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15 septembre 2024

Mohamed Sifaoui (Auteur)

Hamas
Plongée au cœur du groupe terroriste

Que sait-on vraiment à propos du Hamas, et notamment en France ? Malgré des centaines d'heures de plateaux télévisés, plusieurs dizaines d'articles, il y a très peu de décryptages concernant cette organisation, liée idéologiquement aux réseaux des Frères musulmans.

Que sait-on de son histoire ? De ses alliances ? De son idéologie ? De ses objectifs ? Connaît-on ses manoeuvres ? Ses financements ? Les hommes qui la composent ? Est-ce une création des Israéliens, comme le clame la rumeur ?

Groupe terroriste pour les uns, organisation de résistance pour les autres, ce livre tranche le débat à partir d'éléments factuels et objectifs. Lié militairement à l'Iran et à ses organisations satellitaires, financièrement au Qatar et politiquement à la Turquie, le Hamas constitue une organisation très particulière.

Cet ouvrage est une plongée inédite dans les moindres recoins du Hamas. Comment cette organisation a-t-elle réussi à faire main basse sur la « cause palestinienne » ? Quels sont ses desseins à l'échelle régionale, mais aussi mondiale ? Quelles sont les conséquences des attentats du 7 octobre 2023, à la fois pour ce groupe islamiste et pour la région ?

Autant de questions auxquelles ce livre tente de répondre, afin de proposer une lecture lucide de l'avenir des Israéliens et des Palestiniens, et plus particulièrement des habitants de Gaza. Il n'est, quoi qu'il en soit, pas possible d'envisager un hypothétique « processus de paix » sans connaître cet acteur majeur qu'est le Hamas. Et il serait imprudent d'oublier son impact sur la politique intérieure des pays occidentaux, notamment en France. Tout comme il faut comprendre ses répercussions à la fois sur les Juifs de la diaspora et sur ceux qui sont attachés, de bonne foi, à la cause palestinienne.

Journaliste et politologue, Mohamed Sifaoui suit depuis une trentaine d'années l'évolution de toutes les organisations liées à la mouvance islamiste en général, et djihadiste en particulier. Il a déjà publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels Les fossoyeurs de la République (L'Observatoire, 2021), Pourquoi l'islamisme séduit-il ? (Armand Colin, 2010) ou Combattre le terrorisme islamiste (Grasset, 2007).

13 septembre 2024

Régis de Castelnau

Rubrique : solidarité

Le Conseil National des Barreaux (CNB) manifeste sa solidarité. Avec les Iraniens réprimés par le régime des mollahs. Cet engagement international des avocats pour soutenir ceux qui subissent cette répression est à saluer.
Cependant il y a actuellement un pays où on commet des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité, où des juristes internationaux disent qu’on y commet un génocide, où on arrête et détient arbitrairement des milliers de personnes, y compris des enfants, où on les torture et où les tortionnaires sont invités à la télévision pour revendiquer leurs crimes. Un pays dont l’armée a massacré 20 000 enfants, des centaines de journalistes et dont les juridictions internationales démontrent qu’il viole tous les jours le droit international en faisant régner un apartheid dans les territoires conquis par les armes et illégalement occupés.
Le problème, c’est que lorsque l’on parcourt la liste des communiqués du CNB, on ne trouve rien, pas un mot, à propos de ce qui se passe en Palestine.
Cette abstention et ce double standard dont on peut craindre qu’ils soient le reflet d’un engagement politique, aboutit nécessairement à affaiblir, voire vider de sa substance, l’expression pourtant indispensable d’une solidarité avec les victimes de la répression iranienne.

Rapport Draghi : le constat d’échec cuisant des réglementations européennes

H16

13/9/2024 - L’Union européenne, c’est vraiment une réussite : non seulement, elle nous permet de faire l’expérience sur le sol européen d’une guerre essentiellement paisible, mais en plus, elle nous garantit une économie en croissance maîtrisée, bien à l’abri des tonitruantes innovations qui menacent régulièrement les citoyens européens de leurs bienfaits un peu trop positifs.


