Il n'y a plus de places pour les délinquants dans nos prisons saturées y compris pour les criminels en attente de jugements, comme celui qui a défoncé le crâne à coups de marteau d'un enfant de 12 ans et qui est en liberté en attente de son procès. Mais il y a encore de la place pour les policiers qui ont pourtant un droit inaliénable et sacré à la présomption d'innocence comme tous les justiciables. Notre société est piégée par l'inversion de ses normes et de ses valeurs.
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24 juillet 2023
Est-ce ainsi que meurent les civilisations ?
Anne-Sophie Chazaud
Chers amis,
Nous sommes nombreux je crois à ne plus savoir comment mettre en récit, mettre en mots, ce que nous vivons au plan collectif. Je le constate d’ailleurs sur ce réseau qui, certes en perte globale d’audience, a toutefois gardé ses abonnés, et lorsque j’observe ce qui s’y publie, je constate une forme d’impossibilité à dire. Alors ça ronronne, ça tourne un peu en boucle, ça radote, chacun dans son couloir, chacun selon son obsession, lançant encore vaguement quelques saillies à la cantonade, dans un désir attardé et jamais assouvi d’infantile et narcissique reconnaissance, mais pour dire quoi et, surtout, pour atteindre quel but ?
Moi, pour le moment, je ne sais pas mettre en mots de manière réellement représentative, le moment que nous traversons. Est-ce ainsi que meurent les civilisations ?, je me demande, par l’inaptitude à produire des récits et des mythes réellement structurants, lesquels produiraient eux-mêmes une « dogmatique » (chère à Pierre Legendre). Les récits à la fois s’essoufflent et se hissent grotesquement au niveau de la folie devenue ordinaire, aussi laide que stupide : une langue devenue folle (matérialisée par le delirium gadget de l’écriture inclusive) cherche à donner l’illusion d’un monde qui n’existe pas, à donner l’illusion qu’il est encore possible de produire quoi que ce soit comme si nous avions encore la capacité de produire quelque nouveau monde que ce soit, dans lequel les hommes accoucheraient et où le wifi provoquerait indubitablement la mort de la planète, simplement parce que sans ces discours de folie, ceux qui en sont les promoteurs savent qu’il n’ont absolument plus rien de sain, de fort, de puissant, chargé de « virtu » à proposer. On promeut un faux monde, un faux réel, une sous-littérature, une fake langue, afin de masquer l’effondrement du monde réel et la totale déshérence matérielle et morale de la partie la plus bruyante du monde occidental.
Je savais (je l’avais souvent dit) que 5 ans supplémentaires de Macron provoqueraient un chaos sans précédent : toutes mes projections sont complètement dépassées par l’ampleur du phénomène. La semaine dernière, l’individu a déclaré qu’il pouvait être fier du travail réalisé ces dernières semaines. Il est fier, il est content.
Je ne sais pas si l’on mesure le niveau psychiatrique particulier qu’il faut avoir atteint non seulement pour proférer cette phrase, mais aussi pour la subir (du côté des citoyens) sans broncher.
Le pays a montré à quel point il était gangrené, comme atomisé par les métastases d’effondrement de la loi, de l’ordre, de la sécurité, de la tranquillité, du bien-être, du simple plaisir de vivre. Les citoyens ont vu que la racaille pouvait à tout moment mettre la nation en péril, ainsi que nous l’analysions depuis plusieurs décennies : seul le rappel à l’ordre des dealers a fait rentrer, pour le moment, les petits S.A du système de mise à mort du peuple français dans le rang. Mais le Monsieur est fier, il est content.
