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26 avril 2025

Pierre Duriot

Alors, cette forme moins grave ?


-25/4/2025- Pendant que les très vaccinés journalistes français regardent ailleurs, des gens travaillent dans le réel et ont réalisé une étude très fouillée, intitulée : « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 avec couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé, laquelle vient d’être publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine. Mais ce n’est pas la première et de loin, puisque de nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès post-pandémie ont été écrits, non pas par des complotistes, mais par des gens de terrain confrontés à une nouvelle mortalité inattendue. Ces chercheurs, généralement indépendants ont attiré l’attention sur les biais des calculs servis pendant la pandémie, dénonçant la mortalité due au seul Covid. Il ont donc comparé les mortalités des périodes, afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde pendant les périodes pré-vaccinale et post-vaccinale.
Pour faire simple, dans les pays européens et l’Amérique, les plus vaccinés, cette vaccination a augmenté la mortalité due au Covid et les pays les moins vaccinés sont ceux où on en est le moins mort, notamment les personnes de plus de 65 ans, avec plus de 70 % des décès mondiaux dus au COVID-19 malgré une vaccination élevée. Ils en tirent une conclusion qui tient en une courte phrase : « La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée. » C’est sans appel. Et encore, d’autres études sont en cours pour évaluer la surmortalité actuelle qui touche elle aussi les pays les plus vaccinés. Cela rend caduque la fable de la « forme moins grave » qui a servi à vendre le produit.
En résumé, non seulement la vaccination n’a pas permis d’enrayer la pandémie mais elle l’a même aggravée et nous l’avions expliqué au RPF, ce qui nous a valu de nous faire supprimer purement et simplement quelques-uns de nos articles, sans doute un peu trop clairvoyants il y a encore quelques mois. Le constat était pourtant évident puisqu’en mars 2022 la France très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde. Le silence des journalistes français est assez inexplicable, si ce n’est qu’ils ont été largement subventionnés à cette époque, comme l’ont été certains artistes qui sont allés jusqu’à réserver leurs concerts aux seuls vaccinés. On se demande comment va se terminer cette histoire, à mesure que sortent les rapports accablants, à commencer aux États-Unis. Les fameux « complotistes » furent ainsi nommés quand ils avaient annoncé, avec six mois d’avance, l'arrivée des pass sanitaire et vaccinal. Et de « savants spécialistes », dont l’inénarrable Patrick Peloux, avaient expliqué au 20 Heures, sans la moindre donnée scientifique, que les non-vaccinés, six millions d’individus, allaient mourir dans l’année. Non seulement ils sont toujours là, mais ils ont l’air de se porter bien mieux que les autres.
Les médias ont de la suite dans les idées, sur la Covid ou l’Ukraine, traitent à qui mieux mieux de complotistes des gens qui, six mois, un an, deux ans, après les faits, ont finalement raison. La seule différence c’est que ces derniers ne sont pas copieusement arrosés d’argent public.

9 avril 2025

Pierre Duriot
9/4/2025

Ces deux hommes génèrent des choses impensables.

La détestation médiatiquement orchestrée de Trump et Poutine fait faire des choses étonnantes. Dans une espèce de délire pavlovien, on en arrive à voir des gens d’extrême gauche défendre maintenant le libre-échange, la guerre et même s’inquiéter du dévissage des bourses asiatiques… tout un tas de considérations qu’en temps normal ils auraient combattues. Mais il suffit que la "bonne" presse leur explique qu’il est politiquement correct de haïr ces deux hommes et leurs décisions, qu’ils en viennent à trouver des arguments déballés avec l’apparence de la sincérité, pour expliquer doctement que maintenant ils soutiennent ce contre quoi ils ont lutté jusqu’ici. C’est à ce moment qu’on se rend compte de la violence de l’environnement médiatique et de la bêtise de ces militants endoctrinés.

31 mars 2025

Pierre Duriot

Meloni et l’islam

-31/3/2025- Giorgia Meloni a déclaré : « Les valeurs de l’islam ne peuvent coexister avec celles de l’Occident ». C’est étonnant d’entendre cela dans une Europe qui a adopté comme mantra : « L’islam est compatible avec la République ». Même Marine Le Pen le dit, non pas parce que c’est vrai, mais parce que c’est un dogme, dont la contestation vaut excommunication médiatique et sociale. Il faut faire ce que nous savons faire en Occident : analyser avec la raison et en dehors des dogmes. (...) Qu’est ce qui dans l’islam serait compatible avec les valeurs occidentales ? La place faite aux femmes ? Le voile ? La polygamie ? L’égorgement halal ? La criminalisation de l’homosexualité ? La haine d’Israël ? Le Ramadan ? La persécution des chrétiens ? Posé comme cela, le dogme prend une tout autre résonance, mais voilà, répété à l’envi depuis 40 ans, ce dogme de la coexistence possible et pacifique avec l’islam s’est imposé alors qu’historiquement, il n’a jamais été réalisé nulle part et à aucune époque. Et donc Meloni a parfaitement raison.

27 mars 2025

Pierre Duriot
27/3/2025

On achève bien les Français...

