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9 septembre 2025

Gastel Etzwane

-9/9/2025- De Berlin à New York, tout le monde a compris : le problème de la France, ce n’est ni Moscou, ni Bruxelles, ni encore moins « le peuple ingouvernable », c’est Macron. Der Spiegel (Allemagne) le dit sans détour : il est « carbonisé », prisonnier de son propre narcissisme, incapable de gouverner autrement qu’en usant d’un charisme devenu toxique. Le vernis s’est craquelé, ne reste que l’orgueil d’un homme isolé.
Aux États-Unis, le constat est très net. Le New Yorker explique que Macron a « plongé la France dans le chaos » par ses choix hasardeux, au premier rang desquels la dissolution de l’Assemblée. Quant au New York Times et au Washington Post, ils pointent sa responsabilité directe dans la montée du Rassemblement national, conséquence de son entêtement et de son incapacité à composer. Outre-Manche, The Times et The Daily Telegraph parlent d’une humiliation pour la présidence française, réduite à l’impuissance.
En Belgique, Le Soir dénonce un président qui a offert un boulevard à l’extrême droite ; en Suisse, Le Temps s’inquiète de la dérive des valeurs républicaines. Bref, partout la sentence est claire : Macron est l’obstacle, Macron est la crise. Mais en France, silence radio : les médias tenus par les milliardaires s’interdisent d’en parler, et les soi-disant indépendants se réfugient dans la lâcheté. Le monde entier voit ce que notre presse refuse d’admettre : aujourd’hui, le problème de la France s’appelle Emmanuel Macron.
Et ce soir encore, il prendra la parole pour s’adresser aux Français. Mais qu’a-t-il à leur dire, sinon qu’ils sont des crétins, et que tout est de leur faute ? Car dans la tête d’un pervers narcissique, c’est toujours la faute des autres.
Plutôt que de vous infliger la photo qui donne des haut-le-cœur à tout le monde, celle du président français, je préfère vous montrer ce qu’il déteste par-dessus tout : la France profonde.

31 août 2025

Gastel Etzwane

-31/8/2025- Voilà, nous y sommes. Une simple “panne” et tout le monde est paralysé : impossible de payer, impossible de retirer, impossible même de prouver que vous avez de l’argent sur votre compte. Ce n’est qu’une mise en bouche, un prélude dérisoire par rapport à ce qui se prépare. Aujourd’hui, on vous dit que c’est un problème informatique, demain, ce sera la faute des Russes, de la Chine ou de n’importe quel épouvantail utile. Mais le jour où il n’y aura plus que la monnaie numérique, vous serez prisonniers à vie. Car là, plus besoin de pannes, plus besoin de prétextes : un simple clic suffira pour bloquer vos comptes, geler vos économies. Ce sera la fin de la liberté individuelle, et le triomphe de la servitude moderne.
Et ne vous faites aucune illusion : ce n’est pas une hypothèse, c’est le projet. Derrière les discours de “sécurité”, de “modernité” et de “transition numérique”, il y a le rêve absolu des banques et des États : vous tenir à la gorge, contrôler chaque dépense, chaque transfert, chaque centime. Aujourd’hui, vous râlez devant votre TPE qui refuse le paiement ; demain, vous n’aurez même plus le droit de râler. On vous dira : “Circulez, vous n’existez plus économiquement.”
Voilà pourquoi cette panne n’est pas un incident, mais un avertissement. Le futur qu’ils nous préparent, c’est celui où votre argent ne vous appartiendra plus. Il sera à la merci des algorithmes, des gouvernants, des banquiers, des caprices politiques ou idéologiques du moment. Et si vous n’êtes pas sages, si vous pensez mal, si vous votez mal, vous découvrirez qu’un simple bouton suffit à vous réduire au silence.

