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4 janvier 2025

Ze Rhubarbe Blog

- 4/1/2025 - Comme on pouvait le lire hier dans le Figaro, les nouvelles normes soi-disant "écolos" à l'encontre des véhicules d'avant 2011 et les logements classés G visent spécifiquement les classes populaires et moyennes inférieures.
Les privilégiés qui roulent en Tesla ou grosses cylindrées récentes, bien plus catastrophiques pour l'environnement (si on prend tout en compte) que mon vieux Trafic de 2008, se marrent et lorgnent sur l'immobilier qu'ils vont pouvoir racheter à bas prix aux petits propriétaires, ceux qui eurent le malheur de croire qu'investir pouvait améliorer leurs petites retraites (narratif de l'époque Sarkozy).
Ce racket permanent par les serviteurs du grand capital, auquel les Gilets jaunes furent une réaction violemment contrée par les milices armées à la solde des mêmes, illustre la profonde corruption de tout un système, depuis sa tête à Bruxelles jusqu'aux mercenaires locaux adeptes de la Voie de la Gamelle.
Notre seule arme est la désobéissance permanente, et la dénonciation de l'idéologie totalitaire bien-pensante baignant dans l'hypocrisie, ce qu'on appelle aujourd'hui "progressisme".


RSA SOUS CONDITIONS : CE QUE NOUS DEVONS COMPRENDRE

Nicolas Maxime

- 2/1/2025 - Depuis le 1er janvier, les bénéficiaires du RSA doivent désormais effectuer 15 heures d'activité pour percevoir 607,75 euros par mois. En cas de non-respect de cette obligation, le versement de l'allocation est suspendu.
Quarante années de néolibéralisme auront provoqué une atomisation de la société faisant suite à l'effondrement des valeurs communes et des grandes idéologies collectives – gaullisme, communisme, christianisme. Dans ce cadre, les précaires sont devenus des boucs émissaires, des "assistés" constituant une charge pour la société.
Sur les réseaux sociaux et dans les médias, les néolibéraux se réjouissent de manière perverse de voir les précaires, enfin, contraints de "se bouger" et de contribuer à la société, sans tenir compte du fait que de nombreuses personnes en grande précarité seront probablement incapables de réaliser ces heures d'intérêt général.
L’offensive contre les bénéficiaires du RSA n’est qu’un prélude à une stratégie plus large visant à légitimer les attaques du Capital contre le bien commun, incarné par la Sécurité sociale et les services publics. Sous le prétexte de lutter contre l’assistanat, cette mesure contribue à alimenter une rhétorique culpabilisante qui oppose les travailleurs "méritants" à des prétendus "assistés".
La Sécurité sociale et les services publics, qui font partie du patrimoine français, incarnent une "identité sociale" qui dépasse les clivages partisans. Ces institutions, fruits d’une histoire de luttes, ont tissé un lien unique entre les citoyens, créant une forme d’attachement culturel à un modèle fondé sur l’entraide et la solidarité.
En ciblant les populations les plus précaires, les néolibéraux justifient le démantèlement des institutions qui incarnent la protection sociale, en les présentant comme des poids financiers insoutenables pour la collectivité.
L’objectif final de cette stratégie est de substituer à un modèle basé sur la solidarité universelle un système où l’accès aux droits fondamentaux dépend de conditions toujours plus restrictives et de logiques marchandes. Ainsi, derrière l’attaque contre les bénéficiaires du RSA, c’est tout un projet de destruction des conquêtes sociales qui se dessine, au profit des intérêts privés et du Capital, au détriment de la solidarité et des travailleurs.
Prisonniers de notre impuissance collective et de l’absence d’alternatives crédibles, nous sommes condamnés à choisir entre Macron et Le Pen, deux faces d’un même système. Pendant ce temps, en polarisant les débats sur des boucs émissaires comme les bénéficiaires du RSA, que l’on réduit à des "parasites", nous entretenons l’illusion de sauver un modèle à bout de souffle. Pourtant, le Capital, lui, a déjà désigné d’autres cibles à sacrifier. Cette diversion nous empêche de voir l’essentiel. Nous devons comprendre que la véritable menace vient d’un système économique, en voie de radicalisation, qui détruit méthodiquement les acquis sociaux, privatise les biens communs et impose une logique marchande à toutes les sphères de la vie.

