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24 novembre 2023

La mort vous va si bien

H16

24/11/2023 - Horreur et désespoir : alors que la France continue toujours de croire que son système de santé est le meilleur du monde, on apprend que certains hôpitaux traversent quelques difficultés qui laissent penser que tout ne serait pas si rose dans le meilleur des mondes. Pire : le CHU de Rangueil à Toulouse déborde de cadavres !

Certes, dit ainsi, cela est un peu alarmant mais rassurez-vous : la situation est sous contrôle puisque la direction, ne reculant devant aucune solution temporaire, a fait installer quelques équipements frigorifiques sur le parking de l’hôpital et, à condition de tasser un peu les cadavres ici ou là, c’est bon, ça tient.

Cependant que le Tétris macabre continue à Toulouse, notons que les solutions post-mortem se multiplient du côté post-moderne puisqu’on propose maintenant de faire composter son cadavre : grâce à ce qu’on pourrait appeler le compost-mortem, le cadavre n’occupe plus autant de place (bonne chose pour Toulouse) et, bonus écologique évident, permet d’aller alimenter des arbres ou même (pourquoi pas ?) un potager en sels minéraux, oligo-éléments et micro-plastiques aussi, si l’on s’en tient aux rumeurs écoconscientes.

En attendant qu’un champ bien meuble soit ménagé derrière l’hôpital toulousain, les autorités ont cependant prévu – de façon assez conformiste, on en conviendra – de simplement augmenter la capacité de la morgue de 32 à 80 corps, ce qui devrait aider.

On s’intéressera cependant aux raisons invoquées pour ce trop-plein qu’on espère passager : d’après la direction, il s’agit d’un problème essentiellement administratif, puisque le souci proviendrait essentiellement d’une “récente augmentation du nombre de corps 'indigents'”. En somme, la morgue déborderait parce que les procédures administratives sont trop nombreuses, trop complexes et prennent trop de temps.


Devant cette information, nul doute que le Français moyen ne pourra être qu’étonné, lui qui sait que toute l’administration française, faite à part égale d’efficacité et de diligence, ne pourrait tolérer une telle dérive. Et puis, cette explication en vaut une autre et permet de ne pas trop se pencher sur les chiffres généraux de la surmortalité en France qui sont, l’INSEE est formel, si normaux qu’ils se rangent dans la catégorie du “Circulez, il n’y a rien à frigorifier sur un parking”.

Dès lors, on regardera les assertions des compagnies d’assurance-vie d’un œil si ce n’est goguenard, au moins serein.

En charge de payer les contrats d’assurance lorsqu’un de leurs souscripteurs calanche, ces derniers semblent persuadés d’observer une surmortalité persistante. Déjà, l’année dernière, ils avaient expliqué la baisse de leurs bénéfices par un niveau record de sinistres en 2021, l’augmentation ayant été de 10,8% par rapport à l’année 2019, l’année 2020 (celle de la pandémie) montrant elle aussi une augmentation notable (de 15,4%). Pour 2022, l’accroissement des versements de primes semble moins fort mais reste, selon eux, à des niveaux étrangement élevés alors que la situation médicale mondiale est officiellement revenue à la normale.

De façon un peu plus inquiétante, c’est le taux de mortalité chez les jeunes adultes qui interpelle puisqu’il est en 2023 près de 20% au dessus de ce à quoi on peut s’attendre selon le CDC, avec notamment une augmentation de la mortalité cardiaque à tous les âges. Même si les causes liées au COVID ont diminué en 2022, d’autres ont augmenté, en particulier les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et les maladies rénales et hépatiques. Du reste, ceci se constate sur une large quantité de pays dont les données sont relativement fiables, comme le mentionne le Dr Campbell qui revient en détail sur ces chiffres pour l’Angleterre et d’autres pays de l’OCDE.

Charge aux autorités d’expliquer cette surmortalité élevée et ces coïncidences troublantes. Manifestement, le changement climatique fait des ravages et c’est là que le compost-mortem prend toute son importance, n’est-ce pas : au moins peut-on espérer sa faute carbonée à moitié pardonnée avec ce procédé écosensible.