Gastel Etzwane
31/8/2025

Montée de la contestation en Grande-Bretagne contre l’accueil massif des demandeurs d’asile

Des manifestations régulières se tiennent devant les hôtels réquisitionnés par l’État, où plus de 30 000 migrants sont logés, répartis dans environ 200 établissements. La nuit, des militants hissent le drapeau britannique devant ces lieux comme acte de défi.
Cette colère, qui s’exprime dans les banlieues comme dans les provinces, est nourrie par un sentiment d’injustice : alors que la population britannique subit la crise économique et des services publics saturés, les demandeurs d’asile bénéficient de chambres d’hôtel et de prestations coûteuses. Les slogans "Protégeons nos enfants" ou "Ce n’est pas leur maison" traduisent un rejet profond. Des figures politiques et médiatiques, en Grande-Bretagne comme à l’étranger, relaient ce discours et amplifient la contestation.
On peut comprendre la colère des Britanniques. L’État dépense chaque jour des millions de livres pour loger des migrants dans des hôtels, couvrant hébergement, repas et sécurité. Ce coût exorbitant, supporté par le contribuable, choque d’autant plus que le citoyen britannique moyen voit son niveau de vie se dégrader : inflation, prix de l’énergie en hausse, logement hors de prix. L’Anglais de la classe moyenne se serre la ceinture, pendant que ses impôts financent des chambres d’hôtel pour des étrangers arrivés sans titre.
La France connaît une situation très proche. Elle consacre déjà plusieurs milliards d’euros par an à la prise en charge des demandeurs d’asile et des migrants (hébergements d’urgence, allocations, soins). Comme au Royaume-Uni, les hôtels sont régulièrement réquisitionnés pour les loger. Pendant ce temps, le Français moyen subit la baisse du pouvoir d’achat, la raréfaction des logements sociaux et la dégradation des services publics.
La Grande-Bretagne illustre ce qui attend la France : un pays déjà profondément transformé, où la population autochtone se sent dépossédée, tandis que les pouvoirs publics persistent à financer massivement l’accueil des migrants. La passivité française étonne, car les symptômes sont identiques : coût insupportable pour les finances publiques, déséquilibre démographique, sacrifices imposés aux classes moyennes.
En somme, la colère britannique est une réaction à la fois économique et identitaire. Et l’on peut se demander combien de temps la France restera encore spectatrice, alors qu’elle suit la même trajectoire.

19 août 2025

Gastel Etzwane
18/8/2025

Ma réaction à la déclaration délirante de Macron selon laquelle « la guerre est revenue sur le territoire » :
 
1. Une dramatisation délirante et dangereuse
Affirmer que « la guerre est revenue sur le territoire » est une phrase totalement disproportionnée et mensongère. La France n’est pas en guerre, et aucune armée étrangère n’a franchi ses frontières. Une telle exagération ne relève plus de la lucidité mais d’un discours de panique entretenue pour justifier toujours plus de restrictions, de militarisation et de contrôle.

2. Un isolement pathologique
Alors que les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine, Turquie, Inde – multiplient les canaux de négociation et cherchent à stabiliser la situation en Ukraine, Macron choisit l’escalade verbale. Là où d’autres parlent d’accords de paix, lui ne parle que d’armement, de mobilisation, de guerre. C’est le signe d’une rupture avec la réalité géopolitique et diplomatique, et d’une dérive obsessionnelle.

3. Un bilan national désastreux
Depuis plus de sept ans, il a démontré sa capacité à abîmer la France :
• fracture sociale (Gilets jaunes, réformes imposées au mépris du peuple),
• gestion calamiteuse de la pandémie,
• destruction du pouvoir d’achat,
• soumission aux intérêts extérieurs au détriment de la souveraineté nationale.
Et aujourd’hui, il voudrait ajouter la psychose guerrière à la longue liste de ses méfaits.

4. Un président haï comme aucun autre
Rarement un chef d’État français aura été autant rejeté par son peuple, mais aussi méprisé à l’étranger. Il n’inspire ni respect, ni confiance, ni admiration. Partout, il est perçu comme un pantin arrogant, coupé des réalités, dont l’image ne cesse de ternir la place de la France dans le monde.