Ouf ! Sans les subtils efforts du Commissaire Breton et de toute la Commission européenne derrière lui, les citoyens européens auraient été confrontés à l’arrivée de l’iPhone 16 et de quelques unes des innovations technologiques qu’il propose, notamment en matière d’intelligence artificielle. Il apparaît en effet qu’Apple, confronté aux contraintes imposées par le Digital Market Act européen, a renoncé aux fonctionnalités avancées de son dernier iPhone 16 sur le territoire européen.

Cette décision d’Apple pourrait peut-être sembler déraisonnable : après tout, il ne s’agit que d’une petite conformité à quelques aspects légaux auxquels les législateurs européens tiennent fermement, voilà tout.

Peut-être. Ou peut-être pas, si l’on en croit les conclusions du rapport que Mario Draghi vient de publier, lui qui s’était vu confier la tâche d’évaluer le futur de la compétitivité européenne par l’actuelle présidente de la Commission européenne.

Présenté en conférence de presse il y a de cela quelques jours (et lisible en détail ici), ce rapport brosse un tableau intéressant de l’Europe et ne laisse guère de doutes sur les petits soucis qui se sont développés ces dernières années.

Pour mémoire, Mario Draghi, c’est un peu ce plombier miraculeux non pas issu d’un jeu vidéo, mais plutôt de la bureaucratie financière italienne puis européenne. Il s’agit d’un des artisans de l’entrée de l’Italie dans l’euro, grâce à l’appui de la société JP Morgan qui, juste avant l’avènement de la monnaie unique, achètera pour 35 milliards d’euros de swaps en deux ans et permettra ainsi de faire passer le déficit budgétaire de la botte italienne de 7.5% à 2.5% du PIB… Après ce “succès”, de banquier central italien en 2006, il passera à la Banque centrale européenne en 2011. Et c’est à l’occasion de la crise de l’Euro à cette période qu’il exprimera tout son talent en s’asseyant avec décontraction sur l’interdiction de la BCE, pourtant inscrite dans les traités la fondant, d’acheter des obligations de pays mal gérés.


Bref, Mario est un homme de Davos et tout à fait dans la ligne du Forum économique mondial. Dès lors, si son constat semble correct concernant la dérive technocratique et bureaucratique du Léviathan européen, on devra donc faire extrêmement attention à ses recommandations, ses précédents exploits illustrant fort bien ce qu’on ne doit surtout pas faire.

Dans les constats, on retrouve – avec une surprise modérée – ceux déjà faits par d’autres avant lui que la croissance européenne a nettement décroché par rapport à la croissance d’autres zones, à commencer par l’américaine et la chinoise ; dans un monde où les autres avancent, se contenter de faire du sur-place revient à prendre du retard : ainsi, en 50 ans, aucune entreprise de 100 milliards de dollars de valorisation n’a vu le jour en Europe alors que, dans le même temps, les États-Unis sont parvenus à en créer 6 dont la valorisation dépasse maintenant les 1000 milliards de dollars.


Pour l’ex-banquier central, l’une des principales raisons de l’écart de performance est résumé par une poignée de graphiques, et notamment ceux montrant la différence des prix de l’énergie entre la Chine, les États-Unis et l’Europe. Le constat est globalement catastrophique : alors que l’Europe supportait des prix industriels du gaz entre les prix américains (plus bas) et les prix chinois (plus élevés), la guerre en Ukraine les a fait durablement exploser bien au-dessus de tous avec une augmentation de 345% (!)…


Le rapport note au passage que l’Union européenne est devenue le premier importateur de gaz liquéfié au monde mais que négociant de manière dispersée, n’arrive pas à tirer le moindre bénéfice de sa taille, à la différence de la Corée et du Japon. Quant à cette nouvelle place de premier importateur, elle provient directement de l’application des lumineuses idées de sanction qui ont été mises en place en 2022 et ont vraisemblablement transformé la situation européenne de sur-place précédemment observée en véritable dégringolade à partir de 2022.

