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18 juin 2023

LA DÉMOCRATIE N’EST PLUS

Marc Amblard

Une oligarchie néomarxiste s’est emparée du pouvoir que nous étions censés avoir confié exclusivement à nos élus. Cette caste apatride a pris le contrôle des gouvernements à travers des entités internationales parmi lesquelles l'OMS, l'UE, l'ONU, le WEF (World Economic Forum), le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l'OTAN et également les deux mastodontes financiers Blackrock et Vanguard. Ces organisations sont suffisamment puissantes pour imposer aux nations des dirigeants fantoches en dévoyant les processus électoraux.
Ainsi que nous avons pu le constater durant la crise du Covid, elles n’œuvrent nullement dans l’intérêt des peuples. Bien au contraire.
Nous assistons là à un véritable coup d’état perpétré par des individus dont l’objectif est de nous infliger un agenda mortifère conforme à leur idéologie qui vise à la réduction, l’appauvrissement et le contrôle total des populations.
Si vous pensez qu’il s’agit d’élucubrations complotistes, je vous suggère alors de faire l’effort d’écouter attentivement quelques puissants et leurs éminences grises comme Larry Fink, Bill Gates, Georges Soros, Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, Dennis Meadows… Tout est en ligne.
Nous avons cru que le fascisme avait pris fin durant la seconde guerre mondiale. Il n’en est rien.
N.B. Je viens tout juste d'apprendre que le Docteur Jordan Peterson, psychologue clinicien canadien, professeur émérite de psychologie à l'Université de Toronto et auteur à succès, sera peut-être condamné par un tribunal de l’Ontario à être « mentalement rééduqué » (judicial review). Le verdict n'est pas encore prononcé. Son crime : avoir démasqué le wokisme. Vous commencez à comprendre ?
Ah j'oubliais un détail : nous sommes des milliards, ils sont quelques milliers, c'est-à-dire rien. Je reste optimiste.

Ukraine

Vincent Verschoore

18/6/2023 – La guerre de la désinformation se poursuit en écho à celle sur le terrain où, depuis le 4 juin, les forces ukrainiennes dopées au matériel Otan tentent de percer le front russe.
De l'avis général, sans grand succès et la com russe parle de 7 500 soldats ukrainiens tués depuis cette date, avec un rapport de pertes de 1 à 10 en faveur de l'armée russe.
L'Otan ne dément ni ne confirme, se contentant de promettre toujours plus d'aide mais, comme le dit l'ineffable Macron, "dans les limites fixées et en évitant l'escalade".
On se souviendra qu'au début, la limite était de ne pas envoyer de matériel lourd (chars) ni d'avions.
Résultat : les Ukrainiens meurent en masse sans rien changer sur le terrain, et le complexe militaro-industriel s'enrichit sous les applaudissements des euro-atlantistes.
Le monde non occidental, de son côté, rejette de plus en plus massivement la domination américaine basée sur la guerre perpétuelle et le chantage au dollar, et il s'organise en fonction.
Le sommet des BRICS du mois de juillet sera sans doute crucial, à tel point que Macron veut y participer à titre d'observateur. Le pays organisateur, l'Afrique du Sud, n'est guère enthousiaste.
Les euro-atlantistes ne répondent pas à la question d'à partir de combien de morts ukrainiens il faudrait commencer à chercher un cessez-le-feu avec les Russes. Ils se réfugient derrière le "c'est aux Ukrainiens de décider", alors que les Ukrainiens (hors Zelensky) ne décident de rien, et que les combats se poursuivent du fait de l'aide de l'Otan, de facto coresponsable de la situation.
J'imagine que la monstrueuse hypocrisie euro-atlantiste s'arrêtera le jour où ses militants seront invités à venir verser leur propre sang dans les marécages du Dniepr.

17 juin 2023

Abaya

Denis Collin

Abaya : tout le monde le sait, cette affaire est la énième offensive des intégristes avec des jeunes filles et jeunes femmes comme fer de lance. Comme d'habitude, les défenseurs de "nos-valeurs", à demi-décérébrés, organisent la capitulation dans le désordre et permettent à nos ennemis de marquer des points, encore une fois.
Trouverons-nous un vrai ministre de l'Éducation nationale, capable de dire ce qu'il faut dire : dans les établissements scolaires, ce n'est ni le djihad ni carnaval. Les abayas sont interdites comme les burkas et les autres accoutrements des fanatiques religieux. Pour faire bonne mesure, on établit dans chaque établissement un "code de vêtement" conforme à la vocation de l'école. Pas de claquettes, de shorts et de marcels quand reviennent les beaux jours. Pas de filles montrant leur nombril. Beaucoup de parents d'élèves, l'engeance la plus terrible pour l'école, vont hurler, me dira-t-on. Mais rêvons, nous aurons un jour un ministre de l'EN conscient de la nature de ce qui devrait être son sacerdoce.
Ensuite, on peut revenir à une école qui instruit, des notes qui veulent dire quelque chose, un bac à 70% de réussite, des études surveillées, des années complètes et la fin de tous les prétendus enseignements farces et attrapes.
Voilà le programme minimal si on veut éviter l'effondrement. Malheureusement, il est à craindre que la coalition des lâches, des démagogues et des oligarques ne fasse tout pour éviter qu'on commence d'appliquer un tel programme. Le chaos à l'école, la normalisation islamiste, la déchéance et l'abêtissement de la jeunesse, ils adorent ça. (Je mets évidemment LFI dans la coalition, dont ils forment simplement l'aile gauche pendant que les LR macronisés forment l'aide droite).

