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29 mai 2024

Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA

11 mai 2024

Marc Amblard

La lecture développe l'esprit d'analyse et renforce le sens critique. Elle élève l'âme.
Enfin, normalement...

12 décembre 2023

Marc Amblard

LE COVIDISME EST UNE MALADIE PSYCHIATRIQUE (COMME LA BIPOLARITÉ OU LA SCHIZOPHRÉNIE)

Elle s'apparente à un trouble obsessionnel par lequel le sujet est convaincu de la présence d'un virus mortel. L'autre est de facto identifié comme une menace en tant que porteur du danger.
Les études scientifiques, les statistiques de mortalité... ne sont d'aucune utilité, l'individu étant dans l'incapacité pathologique d'accéder à la raison.
Soyons compréhensifs et compatissants (je sais c'est difficile. Très difficile...).

26 novembre 2023

France-Soir

"Médecins de plateau" : Le Syndicat Liberté Santé porte plainte contre Gilbert Deray

Publié le 22 novembre 2023 - 11:55

Gilbert Deray, chef du service néphrologie de l'hôpital La Pitié-Salpêtrière (AP-HP). BFMTV

Après André Grimaldi et Karine Lacombe, c'est au tour de Gilbert Deray d'être visé par le Syndicat Liberté Santé (SLS), lancé dans une série de plaintes judiciaires contre les "médecins de plateaux". Prophète de la vaccination obligatoire et du passe sanitaire, il est donc le troisième des "neuf bonimenteurs".

En 2021, le chef du service néphrologie de l'hôpital La Pitié-Salpêtrière est sorti de l'ombre pour prendre place sur les plateaux télévisés. Et il y a dit bien des choses.

Dès juillet 2021, alors que la France faisait déjà face à la quatrième vague de Covid-19, il n'a pas hésité à comparer les anti-vaccin avec des "criminels". Déjà, il parlait d'un "vaccin sûr et incroyablement efficace". Durant le même mois, il publiait une tribune dans le JDD, dans laquelle il écrivait : "Ces anti-vaccins s'imaginent en De Gaulle, Jean Moulin ou Nelson Mandela, ils ne sont que des tristes clowns, des profiteurs de la guerre." Et d'ajouter : "Minables mais dangereux, car ils minent la confiance et créent la suspicion et le désordre." Pour conclure : "Et ce qui me réchauffent le cœur et l'âme, ce sont ces dizaines de millions de Français qui parce qu'ils ont confiance en la médecine et le sens de l'intérêt de la nation sont déjà vaccinés." Pour lui, l'appel à la résistance, c'était ça.

Début 2022, prenant cette fois la position de soignant, il tentait de nuancer : "En fait, ce n'est pas de la colère qu'on a d'abord, c'est de la peine."

Tout le monde ne l'a pas oublié. Si bien qu'aujourd'hui, le SLS porte plainte auprès de l'Ordre des médecins pour les motifs suivants :
Abus de crédulité publique et pratique de charlatanisme ;
Défaut aggravé de mesure et de prudence et non respect de l’obligation de délivrer une information médicale loyale et honnête dans son expression publique ;
Défaut de mise à jour de ses connaissances avant expression publique ;
Non déclaration de ses liens d’intérêt dans le cadre de son expression publique ;
Discrimination et manque de confraternité portant atteinte à l’honneur et à la probité de la profession.

Selon leur communiqué, les prises de paroles de Gilbert Deray ont "participé à la création et au maintien d’un climat de peur sur les Français, et ont ainsi vicié leur consentement libre et éclairé".

Enfin, le SLS explique que "cette procédure ordinale a pour but de défendre l’honneur de la profession et d’empêcher le Professeur Deray de nuire à la santé de millions de Français, en lui rappelant le Serment qu’elle a prêté."

