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12 septembre 2023
2 septembre 2023
Jean-Dominique Michel
Ceux qu'on voit et ceux qu'ils cachent...
Premier volet de la conclusion des 40 épisodes de "Covid non-censuré".
Avec LA question qu'il faut poser : qui est responsable de cette dérive totalitaire et de cette tentative de coup d'État ?
Émission du 1er septembre 2023
Ceux qu'on voit et ceux qu'ils cachent...
Premier volet de la conclusion des 40 épisodes de "Covid non-censuré".
Avec LA question qu'il faut poser : qui est responsable de cette dérive totalitaire et de cette tentative de coup d'État ?
Émission du 1er septembre 2023
↴
La série intégrale est accessible sur : https://odysee.com/@Covid-non-censure
13 août 2023
Denis Collin
Il n'y a pas de société... C'était la forte pensée de Mrs Thatcher et on peut finir pas croire qu'elle a raison. Nous vivons dans notre bulle, nous préoccupant de nous-mêmes, nous accordant avec d'autres bulles au gré des vents qui font voleter ces bulles. Nous sommes résolument devenus hostiles à toute obligation collective, ni la messe du dimanche matin ni la réunion de cellule du parti ne peuvent nous sortir de notre bulle. Sans que nous parvenions à réagir, nous voyons notre monde en train de s'effondrer — je n'ai pas dit le monde, mais notre monde. Ce monde qui s'effondre valait-il le coup d'être défendu ? J'ai la faiblesse de croire qu'il en valait la peine, que la "grande culture" occidentale est une expression magnifique de l'esprit humain et que ces droits de l'homme que nous héritons du christianisme est le gage de la perfectibilité de l'être humain. Tout cela, me dira-t-on, était seulement l'ornement du capitalisme. Maintenant, nous allons vers un capitalisme sans ornement, un capitalisme que plus rien ne retient et qui fera exploser toutes nos petites bulles.
8 août 2023
Alexandre Soljenitsyne, Le déclin du courage
Discours aux étudiants de Harvard, 1978
Discours aux étudiants de Harvard, 1978
« Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l'intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. Le système occidental va vers son état ultime d'épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l'humanisme rationaliste, l'abolition de la vie intérieure... Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l'homme, c'est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités…
Cependant, le gouffre s'ouvrira à la lumière. De petites lucioles dans la nuit vacilleront au loin. Il y aura des hommes qui se lèveront, au nom de la vérité, de la nature, de la vie. Ils exerceront leurs enfants à penser différemment, à remettre l'esprit au-dessus de la matière. Ils briseront la spirale du déclin du courage. Ainsi viendra l'éclosion des consciences dressées. Aujourd'hui les dissidents sont à l'Est, ils vont passer à l'Ouest. »
5 août 2023
Surveillance totale et risque de coup d'État en France (vidéo)
Idriss Aberkane avec Rémy de Juste Milieu
⇒ https://www.youtube.com/watch?v=Pwbbaqj7Dxc
Grève discrète des policiers en France, progression écrasante d'un modèle de société orwellienne et fascisante où "si vous n'avez rien à cacher vous n'avez rien à craindre", et dans laquelle n'importe qui pourra voir les caméras de ses téléphones et ordinateurs ouvertes à son insu, jamais la société française n'a été aussi proche à la fois de l'implosion et du totalitarisme. Devoir d'information oblige, nous faisons le point avec Rémy de la chaîne Juste Milieu, un des plus éminents journalistes citoyens du Paysage Internet Francophone.
30 juillet 2023
TENTONS DE RÉSUMER L’ÉTAT DU MONDE EN 2023...
Marc Amblard
Une oligarchie, qu’on a à peu près identifiée, est en train d’appliquer aux populations les préceptes d’une idéologie se nourrissant de trois courants de pensée :
1) Le malthusianisme : la population doit baisser drastiquement en raison d’une réduction des ressources naturelles – Bill Gates l’a maintes fois proclamé dans ses conférences, notamment durant les sessions TED (voir les vidéos).
2) Le réchauffisme : par leurs modes de consommation, les humains sont responsables du réchauffement de la planète (…) ; on sait à présent qu’il s’agit d’une belle escroquerie.
3) Le collectivisme (ou marxisme) : aux maux du monde, il ne peut y avoir de solutions que collectives et pour qu’elles soient atteintes, il nous faut abandonner nos libertés les plus élémentaires et faire confiance à ceux qui nous gouvernent (dont la nomination n’est plus démocratique).