16 juin 2023

Ces cryptomonnaies qui contournent les sanctions

H16

Beaucoup n’imaginaient pas la dédollarisation du monde il y a deux ans, pour la réfuter il y a un an puis la minimiser actuellement : petit à petit, la monnaie américaine perd du terrain face aux autres monnaies à mesure que de nouvelles alliances géostratégiques s’installent.

Les causes sont multiples. Ainsi, l’accumulation quelque peu inquiétante de dettes du côté américain ne favorise pas une santé solide du dollar. En outre, militariser sa monnaie en saisissant des avoirs étrangers pour des raisons de politique étrangère ou, comme c’est le cas actuellement, interdire des mouvements de fonds entre pays tiers au prétexte qu’ils utilisent le dollar pour des opérations qui déplaisent ne l’aide absolument pas à conserver sa position privilégiée comme monnaie d’échanges mondiaux.


À la suite des sanctions qui se sont abattues sur les échanges commerciaux entre la Russie et la plupart de ses partenaires, il a fallu trouver d’autres moyens et faire preuve d’inventivité. Avec une surprise finalement modérée et comme le relataient de précédents billets, l’association de pays émergents BRICS, comptant notamment la Russie et à laquelle Macron – imperméable au ridicule – semble vouloir apparaître, s’est donc organisée pour utiliser ses monnaies locales : yuan, roupie, rouble sont maintenant utilisées pour les échanges entre ces différents pays.

Depuis, les alternatives à l’utilisation du dollar pour les échanges internationaux se sont multipliées : par exemple, l’Arabie Saoudite et la Turquie ont ainsi commencé à échanger des roubles, ce qui permet de renforcer un peu la monnaie russe. L’Inde (comme la Chine) achète actuellement des quantités de plus en plus massives de pétrole russe, dont une partie se retrouve d’ailleurs en Europe, et le paye en dirham, en roupies et en roubles… mais plus en dollars.

Bref, l’idée générale qui consiste à utiliser le dollar comme levier pour des sanctions économiques semble toucher ses limites et, pire encore, pousse un nombre croissant de pays à trouver des parades contre cette militarisation dangereuse de la monnaie internationale.

La dernière en date mérite quelques lignes : comme nous l’apprennent quelques titres spécialisés dans le monde des cryptomonnaies, la banque russe Rosbank, jadis filiale de la Société Générale mais depuis séparée de l’entité française suite aux sanctions européennes, est en train d’étudier un mécanisme avec un partenaire en cryptomonnaie, B-crypto, permettant des transactions entre différentes devises en utilisant les cryptomonnaies comme intermédiaire de support.

En substance, le commerçant russe souhaitant acheter des biens ou services étrangers et payer en roubles pourra passer par ce service qui se chargera d’acheter des cryptomonnaies pour le montant souhaité, cryptomonnaies qui seront ensuite déplacées chez le vendeur qui pourra inverser l’opération et récupérer le fruit de la vente dans sa propre devise en vendant les cryptomonnaies ainsi envoyées.

Pour le moment, le mécanisme n’est pas encore transparent pour les différentes parties impliquées dans l’échange mais il fait assez peu de doute que les obstacles techniques seront assez vite maîtrisés, et que les aspects purement légaux seront au besoin aplanis au moins par les autorités russes qui voient dans la manœuvre une façon supplémentaire de contourner les sanctions sur leur devise. L’ironie de l’opération est que les devises étrangères peuvent même compter le dollar parmi elles.


Bien sûr, ce projet pilote ne porte pour le moment que sur des petites transactions (en volume et en montants) ; les marchés des cryptomonnaies n’ont à ce jour pas encore atteint la profondeur nécessaire pour engager de gros montants ou de grands nombres de transactions internationales. Mais le principe est solide sur le plan technique : les cryptomonnaies étant, par construction, indépendantes des banques centrales et des États, elles constituent fondamentalement un moyen d’échange réellement neutre entre individus de pays différents. On doit s’en réjouir : s’assurer que les individus commercent aussi facilement que possible reste une méthode efficace pour éviter les guerres.