12 octobre 2023

Ces faux mous

Jonathan Sturel

Pendant le covid, j'ai vu des gens que je croyais raisonnables devenir d'implacables tyrans capables d'aller jusqu'à suggérer qu'on ne prenne plus en charge les non-vaccinés dans les hôpitaux, après avoir soutenu les mesures qui en faisaient des sous-citoyens.
Pendant la guerre en Ukraine, j'ai vu ces mêmes gens proposer d'emmener l'Europe dans un conflit nucléaire contre la Russie, après nous avoir chanté les louanges de la paix éternelle pendant 50 ans.
Depuis trois jours de guerre en Israël, toujours les mêmes gens, emportés par l'euphorie du moment qui désinhibe les pulsions sauvages, se laissent maintenant emporter par les discours va-t-en-guerre au point qu'un Pascal Praud, sur l'antenne d'Europe 1, a déclaré ne pas condamner le bombardement de populations civiles dans les territoires palestiniens.
Ces gens, c'est l'extrême-centre, les gens biens, les démocrates, les amis de l'État de droit qui nous prennent de haut toute l'année dès qu'on dit un mot plus haut que l'autre et nous rappellent qu'il faut être tolérants, respectueux, raisonnables.
Ces faux mous se transforment en fous et je dis même en fous dangereux & sanguinaires dès que la situation se tend quelque part. Leur tempérance de façade est un masque social derrière lequel grouillent, horribles et effrayantes, les pires pulsions de mort, les pires tentations totalitaires, la pire, la vraie, la seule intolérance décomplexée qui assume de s'affranchir de toutes les retenues qui font les hommes civilisés.
L'époque est mûre pour ressusciter les temps barbares et la dévastation. Avaient-ils vraiment disparu d'ailleurs ?

https://t.me/JonathanSturel

20 août 2023

ORDRE DES MÉDECINS, LE VENT TOURNE ?

[BAM]

Rebondissement judiciaire

Pour la 1ère fois* depuis 2020 en Europe, un médecin harcelé par un Ordre covidiste, renverse la situation. Conséquences possibles :

• JURISPRUDENCE favorable aux médecins proscrits et aux scientifiques diffamés ;
• Opportunité pour eux de CONTRE-ATTAQUER en justice.

Interview du Dr. BENOÎT OCHS**, médecin au Luxembourg, par Michel Caulea.

* Les précédentes attaques lancées par un Ordre de médecins ont été au mieux neutralisées (p.e. Pr. CHRISTIAN PERRONNE "blanchi").

Maintenant, pour la 1ère fois, grâce à une décision de justice, les poursuivants peuvent se retrouver poursuivis !

** L'avocat du Dr. OCHS est Maître DI VIZIO.


19 juin 2023

Covidistes

Marc Amblard

Quand le journaliste Gérard Leclerc, ardent défenseur du passeport sanitaire et des mesures liberticides, passe pour un gros imbécile dépourvu d'argument, face au bon sens de Pascal Praud.
Plus le temps passe et plus la folie du culte covidien affiche ses contradictions et son insanité. Lâcheté, couardise, compromission... la face sombre d'une partie de la population se fait jour et ce n'est pas joli.
Pour ma part, je n'hésiterai pas à mettre le doigt dessus aussi souvent que l'occasion m'en sera donnée.
Et si vous pensez que cette affaire est terminée, vous vous trompez : pas plus tard qu'hier, l'OMS a signé un partenariat avec l'Union européenne pour mettre en place un pass sanitaire mondial...

https://www.facebook.com/100000421945599/videos/2641765795966087/

20 mai 2023

Jonathan Sturel

Pour se moquer de ceux qu'ils appellent «les antivax», les triples-dosés s'amusent aujourd'hui à leur demander avec une ironie moqueuse «où sont les centaines de milliers de morts du vaccin» qu'ils annonçaient. C'est leur façon de se rassurer et de continuer à s'entretenir dans l'idée qu'ils ont eu raison, eux, de courir au centre de vaccination chaque fois que Véran jouait de son sifflet.
La question qu'ils n'aiment pas qu'on leur pose cependant, c'est : où sont les montagnes de cadavres de non-vaccinés que EUX nous annonçaient ? Où sont les cimetières d'antivax et les charniers de complotistes ? Où sont les villes fantômes jadis habitées par les anti-passe ?
Ce n'est même pas une question provocatrice pour simplement répondre au sarcasme par le sarcasme : c'est une véritable question scientifique adressée à des gens qui ont réellement annoncé l'apocalypse aux non-vaccinés, au nom de la science derrière laquelle ils prétendaient s'être rationnellement rangés.
Alors ?

