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16 décembre 2023

USA - LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ENGAGE UNE PROCÉDURE POUR DESTITUER JOE BIDEN

Marc Amblard


1. L'enquête qui vise depuis plusieurs mois le fils Hunter a révélé l'ampleur de la corruption de Joe Biden alors qu’il était le vice-président de Barak Obama. J’invite ceux qui auraient des doutes à visionner une vidéo de 2016, dans laquelle Biden se vante d’avoir fait licencier le procureur général ukrainien pour avoir enquêté sur Burisma, compagnie gazière qui versait des pots de vin à Hunter. Biden a soudoyé l’Ukraine en suspendant l’aide américaine jusqu’à ce que le procureur soit limogé. Vidéo ci-dessous.

2. Les dossiers de vol montrent que Hunter a volé sur Air Force 2 plus de 400 fois pendant que son père était au pouvoir. Il existe d’innombrables e-mails et SMS adressés à Hunter Biden le remerciant de les avoir présentés à son père Joe.

3. Des messages WhatsApp de Hunter révélés aux procureurs prouvent qu’il utilise le nom de son père pour conclure des accords commerciaux en proférant parfois des menaces de représailles. L'ordinateur oublié par le fils chez un réparateur a fourni une montagne de preuves contre le père (notamment les commissions de 10% qu’il percevait contre influence).

4. Ce système de paiement occulte vise le fils, le père mais également le frère du président James Biden ainsi que la maîtresse de Hunter et épouse de son fils décédé Beau, Hallie Biden. C’est ce qu’a révélé la direction de Cathay Bank avec les montants correspondants.
 
5. Attention, ne soyons pas dupes. L’enquête sur le président ne peut prospérer qu’avec l’accord des démocrates, majoritaires au Sénat. Cette procédure sert en réalité leurs intérêts : faire en sorte que Joe Biden ne se représente pas aux prochaines présidentielles pour placer un candidat plus « présentable ». L’actuel président est si peu populaire que son déficit de voix pourrait ne pas être compensé par la fraude électorale en novembre 2024.
Marc Amblard - 15/12/2023

26 août 2023

Biden père et fils : une mafia à la Maison-Blanche

H16

Comme toute la presse occidentale, la presse française s’épanche régulièrement et goulûment sur les imbroglios judiciaires dans lesquels semble actuellement s’empêtrer Donald Trump aux États-Unis, alors que la campagne pour l’élection présidentielle de 2024 commence tout juste. Cependant, on ne pourra s’empêcher de noter sa grande discrétion lorsqu’il s’agit de revenir sur les rocambolesques affaires de la famille Biden…

Pourtant, il y a d’autant plus à dire sur Biden père et fils que l’asymétrie est grande entre le traitement judiciaire subi par Trump et celui, nettement plus conciliant, que les Biden supportent : là où Trump multiplie les mises en examen, la justice américaine semble étonnamment empotée lorsqu’il s’agit de poursuivre tant Hunter que Joe dont les casseroles s’accumulent maintenant avec une fréquence soutenue.


Un précédent billet d’octobre de l’année dernière détaillait les derniers rebondissements touchant le fils, Hunter, et montrait à quel point il lui serait difficile de passer entre les gouttes : les informations contenues dans son ordinateur portable ont notamment permis d’établir un nombre phénoménal de crimes et délits.

Au passage, il sera difficile d’oublier que ce portable avait été qualifié d’invention et d’intox par l’actuel locataire de la Maison Blanche, ainsi que par des représentants de différentes agences de renseignements, avant que tout ce petit monde se voie réfuté par l’accumulation d’éléments de preuves coïncidentes et de témoignages de plus en plus incriminants.

Ces dernières semaines, les affaires dans lesquelles se sont empêtrés aussi bien le père que le fils Biden s’accélèrent nettement : les enquêtes menées par le Congrès américain ont levé suffisamment de lièvres pour que même la presse de grand chemin – l’américaine, tout au plus, la française est encore coincée en 2019 – évoquent les malversations qui touchent la famille présidentielle, d’ailleurs au point de gêner la candidature de Joe Biden à sa propre succession. Ce qui, au passage, donne d’intéressantes tentatives médiatiques de pousser Michelle Obama comme candidate démocrate de remplacement.