C’est difficile, quand on veut la guerre, de faire croire qu’on est pour la paix. Il faut user de rhétorique. « Cette paix n’est pas acceptable ». « C’est Poutine qui veut la guerre »… Accuser les autres et continuer à donner des armes et de l’argent, alors que d’autres travaillent activement à un processus de paix. Mais pourquoi voudrait-il la guerre ? Elle lui permet de continuer à ruiner la France, ce qui est sa mission première, si on regarde objectivement ses actions depuis dix ans. Elle lui permettra, une fois la France ruinée, d’expliquer que ce n’est pas sa faute, que c’était la guerre. Exactement comme il a expliqué que la ruine du Covid, ce n’était pas sa faute, c’était celle du confinement. Sauf qu’il ne fallait pas confiner, puisque ça ne servait à rien, au niveau sanitaire, pas plus qu’il ne fallait livrer des armes, puisqu’elles n’ont factuellement, rien changé au cours de la guerre. C’est difficile, quand on poursuit des desseins destructeurs et sataniques, d’apparaître comme un ange sur qui le sort s’acharne et qui fait tout ce qu’il peut pour nous sauver, alors qu’il nous coule. Il est ce « sauveteur » qui nous jette une bouée de plomb peinte en rouge et blanc, pour faire plus vrai, avec un regard de compassion et la presse aux ordres nous montre à la fois la fausse bouée et le faux sourire, afin de nous expliquer qu’il travaille à notre salut, alors qu’il tente désespérément de nous achever…

23 mars 2025

Pierre Duriot

La gauche grand écart...

Étonnante gauche qui défile. Elle défend la paix en Palestine et la guerre en Ukraine. Elle défend le port du voile en France et l’abandon du port du voile en Iran. Elle ferme les yeux sur les violences faites aux femmes dans les cités et les dénonce dans le milieu du cinéma. Elle défend les homosexuels et les transgenres et adule les gens issus des pays où l’homosexualité est criminalisée. Elle trouve normal que les migrants investissent un théâtre ou une église, mais pas une mosquée. Elle défend les voyous des cités, mais ne défend plus les pauvres gens des provinces. Elle est passée de l’adoration à la détestation du « grand frère russe ». Elle est pour l’accueil des migrants mais aucun de ses militants n’en héberge chez lui. Elle défend les squatteurs, tant qu’ils s’installent dans les maisons des autres. Elle explique que les cités sensibles sont une chance pour la France, mais aucun d’eux n’y habite. Elle défend le droit d’étudier à Sciences-Po, mais à condition qu’on soit pro-palestinien. Elle défend Nahel, mais pas Thomas, défend Traoré et sa famille polygame, mais fustige un acteur qui a une maîtresse. Elle combat l’antisémitisme et hurle avec les antisémites. Et finalement, quand ils défilent dans la rue, on a l’impression qu’ils sont nombreux, mais c’est juste une impression. Non, en fait, ils sont tous là, ils braillent mais ne représentent qu’eux-mêmes.

26 février 2025

Les narratifs de la spoliation…

Pierre Duriot
Porte-parole du RPF


- 21/2/2025 - Avec le travail de l’équipe Trump, les édifices commencent à se fissurer, aux États-Unis, comme en Europe. L’examen des comptes fait apparaître des irrégularités de toutes sortes. Aux États-Unis, on s’aperçoit que des prestations sociales sont payées à des gens morts depuis longtemps, selon un système qui profite à quantité de parasites redevables au système qui les nourrit, entendre, qui avaient intérêt à voter démocrate pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or. Un peu comme la France qui continue à payer des retraites à des Algériens âgés de plus de cent ans et dont personne ne retrouve la trace, ou plusieurs RSA à une même personne sous plusieurs identités. Plus largement, les périodes Covid et Ukraine apparaissent avec des dimensions non plus sanitaire et guerrière, mais purement financières et surtout parfaitement scénarisées. L’épisode Covid a justifié des opérations financières opaques, sur lesquelles, on l’a largement vu, von der Leyen refuse de fournir les explications et justificatifs pour les achats liés à la pandémie. Mais également, l’affaire tout entière s’est soldée par des gestions sanitaires et financières surréalistes, des prêts, des compensations, qui ont abouti tout de même à des milliers de dépôts de bilans et des montagnes de dettes, alors que les opérations de confinement n’avaient strictement aucun fondement scientifique.

On retrouve le même genre de scénario opaque avec la guerre en Ukraine et on se renvoie la balle, de part et d’autre de l’Atlantique, pour savoir où sont passés des dizaines de milliards de dollars. On commence à en avoir une petite idée avec ces informations parfaitement fiables de dépenses somptuaires de Zelensky lui-même et de quelques-uns de ses amis fidèles, via des sociétés-écrans domiciliées dans des paradis fiscaux. La mise en évidence de l’acquisition de trois appartements haut de gamme à Londres ne semble être qu’un début. Ces deux épisodes récents commencent à ressembler au mieux à de gigantesques manœuvres organisées de transferts d’argent public vers des intérêts privés, au pire à des opérations de blanchiment à grande échelle.

À la manœuvre, la presse subventionnée, toujours, et ses pseudos spécialistes, dont la mission est de nous faire accepter, par la dialectique, la dépense publique comme la seule façon de remédier aux problèmes. C’est une constante : pour mieux « vivre ensemble », il faut donner plus d’argent, pour « moins polluer », il faut donner plus d’argent, pour vaincre les Russes, il faut donner plus d’argent, pour vaincre la maladie, il faut donner plus d’argent et ainsi de suite. Les spécialistes distillent la peur et enchaînent avec la nécessité de payer pour ne plus avoir peur. Donner des subventions pour reconstruire ce que les voyous font brûler et en donner encore pour qu’ils se calment, donner de l’argent pour acheter des vaccins pour ne plus avoir peur de tomber malade, donner de l’argent pour aider Zélensky afin que les Russes ne déferlent pas sur l’Europe, donner de l’argent pour que la planète soit moins chaude dans cinquante ans et ainsi de suite, selon un processus très bien rôdé, qui ne repose sur rien, à l’évidence, mais que les gens gobent un à un, où devant lesquels ils doivent plier, même s’ils ne gobent pas.