5. Un danger pour la nation
Quand un dirigeant perd tout sens de la mesure, qu’il entretient le climat de peur et se prend pour un chef de guerre sans avoir ni l’assise militaire, ni la légitimité populaire, il devient un danger pour son propre pays. Sa volonté de projeter la France dans des logiques guerrières alors qu’aucune menace directe ne la frappe montre une dérive psychologique préoccupante.
Emmanuel Macron n’est pas seulement un président impopulaire : il est devenu le symbole d’un dérèglement politique et mental inquiétant. Un homme qui fabrique des guerres imaginaires, qui instrumentalise la peur et qui s’accroche au pouvoir malgré son rejet massif. À ce titre, il est sans doute le dirigeant le plus nuisible qu’ait connu la France moderne, et il est urgent que cette spirale cesse avant qu’il n’entraîne la nation entière dans son délire.

27 juillet 2025

Gastel Etzwane

-27/7/2025- Cette fois, le vent tourne franchement contre Volodymyr Zelensky. En démantelant les deux agences indépendantes de lutte contre la corruption, NABU et SAP, en les plaçant sous le contrôle direct du procureur général, le président ukrainien vient de franchir une ligne rouge, dénoncée à la fois par l’Union européenne, les États-Unis et la société civile ukrainienne. Même les diplomates les plus prudents n’en peuvent plus de ce qu’ils qualifient désormais, non sans raison, de dérive autoritaire masquée sous les oripeaux de la guerre.
La manœuvre est limpide : neutraliser les institutions qui s’approchaient dangereusement des cercles du pouvoir, protéger les siens, verrouiller ce qu’il reste de contre-pouvoirs, et faire passer tout cela pour une opération de “défense nationale”. La ficelle est grosse, d’autant que 18 députés ayant voté cette loi sont eux-mêmes visés par des enquêtes. Le cynisme n’a plus besoin de se cacher.
Pendant ce temps, la jeunesse ukrainienne continue de mourir, sacrifiée sur l’autel d’un conflit que Zelensky ne cherche manifestement plus à gagner, mais simplement à prolonger. Car c’est bien cela qui transparaît : le maintien de la guerre est devenu un instrument de pouvoir. En refusant toute négociation, en poursuivant des objectifs militaires irréalistes, le président ukrainien préserve surtout les milliards venus de l’Occident, qu’il redistribue à son clan. Une guerre éternelle pour une rente éternelle.
Il est donc temps de nommer les choses : soit Zelensky s’en va, soit il devra rendre des comptes. Pour la corruption endémique de son entourage. Pour l’écrasement des institutions démocratiques. Et pour avoir mené une guerre dont il ne veut surtout pas qu’elle s’arrête, non par stratégie, mais pour que le flot d’argent continue de couler. La fin, cette fois, semble avoir commencé.

26 juillet 2025

Gastel Etzwane

-25/7/2025- La nomination de Najat Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes ? Oui, bien sûr, chacun en a entendu parler. L’entrée par le « tour extérieur », la proximité avec Pierre Moscovici, l’absence de concours : autant de points abondamment commentés, et qui n’étonnent plus grand monde. Après tout, la République sait récompenser ceux qui l’ont servie, ou fréquentée.
Mais le plus instructif réside sans doute dans les détails un peu moins visibles de cette installation feutrée. Mme Vallaud-Belkacem conserve son mandat de conseillère régionale en Auvergne-Rhône-Alpes. Elle reste aussi présidente de France Terre d’Asile, une association régulièrement contrôlée par la Cour qu’elle rejoint. Autrement dit, elle siégera dans une institution dont elle devra se déporter à répétition, pour ne pas juger ce qu’elle dirige ou influence encore.
À cela s’ajoute une rémunération comprise entre 80 000 et 110 000 euros par an, garantie jusqu’à l’âge de 67 ou 68 ans, sans condition de productivité, ni évaluation, ni renouvellement. Une nomination sans concours, une carrière garantie, et un poste de contrôle… sur les autres, surtout.
Ainsi va le service de l’État : quelques-uns le servent, d’autres s’en servent, et parfois les deux, mais rarement dans le même ordre.

