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14 novembre 2023

Véronique Faucheux

Pourquoi l'antisionisme ne peut pas être assimilé à de l'antisémitisme ?
Pour une raison simple : les antisionistes sont généralement ceux qui combattent aussi le racisme.
L'antisémitisme est traditionnellement associé au racisme et au nazisme.
Pourtant, dimanche, on a vu des skinheads participer à la marche contre l'antisémitisme.
Bizarre, non ?
En réalité, pas vraiment...
Car la politique israélienne est résolument raciste et proche de l'idéologie d'extrême-droite, qui a donné naissance au nazisme.
En conclusion, on peut affirmer deux choses sans prendre le risque de se tromper :
1) l'antisionisme et l'antisémitisme s'opposent,
2) le sionisme et le fascisme se superposent.

13 novembre 2023

Véronique Faucheux

Tous les membres de la communauté juive ne soutiennent pas la politique agressive de colonisation poursuivie par Netanyahu. Ainsi, le collectif Tsedek est ouvertement décolonial. Bravo à eux ! Ils démontrent qu'on peut être juif et critiquer la politique d'Israël.
L'antisionisme n'est pas l'antisémitisme. Et même parmi les sionistes, il faut distinguer 2 types : les modérés et les fanatiques.
Le seul point avec lequel je ne suis pas d'accord avec eux concerne l'immigration à tout-va. Cela peut paraître pardoxal mais je reste résolument favorable à un contrôle plus strict de l'immigration. Je considère en effet qu'un pays doit préserver son identité culturelle en gardant une population relativement homogène.
En 2014, je suis retournée à Londres. Cela faisait bien 15 ans que je n'y étais pas allée. Je n'ai plus reconnu Londres tellement il y avait de résidents étrangers. Il était loin le temps où je croisais encore quelques vieux messieurs distingués arborant fièrement leur chapeau melon en s'appuyant sur leur canne.
J'en ai éprouvé un sentiment de nostalgie. J'ai pensé : Londres n'appartient plus aux Anglais.
Une culture, c'est l'héritage de nos ancêtres. C'est important de la préserver. Le melting pot à la sauce ketchup peut paraître exotique à certains mais je n'y vois qu'un immense gâchis. Et loin de moi d'être traversée par des sentiments racistes et xénophobes en disant cela.

9 octobre 2023

Véronique Faucheux

Dans ce conflit israélo-palestinien, les deux parties se renvoient la balle et se traitent mutuellement de fascistes. Le problème est toujours le même et se résume en une seule phrase : "la violence appelle la violence."
Tant que rien ne sera fait pour rechercher l'apaisement, en paroles comme en actes, que ce soit dans le camp arabe ou israélien, il n'y aura jamais de paix possible.
La paix, c'est un travail sérieux et de longue haleine. Ce n'est pas attendre en espérant que ça se calme. Cela se traduit par des actions concrètes et des engagements forts, signés et respectés par les 2 parties.
La paix, c'est la recherche d'un équilibre difficile à atteindre mais jamais impossible. Cela demande beaucoup d'efforts et surtout un grand respect.
La moindre erreur, la moindre parole blessante ou acte offensant, peut tout remettre en question.
Cela nous renvoie au conflit en Ukraine et au non-respect des accords de Minsk.
Tant que l'on traitera la paix avec autant d'inconséquence et de légèreté, tant que l'on entretiendra le statu quo dans un rapport de force permanent, il ne faudra pas s'attendre à autre chose que de la violence, des guerres et des drames. Tant que le sabotage des accords de paix persistera, des innocents, Palestiniens et Israéliens, continueront de payer le prix des erreurs répétées de leurs dirigeants, qui se comportent de manière totalement irresponsable.
Cependant, j'ai toujours pensé que la création de l'État d'Israël en 1948 était un risque à ne pas prendre. Il était évident que cela allait mal se passer.
Maintenant, il faut faire avec. Sans mettre de l'huile sur le feu comme le font régulièrement Benjamin Netanyahu, premier ministre israélien, et les dirigeants du Hamas, une organisation incontestablement terroriste.
Je condamne fermement l'attaque de civils israéliens innocents par le Hamas.
Mais on peut constater que s'armer jusqu'aux dents ne suffit pas pour protéger sa population. Dès lors, il devient urgent et nécessaire de redéfinir la politique israélienne et de rechercher une autre voie, plus diplomatique.

