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26 avril 2025

Romain Vignest

-26/4/2025- C’est au sein de la Commission Attali, dont ils étaient tous deux membres, qu’Emmanuel Macron, alors banquier d’affaire chez Rothschild, et Peter Brabeck-Letmathe, alors PDG du groupe Nestlé, se rencontrèrent en 2007. En lui confiant le soin de négocier le rachat de la branche de lait infantile de Pfizer par Nestlé, le second assura sa fortune au premier.

DIALOGUE ROMAIN

Gabriel Nerciat
26/4/2025

– S'il vous plaît, Mister Président, je sais que vous pouvez pas me saquer mais donnez-moi des missiles et des avions de combat. Plein de missiles, plein d'avions. À vous, ils ne servent à rien. Je ne peux pas vous les payer, c'est vrai, mais en plus des minerais j'ai encore un ou deux millions de quinquagénaires valides et le double d'octogénaires en déambulateurs à envoyer au casse-pipe sur le front. Le pétrole bientôt coûtera moins cher que le sang de ces abrutis de rejetons de Cosaques. Donnez-moi vos missiles, putain !
– Ferme ta gueule, cafard. Le pape au moins se taisait quand je lui disais tout le mal que je pensais de lui. C'était une planche pourrie, mais il voulait faire la paix, lui.
– On s'en fout, du pape. C'était un connard. Vous vous rendez compte que je me suis tapé une messe en latin rien que pour vous voir ?
– Et alors ? Tu serais prêt à sucer ma bite comme Starmer suce la tienne depuis deux mois pour avoir ce que tu veux. Je ne suis pas venu ici, sous l'ombre tutélaire de Charlemagne, pour qu'un maquereau comme toi vienne me faire chanter. Je l'ai assez vue, ta sale gueule d'escroc. A Notre-Dame de Paris d'abord, à la basilique Saint-Pierre ensuite, pourquoi pas à la cathédrale de Tolède aussi ? Tu crois qu'il n'y a pas assez de gargouilles dans les églises gothiques ? Commence déjà par reconnaître officiellement que la Crimée est russe, et qu'elle l'est pour toujours. Après, je verrai si j'accepte que tu cires mes pompes devant Mélania en Floride.
– Bordel, Mister Président ! C'est quoi, votre problème ? Mes potes ont refilé la moitié de vos armes aux gangs mexicains qui maintenant veulent faire travailler nos putes en Pologne. On est à sec ; je peux pas rester sans rien faire. La Crimée, si je la lâche officiellement, les ukronazis me butent, et je leur dois tout, à ces types-là. Vous pouvez pas me lâcher comme ça, après tout ce que BoJo m'avait promis. Ou alors vous me laissez racheter le château de Windsor pour finir mes vieux jours. J'en transporterai une partie dans le Maryland si vous voulez.
– Casse-toi, épave de mes deux, tu m'écœures. Je commence à comprendre pourquoi Poutine m'a dissuadé de te faire tomber. Tu es tellement nul qu'il peut à peu près tout se permettre avec en face une raclure comme toi. Maintenant, je t'ai assez vu, tu dégages. Appelle-moi Macron qu'il vienne me donner un coussin ; ces chaises romaines ne me valent rien.
– Mister President, Mister President, please !
– Ta gueule, connard. On est dans une église, là. Je prie. Dieu est à ma mesure, et Charlemagne aussi. Pas toi.

Pierre Duriot

Alors, cette forme moins grave ?


