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17 avril 2025

SEXE : LA SCIENCE REPREND PEU À PEU SES DROITS

Marc Amblard
17/4/2025

- Le 21/01/2025, Le président des États-Unis signe un décret obligeant l’administration à reconnaître l’existence de deux sexes seulement et tels que définis à la naissance.
- Le 14/04/2025, le parlement de Hongrie modifie la Constitution pour graver dans le marbre l’impossibilité de déclarer un autre sexe que son sexe biologique.
- Le 16/04/2025, la Cour suprême du Royaume-Uni rend un arrêt important confirmant que les « femmes » transgenres ne sont pas légalement des femmes.
Faut-il qu’on soit tombé si bas, qu’on se soit laissé manipuler si sournoisement, qu’on ait perdu à ce point la raison qu’il faille en arriver à de telles extrémités pour nous rappeler les bases fondamentales de la science et du bon sens…
N.B. En photo : Rachel Levine et Sam Brinton, tous deux hauts responsables d'État nommés par l'administration Biden (Obama et Cie). Au chômage depuis trois mois.

9 avril 2025

Marc Amblard
9/4/2025

IL Y A 30 ANS, DONALD TRUMP S'EXPRIMAIT SUR LE SUJET DU PROTECTIONNISME INDUSTRIEL

Intéressant. En 1995, Donald Trump, dénonçait déjà les méfaits du mondialisme sauvage qui s'est traduit par d'énormes vagues de délocalisation, de chômage et de friches industrielles en déshérence (voir la Rust belt dans la région des Grands Lacs aux USA...).
Il défendait par conséquent, la nécessité de protéger les industries américaines pour des raisons économiques et sociales mais également pour des raisons de souveraineté et d'indépendance.
Faut-il y voir la remise en cause de la théorie des avantages comparatifs de David Ricardo qu'on enseigne dans nos universités depuis des décennies ?
La question mérite d'être posée. Tout comme celle de savoir si une nation est encore libre lorsqu'elle est devenue incapable de subvenir aux besoins de ses populations à force d'avoir abandonné une grande partie de ses activités de base...
Quoi qu'il en soit, on peut adresser beaucoup de reproches au président américain mais certainement pas celui d'être imprévisible. La preuve.
N.B. Vidéo sous-titrée en français.

1 avril 2025

Marc Amblard

LA MAISON BLANCHE VEUT IMPOSER DES DROITS DE DOUANE À CERTAINS PRODUITS ÉTRANGERS : CE QUE LES MÉDIAS OUBLIENT DE DIRE

Savons-nous que depuis des décennies, les USA souffrent de barrières tarifaires imposées par les autres pays ?
Des exemples :
- l'Union européenne impose 50 % de droits de douane sur les produits laitiers américains ;
- le Japon impose 700 % de droits de douane sur le riz américain ;
- l'Inde impose 100 % de droits de douane sur les produits agricoles américains ;
- le Canada impose près de 300 % de droits de douane sur le beurre et les fromages américains…
Selon la porte-parole Karoline Leavitt (photo), cela rend quasiment impossible l'exportation de produits made in USA sur ces marchés et donc nuit aux entreprises et aux travailleurs américains.
C’est précisément pour faire cesser ces « pratiques commerciales déloyales » que l’administration Trump a décidé d’appliquer un principe de réciprocité en imposant à son tour une série de droits demain, 2 avril.
1/4/2025

26 mars 2025

Marc Amblard
26/3/2025

USA – EXONÉRATION DES HEURES SUP ET DES POURBOIRES : QUI SONT LES VRAIS DÉFENSEURS DE LA CLASSE LABORIEUSE ?
 
Hier, 25/03/25, le projet de loi visant la défiscalisation des heures sup et des pourboires a été soumis au vote à la Chambre des représentants.

Résultats :
- Les 217 républicains ont voté POUR
- Les 213 démocrates ont voté CONTRE

Ce sera tout pour aujourd’hui.

3 mars 2025

POURQUOI LES DIRIGEANTS EUROPÉENS S’OPPOSENT MAJORITAIREMENT À LA PAIX EN UKRAINE ?