Un tel paradigme s’apparente de plus en plus à une dérive sectaire et fascisante.
De surcroît, nos oligarques sont convaincus que les objectifs sous-tendus ne peuvent être atteints que si tous les pays du globe agissent de concert. À cette fin, ils aspirent à un effacement progressif des nations pour leur substituer un ensemble d’organisations internationales (ONU, FMI, OMS, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux…) auxquelles leur seraient transférés des pouvoirs croissants. Des monstres administratifs gérés par des représentants non élus, qui n’ont de comptes à rendre à personne.
Surtout pas aux populations. C’est le fameux « New World Order » dont les grands dirigeants nous rebattent les oreilles depuis des années.
Les pays devenant alors de simples « provinces » chargées d’appliquer des directives supranationales. Processus au demeurant bien engagé comme on a pu le constater avec l’application étonnamment coordonnée des mesures anti-covid, elles-mêmes anti-science.
Ces puissants se sont donc mis en tête de contrôler les peuples (par la peur et l’appauvrissement) afin de répondre à leurs délires « éco-régulateurs » et imposer leur vision du monde.
L’un d’entre eux, Klaus Schwab, grand gourou du World Economic Forum, a résumé le plan avec sa désormais célèbre formule « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux… ». Grotesque.
Voilà pour faire très court, ce qui semble être le nœud du problème.
Seul le réveil des peuples pourra y mettre fin. Ne tardons pas trop.
M. Amblard - 30/7/202319 juin 2023
Yann Thibaud
Dieux déchus, oublieux et nostalgiques de notre glorieuse origine, nous sommes inlassablement portés par une intense et ardente quête de beauté, une irrépressible soif de transcendance, que les misérables simulacres de notre monde décadent ne peuvent évidemment satisfaire.
Aussi alternons-nous, au fil des multiples épisodes de notre voyage sur terre, entre ombre et lumière, bonheur et malheur, extase et désespérance.
Jusqu'à ce que, nous tournant vers nous-mêmes et entreprenant d'y découvrir l'ineffable mystère de notre véritable et éternelle nature et identité, nous finissions par expérimenter la paisible sérénité que procure le regard neutre, témoin objectif de toutes les péripéties de notre tragi-comique existence.
Cet éveil, tant individuel que collectif, s'avérant la clé et la porte de sortie de notre prison, la silencieuse délivrance de tant de souffrances obscures et inutiles.
Jour de gloire, jour de beauté que celui de la fin, définitive et méritoire, de l'illusion, de toutes les impasses et folies qui ont marqué, tristement et fatalement, l'histoire humaine.
Voilà où nous en sommes aujourd'hui, dans le déroulement de notre itinéraire de vie : allons-nous continuer à nous couler et nous complaire dans le lit du mensonge et du conditionnement, ou bien sommes-nous prêts à assumer notre brillante mission d'aventuriers cosmiques, engagés dans la bataille pour la sauvegarde et la résurrection d'un monde en perdition ?
Vivons-nous ainsi aujourd'hui la fin ou le renouveau de notre civilisation, si surprenante, imprévisible et paradoxale ?
12 mai 2023
Yann Thibaud
L'oligarchie contre le peuple : telle semble être la nouvelle configuration qui se présente à nous aujourd'hui et qui explique les divers événements auxquels nous nous trouvons désormais confrontés.
À vrai dire, cette situation n'est nullement nouvelle, puisque voilà des millénaires que le peuple est encadré, structuré et conditionné par les pouvoirs en place, qu'il s'agisse de ceux du monarque ou du prêtre, de la royauté ou de la religion.
Mais ce qui est nouveau, c'est que le peuple s'en rende compte, prenne conscience des diverses manipulations dont il est l'objet, se révolte et manifeste son désaccord, sa critique et sa réprobation à l'égard de ce même pouvoir.
Allons-nous, dès lors, vivre « l'ère des soulèvements », comme le prophétise le sociologue Michel Maffesoli, ou le propose l'avocat Juan Branco ?
Ou bien pouvons-nous espérer et mettre en œuvre une transition en douceur vers une autre société, plus juste et plus égalitaire, plus harmonieuse et plus équitable ?
Nul ne connaît le futur, mais il nous est possible d'y réfléchir et de considérer le choix de société qui se présente aujourd'hui devant nous.
