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9 octobre 2024

Vincent Verschoore

9/10/2024 - Les covidistes estiment que questionner les relations incestueuses entre Pfizer et la Commission européenne relève du complotisme "antivax", cela n'a pas empêché le New York Times de déposer plainte contre von der Leyen pour non-divulgation des SMS échangés avec Bourla dans le cadre des mirifiques contrats vaccinaux Covid :
"Les SMS échangés entre Albert Bourla et Ursula von der Leyen seront-ils dévoilés un jour ? Le New York Times l'espère. Le quotidien américain a demandé à avoir accès aux messages entre le patron de Pfizer et la présidente de la Commission européenne, au titre de la liberté d'informer. N'ayant jamais eu gain de cause, il a saisi la justice de l'Union Européenne. Cette dernière a indiqué lundi que l'affaire sera étudiée le 15 novembre."
Il y aura ensuite des mois avant l'annonce d'un verdict, des mois au cours desquels les pressions politiques et mafieuses pour un non-lieu seront énormes, donc ne pas se faire d'illusions.
Reste le symbole lui-même, l'énormité de l'affaire baignant dans la corruption et le pillage de l'argent public.
Si, par miracle, le tribunal devait se prononcer contre VDL, cela pourrait ouvrir la porte à d'autres actions contre les covidistes, aujourd'hui encore parfaitement protégés par l'establishment, du moins en France.


29 mai 2024

Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA

24 mai 2024

Pfizer sur le gaz

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


24/5/2024 - Pfizer est plus que jamais dans la tourmente, il se murmure que la boîte pourrait être traînée devant les tribunaux aux US, mais pas avant les élections européennes ni américaines. Elle est déjà l’entreprise, ou l’une des entreprises qui a payé le plus d’amendes au monde. Quelle pourrait être la raison objective de ce report ? En quoi ces deux évènements seraient-ils susceptibles de perturber le déroulé des audiences, les investigations ou les interrogatoires ? On ne voit pas. En revanche on comprend qu’un tel procès mettrait dans l’embarras les responsables encore au pouvoir ayant œuvré durant cette période trouble avec des répercussions en Europe. C’est bien entendu le cas de la France où la macronie s’est particulièrement distinguée dans cette affaire. Devoir rendre des comptes, ou du moins être indirectement agité par les effets d’un procès qui prendrait forcément un caractère international en pleine campagne, serait catastrophique pour Hayer, qui n’a pas besoin de cela pour couler lentement dans le fond du classement.

Mais tout de même, une justice indépendante aurait-elle à se soucier de ces échéances pour faire son travail ? D’ailleurs quel est-il exactement, faire éclater la vérité ou protéger un pouvoir qui semble de plus en plus corrompu ? On peut a contrario imaginer qu’une défaite de ceux qui sont à l’origine des politiques Covid de l’époque scellerait le sort des protagonistes. C’est d’autant plus vrai que les révélations sur les intrigues du laboratoire fusent, rendant les malversations ou cachotteries que certains n’ont pas manqué de faire pour soutenir une vaccination de plus en plus douteuse, pour ne pas dire pire. Ainsi, selon la Prescription Medecines Code of practices, Authority, Pfizer a fait la promotion d’un médicament sans licence et a violé un total de cinq codes réglementaires. Si on rajoute à cela l’opacité des contrats signés entre Pfizer et von der Leyen, qui a agi sans mandat et donc à titre privé, cela aggrave considérablement la position du géant pharmaceutique et celle de ses complices. En France tout est fait pour que rien ne sorte, au point que l’on s’empresse de faire voter des lois pour s’assurer que ce type de révélations ne puisse pas voir le jour.

À l’étranger les aveux vont bon train et n’en finissent pas de donner raison à ceux qui chez nous, dénonçaient les vaccins et les pratiques qui y étaient associées comme inutiles et dangereuses. Ils ont été calomniés, bannis, traités de criminels. Mais au fur et à mesure que la vérité voit le jour, ce dernier qualificatif colle de plus en plus à la peau de ceux qui ont fait la promotion de cette vaccination. Un exemple parmi d’autres : Lawrence Tadax, directeur adjoint des NIH (National institues of Health) a été contraint d’admettre que le COVID était bien d’origine biomilitaire, sorti tout droit du laboratoire de Wuhan. Le Docteur Andrew Hupff, ancien dirigeant d’EcoHealth alliance, a concédé que A Faucy en 2018 avait approché la Defense Agency (Darpa) pour financer le projet de recherche DEFUSE sur le gain de fonction (aggravation de la toxicité d’un virus) des coronavirus des chauves-souris. Tout ceci étant confirmé par l’eurodéputé Christine Anderson. On se souvient que le professeur Montagnier avait immédiatement affirmé que l’étude de la structure du virus montrait son caractère non naturel, donc trafiqué par l’homme. Il fut aussitôt banni des plateaux et l’objet de moquerie odieuse et déplacée. Tout comme le furent, peu après Martine Wonner, les docteurs Peronne et Raoult. Rappelons que ces deux derniers géraient habituellement les pandémies en France.

