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22 septembre 2023

Michel Rosenzweig

Texte publié dans France Soir le 4 octobre 2021. Après ce texte je n'ai plus publié un seul article sur ce sujet. Depuis, j'ai délaissé le Covid avec le sentiment du devoir accompli, une trentaine d'articles. La saison 4 du Covid n'a pas donné lieu à une cinquième saison. Mais qui sait...
https://www.francesoir.fr/.../sars-cov-2-saison-4-end-game


Sars-Cov2 saison 4 : End Game

"Je ne connais pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi." Dune, Frank Herbert.

Cette phrase à l'allure d'un mantra entendu hier lors de la projection de la deuxième adaptation du célèbre roman de Frank Herbert, "Dune" m'a percuté par son caractère si actuel.
La peur, qui est aussi le titre d'un recueil de nouvelles de Stefan Zweig, et qui nous gouverne depuis mars 2020, a désormais conquis la grosse majorité des esprits et des consciences.
Les jeux sont faits, rien ne va plus, game over, fin de partie, end game.
Les voix de la raison et de la liberté ont-elles pour autant dit leurs derniers mots ?
Non bien entendu.
Mais sont-elles audibles dans ce vaste champ de propagande biopolitique qui domine l'espace médiatique et sociopolitique et ont-elles un quelconque effet susceptible de renverser le cours des choses ?
Je ne le pense pas tout en entendant et en respectant ceux qui le pensent et le croient encore.
Le constat est cependant sans appel : après un an et demi d'offensive tous azimuts, le biopouvoir mondialisé a atteint un de ses premiers objectifs : vacciner quelques milliards d'individus contre un virus dont l'immense majorité en réchappe sans problème, soit 99,8% de la population mondiale, pourcentage qui rejoint d'ailleurs probablement celui des adhérents au narratif officiel.
Cependant, les seules vraies questions qui demeurent dans cet épisode inédit en santé publique n'ont à ce jour pas trouvé de réponse officielle satisfaisante et ces interrogations sont devenues pour moi le socle sur lequel se sont bâties quelques convictions acquises au cours de cette période, dont voici quelques-unes :
- Cette crise n'est pas et n'a jamais été d'ordre strictement sanitaire.
- La médecine et la science ont été clairement dévoyées par le biopouvoir et par les conflits d'intérêts dont le caractère systémique n'est plus à démontrer.
- Pour la première fois dans l'histoire de la médecine l'Ordre politique et l'Ordre médical ont interdit aux médecins de soigner et de traiter avec des molécules connues et éprouvées afin de permettre, de toute évidence, une autorisation de mise sur le marché de thérapies géniques vaccinales expérimentales.
- Le tout vaccinal au détriment de la prise en charge précoce est une ineptie et une énigme épistémologique pour une maladie dont les taux de mortalité et de létalité demeurent très faibles.
- Le concept de gravité de l'épidémie a été construit de toute pièce selon des paramètres plus proches de ceux du laboratoire que de ceux de la vraie vie, et ce afin d'entretenir la peur indéfiniment et de justifier ainsi le régime sanitaire d'urgence.
- De nombreuses personnes sont mortes par défaut de prise en charge.
- Les lois liberticides totalement inconstitutionnelles n'ont eu que peu d'impact en matière de santé publique, mais beaucoup d'impact en matière psycho émotionnelle et socioéconomique.
- L'extorsion du consentement vaccinal a été obtenu par la propagande, la contrainte, la menace, le chantage et l'intimidation.
- L'état de droit a été sérieusement affaibli et son champ d'application considérablement rétréci.
- Cette pandémie est pilotée mondialement de manière synchronisée selon les mêmes paramètres biopolitiques et selon l'agenda du groupe international de Davos (Great Reset), son but étant un changement de paradigme socioéconomique et anthropo-social ainsi que l'avènement de l'identité numérique avec pour corollaires la surveillance et le contrôle des populations par l'intermédiaire d'un passe (port) sanitaire dont l'extension du domaine d'application sera bientôt et exclusivement à caractère vaccinal.
- La partie émergée de l'iceberg des effets secondaires graves dus aux injections est estimée à 10%.
- La presse officielle n'est que le bras médiatique armé du biopouvoir et sa courroie de transmission propagandiste, et le journalisme d'investigation est mort.
- Nous avons changé de paradigme civilisationnel et il n'y aura pas de retour en arrière, nous sommes à l'ère sanitaire de l'hygiénisme radical et de l'idéal de pureté et nous sommes gouvernés par une caste médico-scientifique au service d’un biopouvoir sanitaire tyrannique et totalitaire régissant nos vies quotidiennes.
- La vaccination fonctionne selon un abonnement aux rappels illimités dans le temps.
- La société a été fracturée selon une ligne biopolitique apparentée au régime de l'apartheid.
- Le formatage mental des consciences a été réalisé par un gigantesque programme d'ingénierie sociale mondial basé sur les techniques éprouvées de la PNL (Programmation neuro Linguistique).
- Ce que nous vivons depuis mars 2020 ne relève ni du hasard ni de la contingence, mais bien d'une intention opportuniste délibérée.
Ce nouveau régime de gouvernance est fait pour durer longtemps, car il a été conçu par une oligarchie politique, médicale et scientifique afin d'instaurer un capitalisme de contrôle et de surveillance pour en finir avec la notion d'état nation et avec la démocratie libérale devenue encombrante, trop lente et menaçante dans sa forme dite "populiste".
Le rapport de force entre cette oligarchie mondialisée et les peuples soumis en quelques mois à ce régime sanitaire globalitaire est d'une telle inégalité qu'il est vain d'espérer pouvoir le menacer d'une manière ou d'une autre, c'est ce que je pense profondément après 18 mois d'observation et d'analyses décrites en plus de 200 pages de textes écrits sous forme de petites chroniques sanitaires entre mars 2020 et aujourd'hui.
Ce que j'écris aujourd'hui n'est ni un renoncement ni une abdication face à ce que Ariane Bilheran a nommé très judicieusement dès le début comme étant un "déferlement totalitaire".
C'est un constat personnel lucide face aux faits et aux données.
Mon travail n'a jamais été celui d'un militant, j'ai à plusieurs reprises précisé que le militantisme n'était pas ma nature, je laisse cette tâche à ceux qui s'en sentent investis.
Chacun doit assumer son rôle sans prétendre pouvoir tout faire.
Mon seul souci a été et reste de rétablir la carte du territoire, de chercher la vérité des faits réels au-delà des discours et de la restituer, de la restaurer en essayant de réécrire un autre narratif, tâche difficile entre le dogme du narratif officiel relayé par la propagande médiatique trop puissante, et ceux déployés par tous les adeptes des théories radicales les plus farfelues et portées par leurs chefs de file avides de récupérer le moindre signe et la plus insignifiante donnée afin de conforter leurs convictions préconçues.
La voie du milieu est celle qui consiste à ne pas trop tendre la corde afin qu'elle ne se rompe pas et à ne pas trop la détendre faute de quoi elle ne produira plus aucun son.
Je continuerai à la pratiquer et à chercher la vérité du Covid qui se dissimule encore sous les couches du millefeuille actuel, la quête de la vérité et celle du sens étant tout ce qui m'anime.
Je l'ai écrit il y a déjà quelques mois: il n'y aura pas de "révolution" du Covid, c'était une évidence déjà l'année passée, c'est encore plus évident pour moi aujourd'hui. Ni révolution, ni insurrection, ni soulèvement.
Certains signes font dire à quelques-uns que le biopouvoir recule et que l'édifice se fissure.
Je n'en crois rien, je pense même le contraire, le pouvoir a gagné cette première manche et il le sait.
Seul un événement d'envergure qui ne relèverait pas du "signe", mais bien d'un "cygne noir" serait de nature à renverser le cours des choses, pour reprendre la théorie développée par le statisticien Nassim Nicholas Taleb dans son essai Le Cygne noir, théorie selon laquelle un certain événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler a de grandes conséquences et un rôle historique déterminant... lorsqu'il se produit, c'est la puissance de l'imprévisible.
Le cygne noir est l'illustration d'un biais cognitif. Les Européens ont longtemps cru que tous les cygnes étaient blancs avant de faire la découverte de l'existence des cygnes noirs en Australie.
Faisons le pari audacieux qu'il existe un cygne noir quelque part et décillons les yeux.
© Michel Rosenzweig, 21 septembre 2021, équinoxe d'automne.
Photo : les photovores

2 septembre 2023

Jean-Dominique Michel

Ceux qu'on voit et ceux qu'ils cachent...
Premier volet de la conclusion des 40 épisodes de "Covid non-censuré".
Avec LA question qu'il faut poser : qui est responsable de cette dérive totalitaire et de cette tentative de coup d'État ?
Émission du 1er septembre 2023



La série intégrale est accessible sur : https://odysee.com/@Covid-non-censure

27 août 2023

COVID-19 : QUI VA POUVOIR SE FAIRE VACCINER À LA RENTRÉE ?