2 janvier 2025

LES BOÎTES DE PANDORE DE L'OCCIDENT

Gabriel Nerciat
2/1/2025

Eh bien oui, voilà !
C'est bien joli de financer et d'armer des factions salafistes révolutionnaires arabes, pro-turques et anti-chiites en Syrie et en Libye, comme de faire des risettes aux bandéristes ukrainiens, certes couverts momentanément par un dictateur juif évadé d'un cirque, pour qu'ils aillent ensuite bouffer et éventrer du Russe dans le Donbass.
Seulement après, c'est comme tout : il faut assumer.
Les djihadistes du Levant surtout sont des gens susceptibles. Si des puissances mécréantes s'invitent dans leurs querelles internes et s'avisent de soutenir un peu trop ostensiblement l'une des factions islamistes devenue rivale de la leur, ils n'oublient jamais de faire payer la note à l'utilitarisme inconséquent des kouffars.
Les dirigeants français auraient dû le saisir dès les attentats du Bataclan, en 2015, par lesquels les sicaires de l'EI nous faisaient comprendre qu'ils n'appréciaient pas du tout les armes livrées par Laurent Fabius et la DGSE à la filiale locale d'Al Qaïda - celle d'où provient justement le nouveau maître de Damas si bien en cour à Washington et à Tel-Aviv.
Mais comme toujours, nous avons préféré regarder ailleurs, en pensant naïvement que les milices anarcho-marxistes kurdes des YPG suffiraient à nous préserver de nouveaux retours de bâton - tout en laissant Ursula von der Leyen se mettre complaisamment dans la main de leur ennemi juré Erdogan.
L'actuel président des États-Unis, lui non plus, ne sait pas trop quoi dire, en ce 2 janvier funèbre. Sa sénilité se révèle finalement, à quelques semaines de sa retraite forcée, un atout paradoxal.
Soyons charitables et ne nous moquons pas de lui.
D'ailleurs sommes-nous seulement en mesure de nous rappeler qu'il y a un quartier français à la Nouvelle-Orléans ?

Imaginons une autre Europe… sans eux

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 2/1/2025 - Entre l’épisode électoral roumain, la guerre en Ukraine, le scandale des vaccins et de la gestion Covid, la conscience d’une Europe qui n’est pas celle espérée par les peuples européens, fait son chemin. Elle n’est pas non plus celle espérée par les entreprises qui entrevoyaient des marchés et des échanges et qui se retrouvent avec des normes et des contraintes environnementales abracadabrantes. Cette Europe-là est celle des grands groupes transnationaux, particulièrement des groupes américains qui tirent le mieux leur épingle du jeu, on le voit sur le matériel militaire ou les vaccins. Pour autant, l’esprit européen des peuples est bien là et la question est de savoir si on peut changer l’Europe actuelle de l’intérieur, ou s’il faut en imaginer une autre. Et le moins qu’on puisse dire est que la volonté manque face aux scandales à répétition qui touchent l’entourage de von der Leyen et on se demande ce qu’il faudrait pour que les députés se réveillent enfin et se mettent à demander des comptes. On se souvient que pour les SMS de négociation avec les fabricants de vaccins, c’est niet. La communication des contrats passés avec Pfizer, c’est niet, il sont noircis aux trois quarts. Pour l’utilisation réelle de l’aide à l’Ukraine, c’est niet encore. On vient de comprendre qu’une station de ski de luxe avait été bâtie avec des aides européennes pour la guerre. Que faut-il, pour que les députés travaillent ? Hormis quelques-uns et surtout, quelques-unes, très peu audibles, finalement, tout le monde roupille et avalise les pires infamies.

On attend avec impatience l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche et on sait que cela aura un impact, puisqu’il a déjà commencé, mais on aurait tort de penser que cela va tout résoudre et encore plus tort de penser que Trump fera grand cas de l’Europe en cas de guerre commerciale, le "make America great again" se fera sur le dos de l’Europe qui sera confrontée à une OPA inamicale des entreprises américaines et au déferlement des produits asiatiques bon marché, le tout sur un vieux continent très désindustrialisé, avec une pyramide des âges peu favorable et des systèmes éducatifs en perdition. Pour autant, tout n’est pas perdu, l’état de santé de la population américaine est pire que le nôtre et la Chine aussi, vieillit, sans parler du Japon. [...].

Et donc, on voit fleurir des propositions qui consisteraient en un recentrage sur les pays à l’origine de l’Europe, avec des niveaux de vie similaires : France, Allemagne, Pays-Bas, Espagne, Italie, Belgique, Luxembourg, Autriche. Avec comme objectif le rapatriement de nombreuses usines qui ont migré vers les pays les moins disant fiscalement et avec les plus bas salaires européens. Et une autre Europe, concentrique, avec les pays n’ayant pas encore le niveau des premiers. Mais il faut aussi sortir de pas mal d’autres choses, tant on se demande si elles ne sont pas spécialement pilotées depuis d’étranger pour affaiblir l’Europe. En premier lieu, la commission européenne qui a bien plus de pouvoir qu’on l’aurait imaginé, ou du moins, le pouvoir que veulent bien lui laisser les députés, par paresse et par suivisme.