1 octobre 2023

Véronique Faucheux

C'est ça qu'ils appellent l'immigration sélective ? Garder les cassos et les criminels et renvoyer les migrants exemplaires chez eux ?
Arrivée du Sri Lanka il y a 4 ans, Shenaya, 18 ans, a appris le français et intégré une filière scientifique au lycée Magendie de Bordeaux. La jeune fille, qui rêve de devenir vétérinaire, a reçu début septembre une OQTF, une obligation de quitter le territoire français.
En 4 ans, Shenaya s'est fait de nombreux amis et a même obtenu la note de 15/20 à l'oral du bac de français. "Je suis tellement triste et en colère ! J'ai bien travaillé, j'ai appris la langue, je fais tout pour réussir ma vie ici" déplore la jeune femme.
Le courrier de la préfecture qui lui reproche "de ne pas s'être assez intégrée" lui ordonne de quitter le territoire sous 30 jours. Le sort de la lycéenne a ému : élèves, entourages, professeurs, mais aussi les organisations comme le Poing Levé et la Fidl, qui appellent à se mobiliser.
#JusticePourShenaya (via France3)

9 septembre 2023

L'endettement de la France

Véronique Faucheux

La France compte aujourd’hui parmi les six pays les plus endettés au sein de l’Union européenne. En mars 2023, sa dette publique a franchi la barre des 3000 milliards. Alors que les taux d’emprunt continuent à augmenter, des inquiétudes sur la capacité du pays à pouvoir encore longtemps « rouler » sa dette se soulèvent.

Selon les chiffres d’Eurostat, l’endettement des États membres qui composent l’Union européenne a connu un bond lors de la crise du Covid-19 en 2020 jusqu’à 2021, avant d’entamer une décrue à partir du deuxième trimestre de cette année-là. En revanche, à ce jour, six des Vingt-Sept détiennent encore une dette publique supérieure à 100% de leur PIB. En tête de peloton, on retrouve la Grèce avec un ratio atteignant 168,3%, devant l’Italie (143,5%), le Portugal (113,8%), l’Espagne (112,8%). En cinquième position vient la France, avec une dette qui représente 112,4% de son PIB, soit plus de 3000 milliards d’euros. Et enfin, la Belgique (107,4%).

Les mesures sanitaires ont creusé le trou de la dette

Ces chiffres inquiètent, puisqu’ils se situent bien au-dessus de la moyenne européenne d’endettement, qui s’établit au premier trimestre de 2023 en moyenne à 83,7% du PIB (contre 87,4% au premier trimestre 2022).

L’explosion de la dette publique s’explique en majeure partie par la tentative des gouvernements de juguler les conséquences économiques et sociales de leurs politiques sanitaires, notamment en matière de confinement. Aussi, en France, fin 2019, si la dette publique française représentait 97,4% du PIB, elle avait atteint, en 2022, 111,6% du PIB. En valeur numérique, de 2374 milliards d’euros en 2019, cet endettement est monté en 2022 à 2950 milliards d’euros, avant de franchir la barre symbolique des 3000 milliards d’euros en mars 2023.

Plus de la moitié de l'endettement sous Emmanuel Macron est imputable aux mesures de restrictions de libertés liées à la période Covid. En effet, sur le montant total d’endettement, 165 milliards correspondent aux aides versées par l’État pour les compenser (mesures d’urgence de relance, chômage partiel, allègements de charges, fonds de solidarité…). Et à cela, il faut ajouter une somme à peu près identique (155 milliards d’euros) correspondant aux pertes de recettes fiscales (cotisations sociales, TVA…). Hors crise sanitaire, Emmanuel Macron aura donc creusé le déficit public d’environ 300 milliards d’euros, s’inscrivant ainsi dans la continuité de son prédécesseur François Hollande, qui avait augmenté la dette de la France de 341 milliards d’euros durant sa présidence socialiste.