Juliette Desmonceaux - BFMTV

Une nouvelle campagne de vaccination contre le Covid va être lancée à l'automne. Elle sera notamment destinée aux personnes à risques. De nouveaux vaccins seront disponibles, ciblant les variants apparus cet été.

De quoi rappeler des souvenirs. Avec la rentrée, une nouvelle campagne vaccinale contre le Covid-19 est prévue à l'automne, dès le 17 octobre en métropole, en Martinique, Guyane et Guadeloupe, et dès le 6 septembre à Mayotte. Cette nouvelle dose est d'abord destinée aux personnes à risques, mais est possible pour l'ensemble de la population.

"Le vaccin sera ouvert et gratuit pour tous ceux qui le souhaiteront", assure à BFMTV.com l'épidémiologiste Antoine Flahault.

"Il est recommandé pour les personnes fragiles et disponible pour tous les autres", précise-t-il encore.

Les plus de 65 ans, les femmes enceintes et le personnel soignant concernés

Selon les recommandations formulées par la Haute Autorité de Santé (HAS), le nouveau vaccin est recommandé pour toutes les personnes âgées de 65 ans et plus, pour toutes les personnes âgées d'au moins 6 mois atteintes de comorbidités (hypertension artérielle compliquée, problèmes cardiaques, vasculaires, hépatiques, rénaux, pulmonaires, diabète, obésité, cancers, personnes transplantées, personnes atteintes de trisomie 21 ou de troubles psychiatriques ou de démence) et pour les personnes immunodéprimées.

S'y ajoutent les femmes enceintes et les personnes résidentes en Ehpad et en unités de soins de longue durée, le personnel soignant, ainsi que toutes les personnes en contact régulier avec des individus à risques. Il est conseillé aux plus de 80 ans, aux personnes immunodéprimées et aux personnes à très haut risque de faire un autre rappel au printemps 2024.

Si l'on est en bonne santé, on peut se faire vacciner "si on a des proches fragiles" indique le médecin Antoine Flahault. "Certaines personnes ne peuvent pas se permettre des formes persistantes de Covid", ajoute-t-il, faisant référence aux Covid longs qui peuvent être handicapants dans la vie personnelle et professionnelle.

Pour se faire vacciner, ne pas oublier qu'il est indispensable de respecter un délai minimum de 6 mois après la dernière injection ou après la dernière infection au Covid.

"Éviter une surcharge des hôpitaux"

Pourquoi cette nouvelle campagne? "Il n'y a pas d'indication aujourd'hui que la population voit une baisse de son immunité", reconnaît Antoine Flahault.
"La recommandation (vaccinale) n'est pas liée au taux d'incidence, puisqu'elle date de février, elle est liée au fait qu'on s'attend à ce que le virus revienne par vagues successives", explique-t-il.

Une situation d'autant plus probable avec la rentrée, une "période propice à la propagation du virus dans les écoles notamment", indique l'épidémiologiste.
"Il faut à tout prix éviter une surcharge pour les hôpitaux qui sont déjà malades eux-mêmes", abonde auprès de BFMTV.com l'épidémiologiste au CHU de Lille Philippe Amouyel.

"Les hôpitaux ne pourront pas tenir s'il y a une conjonction entre la grippe et le Covid. Il faut vraiment faire de la prévention", soutient-il. En ligne de mire notamment la triple épidémie de Covid-bronchiolite-grippe qui a saturé les hôpitaux l'hiver dernier. La campagne de vaccination contre la grippe sera d'ailleurs cette année couplée à celle contre le Covid, alors que les deux vaccins sont recommandés pour les 65 ans et plus.

De nouveaux vaccins qui ciblent les nouveaux variants

Pour cette campagne à venir, de nouveaux vaccins seront mis à disposition des patients. Parmi eux, deux vaccins à ARN Messager, recommandés en première intention, l'un produit par le laboratoire Pfizer, l'autre par Moderna. Un troisième vaccin, du laboratoire Novavax, devrait aussi être proposé. Enfin, des vaccins Comirnaty de Pfizer-BioNTech seront recommandés pour les moins de 30 ans.

Les deux premiers vaccins sont des vaccins "bivalents" qui "contiennent des antigènes pour le virus XBB.1.5, père d'Éris", explique Philippe Amouyel. Avec ces nouveaux vaccins, la campagne vaccinale entend cibler notamment ce sous-variant d'Omicron qui "est en train de devenir majoritaire en Europe", comme le souligne le médecin.

Si le début de la campagne de vaccination est pour l'instant fixé au 17 octobre en métropole notamment, cela pourrait changer, selon l'épidémiologiste Philippe Amouyel. "Ça ne sert à rien de vacciner plus tôt compte tenu de la tendance, mais si jamais il y a un pic à la rentrée, elle débutera début octobre à mon avis", avance-t-il. 25/8/2023

26 août 2023

Covid

Vincent Verschoore

[...] "Avant le Covid, les lignes directrices relatives à la gestion d'une nouvelle épidémie d'un virus de type grippal étaient claires :
- éviter la panique,
- rechercher des traitements précoces, bon marché et largement disponibles, susceptibles de réduire le risque de maladie grave,
- prévoir d'augmenter les capacités de soins de santé si nécessaire,
- aider le personnel médical local et national à identifier et à traiter les cas, si et quand le virus provoque une maladie grave,
- et faire en sorte que la société continue à fonctionner aussi normalement que possible.
Cette approche a été utilisée lors de toutes les épidémies et pandémies précédentes. Les lignes directrices sont détaillées dans les documents de planification de l'OMS, du HHS et des pays de l'UE.
Lorsque les agences militaires et de sécurité nationale ont pris en charge la réponse, ces lignes directrices ont été remplacées par un paradigme de guerre biologique : la quarantaine jusqu'au vaccin. En d'autres termes, il s'agit d'enfermer tout le monde tout en développant rapidement des contre-mesures médicales. Il s'agit d'une réponse destinée à contrer les attaques de guerre biologique et de bioterrorisme. Il ne s'agit pas d'une réponse de santé publique et elle est, en fait, en conflit direct avec les fondements scientifiques et éthiques des principes de santé publique établis.
Si nous avions respecté les protocoles de santé publique initialement appliqués dans les premiers mois de 2020, la vie aux États-Unis et dans le monde entier aurait ressemblé à la vie en Suède pendant la pandémie, avec encore moins de panique : pas de masques, pas de fermetures d'écoles, pas de confinements, une très faible surmortalité.
La question, évidemment, est alors de savoir à qui profitait cette stratégie. Pas à la population, en tous cas." 15/8/2023

24 juin 2023

Pour la vérité sur les morts subites

Gérard Maudrux

En pleine fête de la musique, un musicien meurt de crise cardiaque. La liste des artistes faisant, depuis 2 ans, une crise cardiaque sur scène est impressionnante, tout comme celle des sportifs de haut niveau décédés dans les stades, et qui dépasse les 1 500 dans le monde. Certains pensent que cela est dû aux vaccins, d’autres que ce n’est que le fruit du hasard, une mauvaise série.