Une autre solution peut d’ailleurs consister à en finir plus vite lorsqu’on sent son heure arriver (ou qu’on comprend à demi-mots les petits coups de pouce discrets des autorités).

C’est en tout cas ce que préconise le gouvernement canadien qui pousse actuellement l’euthanasie de toutes les façons possibles, en mettant en avant les nombreux effets bénéfiques qu’offre cette solution finale, depuis mettre un terme à des souffrances physiques ou psychologiques dans ce bas monde, jusqu’au désir de ne plus représenter une charge pour ses proches ou même pour la société.

Car oui, au contraire de la France et du CHU de Toulouse, le Canada n’a apparemment pas de problème de place dans ses morgues et se réjouit donc dès à présent de pouvoir y accueillir un nombre croissant de clients via un programme d’euthanasie bien rôdé qui, selon les petits calculs des administrations locales, permet de faire de nombreuses économies (jusqu’à 139 millions de dollars, m’ame Michu, pensez-y !)…

Et cela marche même si bien que ce procédé représente maintenant 4,1% des décès au Canada.


Bien sûr, le procédé peut paraître un peu abrupte pour les Occidentaux du Vieux Continent, mais gageons que la France saura à la fois saisir l’opportunité que représente cette innovation sociétale évidente, et l’adapter à nos coutumes et nos habitudes. En insistant par exemple sur le côté écologique (mais si !) et – idée Bercy – des avantages fiscaux en cas d’euthanasie programmée (afin d’éviter les engorgements des services administratifs concernés pendant les périodes de fortes demandes, typiquement avant les grandes vacances en été ou vers Noël, hein, n’est-ce pas), on sait que cette belle idée humaniste, progressiste et délicieusement économique s’implantera sans mal dans le pays.

En France, on le sait, il suffira d’un signe cerfa.


24 juin 2023

Ces coïncidences statistiques dont on ne veut surtout pas parler

H16

C’est avec un peu d’étonnement qu’on apprend dans une presse globalement discrète que, décidément et malgré tout, l’année 2022 aura vu s’installer une surmortalité de plusieurs dizaines de milliers de morts en France.

Voilà qui est peu commun : autant pour l’année 2020 et l’année 2021, on s’attendait à cette surmortalité évidemment causée par la pandémie dont furent si friands les médias pour remplir leurs colonnes et les politiciens pour remplir leurs poches et leurs agendas, autant pour 2022 qui n’a vu ni pandémie (officiellement terminée) ni événement catastrophique majeur, on pouvait s’attendre à un retour à la normale, à ce petit rythme pépère de 1700 morts quotidiens.

Las. Cela ne s’est pas passé du tout ainsi et c’est un peu étonnant qu’on en parle si peu, justement par contraste avec ces deux années précédentes où tous les médias nous tenaient en haleine avec un compte précis de chaque personne qui mourrait, et dont les plateaux télés se remplissaient de “sommités médicales” qui expliquaient, l’œil vibrant de terreur dès que les chiffres se plaçaient résolument au-dessus de ces 1700 morts quotidiens, que la situation était aussi grave que désespérée (ou quasiment).

Par comparaison, en 2022, on a donc constaté 147 morts de trop tous les jours (1849 observés au lieu des 1702 attendus, soit l’équivalent d’un crash de la Germanwings tous les jours) sans que personne ne s’en émeuve vraiment : pas de “sommité” l’œil tremblant, pas de carte bigarrée des régions en surmortalité évidente, pas de baromètre de la calanche ni de récapitulatif des clabotés.

Autre élément de surprise : zut et flûte, ces morts surnuméraires ne le sont pas à cause du COVID.

Sapristi ! S’agirait-il enfin de ces morts en masse provoquées par le réchauffement dérèglement climatique ? S’agit-il du stress, de jardinage trop intensif, d’un excès de sel dans l’alimentation ou d’une vague de suicides par neurasthénie en écoutant les discours du Président Macron ?

La question s’est posée… Un peu. Les réponses ont été… évasives : en pratique, il y a bien eu nettement plus de morts que prévu, mais “on ne sait pas encore précisément pourquoi”. C’est probablement les reports de traitements de la période Covid qui ne furent pas rattrapés, voire (bien sûr) un délabrement progressif du système de soins français.


