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30 avril 2025

Alexis Haupt

Je le répète, la "société de tacite répression", telle que le crédit social chinois ou la "société pharmaco-punitive", privilégie le chantage, les contraintes et les restrictions plus ou moins gênantes plutôt que des sanctions franches. Certes, tout autoritarisme est toujours « tacite » dans le sens où aucun tyran ni dictateur n’annonce à son peuple qu’il vit dans un régime autoritaire. Néanmoins, la société dont je parle, de par ses sanctions vicieuses, sournoises, « souples », mais non moins réelles, pratique un autoritarisme plus tacite que les autres. Ce genre de société est très dangereux. Grâce à ses contours flous, elle a plus de chances de perdurer qu’un régime autoritaire traditionnel : la révolution est retardée, le peuple reste apathique dans sa majorité.
Dans ce type de société, la lassitude collective aboutit à une accoutumance aux anormalités et aux dérives liberticides. Le risque est que les gens finissent vite par la considérer comme une société tout à fait normale, pire, qu’ils finissent par la considérer comme la meilleure qui soit. Eh oui, si les peuples s’habituent à la tyrannie, comme l’avait remarqué La Boétie, alors quand il s’agit de "répressions tacites", dissimulées et couvertes par un récit, ils s’en accommoderont aisément. C’est l’évidence même !
Après tout, lecteur, si on a réussi à faire croire aux peuples que le meilleur régime politique pour eux était celui qui consistait à se choisir des maîtres, on réussira à leur faire croire que la "société numérico-répressive", ou le crédit social chinois, est la meilleure qui soit. Eh oui, la dictature parfaite ne serait-elle pas « une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient même pas à s’évader », « un système d’esclavage où les esclaves auraient l’amour de leur servitude » ?
Marc Amblard
30/4/2025

Ce n’est pas de la censure, c’est juste une calibration vigoureuse de la vérité

H16

-30/4/2025- l n’y a plus aucun doute, c’est sûr à présent : nous sommes attaqués de toutes parts ! La propagande, déchaînée, est maintenant déversée par pleins barils sur tous nos réseaux sociaux, et bientôt, plus personne ne comprendra rien à ce qui se passe dans le pays et en Europe, et ne saura faire la distinction entre les vraies informations propres et labellisées « sans complot » et les autres, produites sans arrêt par les complotistes, les antivax, les pro-Poutine et, surtout, les fascistes d’extrême-droite !

D’ailleurs, toute la presse bruisse de ce qui ne peut être qu’une évidence : une vaste opération est en cours depuis le début de l’année pour répandre la dissension dans les pays européens, semer le trouble dans les esprits pas suffisamment affûtés de nos concitoyens, voire – l’horreur – introduire le doute quant aux motivations réelles de nos dirigeants sur nos destinées.


Les faits sont là, indéniables (sous peine de sanctions) : l’opération Storm-1516 aurait ainsi déclenché la publication de 38 877 publications sur les réseaux sociaux (X, Facebook, Instagram…), générant plus de 55,8 millions de vues, qui reprenaient au moins cinq récits faux, entre décembre 2024 et mars 2025, selon l’organisation de presse Newsguard. Newsguard, le « leader mondial » – auto décrêté – pour « la fiabilité de l’information », c’est – rappelez-vous – cette vénérable institution pas du tout liée aux officines d’influence étrangère américaines, dont le « comité consultatif » est commodément rempli d’accointances du renseignement américain (dont Michael Hayden, ancien directeur de la CIA et ancien directeur de la NSA). Du solide, du crédible, de l’impartial, donc.

Et Newsguard est formel : payés par Poutine, des gens disent des trucs faux sur les intertubes, partout en Europe.