On doit savoir, les peuples doivent avoir la vérité, d’autant plus que l’on peut le savoir si on le veut. On ne nous donne pas la possibilité de connaître le statut vaccinal de ceux qui ont des problèmes, si ce n’est pas le vaccin, pourquoi le cacher ? On se désintéresse de la cause de morts subites et en surnombre en évitant les autopsies. Actuellement, il y a en France plus de décès que pendant la crise covid de 2020. Personne ne cherche à savoir pourquoi, si ce n’est pas le vaccin, pourquoi le cacher ?

Aux États-Unis, au Canada, en Europe (cf Eurostat), partout dans le monde on constate la même chose. Conclusions d’une récente étude sur le sujet en Allemagne : “Ces résultats indiquent que quelque chose a dû se produire au printemps 2021 qui a conduit à une augmentation soudaine et durable de la mortalité, alors qu’aucun effet de ce type n’avait été observé jusqu’à présent au cours de la première pandémie de COVID-19.”

On doit savoir ce “quelque chose”, le cas échéant pour se prémunir. Dans le cas contraire, c’est une faute en matière de santé publique, car pouvant générer d’autres décès pouvant être évitables. Pour le savoir, en cas de décès par mort subite, une autopsie bien conduite doit être demandée, permettant de trancher entre les optimistes et les pessimistes, entre les vaccinolâtres et les sceptiques, afin de mettre en place des mesures de prévention et de dépistage le cas échéant.

Pour aller dans ce sens et aider dans les différentes démarches, voici un important travail, documenté par nombre d’études scientifiques. Merci à tous les auteurs, leur travail a été bien supérieur à ma petite participation, pour la recherche de la vérité, qu’elle soit dans le sens des uns ou des autres, peu importe, pourvu qu’on ait LA vérité.

22 juin 2023

Covid : vaccins et/ou traitements ?

Gérard Maudrux

« Il y a des défaites nobles et dignes et des victoires sales et indignes. » (Guillaume Prevel). Les vaccins semblent avoir gagné le premier round contre les traitements. Le problème est de savoir qui est le gagnant. L’industrie ? Les patients ? Les gouvernements ? La science ? Quant à l’arbitre, les médecins, a-t-il été à la hauteur ?

Depuis le début, on a compris qu’il fallait laisser de la place aux vaccins et ne surtout pas leur faire d’ombre. Si des traitements possibles ont été cachés ou bloqués, les vaccins, eux, ont eu droit à tous les égards et toutes les autorisations anticipées, avant de savoir si cela allait marcher et comment.

Sur le plan médical, cela a été une grosse erreur de la part des politiques, et une faute médicale de la part des médecins. En effet, il ne fallait pas opposer vaccins et traitements. Ils ne sont pas antagonistes, l’un n’empêche pas l’autre. Ne jouant pas sur le même registre, ils sont totalement complémentaires, mais on nous a fait croire le contraire.

Un vaccin est fait pour protéger, empêcher d’attraper une maladie en acquérant une immunité contre cette maladie, pour qu’elle ne nous touche pas plus tard. Par son mode d’action, qui peut prendre plusieurs semaines pour se mettre en place, il ne peut traiter une maladie déclarée. Le traitement, lui, ne concerne en rien l’immunité, il est fait pour traiter la maladie quand elle est en place.

Le Larousse semble mieux connaître la médecine que les médecins. Il définit le vaccin comme une « substance d’origine microbienne ou de synthèse, que l’on administre à un individu, pour l’immuniser contre une maladie ». Nous sommes d’accord, ce n’est pas un produit pour traiter une maladie, mais un espoir d’immunisation contre cette maladie, éviter qu’elle n’arrive. Vacciner contre une maladie quelqu’un qui a cette maladie, c’est comme mettre la ceinture de sécurité après l’accident.

Alors si le vaccin n’est pas fait pour traiter une maladie en cours, qu’a-t-on fait pour traiter cette maladie arrivée avant le vaccin ? Est-ce qu’on n’a pas oublié quelque chose ? On n’a rien fait ! On a laissé les malades sans traitement et, même pire, on a aussi empêché de traiter. Une première peu glorieuse depuis que l’homme, que la médecine et les médecins existent. Jusqu’en 2020, le refus de soins était condamnable et condamné, depuis… c’est l’inverse.

Avant l’arrivée des vaccins, on a bloqué les traitements en les attendant, ce qui est une faute car diminuant les chances de survie des malades, ce qui est incompréhensible. Après l’arrivée des vaccins, on a continué d’empêcher les traitements, abandonnant les patients malades, en attendant que tout le monde soit vacciné, ce qui est incompréhensible. Une fois vacciné et quand on a quand même attrapé la maladie, on a empêché de traiter les vaccinés tout comme les non-vaccinés, ce qui est toujours incompréhensible.

Pourquoi n’a-t-on pas laissé cohabiter les deux stratégies, guérir et prévenir ? Pourquoi n’a-t-on pas additionné les deux ? Proférer « cela ne marche pas », avant toute étude, que cela soit vrai ou faux, n’est pas une excuse, le doliprane non plus ne marche pas, et pourtant on l’a imposé. Pourquoi faudrait-il être contre les traitements et uniquement pour les vaccins ? Pourquoi faudrait-il être contre les vaccins et uniquement pour les traitements ? C’est un faux débat, un très mauvais débat, un débat mortel. Si on avait laissé les médecins faire au lieu de leur donner des ordres, si on avait accepté de traiter précocement et de vacciner, il n’y aurait pas eu cette guerre contre tout traitement, guerre dont personne ne sort vainqueur, et on aurait sans doute évité des centaines de milliers de morts. Il est vrai qu’avec des si, on peut faire beaucoup de choses, on peut même sauver des vies !

Alors qu’ont donné cette politique, cette attitude, ces nouvelles pratiques médicales ? On a mis deux ans pour apprendre très officiellement, après l’avoir contesté, que le vaccin n’empêchait pas d’attraper la maladie, n’empêchait pas de contaminer, n’empêchait pas l’épidémie, on a même eu droit à 9 vagues successives, accompagnées du slogan « tous vaccinés, tous protégés ». Certains parlent de succès, je vois plutôt un échec. Quand je vois l’Académie de Médecine demander à ce qu’à l’avenir on vaccine chaque année les soignants contre la covid, avec un vaccin qui ne les empêchera pas d’être contaminés ni de contaminer les autres, je me pose de sérieuses question sur la médecine du XXIe siècle. Soit c’est moi qui suis bête, soit ce sont eux. Si les mêmes avaient été en place en 1920, avec les mêmes moyens et le même discours, cela ferait 113 ans que l’on nous vaccinerait encore contre la grippe espagnole, en affirmant que c’est grâce à cela qu’elle a disparu ! Quant à la protection des formes graves, dernier argument trouvé devant la faillite des précédents, les chiffres, qui ne mentent pas, ne semblent pas aller dans ce sens. Il suffit de comparer 2020 sans vaccin, avec 2021, quel que soit le pays, les chiffres parlent : il y a autant de morts. Quant à 2022, si la mortalité a été légèrement inférieure, c’est parce que les variants étaient de moins en moins létaux, 5 fois moins pour les derniers.

Un échec est toujours possible, y compris en médecine. Mais quand il y a échec, que fait-on habituellement ? On essaye autre chose. Ici, on continue bêtement sur la même voie, peut-être en attendant un miracle. Quand on ne sait pas tirer les leçons du passé, il vaut mieux passer la main. Y avait-il autre chose ? La réponse est oui. Le savait-on en haut lieu ? La réponse est oui. Depuis le début ? La réponse est oui.