Et il y a de quoi s’interroger sur la viabilité de l’actuel candidat démocrate. Outre son état de santé général qui laisse de plus en plus à désirer, on découvre à présent que son fils était directement mêlé à des opérations en coulisse visant à la mise en accusation de Trump (son “impeachment”), qu’il contactait son père de façon régulière tant dans le cadre politique que dans le cadre de ses affaires véreuses avec des puissances étrangères (Chine, Roumanie, Ukraine) et que pour ce faire, Joe utilisait une panoplie de pseudonymes.

Autrement dit, il n’y a plus aucun doute que le Vice-Président Biden, sous l’administration Obama, a bel et bien utilisé son pouvoir pour monnayer son influence et encaisser de fortes sommes de ces puissances étrangères.


Pour un président en exercice, cela donne un tableau croquignolet, d’autant que le même corrompu prétendait, lors du débat de campagne présidentielle en 2020, n’avoir pas touché un centime frauduleux. Les médias en seront pour leur frais mais rassurez-vous, aucun ne fera son mea culpa, y compris en France.

Pourtant, il y a de quoi : lors de ce fameux débat, tous les éléments que Trump balançait contre son opposant d’alors se révèlent maintenant parfaitement exacts, et on peut largement reprocher aux médias de n’avoir pas fait la moindre enquête et, pire, d’avoir prétendu que l’ex-président mentait ou affabulait.

En pratique, l’actuel Oversight Committee du Congrès américain chargé de la Transparence a mis à disposition publique un graphique complet, détaillé et animé de tout ce qu’a fait Biden depuis 2009 (à son entrée en fonction dans l’administration Obama) avec les éléments factuels démontrant son implication et sa corruption dans un nombre effarant d’affaires jusqu’en 2023 couvrant tous ses trafics d’influences, ainsi que les transactions financières (dodues), leurs sources, leurs destinations dans la famille Biden et leurs montants.

Dans ce contexte, l’accumulation des révélation sur la famille Biden et son niveau de corruption obligent à noter la cadence étonnante des événements politiques américains : à chaque fois qu’une nouvelle affaire explosive venait s’ajouter à la litanie des corruptions, détournements et autres malversations de la famille Biden, immédiatement après, Trump subissait une nouvelle mise en examen sur des motifs de plus en plus fumeux, mais dont la médiatisation a largement aidé à camoufler les déboires catastrophiques de l’actuel occupant de la Maison-Blanche.

Ainsi, il ne s’est pas écoulé plus d’une quinzaine de jours entre les révélations de cet Oversight Committee et la mise en examen de Trump du 4 avril dernier. Le 8 juin, le Congrès obtient les détails (particulièrement incriminants) de l’enquête du FBI au sujet des Biden (père et fils) ; le lendemain, le 9 juin, Trump est à nouveau mis en examen pour une autre affaire. Le 26 juillet, on apprend que l’accord judiciaire, ultra-favorable à Hunter Biden et qui lui permettait d’échapper à la prison, est à tel point rempli de conditions favorables à l’accusé que le juge ne peut le valider. Sans surprise, le lendemain encore, le 27 juillet, Trump est à nouveau mis en examen pour une troisième affaire. Enfin, le 31 juillet, Devon Archer témoigne du système de trafic d’influence du père et du fils Biden, témoignage qui sera très vite oublié puisque le lendemain, le 1er Août, Trump se retrouve mis en examen pour une quatrième affaire.

Il apparaît finalement que le 45e président américain a donc eu raison sur bien des choses, à commencer par les plus importantes.

Le “Russiagate” était bien complètement bidon et montrait surtout que l’ensemble des allégations étaient montées de toutes pièces, ceci grâce à l’aide des agences gouvernementales (FBI notamment) comme le prouvèrent les TwitterFiles (évoquées ici et en fin d’année dernière).

Son entêtement à rappeler que le virus provenait d’un laboratoire chinois n’apparaît plus du tout comme une théorie farfelue. C’est même la plus solide, les autres théories relevant de plus en plus de la rigolade.

Enfin, comme on vient de le voir, ses allégations tant sur le “portable de l’enfer” que sur le niveau de corruption des Biden sont maintenant avérées.

Dès lors, et compte-tenu du nombre grandissant d’éléments factuels sur les irrégularités des élections 2020, combien de temps s’écoulera-t-il avant qu’on découvre, benoîtement, que ces dernières furent complètement truquées au point de lui ravir frauduleusement la victoire, et qu’à ce titre, Biden occuperait donc son poste de façon illégitime ?

Parions que les prochains mois permettront d’y voir plus clair. Quoi qu’il advienne, on peut cependant garantir que les médias, jadis quatrième pouvoir et maintenant véritables outils de propagande, feront absolument tout pour camoufler tout changement de narratif.