3 mai 2023

Vincent Verschoore

Moment difficile pour les covido-fascistes et leurs relais médiatiques, politiques, médicaux et institutionnels : la réintégration des non vaccinés covid (car vaccinés pour tout le reste) est un peu le clou final dans le cercueil de leur crédibilité.
Tant de corruption, tant de propagande, tant de mensonges et de mauvaise foi, pour en arriver là !
« Ainsi, [le Dr Mathias Wargon], devenu dans les médias l'un des fers de lance de la promotion du vaccin face aux doutes des récalcitrants », comme l’écrit Le Figaro, confie à RMC : « On a porté la campagne de vaccination, on s'est pris des seaux de matière fécale – pour être poli – sur la tête, sans grand soutien du gouvernement, [...] et d'un seul coup, on nous dit même pas merci et, finalement, on va les réintégrer, [...] on lâche, quoi. »
« On est profondément écœurés, et c'est un sentiment collectif ! » ajoute, de son côté, le Dr Jérôme Marty.
Pour ces propagandistes de Big Pharma, les notions de bénéfice-risque, de choix personnel, de taux astronomique d'effets indésirables (pour une vaccination en population générale face à une maladie non létale pour la majorité des gens) n'existent pas.
Pire, ils sont la cause d'une grande perte de confiance de la population envers l'institution dite de santé. Au fur et à mesure que sortent les différents aspects du scandale, les gens de bonne foi se rendent compte de l'ampleur de la manipulation.
C'est eux qui devraient être suspendus, à un rail de chemin de fer, et recouverts de goudron et de plumes.

5 avril 2023

Le nuage secondaire, arrêté à la frontière

Gilles La Carbona

La science, du moins, les actionnaires de la médecine moderne, n’en finissent pas de nous étonner. Songez donc, il y a moins de trois ans, les médecins de plateau subventionnés venaient nous vanter les méfaits de la chloroquine et de l’ivermectine, tandis qu’ils acclamaient les vertus du masque, du confinement et des vaccins ARN. Ils allaient même jusqu’à nous expliquer que si on était tous vaccinés, la vie serait plus belle, nous ne transmettrions pas la maladie, surtout, nous éviterions les formes graves d’un variant qui n’en faisait déjà plus. Et si par malheur nous n’avions aucun symptôme, on devait rester prudent, car on était quand même malade sans le savoir.

Pauvres ignorants que nous étions, nous ne pouvions que nous incliner devant tant d’habiles démonstrations et boire les paroles de ces érudits. Bien entendu, il y avait quelques rebelles pour contester la validité de ses allégations télévisées ; hérétiques, impénitents et complotistes, qui furent brûlés sur les bûchers médiatiques allumés un peu partout, sur les chaînes subventionnées. Comme si ce n’était pas suffisant, ils furent aussi l’objet d’un lynchage en règle en direct, puis finirent par ne plus être invités, tant leurs discours étaient faussés par une vision totalement à l’opposé des Saintes Écritures, appelées maintenant « narratifs » et qu’à France Info, par exemple, on s’engage à ne point contredire.

Depuis, bien évidemment, sont apparus ce que ces crétins de révoltés alarmistes criaient haut et fort : des effets secondaires terribles. Certes ils sont quasiment absents en France, mais on a eu peur. Nous sommes, comme toujours, le pays où les mauvais nuages s’arrêtent à la frontière et il en va de même pour les effets secondaires. L’exception française est bien là.

Voilà que l’OMS dévoile une augmentation brutale et surtout, totalement inexpliquée, de la mortalité mondiale. 23,6 millions de décès supplémentaires, soit plus que toute la 1ère guerre mondiale, mais en moins de temps. La médecine nous surprend une fois de plus. Hier si sûre et aujourd’hui incapable de nous dire pourquoi tant de gens meurent, surtout de crises cardiaques, et également de cancers foudroyants. Les médecins seraient-ils embarrassés pour trouver une explication plausible ? Les plus hardis ont déjà avancé que c’était le réchauffement climatique, qui subitement, rendrait nos organismes beaucoup plus sensibles, et nos petits cœurs n’y résisteraient pas. D’autres, que c’était la pollution environnante. Mais c’est un peu court, d’autant que le réchauffement et la pollution n’ont pas fait de bonds spectaculaires, avaient même reculé pendant l’épisode des confinements. Rappelons d’abord que l’homme est la seule espèce à s’être adaptée sous tous les climats, mêmes les plus rudes, il n’y a pas de raison qu’il ne parvienne pas à surmonter quelques degrés de plus l’été.