Plusieurs traitements avaient sans doute un potentiel qui n’a pas été exploré. Depuis des années, les vétérinaires savent que des traitements antiparasitaires peuvent traiter certaines maladies dues à des virus à ARN. Déjà en 2012, lors de l’épidémie de grippe H5N1, on avait découvert le potentiel d’une célèbre molécule, malheureusement les études démarrées ont été interrompues, l’épidémie s’étant éteinte, il n’y avait plus de patients à traiter. Début 2020, les chinois ont publié plusieurs essais fructueux avec ce même traitement.

Des traitements possibles, il y en avait plusieurs, parmi ceux-ci l’ivermectine. En France, en mars et avril 2020, on savait qu’elle pouvait traiter, si elle était donnée précocement, et même prévenir. À la fois médicament et « vaccin » ! En France cela a été montré à Fontainebleau (Seine et Marne) et à Fontenay-Aux-Roses (Hauts-de-Seine), avec des résultats spectaculaires sur les populations les plus vulnérables , les plus de 80 ans avec de multiples facteurs de risques. Hector Carvallo (Argentine) a ensuite montré chez des soignants que cela protégeait de l’infection, et à un niveau très supérieur au vaccin . Ces résultats n’ont jamais été ni critiqués, ni remis en question, ils ont été cachés. Pour justifier cette attitude, deux ans plus tard on nous a sorti des études sur des populations à moindres risques, avec des moyennes d’âge de 40 à 50 ans, avec des traitements non précoces, afin que l’on voie moins les différences entre traités et non traités, le tout fait par des auteurs bourrés de conflits d’intérêts.

Sur le terrain, des États indiens qui ont 4 fois plus d’habitants que la France ont montré que sans vaccin (3% de vaccinés à l’époque), on pouvait éradiquer la vague delta deux fois plus vite, et surprise, acquérir une immunité par maladie + traitement, supérieure à celle du vaccin seul, et plus durable car naturelle.

Ce qui me choque le plus dans cette affaire, ce n’est pas que l’on ait utilisé ou pas tel ou tel traitement, quel qu’il soit, mais que l’on ait ordonné de ne pas traiter, et que l’on a accepté de ne pas traiter, et ce au nom de quelle médecine ? Celle du XXIe siècle ? Dans mes démêlés avec l’Ordre des Médecins, ils ont soigneusement écarté le débat sur l’efficacité ou non du traitement précoce, sur la balance bénéfice/risque, sur la notion d’obligation de soins. Seul problème évoqué : la reprise de publications d’études (et de la position des autorités !) sur un médicament autorisé depuis plus de 30 ans dans d’autres indications, mais qui n’a pas l’aval du gouvernement ni de l’industrie pharmaceutique. Est-ce le rôle de l’Ordre ? Police politique ou police médicale ? Pour les médecins qui sont poursuivis pour leurs prescriptions, on ne s’occupe pas de savoir si les patients sont guéris. Le résultat est qu’ils sont poursuivis pour avoir guéri des patients, alors que d’autres ne le sont pas pour refus de traiter. Le vrai débat n’est-il pas là ? Quel est le rôle du médecin : soigner ses patients ou obéir à des consignes, bonnes ou mauvaises.

Petit rappel pour certains : si le code de déontologie est devenu désuet, reste le code pénal, et son Article 223-6.

« Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.

Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »

Et comme demain ils sont prêts à recommencer, on doit se poser cette question : comment seront soignés nos enfants demain ? Quel monde va-t-on leur laisser ? Si la devise Liberté, Égalité, Fraternité est sur le fronton de toutes nos mairies, il en est une autre que l’on doit à Ambroise Paré et qui devrait être inscrite au-dessus de la porte de tous les cabinets médicaux et de tous les établissements de santé :

« Guérir parfois, Soulager souvent, Soigner toujours. »

6 juin 2023

La prise en charge précoce des patients Covid19 a sauvé des vies

Gérard Pandolfo

Texte de la tribune de soutien au Professeur Raoult

Nous, signataires de cette tribune, de par notre pratique hospitalière face à la Covid19, notre pratique de médecine de ville et/ou suite à nos lectures de plusieurs centaines de publications scientifiques peer-reviewed sur le sujet, nous confirmons que la prise en charge précoce des patients atteints de Covid19 a sauvé des vies.

Non il n’y a pas d’études cliniques sauvages à l’IHU Marseille

Nous affirmons que les études rétrospectives rassemblant les données hospitalières de patients soignés au sein d’un établissement ne constituent pas des « essais cliniques sauvages ». Ce sont des études d’observation fondées sur l’acte de soin dont la qualité scientifique n’est pas moindre que celles des essais randomisés généralement contrôlés par l’industrie pharmaceutique. Il est important pour l’avancée de la science médicale que ce type d’étude soit publié dans des journaux scientifiques et que les données soient mises à disposition de la communauté scientifique.

Nous soutenons la démarche de soins précoces proposée à l’IHU Marseille

Nous soutenons donc la démarche de soins précoces qu’a adoptée dès mars 2020 l’IHU de Marseille sous la direction du Professeur Didier Raoult et nous soutenons sa démarche de publier les résultats de ces traitements précoces pour la communauté scientifique et pour la qualité du débat public.

Non le Professeur Raoult n’est pas isolé

Nous affirmons que le Professeur Raoult n’est pas isolé dans le monde médical et scientifique et que dans de nombreux pays tels que l’Inde, la majeure partie des pays d’Afrique, ou de nombreux états brésiliens, les soins précoces ont été utilisés avec succès.

L’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont un intérêt indéniable dans la Covid19

Nous soutenons que plusieurs centaines d’études revues par les pairs rapportent un avantage significatif indéniable aux traitements à base d’hydroxychloroquine et/ou d’ivermectine associée ou non à l’azithromycine ou la doxycycline, dans la prise en charge précoce de la maladie Covid19. Nous rappelons que le Professeur Raoult avait précisé très tôt que l’hydroxychloroquine seule avait une efficacité relative et que seule la combinaison avec l’azithromycine était pour lui vraiment efficace.

L’hydroxychloroquine à doses courantes n’est pas dangereuse

Nous rappelons que l’utilisation en toute sécurité de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine avec ou sans azithromycine est très bien connue des médecins hospitaliers et des médecins de ville, et que lorsque ces molécules ont été utilisées à doses courantes sur une période brève en traitement précoce, aucune étude sérieuse n’a pu prouver un quelconque sur-risque pour les patients. Au moment où les autorités sanitaires ne préconisaient que le Doliprane® et le confinement des malades à leur domicile, le soin précoce avec des médicaments très bien connus des médecins a sauvé des vies.

Les médecins peuvent prescrire hors AMM

Enfin nous rappelons que jamais l’hydroxychloroquine ni l’ivermectine n’ont été interdites de prescription en milieu hospitalier, et qu’en médecine générale, l’interdiction de prescription de l’hydroxychloroquine n’a été effective qu’entre le 25 mars 2020 et le 10 juillet 2020.
Cette liberté de prescrire a été depuis confirmée par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) et le Professeur Salomon, Directeur général de la santé, qui ont déclaré que les médecins pouvaient prescrire hors AMM cette molécule.
Selon l’Académie de Médecine et l’Ordre des Médecins, en France 20% des prescriptions sont « hors AMM », pouvant aller jusqu’à 80% dans certaines spécialités. Pourquoi ce qui est largement autorisé et utilisé par tous les médecins, ne le serait pas pour le Pr Raoult ?

Des essais randomisés stoppés précocement alors qu’il y avait un signal d’efficacité

Nous rappelons aussi que lors de la publication de l’étude frauduleuse du Lancet, Monsieur Véran, alors ministre de la santé, avait fait suspendre les inclusions de patients dans les groupes hydroxychloroquine des essais randomisés en cours Discovery et Hycovid et lorsque la fraude a été dévoilée, et la publication du Lancet rétractée, ces inclusions n’ont pour autant pas été reprises alors qu’il était visible qu’il existait déjà un signal d’efficacité de la molécule qui aurait pu être possiblement confirmé par une cohorte plus importante.