Allons-nous ainsi vers la fin ou vers le renouveau de notre civilisation ?
Où nous sommes-nous donc collectivement trompés, au fil de l'évolution des idées et des mentalités, pour nous trouver maintenant devant le risque de la disparition de notre monde ?
Et comment allons-nous négocier le virage vers un autre monde possible, celui de nos rêves et aspirations profondes et véritables ?
En effet, c'est une nouvelle culture dont nous avons aujourd'hui urgemment et ardemment besoin, une nouvelle conception de la vie sur terre, qui réconcilie l'aspiration des Lumières à l'émancipation et au bonheur, avec la spiritualité éternelle, seule apte à redonner sens et finalité à l'existence humaine.
22 mars 2023
Denis Collin
La longue visite de XI Jinping en Russie est incontestablement un événement majeur. La Chine affirme sa place dans la géopolitique mondiale et prévient les États-Unis qu'ils auront dorénavant beaucoup de soucis à se faire. Les Européens sont renvoyés à leur misérable inexistence, excepté comme champs de manœuvres des nations qui comptent.
De cette situation, on pourrait se réjouir : la fin de la domination occidentale ne serait que justice ! On confierait volontiers aux puissances montantes la mission de punir ce capitalisme que nous n'avons pas su combattre et encore moins abattre.
Cette orientation, largement reprise un peu partout, est pourtant fort douteuse. Je n'ai pas très envie d'être soumis à la vision très particulière des droits de l'homme entre la Chine, l'Iran et l'Arabie saoudite... À côté d'eux, Poutine a même l'air d'être un démocrate. Le nouveau monde, pour lequel on s'enthousiasme ici et là ressemble fort à ce qu'il y avait de pire dans l'ancien monde, mais avec une technologie qui rendra bien vite toute résistance vaine. Les nouveaux maîtres ne me semblent pas préférables aux anciens. Le mieux est toujours de n'avoir pas de maître du tout !
Les transes qui ont saisi les classes dirigeantes d'Occident risquent fort de précipiter le mouvement, par réaction notamment contre les excès et les folies "sociétales". On sent ici et là naître une sorte de "poutinisme" pour Occidentaux, une aspiration au retour à l'ordre capitaliste ancien pur et dur qui devrait nous inquiéter.
Il va falloir se battre sur deux fronts : contre les folies du capital mondialisé sous domination américaine et les menaces de régression des libertés personnelles autant que publiques, que ces menaces soient internes ou extérieures. Cette civilisation qui a porté au plus haut point le revendication de la dignité de l'homme (Pic de la Mirandolle) pourrait disparaître pour longtemps. Si cela devait arriver, les vivants envieraient les morts, comme nous envions parfois l'air de liberté des années 1960/1970.
14 mars 2023
L'espoir d'une nouvelle humanité
Yann Thibaud
La décadence actuelle de l'Occident signe la fin des temps !
Le temps où celui-ci dominait le monde, et lui imposait son ordre et sa loi, son économicisme obsessionnel et sa prétendue démocratie, spectacle d'apparat, de façade et d'illusion.
Le temps du matérialisme triomphant, où l'humanité apprit à ne plus penser qu'à l'argent et aux diverses possessions qu'il permet, oubliant la grâce, la ferveur, le mystère et la beauté, se perdant dans les multiples farces et pièges, modernes ou post-modernes, de la médiocrité, du relativisme, de la perte de sens et de finalité d'une existence devenue inutile et parasitaire.
Le temps de l'accumulation indéfinie des droits, jusqu'à l'absurde, jusqu'à l'abject, autorisant tous les crimes et toutes les folies, au nom de la satisfaction illimitée des caprices d'une humanité, ayant perdu toute conscience de sa responsabilité et des conséquences de ses actes.
Le temps du mensonge et de l'hypocrisie, de la propagande et de la dissimulation systématique de la vérité.
Le temps du totalitarisme insidieux et pervers, épousant le masque des bons sentiments, des bonnes intentions, du politiquement correct et du spirituellement correct.
Mais cette décadence manifeste et flagrante signe également le début des temps !
Car, en nous explosant littéralement à la figure aujourd'hui, la dégénérescence de notre civilisation ne peut que nous amener au réveil, à la révolte et à la rébellion à l'égard de toutes les impasses dans lesquelles nous nous sommes collectivement fourvoyés depuis des années, depuis des décennies, depuis des siècles, depuis des millénaires.