19 juillet 2025

Gastel Etzwane

-19/7/2025- Dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles le 16 juillet 2025, l’économiste Marc Touati formule une critique sévère des pistes budgétaires envisagées par François Bayrou pour 2026, estimant qu’elles sont à la fois inefficaces, inadaptées et contre-productives. Selon lui, l’idée d’un budget fondé sur de simples mesures d’ajustement conjoncturel, comme la désindexation temporaire des prestations (« année blanche »), n’est qu’un expédient sans portée structurelle, incapable de réformer en profondeur des finances publiques en dérive depuis plusieurs décennies. Touati préconise une « thérapie de choc bienveillante » reposant sur une baisse massive des impôts (qui créerait un manque à gagner de 50 milliards d’euros) compensée par la croissance et la suppression de nombreuses niches fiscales, permettant à elle seule de récupérer environ 30 milliards d’euros. Il juge impératif de réduire de 50 milliards d’euros les dépenses de fonctionnement de l’État, qui représentent désormais plus de 32 % des dépenses publiques, et s’élèvent à 539 milliards d’euros par an. Il appelle également à une lutte ferme contre la fraude fiscale (30 à 50 milliards) et sociale (20 à 40 milliards), ainsi qu’à une rationalisation des ODAC, ces organismes publics coûteux et peu transparents. À ses yeux, continuer dans la voie actuelle – consistant à repousser les réformes de fond et à alourdir sans cesse les prélèvements – reviendrait à précipiter le pays dans une impasse financière et sociale. Il souligne que la charge d’intérêts de la dette atteindra 70 milliards d’euros en 2025, et avoisinera les 1000 milliards cumulés d’ici 2030. Dans ce contexte, il rappelle qu’une mesure comme la suppression de deux jours fériés, pourtant envisagée par certains membres du gouvernement, ne rapporterait qu’environ 2 milliards d’euros dans le meilleur des cas, une goutte d’eau comparée au coût des seuls intérêts versés chaque année à nos créanciers. Il ajoute enfin que ni le gouvernement ni les institutions publiques ne fournissent la moindre transparence sur l’identité réelle de ces créanciers étrangers, dont les intérêts sont ainsi priorisés au détriment des sacrifices demandés aux Français.
Gastel Etzwane
18/7/2025

Depuis 2020, nous vivons dans une spirale ininterrompue : de peur en peur, de crise en crise, de division en division.
Tout est devenu motif d’alerte, d’urgence, d’exception.
On nous a confinés, isolés, dressés les uns contre les autres.
Puis sont venus les conflits, les pénuries, les plans d’austérité, les discours martiaux, les ennemis à nos portes.
Et pendant ce temps, ce que nous perdons en silence n’émeut plus personne.

La souveraineté, d’abord.
Notre capacité à décider pour nous-mêmes, à produire ce dont nous avons besoin, à définir nos priorités.
Elle s’est effacée sous les traités, les injonctions financières, les dépendances stratégiques.
Nous ne savons plus faire une voiture, ni construire une usine, ni assurer notre autonomie énergétique.
On nous parle de redressement, mais on ferme les dernières usines.
On nous parle de rigueur, mais on étouffe les familles.

Le lien à la nature, lui aussi, a été abîmé.
Nos grands-parents la connaissaient avec simplicité : elle nourrissait, elle enseignait, elle apaisait.
Aujourd’hui, elle n’est plus qu’un terrain de culpabilisation ou de spéculation.
On ne marche plus en forêt, on suit un graphique.
Le vivant a disparu derrière des normes.

Et ce n’est pas tout.
Le lien aux autres se délite.
On nous apprend à nous méfier, à dénoncer, à rester à distance.
Les jeunes n’ont plus de repères. L’instruction s’effondre.
On leur parle d’ouverture, mais on leur refuse les fondations, les racines, les exigences qui donnent du sens.

Et par-dessus tout, on nous interdit d’aimer ce pays.
Parler de la France, de son histoire, de ses paysages, de ses églises,
c’est devenu suspect. Rétrograde. Réactionnaire.
Prier dans un monastère, vouloir la paix, désirer l’unité : tout cela est jugé naïf, ou dangereux.