Nous demandons que les signataires de la tribune contre le Pr Raoult précisent leurs conflits d’intérêts

Nous sommes donc en désaccord sur ce sujet avec la tribune d’une vingtaine de scientifiques publiée dans le journal Le Monde le 28 mai 2023, et demandons à ce que leurs conflits d’intérêts soient divulgués au grand public afin d’éclairer les citoyens sur les motivations de leur prise de position.

Commission d’enquête indépendante

Pour finir, nous nous associons à la demande du Professeur Raoult qu’une commission d’enquête indépendante avec des experts internationaux soit mise en place afin d’évaluer la performance des thérapeutiques précoces telles que celles prescrites à l’IHU, et utilisées dans de nombreux pays.

11 avril 2023

Pierre Duriot

Je me marre… à l’heure où sort un rapport, qui, en mots choisis, dézingue la gestion d’une épidémie, qui n’en fut pas une, par le gouvernement et qui nous aura coûté plusieurs centaines de milliards, en pure perte, il faut tout de même se pencher sur quelques détails croustillants, que nous avions dénoncés et qui nous avaient fait passer pour des « complotistes ». Maintenant que les cerveaux sont reposés, on peut y réfléchir, avec un peu plus d’acuité et un peu moins de matraquage télévisuel. Les premiers vaccins sont arrivés dans des camions frigorifiques, à moins 70°C, escortés par des motards et les derniers traînaient des jours, sur les étagères, dans les barnums improvisés, pour vacciner en masse. Et pourtant, c’était censé être le même produit. Il fallait se faire vacciner « pour les autres », je vous laisse cogiter sur un processus scientifique permettant ce tour de passe-passe. La moyenne d’âge des gens qui mouraient du Covid était de 83 ans, ça n’a jamais été un secret et les 12-65 ans, y sont allés pour faire « une forme moins grave ». Intéressant non ? Les masques, dans un premier temps, interdits à la vente chez les pharmaciens et dont la porte-parole du gouvernement ne savait pas se servir, ont finalement été rendus obligatoires, à partir de six ans. Un type qui nageait tout seul dans la mer, pouvait être verbalisé. Selon que vous buviez votre café debout ou assis, la contamination n’était pas la même. La caissière du super marché qui tripotait vos produits avant de vous les rendre, opérait derrière un plexiglas. Les rayons des livres et journaux n’étaient pas dangereux, celui des petites culottes, si. Les parachutistes pouvaient enlever leur masque dans l’avion, au-dessus de 2500 mètres, mais pas avant. Les mecs en bonne santé étaient asymptomatiques. Des types se baladaient tout seuls, dans leur voiture personnelle, avec un masque. Etc… à se demander si un jour, nous aurons des explications rationnelles…

5 avril 2023

Le nuage secondaire, arrêté à la frontière

Gilles La Carbona

La science, du moins, les actionnaires de la médecine moderne, n’en finissent pas de nous étonner. Songez donc, il y a moins de trois ans, les médecins de plateau subventionnés venaient nous vanter les méfaits de la chloroquine et de l’ivermectine, tandis qu’ils acclamaient les vertus du masque, du confinement et des vaccins ARN. Ils allaient même jusqu’à nous expliquer que si on était tous vaccinés, la vie serait plus belle, nous ne transmettrions pas la maladie, surtout, nous éviterions les formes graves d’un variant qui n’en faisait déjà plus. Et si par malheur nous n’avions aucun symptôme, on devait rester prudent, car on était quand même malade sans le savoir.

Pauvres ignorants que nous étions, nous ne pouvions que nous incliner devant tant d’habiles démonstrations et boire les paroles de ces érudits. Bien entendu, il y avait quelques rebelles pour contester la validité de ses allégations télévisées ; hérétiques, impénitents et complotistes, qui furent brûlés sur les bûchers médiatiques allumés un peu partout, sur les chaînes subventionnées. Comme si ce n’était pas suffisant, ils furent aussi l’objet d’un lynchage en règle en direct, puis finirent par ne plus être invités, tant leurs discours étaient faussés par une vision totalement à l’opposé des Saintes Écritures, appelées maintenant « narratifs » et qu’à France Info, par exemple, on s’engage à ne point contredire.

Depuis, bien évidemment, sont apparus ce que ces crétins de révoltés alarmistes criaient haut et fort : des effets secondaires terribles. Certes ils sont quasiment absents en France, mais on a eu peur. Nous sommes, comme toujours, le pays où les mauvais nuages s’arrêtent à la frontière et il en va de même pour les effets secondaires. L’exception française est bien là.

Voilà que l’OMS dévoile une augmentation brutale et surtout, totalement inexpliquée, de la mortalité mondiale. 23,6 millions de décès supplémentaires, soit plus que toute la 1ère guerre mondiale, mais en moins de temps. La médecine nous surprend une fois de plus. Hier si sûre et aujourd’hui incapable de nous dire pourquoi tant de gens meurent, surtout de crises cardiaques, et également de cancers foudroyants. Les médecins seraient-ils embarrassés pour trouver une explication plausible ? Les plus hardis ont déjà avancé que c’était le réchauffement climatique, qui subitement, rendrait nos organismes beaucoup plus sensibles, et nos petits cœurs n’y résisteraient pas. D’autres, que c’était la pollution environnante. Mais c’est un peu court, d’autant que le réchauffement et la pollution n’ont pas fait de bonds spectaculaires, avaient même reculé pendant l’épisode des confinements. Rappelons d’abord que l’homme est la seule espèce à s’être adaptée sous tous les climats, mêmes les plus rudes, il n’y a pas de raison qu’il ne parvienne pas à surmonter quelques degrés de plus l’été.

On peut aisément donner une piste de réflexion à nos médecins. Quel événement a été reproduit à grande échelle dans l’ensemble des pays touchés par cette surmortalité ? Ils devraient finir par trouver le pourquoi de ces morts qui ne cessent de s’accumuler. Pour les aider un peu plus, reprenons ici les conclusions du Dr Thomas Levy, qui déclare qu’au moins 7 millions d’Américains ont aujourd’hui le cœur endommagé par les « vaccins », et de poursuivre que ce chiffre pourrait monter jusqu’à 100 millions, toutes lésions cardiaques confondues. La BBC a même lancé un appel à toutes les victimes d’effets secondaires de se manifester auprès d’elle. Des États, nombreux, commencent à dédommager les personnes souffrant de ces bénéfiques effets secondaires, présentés comme le nécessaire risque à prendre pour éviter l’hécatombe due à une maladie qui, au plus fort du pic, ne représentait que 5% des réanimations. La Bavière a mis en place un numéro vert, pour recenser les éventuels effets secondaires des vaccins : le standard a explosé dès le premier jour.

Si avec tout cela il y a encore un doute sur l’inexplicable mortalité, savamment orchestrée… Pourra-t-on dire que tous les médecins savaient dès le début, qu’ils participaient à ce qui ressemble de plus en plus à une expérimentation foireuse, si ce n’est à un génocide ?

Dernière information, l’OMS vient de recommander aux jeunes en bonne santé de ne pas se faire vacciner. Cette annonce devrait faire du bruit, alors qu’on a interdit de pratique sportive les athlètes non-vaccinés. Plus aucun spécialiste, rémunéré par les laboratoires, ne vient ergoter à la télévision sur la nécessité de se faire vacciner et le livre d’Henrion Caude, ex-pestiférée du PAF, cartonne, au grand dam de Cymès, dernier des Mohicans, qui n’a pas vu la roue tourner. Le nuage devrait passer tout de même la frontière française et les explications commencer, ici aussi.