Marc Amblard

- 3/3/2025 - Nous sommes nombreux à nous interroger sur les raisons qui poussent l’Union européenne à rejeter les négociations russo-ukrainiennes et partant, à éviter les solutions d'apaisement, à commencer par celles proposées Outre-Atlantique.
Pour faire court et simple, on peut exposer trois raisons majeures.
Raison 1 – Le bouc émissaire
Les politiciens imputeront toujours leurs échecs à une autre entité ou à une autre personne. L’UE va s’effondrer, et ils le savent. La guerre servira de diversion pour qu’ils puissent blâmer la Russie.
Raison 2 – La conservation du pouvoir
L’expérience montre qu’en période de conflit, les dirigeants en place ont plus de chance d’être réélus. D’une part, parce que la présence d’un ennemi désigné tend à mobiliser les électeurs autour d’une figure d’autorité et d’autre part, ils sont moins enclins au changement considérant que cela pourrait amplifier les difficultés. Selon le degré de gravité, on peut même imaginer un état d’urgence qui permettrait de reporter les élections.
Raison 3 – L’attrait du billet vert
L’industrie de l’armement, principalement américaine, a besoin de guerres pour maintenir son chiffre d’affaires et les cours de bourses. À titre d’exemple, le chiffre d’affaires de la plus grande compagnie, Lockheed Martin (US) s’élevait à plus de 61 Milliards en 2023. À l’instar du lobby pharmaceutique, des budgets très importants sont alloués aux responsables politiques pour promouvoir les décisions bellicistes. Ce commerce de l’influence peut prendre différentes formes : missions d’audit lucratives, pantouflage (post mandat), conférences hautement rémunérées, avances sur droits d’auteur (ouvrages à publier…), souscription d'actions à terme… Sans compter qu'une guerre est une excellente façon de blanchir de l'argent sale.
Il existe bien sûr d’autres raisons dont certaines peuvent être légitimes. Cependant, ces trois-là sont suffisamment connues et répandues pour ne pas les ignorer. La porosité entre le monde politique et le monde des affaires n’a malheureusement cessé de s’accroître ces dernières années.

27 février 2025

Marc Amblard

- 26/2/2025 - Cette vieille facho, présidente de la grosse Commission, s'est fendue hier d'une diatribe à vomir.
Je vous la fais courte :
La liberté d’expression (qu'elle nomme désinformation) n'est rien d'autre qu'un "virus" et la censure agit comme un "vaccin" pour l’empêcher de nuire.
Il faut dire qu'elle en connaît un rayon en vaccin...
Bref, on voudrait pousser les gens à détester l'Europe qu'on ne s'y prendrait pas mieux.

22 février 2025

DONALD TRUMP EST-IL FASCISTE ?

Marc Amblard

- 22/2/2025 - La question mérite d’être posée tant il est fréquent que la gauche américaine et les médias européens associent ce qualificatif au président récemment élu.
Tentons d’y répondre rapidement en reprenant les quatre piliers fondateurs du fascisme (dont on rappelle qu’il fut le régime autoritaire instauré par Mussolini en Italie de 1922 à 1945).

1. Le poids croissant de la bureaucratie et de la planification d’État

Nous connaissons la citation du dictateur italien : "Tout pour l'État, tout avec l'État et tout par l'État". Mussolini, mais également Staline, Hitler, Mao, Castro… étaient les plus ardents défenseurs de la centralisation des pouvoirs autour de leur personne.
Donald Trump emprunte précisément la direction opposée en combattant les excès d’un état fédéral omnipotent. Pour preuve, le DOGE (département de l’efficacité gouvernementale) créé à son initiative est en train de révéler des pans entiers de dépenses publiques engagées à l’encontre des intérêts du peuple américain. C’est donc bien vers un allègement de l’État que nous nous dirigeons actuellement.

2. Une règlementation qui envahit la sphère privée de l’individu

Autre caractéristique toute aussi importante du fascisme, c’est cette volonté quasi pathologique de vouloir réglementer la vie quotidienne des individus selon l’adage « faire le bien du peuple, fut-ce contre son gré ». Ce point a été admirablement décrit par George Orwell dans son ouvrage référence « 1984 ».
Encore une fois, Donald Trump ne semble pas désireux d’accroitre l’emprise du gouvernement sur les citoyens. C’est même le contraire puisqu’il a promis de réduire le poids de la réglementation et de l’influence de l’État sur nos comportements. La meilleure illustration est probablement sa récente décision de dissoudre le « Ministère de l’éducation » qu’il considère comme un outil de formatage des cerveaux. Idem pour le « tout électrique » que Trump a balayé d’un revers de la main considérant que chacun doit être libre de conduire le véhicule de son choix. Ou encore la vaccination qui ne doit pas être imposée mais relever d’une décision personnelle.