-25/4/2025- Pendant que les très vaccinés journalistes français regardent ailleurs, des gens travaillent dans le réel et ont réalisé une étude très fouillée, intitulée : « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 avec couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé, laquelle vient d’être publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine. Mais ce n’est pas la première et de loin, puisque de nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès post-pandémie ont été écrits, non pas par des complotistes, mais par des gens de terrain confrontés à une nouvelle mortalité inattendue. Ces chercheurs, généralement indépendants ont attiré l’attention sur les biais des calculs servis pendant la pandémie, dénonçant la mortalité due au seul Covid. Il ont donc comparé les mortalités des périodes, afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde pendant les périodes pré-vaccinale et post-vaccinale.
Pour faire simple, dans les pays européens et l’Amérique, les plus vaccinés, cette vaccination a augmenté la mortalité due au Covid et les pays les moins vaccinés sont ceux où on en est le moins mort, notamment les personnes de plus de 65 ans, avec plus de 70 % des décès mondiaux dus au COVID-19 malgré une vaccination élevée. Ils en tirent une conclusion qui tient en une courte phrase : « La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée. » C’est sans appel. Et encore, d’autres études sont en cours pour évaluer la surmortalité actuelle qui touche elle aussi les pays les plus vaccinés. Cela rend caduque la fable de la « forme moins grave » qui a servi à vendre le produit.
En résumé, non seulement la vaccination n’a pas permis d’enrayer la pandémie mais elle l’a même aggravée et nous l’avions expliqué au RPF, ce qui nous a valu de nous faire supprimer purement et simplement quelques-uns de nos articles, sans doute un peu trop clairvoyants il y a encore quelques mois. Le constat était pourtant évident puisqu’en mars 2022 la France très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde. Le silence des journalistes français est assez inexplicable, si ce n’est qu’ils ont été largement subventionnés à cette époque, comme l’ont été certains artistes qui sont allés jusqu’à réserver leurs concerts aux seuls vaccinés. On se demande comment va se terminer cette histoire, à mesure que sortent les rapports accablants, à commencer aux États-Unis. Les fameux « complotistes » furent ainsi nommés quand ils avaient annoncé, avec six mois d’avance, l'arrivée des pass sanitaire et vaccinal. Et de « savants spécialistes », dont l’inénarrable Patrick Peloux, avaient expliqué au 20 Heures, sans la moindre donnée scientifique, que les non-vaccinés, six millions d’individus, allaient mourir dans l’année. Non seulement ils sont toujours là, mais ils ont l’air de se porter bien mieux que les autres.
Les médias ont de la suite dans les idées, sur la Covid ou l’Ukraine, traitent à qui mieux mieux de complotistes des gens qui, six mois, un an, deux ans, après les faits, ont finalement raison. La seule différence c’est que ces derniers ne sont pas copieusement arrosés d’argent public.

25 avril 2025

Babel TV

Klaus Schwab démissionne : Davos, héritage nazi et pouvoir caché

Cliquer sur l'image (vidéo de 4min 14s) ↴

-24/4/2025- 88 ans. Une démission surprise. Une enquête interne pour faute éthique. Et un héritage que l’on préfère taire. Klaus Schwab quitte la présidence du Forum économique mondial, au moment même où les critiques contre le WEF explosent.
Mais qui est vraiment Peter Brabeck, son successeur ?
L’ex-patron de Nestlé, proche de Macron, connu pour avoir déclaré que « l’eau n’est pas un droit humain », reprend les rênes d’une organisation en crise… mais toujours puissante.
Dans ce grand format, on remonte aux racines occultées de Davos, son passé national-socialiste, les liens de la famille Schwab avec le IIIe Reich, et les dessous du “Great Reset” devenu l’architecture du contrôle numérique mondial.
Ce n’est pas une fin. C’est un rebranding. Et derrière le rideau, le programme continue.
Yann Thibaud

