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1 février 2023

Dans la série "Alors tu vois, moi par exemple..."

Catherine Gaillard

Après qu'il ait été calculé il y a quelques années que j'avais droit à une retraite de 900 euros après avoir travaillé depuis l'âge de 17 ans et ensuite élevé seule 2 enfants, j'ai dû reprendre un boulot pour pouvoir de temps en temps gâter très modestement mon petit-fils, ou par exemple simplement m'acheter un vrai manteau ou des chaussures chaudes.
J'ai été embauchée pendant 3 ans en temps que nounou/aide scolaire chez différentes familles pour en moyenne 250 euros par mois. Au passage, je vous le dis, c'est dur, même si comme moi on aime tendrement les enfants (eh oui, il faut se coltiner les parents ^^)...
Déclarée, j'ai donc vu diminuer la modeste APL (aide personnalisée au logement) : de 160 euros, elle est passée à 120 euros. Perte sèche 40 euros, donc.
OK.
Parallèlement, les points retraite obtenus à la base de calcul de la pension de retraite n'augmentent pas si tu reprends un boulot. Donc mon travail de nounou pendant 3 ans ne m'a donné aucun point supplémentaire, et m'a laissée avec ma retraite de 900 euros.
Parallèlement également, on ne m'a jamais rétabli mon APL de départ, alors que je ne "fais" plus nounou depuis. Enfin, si, j'ai récupéré pas tout à fait 10 euros, parce qu'entre-temps Macron avait décidé de toute façon de diminuer les APL (y compris pour les étudiants, tous les étudiants).
J'ai bien conscience que ce sont là des comptes d'apothicaire, mais les pauvres en sont réduits à ça, aux comptes d'apothicaires. Même dans les rêves, la nuit, on fait encore les comptes (d'apothicaire).
Et il y a des situations bien plus problématiques que la mienne. Et quasiment toutes, elles passent sous les radars. Et on se garde bien de régler les radars.
Comme dit Mme Elisabeth Lévy au sujet de la "réforme" des retraites : « Oui, mais doit-on toujours écouter LA RUE ? »

Les mystères d’une faillite absolument générale de la puissance publique

Maxime Tandonnet


Les statistiques de la délinquance sont désastreuses pour 2022 : +15% des coups et blessures, +11% des violences sexuelles, +8% des cambriolages, etc. Celles de l’immigration sont encore plus dramatiques. +320 000 premiers titres de séjour et +150 000 demandeurs d’asile, un record historique absolu.

Mais dernièrement, la guerre en Ukraine a mis en lumière l’état délétère de l’armée française, tout juste capable d’aligner 200 chars lourds, dont certains hors d’usage (contre des milliers pour l’Allemagne…).

Le niveau scolaire s’effondre : la France est avant-dernière de l’OCDE du classement Timss en mathématiques et 23e en lecture et écriture selon PISA, submergée par les problèmes d’indiscipline et de violences à l’école.

La crise sanitaire a révélé la faillite de son système médical et hospitalier, incapable de fournir des masques quand il en fallait et d’accueillir plus de 5000 places en réanimation au plus fort de l’épidémie.

Son industrie est en plein effondrement à en juger par les records européens des déficits de son commerce extérieur (120 milliards annuellement).

Sa politique sociale est un échec avéré au regard de près de 10 millions de personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté selon l’INSEE, 5 millions de personnes privées d’emploi et 2 millions d’allocataires du RSA.

Même sur le plan énergétique, notre pays qui s’est longtemps targué de son leadership nucléaire est frappé de plein fouet par les pénuries et hausse de prix astronomiques.

Pis : son État de droit et ses libertés ont montré d’inquiétants signes d’effondrement pendant la crise sanitaire, dévastés par l’Absurdistan bureaucratique et liberticide. Et même la démocratie française connaît une crise sans précédent quand on songe que le taux de participation aux législatives ne dépasse pas les 46% et les 30% aux dernières législatives partielles.

Ce qui est absolument sidérant, c’est le caractère général d’une faillite qui touche tous les secteurs de la vie collective.

Autre étrangeté : cet écroulement général va de pair avec une gabegie d’argent public. Les services publics (école, sécurité, hôpital, armée…) s’effondrent alors que la planche à billet fonctionne à plein régime. La France bat tous les records européens de prélèvements obligatoires, impôt et cotisations sociales (46%). Mais en outre, sa dette publique explose, pulvérise elle aussi tous les records : +560 milliards en deux ans selon la Cour des Comptes dont 140 milliards liés à la crise sanitaire, soit une dette publique de 3000 milliards € c’est-à-dire 113% du PIB.