Sortir également d’un certain nombre d’instance qui par nature, nuisent en permanence aux intérêts européens : la cour de justice européenne et la cour européenne des droits de l’homme, qui n’ont de cesse de sanctionner les États au bénéfice de migrants arabo-afro-musulmans, sans arrêt bénéficiaires de « droits » exorbitants, au détriment des peuples européens systématiquement condamnés à leur verser des aides sociales, à les loger, quand bien même ils seraient délinquants. Sortir également du pacte de Marrakech, signé par un vague émissaire de Macron et qui se résume, comme les deux organismes précédemment cités, à des instances de promotion de l’islam. Sortir enfin de l’OMS, machin manipulé par des intérêts privés, qui n’a de cesse de soumettre les États à des politiques de santé dictées par les géants pharmaceutiques.

L’idée force serait celle d’un collaboration entre États souverains, telle qu’imaginée par le Général de Gaulle, dans laquelle chaque pays retrouverait sa souveraineté en matière d’immigration, de maintien de l’ordre, d’industrialisation, de formation, de défense, tout en passant des accords de coopérations militaires, industriels, de reconnaissance de qualifications, au sein d’une assemblée collégiale et pas sous la coupe d’une commission européenne toute puissante, qui comme actuellement, fait la promotion de l’achat américain. Sortir de l’interdiction des véhicules thermiques en 2035, sortir de la fable du carbone et de la transition énergétique, qui ont été prétextes à des transferts d’argent public massifs vers des intérêts privés. Enfin, il faudra retrouver des indépendances, alimentaire, énergétique, militaire, informatique, spatiale… dans un paysage où presque tout est en panne.

Mais les dirigeants ne sont pas les bons, faibles, peu charismatiques, tous en difficulté dans leur gouvernance respective. Pointent bien Meloni, Orban et peut-être quelques autres, mais le compte n’y est pas. Et les perspectives de basculement sont minces tant tout est verrouillé : presse, systèmes électoraux, instances supranationales, influences étrangères, ONG… sont tous acquis à la ligne européiste et immigrationniste. Tout cela va se jouer dans les trois ou quatre prochaines années, soit l’Europe est capable du sursaut salvateur, soit nous terminerons pauvres, islamisés, libanisés...


Le groupe Telegram du RPF :
Yannick Lefrançois / DNA

Yann Thibaud

- 28/12/2024 - Avez-vous remarqué que les responsables et partis politiques que les médias mainstream taxent d'extrémistes ou de fascistes sont précisément ceux qui souhaitent la paix ?
Et que ceux qui se targuent d'être de parfaits et exemplaires défenseurs de la démocratie sont en réalité des bellicistes furieux et fanatiques ?
Inversion accusatoire, bien-pensance et hypocrisie étant la marque des temps que nous vivons aujourd'hui.
Et le désir ardent de faire la guerre sans motif réel, tant vis-à-vis des autres peuples que de leur propre peuple, étant la caractéristique de la caste qui nous gouverne.
Cette manie d'entrer en guerre contre des pays qui ne nous menacent aucunement pouvant, à mon sens, être qualifiée non seulement d'impérialisme, mais également de néo-colonialisme.
Je crois cependant que nous n'aurons pas la guerre, simplement en application de la fameuse loi d'attraction, qui énonce que c'est la résultante des pensées des peuples qui créent la réalité qui en découlera finalement.
Ainsi, puisque dans son immense majorité, notre peuple veut la paix, il y a tout lieu de penser que nous échapperons à la guerre.
Nous nous trouvons dans une situation tout à fait différente de celle qui a prévalu lors des deux guerres mondiales.
À cette époque, la propagande était crue et admise pratiquement sans aucune réserve.
Aujourd'hui, il en va tout différemment, grâce à l'éveil de l'humanité qui amène celle-ci à penser de plus en plus par elle-même et à ne plus adhérer naïvement à ce qu'on lui répète et répète encore.
À cet égard, l'accumulation de mensonges et d'illusions que nous avons vécue ces dernières années, nous a paradoxalement amenés à effectuer des pas de géant dans le processus d'éveil collectif du peuple humain.
Penser et réfléchir véritablement et profondément, s'informer et développer son sens critique, telle est donc notre sauvegarde ainsi que notre raison d'être sur terre !

