Marc Amblard
16/5/2025
Soyons clairs : le refus de son assignation biologique est une maladie mentale qui se nourrit de la haine de soi.
Ces dernières années, ses promoteurs et leurs médias se sont attachés avec un certain succès à la déguiser en un mouvement euphorique et hyper branché. Les célébrités de Hollywood, de Robert Niro à Charlize Theron en passant par Cher, Ben Affleck, Jennifer Garner, Jamie Lee Curtis et tant d’autres sont tombées bêtement dans le piège et exhibent avec fierté leurs enfants « transitionnés », leur réservant en réalité un avenir déprimant impliquant castration et mutilations corporelles.
Que le taux de suicide chez les enfants transgenre soit 12 fois plus élevé que la norme ne semble pas les émouvoir. Peu importe, l’essentiel est d’afficher aux yeux du monde entier son ouverture d’esprit et son gauchisme dégoulinant de fausse compassion pour les minorités.
Ils ne sont malheureusement que les idiots utiles d’un mouvement qui les dépasse complètement et dont il n’est pas inintéressant de s’interroger sur les objectifs véritables.
On peut d’ores et déjà en dénombrer quatre :
- Financier : selon Global Market Insight, le marché de la réassignation sexuelle est un marché très porteur, avec des taux de croissance annuels allant jusqu’à 25% par an.
- Politique : le déclin moral accompagné de la dissolution progressive des valeurs traditionnelles tels la famille, le mariage, le nationalisme… considérées comme un obstacle au changement vers un nouvel ordre mondial. Celui-ci a besoin d’individus faibles, désincarnés, déracinés.
- Démographique : la chirurgie de transition produit des êtres incapables de procréer contribuant ainsi à faire chuter la natalité dans le monde occidental. C’est précisément la finalité défendue par nos « élites » malthusiennes telles Bill Gates qui annonce dans quelques vidéos un épuisement trop rapide des ressources naturelles ou encore Yuval Harari qui prédit que l’intelligence artificielle engendrera des milliards de bouches inutiles.
- Philosophique et médical : le changement de sexe est considéré par certains comme une étape intermédiaire vers le transhumanisme ; les transgenres sont en quelques sortes les cobayes d’un ensemble d’expérimentations visant à développer la transformation contre nature des êtres humains. L’étape suivante consiste à implanter la machine (puce, organes artificiels…) dans notre anatomie (fusion homme-machine). Les oligarques richissimes ne supportent pas l’idée d’avoir une espérance de vie semblable à celle du commun des mortels. La technologie doit pouvoir supplanter les fonctions défaillantes de l’être humain.
Heureusement, ce mouvement porté majoritairement par de grands conglomérats est aujourd’hui attaqué par des peuples qui ont compris le danger d’une telle folie. Les valeurs conservatrices réagissent et rejettent massivement ceux qui les piétinent. L’élection récente du nouveau président américain en est une parfaite illustration. Le transgenrisme y est devenu persona non grata et fait désormais l’objet d’un combat sans relâche au sein des écoles, des universités, de l’armée, du sport et du reste de la société.
Que cette saine réaction se répande le plus rapidement possible dans le reste de l’Occident !