Après tout, pourquoi pas.

Ces explications entraînent malheureusement d’autres questions, comme, par exemple, “pourquoi a-t-on observé la même chose dans d’autres pays ?” … En Espagne, en Allemagne, en Italie, on observe la même étrange surmortalité qui décolle, dans tous ces cas, toujours à peu près au même moment. Tout se passe comme si l’année 2020 marquait un emballement soudain de la mortalité dans différents pays occidentaux.


Concernant le Canada, l’Australie et le Royaume-Uni, on pourra regarder l’intéressante vidéo suivante du Dr. Campbell qui a, depuis le début de la pandémie, opéré un suivi très documenté de ce qui se passe en prenant le parti de n’utiliser exclusivement que des sources officielles et non discutables.


Au passage, on notera que l’analyse des données canadiennes par le Pr Fenton, statisticien de renom, qu’on pourra lire ici, ne laisse pas trop de place au doute : il y a bel et bien une surmortalité marquée, que les bidouilles statistiques frénétiques des institutions officielles ne parviennent pas à faire disparaître (il faut dire que 5 à 10 sigmas d’écart-type pour ce qui est observé actuellement selon les données, c’est une belle bosse qu’il est difficile de cacher sous un tapis aussi moelleux soit-il).

En Allemagne, une étude parue récemment s’est penchée sur le phénomène, en essayant de le quantifier aussi précisément que possible. Ses intéressantes conclusions méritent une petite citation :

“Ces résultats indiquent que quelque chose a dû se produire au printemps 2021 qui a conduit à une augmentation soudaine et durable de la mortalité, alors qu’aucun effet de ce type n’avait été observé jusqu’à présent au cours de la première pandémie de COVID-19.”

Oui, quelque chose a dû se produire, et, plus fort encore, dans plusieurs pays à la fois et à peu près en même temps.

Si l’on s’en tient aux thèses développées par la fine fleur du journalisme français, apparemment, tous les habitants de ces pays ont subi, dans des proportions et des temporalités très comparables, des reports de traitement et, coïncidence encore plus troublante, tous constatent aussi un délabrement de leur système de soin dans des proportions étonnamment similaires au système de santé français que le monde nous envie et que ces petits cachotiers nous avaient finalement copié, dirait-on.

Néanmoins, alors que pour les autorités, le mystère est – bien sûr – presque total, on devra vraiment s’interroger sur ce qui a bien pu provoquer une telle surmortalité dans des pays si éloignés les uns des autres, tous à peu près en même temps, et dans des proportions proches. Notamment lorsqu’on épluche la mortalité des jeunes de moins de 15 ans, qui dépasse ce qu’on observait depuis des années, des décennies, partout en Europe : on est, très bizarrement, passé d’une surmortalité faible (et même négative en 2020) à une surmortalité soutenue en 2022 pour une population qui, normalement, est plutôt en bonne santé.


Au-delà de conditions climatiques, de délabrements malencontreux de systèmes hospitaliers, de retards dans les soins et les diagnostics (qui expliquent fort mal ce qu’on observe chez les moins de 15 ans, au passage), l’observation d’un nombre anormalement élevé de myocardites et de troubles cardiaques divers ajoute son lot de questions au reste du tableau.

Mais que diable se passe-t-il donc ?


Ces éléments, et cette ignorance de plus en plus compacte de toutes les autorités de tous ces pays, imposent de parler, à nouveau, d’une malheureuse épidémie de coïncidences comme de précédents billets en firent mention il y a quelques mois.

Oui, il faut se rendre à l’évidence : quelque chose s’est passé dans le courant de 2021 qui, lentement mais sûrement, a provoqué un paquet de décès supplémentaires en 2022 dans un grand nombre de pays occidentaux. Mais voilà : l’imagination laisse une page blanche, l’esprit plein de conjectures et de questions. On se demande vraiment ce qui a provoqué tout ça.

Tout ceci, c’est vraiment de la malchance, voire du Padbol™ de qualité chimiquement pure !