Souvenons nous que les spécialistes cathodiques avaient prévu l’effondrement de la Russie, l’efficacité rapide des sanctions économiques, la mort de Poutine par cancer, la révolte des Russes, la misère de l’armée russe, obligée de prélever des composants électriques de machine à laver pour produire des armes et la victoire rapide des Ukrainiens grâce à la stratégie et aux armes occidentales. Rien de tout cela ne s’est passé. Pour le Covid, les non vaccinés devaient tous mourir. Les vaccins devaient être super efficaces, les confinements étaient indispensables, le gouvernement maîtrisait. Ce ne fut pas le cas, en mars 2022, la France confinée et très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde. Pour le carbone, même chose. Les Maldives n’ont pas disparu, les glaces des pôles n’ont pas fondu, les océans n’ont pas débordé et les glaciers n’ont subi que des modifications habituelles, déjà survenues avant l’apparition de l’homme. Malgré tout cela, on a réussi à faire payer des taxes carbone, à justifier la fin de la voiture thermique, le flicage des isolations des logements, l’électricité et le pétrole chers, le don d’argent à des entreprises privées pour qu’elles bâtissent une « transition écologique » inutile, selon le processus habituel de fausses bonnes raisons qui justifient la spoliation. Et à la fin, quand ce qu’on avait prévu ne se réalise jamais, on s’est trompé, mais on avait raison quand même vu qu'à l’époque, on ne pouvait pas savoir… mais on a fait quand même. Les ficelles sont énormes.

Autant de narratifs bâtis de toutes pièces, auxquels la presse aux ordres vous enjoint de croire, sous peine d’excommunication médiatique et sociale : Perronne, Raoult et beaucoup d’autres, dans un processus de fabrication de « consensus scientifiques » dans lequel on prive tout simplement de parole, les gens qui ne vont pas dans le sens officiel, les gens pas corrompus en quelque sorte. Mais il y a des morts, par dizaines de milliers, de la guerre et des effets secondaires, mais cela n’a aucune importance, nous sommes trop nombreux sur Terre, les chefs d’orchestre ne se cachent même pas de le dire…

La machine américaine trumpiste est en route et devant les évidences, l’insulte et le dénigrement sont la seule méthode possible d’une gauche pseudo humaniste qui, faute de pouvoir contredire la réalité, emploie à nouveau une dialectique choisie pour tenter de nous faire détester Trump et Poutine : fachos, dictateurs, complotistes, analphabètes, vulgaires, violents et on en passe. Mais les choses semblent se précipiter. Macron va « rencontrer » Trump… non, il est convoqué, comme un vilain collégien à une équipe éducative et ça devrait barder pour son matricule, alors que les États-Unis ont compris et disent maintenant tout haut, que le vaccin est un produit de mort, que l’aide à l’Ukraine était une opération frauduleuse, que le narratif réchauffiste est une fumisterie et ainsi de suite. Sans compter les possibles dossiers sur l’intimité du drôle de couple Macron.

Et alors que tout arrive à la lumière, que tout s’étale sur les places publiques, nos oppositions, au lieu de saisir le sens de l’histoire et de s’ordonner pour prendre la relève, préfèrent rester sur le Titanic et couler avec l’orchestre qui n’en peut plus de jouer des partitions que plus personne n’a envie d’écouter. Les voilà qui se rendent aux convocations d’un président devenu déclassé, illégitime, pour l’assurer de leur soutien dans des dossiers qui leur échappent et les dépassent. Il est grand temps que d’autres hommes émergent…

22 février 2025

Pierre Duriot
22/2/2025

Vaccins : la lucidité uniquement aux États-Unis

Aux États-Unis, la prise en compte par l’équipe Trump, de plusieurs évolutions dans la santé des Américains, fait son chemin et au-delà des sempiternelles accusations de complotisme, des éléments tangibles apparaissent, comme la surmortalité actuelle dans la population générale, aux États-Unis, comme en Europe. Également, l’augmentation du nombre de pathologies, en particulier cardiaques, dans des groupes de populations ciblés et suivis, comme les militaires ou les pilotes d’avions professionnels. Pour ces derniers, les seuils d’admissibilité ont été abaissés, pour éviter que trop de pilotes ne se retrouvent cloués au sol pour des risques cardiovasculaires. Également, l’augmentation inexplicable de certains cancers, comme celui du pancréas, tout cela depuis la campagne de vaccination contre le Covid 19. Et aux États-Unis donc, on s’oriente vers un abandon pur et simple de ce vaccin qui, pour rappel, a été administré sans qu’il ait bouclé son processus habituel de certification. Il a déjà été interdit dans l’Idaho. En France, pas un journaliste professionnel ne s’est penché sur les surmortalités infantiles et dans la population générale, alors que le phénomène est parfaitement avéré. Dingue non ?

30 janvier 2025

Pierre Duriot

Trump, Poutine et les autres, à genoux...

