Translate

Affichage des articles dont le libellé est Sasson Elie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Sasson Elie. Afficher tous les articles

22 décembre 2022

Avis aux candidats à l’immigration en France

Elie Sasson

Attention, la loi va changer et sera considérablement durcie.
Si jamais vous venez illégalement ici, eh bien… vous serez considéré comme expulsable. Wouaw, j’entends des dents qui claquent de terreur.
Si vous vous comportez mal, vous serez considéré comme expulsable, mais un peu plus expulsable que si vous étiez simplement expulsable.
Si vous pensez que vous allez toucher des allocations sociales, eh bien… ce sera en effet le cas mais c’est uniquement parce que nous sommes humains et ce ne serait pas joli-joli d’en profiter. Nous vous faisons confiance pour ne pas abuser de notre humanité.
Par contre si vous pensez que vous allez faire venir toute votre famille une fois installés, vous vous trompez lourdement… non ? On me dit dans l’oreillette que vous pourrez le faire comme avant. OK. Je retire. Au temps pour moi.
Ah ! Autre cas spécifique. Si vous exercez un métier en tension, on vous gardera. Mais si vous n’exercez pas un métier en tension, eh bien… qu’à cela ne tienne, on vous en donnera un. Ça embauche à la pelle dans les restos, les sociétés de nettoyage et le BTP. Par contre, niveau salaire faudra pas trop la ramener. Pigé ?
Dernier point. Si vous êtes un professionnel de santé, on vous prendra aussi mais uniquement si vous travaillez dans des centres de santé à but non lucratif. Vous savez ? Ceux qui détournent en toute légalité les bénéfices des centres vers des holdings. Quel salaire ? Là aussi faudra pas trop la ramener. Compris ?
Sacré Macron ! Jamais à court de bonnes idées pour couler le pays.

19 décembre 2022

L’immigration arabo-musulmane menace la cohésion nationale

Elie Sasson

- 17/12/2022 - En dehors de quelques excités d’un côté et de quelques idéologues naïfs de l’autre, qu’on soit de droite ou de gauche, tout le monde fait le même constat : l’immigration arabo-musulmane est devenue telle qu’elle menace la cohésion nationale.
Ceux, y compris beaucoup de Français musulmans éduqués et diplômés, qui habitent des quartiers ou des villes à forte concentration arabo-musulmane, aimeraient bien déménager pour offrir à leur famille plus de sécurité. Ils aimeraient bien mettre leurs enfants dans des écoles privées afin que leur progression ne soit pas entravée par la présence d’enfants perturbateurs ou d’un tel niveau qu’il ralentirait l’ensemble des apprentissages. Tous changent de trottoir lorsqu’ils voient venir en face d’eux une bande de « jeunes » en sweat à capuche. Tous savent aussi qu’il y a un fort ressentiment d’une partie de cette jeunesse à l’égard de la France. Tous savent enfin qu’il vaut mieux éviter de porter une jupe dans certains endroits si on ne veut pas se faire insulter, voire pire parfois. Tous savent qu’il y a des hordes de gamins migrants isolés qui rôdent dans Paris et choisissent des cibles fragiles pour les massacrer pour quelques euros.
Oui, tout le monde pense pareil. Mais il y a ceux qui le disent parce qu’ils considèrent qu’on n’a pas la moindre chance de trouver des solutions à des problèmes si on ne commence pas par les nommer. Et il y a ceux qui, en dehors de leur cercle intime, ne veulent pas aborder publiquement ces sujets parce qu’ils pensent que ce serait un discours raciste qui ferait le jeu des fachos d’extrême droite. Ceux-là ne veulent pas en démordre. Ils sont sûrs de leur fait. Ils ont conclu depuis longtemps que derrière un citoyen qui veut nommer publiquement les problèmes se cache forcément un nazillon qui sommeille, un Dupont la joie qui irait bien ratonner du bougnoule à l’heure de l’apéro. Ceux-là sont indécrottables. Seul un événement violent qui viendrait les toucher dans leur chair pourrait leur faire changer d’idée. Quoique ?
Une fois ce constat établi, que faire ? Surtout, ne pas perdre son temps à essayer de convaincre les antiracistes qu’on n’est pas forcément facho lorsqu’on dénonce le réel publiquement. Le plus souvent, être objectif ne signifie pas être raciste.
Enfin, que faire pour régler les problèmes de l’immigration ?
D’abord, évidemment, mettre un coup d’arrêt à l’immigration. Enfin redonner l’amour de la France à ceux qui y vivent. Pour cela, il faut insister sur notre histoire glorieuse. Il faut aussi se débarrasser du wokisme qui dévirilise le pays dans l’esprit de ceux qui ont une culture maghrébine ou africaine. Il faut aussi revendiquer les racines judéo-chrétiennes de la France et en être fier. Les étrangers méprisent ceux qui crachent sur leur propre héritage, tout comme ils méprisent ceux qui sont faibles. Et ils ont raison.
Pourquoi un jeune de banlieue d’origine arabo-musulmane serait-il fier d’être français s’il fait lui-même le constat tous les jours que les Français dits de souche ne sont pas eux-mêmes fiers d’être qui ils sont ?
La solution se trouve forcément là. D’abord retrouver notre fierté identitaire culturelle et historique, pour ensuite donner aux autres l’envie de faire partie de la communauté nationale.