Tout au plus pourra-t-on se réjouir que les médias ne se sont absolument pas emparés de ces questions qui restent sans réponse : alors qu’ils nous ont largement habitués à surgonfler les problèmes pour exciter nos peurs, que la moindre bourrasque de vent, la moindre pluie, la moindre période de chaleur ou de froid un peu rude déclenchent chez eux une farouche envie de nous expliquer pourquoi, quand et comment l’apocalypse climatique va arriver, cette surmortalité constatée un peu partout en Occident n’a pas du tout déclenché les mêmes comportements…

Certes, quelques articles sont parus dans quelques journaux pour relater, fugacement, les excès observés. Mais aucun n’a voulu montrer que la tendance était observée dans d’autres pays occidentaux. Aucun journal n’a eu le toupet d’enquêter, d’aller demander des comptes aux politiciens, aux statisticiens officiels, aux autorités de santé.

Jouant sans doute la carte de l’apaisement, de la modération, d’une prise de recul saine devant des données encore si pleines de questions, nos médias ont fort aimablement et fort professionnellement limité le sujet à sa plus simple expression avant de bien vite retourner aux sécheresses asymptomatiques du moment.


Pour la vérité sur les morts subites

Gérard Maudrux

En pleine fête de la musique, un musicien meurt de crise cardiaque. La liste des artistes faisant, depuis 2 ans, une crise cardiaque sur scène est impressionnante, tout comme celle des sportifs de haut niveau décédés dans les stades, et qui dépasse les 1 500 dans le monde. Certains pensent que cela est dû aux vaccins, d’autres que ce n’est que le fruit du hasard, une mauvaise série.

On doit savoir, les peuples doivent avoir la vérité, d’autant plus que l’on peut le savoir si on le veut. On ne nous donne pas la possibilité de connaître le statut vaccinal de ceux qui ont des problèmes, si ce n’est pas le vaccin, pourquoi le cacher ? On se désintéresse de la cause de morts subites et en surnombre en évitant les autopsies. Actuellement, il y a en France plus de décès que pendant la crise covid de 2020. Personne ne cherche à savoir pourquoi, si ce n’est pas le vaccin, pourquoi le cacher ?

Aux États-Unis, au Canada, en Europe (cf Eurostat), partout dans le monde on constate la même chose. Conclusions d’une récente étude sur le sujet en Allemagne : “Ces résultats indiquent que quelque chose a dû se produire au printemps 2021 qui a conduit à une augmentation soudaine et durable de la mortalité, alors qu’aucun effet de ce type n’avait été observé jusqu’à présent au cours de la première pandémie de COVID-19.”

On doit savoir ce “quelque chose”, le cas échéant pour se prémunir. Dans le cas contraire, c’est une faute en matière de santé publique, car pouvant générer d’autres décès pouvant être évitables. Pour le savoir, en cas de décès par mort subite, une autopsie bien conduite doit être demandée, permettant de trancher entre les optimistes et les pessimistes, entre les vaccinolâtres et les sceptiques, afin de mettre en place des mesures de prévention et de dépistage le cas échéant.

Pour aller dans ce sens et aider dans les différentes démarches, voici un important travail, documenté par nombre d’études scientifiques. Merci à tous les auteurs, leur travail a été bien supérieur à ma petite participation, pour la recherche de la vérité, qu’elle soit dans le sens des uns ou des autres, peu importe, pourvu qu’on ait LA vérité.

5 avril 2023

Le nuage secondaire, arrêté à la frontière

Gilles La Carbona

La science, du moins, les actionnaires de la médecine moderne, n’en finissent pas de nous étonner. Songez donc, il y a moins de trois ans, les médecins de plateau subventionnés venaient nous vanter les méfaits de la chloroquine et de l’ivermectine, tandis qu’ils acclamaient les vertus du masque, du confinement et des vaccins ARN. Ils allaient même jusqu’à nous expliquer que si on était tous vaccinés, la vie serait plus belle, nous ne transmettrions pas la maladie, surtout, nous éviterions les formes graves d’un variant qui n’en faisait déjà plus. Et si par malheur nous n’avions aucun symptôme, on devait rester prudent, car on était quand même malade sans le savoir.