Des taux d’emprunt en hausse

Les trois années de « quoi qu’il en coûte » n’ont pas non plus été sans conséquences. Estimant que le contexte politique et social pourrait compliquer le renflouement du déficit et de la dette, et au regard des perspectives de croissance moins élevées qu’anticipé, l’agence de notation Fitch avait décidé fin avril de dégrader la note de crédit de la France à « AA- ». Une première depuis neuf ans. Les marchés financiers s’appuient sur cette note, croisée avec celles d’autres agences, pour définir les taux de leurs prêts aux États.

Alors que les taux avaient été négatifs en 2020 (-0,30%) et 2021 (-0,28%), la France avait emprunté en moyenne à 1,03% en 2022. Aujourd’hui, les taux d’emprunt ont dépassé les 3%, posant de nouveau la question de la nécessité de réduire la dépense publique alors que la charge de la dette risque de se faire sentir de plus en plus sur les comptes publics. Le roulement de la dette, c’est-à-dire le remboursement des emprunts arrivés à échéance par de nouveaux emprunts, devient de plus en plus difficile à poursuivre dès lors que les taux d’intérêt remontent, voire s’envolent, puisque les nouveaux emprunts coûtent plus chers que les anciens.

À cet égard, les agences de notation, organismes privés indépendants des États, jouent un rôle non négligeable. Jusqu’à 2011, l’Hexagone bénéficiait de la note maximum (AAA ou Aaa) dans toutes les agences, puis Fitch Ratings a fait passer la note française à AA+ en 2013, à AA en 2014 et enfin à AA- en 2023. Derrière cette rétrogradation, certains à l’instar de Yves Bourdillon, journaliste chez Les Echos, y ont vu la conséquence « de décennies d’irresponsabilité budgétaire ». Le dernier budget de l’État en équilibre remonte en effet à 1974, soit bientôt un demi-siècle de déficit ininterrompu.

4 septembre 2023

Véronique Faucheux

Immigration choisie...

Bien sûr, mais derrière ces belles paroles se cache énormément d'hypocrisie et de cynisme.
Drainer les diplômés africains chez nous, c'est à la fois se donner l'opportunité de les exploiter (on sait qu'ils seront beaucoup moins regardants sur les conditions de travail) et vider leur pays d'origine des forces vives et des compétences susceptibles de contribuer au développement de leur économie locale et donc d'accéder à leur indépendance.
La politique mondialiste, c'est la continuité de l'esclavage derrière des apparences d'humanité.
Le seul intérêt de l'Occident est d'exploiter les ressources de l'Afrique, matérielles et humaines. Il n'a aucun intérêt à ce que l'Afrique devienne indépendante.

24 août 2023

Véronique Faucheux


Oui, il faut protéger la nature, préserver l'environnement, privilégier la consommation locale et responsable, les produits sains, les circuits courts...
Pour cela, il faut relancer l'artisanat et la production locale, les filières traditionnelles comme le textile, la qualité des produits made in France !
C'est la démarche que j'accompagne en aidant les petites entreprises dans leur stratégie éditoriale.
Ce ne sont pas nos gouvernements qui soutiennent ces initiatives.
Au contraire !
Ils soutiennent les gros intérêts financiers, la mondialisation des échanges et les multinationales qui polluent, pillent les ressources naturelles et exploitent sans vergogne !
Après, ils vont culpabiliser le peuple, nous contrôler, nous serrer la ceinture soi-disant pour notre bien et celui de la planète.
Foutaises !
Pendant ce temps, les vrais pollueurs continuent avec la bénédiction des États, qui appliquent la politique mondialiste de l'UE.

5 août 2023

Véronique Faucheux

Le diable aussi est représenté en rouge...
Et si l'enfer existe, ces gens connaîtront la caresse cuisante des flammes.
Ce sera bien pire que la "canicule".

30 juillet 2023

« Destitution » !

Véronique Faucheux

« Destitution » ! Voilà la banderole que traîne, derrière son petit avion, David Van Hemelryck. Ce message s’adresse à Emmanuel Macron. Ce pilote aujourd’hui âgé de 43 ans s’était fait connaître en novembre 2014 avec une banderole « Hollande démission ». Il faisait le tour de France et survolait les plages. Dans un entretien de près de vingt minutes, David Van Hemelryck parle de sa nouvelle opération de sensibilisation des Français qu’il a lancée il y a six jours. Au micro d’Armel Joubert des Ouches, journaliste au magazine Nexus, il raconte en exclusivité « les années Covid » que le monde vient de traverser, le « flicage des citoyens » et son tour de France des airs qu’il vient de démarrer.