Alors que devient l’argent ainsi créé dans des proportions astronomiques et qui ne sert pas le bien commun ? Où est-il passé et qui peut le dire ?

Face à cette débâcle historique, les dirigeants politiques n’ont d’autre souci que de fabriquer des leurres :

- Grand-Guignol narcissique facilité par le système élyséen ;

- Quête du bouc émissaire (sans-dents, Gaulois réfractaire, Gilet jaune ou non-vacciné) ;

- Déchirer la société, cultiver les crises et les conflits sociaux à l’image de l’actuelle réforme des retraites (le chiffon rouge des 64 ans est largement inutile dès lors que le nombre d’annuités nécessaire pour toucher une retraite à taux plein est de 43 ans pour un âge moyen du premier emploi à 22 ans et 5 mois – sauf pour frapper les personnes ayant travaillé avant l’âge de 21 ans ce qui revient à l’alinéa précédent);

- Gesticulations chauvines autour de gloires sportives aussi vaines que grotesques.

Le pouvoir actuel depuis 2017 n’est évidemment pas seul en cause dès lors que nous vivons les conséquences d’une faillite qui remonte sans doute à plusieurs décennies (1981?). Cependant, sa caractéristique et son authentique talent est de porter à la perfection l’art de l’enfumage.

Alors, l’imposture des impostures serait de prétendre que du jour au lendemain, il est possible de remédier à cet état de fait. La démagogie absolue est de préconiser des remèdes qui consistent à amplifier toujours davantage les méthodes qui ont conduit au désastre, par exemple la gabegie d’argent public par la distribution de chèques sans provision.

Mais avant de prétendre engager une œuvre de redressement, sur des décennies, il faudra commencer par changer d’état d’esprit : substituer le choix de la vérité à celui de l’esbroufe et faire la clarté sur ce qui reste un mystère: où est passé l’argent du bien commun qui a servi à tout autre chose ? Et ouvrir sans tabou une réflexion sur les raisons profondes de cette effarante débâcle de plusieurs décennies – sans laquelle aucun renouveau n’est envisageable.

La recherche en France au plus mal

Jean-Pierre Luminet

En 45 ans de « carrière » passés au CNRS, j’ai vu cet organisme passer progressivement du statut « d’opérateur de recherche » (qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être) à celui « d’agence de moyens », et maintenant « d’agence de programmes » qui réalise l’idéal de la techno-bureaucratie : une institution de recherche débarrassée des scientifiques.
Inutile de préciser ici ce que j’en pense. J’assiste désormais de loin, et avec de plus en plus de détachement, à la lente agonie de la recherche française (accompagnant comme il se doit la chute à l'abîme générale).
Pour mieux faire comprendre les différences entre opérateur de recherche, agence de moyens et agence de programme, je reproduis ci-dessous un texte du collectif RogueESR, créé en 2017 pour promouvoir une université et une recherche libres, exigeantes et placées au service de l’intérêt général et de l’émancipation, à l'exact opposé de la politique menée par le gouvernement actuel.
Un opérateur de recherche emploie des chercheurs et chercheuses, gère des laboratoires et leur alloue des moyens pour produire, critiquer et conserver les savoirs. C’est une institution qui organise une communauté de savants, animée par son mouvement propre de questionnement endogène, qui crée le savoir comme un commun de la connaissance, qu’aucun intérêt particulier ou privé ne peut s’approprier. Les disciplines s’y articulent comme autant de manières d’aborder la compréhension du monde. Cette recherche désintéressée de vérités irréductibles à toute dimension utilitaire suppose l’autonomie des chercheurs vis-à-vis des pouvoirs politiques, économiques et religieux. L’autonomie suppose, en sus de la liberté de recherche; une liberté d’organisation fondée sur la collégialité – donc une absence de bureaucratie. En retour, le monde scientifique s’engage à dire le vrai sur le monde en toute indépendance mais aussi à être un moteur de réflexivité et un réservoir de solutions latentes pour les problèmes que la société doit affronter. Le principe d’autonomie se redouble d’un principe de responsabilité devant la société.
Une agence de moyens finance des projets scientifiques conformes à des normes hétéronomes, édictées de manière diffuse. Ce n’est plus une institution de scientifiques, mais un nexus de relations contractuelles plaçant des scientifiques précaires sous la responsabilité de managers de la science, les PI (Principal Investigator), porteurs de projets en quête d’investissement et soumis au pouvoir de sélection des investisseurs. Les agences de moyens produisent un contrôle incitatif des chercheurs : la mise en concurrence joue un rôle disciplinaire d’autant plus efficace qu’il est furtif et parcimonieux en moyens. Les porteurs de projet sont ainsi dépossédés de leur professionnalité et de leur métier par un dispositif qui vise à les persuader de leur possible incompétence. Ils sont placés sur le fil du rasoir, dans un état de précarisation subjective fondé sur une double injonction paradoxale à la créativité, à l’innovation voire à la « disruption », et en même temps à la conformité à une bureaucratie normative, faite de « délivrables », de « jalons », de « valeur ajoutée », d’« impact sociétal », d’« échéanciers », de quantification de la fraction de chercheur impliqué à exprimer en « homme.mois », de « coût consolidé », de construction d’ « indicateurs de performance » et de « programmation d’objectifs ». Par ses normes et ses procédures, une agence de moyens peut ainsi promouvoir start-ups et partenariats public-privé.
Une agence de programmes organise des programmes de recherche définis par le politique. La sphère dirigeante de l’État définit ainsi des « défis sociétaux », supposés répondre aux aspirations de la société, mais qui visent surtout à apporter l’aide de l’État à la sphère économique. Ainsi, les Programmes et équipements prioritaires de recherche (PEPR), qui font l’objet d’une mise en concurrence entre organismes et établissements universitaires pour en assurer le pilotage ou les proposer à un « jury international ». Le sujet de l’agence de programme n’est plus le chercheur ou la chercheuse, ni le PI ou le manager de la science, mais le « pilote de programme » dont la qualité première est de n’avoir aucun contact avec la recherche, la science ou la pensée.