Pauvres ignorants que nous étions, nous ne pouvions que nous incliner devant tant d’habiles démonstrations et boire les paroles de ces érudits. Bien entendu, il y avait quelques rebelles pour contester la validité de ses allégations télévisées ; hérétiques, impénitents et complotistes, qui furent brûlés sur les bûchers médiatiques allumés un peu partout, sur les chaînes subventionnées. Comme si ce n’était pas suffisant, ils furent aussi l’objet d’un lynchage en règle en direct, puis finirent par ne plus être invités, tant leurs discours étaient faussés par une vision totalement à l’opposé des Saintes Écritures, appelées maintenant « narratifs » et qu’à France Info, par exemple, on s’engage à ne point contredire.

Depuis, bien évidemment, sont apparus ce que ces crétins de révoltés alarmistes criaient haut et fort : des effets secondaires terribles. Certes ils sont quasiment absents en France, mais on a eu peur. Nous sommes, comme toujours, le pays où les mauvais nuages s’arrêtent à la frontière et il en va de même pour les effets secondaires. L’exception française est bien là.

Voilà que l’OMS dévoile une augmentation brutale et surtout, totalement inexpliquée, de la mortalité mondiale. 23,6 millions de décès supplémentaires, soit plus que toute la 1ère guerre mondiale, mais en moins de temps. La médecine nous surprend une fois de plus. Hier si sûre et aujourd’hui incapable de nous dire pourquoi tant de gens meurent, surtout de crises cardiaques, et également de cancers foudroyants. Les médecins seraient-ils embarrassés pour trouver une explication plausible ? Les plus hardis ont déjà avancé que c’était le réchauffement climatique, qui subitement, rendrait nos organismes beaucoup plus sensibles, et nos petits cœurs n’y résisteraient pas. D’autres, que c’était la pollution environnante. Mais c’est un peu court, d’autant que le réchauffement et la pollution n’ont pas fait de bonds spectaculaires, avaient même reculé pendant l’épisode des confinements. Rappelons d’abord que l’homme est la seule espèce à s’être adaptée sous tous les climats, mêmes les plus rudes, il n’y a pas de raison qu’il ne parvienne pas à surmonter quelques degrés de plus l’été.

On peut aisément donner une piste de réflexion à nos médecins. Quel événement a été reproduit à grande échelle dans l’ensemble des pays touchés par cette surmortalité ? Ils devraient finir par trouver le pourquoi de ces morts qui ne cessent de s’accumuler. Pour les aider un peu plus, reprenons ici les conclusions du Dr Thomas Levy, qui déclare qu’au moins 7 millions d’Américains ont aujourd’hui le cœur endommagé par les « vaccins », et de poursuivre que ce chiffre pourrait monter jusqu’à 100 millions, toutes lésions cardiaques confondues. La BBC a même lancé un appel à toutes les victimes d’effets secondaires de se manifester auprès d’elle. Des États, nombreux, commencent à dédommager les personnes souffrant de ces bénéfiques effets secondaires, présentés comme le nécessaire risque à prendre pour éviter l’hécatombe due à une maladie qui, au plus fort du pic, ne représentait que 5% des réanimations. La Bavière a mis en place un numéro vert, pour recenser les éventuels effets secondaires des vaccins : le standard a explosé dès le premier jour.

Si avec tout cela il y a encore un doute sur l’inexplicable mortalité, savamment orchestrée… Pourra-t-on dire que tous les médecins savaient dès le début, qu’ils participaient à ce qui ressemble de plus en plus à une expérimentation foireuse, si ce n’est à un génocide ?

Dernière information, l’OMS vient de recommander aux jeunes en bonne santé de ne pas se faire vacciner. Cette annonce devrait faire du bruit, alors qu’on a interdit de pratique sportive les athlètes non-vaccinés. Plus aucun spécialiste, rémunéré par les laboratoires, ne vient ergoter à la télévision sur la nécessité de se faire vacciner et le livre d’Henrion Caude, ex-pestiférée du PAF, cartonne, au grand dam de Cymès, dernier des Mohicans, qui n’a pas vu la roue tourner. Le nuage devrait passer tout de même la frontière française et les explications commencer, ici aussi.


