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21 août 2024

LFI a raison de vouloir destituer Macron !

Régis de Castelnau

[vidéo] Régis de Castelnau explique pourquoi, selon lui, LFI est juridiquement dans son droit pour déclencher l'article 68 de la Constitution et entamer une procédure de destitution d'Emmanuel Macron. Il rappelle cependant que cette manœuvre sert avant tout les intérêts propres de LFI, et n'a que très peu de chances d'aboutir. Régis de Castelnau est avocat à la Cour, auteur du blog Vu du Droit, auteur de "Une justice politique" (éditions l'Artilleur).

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17 octobre 2023

Opinion sur LFI, Obono, Mélenchon et compagnie

Jonathan Sturel

En réalité je me fiche que le complexe médiatique ne parvienne pas à leur faire dire que le Hamas est un groupe terroriste. Je me fiche que ces collabos admettent ou non son caractère terroriste. Cette querelle sémantique n'a en réalité aucune incidence puisque quoi qu'il en soit, hormis ses complices et sympathisants directs, personne ne peut nier que le Hamas a tué des civils et que c'est abject.
Je note que le complexe médiatique préfère entretenir cette querelle sémantique avec eux plutôt que de les mettre en face des véritables dangers de leur idéologie :
- Ils veulent continuer l'immigration qui importe son lot de drames chez nous ;
- Ils veulent continuer de faire se repentir la France ;
- Ils soutiennent, ici en France, toutes les tentatives d'entrisme islamique, burkini, abaya, voile, etc.
- Ils s'entêtent à prendre les victimes de l'immigration pour des coupables de racisme ;
- Etc.
Voilà les vrais crimes de ces gens, voilà sur quoi il faut bâtir le procès politique qui devra les rayer du spectre électoral et médiatique. Voilà les vrais sujets et voilà pourquoi les médias, qui sont incapables de dénoncer ce qu'il faut réellement dénoncer, sont incapables de leur reprocher autre chose que cette querelle sémantique.

22 juillet 2023

Denis Collin

Islamophobe ! disent-ils et, pour eux, c'est une injure au moins aussi grave que "fasciste" voire "nazi". On leur rappellera cette lettre de Charb : "Lettre ouverte aux escrocs de l'islamophobie qui font le jeu des racistes."
Car évidemment, l'islam n'étant pas une "race", craindre l'islam ou l'islamisme ne peut être assimilé au racisme. Du reste, ceux qui ont passé leur vie à "bouffer du curé" sont-ils des christianophobes qui devraient comme tels être vilipendés ? En vérité, ces braves gens, originaires essentiellement de la gauche, qui ont entrepris de lutter contre l'islamophobie, veulent d'abord restreindre la liberté d'expression et viennent au secours de cette commission de l'ONU qui propose, en gros, de rétablir le délit de blasphème.
Ajoutons tout de même qu'on a quelques raisons de craindre ces mouvements sectaires (Frères musulmans et autres variétés de salafo-wahhabisme) qui veulent imposer leur domination et liquider la laïcité. Que pensent nos contempteurs de l'islamophobie d'une idéologie qui pense que la femme vaut la moitié d'un homme, que la femme est, par nature, soumise à l'homme (son père, son frère, son mari) ? Que pensent-ils de gens qui attaquent les homosexuels aux cris Allahou Akbar ? Ou qui, comme l'égérie du PIR, se réjouissent quand on les pend à Téhéran ? Que pensent-ils d'une idéologie qui considère que la terre entière doit être convertie, de gré ou de force, les athées devant être tués, les Juifs et les Chrétiens soumis et transformés en citoyens de seconde zone ? Que pensent-ils de leurs bons "camarades" islamistes qui détestent par-dessus tout les Juifs, dont la judéophobie est l'affect le plus puissant, même chez les "modérés" ?
La dénonciation de l'islamophobie est une des pièces d'un dispositif qui se met en place avec la bénédiction de l'UE et des USA. Que les sectateurs de la secte mélenchonique fassent partie de cette entreprise n'est pas très étonnant. Les députés LFI sont largement soutenus par les réseaux fréristes...
Il faudra aussi se demander comment cette lutte contre l'islamophobie est financée. Les pétromonarchies sont riches...