26 février 2023

Face aux crises : fixer le cap et reconstruire. Todd - Guaino - Berruyer

Véronique Faucheux

Une analyse très intéressante des causes profondes et des conséquences prévisibles de la guerre en Ukraine, qui oppose en réalité la Russie aux Etats-Unis.
Emmanuel Todd et Henri Guaino partagent les mêmes inquiétudes quant au risque d'escalade dans un contexte de Troisième Guerre mondiale avec l'utilisation d'armes nucléaires tactiques. Car la guerre conduit toujours à la montée des passions de part et d'autre, à la surenchère et à la folie humaine.
Les deux intervenants sont très critiques envers les dirigeants occidentaux, dénonçant leur manque de lucidité, d'anticipation et de compréhension de la Russie, leur « déficit cognitif ». Emmanuel Todd s'adresse à Henri Guaino en ces termes : « Les gens qui nous gouvernent, est-ce qu'ils sont au niveau ? Est-ce qu'ils ne sont pas juste complètement cons ? » Henri Guaino rit et répond : « Mais tu sais, le seul fait que l'on puisse se poser sérieusement cette question est déjà un diagnostic suffisamment grave. » Et de conclure : « C'est ce qui est le plus inquiétant. » Personne ne veut tenir compte de l'histoire, personne n'en tire aucune leçon. Personne ne tire aucune leçon de la géographie (pour rappel, la Russie se situe à la fois en Europe continentale et en Asie, donc entre deux cultures), personne ne tire aucune leçon de l'anthropologie, de la sociologie, de la psycho-sociologie, de tout ce qu'on peut savoir sur les peuples, les sociétés... Personne ne tire aucune leçon de ce que nous savons sur l'économie du monde (notre vision est brouillée par des décennies d'endoctrinement libéral à la sauce américaine...
Henri Guaino considère à juste titre qu'un vrai chef d'État est celui qui est capable de résister à la pression psychologique (Macron n'en a pas la carrure).
Mon avis :
Il faudrait déjà que nos dirigeants occidentaux, dont Macron, cessent de faire ami-ami avec Zelensky. Cette absence de distance relationnelle est un obstacle majeur à la prise de décision réfléchie. Car elle enferme les dirigeants dans un piège émotionnel avec toute la pression psychologique qui s'exerce dans un tel contexte. Les dirigeants ne sont pas des potes qui se donnent de grandes tapes dans le dos et se font des câlins. Tout ça n'est pas sérieux et nous décrédibilise totalement aux yeux de Poutine qui, en l'occurrence, se comporte en vrai chef d'État.

À écouter jusqu'au bout.
Durée : 1:35:49



12 décembre 2022

Véronique Faucheux

Négation de l'identité nationale
Négation de l'identité culturelle
Négation de l'identité sexuelle
Transhumanisme
Matérialisme
Scientisme
Homme-machine
Homme-cobaye
Homme-objet
Déshumanisation
Au profit de la mondialisation


2 décembre 2022

L'exigence des médecins d'un tarif à 50 € pour toute consultation est irrecevable

Véronique Faucheux

Pourquoi ?
Parce que cela aurait pour effet d'engorger encore plus les services d'urgence hospitaliers entraînant des surcoûts faramineux pour la Sécurité sociale sans améliorer l'efficacité des soins.
Dans ce cas, pourquoi ne pas adapter les tarifs en fonction des besoins des patients ?
Personne n'accepterait de payer 50 euros pour un mal de gorge.
Il n'est pas question pour autant de désavantager les patients ayant des problèmes de santé plus graves en leur demandant un sacrifice financier plus important.
Il serait normal dans ce cas d'appliquer le tiers payant pour les patients à 100% comme les personnes âgées et les patients souffrant d'une pathologie grave tout en rehaussant les honoraires du médecin pour que ces honoraires reflètent davantage le degré d'expertise requis.
Enfin, concernant le rôle du médecin, celui-ci doit être aussi conseil dans sa relation au patient en l'éduquant à l'amélioration de son état de santé : habitudes alimentaires, pratique sportive adaptée, etc.