Néanmoins, on imagine bien que si ce genre d’applications des cryptomonnaies au commerce international (et au contournement de sanctions) devait se développer, certains pays, à commencer par les États-Unis, en prendraient ombrage tant ceci constitue plus qu’un coup de boutoir aux pouvoirs régaliens qui comprennent celui de frapper monnaie.

C’est d’ailleurs ce qui se passe, plus ou moins discrètement : on peut voir les manoeuvres du gouvernement américain pour tenter de reprendre la main sur les cryptomonnaies derrière les déboires et autres pénibleries subies par la filiale américaine de Binance, l’une des principales plateformes d’échange de cryptomonnaies dans le monde, confrontée aux accusations de différentes malversations par la Security Exchange Commission américaine.

Les autorités américaines pourraient, dans le cas de Binance US, avoir le dernier mot, mais en prenant du recul, on comprend qu’il ne s’agit ici que de gagner un peu de temps dans un jeu finalement dangereux pour elles. D’une part, chaque nouvelle poursuite, chaque nouvelle législation, chaque nouvelle sanction ou contrainte ajoutée accroissent les frictions dans l’usage du dollar et dans les interactions avec le marché américain ; or, avec la croissance actuelle des autres marchés dans le monde, cela peut inciter les commerçants et industriels à modifier leurs centres d’intérêts et leurs affaires pour en diminuer la part américaine. Ceci n’est décidément pas très bon pour les Américains ou pour le dollar.


D’autre part, ce genre d’opération ne fait que pousser les acteurs des cryptomonnaies à limiter leur exposition avec les monnaies étatiques : puisque c’est l’interface entre ces dernières et le monde des cryptos qui donne un levier aux États pour – essentiellement – limiter les libertés des individus, il convient d’en limiter la portée. Absolument rien n’interdit, sur le plan technique, psychologique ou opérationnel, un monde dans lequel les transactions se font avec des cryptomonnaies sans jamais repasser par des monnaies étatiques.

On comprend qu’avant d’en arriver là, le mouvement est clairement complexe et prendra évidemment du temps mais harceler toujours plus les citoyens et les entreprises comme le font les États actuellement n’aide en rien à inspirer confiance dans les monnaies fiduciaires, au contraire. Dans ce contexte, l’introduction de force des CBDC donnera aux citoyens une excellente raison de se passer de l’État dans la création monétaire.

En définitive, la dédollarisation continue et, de façon logique, les cryptomonnaies commencent à trouver leur place dans la nouvelle donne financière internationale qui prend forme sous nos yeux. Les batailles que ces changements imposent promettent d’être épiques.


Suspendus pour des tweets !

Denis Collin

Vous le savez déjà, deux de nos collègues de philosophie sont suspendus sans traitement pendant trois mois par le ministre de l’Éducation nationale à cause de leurs tweets. L’un dans l’académie de Normandie, Franklin Nyamsi ; l’autre dans celle d’Aix-Marseille, René Chiche. Ce dernier est aussi vice-président et porte-parole de notre syndicat Action & Démocratie/CFE-CGC.
Dans les deux cas, c’est uniquement leur expression sur les réseaux sociaux qui est le motif de ces sanctions très lourdes, ni leur enseignement ni leur comportement dans l’exercice de leurs fonctions n’étant mis en cause. Dans les deux cas, leurs propos ne comportent rien de contraire à la loi et leur seule « faute » consiste à rendre publiques des opinions qui déplaisent au pouvoir. Dans le cas de René Chiche, la sanction vise non seulement le professeur mais le responsable syndical puisque c’est aussi à ce titre qu’il s’exprime publiquement, ce qui ajoute encore au scandale. Et, cerise sur cet indigeste gâteau, dans le cas de René Chiche encore, la sanction n’est pas seulement prononcée par le ministre : ce sont en effet les représentants des personnels eux-mêmes, élus SNES-FSU et SIAES siégeant en conseil de discipline, qui ont demandé qu'il soit sanctionné !
Pour Action & Démocratie, le rôle d’un syndicat consiste à défendre les collègues injustement poursuivis, même ceux avec lesquels nous aurions des désaccords.
Nous savions qu'il nous fallait défendre l'école et nos métiers face à une administration en perte de repères, nous découvrons qu'il nous faut aussi composer avec des organisations syndicales prêtes à faire sanctionner des collègues pour des propos qui leur déplaisent !
Nous n’avons décidément pas la même conception du syndicalisme et de la défense des personnels que ces gens-là, et nous en sommes fiers !