Alors que reste-t-il ?
Un pays épuisé, disloqué, inquiet, à qui l’on demande toujours plus, sans jamais lui redonner ce qu’il a perdu : la maîtrise, la beauté, la confiance.

Et si l’effort est à faire, et il le sera,
qu’il porte au moins sur la reconquête de ce qui nous a été retiré sans bruit :
le droit d’aimer, le droit de comprendre, le droit d’habiter pleinement cette terre.

16 juillet 2025

Gastel Etzwane

-15/7/2025- Ah, merci Emmanuel, on a enfin la confirmation officielle : vous ne décidez de rien. Il faut que la Commission européenne, institution non élue, vous donne la permission pour savoir ce qu’on peut faire chez nous. Une vraie souveraineté de carton-pâte, à l’image de votre présidence : soumise, déconnectée, décorative.
Et bien sûr, on retrouve vos lubies favorites : censurer, surveiller, contrôler. Sous prétexte de « protéger les enfants », vous préparez le terrain pour réduire encore un peu plus la liberté d’expression, et surtout la liberté d’informer. Car derrière le vernis protecteur, c’est toujours la même obsession autoritaire qui transparaît : filtrer ce que les citoyens peuvent voir, dire ou penser.

13 juillet 2025

Gastel Etzwane

-9/7/2025- Urgences fermées la nuit ? Pas grave. On soigne l’Ukraine, on arme le monde, on gave les industriels de la défense. Les Français ? Qu’ils appellent le 15… s’ils tiennent jusque-là. “En même temps”, on ne peut pas tout faire : soigner ici ou dépenser ailleurs. Le choix est fait.

9 juillet 2025

Gastel Etzwane

-9/7/2025- Le gouvernement a décidé de confier à une coalition d’associations la mission de signaler en priorité les contenus jugés « haineux » sur les réseaux sociaux. Cette initiative sera financée par les impôts des Français, sans qu’on leur ait jamais demandé leur avis.
Seront ainsi rémunérés : le CRIF, la Licra, SOS Racisme, SOS Homophobie, le Planning familial, la Fédération des centres LGBTI+, Flag!, Respect Zone, Osez le féminisme, M’endors pas, le Mouvement du Nid et Addam.
Officiellement, il s’agit de lutter contre les propos antisémites, racistes, anti-musulmans, homophobes ou misogynes. Mais en réalité, ces structures, très engagées idéologiquement, auront surtout le pouvoir d’imposer leur propre vision du monde et de faire taire tout ce qui ne s’y conforme pas.
Car on le sait déjà : certaines idées, certains mots, certains discours seront visés… et d’autres, tolérés voire promus, tant qu’ils vont dans le sens d’une déconstruction sociale, identitaire ou historique.
Ce que ces associations vont défendre n’est pas neutre, et ne représente qu’une minorité très militante. C’est donc une censure sélective qui se prépare, habillée du masque de la vertu. Le pouvoir ne combat pas la haine : il combat ce que pensent beaucoup de Français.

23 mai 2025

Gastel Etzwane

-21/5/2025- Sur ce sujet comme d’autres, la vérité éclate au grand jour, toujours trop tard. Nous étions nombreux à savoir dès 2019, dès sa candidature, que cet homme corrompu était incapable d’assurer la moindre fonction officielle. Et pourtant, pendant quatre ans, les médias nous ont assuré que tout cela était faux, même le pathétique François Hollande a déclaré que c’était le plus grand président des États-Unis depuis très longtemps.
L’article et les livres qui en parlent aujourd’hui ne vont pas assez loin, en affirmant que ce qui a motivé l’élection et le maintien d’un vieillard sénile était la peur d’un second mandat de Trump.
En réalité, c’était surtout la volonté de Obama, de Hillary Clinton et du Deep State de conserver le pouvoir au moyen d’une vieille marionnette pathétique.
On doit d’ailleurs aller plus loin, et constater que remplacer le vieillard malade par une incompétente notoire participait de la même stratégie.
On peut enfin ajouter que l’arbre de la maladie mentale de Biden cache la forêt de la corruption de sa famille et particulièrement de son fils. En Ukraine et en Chine.

