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25 janvier 2023

La crise de la cinquantaine ?

Eric Vial

D’abord, pendant le confinement on m’a imposé de rédiger des auto-autorisations de sorties pour aller acheter deux poireaux et trois carottes.
Ensuite, on m’a expliqué que si on me privait de liberté c’était pour mon bien.
Après on m’a prévenu que si je ne me vaccinais pas pour protéger les autres j’allais être « em-merd-é », puis on a découvert que finalement on pouvait quand même transmettre le virus. Mais bon, on n’a rien changé.
À nouvel-an, on m’explique que la crise climatique était imprévisible.
Concernant la retraite on m’oblige à reconnaître qu’il faut travailler plus longtemps tout en sachant que plus d’un travailleur de 60 ans sur deux n’a plus d’activité.
Je découvre que moins je consomme d’énergies, plus mes factures sont lourdes.
Maintenant on me dit qu’il faut donner des armes à l’Ukraine pour faire la paix.
Mes chers amis FB, je crois avoir vrillé. Je ne comprends plus les contradictions de ce monde qui m’entoure, ni la société qui me ceint. Je veux fuir cette bêtise et cette chienlit, mais est-ce possible ?

24 janvier 2023

mélimélo

⬦ L’État de New-York vient de légaliser la transformation des morts en compost, imitant en cela cinq autres États américains qui l’avaient devancé dans la marche vers la révolution écologique totale.
L’Union européenne a autorisé, elle, par un Règlement d’exécution portant la signature de dame von der Leyen, l’utilisation de la poudre de grillons domestiques dans la préparation de divers aliments.
Le croisement de ces deux informations forme le point où triomphe le sordide dans notre monde en cours d’imbécilisation.
- Radu Portocala -

⬦ France : hausse de 50% des faillites d'entreprise en 2022
Les aides Covid n’ont pas réglé le problème, elles l’ont retardé tout en créant une inflation dévastatrice.
- Marc Amblard -

⬦ L'omerta de la part des médias, des médecins et des politiques sur les effets secondaires, est honteux et criminel.
Quant aux intellectuels qui ne se penchent pas sur le sujet pendant qu'il est brûlant, il sera vain de venir dénoncer le scandale quand il sera passé.
Les effets secondaires, on les dénonce quand les gens en sont victimes et non après. À défaut de faire cela, on ressemble à ceux qui se déclarent résistants quand la guerre est finie.
- Alexis Haupt -

⬦ Qu'on fixe donc l'âge de départ à la retraite à 65 ans pour tous ceux qui ont voté Macron, voire 68 ans pour les remercier, et qu'on fiche la paix aux autres, non mais !
- René Chiche -

⬦ Si cette réforme passe, c'est un blanc-seing pour Macron, il pourra continuer de tout détruire pendant les 4 ans qui lui restent. Après, vous n'aurez plus que vos yeux pour pleurer, et encore, à certains, il n'en restera plus qu'un.
- Catherine Gaillard -

⬦ Celui qui est pour la réintégration des soignants sans avoir été contre leur suspension arrive un peu tard quand même.
- Alexis Haupt -

⬦ Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement.
- Einstein -

⬦ Pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot que les gens avaient sur Twitter se sont avérées vraies. Et même plus vrai que les gens ne le pensaient.
- Elon Musk -

⬦ Les hommes ont besoin des femmes, les femmes ont besoin des hommes. C'est l'histoire de l'humanité.
- Marie-Estelle Dupont -

⬦ Il faut arrêter de rechercher des justifications scientifiques en matière de gestion Covid, là où n'existent en réalité que des intérêts de pouvoir et d'argent.
Si la science, la vraie, avait eu son mot à dire, tout aurait été très différent : pas de confinements, pas de pass sanitaire, pas de masques en extérieur ni pour les enfants, des médecins qui soignent, et évidemment pas de suspension de soignants nonvax.
- Vincent Verschoore -

⬦ J'ouvre un exemplaire des Caractères de la Bruyère et je tombe sur ce mot qui paraît avoir été écrit pour dénoncer, avec trois siècles d'avance, le banquier moumouté qui nous sert de président.
Bon, évidemment, ça pourrait s'appliquer à beaucoup d'autres politiques, mais comment ne pas penser en priorité à lui ?
« À force de faire de nouveaux contrats, ou de sentir son argent grossir dans ses coffres, on se croit enfin une bonne tête, et presque capable de gouverner. »
- Jonathan Sturel -