3. Des médias aux ordres

L’actuel président a été la première victime de cette presse et ces chaînes de TV qui ont renoncé à leur fonction de contre-pouvoir pour devenir des relais propagandistes et les chiens de garde du gouvernement.
Cherche-t-il à reproduire à son avantage cette situation ? L’ouverture à la Maison blanche de la chambre de presse aux médias alternatifs s’inscrit plutôt dans une volonté d’inciter à plus de diversité dans les systèmes d’information. Plus largement, sa volonté de préserver à tout prix la liberté d’expression, fortement appuyée par la voix du vice-président lors du congrès de Munich renforce l’idée de sauvegarder la pluralité des opinions. Il est encore un peu tôt pour être catégorique sur ce point. L’avenir nous éclairera davantage.

4. La volonté des autorités d’étendre leur emprise au-delà des frontières de la nation

Les audits menés au sein de l’USAID, cette agence initialement dédiée à l’aide internationale a révélé que le gouvernement américain détournait les taxes pour arroser la terre entière de dollars américains. Deux objectifs majeurs : diffuser partout dans le monde les courants de pensée portés par le pouvoir et s’assurer que les gouvernements des nations étrangères étaient compatibles avec les valeurs défendues par l’Oncle Sam.
L’actuel président compte bien mettre un terme à ces pratiques qu’il considère comme des délits d’ingérence. Pour lui, c’est « America first ». Les États-Unis ne doivent plus être la police du monde. Tout doit être mis en œuvre pour protéger les intérêts du peuple américain et uniquement ceux du peuple américain. Le retrait de l’OMS, des accords de Paris et qui sait, peut-être de l’Otan, illustre parfaitement la nouvelle politique de la Maison blanche.
Assez objectivement et à l’aune de ces quatre points, force est de reconnaître que le programme engagé par l’actuel occupant et son équipe s’inscrit à l’exact opposé de ce qui caractérise le fascisme dont l’histoire nous a hélas livré quelques tristes applications.
On peut faire de nombreux reproches à Donald Trump, mais pas celui d’être fasciste. Une telle qualification relève d’un contre-sens fâcheux et d’une méconnaissance totale de l’idéologie autoritaire.

20 février 2025

Marc Amblard

CONSEIL CONSTITUTIONNEL : JUSTE POUR COMPRENDRE

Richard Ferrand, ce n’est pas le gars qui avait été condamné pour prise illégale d’intérêts alors qu’il avait fait louer par les Mutuelles de Bretagne qu’il dirigeait, des locaux appartenant à sa compagne ?
Ce n’est pas aussi celui qui avait continué à percevoir un salaire de ces mêmes mutuelles en tant que "chargé de mission" alors qu’il était ministre ?
C’est bien lui que Monsieur Macron a proposé pour être président du Conseil constitutionnel, la plus haute instance de France qui veille à la conformité des lois ?
Et c’est bien lui que les députés, y compris ceux du RN, ont approuvé hier ?
C’est bien ça ? C’est juste pour être sûr d’avoir bien compris.

18 février 2025

Marc Amblard

COMME LES AMÉRICAINS, LES FRANÇAIS SE FONT LITTÉRALEMENT VOLER LEURS ÉCONOMIES DEPUIS DES ANNÉES. UNE ÉNIÈME ILLUSTRATION…

Savent-ils par exemple, qu’ils subventionnent l’écologie en Chine (plus de 100 millions d’euros par an jusqu’en 2042 – convention d’engagement signée par E. Macron) ?
Savent-ils qu’ils financent l’idéologie du genre en Jordanie (150 millions d’euros en 3 ans) ?
Savent-ils qu’ils paient pour promouvoir l’égalité de genre en Albanie (51 millions d’euros de 2021 à 2033) ?
Savent-ils qu’on prend leur argent pour renforcer les arts du cirque en Afrique du sud ?
Une liste sans fin qu’il est possible de vérifier sur le site « afd point fr ». Merci à Madame Knafo de nous en avoir informés (vidéo de 3mn50).
Bon, soyons clairs : contraindre les citoyens d’un pays à financer sans leur accord de lointains projets qui ne les concernent en rien n’est pas autre chose qu’une forme d’escroquerie par détournement de fonds publics.
Question subsidiaire : ces sommes vont-elles réellement alimenter les projets que le gouvernement prétend soutenir ? Je n'ai pas la réponse. 18/2/2025

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