31 janvier 2023

SCEPTICISME SOCIAL

Gabriel Nerciat

J’avoue qu’en dépit du succès indéniable et massif des manifestations organisées par les syndicats institutionnels depuis une dizaine de jours, j’ai du mal à prendre au sérieux le mouvement initié contre la réforme des retraites.

De loin, car je n’y participe pas, il me semble à la fois trop conventionnel et paradoxalement trop consensuel pour parvenir à ébranler en profondeur le pouvoir macronien, dont l’isolement a cessé de constituer la principale faiblesse.

Il me donne même l’impression de se résumer pour l’instant à une sorte de pantomime un peu académique ou convenue que la gauche se joue à elle-même, à travers la provisoire réconciliation de la CGT et de la CFDT, devant un public qui est à la fois bienveillant et secrètement résigné.

Car à vrai dire, il n’y a aucune raison pour que Macron cède aux pressions de la rue si elles se limitent à ce qu’elles sont aujourd’hui : le Banquier Président a été réélu pour un second et ultime mandat, et assez largement par ceux-là mêmes (Mélenchon, Rousseau, Jadot, Martinez, Berger, Autain) qui manifestent aujourd’hui contre un projet de réforme, certes parfaitement injuste et bêtement comptable, mais qu’il avait pourtant très clairement assumé et annoncé lors de la courte campagne présidentielle qu’il a menée l’an dernier.

Politiquement, Macron aujourd’hui ne risque plus grand-chose, sauf si une nouvelle insurrection comparable à celle des Gilets jaunes provoquait une crise de régime, mais actuellement je n’en vois pas du tout les conditions réunies : il est rare qu’on parvienne à déstabiliser ou à renverser un chef d’État en début de mandat, surtout quand ses oppositions sont divisées et se complaisent assez bien dans l’entretien de cette division (le week-end dernier encore, les mélenchonistes ont fait élire, à 600 voix près, dans une législative partielle de Charente, une candidate macronienne contre une députée sortante du RN).

En règle générale, j’ai toujours du mal à donner raison à des gens légers, inconscients ou versatiles, qui n’assument pas les conséquences de leurs opinions ou de leurs actes.

Car il n’y a pas eu seulement la confortable réélection de Macron en amont de cette contre-réforme. Sans cesse depuis vingt ans, les Français, même s’ils s’abstiennent de plus en plus dans les urnes, n’ont cessé de porter au pouvoir des présidents maastrichiens (plus ou moins) favorables à la mondialisation et à l’intégration européenne en mode ordo-libéral de type germanique.

Que croient-ils donc ? Qu’ils vont parvenir à maintenir un système coûteux et isolé de répartition des richesses ou des retraites dans un monde voué depuis quarante ans au libre-échange global et au cœur d’une nation à la souveraineté entravée ainsi qu’en proie au déclin démographique ?

