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8 janvier 2023

Interview-choc de Jacques Myard, maire LR de Maisons-Laffitte, sur la situation en Ukraine et les relations avec les USA et la Russie.

https://www.youtube.com/watch?v=bntMAAItUDI


Pierre Duriot

Je me marre… les boulangers disparaissent, mais ils offrent une galette des rois à Macron et vont boire le coup avec leur bourreau. Les personnels soignants se sont fait foutre des doses d’on ne sait quoi dans le corps, ont vu leur camarades mis au ban, sont au bout du rouleau, ont eu interdiction de soigner et s’en vont écouter religieusement leur bourreau et encore, avec un masque, alors que lui n’en porte pas. Les coups de couteaux et les viols pleuvent sur nos concitoyens natifs, mais comme les bourreaux sont des « pauvres gens » d’importation, il ne faut pas se plaindre. C’est ainsi en Macronie, les bourreaux doivent avoir tout pouvoir et les ouailles, accepter en silence le mal qui leur est fait, pire, ils doivent trouver cela glamour, dans une inversion totale des valeurs, où les bourreaux sont érigés en victimes respectables. L’Antéchrist est au pouvoir…




7 janvier 2023

Radu Portocala

« 2022 pulvérise le record de l’année la plus chaude en France », annonce « Libération », fière de pouvoir nous faire part d’une nouvelle qu’elle tient pour catastrophique.
Autrefois, il y avait « Le vrai salaire des cadres », « Le prix de l’immobilier à Paris » et autres bêtises de la sorte, qu’on nous servait année après année, avec la monotone régularité des saisons. On les appelait, pour cette raison même, des « marronniers ». Depuis quelque temps, c’est la température qui hante les rédactions et qui supplée à l’absence d’imagination des journalistes. Ils aiment les catastrophes, même quand elles ne sont que fantasmées.
Comment sait-il, le génie qui a pondu ce titre et qui veut donner l’impression d’avoir scruté toute l’histoire de la France et de son climat, que 1047, par exemple, n’a pas été une année plus chaude que 2022 ? Que lui donne la certitude de son constat péremptoire ? Rien ! Une conviction, tout simplement, qui tient d’avantage de l’idéologie que d’une science exacte.
Le journaliste qui écrit de telles choses a un très grand avantage sur le lecteur à qui il les impose : il sait que personne n’ira perdre son temps à chercher les vieilles chroniques, les anciennes statistiques, pour vérifier et comparer. Il sait qu’il peut écrire n’importe quoi à ce sujet parce qu’il est hissé sur la barricade du climatiquement correct et que quiconque s’aviserait à le contredire serait éliminé promptement du débat, accusé de pratiquer le coupable scepticisme.
Son double rôle, qu’il joue avec la bénédiction de sa rédaction est de culpabiliser les uns et de terroriser les autres. Il s’en flatte. Quel privilège d’être parmi ceux qui savent le désastre à venir, de l’annoncer, d’appeler les foules ignares à la lutte pour la survie !
Pourtant, si on regarde les vieux livres, on apprend que la Seine a séché plusieurs fois aux siècles derniers. Rien à voir !, nous dira-t-il agacé. Et, déjà, il se prépare pour l’annonce qu’il fera d’ici un an : 2023 aura été l’année la plus chaude de l’histoire.

Le Dr Stéphane Gayet fait le point sur la vaccination anti-Covid : simple, clair, documenté.


Vaccination anticovid : de la malveillance intentionnelle ?

François Amsallem

« Dans une expérience scientifique, un groupe contrôle, ou groupe témoin, est un groupe d'individus qui ne reçoivent pas le traitement testé. À l'issue de l'expérience, comparer les individus du groupe témoin à ceux du groupe traité (ou groupe expérimental) permet d'évaluer l'effet du traitement. »

On pourrait ajouter quand bien même ce traitement eut été prophylactique mais en fait à la réflexion, il faudrait dire a fortiori si ce traitement l'était, comme c'est théoriquement le cas de ceux qu'on appelle les vaccins, à condition évidemment que leur efficacité ait bel et bien été prouvée.

S'agissant de l'expérimentation sur des cobayes desdits produits appelés vaccins anti Covid, sachant que dans les phases dites 1 et 2 ayant précédé l'expérimentation de masse par l'injection de plusieurs milliards de cobayes humains, aucun résultat concluant (sans contestation méthodologique) à un bénéfice notable, n'ayant jusqu'ici pu être démontré par rapport à un groupe témoin de manière fiable et bien documentée ; de plus, de nombreux effets pour le moins indésirables s'étant manifestés à toutes les étapes de phase 1 et 2, (des effets dont la liste exhaustive n'a pu encore être établie, puisqu'il semble qu'elle s'allonge tous les jours, qui, à ce stade, dépasse tout ce que l'on a pu jusqu'ici connaître du point de vue de la pharmacovigilance) ; sachant désormais que les décideurs et les responsables de la vaccination de masse (c'est-à-dire de l'expérimentation en phase 3 sur des milliards d'individus) savaient tout cela, il est tout à fait légitime de se demander quels étaient les motifs véritables de cette décision.

Sachant que dans leur immense majorité les injectés étaient en bonne santé et ne courraient aucun risque sérieux, voire même quasiment aucun risque du tout comme environ 99,999999 % des enfants, en prenant en compte le fait qu'un grand nombre d'entre eux ont été multi injectés, soit par la manipulation, soit par la contrainte, il est nécessaire de se poser cette question des motifs véritables de ces injections.
Sachant que le simple fait de poser cette question vous vaudra d'être ostracisé en étant qualifié de complotiste, il est parfaitement légitime et même nécessaire puisque logique de soupçonner une mauvaise intention autrement dit de la malveillance intentionnelle dans le but de nuire à la santé des individus et des populations ciblées.

PS: Il serait évidemment très facile de prouver que cette question n'a pas lieu d'être, en analysant les données des non injectés, afin d'exposer statistiquement un quelconque bénéfice (fût-ce pour d'autres pathologies) des injections en question, mais non seulement aucune des institutions mises en cause ne le fait, aucun des responsables ne le propose mais qui plus est, il est quasiment impossible de le faire, les chiffres officiels n'étant plus disponibles ou alors lourdement maquillés et quasiment interdit de le faire aux scientifiques sans risquer des poursuites et une fin de carrière, ceci pratiquement partout dans le monde, cela pour une raison très simple, c'est qu'au lieu d'un bénéfice on trouverait très certainement une augmentation des risques d'une bonne douzaine de pathologie dans des proportions jamais observées jusqu'ici, pour aucun traitement autorisé par les agences de santé et cela dès les premières semaines des injections de masse au titre d'une vaccination en conclusion inutile, inefficace et dangereuse pour les injectés mais peut-être bénéficiaire pour ceux qui en ont fait la promotion et travaillés à permettre la coercition.