Il était donc logique que les autorités prennent les devants et se lancent dans une guerre sans merci contre ces intox, ces mensonges, cette propagande et ces fausses informations (ces « fèqueniouzes » comme on dit de nos jours). Partout, en Europe, cela n’a pas traîné et ces autorités ont pris la mesure de la tâche à accomplir. Sans plus tarder, elles sont même passées à l’action d’une façon décisive, allant même jusqu’à légiférer dans certains cas.

C’est ainsi qu’en Allemagne, un journaliste relayant une image (très manifestement fausse et satirique) d’une ministre tenant un panneau « Je hais la liberté d’expression » s’est vu poursuivi par la ministre et condamné, créant ainsi un intéressant paradoxe puisqu’à la fin, l’information du panneau devient vraie.

C’est ainsi qu’au Royaume-Uni, jamais en retard d’une idée lumineuse pour harceler les sujets britanniques, la police agit maintenant avec zèle pour prévenir les discours de haine, à commencer par ceux qui consisteraient à réclamer qu’on parle anglais en Angleterre (quel toupet !).


Cette intéressante position des forces de l’ordre britanniques n’est du reste pas en désaccord général avec le gouvernement national qui semble de plus en plus s’orienter vers une réintroduction progressive mais ferme des lois contre le blasphème, étant bien sûr entendu qu’il s’agit de blasphèmes envers l’Islam avant tout (les autres religions n’ayant apparemment pas leur mot à dire dans ce contexte).

Et pendant que le peuple britannique va découvrir une nouvelle façon de s’exprimer librement ou quasiment, l’Union Européenne ne restera pas sans rien faire.

En effet, pour Ursula von der Leyen, l’actuelle patronne de la Commission européenne, il apparaît clair qu’il faut mettre en place tout l’arsenal opérationnel et juridique pour favoriser la lutte contre la désinformation dès le plus jeune âge la naissance des intox, avec un « prébunking » qui serait au débunking ce que la vaccination est au traitement de la maladie contractée.

L’image est particulièrement bien choisie lorsqu’on se rappelle le succès de la dernière vaccination de masse qui, outre une sécurité sanitaire évidente, empêchait avec brio aussi bien de contracter la maladie que de la transmettre. Parions que l’Union Européenne trouvera dans ses petits papiers et ses prochaines législations les idées les plus pertinentes pour garantir qu’il en sera de la désinformation comme des méchants virus, dont on peut déjà voir les premières traductions avec le développement, lancé en fanfare par l’Union européenne de radio-télévision, de « Spotlight », authentique réseau de vérification des faits destiné à lutter contre la vilaine désinformation et qui va tout faire pour promouvoir avec courage et obstination une information fiable et de qualitay.

Ce réseau inclut d’ores et déjà 17 radios publiques et intègre le projet français « Alliance pour les faits » lancé en février, précédemment coordonné par la source de vérité fraîche Radio France, avec France Télévisions, l’autre source de réalité sans biais, ainsi que France Médias Monde, TV5 Monde et l’INA, fusionnant ainsi les deux initiatives. Si, en tant que contribuable européen, vous n’êtes pas déjà parcouru des frissons de plaisir de savoir qu’on va vous dorloter avec des informations ciselées au travers de toutes ces belles initiatives, je ne sais pas ce qu’il vous faut !


En effet et comme l’explique Florent Latrive, directeur adjoint de l’information de Radio France, « Les médias de service public ont la responsabilité unique d’être un havre de vérité dans un océan de fausses informations et d’incertitudes ». Le petit vent de censure calibration virile de la liberté d’expression qui s’installe un peu partout sur le Vieux-Continent doit donc bénéficier des efforts de Florent et de son équipe de Radio-PravdaFrance, pour la plus grande joie des citoyens européens qui sauront que les médias officiels débitent de la vérité calibrée, estampillée authentique par les plus hautes autorités dont la fiabilité aura été une constante et jamais mise en défaut ces dernières années.