On peut aisément donner une piste de réflexion à nos médecins. Quel événement a été reproduit à grande échelle dans l’ensemble des pays touchés par cette surmortalité ? Ils devraient finir par trouver le pourquoi de ces morts qui ne cessent de s’accumuler. Pour les aider un peu plus, reprenons ici les conclusions du Dr Thomas Levy, qui déclare qu’au moins 7 millions d’Américains ont aujourd’hui le cœur endommagé par les « vaccins », et de poursuivre que ce chiffre pourrait monter jusqu’à 100 millions, toutes lésions cardiaques confondues. La BBC a même lancé un appel à toutes les victimes d’effets secondaires de se manifester auprès d’elle. Des États, nombreux, commencent à dédommager les personnes souffrant de ces bénéfiques effets secondaires, présentés comme le nécessaire risque à prendre pour éviter l’hécatombe due à une maladie qui, au plus fort du pic, ne représentait que 5% des réanimations. La Bavière a mis en place un numéro vert, pour recenser les éventuels effets secondaires des vaccins : le standard a explosé dès le premier jour.

Si avec tout cela il y a encore un doute sur l’inexplicable mortalité, savamment orchestrée… Pourra-t-on dire que tous les médecins savaient dès le début, qu’ils participaient à ce qui ressemble de plus en plus à une expérimentation foireuse, si ce n’est à un génocide ?

Dernière information, l’OMS vient de recommander aux jeunes en bonne santé de ne pas se faire vacciner. Cette annonce devrait faire du bruit, alors qu’on a interdit de pratique sportive les athlètes non-vaccinés. Plus aucun spécialiste, rémunéré par les laboratoires, ne vient ergoter à la télévision sur la nécessité de se faire vacciner et le livre d’Henrion Caude, ex-pestiférée du PAF, cartonne, au grand dam de Cymès, dernier des Mohicans, qui n’a pas vu la roue tourner. Le nuage devrait passer tout de même la frontière française et les explications commencer, ici aussi.

22 février 2023

Le Dr Amine Umlil révoqué de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion (CNG)

Vincent Verschoore

La volonté institutionnelle visant à casser le Dr Amine Umlil, qui avait osé témoigner (en mai 2022) devant une commission du Sénat sur les graves dérives de l'entreprise covidiste, illustre la corruption profonde de ce milieu dit de la "santé", qui tente encore de faire taire ses critiques par la violence.
« Ils me reprochent d’avoir manqué à mon obligation de réserve et de neutralité. Or, tous les articles du Code de santé publique – même le magistrat l’a admis le jour du conseil de discipline – expliquent que je ne suis pas tenu au devoir de réserve comme je ne suis pas fonctionnaire. » Ce samedi 4 février, le Dr Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, a été notifié de la révocation de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion, l’autorité administrative des praticiens hospitaliers. Une décision qui fait suite à sa comparution le 12 janvier devant le conseil de discipline du CNG pour répondre de ses critiques émises à l’endroit de la politique sanitaire du gouvernement lors de la crise du Covid-19.

Cependant,

« Dans un communiqué de presse en date du 6 février, l'Association médicale de défense de la déontologie et des droits des malades (AMDDDM) a souhaité apporter son soutien au Dr Amine Umlil, révoqué de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion (CNG). "Comment est-il possible qu’un praticien hospitalier, convoqué par le Sénat du fait de son expertise reconnue en pharmacovigilance et en droit de la santé, dans le cadre d’une enquête menée par l’OPESCT (…) puisse subir un quelconque préjudice pour avoir accepté de répondre, sous serment, aux questions qui lui étaient posées par les parlementaires ?", s’insurge le collectif après avoir appris la nouvelle de la sanction dont il dénonce le caractère "sévère", "expéditif" et "arbitraire". »
(Source : FranceSoir)

Le Dr Umlil prépare son appel. Espérons que les crapules du CNG, qui représentent surtout les "médecins" corrompus qui se sont fait payer 900 euros par jour pour faire de l'abattage "vaccinal" au mépris des principes médicaux et éthiques les plus élémentaires, en prendront plein la gueule.