12 janvier 2023

Joe, Hunter Biden et le régime de Zelensky

Vincent Verschoore

En parallèle au conflit sanglant attisé par l'Otan en Ukraine, une autre guerre se déroule au sein de l'establishment US entre la Maison Blanche de Biden d'un côté, le Congrès et le département de la Justice de l'autre (pour faire simple, beaucoup d'autres intérêts sont en jeu ici).
 
En effet, la Justice enquête sur les découvertes de documents confidentiels retrouvés, en novembre 2022 et en janvier 2023, dans des lieux où Biden est passé. Le Washington Post en fit un article hier soir (lien en com), prenant grand soin de minimiser la gravité de la situation (pour Biden) en la comparant à la situation de Trump, également accusé d'être parti avec des documents classifiés.
 
Au-delà de cette joute partisane se profile la vraie guerre, celle menée par une partie des Républicains contre Biden sur base de "l'affaire Hunter", du nom du fils de Joe Biden, dont le fameux PC oublié chez un réparateur contient des documents compromettants sur la vie dépravée de Hunter d'une part, sur ses connexions mafieuses avec l'Ukraine de l'autre, et la "protection" du père alors qu'il était vice-président sous Obama (lien en com).

Rappelons que Hunter était notamment impliqué dans l'entreprise ukrainienne Burisma (énergie), qui lui versait un million de dollars par an contre...  et bien c'est toute la question. La corruption est centrale au fonctionnement du régime ukrainien, et tout le monde le reconnaissait avant février 2022. La récente vidéo de riches et jeunes ukrainiens faisant la fête à Courchevel alors que leurs soldats se font décimer à Soledar illustre parfaitement le problème.

Une commission d'enquête est en cours au Congrès, visant à déterminer si Joe Biden, via la connexion avec son fils et l'Ukraine, relève d'un risque pour la sécurité nationale. À cela s'ajoute la révélation, via les Twitter files, de la stratégie d'étouffement de l'affaire Hunter au sein des médias et Gafam – ce qui rappelle une initiative identique, menée par les mêmes, contre toute critique des stratégies catastrophiques menées dans le cadre covidien.
 
Au vu des informations (certes encore parcellaires) dont nous disposons aujourd'hui sur les liens entre Joe et Hunter Biden et le régime de Zelensky, voyant comment les USA font tout pour escalader un conflit local à coups de milliards dont une partie disparaît dans les profondeurs mafieuses gardées par le SBU et le complexe militaro-industriel, voyant à quel point les dirigeants européens sont prêts à sacrifier l'Europe contre, sans doute, une partie du gâteau (on cherche en vain une meilleure explication), le combat qui se déroule actuellement dans les couloirs du pouvoir américain est également important pour nous.
 
Je n'y crois guère, vu la capacité corruptive des parties prenantes, mais cette affaire pourrait déboucher sur un impeachment de Biden, une révélation des liens mafieux ayant mené à une telle implication US dans le conflit ukrainien, de ce qu'il se passe vraiment là-bas depuis le coup d'État de 2014 ayant placé l'Ukraine au creux des mains américaines. 12/1/2023




3 décembre 2022

#HunterBidensLaptop : un Watergate international

Anne-Sophie Chazaud

À la faveur d’une bronchite, j’ai assisté cette nuit de manière inattendue à la révélation du plus grand scandale de manipulation de l’information et de l’opinion de l’époque contemporaine dans un Thread sur Twitter qui avait été annoncé en fin de journée par Elon Musk.

J’aurai l’occasion de revenir sur l’ensemble de ce dossier dans un article ultérieur qui reprendra toute l’affaire depuis le début, mais je dois vous dire que ce qui s’est passé cette nuit et qui aura tenu beaucoup d’entre nous en haleine est de nature à bouleverser beaucoup de choses si la démocratie a encore une réalité.

Les preuves sont apportées dans ce thread plus haletant qu’aucune série Netflix de ce que j’avais démontré dans mon essai sur la Liberté d’expression comme étant une forme aiguë et dangereuse de « porosité » entre le camp autoproclamé du Bien, du néoprogressisme, en l’occurrence une large partie du Parti Démocrate américain et de nombreux médias ainsi que, surtout, la Big Tech, en l’espèce Twitter.