Mais de façon encore plus importante que ces aspects spécifiques à l’énergie (qui reste la base même de l’économie et qui entraîne absolument tout le reste dans son sillage), c’est l’autre constat qui explique le sur-place en premier lieu : l’analyse détaillée des contraintes qui pèsent sur les entreprises européennes montre sans ambiguïté que c’est bel et bien le régulateur européen le premier responsable des très médiocres performances européennes.



“Le problème n’est pas que l’Europe manque d’idées ou d’ambition. Nous avons de nombreux chercheurs et entrepreneurs talentueux qui déposent des brevets. Mais l’innovation est bloquée à l’étape suivante : nous ne parvenons pas à traduire l’innovation en commercialisation, et les entreprises innovantes qui souhaitent se développer en Europe sont entravées à chaque étape par des réglementations incohérentes et restrictives.”

Lors de la conférence de presse, Draghi a ainsi assez clairement exprimé ceci avec une formule lapidaire mais que beaucoup de libéraux, beaucoup de chefs d’entreprises, beaucoup d’économistes lucides et beaucoup de citoyens confrontés à cette réalité quotidienne ne pourront qu’approuver : l’Europe est en train de tuer ses entreprises à coup de législation. Par exemple, on estime que la règlementation sur la protection des utilisateurs (RGPD) – qui se traduit par une avalanche de fenêtres désagréables à chaque site web européen visité – « réduit les bénéfices des petites entreprises technologiques de 15% », ce qui constitue un échec catastrophique (prévisible et prévu, du reste) qui profite en fin de compte aux grandes entreprises technologiques ainsi qu’aux petites étrangères.


Au passage, cette catastrophe n’est pas une figure de style puisqu’une évaluation du coût des contraintes légales qui empêtrent les entreprises européennes a même été réalisé et corrobore le rapport Draghi, et cette étude évalue ainsi à près de 4% du PIB sont ainsi perdus en France rien qu’à cause de ces aspects.


En fait, toutes les constatations de Draghi dans son rapport sont un véritable désaveu cinglant des politiques européennes mises en place sur les vingt dernières années au moins et en particulier sur celles qui ont porté sur le numérique dans lequel l’Europe se fait assez violemment distancer non seulement par les États-Unis, déjà leader depuis longtemps, mais aussi par la Chine qui, en vingt ans, a non seulement rattrapé l’Union mais la laisse dans la poussière de l’Histoire.

Ce rapport commandé par von der Leyen est une véritable gifle à la présidente de la Commission, ainsi qu’à son commissaire attaché au Marché Intérieur, Thierry Breton qui incarne si parfaitement la sur-règlementation, l’arrogance bureaucratique et l’échec institutionnalisé notamment dans sa ridicule guéguerre contre Musk qui n’a d’ailleurs pas manqué de relever la pertinence des constats de Draghi.

Ces constats posés, les recommandations de l’ex-banquier feront cependant frémir tous ceux qui ont compris la racine du mal, à savoir l’hubris démesuré des législateurs sans freins : avec une (très) longue litanie d’interventions des États (et du bras législatif et exécutif européen) dans tous les domaines où l’Europe s’enfonce, on sait déjà qu’une application, même modeste, de ces recommandations aboutira à accélérer l’enfoncement.

De tout cela, seuls quelques gauchistes niais trouveront leur compte dans ce qui s’apparente à un suicide désorganisé, inconscient mais obstiné de l’Europe : finalement, la décroissance, on est en plein dedans.


https://h16free.com/2024/09/13/78633-rapport-draghi-le-constat-dechec-cuisant-des-reglementations-europeennes