29 janvier 2025

Gastel Etzwane

- 28/1/2025 - La grosse dinde se dit favorable à l’envoi de troupes de pays membres de l’Union européenne pour défendre le Groenland contre les méchants Américains. Décidément, nous n’avons plus que des ennemis, nous devons nous défendre contre les Russes, mais aussi contre les Américains. Cette dinde ne sait pas que par référendum en 1985, le Groenland a décidé de ne pas entrer dans l’Union européenne. Mais ce n’est qu’un détail face à la stupidité de cette proposition. Proposition qui a été relayée par le crâne d’œuf qui nous sert de ministre des affaires étrangères en France.

28 janvier 2025

Gastel Etzwane

- 28/1/2025 - J’ai lu que Jordan Bardella a déclaré être inspiré par la démarche de Donald Trump aux États-Unis. C’est une sorte de revirement, puisque jusqu’à la victoire de l’Américain, le Rassemblement national s’était montré réservé à son égard.
Quoi qu’il en soit, dans cet article, Bardella évoque comme point de comparaison possible la politique d’immigration de Donald Trump. Il oublie cependant à quel point la démarche de Trump est éloignée de la sienne.
D’abord Donald Trump n’a jamais pratiqué la dédiabolisation, bien au contraire, il a toujours affirmé ses positions de la façon la plus radicale et directe possible.
Il n’a jamais cherché à s’attirer la sympathie des médias dominants, mais les a soit ignorés, soit frontalement attaqués. Alors que j’ai encore en tête l’attitude de serpillière de Bardella lorsqu’il est allé chez Léa Salamé. Entre autres.
Donald Trump ne recherche jamais le politiquement correct, il affirme ses positions, conformément à ce qu’il a promis aux électeurs.
Donald Trump a bâti sa campagne sur la souveraineté restaurée des États-Unis et il a immédiatement pris des décisions en ce sens. Faut-il rappeler la position du rassemblement national, qui ne veut plus quitter aucune institution européenne, ou otanienne et donc qui ne veut pas véritablement d’un pays souverain.
Mais surtout, ce qui constitue peut-être l’obstacle le plus dirimant à une victoire de Jordan Bardella, c’est qu’il est coincé, gentillet, et que je l’imagine mal danser en public. Et pourtant, voilà le secret de la victoire de Donald Trump, du président argentin et d’Elon Musk.

5 janvier 2025

Gastel Etzwane

- 5/1/2025 - Les chaînes de télévision publiques allemandes ARD et ZDF ont décidé de ne pas inviter Alice Weidel, leader du parti Alternative pour l'Allemagne, au principal débat télévisé du 9 février, en vue des élections du 23 février.
L'AfD est le deuxième parti le plus important selon la plupart des sondages d'opinion et devance le SPD de Scholz, qui est en troisième position.
Les Allemands paient pourtant une taxe sur la télévision publique.
Désormais, les électeurs de l’AfD, qui représentent jusqu'à 25 % de l'ensemble des électeurs, ne verront pas le chef du parti dans un débat financé par leurs propres deniers.
Aucun doute, la démocratie allemande fonctionne aussi bien que la démocratie française.

26 décembre 2024

L’histoire des élections annulées en Roumanie est encore plus sinistre qu’on ne le pensait