Dans le même temps on apprend qu’AstraZeneca retire son vaccin du circuit. Officiellement il n’y a plus la demande, en réalité c’est parce que les effets secondaires dévastateurs vont finir par rattraper les acteurs de ce drame et qu’ils veulent se mettre à l’abri. C’est bien tard. Aux US pour les moins de 45 ans le nombre de cancers a doublé entre 2022 et 2023, sans que l’on s’aventure pour le moment à relier cette explosion à la vaccination. « On ne comprend pas » : refuser d’admettre, mais jusqu’à quand ? La VAERS, qui est un programme américain de surveillance des effets des vaccins, destiné à mesurer le bilan bénéfice/risque, permettant ainsi de maintenir ou pas un vaccin, vient de publier des chiffres alarmants. Sur tous les décès enregistrés de 1988 à 2021, ceux des vaccins COVID sont équivalents sur un an à ceux de tous les autres vaccins sur 33 ans. Peut-on encore parler de coïncidence, ou de hasard incompréhensible ? Une enseignante marocaine souffrant d’effets secondaires fortement handicapants a porté plainte contre l’État. La justice vient de lui donner raison et a condamné l’État à lui verser 250 000 dirhams à titre de dommages et intérêts. D’un côté un pays assume, de l’autre, l’Espagne, se couvre en refusant de reconnaître les victimes, arguant que tous ont été volontaires. Pourtant il fait quand même le lien entre les injections et les myocardites, mais dégage sa responsabilité sous ce motif. C’est une autre façon de se disculper. Il devient impossible de nier les effets secondaires, alors on renvoie la charge sur les victimes, soi-disant consentantes.

La perversité de l’argument était prévisible, eu égard au document qui devait être signé avant l’injection, alors que celle-ci était nécessaire pour continuer à exercer certaines professions. Rendre obligatoires des substances expérimentales est illégal. C’est bien le cas actuellement et ça l’était encore davantage au moment de la campagne de vaccination. Il devient clair que les politiques et les propos agressifs qui ont été tenus contre ceux qui doutaient, qui alertaient sur la dangerosité de ces faux traitements, sont en passe de retrouver la dignité qu’on leur a sciemment volée. Que vont répondre tous ces caciques devant ces aveux ? Désolé… un peu court tout de même, d’autant que l’on a confirmation que ce vaccin n’empêchait pas non seulement de transmettre le virus mais ne protégeait pas non plus, même pas des formes graves puisque les « variants » n’étaient pas mortels. C’est donc en pleine connaissance de cause que le gouvernement a forcé les soignants, médecins, pompiers, à se vacciner au risque d’exposer des patients au virus et de leur rajouter des complications dont ils se seraient bien passés. La responsabilité des promoteurs devra bien entendu être engagée, tout comme celle de ceux qui ont validé des lois en ne pouvant ignorer leur côté inutile et surtout dangereux dans les effets qu’elles produiraient. Après le sang contaminé, Fabius pourrait bien se retrouver une nouvelle fois compromis dans un scandale sanitaire. Rassurons-nous, il a évité le pire quand il était directement concerné, alors là… C’est la magie de notre grande démocratie, qui a inventé pour ses responsables et uniquement pour eux la formule « responsable mais pas coupable » avant de la compléter par « coupable mais pas condamnable » dans l’affaire Tapie impliquant Christine Lagarde. Prétendre que nos décisionnaires n’étaient au courant de rien ne tient plus et ressemble à une vaste farce, depuis que les révélations venues de l’étranger n’en finissent pas de donner raison à ces « fripouilles » de complotistes. Encore aujourd’hui les autorités helvètes sont démasquées et l’on apprend que les informations faites au public ont été largement épurées de certains éléments qui n’allaient pas dans le sens de la doxa officielle. Nous aimerions bien voir nos parlementaires s’emparer du sujet et demander des comptes. Il est à craindre que ce ne soit pas pour demain encore une fois, quand bien même cela serait, nous aurions droit à une série d’excuses et de regrets éplorés, larmes de crocodile qui n’effaceront jamais ces années noires, ni ces pratiques qui ont conduit à des morts et des blessés graves. Nettoyer la France de ceux qui se sont vautrés dans cette abjecte compromission pour que nous ne revivions plus jamais cela serait nécessaire, mais tant que nous aurons des oppositions complices pratiquant la politique de la chaise vide ce sera clairement utopique. La corruption est profonde et il faudra du courage et un changement total pour en venir à bout. Malgré tout, la vérité avance dans certains pays, mais en France elle arrive encore à rester sous une chape de plomb.