CONSIDÉRATIONS SUR LA DETTE DE L'ÉTAT ou C'EST BIEN UN ADIEU, PAS UN AU REVOIR

Gabriel Nerciat

13/9/2024 - Depuis l'époque maintenant lointaine d'Antoine Pinay, de Raymond Barre ou de Pierre Bérégovoy, à chaque fois que j'entends un ex-ministre ou Premier ministre en faire des tonnes sur le déficit et sur la dette (sur le mode "nous acceptons de ruiner l'avenir de nos enfants", etc.), je sais, avec un instinct aussi sûr que jamais démenti, que le type en question est un parfait tocard, et que sa carrière nationale n'ira jamais au-delà de Matignon ou de Bercy.
Le verdict est encore plus implacable lorsque l'ambitieux Père-la-Rigueur se réclame de la souveraineté de la France (neuf fois sur dix, il s'agit d'un européiste) ou du chantage à la banqueroute nationale (qui achève de démontrer qu'il s'agit bien d'un escroc).
Proposer aux Français comme seule ambition politique de réduire la dette ou le déficit budgétaire, surtout quand on a ardemment contribué à les creuser soi-même pendant sept ou dix ans, est une pure insanité pour au moins trois raisons.
1) Un État qui ne s'endette pas ne sert à rien, de même qu'une entreprise qui n'investit pas. La question n'est pas la dette en soi, mais ce qu'on en fait. Si c'est pour construire de splendides châteaux comme Louis XIV ou Louis II de Bavière, voire arracher la Franche-Comté à l'Espagne ou l'Alsace aux Impériaux, c'est très bien ; si c'est pour multiplier l'assistanat et les prébendes intéressées à des clientèles administratives et politiques ou instaurer un pernicieux despotisme sanitaire, c'est très mal.
2) Il est tout à fait dans l'ordre des choses que la sixième puissance économique du monde, où règne depuis longtemps une administration fiscale zélée et intransigeante appuyée sur une moyenne bourgeoisie rentière des plus serviles, s'endette : ses créanciers ne savent que trop bien qu'elle ne risque guère, malgré le piège de la zone euro et les iniquités de la mondialisation, de faire banqueroute comme l'Argentine ou la Grèce. Là encore, le vrai problème n'est pas de contracter des dettes, mais plutôt de savoir qui sont les créanciers (nationaux ou étrangers, particuliers ou institutionnels) auprès desquels l'État s'endette, et quel usage ils entendent faire des créances qu'ils détiennent.
3) On a compris depuis longtemps que tous les candidats qui promettent de réduire la dette et les déficits vont faire le contraire une fois parvenus au pouvoir. Macron fait d'autant moins exception qu'il a fréquenté le monde de la haute finance, et sait à quoi s'en tenir sur les dizaines de milliards d'euros que récoltent chaque année les banques d'affaires et les fonds d'investissement détenteurs de nos obligations du Trésor. C'est un peu la même opération qu'un psychanalyste qui vous promet de guérir vos névroses, ou une femme farouche qui suggère de se révéler plus facile après avoir entrevu vos bijoux de famille.
Tout cela pour dire que Bruno Le Maire a bien fait de convier 5000 personnes aux frais du contribuable, en sonnant le tocsin d'une République dispendieuse, pour leur faire ses adieux devant les caméras : quoi qu'en dise la pythonisse Michel Houellebecq, il est à craindre, ou à souhaiter, qu'on ne le revoie plus avant longtemps, même au salon de la littérature érotique aux côtés des excellentes Octavie Delvaux et Julie-Anne De Sée.

Conseil Mondial des Imams, Déclaration sur l'exécution d'otages par les terroristes du Hamas

12 septembre 2024

« Je vis à Paris depuis plus de deux ans et je ne pensais pas que ma vie serait mise en danger ici. »

Régis de Castelnau

Rubrique : chaise longue

Après le débat opposant Harris à Trump à la télévision américaine, reprise des spasmes d’adoration pour la candidate démocrate et d’exécration pour le républicain.
Tout le système médiatique français (y compris les réseaux) a donné le spectacle des ravages de notre mentalité de colonisé. La « gauche » s’est surpassée, jusqu’aux dirigeants exprimant leur soumission dans la langue des maîtres.
La palme de la servilité revenant à Libération se précipitant pour titrer : « Présidentielle américaine Kamala Harris écrase Donald Trump dans un débat à sens unique. » La simple lecture du New York Times, résolument engagé derrière Harris, permettant pourtant d’apprendre que ce fut beaucoup plus serré et équilibré.
Finalement, pour avoir de tout cela une approche équilibrée, il vaut mieux écouter Maria Zakharova, la majestueuse porte-parole de Sergueï Lavrov, le ministre russe des affaires étrangères.
Interrogée sur le débat et plus largement sur la prochaine élection américaine, elle a répondu : « Qui s’intéresse à une querelle sur l’emplacement des chaises longues un quart d’heure avant la rencontre du Titanic avec l’iceberg ? »
Pas mieux. 12/9/2024

