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16 décembre 2025

Laurent Brayard Reporter
16/12/2025


Macron et l’accord Mercosur : trahison agricole, mensonges élyséens et mise à mort de la souveraineté française

Emmanuel Jupiter Napoléon Néron Macron, émerge une fois de plus comme le maître incontesté de l’illusion politique, brandissant des discours enflammés contre l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, tout en ourdissant dans l’ombre les fils d’une capitulation inévitable, déjà même actée. Ce traité, qui menace de submerger les marchés français sous un déluge de produits sud-américains aux normes laxistes, n’est pas seulement un péril économique pour nos agriculteurs ; il incarne la quintessence d’une trahison orchestrée, où les gesticulations élyséennes masquent une impuissance feinte et des compromis inavouables. À Berlin, lors d’une réunion avec les dirigeants de l’UE, le chef de l’État français a réaffirmé son opposition, déclarant que « le compte n’y était pas » pour protéger les agriculteurs hexagonaux, selon les confidences de son entourage.

Pourtant, derrière ces paroles, se profile une réalité bien plus sombre : Macron, prisonnier volontaire d’une Europe qui dicte ses lois, n’a nullement l’intention de bloquer cet accord funeste, préférant se draper dans le manteau d’un combattant vaincu par des forces supérieures. Le traître !

La France, jadis fière de sa souveraineté agricole, plaide désormais pour un report du vote au Conseil européen jusqu’en 2026, un sursis illusoire face à un texte qui favoriserait les exportations européennes de voitures, de machines, de vins et de spiritueux, au prix d’une invasion de viande bovine, de sucre, de riz, de miel et de soja provenant du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay. Ces importations, exemptes des rugueuses normes environnementales et sanitaires imposées aux producteurs locaux, alarment les filières françaises, déjà exsangues sous le poids d’une bureaucratie bruxelloise implacable. Macron, en redisant aux dirigeants de l’UE que les dispositions actuelles sont insuffisantes, ne fait que jouer une partition bien rodée, où les mots sonnent creux et les actes trahissent une allégeance inconditionnelle à l’ordre européen.

15 décembre 2025

Nicolas Dupont-Aignan

Le rouleau compresseur de la Commission européenne veut imposer le Mercosur. La France de Macron est prise au piège du vote à la majorité des États. Pour sauver l’agriculture française, une seule solution : cesser tout versement financier à l’Union européenne et préparer une sortie organisée. Utilisons l’argent que nous versons à Bruxelles pour financer directement une politique agricole nationale à l’image de la Suisse.

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15 novembre 2025

Denis Collin

-7/11/2025- Shein vend de la m... sans se préoccuper des normes. Les hyper vendent des lentilles canadiennes récoltées aux herbicides. C'est le CETA. Grâce au Mercosur nous allons pouvoir manger plus de viande et de volailles industrielles et ingurgiter de nouvelles molécules. Les céréales ukrainiennes et les poulets du roi du poulet vont pouvoir achever la ruine de la paysannerie française. Tout cela est organisé par l'UE, avec la bénédiction de nos "gouvernants" nationaux. L'urgence est de SORTIR de l'UE. Mais des grands partis représentés à l'Assemblée, aucun ne veut sortir. Tous sont des euroïnomanes, de LFI au RN inclus. Donc, il faudrait un référendum qui permettrait au peuple de se prononcer. Mais comme l'a dit l'ivrogne luxembourgeois, la démocratie ne peut pas aller contre les traités. Le nœud de tous les problèmes est là.
Monique Plaza

Trions les lentilles !
Le scandale des lentilles canadiennes vendues dans nos supermarchés : l’accord de libre-échange avec le Canada permet l’entrée en France de lentilles cultivées avec des produits interdits chez nous, et dont des résidus subsistent dans le produit final.
Résultat : mise en danger de notre santé, destruction de l’environnement et concurrence déloyale pour nos agriculteurs.
Cette aberration est encore une fois due aux décisions de l’UE. Et ça va s’aggraver avec les privilèges accordés à l’Ukraine et les accords du Mercosur.