Manger bio ne présente que des avantages

- c'est meilleur pour la santé, puisque les aliments que l'on ingère sont exempts de résidus de produits chimiques toxiques,
- la saveur des aliments est également bien supérieure, pour les mêmes raisons : on retrouve le goût véritable et originel des aliments,
- en mangeant bio, on ne se rend coupable ni d'empoisonner la terre, les rivières et les nappes phréatiques, ni d'empoisonner les ouvriers agricoles, ni évidemment de s'empoisonner soi-même ; et l'on permet aussi à des agriculteurs bio de gagner leur vie,
- ce que l'on reproche le plus souvent au bio est d'être plus cher que le conventionnel.
Mais cela dépend grandement d'une part de la région où l'on habite (les fruits et légumes bio sont pratiquement deux fois plus chers à Paris que dans une région de production), d'autre part du système de distribution (cela revient nettement moins cher de se fournir directement auprès d'un producteur, que ce soit sur un marché, à la ferme ou par un système de paniers, que de s'approvisionner dans un magasin spécialisé).
Sans même parler de la possibilité de créer son propre potager bio ou bien de participer à un jardin partagé.
Ce qui fait qu'avec un peu d'astuce, le bio ne revient pas plus cher que le conventionnel, d'autant plus que l'on évite ainsi des problèmes et des frais de santé.
Au final, il n'y a donc aucune motivation rationnelle pour continuer à s'empoisonner en ingérant les produits de l'agriculture chimique, comme des trusts de l'agroalimentaire ; cette mauvaise habitude ne résultant que de la propagande intensive de la publicité, comme du fait que les différents éléments précités ne sont que fort rarement mis en évidence.
Aucune raison valable donc de ne pas passer au bio, ce qui permettrait de contribuer à la régénération planétaire, comme à sa propre guérison !

SCORSESE OU LA PIÉTÉ MUTILÉE

Gabriel Nerciat

-25/4/2025- Au-delà de Bergoglio (que je soupçonne d'avoir été surtout un hypocrite, comme un grand nombre des prélats de son ordre - il y a des poncifs, même voltairiens, qui sont vrais), ce qui m'insupporte, et depuis longtemps, c'est le discours de tous ces chrétiens pervers ou au mieux approximatifs, à la fois doloristes et infiniment complaisants (Martin Scorsese, qui nous inflige à nouveau en ce moment, à la faveur d'un livre d'entretiens, l'épreuve de sa vacuité spirituelle, en est l'exemple typique), qui vous expliquent qu'il faut chercher le Christ préférentiellement chez le larron, le publicain, le clochard, la prostituée, le vagabond, la femme adultère, le toxicomane, l'unijambiste, l'anorexique ou le migrant clandestin.
Dieu serait présent en eux, et pas ailleurs, nous disent-ils, en commettant un contresens majeur sur la dénonciation évangélique du rigorisme moral des Pharisiens.
Or, sans être ni prêtre ni théologien ni exégète biblique ni quoi que ce soit de cet ordre, je prétends que cette assertion est, d'un point de vue chrétien, non seulement fausse, mais d'une inspiration quasiment satanique.
Pour que le Christ prenne sur lui les péchés du monde afin de les absoudre, il est absolument vital (c'est le mot qui convient) qu'il n'ait rien d'autre en commun avec les hommes pécheurs que la forme (mortelle) de leur humanité.
Pour le dire en usant d'un apparent paradoxe, c'est parce que la personne (divine) du Christ est exempte de toute expérience du mal et de toute complaisance envers lui qu'elle est susceptible d'épouser la condition humaine, et donc de sauver la totalité des hommes - pour peu bien sûr qu'ils le veuillent (Dieu ne sauve personne malgré lui, les Evangiles le redisent souvent).
Quand le Fils de Dieu accorde son salut au bon larron, au publicain, au légionnaire romain, au paralytique ou à la femme adultère, ce n'est pas en raison de leur indignité ou de leur faiblesse mais malgré elles, parce qu'une partie d'eux a été suffisamment touchée et transfigurée par l'éclat et la douceur de sa divinité ; au point que tout le reste, à son contact, s'efface et se néantise, rétablissant pour un moment l'intégrité primordiale de la Création.
Au mieux peut-on dire que l'expérience du mal et de la souffrance prédispose à rencontrer Dieu (quelqu'un qui n'éprouve aucun manque ni aucune faille dans sa vie sera plus enclin à se satisfaire des évidences futiles ou trompeuses du monde présent) mais en aucun cas que le mal et la souffrance révèlent chez les êtres la présence de Dieu.
Pour la doctrine apostolique de l'Eglise, tout ce qui attente à la Création et à la dignité des créatures est la marque de l'Ange révolté, et de rien d'autre. Car derrière la créature, c'est bien sûr la puissance du Créateur qui est visée.
Le plus inculte des curés de campagne (comme celui jadis, fils d'un éleveur de porcs, qui me prépara à la communion privée puis solennelle) le sait mieux que le plus savant ou le plus tacticien des Jésuites, ou le plus superficiel des cinéastes catholiques.
Bref, je crois bien que c'est parce qu'il est un piètre croyant que Scorsese est également un cinéaste aussi boursouflé qu'inconsistant - tout spécialement dans ses films qui traitent de la foi ou de la rédemption.
Au moins, il a échappé à la prêtrise, et ne sera donc pas le prochain pape. Vous me direz que c'est toujours ça de pris.