- 30/1/2025 - Étonnante « élite » française, après avoir mis l’économie russe à genoux, elle se propose d’entamer des mesures pour faire plier Trump et sa guerre commerciale, pas encore commencée, compte envoyer des troupes en Ukraine pour résister aux Russes, des troupes au Groenland pour effrayer le même Donald qui a des visées sur cette contrée... peut-être d’autres troupes à Taïwan face aux Chinois ? Il est vrai que nos armées rentrent d’Afrique, où elle ont pacifié le continent, avec tambours et trompettes et que nous avons un armement, un budget et une capacité d’innovation susceptibles de faire peur aux principaux belligérants de la planète. Voilà ce qui devrait se faire quand on écoute les quelques intervenants invités à disserter récemment sur l’influence géostratégique de l’Hexagone piloté par un habile chef de guerre pour encore deux ans. On se demande dans quel monde vivent tous ces gens…

16 janvier 2025

Comment retourner en Russie ?

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 14/1/2025 - La paix en Ukraine semble se profiler et les entreprises européennes envisagent déjà de pouvoir récupérer leurs billes en Russie. Il faut bien se le dire, la Russie de Poutine n’est pas celle de Brejnev, fermée aux échanges commerciaux internationaux. Ce commerce était florissant, notamment pour les entreprises allemandes, mais également françaises, dans une moindre mesure, mais tout de même. Chimie, acier, automobile, aviation, produits agricoles… sont les principaux créneaux industriels des échanges avec la Russie, en contrepartie d’une énergie russe, assez bon marché, mais dont la source a été coupée par décision idéologique, que nous avions combattue au RPF, en expliquant dès le départ qu’il fallait continuer commercialement, privilégier la voie diplomatique, retirer les bases américaines d’Ukraine et respecter les accords de Minsk. Mais à l’évidence, des intérêts supra-européens étaient à l’oeuvre et l’un des objectifs de la guerre en Ukraine était d’affaiblir l’industrie européenne et de ce point de vue, c’est assez réussi.

Il faut tempérer toutefois, 100 % des échanges ne se sont pas arrêtés, puisque des chemins détournés et plus chers, ont permis quand même, aux Russes de continuer à nous livrer de l’énergie et des entreprises européennes ont également pu continuer leurs commerces. La perte sèche oscillerait entre 25 et 30 %, mais une partie des échanges a été rendue plus complexe. Au final, les sanctions décrétées par l’Europe, sous commandement américain, ont fait perdre plus aux commanditaires qu’aux Russes, en diminuant non seulement nos parts de marchés, mais également en affaiblissant l’Euro et le Dollar dont les clients de la Russie se sont détournés au bénéfice d’autres monnaies.

Quant à savoir si les entreprises européennes vont récupérer leurs anciennes places russes, rien n’est moins sûr. La loi du marché n’aime pas les vides et les absences des grands groupes allemands et Français ont été vite comblées, très vite même, par les Russes eux mêmes et par d’autres industries, asiatiques entre autres, avec lesquelles il va falloir entrer dans une concurrence bien plus facile à gérer quand on est déjà en place, que quand on veut reconquérir la place. Preuve de l’inefficacité de nos mesures : sans les Européens la croissance russe tourne autour de 4 % quand la nôtre se situe autour de 1 %. Ceci alors que Poutine a d’ores et déjà indiqué qu’il ne fermerait aucune porte aux retours des Européens dans les échanges commerciaux avec la Russie.

Nous l’avions répété au RPF, les Russes sont des Occidentaux chrétiens, comme nous et ne sont donc pas l’ennemi. Nous aurions donc tout intérêt à nous sortir de notre posture anti-russe de principe et à envisager un axe occidental débarrassé du wokisme qui a dicté l’appartenance à la bande occidentale, la Russie étant frileuse avec le drapeau arc-en-ciel et nos histoires à dormir debout sur le transgenrisme et les parents 1 et 2. Les positions que nous avons perdues ne l’ont été que pour des raisons idéologiques, à savoir, faire de la Russie de Poutine le grand Satan mondial, faire perdurer la « guerre froide » et entretenir la menace totalement imaginaire d’une armée russe déferlant à la conquête de l’Europe. Comment nos chefs d’États européens ont-ils pu être assez naïfs pour croire de telles balivernes ? Corrompus ? Menacés ? Le résultat des courses est que non seulement nous avons perdu cette guerre, mais que la Russie en sort renforcée, que nous ne sommes même plus en position de force pour négocier et que reconquérir nos anciens marchés à l’Est est loin d’être gagné. Le problème est que cette issue était courue d’avance et que les responsables de cette gabegie ont assez peu de chance d’avoir un jour des comptes à rendre.


Groupe Telegram du RPF

15 janvier 2025

Monsieur « Trouposol » continue...