Plus rien ne fonctionne normalement : les hôpitaux sont en déroute, l’économie en déréliction grâce aux mesures très intelligentes prises afin de complaire aux intérêts américains dans leur lutte contre la Russie, au détriment de toute considération pour les intérêts du peuple français – que l’on cherche de toute façon à détruire –, l’on annonce des augmentations faramineuses de tarifs de l’énergie sur fond d’une inflation déjà galopante, la justice ne fonctionne plus : les délinquants sont laissés libres tandis que les policiers qui les combattent sont embastillés (l’occasion hélas pour eux de constater ce que subissent les opposants politiques et sociaux de la macronie – qu’ils ont tant protégée – depuis des années), l’école est en déroute, cible des obsessions débiles du wokisme tandis que les enfants du monde asiatique apprennent, eux, les mathématiques, les sciences (les vraies), les langues, la littérature, l’histoire, nous faisant perdre d’ores et déjà au moins une ou deux générations d’intelligence collective à supposer que nous existions encore d’ici là. Nos grandes métropoles sont devenues des théâtres de l’immondice, souvent mis en scène par la stupidité nuisible d’exécutifs gauchistes qui se contrefichent bien de savoir comment le peuple vit ensuite au milieu des cloaques qu’ils engendrent : la drogue, la délinquance, la saleté, les rats, les espèces parasites, l’insécurité sont partout, tout est rendu sale, moche, du moment que l’on peut circuler entre deux drogués, trois racailles et quatre bacs à compost à vélo électrique muni de batteries fabriquées grâce au travail d’enfants esclaves du lointain : le gauchiste a globalement la conscience tranquille du moment qu’il vélotaf. Les centres-villes sont désertés, on ne compte plus les affiches « à vendre » sur les immeubles y compris des beaux quartiers, tout le monde cherche à fuir, mais fuir où ? Les bobos, on le sait, iront infester de nouveaux endroits qui seront ensuite pourris par leur présence. Les plus chanceux vont pouvoir s’expatrier. Mais les autres, comment vont-ils faire sinon subir une vie dans laquelle ils devront se mouvoir entre la saleté, la dangerosité, le stress constant de se dire que tout peut basculer en quelques secondes, il suffit de croiser les mauvaises personnes et l’on se retrouvera égorgé, blessé, violé, lynché, pour une cigarette, pour un regard, pour une robe sexy.
Mais le Monsieur bizarre est fier du travail accompli.
Que dire également de ceux qui l’ont mis au pouvoir et qui quelques semaines plus tard couinaient dans les rues en tapant sur des casseroles ? Que dire de ceux qui, face à l’effondrement auquel nous assistons, trouvent encore le moyen de dire « oui mais sinon ce serait le chaos et le fascisme » ?
Le chaos est là. Le fascisme est là aussi : on s’appuie sur le lumpen pour détruire le peuple, on embastille les critiques, les voix divergentes, on persécute le bloc populaire, sur fond de corruption matérielle et morale massive.
Et puis surtout, on fait s’habituer le peuple à cette nouvelle vie.
Dans le vide civilisationnel que nous laissons s’installent l’hyperviolence structurelle de l’obscurantisme religieux islamiste, le chaos anthropologique qu’incarne le néolibéralisme, et l’abêtissement délibéré des masses par tous les moyens.
En ce qui me concerne, les choses sont très claires : soit les prochaines échéances électorales permettront de sortir de cet état de déréliction que je n’aurais absolument jamais cru voir de ma vie, soit il faudra définitivement songer à aller vivre ailleurs, comme l’ont d’ailleurs déjà fait beaucoup de nos compatriotes de confession juive.
Voilà pourquoi profiter égoïstement de l’existence en attendant que les gens se réveillent – ou pas –, me semble être la seule chose à faire. Tout a été dit, tout a été montré, nous sommes nombreux à être prêts pour ce combat : au peuple à présent de faire preuve ou non de résilience et de réaction immunitaire face aux agents de sa propre mise à mort.
À mon modeste niveau, j’ai fait le job. C’est la raison pour laquelle je n’ai rien d’autre à dire pour le moment.
Je vous embrasse et vous souhaite bon courage en attendant la suite.