Gilles Casanova
25/4/2025

Le sadomasochisme pour les nuls…

Dessin de Delestre

UNE NOUVELLE CRISE DANS LA SIDÉRURGIE

Jean-Claude Delhez

-25/4/2025- Depuis l'affaire du covid, depuis celle de l'Ukraine, depuis l'élection de Trump, le politicien nous explique que l'Europe est trop dépendante de l'étranger et qu'il est indispensable, existentiel, urgent, de réindustrialiser. Dans les faits, ce qui se passe est exactement l'inverse.
Prenons l'exemple de l'industrie lourde par excellence, la sidérurgie, celle qui fournit à la société le principal métal dont elle a besoin, l'acier. Arcelor-Mittal vient d'annoncer la suppression de plus de 600 emplois en France. S'ajoutant à une précédente annonce, la mesure porte sur un total de 800 licenciements. Les sites touchés sont Dunkerque, Mardyck, Desvers, Denain, Reims, Mouzon, Florange, Basse-Indre et Montataire. Quelques semaines plus tôt, c'est une autre société indienne, Tata Steel, qui annonçait également la suppression de 800 emplois, cette fois au sein de l'usine intégrée d'Ijmuiden, aux Pays-Bas. En Allemagne, le premier groupe sidérurgique, ThyssenKrupp, devait transformer ses hauts-fourneaux de Duisburg pour les alimenter à l'hydrogène plutôt qu'au charbon. Le projet vient d'être suspendu. Cette décision intervient après une autre, quelques mois plus tôt, selon laquelle le groupe va supprimer rien moins que la moitié de tous ses emplois au cours des prochains mois et prochaines années. Soit 11.000 licenciements d'ici 2030. Au Royaume-Uni, Tata Steel avait fermé les hauts-fourneaux de Port Talbot, au Pays de Galles, l'an dernier. Dès lors, il ne restait plus, dans le pays, que ceux de Scunthorpe, propriété de British Steel (qui appartient au Chinois Jingye). Ils devaient s'arrêter définitivement il y a quelques jours. C'est une fermeture chargée de symbole. En effet, ce sont les Britanniques qui ont inventé le haut-fourneau au coke (en 1709) mais aussi l'aciérie, le laminoir et toute la sidérurgie moderne. Finalement, le gouvernement de Londres a choisi d'intervenir en commandant des matières premières pour maintenir les hauts-fourneaux à feu, et les emplois induits. Sans préjuger de la suite.
La crise sidérurgique n'est qu'un exemple parmi d'autres. On peut citer les coûteux errements en matière de politique énergétique ; ou l'absence de coordination dans l'industrie de la défense ; ou encore la vente à des actionnaires étrangers d'entreprises de haute technologie. En Europe, il n'y a pas de politique industrielle.

24 avril 2025

Yann Bizien

-24/4/2025- La Commission européenne veut donc nous imposer un contrôle technique obligatoire tous les ans pour les véhicules de plus de dix ans.
Après les ZFE, ils nous sortent une nouvelle dinguerie.
Les déconnectés de Bruxelles, pro von der Leyen et pro Macron, veulent harceler et broyer les classes populaires.
Ils entendent « emmerder » le plus grand nombre d'usagers pour quelques cas extrêmement marginaux.
C’est bien soviétique. Comme si tout un chacun n’était pas soucieux de sa propre sécurité.
Lamentable. Pourquoi ce sujet n'est-il pas du ressort des nations ? Encore un transfert de compétences, donc de souveraineté.
Je propose un contrôle technique populaire pour Mme von der Leyen. Pas sûr qu'elle puisse être remise rapidement en circulation.