10 décembre 2022

Match Maroc-Espagne : des centaines de Marocains ont fait la fête sur les Champs-Élysées

Elie Sasson

- 7/12/2022 - J’entends quelques-uns dire très calmement que des centaines de Marocains faisant la fête sur les Champs-Élysées, ce n’est pas condamnable. Ah bon ? Certains observent aussi avec satisfaction qu’il n’y a pas eu d’incident à Paris (juste quelques insultes, un drapeau israélien brûlé et autres doigts d’honneur).
De plus en plus fréquemment, je me demande si je ne vais pas me réveiller et réaliser que tout cela n’était qu’un mauvais rêve.
Que des Marocains soient heureux que leur équipe ait battu l’Espagne, c’est bien légitime ; encore qu’il ne s’agisse que d’un jeu de ballon mais ce n’est pas le sujet.
Que des Marocains se réunissent en famille devant l’écran géant de leur salon pour suivre le match Maroc-Espagne, quoi de plus normal et compréhensible ?
Que mes éventuels voisins marocains hurlent de joie au moment de chaque but, je peux l’accepter, le comprendre, voire crier avec eux tant l’équipe a été méritante.
Que d’autres Marocains choisissent de passer la soirée dans un bar tabac du quartier et hurlent à chaque but, passe encore.
Mais… Que des Marocains décident de hurler leur joie dans les rues de France, non non et non. Le simple fait qu’une foule d’individus puisse se sentir autorisée à brandir un drapeau étranger dans les rues de France à l’occasion d’une victoire sportive, c’est inacceptable.
Lorsque la rue en question n’est autre que l’avenue la plus connue au monde, c’est révoltant. Cette avenue est celle que les Français investissent spontanément depuis des décennies pour manifester leur joie collective en tant que nation. Les Français et rien que les Français. Les Français de toutes origines, de toutes couleurs de peau et de toutes religions. Imagine-t-on des centaines de Français vivant au Maroc investir l’avenue Mohamed V à Rabat et brandir le drapeau tricolore à l’occasion d’une victoire des Bleus ? Non.
Il va vraiment falloir que nous nous réveillions. S’il y a une chose qu’il est urgent de comprendre au cas où nous voudrions changer les choses, c’est qu’il n’est plus temps de se défendre d’être racistes. Se défendre c’est déjà reconnaître que l’accusation est plausible. Se défendre c’est oublier qu’être traité de raciste est une insulte. Face à une insulte, on doit sortir de ses gonds et clouer le bec de son interlocuteur.
Il faut attaquer, accuser, condamner et ne pas pardonner à ceux qui ont laissé les choses se dégrader à ce point. Il faut leur montrer notre colère, notre indignation, notre mépris. À force, les accusation de racisme à notre encontre deviendront enfin risibles. Et chacun comprendra la responsabilité de ceux, de droite comme de gauche, qui ont livré le pays à une immigration qui ne comprend pas le sens des mots “respect, discrétion et gratitude”.