24 novembre 2022

Momotchi

Certains pensent que c'est anodin que Musk parle de restaurer les comptes suspendus. Pour moi c'est capital.
Cela fait plus de 2 ans que j'écris sur le Covid, qu'on a montré les incohérences, les études foireuses et les chiffres pipeautés des médias. Plus de 2 ans que je parle aussi de la monnaie numérique, de son lien avec l'identité numérique, et de leur cheval de Troie des passeports Covid – (d'ailleurs c'est marrant parce que certains viennent m'expliquer en mode « mais tu ne sais pas que »).
Honnêtement, au niveau de l'info, on n'a plus vraiment à apprendre grand-chose de « nouveau ». On sait maintenant le principal, que les vaccins ont des effets secondaires, chaque jour des études montrent leurs problèmes, on sait que les fact-checkers sont des vendus, que les vaccins n'empêchent pas la transmission, que l'HCQ/azi ou ivermectine marchent, etc. On sait qu'il y aura une suite, mais on a compris comment les médias fonctionnent. Leur jouet est cassé.
On est dans une phase où il faut simplement répéter le message jusqu'à ce que ça se sache, tout comme les médias répètent pour endormir.
Beaucoup qui faisaient le même boulot que moi sont tombés. Soit par fatigue, soit dénoncés en masse par des fermes à bots/trolls/censeurs. On a perdu beaucoup de forces.
Mais c'est précisément le moment où il faut appuyer, insister sur tous les mensonges et crimes du Covid.
Si on a un retour en masse des comptes suspendus, petits et gros comptes, alors que les fact-checkers reculent, je ne sais pas pour vous, mais ça me redonnerait une énergie phénoménale.
Et c'est exactement ce que les fact-checkers, covidistes, globalistes et autres potes du WorldEconomicForum craignent.
Ceci est une guerre d'information avant tout.

9 novembre 2022

Amnistier les covidistes ? Et puis quoi encore ?

H16

The Atlantic, vénérable mensuel fondé au XIXème siècle, a récemment fait paraître un article d’Emily Oster qui a largement défrayé la chronique : dans “Let’s declare a pandemic amnestie” (“Déclarons une amnistie pour la pandémie”), l’auteur tente d’aligner quelques arguments en faveur d’un pardon général pour tous ceux qui, pendant la pandémie, ont pris les décisions y compris les plus farfelues au motif essentiel que chacun a cru faire du mieux qu’il a pu avec le peu d’informations dont il disposait.

L’article, sobrement chapeauté par “Nous devons nous pardonner mutuellement pour ce que nous avons fait et dit lorsque nous n’étions pas au courant de l’existence du COVID”, a été légèrement remanié à mesure que les réactions (virulentes) s’accumulaient sur les réseaux, par un nouveau chapeau un tantinet moins polémique : “Concentrons-nous sur l’avenir, et réglons les problèmes qui restent à résoudre.”


Certes, les problèmes qui restent à résoudre sont nombreux mais il n’en reste pas moins que proposer une telle amnistie est particulièrement osé et fait la démonstration d’un aplomb dont seuls les imbéciles et les hypocrites peuvent disposer dans les circonstances actuelles.

À ce titre et sans surprise, l’article a reçu un accueil virulent de tous ceux qui ont tenté, pendant toute cette période, de rouvrir les débats violemment fermés par les médias de grand chemin, les experts de plateau télé, les journalistes et autres fact-checkeurs stipendiés directement ou indirectement par le pouvoir.

Essentiellement, la proposition d’Oster d’une amnistie repose sur le peu d’informations dont on disposait au début de la pandémie lorsque la plupart des mesures ont été prises, mais cette affirmation n’est vraiment pas soutenue par les faits.