20 mai 2024

"Pfizergate" et SMS : tout comprendre à l’affaire qui menace Ursula von der Leyen

Thomas Ribaud / Marianne

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En avril 2021, New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid durant la pandémie. Ritzau Scanpix / AFP

17/5/2024 - En avril 2021, le New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid, durant la pandémie. Ce vendredi 17 mai, une première audience s'est tenue au Tribunal de Liège.

Voilà qui fait tache, à seulement trois semaines de briguer un nouveau mandat de présidente de la Commission européenne. Ce vendredi 17 mai, le Tribunal de Liège a tenu une audience au cours de laquelle devait notamment être déterminé qui de la justice belge ou du Parquet européen (EPPO) est compétent pour poursuivre l’instruction de la plainte déposée contre Ursula von der Leyen, dans le cadre du « Pfizergate ». Explications.

LES FAITS REPROCHÉS

En avril 2021, le New York Times révélait que la présidente de la Commission européenne avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid, pour la modique somme de 36 milliards d’euros. Si ces accusations s’avèrent véridiques, Ursula von der Leyen aurait négocié un contrat d’achat de vaccins en dehors de toute règle commerciale européenne.

Le 27 mars dernier, la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, a profité d’une discussion devant la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de Covid-19 (COVI) pour voler au secours de sa cheffe, insistant sur le fait que cette dernière n’avait joué aucun rôle dans la négociation des contrats de vaccins Covid.

Le hic, c’est qu’Albert Bourla, le patron de Pfizer, ne semble pas donner du sien pour affaiblir les accusations en conflit d’intérêts. Il n’a pas hésité à raconter dans un livre qu’il avait noué une « relation étroite avec [Ursula von der Leyen] par le biais de SMS et d’appels téléphoniques » à partir de janvier 2021.


UN SILENCE QUI POSE QUESTION

Depuis les révélations du New York Times, nombre d’entités ont demandé à la présidente de la Commission européenne de rendre public ces échanges de SMS. Les membres de la Commission Covid de l’UE, la médiatrice de l’Union européenne (l’UE) Emily O'Reilly, le parquet européen et la Cour des comptes européenne se sont tous heurtés à une fin de non-recevoir.

En février 2023, le New York Times a lui-même saisi la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) afin d’obtenir la divulgation des SMS en question, après que leur demande d’accès aux documents a été refusée. La CJUE a alors déposé une plainte administrative contre la Commission européenne, qui a toujours refusé de révéler le contenu des SMS, et même de confirmer leur existence. « Tout ce qui était nécessaire à ce sujet a été dit et échangé. Et nous attendrons les résultats », a expliqué Ursula von der Leyen.

En effet, si jamais des SMS ont permis de négocier des transactions financières impliquant l’Union européenne, ces derniers deviennent des documents administratifs au sens du droit. Se refusant à les dévoiler, Ursula von der Leyen porterait atteinte aux droits consacrés dans la constitution européenne. Dans le cas où elle les aurait supprimés, cela constituerait une destruction de documents administratifs.

UNE PLAINTE DÉPOSÉE PAR UN LOBBYISTE

En avril 2023, le lobbyiste belge spécialisé dans les relations commerciales Chine-UE Frédéric Baldan a déposé plainte contre Ursula von der Leyen auprès d’un juge de Liège, pour « prise illégale d’intérêts et corruption », « usurpation de fonctions et de titre » et « destruction de documents publics ». Il estime subir un préjudice moral constitué par « la perte de confiance dans l’Union comme puissance de réalisation du bien commun ».