Pierre Duriot


- 14/1/2025 - Macron a financé avec nos sous une brigade ukrainienne qui a déserté après nous avoir coûté un bras. Il a envoyé le matériel de notre armée, des milliards d’Euros, sans le moindre contrôle des parlementaires. Tout le monde a obéi bêtement et passivement, personne ne lui a demandé le moindre compte, on ne sait même pas à l’heure actuelle, combien exactement nous a coûté cette guerre. On sait également que même si nous n’avons pas envoyé de soldats français sous uniforme national, certains combattants français étaient là-bas, financés par la France, avec des « conseillers », eux aussi payés par la France. On ne parle pas de notre aide logistique. Et maintenant que nous sommes à l’aube d’un règlement du conflit, que plus personne ne veut y aller, que tout le monde temporise, Monsieur « Trouposol » veut aller faire la guerre, tout seul. Enfin, seul à vouloir la faire faire à nos soldats, sous uniforme, cette fois-ci et officiellement, nous faire entrer en guerre, en clair, alors que tout est presque fini. Il veut quoi exactement, un missile hypersonique sur la rade de Toulon, ou la base de Landivisiau ? Déclencher l’article 16 ? Et on se demande si les militaires vont enfin lui expliquer qu’il n’est pas sérieux et que personne ne va y aller. Si les parlementaires vont enfin lui expliquer qu’ils ont leur mot à dire. Ou si on va laisser ce mauvais élève faire sa crise au milieu de la cour de l’école, alors que tout le monde est prêt à rentrer en classe.

12 janvier 2025

Le fameux « consensus scientifique »...

Pierre Duriot

- 11/1/2025 - Tu payes des scientifiques pour dire un truc qui t’arrange. Tu rassembles leurs publications et tu les fait relayer par toutes les radios et télés que tu possèdes. Tu demandes à tes journalistes de ne pas tendre le moindre micro à tous les scientifiques que tu n’as pas pu corrompre et qui ne disent pas la même chose que ceux que tu as payés. Et quand tu as une masse de publications qui vont dans ton sens et que tu as pu faire taire toutes les voix dissonantes, tu expliques qu’il y a un « consensus scientifique » autour de ton affirmation et tu l’invoques pour mettre en place des mesures qui favorisent tes affaires…

9 janvier 2025

Macron l’influenceur américain…

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 9/1/2025 - Sans sourciller, Macron vilipende les déclarations de Musk, accusé d’ingérence dans la politique européenne, prouvant par là même, mais on s’en était déjà aperçu, qu’il n’a même pas conscience de la portée de ce qu’il raconte et encore moins de l’énormité de son propos. Car l’ingérence de l’Amérique dans la politique européenne est bien loin de Musk et de ses quelques déclarations tout à fait conformes à une réalité que Jupiter ne veut pas voir, même s’il la prend en pleine figure.

Non, l’ingérence américaine est là depuis 1945 et sa présence est parfaitement visible, palpable et même oppressante, à plus d’un titres. Coca-Cola, McDonald's, Hollywood, Google, Microsoft, Netflix… voilà pour la partie « culturelle », mais peut sembler parfaitement anecdotique, au vu de la partie bien plus sombre de cette influence américaine. Étrangement, nos fleurons industriels partent aussi pour les États-Unis, avec la bénédiction de Macron, agent ou pas des Américains, mais qui apparaît toujours comme plutôt dévoué à leur égard.

Microsoft et ses filiales gèrent notre santé, nos armes, nos bulletins de salaires, nos ministères, quasiment toute notre informatique qui entre dans le cerveau des Français dès leur entrée à la maternelle et même avant, quand des petits qui savent à peine marcher sont gavés de contenus américains sur leurs écrans quotidiens. Mais ce n’est pas la politique européenne… venons-y. Le cabinet McKinsey, en lien étroit avec le renseignement américain, règle les campagnes électorales dans la quasi-totalité des pays européens, où sont au travail, aux frais des contribuables en plus, des « conseillers » McKinsey, tous formatés dans le même moule américanophile. Les investissements américains diffusent jusque dans les quartiers sensibles, au prétexte de dépistage de talents. Ces mêmes McKinsey ont sans doute en partie inventé et en tout cas mené les narratifs carbone, Ukraine, Covid, à nos frais encore une fois, se sont substitués à nos hauts fonctionnaires, à nos cadres et à nos lois. Ces Américains nous ont poussés dans les sanctions à la Russie qui nous ont ruinés, dans les achats de vaccins, qui ont été prétexte à des transferts massifs d’argent public vers des intérêts privés, avec les dégâts sur la santé que l’on commence tout juste à oser regarder. Ont orchestré la fable carbone, élément qui n’est pas un polluant et dont la quantité d’origine humaine est négligeable au regard de la planète. Cette fable justifie la mise en place d’une dictature conduisant progressivement à l’appauvrissement. On regrette l’Amérique de Presley, de Steve McQueen, de Maryline Monroe, des Corvette et des Mustang, qui nous a fait rêver.

Mais il y a encore plus noir. Soros l’Européen désormais newyorkais, son petit fils, Alexander, sont reçus, on ne sait trop à quel titre, régulièrement, par les présidents européens, à commencer par notre Macron… pour quoi faire ? Eux qui déversent des milliards en forme de déstabilisation. L’Américain Bill Gates également, le père de Microsoft, homme d’affaires, est un grand habitué des présidents européens, se retrouve dans les sommets des chefs d’États… il y fait quoi ? Que pèse sa parole ? L’OMS, financée en partie par Gates, a orchestré le spectacle Covid, l’expérience ingénierie sociale Covid, devrait-on dire et se propose de gérer les prochaines pandémies et se propose même de nous obliger à nous soumettre à ses prochaines gestions de pandémies. L’OTAN également, qui justifie toutes ses guerres, tout en désignant celles des autres pays à la vindicte, qui nous oblige à acheter des armes américaines, à adhérer aux commandements américains, à adopter les logiciels de gestion américains, au prétexte d’interopérabilité militaire des armées de l’OTAN… ce n’est pas de l’ingérence ? Parlons encore des fonds de pension américains, dont le plus connu, BlackRock, fait la pluie et le beau temps sur nos groupes européens et français.