UNE APOLOGIE RAISONNÉE DU CAPITAL
Gabriel Nerciat
Non mais, franchement, pour qui se prennent ces minables pisse-copies, à la fin ?
On ne leur a donc jamais enseigné, même pour ceux qui n'ont pas appris à lire dans Marx, qu'au sein d'une société de type capitaliste, le pouvoir appartient à celui qui détient le capital et pas à ses larbins ?
Moi-même, au cours de ma vie professionnelle, j'ai dû négocier deux fois un départ anticipé avec d'anciens employeurs, parce que l'orientation de la nouvelle direction de l'entreprise ne me convenait pas. Ce n'était certes pas agréable ni très évident à faire (on perd toujours des plumes et on ne retrouve pas une place immédiatement), mais je n'ai pas crié à l'injustice, ni essayé d'enclencher un mouvement de grève.
Pourquoi en irait-il différemment avec les salariés et les pigistes des organes de presse détenus par des fonds privés ?
Ces pingouins se croient-ils d'une extraction supérieure au travailleur lambda ? Si l'orientation idéologique du patron de Vivendi ne leur plaît pas, soit ils partent ailleurs soit ils prennent sur eux. Point barre, camarades.
En attendant j'espère bien que Bolloré tiendra l'épreuve de force jusqu'au bout, et licenciera aussi sec la plupart de ces fats, comme il l'a déjà fait il y a quelques années à C-News après son rachat du groupe Canal.
Non que j'éprouve une admiration inconditionnelle envers Geoffroy Lejeune, journaliste sympathique mais un peu brouillon qui fut à l'origine de la pathétique aventure présidentielle d'Eric Zemmour, mais je ne vois pas au nom de quoi il serait aux yeux de ses congénères du JDD moins respectable qu'une crap.le notoire comme Hervé Gattegno, ouvertement proche du pouvoir macronien et contre l'autorité duquel aucun mouvement de grève autant qu'on sache n'a jamais été initié au sein de la rédaction.
Pas à dire : le capitalisme patriarcal et ultra-réactionnaire, parfois, ça a du bon.
Chronique météo-climatique d'été
Michel Rosenzweig
Ça tombe bien je suis un passionné de climat ET de météo.
Encombrement nuageux de l'Atlantique jusqu'à Moscou (encore un coup de Poutine), le tout baigné dans un courant maritime polaire sur l'Europe de l'ouest jusqu'au sud.
Résultat : temps automnal, frais, pluvieux et sombre.
Et toujours aucune alarme météo sur les médias officiels.
Mais que fait le GIEC ?
Et cela va continuer ainsi pour les 14 jours à venir.
Quand ça canicule, y a du monde, mais quand ça bascule dans la fraîcheur de l'anomalie de saison, là y a plus personne.
Tiens au fait, des nouvelles de la sécheresse ? Des nappes phréatico-aquifères ? Là aussi, plus personne. Et pourtant il pleut, mais sans doute pas la bonne pluie. Normal faut que ça saigne...
Vont-ils se rattraper sur cette anomalie climato-météorologique pour continuer à alimenter l'angoisse et la peur ou choisiront-ils de l'ignorer pour conforter leur dogme en continuant à colorier les cartes en 50 nuances de rouge ?
Chiche.
En attendant il fait très sombre, gris, pluvieux et mossad (encore un coup des sionistes), comme en plein mois de novembre avec des températures en dessous des normes dans certaines zones.
Bref, nous avons eu l'été en juin et l'automne en été. Y a plus de saison ma bonne dame, c'est ce que je n'ai cessé d'entendre dans mon enfance et c'était il y a fort longtemps dans une autre galaxie, far far away...
Chronique sanitaire de l'année 2020, 24 juillet. Et toujours d'actualité.
Michel Rosenzweig
D'heure en heure ce n'est pas le coronavirus qui se propage et fait des ravages, mais le virus de la propagande thanatophore, liberticide, éroticide qui se répand par la volonté d'une clique de sociopathes cyniques incompétents aux manettes.