Surtout, il juge que les finances publiques de la Belgique auraient été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer. Il souligne que, d’après les données de l’Institut de santé publique Sciensano, fin 2022, parmi les 40,4 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 reçues par la Belgique, 27,9 millions ont été achetées à Pfizer. Le lobbyiste belge y voit un privilège octroyé au géant américain de la pharmacie. Il se trouve que le média Politico a annoncé que fin 2023, au moins 4 milliards d’euros de doses avaient été gaspillés. Le contrat liant l’Union européenne à Pfizer a ainsi dû être renégocié.

Frédéric Baldan s’est constitué par la même occasion partie civile, réclamant 50 000 euros pour son préjudice moral. Il espère que le juge d’instruction liégeois soit « en mesure de réquisitionner les SMS et pas seulement de les demander ». Ce dernier considère que si l’ancienne ministre allemande et le patron de Pfizer invoquent la nature privée de ces échanges, cela révélerait un conflit d’intérêts grave, dans le cadre de la vente de vaccins à l’Union européenne.

Des associations, partis politiques, citoyens et même des pays européens, la Hongrie de Viktor Orbán et la Pologne, à l’époque gouvernée par les ultraconservateurs du PiS, se sont joints à la plainte de Frédéric Baldan.

LES ENJEUX JURIDIQUES DERRIÈRE CETTE PREMIÈRE AUDIENCE

Le Tribunal belge devait notamment déterminer, ce 17 mai, s’il revient à la justice belge de poursuivre l’instruction de la plainte déposée, ou si c’est au Parquet européen (EPPO) de se pencher sur ce « Pfizergate ». L’EPPO s’est saisi de la plainte belge et a présenté son réquisitoire à Liège. L’organisme traite notamment des affaires revêtant une dimension transnationale ou qui concerne le budget de l’UE. Mais, de son côté, le juge d’instruction belge souhaiterait poursuivre son enquête. Le Tribunal de Liège a décidé de remettre le dossier au 6 décembre prochain, notamment dans le but de laisser aux parties le temps de se prononcer sur la compétence du parquet européen en la matière.


En attendant, le média en ligne Blast a révélé en septembre 2023 que Frédéric Baldan a vu son accréditation de lobbyiste professionnel lui être retirée, en juin de la même année, par un registre de la transparence de l’Union européenne, qui dépend de l’autorité… d’Ursula von der Leyen.

15 mai 2024

Vincent Verschoore

15/5/2024 - Sur fond de corruption et de chantage, une lutte de pouvoir se déroule actuellement entre la Commission européenne et le récemment créé (2021) bureau du Procureur européen (EPPO).
En cause, d'une part la saisie de l'affaire des SMS entre von der Leyen et Bourla (contrat autant opaque que mirifique des "vaccins" Covid de Pfizer) par l'EPPO, de l'autre le retour sur l'accord de financement des moyens numériques de l'EPPO par la Commission.
Depuis sa création, l'EPPO gère plusieurs centaines de dossiers de corruption et de détournements de fonds européens à travers l'UE. Avec quel succès réel je l'ignore, mais son implication dans le Pfizergate n'a pas dû plaire en haut lieu, d'où le chantage sur le financement.
L'EPPO ayant lancé une procédure "amicale" envers la Commission pour garantir ce financement, il lui fut répondu que ce budget restait garanti mais "sous certaines conditions", non explicites dans la lettre, mais dont on se doute bien de l'essence : pas touche à la corruption de von der Leyen & Cie.
On ne peut plus continuer comme ça. Il faut purger et fortement réduire cette technostructure européenne illégitime et corrompue qui nous mène au désastre. ↴