Les hommes et les femmes de gauche ressemblent de plus en plus aux aristocrates de la fin de l’Ancien Régime, dont Rivarol disait qu’ils prenaient leurs souvenirs pour des droits. Or aucun droit n’a de valeur en soi ; il dépend d’abord des normes et des principes qu’une société se reconnaît comme étant les siens à travers le choix des élites qu’elle a chargées de les défendre.

Pour que Macron recule, il ne faut pas seulement des millions de personnes dans la rue, mais a minima que sa majorité parlementaire se divise, que les vieux crabes LR lâchent le texte, et surtout que les classes moyennes paupérisées des provinces périphériques, potentiellement majoritaires chez les actifs, et les étudiants des universités des grands centres urbains entrent résolument dans la danse, sans craindre de devoir exercer contre les élus proches du pouvoir un certain degré de violences physiques (couper l’électricité de leurs permanences, c’est vraiment le minimum requis, et en fait bien peu de choses).

Je me trompe peut-être, mais pour l’instant je ne vois pas ces conditions en passe de survenir.

Les Inconnus - La guerre



L’étrange aveu de Bill Gates…

Gilles La Carbona

Les aveux de Bill Gates, le 28 janvier 2023 dernier, devraient en effrayer plus d’un. Le milliardaire change brusquement de discours et annonce tout de go, que « le COVID n’est pas plus dangereux qu’une grippe, étant donné sa faible mortalité… ». Diable, nous aurait-on menti depuis le début ? Avec des accents d’une vraie fausse sincérité, il tente de se dédouaner des décisions dont il est largement à l’initiative, notamment de la vaccination. N’est-il pas le premier concerné dans l’élaboration des vaccins, ou dans la pression auprès de l’OMS, pour une vaccination mondiale obligatoire ? Face à l’explosion des effets secondaires, il est évident qu’il tente de faire porter le chapeau à d’autres.

N’oublions pas qu’il regrettait que l’Afrique ne se soit pas vaccinée à outrance ! Donc les complotistes auraient eu raison, impossible voyons, eux qui ont été chassés des réseaux, vilipendés, eux que notre gouvernement stigmatisait dans ses clips de propagande, lorsqu’il annonçait doctement qu’on pouvait discuter de tout sauf des chiffres et de dire que c’étaient les non-vaccinés qui se retrouvaient à l’hôpital, alors que c’était faux et que ça l’est encore. On se demande bien pourquoi aujourd’hui, il n’en parle plus, de ces fameux chiffres, qui prouvent une augmentation démesurée des myocardites, AVC, cancers foudroyants et bien d’autres joyeusetés… Il est même étrangement muet.

Une dictature ne commence jamais par des camps de concentrations, mais par le contrôle de la parole, de la pensée. Puis par l’éviction de toute opposition, par le clivage de la population. Ceux qui pensent bien, et ceux qui pensent dangereusement. Car c’était bien cela, et ça le reste encore par moment, si vous ne pensez pas comme Macron, vous pensez dangereusement, vous devez donc être insultés, mis au ban de la société, puis disparaître socialement.

Donc les confinements, les obligations vaccinales, prévues par les complotistes, qui donc, ne se sont pas trompés, tout ça fut un cirque inutile qui en plus, se transforme en un genre de génocide étalé dans le temps et dont nous commençons simplement à découvrir l’ampleur… Et Bill Gates, maintenant, nous fait ses révélations d’un air tranquille, sur le ton d’un : « Je me suis trompé, n’en parlons plus ».

Il a poussé tous les gouvernements à adopter des mesures ignobles et à faire injecter un produit expérimental à des millions de personnes, alors qu’il savait depuis le début tout ce qu’il nous raconte à présent. Il a forcé à la discrimination, à l’écroulement des économies, à l’inflation, dans un but qu’il devrait maintenant nous expliquer, puisqu’il a commencé les aveux. Notre gouvernement a suivi ces recommandations, il a menti, contribué à l’effondrement de notre pays, fait exploser notre dette pour rien, et le pire est qu’il continue.