Comme on le sait, le culot jusqu’à l’absurde, le fait de tout oser, c’est à ça qu’on reconnaît les experts et les journalistes officiels. C’est donc en toute logique que ces derniers s’agitent dans la foulée de ces dernières initiatives pour y ajouter la mise en place d’un observatoire contre les « fake news » médicales : apparemment, le domaine de la santé serait particulièrement sujet à voir apparaître ces abominables complots et autres fausses informations ! Il était donc amplement temps que les autorités s’en occupent, à commencer par le ministère en charge des questions de santé.

Il n’y a pas encore de ministère de l’information, mais gageons – devant ces nouvelles et le déversement d’intox toujours plus grossières – qu’on en prend le chemin.

En attendant qu’enfin, la vérité vraie soit correctement poinçonnée par le pouvoir légal et légitime, savourons la haute tenue des informations qui nous sont délivrées par les canaux officiels (comme ici par exemple, où l’on nous explique sans rire que non, le vice-président américain n’a pas tué le Pape).

Pas de doute : l’avenir européen et français est tout tracé, et la liberté d’expression ne s’est jamais mieux portée qu’aujourd’hui et ici.


https://h16free.com/2025/04/30/80733-ce-nest-pas-de-la-censure-cest-juste-une-calibration-vigoureuse-de-la-verite
Jean-Pierre Luminet

-21/4/2025- Avant d’entrer dans une dispute avec quelqu’un, demandons-nous si cette personne est mentalement prête à comprendre ce qu’est une perspective différente. Si ce n’est pas le cas, cela ne sert strictement à rien.
Toutes les batailles ne méritent pas d’être livrées. Peu importe à quel point on expose ses idées avec clarté, l’autre ne nous écoute pas pour comprendre, mais uniquement pour réagir. Son esprit est figé dans sa propre vision du monde, incapable ou refusant d’envisager un autre point de vue. Insister est une perte de temps.
Il existe une différence entre un échange constructif et un débat stérile. Une conversation avec une personne ouverte d’esprit, qui valorise la réflexion et l’apprentissage, peut être enrichissante, même en cas de désaccord. Mais tenter de raisonner avec une personne qui refuse de voir au-delà de ses croyances, c’est comme parler à un mur. Peu importe la logique ou la vérité qu’on lui présente, elle détournera nos propos, les minimisera ou les rejettera. Non pas parce que l’on a tort, mais parce qu’elle n’est pas prête à envisager une autre réalité que la sienne.
La maturité ne se mesure pas à qui remporte une dispute, mais à la capacité de reconnaître quand un débat n’a tout simplement pas lieu d’être. C’est comprendre que notre paix intérieure vaut bien plus que le besoin d’avoir raison face à quelqu’un qui a déjà décidé de ne pas changer d’avis. Toutes les luttes ne méritent pas notre énergie. Toutes les personnes ne méritent pas nos explications.
La plus grande preuve de sagesse est alors de s’éloigner. Non pas parce que l’on a rien à dire ou que, selon l’autre, on s’est fait « clouer le bec », mais parce qu’on sait que ses oreilles ne sont pas prêtes à entendre. Et cela ne nous appartient pas.
Ces lignes s’appliquent hélas aussi bien au monde des réseaux sociaux qu’à celui des relations conjugales…