7 novembre 2022

Véronique Faucheux

La secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté, Sonia Backès, annonce que le gouvernement va organiser des "assises des dérives sectaires et du complotisme"

Le gouvernement se fiche complètement des sectes. Ses vraies cibles sont les "complotistes". La manœuvre consistant à associer les deux est une nouvelle malhonnêteté.
La secrétaire d'État s'interroge : "Qu'est-ce qu'on fait quand on voit son voisin, son collègue de travail touché par ça (secte ou complotisme) ? À qui on le signale ?..."
Elle ne s'en cache même pas, il faut faire taire les "complotistes", c'est-à-dire tous ceux qui s'inquiètent des mesures prises, sans leur consentement, aux niveaux national, européen et mondial.
Censure, délit d'opinion, chasse aux sorcières... Une dictature s'installe avec son cortège d'arrogance, de mépris, de violence. Pourquoi nos dirigeants cacheraient-ils leur projet liberticide puisque, lors du seul moment démocratique qu'il nous reste, nous les reconduisons à leur poste ?
Alors, les castors, heureux d'avoir échappé aux Heures Sombres ?

Vidéo : cliquer sur l'image

23 octobre 2022

Véronique Faucheux

Dans l'affaire Lola, au-delà du caractère atroce du crime, ce qui m'a profondément choquée et a choqué beaucoup de Français, ce sont les propos abjects de Dupond-Moretti qui n'a pas trouvé autre chose pour condamner ce qu'il appelle l'instrumentalisation politique par l'extrême-droite, que de faire un plaidoyer en faveur de la criminelle, rappelant qu'elle était connue des forces de police uniquement parce qu'elle avait été victime de violences conjugales et appelant à l'indulgence. Ça a mis le feu aux poudres tellement c'était honteux de parler en ces termes. Comme si des violences conjugales pouvaient expliquer ou pire, excuser, des actes aussi atroces. Dans l'imaginaire collectif, les gens se sont dit : "cette meurtrière va s'en tirer, d'où le hashtag Justice pour Lola." C'est une réaction tout à fait normale et cela montre un autre problème : la méfiance de plus en plus grande (et parfaitement légitime) de la population dans ce gouvernement abject.

22 octobre 2022

Véronique Faucheux

Après avoir dénoncé le silence des islamo-gauchistes suite au meurtre de la petite Lola et leur accusation de récupération politique quand eux ne se gênent pas pour faire des campagnes médiatiques après des affaires comme Traoré Adama, j'ai lancé une diatribe contre la NUPES et je me suis adressée sur Messenger à Mathilde Panot en ces termes (ça m'a soulagée de le faire ) :

"Votre complaisance coupable accentue le racisme et la division.
Il faut avoir le courage de se confronter au réel. Vous défendez une idéologie avec des valeurs, certes. Mais le problème est que vous faites du lissage en permanence pour dissimuler tout ce qui dépasse et dérange votre idéologie.
Ce faisant, vous trahissez tout le monde, y compris vos valeurs...
Vous êtes empêtrés dans vos propres contradictions. Comme pour le voile, traitant de fascistes ses opposants ici et d'amazones de la liberté les jeunes Iraniennes qui s'en débarrassent car pour elle, c'est un symbole d'oppression des femmes. Mais ça ne semble pas vous perturber outre mesure et vous continuez sur votre lancée.
Vous allez peut-être me rétorquer que les valeurs défendues là-bas ne peuvent être ramenées aux valeurs défendues ici car le contexte n'est pas le même. Alors que faites-vous du principe d'universalité ?
Enfin, comment qualifier autrement votre attitude que de malhonnêteté intellectuelle ou de politique politicienne ? Car c'est précisément ce que c'est."