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8 novembre 2025

Kuzmanovic Georges
7/11/2025

Macron trahit à nouveau les intérêts de la France – cette fois, ceux des agriculteurs

Depuis le Brésil, Macron déclare qu’il pourrait accepter le traité du Mercosur.
La FNSEA, à qui Macron avait affirmé "sa ferme opposition" à ce traité, est cocue : il avait simplement besoin d’elle pour étouffer la colère paysanne.
C’est un peu comme avec le Parti Socialiste : Macron agite la verroterie, et quelques dirigeants syndicaux ou politiques faibles (ou corruptibles) se laissent aisément berner.
Les Polonais, eux aussi, se sentent trahis par Macron.
En acceptant le Mercosur, Macron va achever de détruire l’agriculture française, incapable de rivaliser avec des pays qui n’ont ni les mêmes contraintes sociales, ni les mêmes normes écologiques, ni les mêmes coûts financiers.
Résultat : des assiettes françaises plus polluées et des campagnes désertées.
Il est d’ailleurs étonnant que certains soient encore surpris par une telle trahison.
Eh oui : Macron favorise l’industrie allemande, à bout de souffle, pour lui permettre de survivre encore un peu.
Tant pis pour la France.
Tant pis pour l’écologie.
Mais voilà : Macron se rêve, après 2027, président du Conseil européen.
Et pour y parvenir, il faut caresser les Allemands dans le sens du poil, ceux qui dominent l’Union européenne.
Quant aux Français, pour savoir où ils en sont, qu’ils lisent le livre de son principal ministre de l’Économie, Bruno Le Maire…
Il y est question de "renflement brun" – tout un programme.

30 octobre 2025

Gastel Etzwane

-30/10/2025- On feint de s’étonner, mais enfin… comment peut-on encore être surpris ? Depuis huit ans, tout dans la politique d’Emmanuel Macron concourt à la même fin : détruire méthodiquement ce qui faisait la force et l’autonomie de la France.
Notre agriculture, naguère enviée, est à genoux. Nous étions non seulement autosuffisants, mais exportateurs ; nous voilà dépendants pour nourrir notre propre population.
Cet accord Mercosur n’est pas une volte-face, c’est la suite logique d’un programme : sacrifier les producteurs français sur l’autel du libre-échange, livrer nos campagnes à la concurrence déloyale, et continuer de répéter des mots creux sur la « transition écologique ».
Le résultat est simple : des fermes qui ferment, des paysans qui se pendent, et un pouvoir qui signe des accords en souriant.
Non, rien d’étonnant : Macron continue, avec constance, à démanteler la souveraineté alimentaire française. Les agriculteurs peuvent toujours mourir en silence, c’est, semble-t-il, la seule chose qui ne dérange pas Bruxelles.

7 décembre 2024

Kuzmanovic Georges

- 7/12/2024 - Étonnant, ce Président qui pleure sur ce qu'il a voulu : sa "souveraineté européenne".
Il l'a ! Il l'a construite !
Elle est contre les intérêts de la France.
Il fait semblant de le découvrir.
Tartuffe !
On n'oublie pas qu'en novembre 2023, tant au Parlement européen, qu'à l'Assemblée nationale, les macronistes, les LR, le PS, les centristes, les Verts ont voté pour une extension des pouvoirs de la Commission européenne en en faisant un véritable gouvernement exécutif de l'UE et pour la fin de l'unanimité au Conseil européen.
Vous avez ce que vous désiriez ardemment depuis 2017, @EmmanuelMacron !
Ne versez pas de larmes de crocodile. Ne faites pas semblant de le découvrir !
Ceux qui veulent la continuation de cette Union européenne ne sont que des traîtres à la Patrie !