1 avril 2023

COVID

Yann Bizien

Je n'étais que du côté de ma conscience et de ma liberté de choisir ou pas de me faire vacciner contre le COVID.
 
Je n'étais pas contre la vaccination. J'étais pour la liberté de la choisir ou de la refuser.
 
J'ai respecté humainement le choix de chacun.
 
J'ai appliqué rigoureusement tous les gestes barrières. Je n'ai contaminé personne. Je ne suis pas vacciné contre le COVID. Je n'ai mis personne en danger. Je ne l'ai jamais attrapé.
 
Je n'ai pas tourné le dos à la science, alors même que ces vaccins ne protégeaient que contre les formes graves du COVID et n'empêchaient pas la contamination.
 
Je n'ai pas cédé à la puissante propagande sanitaire d'État, la plus importante et la plus coûteuse de toute notre histoire.
 
Je ne me suis jamais aligné sur les théories du complot.
 
J'ai clairement refusé l'idée d'opposer les Français vaccinés contre les Français non vaccinés, dénonçant à de nombreuses reprises la politique de discrimination et de fracturation du pays d'Emmanuel Macron.
Vaccinés avec à peu près tout ce qui existe sur le marché sanitaire, sauf contre le COVID, je suis simplement resté moi-même, solide sur mes convictions.
 
J'ai été insulté pour ma position pourtant équilibrée, rationnalisée et respectueuse de tous.
 
La recommandation de la Haute Autorité de Santé de lever la suspension des soignants non vaccinés et de les rétablir dans leurs droits est une victoire contre les excès du pouvoir vis-à-vis de nos libertés fondamentales.
 
En lisant ce matin le dernier communiqué du ministre de la Santé, qui affirme se conformer à la loi, je découvre également son mépris total pour les soignants non vaccinés qui étaient pourtant sur le front épidémique, au début de la crise, et aux côtés de leurs collègues, vêtus de simples sacs poubelles comme les autres, à cause de l'incompétence d'un gouvernement imprévoyant et dépourvu dont il est aujourd’hui le digne représentant.
 
Il y a un combat politique à mener dans notre pays contre l'arrogance et le mépris d'un pouvoir qui divise une société déjà fracturée et qui attaque nos libertés fondamentales pour mieux régner.


30 mars 2023

COVID-19 : le taux de létalité encore plus faible que ce qui était attendu

Magali Régnier / Dr Gérald Kierzek


Trois ans après le début de la pandémie, une analyse menée sur 38 études nationales différentes nous apprend aujourd’hui que le Covid-19 est associé à un taux de létalité relativement faible. Et bien plus que ce que nous imaginions à son arrivée.

Avons-nous surestimé la menace du Covid ? Probablement. L’idée n’est pas de relayer une théorie complotiste, mais d'exposer les résultats d'une vaste étude de l’université de Stanford, menée sur 38 pays 3 ans après le début de la pandémie.

Un taux de létalité très faible avant 60 ans

Des chercheurs américains et européens ont étudié le "Taux de létalité par infection, stratifié par âge du COVID-19 dans la population non âgée" avant l'introduction des vaccins COVID-19. Un taux qui s’est avéré après analyse aussi bas que 0,03% et 0,07% pour les personnes âgées de 0 à 59 ans et de 0 à 69 ans, respectivement, rapporte le document. Des estimations inférieures à ce que les calculs précédents avaient suggéré.

Autrement dit : 99,97% des personnes de moins de 60 ans qui ont contracté le COVID-19 ont survécu. Ajoutez les personnes dans la soixantaine à la cohorte, et les taux de survie restent toujours solides à 99,93 %. En détail, selon les tranches d'âges, le taux de létalité est celui-ci :

- 0-19 ans : 0,0003%
- 20-29 ans : 0,002%
- 30-39 ans : 0,11%
- 40-49 ans : 0,035%
- 50-59 ans : 0,123%
- 60-69 ans : 0,506%

En moyenne, cela signifie que seuls cinq décès surviendraient parmi un millier de sexagénaires infectés. L'analyse actuelle souligne également que le taux de létalité est beaucoup plus faible dans les populations plus jeunes, que ce qui était précédemment suggéré. Elle affirme ainsi : "Ces chiffres de létalité covid sont légèrement plus élevés chez les 0-69 ans que les décès de la grippe saisonnière (sur les trois années avant covid). Ils restent cependant inférieurs à la grippe quand on prend uniquement les personnes de moins de 60 ans".

Les chercheurs ont également constaté que les taux de létalité étaient plus élevés chez les hommes que chez les femmes, et que les personnes atteintes de certaines maladies sous-jacentes, comme le diabète, avaient un risque plus élevé de décès dû à une infection à COVID-19.

La différence entre taux de létalité et de mortalité : le taux de mortalité désigne le pourcentage de morts par rapport au nombre d’individus d’une population donnée dans une période donnée. Le taux de létalité ne se rapporte pas à toute une population mais seulement à une portion de celle-ci à savoir les personnes infectées et donc porteuses de la maladie en question. Il est donc plus précis pour donner le nombre de victimes.

« Une étude qui confirme ce qu’on voit sur le terrain »

Pour le Dr Kierzek, urgentiste et directeur médical de Doctissimo, cette large étude menée sur des millions de données ne fait que confirmer ce qui est observé sur le terrain.

“On voit bien que sur une tranche d’âge sans pathologie, chez les moins de 65 ans, quand on n’a pas de facteur de risque, la létalité est extrêmement faible. D'où le concept de "syndémie" pour qualifier le rôle du SARS-Cov2. Le Covid-19 est davantage un accélérateur de pathologie et/ou de grand âge qu’une menace en lui-même. Cela remet en perspective tout ce qu’on a pu dire ou penser pendant la crise, quand on parlait de taux très élevés de mortalité".

Ces résultats soulignent l'importance de cibler les politiques de prévention en direction des groupes à risque, tels que les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies sous-jacentes. 6/3/2023

Sources : Pezzullo AM, Axfors C, Contopoulos-Ioannidis DG, Apostolatos A, Ioannidis JPA. Age-stratified infection fatality rate of COVID-19 in the non-elderly population. Environ Res. 2023 Jan 1;216(Pt 3):114655. doi: 10.1016/j.envres.2022.114655. Epub 2022 Oct 28. PMID: 36341800; PMCID: PMC9613797.


17 mars 2023

Vincent Verschoore

C'était le 17 mars 2020. Les débiles faisaient aligner les gens dehors, calculaient des densités de personnes au doigt mouillé, disaient qu'il fallait laisser les courses dehors pour tuer le virus.
Le délire absurde des confinements, des rayons de promenade de 1 km (en pleine campagne), une heure par jour (ah ah, connards de flics) débutait dans le silence pesant d'une population morte de trouille du fait de la propagande anxiogène des autorités politiques, policières et sanitaires. Qui avaient tout faux, mais qui se sont bien amusées à nous faire chier.