29 avril 2025

Dessin de Decressac

Yann Bizien

-29/4/2025- Voilà déjà 100 jours que Donald Trump est au pouvoir avec ses troupes de choc et son plan d’actions après être passé sur le banc des accusés, avoir miraculeusement évité un tir potentiellement mortel et gagné brillamment le scrutin présidentiel.
Certes, il suscite de la stupeur et inspire du rejet parce qu’il renverse toutes les tables en soufflant le chaud et le froid. Mais il s’attache à tenir avant tout ses promesses de campagne pour transformer l’Amérique dans le but de la rendre plus forte dans le monde et face à la Chine.
Il a accru son autorité dans le pays et au Congrès. Il a rendu les démocrates, minoritaires, impuissants. Il vient de signer 139 décrets présidentiels pour encadrer et orienter son action politique.
Il est devenu le gardien du conservatisme, de la démocratie, de la liberté d’expression, du politiquement incorrect, de la pensée plurielle et de la paix dans le monde.
Il a dynamité l’ordre établi et son pari est plutôt réussi.
Il a déclaré la guerre au fléau progressiste. Il a stoppé toutes les initiatives wokistes et donné un grand coup d’arrêt à toutes les expérimentations sociétales décadentes. Il a fait exploser tous les repères des dirigeants progressistes, majoritaires en Europe.
Il a stoppé l’immigration incontrôlée. Il a mis un coup d’arrêt aux dépenses idéologiques, au gouvernement des juges et aux bellicistes en ayant le courage de tourner le dos à ses alliés traditionnels y compris aux autocrates non élus de Bruxelles qui retirent petit à petit mais sûrement leurs souverainetés aux États membres de l’UE.
Il propose à tous les chefs d’entreprises de produire aux États-Unis et de bénéficier des impôts les plus bas au monde.
Trump a brisé l’ère des certitudes en contestant un ordre mondial dominant depuis 80 ans. En exprimant des revendications territoriales, et en renversant des alliances, il nous rappelle que l’histoire se structure avant tout sur des surprises stratégiques, sur des ambitions et dans le rapport de forces. Il a renvoyé tous les naïfs, les idéologues et les aveugles aux douloureuses réalités du monde en rétablissant une relation russo-américaine au détriment de l’Ukraine et des dirigeants européens, sauf pour l’Italie et la Hongrie.
Trump ébranle également l’OTAN qui, en s’étendant sans cesse, aveuglément, et sans limites vers l’est, jusqu’aux frontières de la Russie, nous a apporté la guerre plutôt que la paix et la stabilité. Il fragilise aussi l’ONU, le bras financier du progressisme dans le monde.
Le président américain, bien conscient d’un danger existentiel, ne lâche pas Israël. Il s’attache à limiter la puissance de l’Iran et à empêcher son accession au rang de puissance nucléaire. Dans le même ordre d'idée, il s'impose en grand défenseur du monde chrétien avec ses deux déplacements à Paris, sur la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, puis à Rome, pour les obsèques du Pape.
Il a révélé l’hypocrisie des médias américains, discrédités pour avoir masqué durant quatre ans l’état réel de santé et l’impotence de Joe Biden.
Trump bouscule donc l’ordre mondial à l’extérieur et l’État de droit à l’intérieur, qu'il sait tous deux dominés par des normes progressistes. Il démontre que la politique peut tout faire en faisant chuter le nombre de franchissements illégaux de clandestins aux frontières. Il a réduit les dépenses de l’État fédéral d’environ 1500 milliards d’€uros, ce que nos dirigeants ne savent pas faire. Il a brutalisé un État fédéral « bouffi » et couteux qu’il souhaite plus agile et plus moderne. Il s’attaque à la Justice quand elle décide de suspendre les expulsions de clandestins illégaux. Il a neutralisé tous ceux qui cherchaient à empêcher ses réformes intérieures. Et il a purgé le FBI de tous ses agents aux ordres des idéologues démocrates.
Bref, Trump applique des méthodes quasi militaires pour libérer son champ d’action au profit de sa politique intérieure. Il a voulu s’appuyer avant tout sur la loyauté absolue de son équipe. Il a d'ailleurs récompensé et imposé pour cela les personnalités les plus fidèles durant sa campagne. Elles lui doivent tout, et il le sait. Elles ont aujourd'hui pour mission de lui fournir l’autorité exécutive et le contrôle présidentiel qu’il avait eu du mal à imposer durant son premier mandat.
Alors le monde bien-pensant va déjà juger son bilan sur seulement 100 jours. Il va nous dire que la cote de popularité de Trump s’effrite. Certes, il n’a pas encore gagné la paix à l’est de notre continent. Mais il est confronté à tous ceux qui ne veulent pas vraiment de cette paix et qui œuvrent plutôt pour la continuité de cette guerre meurtrière, coûteuse et ingagnable, avec, au premier rang, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Olaf Scholz, Friedrich Merz et Ursula von der Leyen.
Trump est partout craint et redouté, à l'intérieur, comme à l'extérieur. Il se donne les moyens d’une efficacité protectionniste et d’une capacité d’action politique sans modération dont peu de chefs d’États peuvent jouir aujourd’hui. Il impose partout sa version pour défendre avant tout l’intérêt américain. [...]
Mais Trump n’en a pas terminé avec le « marécage et le fléau progressiste ». Il ne faut jamais sous-estimer les capacités de rebondissements de la gauche et du centre mou aux États-Unis et en Europe.
Le président américain a des convictions et de l’aplomb. Il va toutefois devoir traiter l’affaiblissement de Pete Hegseth à la défense. En multipliant les fautes de confidentialité dans la conduite des opérations, le Secrétaire chargé de la défense se retrouve isolé, à la tête d’un ministère essentiel pour la défense et pour la politique étrangère de l’Amérique.