15 novembre 2022

Sommes-nous encore en démocratie ?

Elie Sasson

- 11/11/2022 - Il est de bon ton de nous comparer fièrement à certains autres États et de nous féliciter d’être plus démocrates. Je veux prendre l’exemple de la Hongrie qu’on nous présente généralement comme un pays où la démocratie serait largement malmenée.
En Hongrie, même les plus irréductibles des opposants au gouvernement d’Orban reconnaissent avec honnêteté que les élections n’y sont pas truquées. En revanche, ils déplorent que toutes les chaînes publiques (non payantes) soient dirigées par des proches du gouvernement. Il en va de même pour ce qui concerne la presse écrite gratuite. Ainsi la population des petites villes ou des campagnes a rarement l’occasion d’entendre un autre son de cloche que celui du régime.
Est-ce si différent de la situation que nous connaissons dans l’hexagone ?
Certes, en France, nous avons des grandes chaînes de télévision privées. Mais on ne peut pas dire que le groupe TF1 soit en pôle position quand il s’agit de critiquer l’action du gouvernement Macron. Quant au groupe France TV, il est noyauté par la bien-pensance gauchiste et wokiste. Restent les chaînes info. En dehors de Cnews, là encore, la pluralité des opinions laisse à désirer. Pour résumer, nous sommes aussi mal lotis que les Hongrois, si ce n’est qu’en France la manipulation des esprits est orchestrée de façon moins grossière.
Autre point de comparaison qu’il est intéressant d’étudier : l’entre-soi. En Hongrie, vous n’avez aucune chance de réussir dans les affaires si vous n’êtes pas proches du gouvernement Orban ou du moins de ses idées. En France, à moins d’être l’heureux héritier d’une famille richissime, il vous sera impossible de vous affranchir du politiquement correct si vous voulez espérer ne pas être cloué au pilori. Il faut être woke et immigrationiste pour qu’on vous fiche la paix et qu’on laisse vos affaires prospérer. Quant à espérer réussir dans le milieu littéraire, ou plus largement dans le milieu artistique, ce serait peine perdue si vous vous réclamiez de la droite décomplexée.
Troisième point de comparaison : l’enseignement. En Hongrie aussi, les enseignants sont très largement à gauche. L’opposition au gouvernement d’Orban est pour l’essentiel constituée d’enseignants. L’explication est assez simple. Dans l’esprit de beaucoup d’enseignants, le libéralisme économique ne présente aucun intérêt. La perspective de devenir riche est nulle. Pourquoi faciliter la vie des entreprises lorsqu’on sait qu’on n’entreprendra probablement jamais rien ? En France, la situation est sensiblement identique. J’en veux pour preuve le noyautage par la gauche des écoles de journalisme, de l’ENA ou de Science Po, tandis que les grandes écoles de commerces sont plutôt marquées à droite et au centre droit.
La Hongrie a été décriée au sein de l’Union Européenne pour sa politique homophobe. Chacun se fera sa propre opinion, mais il est nécessaire d’être précis. En Hongrie, le mariage homosexuel est interdit. Il y existe l’équivalent du PACS qui accorde les mêmes droits aux homosexuels que s’ils étaient mariés. L’adoption d’enfants est impossible pour un couple homosexuel. Enfin, point le plus décrié en France, la promotion de l’homosexualité est interdite en Hongrie. Il y est dont interdit de réaliser des publicités télévisées présentant des couples homosexuels ou encore de promouvoir l’homosexualité dans les écoles. Autrement dit, en Hongrie, le rapport de la population à l’homosexualité est celui qui existait en France il y a une petite vingtaine d’années, mais il y a plutôt moins d’agressions homophobes en Hongrie qu’en France. Et puis, honnêtement, deux hommes en couple se sentiraient-il plus à l’aise s’ils se promenaient main dans la main dans les rues de nombreuses villes françaises, que dans les rues de Budapest ?
Enfin, en France, cela ne fait plus mystère, nous avons un problème d’intégration avec certains de nos compatriotes d’origine arabo-musulmane. En Hongrie, les mêmes difficultés sont rencontrées avec les Roms. Ces derniers y sont pourtant présents (comme en Roumanie et en Bulgarie) depuis l’invasion ottomane du 16ème siècle. Parmi les Turcs envahisseurs, se trouvaient de nombreux Roms (venus d’Inde) qui se sont finalement installés durablement. Les Roms sont responsables de près de 80% des crimes et délits commis en Hongrie. Ces statistiques ethniques, bien qu’interdites par la loi hongroise (comme en France), ont été dévoilées par un député hongrois lors d’une discussion à l’assemblée nationale du pays. La situation est telle dans ce pays qu’on peut parler de réelle sécession. Il y a des villages entièrement Roms. Lorsqu’une famille rom emménage dans un immeuble, tous les appartements de l’immeuble perdent immédiatement une partie de leur valeur. En va-t-il autrement en France ? Je me demande si les copropriétaires d’un petit immeuble de Paris ne s’inquiéteraient pas de la perte de valeur de leur bien immobilier au cas où une famille africaine ancrée dans sa culture d’origine viendrait à occuper un des appartements de leur immeuble.
À bien y réfléchir, je trouve bien des points communs entre notre chère démocratie et celle de nos voisins hongrois que nous critiquons à loisir.