Et rien ne s'y oppose. La zombification des masses est totale puisque la grosse majorité de la population adhère à ces mesures sanitaires et hygiénistes totalement exagérées et sans justifications scientifiques et médicales crédibles, du moins pour les cerveaux dont le temps disponible n’a pas encore été contaminé et réduit par la fabrique du consentement.
La thanatophobie collective entretenue par le pouvoir et ses collaborateurs médico-scientifiques fera bien plus de ravages que ce coronavirus. Tous ces médecins, virologues, épidémiologues, et autres spécialistes en "logos" savant particulier, feraient mieux de s'interroger sur leur propre peur de la mort et sur leur propension à la corruption et aux conflits d'intérêts, cette peur de la mort et de la maladie qui est d'ailleurs très souvent la première raison de leur engagement dans la médecine.
Si seulement la vraie médecine et la vraie science pouvaient remettre de l'ordre dans cette pathologie mentale collective qui nous enferme dans un univers psychique émotionnel concentrationnaire délétère pour la santé mentale et physique.
Vivement le reconfinement au lieu de ce simulacre de déconfinement qui n'est qu'un enfermement individuel et collectif politiquement correct et plus acceptable.
Je préférais avant...
mélimélo
⬦ Enfin un ministre qui va poser un regard neuf sur l’Éducation nationale : il n’a jamais fréquenté l’École publique.
Gilles Casanova
⬦ Lorsque qu'un Français se marie avec une musulmane, il doit renoncer à sa religion catholique et se convertir à l islam...
Est-ce que le contraire existe ? Impossible !...
Jeanine Fabre
⬦ Pour la planète, on est passé d’une paille en plastique emballée dans du papier, à une paille en papier, emballée dans du plastique.
Pierre Duriot
⬦ Il tombe des cordes et des hallebardes avec un vent à décorner les bœufs, c’est la cyclonicule.
Gilles Casanova
⬦ Lorsque qu'un Français se marie avec une musulmane, il doit renoncer à sa religion catholique et se convertir à l islam...
Est-ce que le contraire existe ? Impossible !...
Jeanine Fabre
⬦ Pour la planète, on est passé d’une paille en plastique emballée dans du papier, à une paille en papier, emballée dans du plastique.
Pierre Duriot
⬦ Il tombe des cordes et des hallebardes avec un vent à décorner les bœufs, c’est la cyclonicule.
Michel Rosenzweig
⬦ La majorité des gens croit avoir une conscience politique. Mais répéter ce qu'on entend tous les jours à la télé, ce n'est certainement pas avoir une conscience politique.
Véronique Faucheux
⬦ Ces gens qui terminent leurs phrases avec ce chuintement « yyyye »...
Michel Rosenzweig
⬦ Poutine est peut-être un bon joueur d'échecs et un karatéka. Mais il n'a pas lu Machiavel.
Denis Collin
⬦ Après certains États des USA, on pourrait commencer à composter les corps humains en France. Soleil vert n'est pas loin.
Denis Collin
⬦ S'il n'y a pas de "sujet révolutionnaire", ni d'implacables lois de l'histoire, ni d'avenir radieux, reste tout simplement la conscience que notre système conduit l'humanité vers l'abîme et que nous avons des devoirs moraux envers tous nos semblables.
Denis Collin
⬦ Pour être accepté par le plus grand nombre, l’art doit-il être insipide ?
Jean-Pierre Parlange
Véronique Faucheux
⬦ Ces gens qui terminent leurs phrases avec ce chuintement « yyyye »...
Michel Rosenzweig
⬦ Poutine est peut-être un bon joueur d'échecs et un karatéka. Mais il n'a pas lu Machiavel.
Denis Collin
⬦ Après certains États des USA, on pourrait commencer à composter les corps humains en France. Soleil vert n'est pas loin.