« Poissonnière » et alors? (ou l’apothéose du mépris)

Maxime Tandonnet


A l’Assemblée nationale, un abruti à cru bon d’insulter une autre parlementaire en la traitant de « poissonnière ». Celle-ci, tout aussi inintelligente, s’en est offusquée, offensée dans sa dignité de grande dame importante d’être traitée de poissonnière. Elle a porté plainte. Et puis le bureau de l’AN s’en est mêlé, sanctionnant le député insulteur. Pour qu’une telle sanction soit prononcée, dès lors que la liberté d’invective règne en principe dans le débat parlementaire, l’injure devait être effroyable.

Ce qui fait le caractère insupportable de l’insulte « poissonnière », c’est qu’elle renvoie à la France populaire. Une poissonnière, c’est supposé, dans l’esprit des gens importants, être moche, criarde, les mains sales et puantes des tripes du poisson. L’image est honteuse pour ces messieurs et dames importants de l’AN aux mains propres (…). L’insulte rappelle les sans dents, les Gaulois réfractaires, ceux qui ne sont rien et ne peuvent même pas se payer un costume, les fainéants, les illettrées etc. L’exemple du mépris vient de haut.

Pourtant, poissonnière est un beau métier, intermédiaire entre le pêcheur et le consommateur, qui contribue à nourrir les Français. Ce métier est à ce titre (au moins) aussi noble et utile que celui de député, ministre ou président de la république. Oui, oui, je vous assure… Qui plus est, par delà la caricature infâmante, il est souvent des poissonnières jolies, jeunes et charmantes comme le prouve cette illustration.

Et puis il faut rappeler une chose aussi : les députés, les ministres et l’occupant de l’Elysée sont payés avec les impôts des poissonniers et des poissonnières parmi d’autres. Dire cela n’est pas populiste : c’est juste la vérité. L’insulte minable et la réaction offusquée tout aussi minable, puis la sanction toujours aussi minable, sont venues de partis qui se disent inspirés par le peuple. De fait, c’est toute une conception de la politique qui est gangrenée par le mépris au-delà les frontières partisanes et les catégories (législatif, exécutif, etc.). Ce mépris de classe, du puissant dans ses palais dorés pour la France populaire, cette arrogance des gens prétendument d’en haut qui se croient intelligents et importants et donc autorisés à insulter les métiers de la France populaire, nous ne finissons pas d’en crever.

La guerre en Ukraine n'est pas une guerre territoriale (vidéo)

Michel Rosenzweig

16/6/2023 – Une conférence fondamentale pour comprendre pourquoi et comment nous en sommes arrivés là. Il est essentiel de garder à l'esprit que les USA n'ont jamais voulu que la Russie et l'Europe s'arriment à un projet commun et que leur obsession a été et est restée d'en finir avec la Russie. Cette guerre n'est que le prolongement de la 2ème guerre mondiale après un simulacre de paix européenne au prix de la vassalisation complète du continent européen. L'UE n'est qu'un protectorat des USA et l'Ukraine est l'enjeu de l'extension de ce protectorat au détriment de la Russie.
Nikola Mirkovic, (''Le Martyre du Kosovo", ''Bienvenue au Kosovo'', ''L'Amérique empire'', ''Le Chaos ukrainien''), président de l’association Ouest-Est ;
François Martin, président du Groupement Professionnel HEC Géostratégies & Co-président du Pôle HEC Globalisation, auteur de "L'Ukraine : un basculement du monde".



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0:24:30 Coup d'état de Kiev
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0:27:57 Nous sommes un protectorat américain
0:28:33 Cette guerre est à la fois nucléaire, locale et globale
0:30:35 Guerre existentielle
0:31:40 Négociateurs de la paix ukrainiens sont assassinés à Kiev
0:34:40 Partenariats Russie-Ukraine ; EU-Ukraine
0:36:20 Open Society
0:36:50 Victoria Nuland et BHL
0:39:50 Un pays antirusse pas un pays ukrainien
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0:43:00 Base de Yavoriv
0:45:40 Socialisme versus capitalisme
0:48:05 Oligarchie ukrainienne
0:50:25 Cette guerre n'est pas une guerre territoriale
0:52:29 Madeleine Albright
0:54:15 Guerre militaire
0:56:50 Afrique
0:58:07 Pacte de Quincy
0:59:21 Fin du pétrodollar
QUESTIONS
1:01:00 Mythe de Zelensky
1:01:56 Les Américains servent toujours des jeunes fanatisés
1:04:17 L'opposition n'existe pas en Ukraine
1:05:00 Polonais et Ukrainiens
1:06:06 Financement de la guerre
1:09:30 C'est une guerre de dévitalisation
1:11:13 Planche à billets
1:12:25 Mauvaise soft power russe
1:14:40 Vision universelle du conflit et la guerre médiatique
1:17:40 Médias dominants
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