2 avril 2024

Un témoignage qui en dit long sur les pressions et les menaces que subissent les députés :

https://www.facebook.com/1200878777/videos/1580738752682272/

27 décembre 2023

Yann Bizien

Elle est fière de sa fibre macroniste et de sa proximité avec Brigitte Macron.
Mais le problème est que la liste des ministres voyous s'allonge dans la République des copains et des affaires. Car, selon Marianne, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État à la Ville et à la Citoyenneté, aurait sous-évalué de près de 100 000 € ses déclarations d'intérêts envers la HATVP.
Il s'agit d'un délit passible de trois ans de prison et de 45 000 €uros d'amende.
Muriel Pénicaud, Sabrina Agresti-Roubache, Agnès Firmin Le Bodo : en à peine 48 heures, la presse révèle trois scandales autour de ministres toutes issues de la macronie.
Sabrina Agresti-Roubache apporte donc du crédit à l’idée que cette macronie n’est plus qu’une association de malfaiteurs bien-pensants. Car elle aurait également domicilié l’une de ses sociétés, lorsqu'elle travaillait dans l’audiovisuel, chez un Corse condamné dans l’affaire du cercle de jeux Wagram.
Emmanuel Macron ne parvient plus à attirer à lui des ministres compétents, exemplaires et irréprochables. Ce gouvernement est miné par de trop nombreuses affaires, qui vont jusqu'à la consommation de produits stupéfiants dans ses cabinets.
La France décadente, en faillite et ensauvagée, poursuit sa marche vers son effondrement politique et moral.

29 mai 2023

GOLIATH

Marc Amblard

Hier soir, j'ai vu un excellent film français. Le sujet, tiré de faits réels (tu m'étonnes), porte sur l'industrie agro-chimique. Plus précisément, l'usage d'engrais qui accroit les rendements agricoles mais également les effets nocifs sur la nature et la santé avec une élévation sensible des cancers dans les zones concernées.
On assiste alors à la collusion coupable entre les dirigeants et actionnaires d'une multinationale et des ministres en fonction pour faire agréer l'engrais par Bruxelles.
En face, la contestation s'organise et les témoignages défavorables se répandent sur les médias parallèles.
La compagnie réplique alors à force de millions d'euros pour financer des lobbyistes, des études scientifiques et acheter des experts qui défilent sur les plateaux TV pour défendre le caractère inoffensif du bazar (...).
Elle investit également des sommes importantes pour recourir à la pratique du trolling et shadow banning sur les réseaux sociaux afin de discréditer tous les "complotistes" (y compris des victimes) qui contestent le discours officiel.
C'est bizarre, le film est récent et je l'ai visionné pour la première fois. C'est certain. Pourtant, j'ai eu constamment la sensation de l'avoir déjà vu... Allez comprendre.


23 janvier 2023

L'UE éveille de multiples soupçons

Yann Bizien

Le scandale lié aux ingérences du Maroc et du Qatar au sein des institutions européennes n’a pas encore livré tous ses secrets. Mais il a déjà mis en évidence la fragilité du Parlement et de la Commission vis-à-vis des opérations d’influences étrangères. Les eurodéputés ont pris l’habitude de fonctionner en vase clos, sans contrôle, pour traiter le problème des dérives en lieu sûr, derrière le rideau. Nombre d’entre-eux n’auraient d'ailleurs pas déclaré des petits cadeaux et des voyages offerts par des pays extérieurs à l’Union européenne. L'UE éveille désormais de multiples soupçons. L’ampleur du problème était pourtant connue des plus éclairés. La confiance des peuples européens dans Bruxelles et Strasbourg n’était pas si élevée. Elle est en train de s’effondrer devant la naïveté confondante et la légèreté coupable des mis en cause pour corruption.


22 janvier 2023

Du gaz qatari à défaut de gaz russe ?

Radu Portocala

Pour se libérer de l’emprise du gaz russe, pour ne plus « faire couler du sang ukrainien dans les radiateurs », comme l’a dit l’un de nos nombreux génies, une partie de l’Europe est allée acheter du gaz au Qatar. C’est-à-dire du gaz démocratique.
Cependant, des députés européens malveillants ont découvert que le Qatar a approvisionné en argent liquide, par sacs entiers, d’autres députés européens, plutôt socialistes et éminemment moralisateurs, afin qu’ils plaident en sa faveur dans diverses occasions.
Ainsi est né ce que la presse a appelé le Qatargate. Les méchants voulaient une enquête, l’espéraient, l’annonçaient même. Des révélations scandaleuses étaient attendues. Mais tout cela, comme on pouvait s’y attendre, a énervé le Qatar. Qui a fait savoir que si l’Union européenne continuait avec ces bagatelles, les livraisons de gaz allaient s’arrêter.
Nous voilà, donc, devant un dilemme plutôt cocasse : soit nous reconnaissons qu’un choix imbécile a été fait, et nous laissons la justice suivre son cours en nous privant de gaz ; soit nous arrêtons recherches et poursuites et continuons à acheter le gaz qatari, acceptant ainsi la victoire du chantage et l’impunité de la corruption. Ce serait être immoral au nom de la morale. Une posture qui ne peut en rien gêner les bureaucrates de Bruxelles et d’ailleurs.