Et il y a sans doute encore plus sombre : expériences d'ingénierie climatique, éliminations ciblées, explosions de gazoducs, rupture de câbles sous-marins, attentats déguisés… pour lesquels il n’y a que des faisceaux de présomptions, assez solides tout de même. Mais non, l’ingérence américaine se résume à quelques déclarations de Musk. Macron tente de cacher la forêt avec un brin d’herbe.

Mais tout cela s’affole. Trump veut sortir de l’OTAN, Musk laisse plus de champ aux internautes pour s’exprimer sur Twitter-X et même Zuckerberg vient de déclarer qu’il allait revoir le système de modération de Facebook, dont il explique qu’il est devenu une censure étatique qui ne dit pas son nom. En fin homme d’affaires, il sent le vent tourner et sous-entend ni plus ni moins que finalement, les plus grands pourvoyeurs de fausses nouvelles ont été les médias mainstream qui tout en mentant effrontément, qualifient les opinions divergentes de « désinformation ». Un exemple ? « La forme moins grave » du Covid. Il est scientifiquement impossible de savoir comment un patient, une fois vacciné, aurait réagi à la maladie s’il ne l’avait pas été, ce n’est pas très difficile à comprendre. Et pourtant, tous les médias « officiels » ont répété cette fable en boucle. Un autre exemple ? « La Russie à genoux » : qui y croit encore ? Encore un ? « Les Maldives sous les eaux en 2020 », dixit Al Gore, le chouchou des médias bien-pensants.

En réalité, les réseaux sociaux ont permis aux gens qui réfléchissent et analysent, de pouvoir s’exprimer, contrairement à une époque révolue où seuls les narratifs contrôlés des médias contrôlés avaient pignon sur rue. Et nos petits censeurs européens, les Macron, Breton, VDL et autres leaders d’opinions préfabriqués, de paniquer devant la vague qui arrive, conscients qu’ils n’ont déjà plus l’exclusivité du discours et de la méthode…


Groupe Telegram du RPF

2 janvier 2025

Imaginons une autre Europe… sans eux

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 2/1/2025 - Entre l’épisode électoral roumain, la guerre en Ukraine, le scandale des vaccins et de la gestion Covid, la conscience d’une Europe qui n’est pas celle espérée par les peuples européens, fait son chemin. Elle n’est pas non plus celle espérée par les entreprises qui entrevoyaient des marchés et des échanges et qui se retrouvent avec des normes et des contraintes environnementales abracadabrantes. Cette Europe-là est celle des grands groupes transnationaux, particulièrement des groupes américains qui tirent le mieux leur épingle du jeu, on le voit sur le matériel militaire ou les vaccins. Pour autant, l’esprit européen des peuples est bien là et la question est de savoir si on peut changer l’Europe actuelle de l’intérieur, ou s’il faut en imaginer une autre. Et le moins qu’on puisse dire est que la volonté manque face aux scandales à répétition qui touchent l’entourage de von der Leyen et on se demande ce qu’il faudrait pour que les députés se réveillent enfin et se mettent à demander des comptes. On se souvient que pour les SMS de négociation avec les fabricants de vaccins, c’est niet. La communication des contrats passés avec Pfizer, c’est niet, il sont noircis aux trois quarts. Pour l’utilisation réelle de l’aide à l’Ukraine, c’est niet encore. On vient de comprendre qu’une station de ski de luxe avait été bâtie avec des aides européennes pour la guerre. Que faut-il, pour que les députés travaillent ? Hormis quelques-uns et surtout, quelques-unes, très peu audibles, finalement, tout le monde roupille et avalise les pires infamies.

On attend avec impatience l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche et on sait que cela aura un impact, puisqu’il a déjà commencé, mais on aurait tort de penser que cela va tout résoudre et encore plus tort de penser que Trump fera grand cas de l’Europe en cas de guerre commerciale, le "make America great again" se fera sur le dos de l’Europe qui sera confrontée à une OPA inamicale des entreprises américaines et au déferlement des produits asiatiques bon marché, le tout sur un vieux continent très désindustrialisé, avec une pyramide des âges peu favorable et des systèmes éducatifs en perdition. Pour autant, tout n’est pas perdu, l’état de santé de la population américaine est pire que le nôtre et la Chine aussi, vieillit, sans parler du Japon. [...].

Et donc, on voit fleurir des propositions qui consisteraient en un recentrage sur les pays à l’origine de l’Europe, avec des niveaux de vie similaires : France, Allemagne, Pays-Bas, Espagne, Italie, Belgique, Luxembourg, Autriche. Avec comme objectif le rapatriement de nombreuses usines qui ont migré vers les pays les moins disant fiscalement et avec les plus bas salaires européens. Et une autre Europe, concentrique, avec les pays n’ayant pas encore le niveau des premiers. Mais il faut aussi sortir de pas mal d’autres choses, tant on se demande si elles ne sont pas spécialement pilotées depuis d’étranger pour affaiblir l’Europe. En premier lieu, la commission européenne qui a bien plus de pouvoir qu’on l’aurait imaginé, ou du moins, le pouvoir que veulent bien lui laisser les députés, par paresse et par suivisme.