Après de telles paroles, il est à souhaiter que la justice américaine l’arrête et qu’il soit jugé. Rien à attendre de la justice européenne et encore moins de la nôtre. Ni oubli, ni pardon, il faudra que tous les acteurs impliqués, rendent des comptes. Partout dans le monde le narratif covid s’effondre, il n’y a qu’en France qu’il subsiste. Le passe-sanitaire, l’obligation vaccinale, le refus des soins à ceux qui n’étaient pas injectés : en pure perte. Les hallucinants chiffres des morts, les hélicos envoyés pour transférer les malades, c’était de la mise en scène. Le rapport du ministère de la santé, quelques mois plus tard, publiait le vrai taux d’hospitalisés COVID, 5% au plus fort. Et le Conseil Constitutionnel d’avaliser les pires infamies.

Ces gens là ne doivent pas pouvoir s’en sortir, s’ils ont menti sur ce sujet. Pourquoi les croirait-on maintenant sur les retraites ? Sur l’Ukraine ? Et que dire de nos oppositions qui semblent plus complices que pressées de faire la lumière ?


30 janvier 2023

Vaccination ARNm et odeur de sapin

Vincent Verschoore


Le Dr Retsef Levi est un expert en analyse de risques pour le MIT. Il vient de publier une vidéo sur Twitter où, au vu des études d’impact disponibles depuis début 2021 en Israël et ailleurs, il appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination type ARNm. Il estime que l’inefficacité et la dangerosité de ces produits, notamment pour les jeunes, est suffisamment démontrée pour en justifier l’arrêt total. Il appelle à une analyse en profondeur sur la manière dont toute une communauté « scientifique » a pu accepter d’imposer un produit aussi mauvais et aussi dangereux, mais aussi financièrement rentable pour ses promoteurs.
(Il faut cliquer sur le lien « pic.twitter » pour accéder à la vidéo, sur Twitter)

Toutes choses que nous, « complotistes » démonisés à la sauce « antivax » par la bien-pensance ségrégationniste, ignorante ou corrompue et ses relais politiques, institutionnels et médiatiques, dénonçons depuis le début de cette histoire. Ce blog a commencé à s’en inquiéter sérieusement au printemps 2021, avec par exemple l’article « Vaccination Covid: la catastrophe qui vient? » (1).

Sans désespérer

Les signaux d’alerte sont apparus immédiatement, soulignés par les changements dans le narratif officiel face à l’avancée du réel, mais sans jamais remettre en cause le fondement purement commercial (et mafieux) de cette vaste expérience agricole. La question de la corruption était déjà abordée en décembre 2021, dans « Vaccination Covid, le grand marché de la corruption. » (2).

Même si la plupart des gens ne veulent plus en parler, le scandale est énorme et ses effets, sur la santé comme sur la confiance envers l’institution, encore difficiles à évaluer.

Entre-temps, les covido-fascistes macronistes et assimilés refusent toujours la réintégration des soignants, pompiers et autres suite à leur refus de se soumettre à l’expérience des Dr Mengele 2.0 (3). Aucun soi-disant « médecin » ne semble regretter avoir touché 900 euros par jour pour faire de l’abattage vaccinal, au mépris de tout serment et de toute éthique médicale.

Aucun repentir ne semble filtrer des ordres miliciens de la Gestapass et des Kapos vérifiant les Ausweis attestant de l’enrichissement des Pfizer et autres Moderna via la corruption massive du politique et des institutions, à commencer par l’Europe et l’infâme Ursula von der Leyen.

Les gens et les systèmes ayant permis et facilité la mise en place de cet immense racket sont toujours là, et ils nous la refont aujourd’hui au profit du complexe militaro-industriel et de la « guerre » non plus contre le virus, mais contre le Russe tout court (4).

Aucun politique ne semble capable d’en tirer la moindre leçon, la soi-disant « opposition » se limitant à se lever demain (le 31 janvier) contre la politique de celui dont elle appelait à la réélection en avril dernier. Alors oui, c’est désespérant, mais la volonté de résistance existe, très clairement, sous diverses formes, et tant qu’elle existe rien n’est perdu.

Censure et Fact-checking

Les Twitter Files et quelques articles parus dans la presse mainstream dévoilent le système de censure intégré aux Gafam, et pilotés par l’establishment, à l’encontre de toute « pensée déviante » et contestation du narratif officiel par des gens pourtant hautement habilités à le faire, tels que l’épidémiologiste Laurent Toubiana ici (5) ou le Dr. Jay Bhattacharya aux USA, pourtant professeur à l’École Médicale de l’université de Stanford. Un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

De toutes évidence, le portrait-type du militant d’extrême-droite « antivax » perpétuellement dénoncé par les bien-pensants ségrégationnistes dont beaucoup, aujourd’hui, arborent sans doute fièrement les insignes du régiment Azov.

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