18 décembre 2022

Scandale de corruption au Parlement européen

Michèle Rivasi

TRANSPARENCE | Alors qu’intervient le plus grave scandale de corruption au Parlement européen, je viens d'interpeller, avec sept autres députés verts, la commissaire chargée de la transparence au sujet des activités commerciales d'Heiko von der Leyen, mari de la présidente de la Commission européenne.
La firme de biotechnologie américaine Orgenesis, dont M. von der Leyen est le directeur scientifique, aurait perçu plusieurs millions d'euros du programme de recherche européenne "Horizon" et du plan de relance de l'UE, via ses filiales en Europe.

Ses activités sont-elles compatibles avec le rôle institutionnel de son épouse ? Les questions des citoyens européens et de leurs représentants sur d'éventuels conflits d’intérêts sont légitimes. Y apporter des réponses crédibles est nécessaire.
 
J'appelle également la commissaire à réviser la directive européenne sur la transparence et à créer rapidement un organe d'éthique européen indépendant, doté de pouvoir d'enquête et de sanction, et qui appliquera les règles dans toutes les institutions de l’Union européenne.

17 décembre 2022

Corrompus et corrupteurs

Jacques COTTA

La coupe du monde de foot, coupe du monde de la honte, se ter­mine de façon bien morose. Sur le simple plan foot­bal­lis­ti­que, la fête pro­mise n’a pas eu lieu. Les vedet­tes du ballon rond, trans­for­mées en mar­chan­di­ses, apa­tri­des mil­lion­nai­res dis­per­sés aux quatre coins de la pla­nète, n’ont pas été capa­bles de donner à leur équipe natio­nale, virées très vite de la com­pé­ti­tion, le succès escompté. Sur le plan popu­laire, l’engoue­ment appelé de toute leur force par les com­men­ta­teurs de tout bord n’a pas été au rendez vous, les ras­sem­ble­ments notam­ment sur les champs-Elysées pour l’équipe de France n’ayant pas grand chose de commun avec ceux qui accom­pa­gnaient la vic­toire de 1998.

Point de vue spor­tif donc, et poli­ti­que pour l’usage qui devait en être fait, cette coupe du monde n’est pas au rendez-vous.

Mais il y a plus !

Alors que le scé­na­rio écrit devait atti­rer tous les regards vers Doha, lieu sou­dain pré­senté comme "festif", "ouvert", "démo­cra­ti­que", c’est vers Bruxelles que les regards se sont diri­gés.

Eva Kaili, député grec­que, vice pré­si­dente du par­le­ment euro­péen, a été inculpées et écrouées, diman­che 11 décem­bre, dans une enquête por­tant sur des soup­çons de cor­rup­tion en lien avec le Qatar, pour « appar­te­nance à une orga­ni­sa­tion cri­mi­nelle, blan­chi­ment d’argent et cor­rup­tion ».

A l’issue d’une quin­zaine de per­qui­si­tions à Bruxelles, six autres sus­pects ont été également inter­pel­lés dont l’ex-euro­dé­puté ita­lien Pier-Antonio Panzeri et le secré­taire géné­ral de la Confédération syn­di­cale inter­na­tio­nale Luca Visentini. Selon la presse belge, le propre père d’Eva Kaili a été inquiété dans l’enquête, sur­pris en train de trans­por­ter des paquets de billets « dans une valise ».

La séquence est digne des films de gang­sters de série B.

Des cen­tai­nes de mil­liers d’euros en liquide trans­por­tés dans des sacs ont été saisis. Députés euro­péens d’une part, émirat du Qatar de l’autre sont donc les prin­ci­paux pro­ta­go­nis­tes de cette aven­ture qui a éclaté à la veille des demi-fina­les de foot, venant donner un nouvel éclairage de la fête Qatarie.

Mais pour­quoi donc une telle débau­che d’énergie finan­cière ?