Sortir également d’un certain nombre d’instance qui par nature, nuisent en permanence aux intérêts européens : la cour de justice européenne et la cour européenne des droits de l’homme, qui n’ont de cesse de sanctionner les États au bénéfice de migrants arabo-afro-musulmans, sans arrêt bénéficiaires de « droits » exorbitants, au détriment des peuples européens systématiquement condamnés à leur verser des aides sociales, à les loger, quand bien même ils seraient délinquants. Sortir également du pacte de Marrakech, signé par un vague émissaire de Macron et qui se résume, comme les deux organismes précédemment cités, à des instances de promotion de l’islam. Sortir enfin de l’OMS, machin manipulé par des intérêts privés, qui n’a de cesse de soumettre les États à des politiques de santé dictées par les géants pharmaceutiques.

L’idée force serait celle d’un collaboration entre États souverains, telle qu’imaginée par le Général de Gaulle, dans laquelle chaque pays retrouverait sa souveraineté en matière d’immigration, de maintien de l’ordre, d’industrialisation, de formation, de défense, tout en passant des accords de coopérations militaires, industriels, de reconnaissance de qualifications, au sein d’une assemblée collégiale et pas sous la coupe d’une commission européenne toute puissante, qui comme actuellement, fait la promotion de l’achat américain. Sortir de l’interdiction des véhicules thermiques en 2035, sortir de la fable du carbone et de la transition énergétique, qui ont été prétextes à des transferts d’argent public massifs vers des intérêts privés. Enfin, il faudra retrouver des indépendances, alimentaire, énergétique, militaire, informatique, spatiale… dans un paysage où presque tout est en panne.

Mais les dirigeants ne sont pas les bons, faibles, peu charismatiques, tous en difficulté dans leur gouvernance respective. Pointent bien Meloni, Orban et peut-être quelques autres, mais le compte n’y est pas. Et les perspectives de basculement sont minces tant tout est verrouillé : presse, systèmes électoraux, instances supranationales, influences étrangères, ONG… sont tous acquis à la ligne européiste et immigrationniste. Tout cela va se jouer dans les trois ou quatre prochaines années, soit l’Europe est capable du sursaut salvateur, soit nous terminerons pauvres, islamisés, libanisés...


Le groupe Telegram du RPF :

28 décembre 2024

Breton et l’influence américaine… sans rire

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 28/12/2024 - La charge de l’ex-commissaire européen Thierry Breton contre Elon Musk, accusé de s’immiscer dans la politique européenne, pourrait apparaître comme comique, si le sujet n’était pas aussi grave. Voilà Musk, l’homme le plus riche du monde, qui soutient le parti allemand de droite l’AFD, le parti anglais de droite de Nigel Farage et Giorgia Meloni et qui leur propose même de l’argent, son argent. Et cela fait hurler Breton. Le crypto-stalinien français, qui n’en rate jamais une en matière de volonté de censure et d’interdiction, devrait se souvenir que les démocrates américains s’immiscent dans la politique européenne avec une tout autre dimension. Le cabinet McKinsey étant présent dans quasiment toutes les campagnes électorales, payé en plus avec nos impôts, là où Musk donne. Ce même cabinet a fait élire Zelensky. Et derrière, l’administration américaine règle la politique européenne, par l’intermédiaire de von der Leyen, qui fait acheter avec zèle du matériel militaire américain, par l’intermédiaire de Macron, qui fait vendre avec zèle nos fleurons industriels aux Américains. Par l’intermédiaire de l’OTAN qui nous fait avaliser, voire participer aux guerres menées par les États-Unis. Non, c’est vrai, il est dommageable que Musk donne quelques millions à des oppositions européennes, des fois que cela puisse représenter un iota face au rouleau compresseur des influences démocrates…

Nos élites européennes n’en sont jamais à cela près en matière de mauvaise foi. Elles qui se permettent de donner de notre argent pour favoriser les élections de leurs candidats à la tête de pays européens, qui redonnent de notre argent pour faire annuler l’élection d’un candidat qui ne leur plaît pas… la réalité est que l’influence américaine du camp au pouvoir, les démocrates, est permanente, que l’influence américaine tout court est omnipotente. Google, McDonald's, Netflix, Hollywood, BlackRock, McKinsey… règlent nos vies, nos loisirs, nos goûts. Plus loin, nos données de santé et bien d’autres sont gérées par des logiciels américains. En réalité, nous sommes un genre de colonie américaine depuis 1945, mais quand on écoute nos fameux « grands penseurs » comme Breton, le danger, c’est Musk, c’est l’influence russe, c’est l’espionnage chinois… par contre la coupe réglée américaine du camp démocrate ça n’existe pas, ou alors c’est normal, puisque ce sont les « gentils ». La vérité est que cette Europe-là, celle de von der Leyen est une succursale américaine et ce n’est un secret pour personne.