Bien avant mars 2020, on savait que les confinements ne serviraient à rien, et lorsqu’ils furent mis en place, la Suède a amplement montré qu’ils étaient inutiles. Ils n’ont pour autant pas été interrompus. Pire, ils ont été remis, plusieurs fois. Est-il utile de revenir sur la quantité de misère économique et humaine qu’ils ont provoqués ? Est-il nécessaire, pour bien comprendre toute la cruauté de ces mesures, de revenir sur toutes les abominations qui furent leur résultante directe, depuis l’ostracisation des personnes âgées jusqu’au suicide des jeunes et des enfants, en passant par le réveil des instincts (délateurs) les plus vils de beaucoup trop de nos concitoyens ?

De la même façon, on savait dès la publication des études chiffrées de Pfizer (dans les tous premiers mois de 2021) que les vaccins n’empêcheraient pas la transmission. La dynamique des contaminations dans les mois suivants a largement confirmé cette information mais n’a en rien arrêté les gouvernements et les hystériques de plateaux-télé de réclamer et d’obtenir d’infâmantes obligations vaccinales plus ou moins coercitives. Est-il là encore nécessaire de revenir sur ce qu’ont entraîné ces coercitions immondes et parfaitement contraires aux droits fondamentaux ?


Pire : actuellement, on trouve encore de fébriles pisse-copies décidés à stigmatiser encore ceux qui s’opposent à la vaccination, et cette stigmatisation s’étend bien au-delà du monde médiatique. Pour rappel, les personnels soignants n’ont toujours pas été réintégrés en France. Perseverare diabolicum.

Devant ces éléments, on doit se demander si l’apparition d’un tel article (dont la viralité n’est plus à faire tant il a été commenté récemment) ne fait pas partie d’une tentative de certains pour “tester les consciences” : demander une amnistie revient à admettre, au moins en creux, une certaine forme de culpabilité et cet article ressemble fort à une sorte de sondage d’opinion pour voir s’il n’est pas encore trop tôt pour une telle demande.

Il n’est pas invraisemblable d’imaginer que certains ont commencé à comprendre que leurs opinions et agissements passés allaient progressivement leur revenir dans la figure avec violence et il faut admettre que la situation est quelque peu différente de ces politiciens, journalistes et autres experts autoproclamés lorsqu’ils nous baratinent sur le climat : alors que les prédictions catastrophistes sont toujours précautionneusement placées plusieurs années (ou décennies) dans le futur, les dégâts humains, sociaux, politiques et économiques causés par les mesures coercitives liées à la pandémie sont déjà palpables et quantifiables actuellement, et la facture, fort salée, s’allonge à chaque minute qui passe.

Des comptes seront demandés et ce bien avant que les responsables n’aient eu le temps de se retirer sagement loin des affaires publiques.


Cette demande est donc plus qu’audacieuse : elle cache mal une tentative de camouflage d’une des pires périodes de déprivations de liberté en Occident. Cette demande d’amnistie (et celles qui ne manqueront pas de suivre) n’aurait jamais été nécessaire si les politiciens, les journalistes et les experts de connivence ne s’étaient pas relayés pour forcer leurs comportements, leurs opinions et leurs lubies sur tous les autres.

Alors oui, proposer une telle amnistie ne manque ni de culot, ni d’un certain cynisme, mais c’est en outre fort dangereux.

On ne peut en effet s’empêcher de faire le rapprochement avec d’autres périodes (vraiment) sombres de l’Histoire où l’amnistie n’aurait jamais pu être réclamée.

On ne peut s’empêcher de se rappeler que lorsqu’elle fut mise en place, notamment pour les communistes à la fin du régime soviétique dans les pays d’Europe de l’Est, elle n’a en rien permis de purger ces pays des gangrènes communistes qui y sévissaient alors. Pire : certains de ceux qui en ont alors bénéficié ont pu continuer à prospérer au point de se retrouver dans les petits papiers des grandes fortunes du moment (voire d’en devenir eux-mêmes).

Il ne doit pas y avoir d’amnistie.

Il faudra clairement renvoyer chacun des acteurs de ces drames à leurs responsabilités respectives pour qu’ils soient correctement jugés et sanctionnés à hauteur de leur implication. Ceci sera une étape indispensable de l’analyse complète de ce qui s’est passé, et un passage obligé pour que ne se reproduisent pas les dérives abjectes dont beaucoup trop furent les victimes.

Et surtout parce que l’explication “Nous ne savions pas, nous ne faisions que suivre les ordres” ne suffira vraiment pas.