19 octobre 2022

Véronique Faucheux

J'adore sa philosophie et je la partage complètement sur la vie de couple et la dédramatisation de la séparation quand il n'y a plus d'amour. On peut se séparer et rester en bons termes et comme il dit : « La possessivité, ce n'est pas de l'amour car personne n'appartient à personne. » Par contre, je trouve qu'il manque de courage par rapport au reste et il ménage la chèvre et le choux. C'est quand même une constante dans cette société, surtout chez les bourgeois et dans le milieu du show-biz, de veiller tellement au "politiquement correct" qu'on en arrive à ne plus rien trancher. On reste dans un entre-deux de la pensée, une espèce de flottement intellectuel sans avoir le courage de prendre position. Bref, c'est ce qu'on appelle "avoir le cul entre 2 chaises". Comme si on voulait faire ami-ami avec tout le monde (ce qui est impossible).

https://www.facebook.com/166784776680731/videos/480748850779634


Patrick SEBASTIEN balance sur le COVID, Johnny et les faux culs de la télé

15 octobre 2022

Véronique Faucheux

J'aimerais vous soumettre une idée et j'ai besoin de vos conseils.

Il y a peu, j'ai créé 2 affiches.
Je pensais d'abord en coller à Amiens mais c'est trop limité pour un coût d'impression élevé.
Puis j'ai eu une autre idée : pourquoi ne pas créer un blog participatif comportant des articles rédigés par des rédacteurs volontaires sur l'actualité politique, économique et sociale et dénonçant les atteintes à la liberté d'expression et la manipulation de l'opinion ?
Objectif du blog : souligner la désinformation et les moyens de manipulation utilisés par les médias officiels et le pouvoir.
J'aimerais également faire de ce blog un lieu de partage d'informations avec des liens d'articles, ressources audio, vidéos à consulter et des recommandations de livres avec des fiches de synthèse... Bref, une médiathèque en ligne.
Sur ce site, il y aurait ces 2 affiches à télécharger. Elles pourraient être utilisées par des associations et des collectifs résistants. Par la suite, d'autres affiches pourraient s'ajouter et tout le monde serait invité à participer à leur conception.
Qu'en pensez-vous ?


7 septembre 2022

Véronique Faucheux

Objectif de nos dirigeants et de l'UE : créer des États totalitaires qui seront les bras tentaculaires d'un autre monstre tout-puissant : les États-Unis. C'est ça la réalité du Nouvel Ordre Mondial.
Pour ça, il faut détruire les économies nationales.
C'est la vraie raison de la guerre en Ukraine. Poutine est l'homme à abattre car il veut empêcher ça. Il défend une vision multipolaire contre le monde unipolaire sous gouvernance américaine qu'on veut nous imposer.
Ils sont en train d'organiser l'effondrement économique de l'Europe. Pour le bénéfice des Américains. Trump était 10000 fois moins dangereux que Biden. Il privilégiait une politique protectionniste pour redresser la barre face à l'agressivité commerciale de la Chine. L'administration Biden, elle, privilégie une politique expansionniste au détriment de l'Europe avec la complicité de nos dirigeants. Les milliardaires américains rachètent tout. Gates, par exemple, est en train d'acheter des terres immenses aux gouverneurs des États. Autant dire qu'il achète les États. On les a tellement laissé s'enrichir sans aucun contrôle (la fameuse doctrine libérale du "Laisser faire-Laisser passer") qu'ils sont devenus totalement mégalomanes.
Nos retraites seront gérées par les fonds de pension américains. Tout leur appartiendra. Notre patrimoine, nos cultures comme le champagne.
Il ne faut pas oublier que von der Leyen a vendu nos données aux Américains. Le certificat numérique Covid a été créé pour ça.
On se fait racketter avec la complicité de nos dirigeants.
Poutine n'acceptera jamais que les États-Unis prennent possession de l'Europe. La guerre mondiale dès lors est inévitable si nous les laissons faire.
L'heure est grave. Le Royaume-Uni est évidemment à fond du côté des Américains. Ils espèrent sans doute se partager le gâteau car ils ont la nostalgie du temps où ils étaient la première puissance économique du monde. Liz Truss vient d'être nommée PM en remplacement de Boris Johnson. Elle est encore plus fanatique que lui jusqu'à menacer d'utiliser l'arme nucléaire contre la Russie s'il le faut.
Hélas, je crois que bien des Français se sont tellement habitués à la déculturation depuis des décennies qu'ils ne défendront même pas nos valeurs ou du moins ce qu'il en reste et accepteront sans broncher la captation de nos richesses par les Américains.