La fin des temps est ainsi et aussi le commencement des temps.
Le temps du réveil, le temps du renouveau, de la renaissance et de la métamorphose de notre civilisation qui, décidément, ne veut pas mourir, mais se trouve désormais prête, au terme de sa lente et longue agonie, à changer, se modifier, se transformer et trouver enfin son véritable sens, sa destinée si étrange et si mystérieuse, son aboutissement incroyable, sa finalité insoupçonnée.
Le temps de l'émergence d'une véritable et authentique spiritualité, qui ne soit plus l'affaire des prêtres, des dogmes, des fastes et des rituels, mais du rapport intime que chacune, chacun entretient avec sa propre conscience et sa propre sagesse intuitive.
Le temps du respect, respect de la femme et du principe féminin, respect de l'enfant et de son innocence et ingénuité, respect de l'animal et de sa puissance libre, sauvage et indomptable, respect du végétal et de son désir de vivre sans poison, respect du minéral et de la planète qui nous accueille, avec tant de patience, de bonté, de sagesse, de grandeur et de prodigalité.
Le temps du partage, du don et de l'offrande, le temps du retour à l'égalité originelle des conditions, le temps de la cessation de l'abjecte et injustifiable injustice et discrimination des riches envers les pauvres, des puissants envers les gueux et les miséreux.
Le temps, enfin advenu, de l'éveil et de l'édification d'une nouvelle humanité, empreinte de savoir, de conscience, de sagesse et de miséricorde, apte à pardonner, apte à comprendre, apte à enseigner et ensemencer ce monde, une nouvelle humanité désormais réconciliée avec sa divinité et prête à l'incarner, la déployer et la manifester enfin !
28 février 2023
Le changement civilisationnel
Yann Thibaud
L'éveil de l'humanité se produit aujourd'hui, irrésistiblement et indéniablement, par la révélation (« apocalypse » en grec) du caractère illusoire, aliénant et manipulateur des différentes idéologies, qu'elles soient politiques ou religieuses, qui nous furent inculquées, récemment ou depuis des siècles, ainsi que des diverses autorités et institutions, qui en sont les émanations ou les représentants.
À cet égard, incontestablement, nous sommes servis !
Mais cette grande lessive, cet écroulement civilisationnel, pour douloureux et décevants qu'ils soient, n'en sont pas moins inévitables et indispensables, car on ne créera pas le nouveau monde avec les outils et les matériaux de l'ancien.
C'est l'erreur des marxistes et autres révolutionnaires : penser qu'en renversant l'ordre ancien, on en créera un nouveau, heureux et bienfaisant, alors même que perdurent toujours en l'être humain, les mêmes vieux réflexes prédateurs et paranoïaques, conduisant chaque fois à la formation d'une intelligentia bureaucratique et totalitaire, faisant le malheur du peuple et organisant sa soumission, sa désinformation, sa domination et son exploitation, par les moyens de la propagande et des multiples tromperies qu'elle véhicule.
Il est donc indispensable que les foules humaines cessent enfin d'accorder une confiance naïve et aveugle envers les êtres médiocres et ambitieux, qui se sont portés au faîte du pouvoir et s'en montrent chaque fois les indignes détenteurs.
La cessation de la confiance et la cessation de l'obéissance, tant redoutées par le pouvoir en place, sont ainsi les moyens de la cessation de la servitude et de la cessation de l'illusion et des multiples croyances aberrantes, dans lesquelles les êtres humains se sont délectés et ont été plongés depuis si longtemps.
Ce qui apparaît aujourd'hui comme un désastre peut donc également être vu ou lu comme un succès ou une réussite, prélude ou préalable, moyen et moteur du réveil, tant souhaité, tant attendu, de l'humanité et de sa reprise de souveraineté.
Le changement civilisationnel requis pour nous sortir de l'impasse actuelle, est donc de nature intérieure ou spirituelle : il s'agit ainsi pour l'être humain de réaliser et exercer son propre pouvoir et de décider, individuellement et collectivement, d'écouter et suivre le message de son cœur, le message de ses rêves, le message de son idéal, si longtemps enterré mais possiblement retrouvé, ressuscité et mis en œuvre.
Cet art de l'âme ou de l'esprit étant ce que j'appelle, pour ma part, « écologie intérieure ».
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