⬦ La censure, quelle qu'elle soit, me paraît une monstruosité, une chose pire que l'homicide ; l'attentat contre la pensée est un crime de lèse-âme. La mort de Socrate pèse encore sur le genre humain.
- Gustave Flaubert -

Négation de l'identité nationale
Négation de l'identité culturelle
Négation de l'identité sexuelle
Transhumanisme
Matérialisme
Scientisme
Homme-machine
Homme-cobaye
Homme-objet
Déshumanisation
Au profit de la mondialisation
- Véronique Faucheux -
Gérard Boyadjian

Mauvaise et bonne nouvelle

https://www.facebook.com/519306637/videos/1495716767603164/


SOUTIEN à tous les artisans ET STOP à cette folie

Kelly Scott

J’ai appelé ce matin la boulangerie en question pour savoir si c’était vrai car complètement fou.
Boulangerie Claudel à Bollwiller (Haut-Rhin).

Photo jointe, une dame très gentille m’a répondu.

Tout est véridique ! Le montant réclamé est réel et d’autres boulangeries et artisans vivent le même cauchemar !

Ils ont affiché cette facture chez eux dans leur commerce.

Ils ont prévenu la presse.

EDF pour l’instant ne donne aucune réponse.

Je leur ai dit que nous les soutenions.

C’est juste invraisemblable, incroyable et insupportable.

S’ils doivent payer, ils fermeront évidemment mais il faut absolument qu’ils ne se laissent pas faire !


Vers des jours difficiles ?

Gilles La Carbona

Les nuages s’amoncellent dans le ciel de Macron. Jusqu’à présent, le président s’en est toujours sorti, soit en jouant le pourrissement, soit en affichant un superbe mépris et parfois les deux en même temps. Mais il s’agissait en général d’un problème unique et interne. Cette fois les choses sont un peu différentes. D’abord il y a cette fichue réforme des retraites. Elle pourrait passer en force, ou avec la complicité des LR, puisque ces derniers ont pactisé en « presque secret » avec le pouvoir. Cependant les syndicats ne semblent pas vouloir lâcher du lest et ils ont avec eux au moins 70% des Français, qui ne veulent pas de cette réforme. Ils ont un peu de temps devant eux pour préparer leurs arguments et surtout les salariés, à des blocages de plus en plus durs. Macron pourrait-il supporter une paralysie du pays, même partielle, de plusieurs semaines ? Le pari est osé.

Dans ce cas il lui resterait deux options. Retirer ce texte, que le COR ne cesse de qualifier d’inutile, puisque l’équilibre financier n’est en rien menacé dans l’immédiat du moins, il l’a encore martelé la semaine dernière. S’il fallait 10 milliards pour en assurer la pérennité, on se dit que l’effort n’est pas si dantesque que ça, puisqu’on ne cesse d’inonder l’Ukraine de milliards, pour rien. Ou, seconde solution : faire un référendum. Plusieurs intervenants le réclament, Macron lui-même, l’avait évoqué durant sa campagne. En choisissant cette alternative il ne se dédierait nullement. Bien entendu l’issue du scrutin pourrait l’affaiblir, si elle était négative. Mais connaissant l’homme, il resterait en place, arguant que ce n’est que l’expression du peuple, non un plébiscite sur sa personne. De plus, rien n’est écrit dans la constitution lui intimant l’ordre de démissionner en cas de désaveu. Déjà que ce qui est écrit il s’en fiche, alors ce qui ne l’est pas...

À ce problème, se rajoute celui des effets secondaires des vaccins, de plus en plus difficilement escamotables. Bien entendu la France reste championne en matière de mutisme sur le sujet. L’évitement est de rigueur et quand bien même un certain malaise est parfois palpable chez les journalistes, ils s’en sortent par un silence de circonstance, le regard absent, ou plongé dans des notes imaginaires. Les services des pompes funèbres sont débordés, mais pas de panique, les gens meurent brutalement, mais c’est la faute à pas de chance. Le nombre de bébés mort-nés a explosé, mais la dignité impose qu’on taise tout cela. Jusqu’à quand cet argument suffira-t-il à contenter les familles des victimes, ou les patients blessés à vie après les injections ? Mystère.