1 janvier 2025

Une année 2025 qui s'annonce "compliquée"

Ze Rhubarbe Blog

On parle beaucoup de l'effondrement de l'Europe sous le joug euro-atlantiste, mais une crise monétaire d'ampleur guette aussi les USA, tandis que les grands pays des BRICS (Chine, Inde, Brésil, Russie) font également face à une importante crise économique.
On peut espérer une fin à la coréenne du conflit en Ukraine d'ici fin 2025, mais les psychopathes de l'Otan voudront maximiser les dégâts et les morts (russes et ukrainiens) d'ici là.
L'Ukraine, elle, aura perdu beaucoup plus que si on lui avait laissé signer l'accord de cessez-le-feu de mars 2022, mais il fallait bien détruire l'économie européenne au profit du maître américain, alimenter son CMI, et mettre en place le pillage des ressources de l'Ukraine par le grand capital.
Cerise sur le gâteau euro-atlantiste, l'arrêt du gaz russe via l'Ukraine vers l'Autriche, la Hongrie, la Slovaquie et les Balkans va encore appauvrir ces économies, sommées de se soumettre à l'EuroSoviet et sa technostructure corrompue.
Parlant de corruption, on attend d'ailleurs toujours le procès de von der Leyen pour l'affaire des contrats covid opaques, et même si les covidistes américains se planquent depuis la victoire de Trump, ils continuent, ici, à promouvoir sans honte le narratif marketing de Big Pharma et à chanter les bienfaits de la dictature sanitaire et policière. Mais la messe est loin d'être dite.
Personne ne sait ce qu'il va se passer en Syrie, et plus largement au Moyen-Orient où les cartes sont rebattues dans le sang, mais il n'est pas interdit d'espérer, pour le Pas-de-Calais et pour les migrants vers le Royaume-Uni, que la tension entre l'attractivité économique de la "lutte contre les migrants" et la morale la plus élémentaire ne débouche sur quelque chose d'un peu plus humain, et de beaucoup moins hypocrite.
2025 sera aussi, très probablement, une année charnière pour l'humanité en matière d'IA, tout laissant à penser qu'on y verra apparaître une forme d'IA générale, aussi intelligente que les meilleurs humains et donc capable de réaliser la plupart des tâches "intellectuelles" qui nous incombent aujourd'hui. Les implications sont énormes, mais pourtant hors du champ politico-médiatique mainstream.
En sciences fondamentales enfin, les grandes questions sont de retour sur la nature de l'univers, de la vie, de la matière et de la conscience. Notre modèle du monde est cassé face au problème insoluble de la tension de Hubble, et le téléscope James Webb pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses : ça ressemble au début d'une nouvelle ère.

BONNE ANNÉE

31 décembre 2024

HEUREUSE ANNÉE 2025

Gabriel Nerciat

- 31/12/2024 - Joyeuse année à tous, chers amis.
Chers ennemis aussi, d'ailleurs, ne soyons pas sectaires (islamo-gauchistes, européistes, néo-cons, wokes, bellicistes pro-ukrainiens, libéraux démocrates-progressistes ou démocrates-chrétiens, et tout et tout), car sachez que vous risquez d'en prendre plein la gueule dans les douze mois qui viennent.
Mais quoi, c'est la vigueur du combat qui fait les années valeureuses et souvent stimulantes, n'est-il pas vrai ?
Sûr en tout cas qu'on ne va pas s'ennuyer. Il n'y aura pas de mélancolie intempestive dans l'année qui commence ce soir.
Et puis, bien sûr, paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté – la bonne volonté commençant par la fin heureuse des guerres criminelles, inutiles et perdues d'avance, comme celle qui fait rage depuis plus de deux ans et demi à l'est de l'Europe par la faute de l'OTAN.
Que la joie, le plaisir et l'amour par-dessus tout guident vos pas. Même et surtout si cela ne dépend pas de nous.

« Le fait du prince » : la colère de Stéphane Bern contre le projet d'Emmanuel Macron de poser de nouveaux vitraux à Notre-Dame


© Amaury Cornu / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

C'est "un caprice" d'Emmanuel Macron pour Stéphane Bern. L'historien et animateur sur Europe 1 dénonce la volonté du président de la République d'installer six vitraux contemporains sur une façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris, fraîchement rouverte au grand public. Celui qui est aux commandes d'Au cœur de l'Histoire fait part de sa volonté de s'y opposer, avec l'aval de la ministre de la Culture Rachida Dati, afin de mener des recours contre le projet.

"Pardon de le dire, mais l'Etat contrevient aux règles de défense du patrimoine en voulant démonter des vitraux anciens", déplore le défenseur du patrimoine français. "C'est l'Etat qui est propriétaire de la cathédrale Notre-Dame de Paris, donc c'est cela qui me choque le plus : l'Etat s'arroge le droit de ne pas respecter des règles qu'il impose à tous", poursuit Stéphane Bern.

Au micro d'Europe 1, l'un des animateurs préférés des Français "ne peu(t) pas (s)'empêcher de penser que c'est le fait du prince de vouloir avoir des vitraux contemporains". "C'est contre ça que je m'érige : on ne peut pas à la fois faire respecter la loi et en même temps contrevenir soi-même à la loi."

Et Stéphane Bern de rappeler la situation économique de la France. "Est-ce qu'on a vraiment quatre millions d'euros à dépenser pour démonter des vitraux qui ont résisté à l'incendie pour mettre des vitraux contemporains ? Je ne crois pas", conclut l'animateur sur Europe 1.