14 mars 2023

Quand les antivax se piquent de littérature

Lola-Jane Brooks

Les amis, l'heure est grave.
Depuis quelques semaines, les rues de notre si belle démocrature sentent la merguez.
Des hordes de fainéants irresponsables ont l'outrecuidance de conspuer Emmanuel, notre Être de lumière, ainsi que ses apôtres, Elisabeth et les deux huiles d'Olive.
Ces gueux, qui, il y a peu encore, construisaient des barrages pour sauver la démocratie, clament désormais haut et fort qu'ils ne veulent pas travailler jusqu'à leur mort pour permettre à Bernard Arnault de s'acheter un nouveau jet privé.
Quelle indignité !
Alors que le jet de Bernard ne rejette pas de CO2, tandis que leurs vieilles voitures diesel de pauvres, si !
Heureusement, notre Être de lumière est loin de toutes ces turpitudes. Chaque fois que des irresponsables illettrés manifestent, il dépense du kérosène par monts et par vaux histoire de les emmerder jusqu'au bout.
Il y a peu, il se ressourçait au Congo, sirotant de la bière gaiement entouré d'autochtones mâles dont l'espérance de vie moyenne tourne autour de 58 ans. Pas de pension à payer, quel pays merveilleux !
Mais je m'égare, et une gare, on le rappelle, c'est un endroit où l'on croise "des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien".
Parce qu'au départ, ce que je voulais vous dire, c'est que je naviguais tranquillement sur Amazon, pour enrichir Jeff Bezos, et commander le dernier livre de mon idole absolue, Raphaël Enthoven - le plus grand philosophe quatre consonnes et trois voyelles que la terre ait jamais porté depuis BHL - quand soudain, horreur, ô désespoir, que vois-je s'afficher :
Une multitude de livres publiés par de vilains antivax !
Des Laurent Toubiana, des Christian Perrone, des Alexandra Henrion-Caude, des Laurent Mucchielli, des Amine Umil, des Michel de Lorgeril, des Xavier Bazin, en veux-tu, en voilà !
Pire encore, je découvre que ces bouquins trustent le top des ventes, voire sont numéros 1, sur Amazon et à la FNAC !
Les amis, je crie au complot ! En effet, il est mathématiquement impossible que ces bouquins se vendent comme des petits pains. On peut débattre de tout sauf des chiffres comme le disait si bien notre meilleur Sinistre de la Zanté !
Car qui oserait acheter d'indignes écrits allant à l'encontre de la Science Pfizerienne ? Seulement des non-vaccinés.
Or, comme vous le savez, il ne reste plus un seul de ces dégénérés sur Terre, ils sont tous morts dans d'atroces souffrances en direct devant les caméras de BFM !
En outre, même si l'un d'entre eux avait survécu, je vous rappelle qu'ils sont illettrés !
C'est pourquoi j'en suis arrivée à la conclusion que ces livres étaient sans doute achetés par de bons citoyens quadridosés pour en faire du bois de chauffage, afin que jamais, ô grand jamais, d'innocents yeux puissent s'y poser !
J'invite donc tous les bons citoyens qui croient en la Science, à un bel autodafé solidaire, histoire de remettre au goût du jour l'une des plus belles pratiques d'une démocratie digne de ce nom.



11 mars 2023

Retour d'expérience

Jonathan Sturel

Le retour d'expérience est effectivement accablant et très défavorable à cette mesure « sanitaire » qui aura consisté à obliger les gens à porter un artifice inutile pendant deux ans. La science confirme avec des chiffres ce qui sautait aux yeux depuis longtemps : à savoir qu'il y a eu 8 vagues de coco après l'instauration du masque obligatoire, ce qui dans les faits était une démonstration implacable de l'inutilité de cette babiole.
Tout ce que ce masque permettait de faire, c'était d'échapper à un PV de 135 euros et d'exhiber sa « croyance dans la science ».
Mais fait incroyable qui résume assez bien la folie covidique par laquelle nous sommes passés collectivement : ce masque, utilisé par des millions de personnes pour montrer leur conformité sociale au prétendu consensus scientifique, se révèle avoir été purement et simplement anti-scientifique, c'est-à-dire irrationnel en l'occurrence et appuyé par la seule volonté performative de son efficacité fantasmée et auto-réalisatrice.
Nous avons donc élevé une croyance sans fondement, basée sur rien qui pouvait être mesuré et reproduit, au rang de vérité scientifique alors même que nous avions, sous les yeux, les preuves de son inefficacité. La séquence covidique a sans doute été l'une des plus incroyables expériences de démence collective de toute l'histoire de l'humanité.

9 mars 2023

[Covid] Scandale au Royaume-Uni

Richard Boutry : « Avec le vent qui tourne, il vaut mieux être soi-disant complotiste que véritable comploteur. »

https://www.youtube.com/watch?v=yzyLBvkXakM

8 mars 2023

Dictature sanitaire

Vincent Verschoore

Notre ami le Dr John Campbell offre ici son analyse des Lockdown files publiées par le Telegraph. On se rend compte à quel point le régime anglais a joué la peur et la désinformation contre sa population, afin de lui faire accepter les confinements et les campagnes de vaccination. On voit à quel point les références à "la science" étaient bidons, tout tournant autour de la gloire personnelle (et politicienne) de Matt Hancock (le ministre de la santé de l'époque), avec la collaboration de ses pairs.
Toutes choses que nous, les "complotistes", avions compris et dit haut et fort dès le début, mais la puissance de la propagande relayée par les institutions et médias officiels (aux têtes corrompues jusqu'à la moelle) rendait inaudible toute opinion alternative, et diabolisait ceux et celles qui osaient l'ouvrir.
La roue tourne. Ce qui s'est passé au RU s'est passé ici aussi, à commencer par la croyance dans les faux modèles de Fergusson qui anticipaient des hécatombes si l'on ne confinait pas. De même, les procédures de validation des vaccins expérimentaux (notamment ARNs), que l'on nous disait adhérer au standard normal en la matière, furent accélérées et "simplifiées" pour des raisons hautement commerciales. Un certain nombre de vaccinés en paient aujourd'hui le prix, et l'effet de la vaccination sur la mortalité Covid reste non démontrée malgré les manipulations des chiffres par les instances officielles (voir Pierre Chaillot).
Certains, au RU, en appellent à un procès contre Matt Hancock. Ce serait la moindre des choses. Et cela ouvrirait la porte à des procès contre Véran ici. Et bien d'autres.

https://www.youtube.com/watch?v=DriaNp3yEGQ


5 mars 2023

Vaccins : le silence avant la tempête ?

Pierre Duriot
Porte parole du RPF

Le narratif sur le Covid a quitté les médias. On sent qu’ils ont compris que ça ne passait plus et ils sentent eux-mêmes, que quelque chose ne va plus. Plus aucun journaliste ne fait l’apologie du vaccin, quand bien même passent encore à la télévision quelques publicités zombies adressées aux plus de 75 ans, afin qu’ils aillent à la quatrième dose, dont la prise n’excède pas quelques pour cent. On avait bien senti que l’efficacité des vaccins était devenue sujette à controverse et les langues s’étaient tues sur le sujet. Voilà maintenant que ressortent des choses que l’on n'attendait pas. Ainsi, l’Institut Pasteur reconnaît l’efficacité de l’Ivermectine. Des intervenants de renom s’interrogent tout haut sur l’opportunité qu’il y avait à se dépêcher d’administrer un produit expérimental à tout le monde. D’autres intervenants racontent maintenant assez communément, que le virus a été fabriqué en laboratoire, en Chine, ou on ne sait où, d’ailleurs.

Courant encore, ces statistiques qui montrent que l’activité hospitalière et de soins a été assez peu élevée, en regard des trains et hélicoptères de malades, soi-disant en phase terminale, dont on nous abreuvait à longueur de journaux télévisés. Également, la mortalité a été largement exagérée, dit-on et l’âge des personnes décédées est plutôt canonique. En Belgique, d’éminents médecins ont conclu a une inefficacité totale des campagnes de vaccination. Ils ont dit « totale ». C’est bien d’ailleurs, ce qu’il ressort de l’analyse pragmatique du bilan. Les pays les moins vaccinés s’en sont mieux sortis que les pays européens. Et les détracteurs de vous dire : « Ben oui, les pays africains ont été peu touchés, mais c’est parce que leurs populations sont jeunes ». Alors pourquoi avons-nous forcé nos jeunes à se faire vacciner pour aller faire du sport ? En réalité, l’obligation vaccinale a surtout touché ceux qui n’avaient quasiment aucune chance de faire des formes graves, du type le jeune de 30 ans qui se vaccine pour partir en vacances, parce qu’il a réservé. Du reste, il est impossible, quand on a été vacciné de savoir si le Covid que l’on fait est « moins grave » que si on avait été vacciné. Certains se contentent d’une « efficacité » en se disant que grâce au vaccin, ils ne sont pas morts : risible, en regard du taux de mortalité dérisoire de la maladie.