Dans « le même temps » Macron semble empêtré avec l’Ukraine. Il a joué les fier-à-bras, s’est permis l’envoi de canons et de chars ALX10, sans demander l’autorisation à l’Assemblée nationale. Il s’est même autorisé à dire qu’aujourd’hui, on ne déclarait plus la guerre, sous-entendu, je fais ce que je veux et l’article 35 de la constitution je l’ai biffé, quand on vous disait un peu plus haut que le texte de la constitution il en faisait son affaire ! Mais ici, la complaisance des journalistes ne le sauvera pas, ni même le 49.3 ou l’alliance LR. Il n’a pas en face de lui des roquets achetés à grands coups de subventions ou de promesses diverses, mais un chef d’État puissant. Il semblerait que la patience de la Russie approche de son terme et l’évocation du don des chars Leclerc a quelque peu énervé Poutine, tant et si bien qu’on a vu le prince président intervenir pour un début de rétropédalage discret, avec la mine déconfite. Les gesticulations seraient-elles sur le point de se terminer, et le temps ne serait plus aux mots ni aux déclarations, mais aux actes ? On sait qu’en la matière, quand le Russie passe ce cap, ça fait très mal.

Le prince président serait donc trop bien corseté dans toutes ces affaires, pour rester serein, d’autant que pour l’un des dossiers, il lui serait impossible de jouer les hautains, les méprisants, il devrait se frotter à la réalité de la guerre et personne n’est prêt. C’est une chose d’envoyer des CRS taper sur des gens désarmés, c’en est une autre d’affronter une vraie armée. On l’a vu dans le Dombas quand les Ukrainiens terrorisaient les populations russophiles, ils jouaient les cadors, dès qu’ils ont eu en face d’eux des soldats armés, ils ont détalé comme des lapins. Il le sait et c’est ce qui le rend maussade. Il ne peut plus rouler des mécaniques, comme avec les manifestants français.

Si l’on cumule ces trois événements qui semblent converger à grande vitesse, on peut penser que les jours qui arrivent vont être très compliqués pour lui. On peut encore ajouter l’inflation galopante. Il devra donc faire des choix. Soit s’entêter sur tous les sujets, et risquer d’entrer ouvertement en guerre avec la Russie, ce qui sonnerait la fin de son quinquennat et sans doute de la France tout court. Soit abandonner les positions les plus inconfortables, la Russie et les retraites. Mais son quinquennat serait quand même bien entamé... quelles seront ses priorités ? Lui seul le sait et encore.

Pierre de Gaulle : « Ils ont détruit la France de mon grand-père ! »


Yann Bizien

☐ Je voudrais que le pouvoir puisse entendre très clairement ceci : avant de prétendre aider l’Ukraine à défendre quoi qu'il en coûte ses frontières, jusqu'à organiser notre propre désarmement, il serait plus que temps de penser et de s’occuper d'abord des nôtres, abandonnées, délaissées et violées en permanence. Il n’est pas normal que la France, si prompte à défendre les frontières des autres, fasse si peu pour assumer la responsabilité des siennes et préserver sa souveraineté. Une Nation souveraine fait respecter le droit international a ses frontières. C'est elle qui décide qui peut entrer sur son territoire, ou pas.



☐ Alors que le peuple descend dans la rue, l'exécutif qui annonce en même temps le report de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour l'équilibre comptable de notre système, et l'augmentation du budget des armées, semble perdre la bataille de l'opinion. Le taux de satisfaction ciblé sur Emmanuel Macron chute en effet à son plus bas niveau depuis le premier confinement de 2020. Le chef de l'Etat semblait protégé jusqu'ici par un épais glacis malgré ses déclarations culpabilisantes, brutales, outrageantes et blessantes. Mais il perd aujourd'hui et de façon très significative l'estime des actifs et des chômeurs. Les Français redoutent de mourir au travail ou la précarité d'une retraite plus courte. Et rien, aucun élément de langage gouvernemental, ne les fera dévier.



☐ Simple et implacable : le Ministre de l'Éducation nationale, qui dispose du premier budget de l'État entre ses mains, n'a plus la cote parce qu'il n'est pas du tout à la hauteur d'une responsabilité historique et d'une mission impossible à réussir avec ses préjugés idéologiques. Ministre de l'ombre, qui ne sait pas s'imposer, il peine à saisir les enjeux de l'Éducation nationale. Sans courage, il éprouve des difficultés à décider et à assumer franchement une politique éducative basée sur la rigueur, l'effort, le mérite, l'excellence et le respect de l'autorité. On ne fait pas une politique éducative avec pour seuls slogans la mixité sociale et l'égalité, Monsieur le Ministre.