28 avril 2025

Yann Bizien

-28/4/2025- Accroître la pression sur la Russie, avec quoi ? Avec un seul porte-avions rentré au port base avant hier, en bout de potentiel ?
Emmanuel Macron est frustré car il n'est pas au cœur du processus de négociations pour la paix. Il est rejeté à la périphérie de ce processus.
Alors il s'agite pour exister, pour apparaître dans la galerie des grands et pour espérer retirer tous les dividendes politiques d'un processus de paix.
Nous l'avons constaté samedi matin lorsqu'il a voulu s'afficher sur la photo aux côtés de Donald Trump et de Zelensky.
Emmanuel Macron n'a plus assez de crédibilité pour négocier directement avec le régime russe. Trop belliciste, trop partisan, pas assez neutre. Il joue donc la comédie. Il se montre. Il multiplie les déclarations martiales sans effet. Il touche Zelensky. Il le prend dans ses bras. Il lui promet monts et merveilles, aux frais des contribuables. Et il organise des sommets coûteux et inutiles.
Nous ne sommes pas dupes. Je rappelle que les grands de ce monde savent que le président Français a moins de 30% d'opinion favorable, qu'il n'a aucune majorité pour diriger ce pays, qu'il a nommé par défaut un gouvernement hybride, paralysé et sous la menace permanente d'une censure, que notre Assemblée nationale est éclatée, que l'État est en faillite, que les plans sociaux et les liquidations se multiplient et que notre société se déchire dans un face à face engagé.
Les grands de ce monde savent qu'Emmanuel Macron n'a plus les moyens de la puissance pour exécuter ce qu'il dit.
Les grands de ce monde peuvent dormir tranquilles. L'agitateur parle dans le vide de l'impuissance.

Ambassade de Russie en France / Посольство России во Франции
28/4/2025

Par décision du Président de la Fédération de Russie, Commandant en chef suprême des Forces armées de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, pour des raisons humanitaires, déclare un cessez-le-feu à l'occasion du 80e Anniversaire de la Victoire, à compter de zéro heure dans la nuit du 7 au 8 mai jusqu'à zéro heure dans la nuit du 10 au 11 mai (du 8 mai 00h00 au 11 mai 00h00).
Pendant cette période, toutes les hostilités seront suspendues.
La Russie considère que la partie ukrainienne devrait suivre cet exemple.
En cas de violations du cessez-le-feu par la partie ukrainienne, les Forces armées de la Fédération de Russie apporteront une réponse appropriée et efficace.
La partie russe réaffirme sa disposition à engager des négociations de paix sans conditions préalables, visant à éliminer les causes profondes de la crise ukrainienne et à coopérer de manière constructive avec ses partenaires internationaux.

Dessin de Sanaga