Des copies d’écran complètement sidérantes viennent d’être révélées qui prouvent la volonté délibérée de désinformer, de modifier par la désinformation l’opinion publique et il s’agit là de la révélation d’un trucage avéré et criminel de l’élection américaine ayant porté Joe Biden au pouvoir. Souvenons-nous par ailleurs des accusations qui étaient parallèlement menées d’ingérence étrangère (russe, évidemment) alors que l’ingérence criminelle dans l’élection et la corruption opérait de l’intérieur-même du camp démocrate (et de l’État profond dont il est le pantin).

Tout le scandale révélé cette nuit porte sur la volonté avérée des démocrates et de Twitter et autres géants de la Big Tech de dissimuler les liens de corruption entourant les activités de Hunter Biden en Ukraine et en Chine, révélations qui, si elles avaient été révélées de façon normale comme avait tenté de le faire le New York Post et certains comptes Twitter, auraient conduit à l’évidente non-élection de Joe Biden, alors même que Twitter œuvrait inversement à museler sous prétexte de lutte contre les « fake news » que j’ai toujours appelées « pseudo-fake news » l’expression libre du camp républicain, en supprimant notamment le compte du président alors élu (Trump) et de plus de 70 000 de ses supporters en pleine élection.

À l’heure qu’il est, le thread continue de se dérouler, dévoilant chaque minute des éléments de plus en plus scandaleux dans une affaire qui, par ses implications mondiales (songeons aux multiples dispositifs de porosité idéologique et de pseudo lutte anti fake news dont s’est obsessionnellement entourée l’équipe de campagne de Macron – j’en parle également beaucoup dans mon livre et cela vaut pour les 2 campagnes électorales –, songeons également bien sûr à la question ukrainienne, est un scandale encore plus important que le Watergate.

Avant d’y revenir plus tard, lorsque tout sera dévoilé, j’attire votre attention sur un point qui me semble important : l’on critique beaucoup les États-Unis pour leurs mauvais aspects, je le fais autant que de besoin en matière de wokisme ou encore à travers le rôle éminemment contestable joué par les USA dans la déstabilisation ukrainienne, mais ô combien l’on est admiratif (et envieux !!!) lorsque cette grande démocratie, celle qui place la liberté d’expression en Première place des amendements de sa Constitution, joue pleinement son rôle.

Quiconque a assisté cette nuit en direct à cet événement majeur se souviendra pour longtemps de ce que la démocratie signifie. La question qui se pose à présent est : dans quelle mesure les systèmes verrouillés de contrôle de l’opinion et de l’information, dont l’Union européenne et notamment la France sont les plus vaillants zélateurs, traiteront cette gigantesque affaire qui, au passage, en plus de souligner ce que nous dénoncions depuis des années concernant la corruption et la désinformation, apporte des éléments probants concernant les troubles affaires ukrainiennes à travers un personnage (Hunter Biden) qui incarne à lui tout seul la décomposition morale et matérielle de l’Occident.

À suivre.


21 octobre 2022

La suite des petites aventures du fils Biden

H16

Passionnante vie que celle de la famille Biden : pendant que le père, Joe, joue le rôle d’un président des États-Unis en pleine tourmente géopolitique, économique et probablement mentale, le fils, Hunter, s’occupe de ses nombreuses affaires dont une partie semble lui revenir actuellement au travers de la figure.

L’histoire remonte en réalité bien avant octobre 2020, le mois où la presse a fait des pieds et des mains pour camoufler l’existence d’un ordinateur portable ayant appartenu à Hunter Biden et dont le contenu dévoilait toute une cargaison d’actes clairement répréhensibles ; à l’époque et alors que les élections présidentielles approchaient rapidement, les informations divulguées par le New-York Post faisaient plutôt tache dans la campagne par ailleurs atone du candidat Joe Biden. Un fils qui fait absolument n’importe quoi, sur fond de drogue, de prostitution et d’affaires financières de plus en plus louches en Chine et en Ukraine, cela faisait beaucoup pour le candidat démocrate alors que les médias peinaient à déclencher le moindre enthousiasme pour le vieux briscard de Washington.


La presse française, égale à elle-même, faisait un remarquable travail de distraction et n’évoquait le sujet ni de près ni de loin ou allait jusqu’à corroborer les allégations farfelues de certains officiels qui entendaient prouver que l’histoire de cet ordinateur portable n’était qu’une énième intox russe (bien sûr, russe – évidemment, quoi d’autre ?).