Le Qatar dési­rait avec l’orga­ni­sa­tion de la coupe du monde affi­cher une image de res­pec­ta­bi­lité, de faste, de luxe, de pou­voir. Il vou­lait ainsi gommer ses rela­tions inces­tueu­ses avec des grou­pes ter­ro­ris­tes notam­ment. Il avait l’ambi­tion d’étendre ses rela­tions dans des buts poli­ti­ques, mais également finan­ciers, notam­ment avec l’Europe où l’Emir, sa famille et son entou­rage pos­sè­dent des parts de plus en plus impor­tan­tes du patri­moine immo­bi­lier et indus­triel, comme cela est le cas en France où les avoirs Qataris se sont mul­ti­pliés depuis la pré­si­dence Sarkozy.

Mais la coupe du monde ne suf­fi­sait pas.

Avec la cor­rup­tion ins­tal­lée au sein des ins­ti­tu­tions euro­péen­nes, le Qatar dési­rait s’assu­rer la bien­veillance des élus euro­péens, dont la vice pré­si­dente du par­le­ment qui début novem­bre s’était rendue à Doha où elle avait salué en pré­sence du minis­tre Qatari du Travail « les réfor­mes de l’émirat dans ce sec­teur ».

« Le Qatar est un chef de file en matière de droits du tra­vail », avait ainsi affirmé Eva Kaili le 22 novem­bre à la tri­bune du Parlement euro­péen, pas­sant par pertes et pro­fits la vie de plus de 6000 ouvriers morts dans la cons­truc­tion de stades réfri­gé­rés en plein désert. Des paro­les qui n’avaient pas sus­cité de levée par­ti­cu­lière de bou­cliers.

Il s’agis­sait en réa­lité pour ces élus euro­péens non seu­le­ment de camou­fler les condi­tions d’escla­vage dans les­quel­les la coupe du monde a été montée avec l’assen­ti­ment géné­ral, mais d’affir­mer que tout compte fait les rela­tions socia­les au Qatar pou­vaient être un modèle. Ni plus, ni moins !

Des dépu­tés euro­péens au plus haut niveau ont donc mon­trés qu’ils étaient cor­rom­pus. Certains sont donc incar­cé­rés.

Mais qu’en est-il des cor­rup­teurs ?

Ce sont les auto­ri­tés Qataries qui en toute logi­que devraient être mises au ban de la société. À défaut, la réac­tion judi­ciaire risque de n’être qu’un leurre qui vise à éteindre l’incen­die avant qu’il n’embrase l’ensem­ble de la com­mu­nauté poli­ti­que inter­na­tio­nale.

Enfin, qui dit cor­rom­pus et cor­rup­teur doit s’inter­ro­ger sur les com­pli­ci­tés qui per­met­tent à un tel pacte de cor­rup­tion de voir le jour…

Les com­pli­ci­tés ?

La liste est sans doute longue, et en tout bien tout hon­neur. Il serait bon de balayer devant notre porte ...

16 décembre 2022

100 000 euros pour des vacances

Vincent Verschoore

Chez les Panzeri ça charie pas qu'un peu ! 1,5 millions chez Monsieur (député européen), 100 000 pour partir en vacances avec Madame et leur fille, toutes deux arrêtées en Italie.
Eva Kaili n'est pas seule, on le savait bien, et le Qatar n'est pas seul non plus. Le Maroc n'a pas perdu qu'au foot, mais ici en échange de quoi ?
Le Parlement européen s'émeut et demande une charte de transparence. La Commission grimace, et nous on rigole. Depuis le temps que ça dure...
La corruption est une industrie aussi ancienne que florissante, on la trouve dans les coulisses de tous les lieux de pouvoir car le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
C'est pour cela qu'il faut surveiller les gens qui en ont beaucoup (trop), comme Macron (Alstom...) et von der Leyen (Pfizer...).



14 septembre 2022

L’Union européenne, une dictature ?

François Asselineau

NOUVEAU NARRATIF

Selon Le Figaro, les crises auraient « renforcé » von der Leyen et son mandat pourrait aller jusqu'en 2029.
Ce narratif promeut cette femme corrompue et vaniteuse parce qu'elle est soumise aux États-Unis, à l’Ukraine et à Pfizer.

LES FRANÇAIS N'ONT PAS LEUR MOT À DIRE !

L’Union européenne est très exactement une DICTATURE

• dirigeants imposés et non élus
• cooptés par un gang de type mafieux
• menteurs
• corrompus
• servant exclusivement les intérêts des milliardaires qui les soudoient
• imposant une censure médiatique féroce
• poussant sciemment à la guerre