La Haute Autorité de Santé a pris acte de la non-efficacité du vaccin sur la transmission et s’oriente vers la suppression de l’obligation vaccinale pour les soignants. Il reste donc que les « complotistes » avaient raison sur toute la ligne et qu’ils n’étaient en fait, que des gens qui ont réfléchi à deux fois et fait preuve d’esprit critique. Les hommes politiques se sont-ils laissés abuser par des pseudo-scientifiques, ou ont-ils sciemment monté les choses en épingle, pour effrayer les peuples et si oui, pour quelles obscures raisons ? Reste le tabou des effets secondaires, qui n’a pas encore sauté. Ils sont effrayants, si on en juge par la subite hausse de mortalité qui frappe les pays occidentaux sans autre raison objective que la campagne de vaccination. Certains doivent commencer à s’interroger sur le temps qui reste à courir entre le moment où les premiers posent les bonnes questions tout haut, le moment où cela va faire la une des médias et celui où il va falloir rendre des comptes. Peut-être jamais, espèrent-ils. À Londres, les victimes du vaccin étaient suffisamment nombreuses, handicapées, mais encore en vie, pour organiser un défilé en forme de manifestation. Le compte à rebours semble avoir commencé.


26 février 2023

Vers la réintégration des soignants ?

Pierre Duriot

Les covidistes commencent à se servir, certes tout doucement, de leur cerveau. Et ils confirment une nouvelle approche de la maladie qui consisterait en une stratégie du « vivre avec le Covid-19 ». Ainsi, la Haute autorité de santé a publié ses recommandations vaccinales pour protéger la population la plus à risque de développer des formes sévères du Covid-19 et le gouvernement ne recommande plus la primo-vaccination, pour la population générale. Ils se servent doucement de leur cerveau, car ils pensent encore en terme de « forme moins grave », ce qui est une absurdité, étant donné que cette assertion est invérifiable scientifiquement, vu qu’on ne sait pas, quand un individu est vacciné, ce que la maladie lui aurait occasionné sans vaccin. Nous raconter qu’un type de 35 ans, en bonne santé, fait une « forme moins grave », grâce au vaccin, est de la pure escroquerie. Les équivalents non vaccinés font exactement les mêmes formes, voire moins graves, un comble.

Cette manière de rendre gorge, à petits pas, est typiquement française. En Belgique, un symposium sur le Covid, par de vrais médecins, entendre, pas les corrompus qui sont sur les plateaux télés, a conclu à l’inefficacité totale des campagnes de vaccination, ce qui aurait tendance à corroborer la réalité constatée : la vaccination a permis de faire des formes « moins graves », à ceux qui n’étaient pas susceptibles d’en faire et les gens fragiles sont morts, comme d’ailleurs, ils meurent de la grippe chaque année, avec ou sans vaccin. On n’en est pas encore à réfléchir sur les objectifs exacts de ce tabassage médiatique destiné à forcer les gens à aller à la piqûre.

Dans le groupe de parlementaires « Identité et démocratie », on annonce, de manière vérifiée, jusqu’à 25% de personnes ayant des effets secondaires invalidants, ou même mortels, pour l’instant, ce qui correspond aussi, à une forme de constat sur nos amis, nos familles et proches. Soit que la maladie les prend, eux qui jusque-là n’avaient rien. Soit que des maladies déjà présentes soient aggravées, depuis la vaccination. Et les mêmes de citer un ancien de chez Pfizer, affecté à la génétique, racontant comment on préparait variants et vaccins, pour se « faire du fric ». Ça aussi, correspond à une certaine réalité. Plus de 30 milliards de bénéfices pour les pharmas, payés par les États soucieux de « protéger » leur population. En pure perte, en mars 2022 la France très vaccinée, était le pays le plus contaminé au monde : comme quoi, on aurait tort de gober le narratif.

Du coup, la HAS ne ciblerait plus que les personnes à risque de forme sévère, ainsi que les personnes de leur entourage et les personnes atteintes de certaines comorbidités et les femmes enceintes. On se demande bien pourquoi ? La mortalité est en forte hausse et la natalité en baisse, avec un nombre de plus en plus important de bébés mort-nés. On ne peut pas abruptement lier ces effets aux vaccins, mais force est de constater que cela est concomitant. Tout de même, cette HAS semble s’orienter vers la fin de la vaccination obligatoire pour les soignants, ce qui fera de la France, le dernier pays à réintégrer ces gens injustement virés, puisque le vaccin, en plus d’être « inefficace » selon les médecins belges, n’empêche pas la transmission.

En clair, tout cela commence à ressembler à des ouvertures de parapluies, genre : responsable mais pas coupable. Von der Leyen refuse de rendre publiques, ses conversations. Bourla refuse de répondre aux questions, d’où qu’elles viennent et vous avez remarqué, à la télévision, on préfère ne plus trop aborder le sujet. Reste que l’hécatombe est bel et bien en cours, même si personne n’en parle. Au RPF, nous avons toujours soutenu le libre choix des individus de se faire vacciner ou pas, y compris pour les soignants. Mais si tous les soupçons qui s’accumulent se vérifiaient, les procès devraient monter en puissance. Ils ont déjà commencé, en Suisse, aux États-Unis et des états des lieux assez réalistes commencent à poindre un peu partout… sauf en France.

En illustration, la hausse de la mortalité par catégories d’âges en Angleterre.



21 février 2023

Gilles Casanova

On résume : un paquet d'injections avec tous les effets secondaires que cela comporte par nature, et on tombe quand même malade. Mais – Gloria in excelsis Deo – on serait plus immunisé contre le fait d'être malade que si l'on était tombé malade sans les injections. Miracolo !


10 février 2023

COVID 19 : ÇA CLOCHAIT DÈS LE DÉBUT

Marc Amblard

- 8/2/2023 - Je ne sais pas vous mais dès le démarrage de cette affaire, j’ai senti que quelque chose ne tournait pas très rond dans le récit des médias et des autorités. Une odeur de tromperie, de mise en scène macabre. Comme une pièce de théâtre mal jouée. Ou plutôt, surjouée.
Trois ans après le lancement des hostilités, il était alors intéressant de recenser très brièvement les dix indices qui ont suscité, en notre for intérieur, les plus vives réserves :
1. Dès les premiers cas, l’OMS annonce officiellement une pandémie avec probablement des millions de morts. Étonnamment rapide.
2. Des médicaments dont l’efficacité n’était plus à prouver et surtout sur le marché depuis 70 ans, ont fait l’objet d’un classement en substance vénéneuse deux mois avant l’apparition du virus. Inédit.
3. À l’opposé, l’administration de substances dangereuses a été facilité, notamment dans chez les personnes âgées (Remdesivir, Rivotril…)
4. Les médecins ont été privés de leur liberté de prescrire (par des non médecins). Une première dans l’histoire de la médecine.
5. Une exceptionnelle mise en scène des morts et des cas sur les écrans de télévision.
6. Des confinements imposés alors que ces méthodes n’avaient plus cours depuis des siècles.
7. Survenance de nouveaux concepts comme les « malades non malades » (cas asymptomatiques).
8. Des sommités internationales, professeurs de médecine, chercheurs, encensés jusque-là, sont devenus soudainement des charlatans aux yeux des grands médias.
9. Les recommandations émanaient de l’OMS dont l’un des plus importants contributeurs est également un actionnaire majeur des deux plus grands laboratoires pharmaceutiques.
10. Le 18/10/2019 à New-York, le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates, ont organisé l'Event 201, un exercice de répétition pré-pandémique.
Avouez que, mis bout à bout, ces quelques indices auraient dû faire douter les esprits les plus endormis. Non ?
Il n'est pas question de nier l'existence d'un virus mais, à tout le moins, de s'interroger sur la pertinence de son traitement médiatique et des mesures catastrophiques mises en place.