Les élections passèrent, puis quelques mois et, petit-à-petit, les éléments rassemblés par la justice montrèrent que le portable, contenant des informations explosives, appartenait bien à Hunter sans le moindre doute. Tout comme le Russiagate qui démontra la partialité consternante des médias de grand chemin et leur parti-pris anti-Trump grossier (voire grotesque), les allégations d’intox russe concernant le portable d’Hunter Biden se révélèrent aussi fausses : sapristi, les soi-disant complotistes avaient eu, une fois encore, raison, à tel point qu’on voit même à présent des journalistes de CNN se retourner contre l’ex-patron de la chaîne d’information en continu et lui reprocher d’avoir choisi de cacher cette affaire.


Il faut dire que l’enquête au sujet de Hunter Biden continue de progresser et de prendre une tournure de plus en plus délicate pour l’actuelle Maison Blanche et pour Joe Biden : depuis mars de cette année, les médias grand public ont fini par admettre que tout ceci pourrait bien conduire le fils du président en exercice à se retrouver en examen.

Et si la presse française continue d’ignorer superbement l’affaire, il est intéressant de noter qu’outre-Atlantique, la presse est obligée d’évoquer un peu ce qui se passe tant les choses semblent assez mal s’enquiller, pour le fils comme pour le père dont un des partenaires d’affaires d’alors (on parle essentiellement de la période Obama) – un certain Tony Bobulinsky – commence à parler et à expliquer l’implication directe de Joe dans les magouilles manifestement frauduleuses de Hunter.

À présent, la possibilité même d’un procès détaillé (et probablement aussi peu médiatisé que possible) n’est plus guère remise en cause et la Maison Blanche en est réduite à faire une espèce de “damage control” quelque peu alambiqué.

Il faut dire que les accusations ne sont pas exactement du niveau d’un ticket de stationnement impayé : détention illégale d’arme à feu, achat, possession et usage de stupéfiants, fraude fiscale et détournement de fonds (pour plusieurs millions d’euros), voilà qui est déjà suffisant pour faire plusieurs procès bien remplis.

Bien évidemment, les même médias qui ont jusqu’à présent largement joué le dégonflement forcené de cette affaire continuent de tourner autour du pot et persistent à ne voir dans les informations de ce portable que l’expression d’un homme alors sous l’emprise de la drogue et de mauvaises habitudes de vie, vaguement répréhensibles sur le plan moral mais pas vraiment condamnables légalement.

Point de vue intéressant qui tend à s’effriter progressivement à mesure que les éléments et les témoins à charge s’avancent vers la justice qui doit maintenant à la fois montrer qu’elle reste impartiale malgré les accusations du camp Républicain, et chercher à déterminer l’ampleur des carabistouilles de Hunter dont le passif semble de plus en plus lourd.

Il y a ainsi une série de messages courts, échanges de textes entre le fils et le père (et d’autres membres de la famille Biden) tendant à prouver leur partenariat dans des montages financiers douteux avec la Chine et l’Ukraine.


À ceci s’ajoutent les éléments fournis au FBI par le sénateur américain Chuck Grassley qui montrent sans le moindre doute possible que la famille Biden (et ici sont directement cités Hunter et Joe) a signé un contrat pour 5 millions de dollars avec l’entreprise CEFC, directement liée au Parti Communiste Chinois ce qui, alors même que le père est maintenant président, contrevient directement avec les engagements pris lors de la campagne électorale. Au passage, le sénateur américain se demande pourquoi le FBI n’a pas jugé bon de poursuivre la moindre enquête à ce sujet… Enquête qui pourra largement s’appuyer sur les 459 crimes et délits de la famille Biden, à présent documentés dans le rapport MarcoPolo qui vient de sortir.

Bref, on le comprend : non seulement les complotistes et le New-York Post avaient bel et bien raison dès octobre 2020, mais en plus tout indique que Hunter est mouillé dans des affaires de plus en plus graves en Ukraine et qu’il y était pour le compte de son père actuellement président.

Alors que des élections de mi-mandat pourraient voir l’une ou les deux chambres parlementaires changer de camp et donc voir les Républicains l’emporter, on comprend que des enquêtes et un procès contre Hunter pourraient aller bien plus haut qu’une simple peine de prison pour le fils.

Il n’est pas impensable d’envisager alors un “impeachment” de Joe Biden qui aura alors tout le loisir d’invoquer pour lui-même le 25e amendement à la Constitution américaine, en raison de son état de santé (mentale par exemple)…

Aux États-Unis, les prochains mois pourraient donc être fort intéressants.