Denis Collin
⬦ S'il n'y a pas de "sujet révolutionnaire", ni d'implacables lois de l'histoire, ni d'avenir radieux, reste tout simplement la conscience que notre système conduit l'humanité vers l'abîme et que nous avons des devoirs moraux envers tous nos semblables.
Denis Collin
⬦ Pour être accepté par le plus grand nombre, l’art doit-il être insipide ?
Jean-Pierre Parlange
23 juillet 2023
SUR LA POLICE ET LES QUESTIONS QUI TUENT
Gabriel Nerciat
Jusqu'où peuvent aller et iront les velléités de confrontation assumée, voire peut-être un jour de rupture, qui commencent à se manifester publiquement entre certains syndicats (majoritaires) de la police et le pouvoir prétendument républicain d'Emmanuel Macron ?
C'est toute la question, qui à mon avis ne va pas seulement agiter la vie profonde du pays pendant les semaines et les mois qui viennent mais au moins durant les trois ou quatre prochaines années – voire toute la décennie, au-delà donc du seul quinquennat macronien.
De tout ce que je lis et entends depuis plus de trois semaines, une certitude a surgi : l'attitude mentale face au souvenir des émeutes de cet été va déterminer les positions idéologiques et morales des uns et des autres pendant très longtemps, que ce soit au sein de la population civile comme au sein des forces de maintien de l'ordre.
Car deux faits majeurs sont d'ores et déjà acquis, et contestés par personne ou du moins pas grand monde :
1) seule l'inorganisation anarchique des émeutiers et l'absence de finalité politique ou idéologique à leur tête ont permis qu'elles fussent finalement jugulées en moins d'une semaine par l'intervention salutaire mais extrêmement difficile de la police, en situation d'infériorité numérique et qui avait reçu ordre de Beauvau de ne jamais tirer à balles réelles.
2) dès la prochaine bavure de flic médiatisée ou même sans elle, des émeutes semblables, ou plus graves encore, recommenceront dans les années qui viennent.
Elles ne toucheront plus les seules banlieues des grandes métropoles de Paris, de Lille ou de Lyon comme en novembre-décembre 2005, mais également comme cette fois-ci des périphéries de villes moyennes de province comme Montargis, Pithiviers, Compiègne, La Rochelle, Avignon, Auxerre, Valence, Châlons, Saint-Quentin, Blois, Dijon, Saint-Etienne, Dreux ou d'autres.
Soit les deux tiers du territoire national, désormais eux aussi colonisés par des populations allogènes hostiles (en vertu de la néfaste loi SRU voulue il y a vingt ans par le non moins néfaste ministre communiste Jean-Claude Gayssot).
Dès lors, la question qui se pose aux détenteurs du pouvoir exécutif et aussi aux juges des Parquets est devenue simple mais tranchante : va-t-on modifier le droit pénal en vigueur pour accroître l'action de la police et protéger pénalement les policiers ou les gendarmes surexposés physiquement en tant que derniers garants de l'indivisibilité du territoire et donc de la pérennité du régime, ou bien au contraire va-t-on retenir leurs bras en laissant les juges incarcérer systématiquement, dès le stade de l'enquête préliminaire suivant une bavure, les flics qui seront incriminés par les émeutiers ou leurs avocats ?
Le Banquier Président et ses ministres, évidemment, ne peuvent opter que pour la seconde option, ce qu'a logiquement vérifié l'actualité des dernières heures.
Mais les conséquences ne se feront pas attendre : la confrontation entre Macron (dont le pouvoir ne tient depuis novembre 2018 qu'à la fragile fidélité des forces de l'ordre) et la police nationale ira croissante.
Jusqu'à quel degré de rupture ?
Et s'il y a un jour rupture complète, comment agira la population ?
Ou plus exactement les deux populations qui désormais composent ou occupent le territoire national, mais qui ne forment pas chacune un bloc indivis.
Autant poser ces questions cruciales tout de suite, car chacun d'entre nous devra proposer et assumer sa propre réponse dans les années qui viennent.
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