Musk explique que seule l’AFD peut sauver l’Allemagne, face à ce « fou » de Scholz qui a perdu sa majorité : ce serait faux ? L’attentat de Magdebourg nous dit qu’il a raison. Il explique aussi que Starmer, l’Anglais, mène un état policier contre ses propres citoyens. Ce serait faux ? On l’a vu enfermer des Anglais pour un malheureux tweet antigouvernemental, tout en libérant des délinquants étrangers ou d’origine étrangère pour faire de la place. Il a critiqué la décision de la justice italienne contre Meloni qui voulait des centres de rétention pour migrants. Et alors, l’Italie, comme nous, devrait accueillir toute la zone arabo-afro-musulmane ? En réalité, cette Amérique démocrate, pour laquelle l’Europe est une chasse gardée, supporte mal toute forme de concurrence, même à minima et commence à se méfier réellement de l’influence probable de l’équipe Trump que nous décrivions hier. Elle a sans doute très peur de ce qui pourrait revenir à la surface, après des scandales comme la pandémie de Covid ou la guerre en Ukraine et sans doute pas mal d’autres choses.

De notre côté, nous aurions tout intérêt à créer une autre Europe, sous domination de personne, avec ses propres fonds d’investissement, son propre matériel militaire, ses propres logiciels, sa propre industrie culturelle, son propre système financier, une Europe qui ne soit pas sous tutelle américaine permanente et capable de tisser des liens équilibrés d’un côté comme de l’autre, de remettre en place un vrai système démocratique, dans des nations souveraines qui collaboreraient, plutôt que de fusionner comme le voudrait le pouvoir actuel. Nous ne sommes pas les États-Unis d’Europe, les nations européennes étant trop différentes, culturellement, pour espérer en faire un seul pays… la tâche est immense et la volonté politique est loin d’y être.


Le groupe Telegram du RPF :

7 décembre 2024

Von der Leyen en grande prêtresse

Pierre Duriot

- 7/12/2024 - Il se trouvait encore des « spécialistes » pour expliquer que non, Ursula von der Leyen, ne faisait pas que ce qu’elle voulait, qu’elle n’était pas élue, donc encadrée et maîtrisée. On a eu l’épisode Covid, ses vaccins et ses messages tenus secrets. Puis l’interdiction des véhicules thermiques, puis l’Ukraine, avec ses accolades appuyées à Zelinsky, puis le Mercosur… pour ceux qui n’étaient pas encore convaincus que si, justement, elle menait la barque et mettait en permanence tout le monde devant les faits accomplis. Elle fonctionne avec des commissaires triés sur le volet pour ne pas lui faire d’opposition et un système médiatique acquis à sa cause. Ce n’est que depuis quelques mois que l’on commence à entendre des voix qui expliquent que cela a assez duré. Il y a peu pourtant, les LR européens, Bellamy en tête, votaient encore pour elle sur la base de promesses fumeuses. On se demande ce qu’il faudrait qu’elle invente encore pour qu’on lui demande enfin des comptes…

6 décembre 2024

Pierre Duriot

- 6/12/2024 - Dialogue presque imaginaire…

MB : Tu vois Manu, on ne peut pas dévier d’un pouce, c’est mon budget ou rien.
EM : Oui Michel, je sais et je voudrais quelqu’un qui le fasse passer.
MB : Oui, un type bourré de talents, dont la compétence est reconnue, qui est populaire, consensuel, qui saura ramener les fous furieux de LFI à la raison…
EM : Oui, c’est ça, quelqu’un qui réussisse là où tu as échoué.
MB : T’es sympa toi quand même, je suis démissionné depuis cinq minutes et tu te payes ma tête.
EM : Le prends pas comme ça Michel, tu sais que je ne peux pas m’en empêcher, faut que je dise du mal, c’est plus fort que moi.
MB : Oui, bon, on te connaît, tu l’as ta perle rare ?
EM : Bayrou ?
MB : Euh… tu te fous de moi Manu ?
Pierre Duriot

Fraude sociale

- 6/12/2024 - Au RPF, comme mesure d’économie drastique, nous proposons de réserver les aides sociales aux natifs, c’est-à-dire, aux citoyens français : soit des milliards d’économie. Ce n’est pas une mesure d’extrême droite, c’est ce que font quasiment tous les pays du monde, en dehors de quelques pays européens qui s’infligent cette punition au nom d’un humanisme dont leurs propres citoyens sont en général les premières victimes. Non seulement les aides indues, mais également la fraude sociale, soit plusieurs dizaines de milliards d’Euros chaque année. L’informatique permet aujourd’hui de retrouver des trimestres cotisés dans les années 80, les propriétaires successifs de n’importe quelle voiture, mais toujours pas un étranger qui touche le RSA dans plusieurs départements, des allocations pour des enfants fictifs ou les propriétaires des cartes Vitale en surnombre… étonnant non ? La réalité est que cette fraude n’est pas combattue avec assez de rigueur parce que cela contribue à acheter une paix sociale qu’en réalité nous n’avons pas.

30 novembre 2024

Le comique Zelensky

Pierre Duriot


- 30/11/2024 - La Russie a envahi l’Ukraine parce qu’elle ne voulait pas de bases américaines à ses portes. Et aujourd’hui, Zelensky, devenu illégitime car non réélu, propose de laisser quelques territoires à la Russie à condition que l’Ukraine rentre dans l’OTAN, c’est-à-dire  à condition que les États-Unis puissent installer quelques bases le long de la frontière russe. Et il se propose ensuite de récupérer les territoires cédés « momentanément ». L’art de prendre Poutine pour un lapin de six semaines et accessoirement de se ficher de la poire d’un peu tout le monde. Il fut un comique troupier, il n’a pas changé. Le mieux serait qu’il se fasse oublier et qu’il laisse des gens plus sérieux que lui gérer le bazar. Parce qu’en plus, on risque d’y trouver des trucs pas très catholiques.