20 septembre 2022

Décès de la reine Elizabeth II

Elie Sasson

J’avais décidé de ne pas publier le fond de ma pensée à propos du décès de la reine Elizabeth II.

Mais devant l’incroyable ouverture d’esprit des internautes éternels défenseurs du politiquement correct, j’ai changé d’avis.
Je n’ai pas et je n’aurai jamais de chagrin en raison du décès d’une personnalité publique. Je respecte la douleur des proches de cette mère, cette grand-mère et cette arrière grand-mère. Mais je ne ressens aucune douleur. Et pour cause, je ne la connaissais ni de près ni de loin. Comme la plupart d’entre vous.
Puisqu’il n’est pas question de chagrin ou de douleur, devrais-je au moins saluer sa mémoire en raison de son talent particulier, de son génie exceptionnel, de ses découvertes scientifiques qui ont fait faire un bon en avant à l’humanité, de sa vie aux services des autres, de sa grandeur d’âme, de ses créations artistiques ou que sais-je encore ?
Désolé, mais même en cherchant bien, je ne vois aucune raison de saluer la mémoire de cette dame.
Entendons-nous bien, je n’ai rien contre elle. Paix à son âme. En revanche, je me rends compte que sa mort, pas davantage que sa vie, ne change rien à mon existence ou à celle des gens que j’aime. Et je crains fort qu’à peu de chose près, sa vie ait été totalement inutile à l’échelle de l’humanité, presque inutile à l’échelle du Royaume-Uni, et d’une utilité assez limitée à l’échelle de sa propre famille.
Entendons-nous bien aussi, je respecte le chagrin qui semble s’être emparé de beaucoup d’entre vous. Et je respecte le fait que certains aient ressenti le besoin de saluer la mémoire de cette personne.
En retour, j’apprécierais qu’on respecte mon droit de ne rien ressentir, ainsi que celui de trouver que plus de dix jours à ne parler presque que de cela, c’est totalement disproportionné, voire obscène.