l'escalade.
Ce serait bête, quand même, qu'on doive bientôt accueillir à Bruxelles ou à Marseille des "réfugiés" du Hamas injustement pourchassés parce qu'ils ont temporairement perdu le sens commun - comme nous l'avons fait massivement, à la demande d'Angela Merkel dont Madame Ursula fut la ministre, avec d'anciens salafistes révolutionnaires syriens.
Car, en Europe, soyez-en sûrs, absolument rien ne changera : "heureux comme un islamiste en Belgique" est devenu une expression d'usage courant.
Il suffit de faire un tour ce matin sur les murs et les sites décoloniaux ou "indigénistes" pour en avoir la confirmation.

4 octobre 2023

Haut Karabagh, une honte européenne

Maxime Tandonnet


Une épuration ethnique est en cours au Haut Karabagh avec plus de 100 000 réfugiés qui ont dû fuir les massacres, les viols, la torture, à la suite de l’invasion de cette enclave arménienne par l’Azerbaïdjan. Mais cette fois, l’Europe des droits de l’homme a fait quasi silence, a lâchement fermé les yeux en dehors de quelques coups de menton ou communiqués verbeux. Mais il y a pire. C’était il y a un an, le 18 juillet 2022, Mme Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, rencontrait à Bakou le dictateur et bourreau des Arméniens, Ilham Aliev et se pavanait devant les caméras de télévision en signant un accord gazier avec ce dernier. L’idée était de remplacer médiatiquement le gaz russe par du gaz d’Azerbaïdjan. Depuis, Cette dame a-t-elle démissionné pour autant ? Non, elle parade plus que jamais. Pourtant, par cette signature, les Européens donnaient une sorte de feu vert au massacre en cours et à une nouvelle crise humanitaire. Mais celle-ci n’intéresse pas grand monde. Alors aujourd’hui, silence motus. Tabou sur les agissements de cette dame : il n’en est pas question, aucune critique à son encontre dans les médias officiels. Pourtant, le génocide arménien par les Turcs de 1915 (plus d’un million de morts) pourrait servir de leçon. Mais non, l’Europe ferme les yeux, cette fois-ci, pas de sanctions, pas de soutien militaire significatif à l’Arménie menacée à son tour. Peut-être que la haine de soi a encore frappé : dès lors que ce sont des musulmans qui massacrent des chrétiens, et non l’inverse, quelle importance ? Ou bien encore, le Haut Karabagh et l’Arménie ne font-ils pas partie des projets de l’Occident, comme l’Ukraine ? En tout cas, nous assistons à un formidable ballet d’hypocrisie : les droits de l’homme et l’indignation sélective : quand cela nous arrange, conformément à nos intérêts. Et quand cela ne nous arrange pas, on ferme les yeux, voire pire, non seulement on ne fait rien pour s’y opposer, mais on encourage le massacre par la signature d’un accord gazier scandaleux.