VIDÉOS, DÉLATION ET SCANDALE

Gabriel Nerciat

11/9/2024 - La France du début du XXIe siècle : ce pays veule et fragmenté de consciences délatrices, où le film d'une fessée administrée à une fillette hystérique suscite plus d'émoi et de scandale que le suicide d'un paysan, la bastonnade d'un enfant juif, la détresse d'un travailleur pauvre qui couche dans sa voiture, la torture d'un retraité octogénaire au fer à repasser ou l'appel public au Djihad en plein cœur de Paris.
Pauvre père Antoine, quand tu iras te pendre au fond de ta grange, n'oublie pas d'activer la caméra de ton portable avant de passer ton cou dans le nœud de la corde.
Il faut bien ça pour que ta fin pitoyable ait la moindre chance de devenir autre chose qu'un fait divers.

Il y a un agenda inquiétant derrière leur mise en scène

François Meylan

23/8/2024 - Dans cette interview, publiée une seconde fois suite à une censure, l'essayiste et commentateur François Meylan discute de l'ouvrage Animalia d'Oskar Freysinger, une fable animalière qui critique de manière incisive la société moderne, dénonçant la montée d'un totalitarisme qui ne dit pas son nom et des atteintes aux libertés individuelles en Occident.

L'interview explore également le rôle déclinant des médias dans la société occidentale, autrefois considérés comme le quatrième pouvoir. Monsieur Meylan condamne sévèrement la censure et la transformation des médias en outils de propagande. Il évoque le manque de débat public et l'auto-censure des journalistes, surtout dans le contexte de la gestion médiatique de la crise du Covid-19.

L'effondrement des valeurs humaines et la déshumanisation sont d'autres thèmes centraux de la discussion. Monsieur Meylan décrit une société où les individus sont réduits à des "codes barres," des éléments utilitaires au service d'un système qui privilégie une élite. Il met en garde contre les dangers du wokisme, qu'il voit comme un mouvement destructeur visant à démanteler les structures traditionnelles, y compris les États-nations et la famille.

00:00 : Prélude
00:55 : Rencontre avec M. François Meylan
1:25 : La liberté dans le dernier ouvrage d’Oskar Freysinger
2:40 : La connaissance de soi
6:00 : Un totalitarisme qui ne dit pas son nom ?
8:07 : Les médias pendant la crise covid
14:12 : RKI-Files, le début de la remise en question ?
17:00 : Retour sur la cérémonie des JO 2024
25:00 : Un agenda progressiste
26:20 : Tourner en dérision la tradition et le divin
29:17 : Les étiquettes qui disqualifient
30:30 : Une société du paraître déshumanisée
36:56 : La culture du doute 

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11 septembre 2024

Ze Rhubarbe Blog

Peut-on exclure les vaccins Covid comme cause de la surmortalité hors Covid ?

Ben non.
Article rédigé par le spécialiste en médecine environnementale Günter Kempf dans le très mainstream Berliner Zeitung.
Il analyse les chiffres officiels disponibles (notamment britanniques) montrant une corrélation entre phases de vaccination de masse et hausse de la surmortalité hors Covid.
Reprenant les risques avérés relatifs à cette vaccination, il estime que la relation causale ne peut être exclue, même si les acteurs impliqués dans ces politiques de vaccination expérimentale de masse (politiciens, scientifiques, médecins, médias, et les covidistes en général) ne veulent plus parler de ce sujet.
Évidemment.