Gastel Etzwane

- 23/12/2024 - Un nouveau rapport du média d'investigation snoop.ro (snoop.ro/anaf-a-descope…) révèle que la campagne TikTok qui a été citée dans les documents de renseignement roumains déclassifiés comme preuve d'ingérence étrangère – et utilisée comme motif pour annuler l'élection présidentielle – a en fait été payée par le Parti national libéral (PNL) au pouvoir, le parti même qui a soutenu l'annulation des élections !
Selon l'enquête, la campagne intitulée « #EchilibrușiVerticalitate » qui, selon les services de renseignement, était « identique aux opérations russes en Ukraine » a été organisée par une agence de marketing appelée Kensington Communication, embauchée par le PNL (le parti au pouvoir), qui a payé à Kensington plus d'un million de RON (environ 210 000 dollars). Kensington a ensuite utilisé une plateforme appelée FameUp pour coordonner 130 influenceurs avec des scripts et des directives de messagerie spécifiques.
Cela jette un éclairage nouveau sur les documents de renseignement déclassifiés. Ce qu'ils présentaient comme preuve d'ingérence étrangère était en fait une campagne financée par le parti au pouvoir. Ce même parti qui avait alors soutenu l'utilisation de ces allégations d'« ingérence étrangère » pour annuler une élection qu'il était en train de perdre.
Plus bizarre encore, face aux journalistes, Kensington Communication a d'abord nié avoir utilisé le hashtag mais a ensuite admis avoir créé la campagne pour PNL, affirmant qu'elle devait s'appeler "#echilibrusiseriozitate" et qu'elle avait été changée en "#echilibrusiverticalitate" à leur insu. Ouais, c'est vrai...
Cela signifie que soit les services de renseignement roumains ne savaient pas qu'il s'agissait d'une campagne financée par le PNL lorsqu'ils l'ont utilisée comme preuve pour annuler l'élection (ce qui soulève d'énormes questions sur leur compétence), soit ils le savaient et ne l'ont pas révélé (ce qui soulève des questions encore plus importantes sur leur intégrité).
En tout cas, cela semble indiquer que quelque chose d'extrêmement sinistre s'est produit en Roumanie : un parti au pouvoir a utilisé les services de renseignement pour annuler une élection sur la base de preuves d' "ingérence étrangère" qu'il a lui-même payées !

10 novembre 2024

Gastel Etzwane

10/11/2024 – On s’était bien rendu compte qu’il n’était pas d’extrême droite, d’ailleurs je ne pense pas qu’il soit de droite, je me demande d’ailleurs si c’est vraiment un homme politique. En tout cas, ce n’est pas un opposant au pouvoir ni un opposant au capitalisme, ni un opposant au libéralisme, ni un opposant à l’Union européenne, ni un opposant à l’OTAN. Je me demande qui c’est finalement et à quoi il peut bien servir.

30 août 2024

Gastel Etzwane

Philippe Katerine, chanteur de sinistre mémoire depuis la cérémonie des J.O., dont on a découvert qu’il collectionnait ses propres excréments dans des boîtes Tupperware, devient chroniqueur régulier sur France Inter. Pour sa première, il était entièrement nu dans les studios.
On n’est plus à ça près sur cette radio, hélas, financée par notre argent.
Tous ces gens peuvent faire ce qu’ils veulent de leur corps, raconter tout ce qu’ils veulent, mais qu’ils le fassent avec de l’argent privé dans des lieux privés.
Je ne suis pas choqué, je lisais hara-kiri à la grande époque du professeur Choron. J’en ai seulement ras-le-bol que tous ces imbéciles nous soient imposés et qu’on doive considérer cela comme la nouvelle normalité. En plus, il n’y a pas l’ombre de talent dans tout ça ; c’est médiocre.

26 août 2024

⬦ Question d’ordre juridique : si le PDG d’une plateforme de communication peut être déclaré complice des messages délictueux, faut-il également condamner le dirigeant de La Poste pour le contenu des courriers ?
Marc Amblard

⬦ En prison les patrons des compagnies de télécommunication !
C'est grâce au téléphone que les pires terroristes, les pires pédophiles, les pires monstres peuvent communiquer entre eux.
Macron est au courant ?
Gilles Casanova

⬦ Si Pavel Durov avait été détenu en Russie, il aurait reçu le prix Nobel de la paix et le prix Sakharov.
Gastel Etzwane

22 août 2024

Gastel Etzwane

Ce n’est pas l’Europe, c’est l’Union européenne, cette technostructure d’essence totalitaire qui travaille systématiquement contre l’intérêt de ses membres. Dommage qu’aucun grand parti politique français ne veuille en sortir.