17 février 2023

Laurence Muller Bron : « Cette censure sur les chiffres du Covid19 installe un climat très inquiétant »

Vincent Verschoore

La Sénatrice Laurence Muller-Bron détaille comment l'État censure l'accès aux données de santé, empêchant les chercheurs d'analyser les causes et conséquences sanitaires des politiques covid.

Cette volonté obscurantiste, typique du système de corruption massif qui régit les institutions et le régime français, a pour unique but de cacher le fait que ces politiques n'ont servi qu'à détourner les quelque 400 milliards d'euros gaspillés par la Macronie, mais pas perdus pour tout le monde.

L'impossible accès aux données reliant la mortalité (covid ou autre) au statut vaccinal est sans doute le fait le plus ignoble, le "smoking gun" de la corruption totale du système.


10 janvier 2023

Surmortalité

Gastel Etzwane

Du jamais vu ! Les 198 crematoriums peinent à tenir les délais légaux de 6 jours entre le décès et la crémation TELLEMENT IL Y A DE MORTS EN FRANCE.
En cause selon les médias : la grippe et l'hôpital.
Ce qui est curieux, c'est qu'en 2020 et en 2021, années qu'on a décrit comme terribles concernant les décès liés au covid, personne n'a parlé d'embouteillage des crématoriums. Qu'est-ce qui a bien pu se passer depuis ? Car ni la grippe ni les saturations aux urgences ne sont des phénomènes nouveaux.


4 janvier 2023

Coïncidences : on a arrêté le Médiator pour moins que ça…

H16

L’année 2022 s’est achevée sur un constat : de nos jours, il n’y a plus un seul lieu qui soit vraiment sûr et si, jadis, le lit constituait l’endroit où l’on mourait le plus, il est clair qu’à présent, la mort peut frapper bien plus soudainement, à n’importe quel moment, plusieurs fois devant un ballon, dans des hôpitaux, à la télé ou dans une voiture, sur le plancher des vaches ou en plein vol commercial… Décidément, la mort subite concerne maintenant tout le monde, tout le temps et aucun endroit n’est épargné.

La communauté scientifique a été, un temps, quelque peu déconcertée : pourquoi diable observe-t-on une telle recrudescence de ces morts soudaines ? Oh, bien sûr, il est évident que la presse, toujours friande de sensations fortes (et définitives) s’empresse de rapporter toutes ces occurrences même lorsqu’il n’y a, en réalité, rien d’anormal à tel point que la titraille n’hésite plus à se parer d’un “soudainement” même lorsqu’il s’agit de personnes âgées ayant amplement passé l’espérance de vie, ce qui noie malencontreusement les autres cas où des enfants, des adolescents ou de jeunes adultes en pleine santé décident de ne pas se réveiller un beau matin sans prévenir.

Cependant, après de minuscules minutieuses recherches, la communauté scientifique et les experts de médias de grand chemin se sont ressaisis, et des explications solides ont été trouvées : il devient maintenant assez clair que, depuis quelques mois, ces morts soudaines sont liées au changement climatiqueeh oui, les températures trop chaudes ou trop froides déclenchant apparemment des crises cardiaques inopinées, c’est ainsi… Ou alors, à une surconsommation de café, de jeux vidéos ou d’édulcorants.

Une chose est certaine : tout ceci n’a absolument aucun lien, même vague, avec quelque expérience que ce soit en cours à l’échelle de toute la population, et tout au plus peut-on parler de coïncidence.


Toute coïncidence bue, on doit cependant noter que les occurrences de myocardites et de péricardites ont clairement augmenté dans la population occidentale sur (au moins) les douze derniers mois (comme on pourra le constater sur ces deux études, s’ajoutant aux nombreuses autres parvenant aux mêmes conclusions), à tel point d’ailleurs que ces deux termes, quasiment inconnus du grand public avant 2021, sont devenus bien plus courants.


Et le problème, c’est justement lorsqu’on commence à éplucher les expériences personnelles, les témoignages maintenant nombreux, les études, les chiffres et les statistiques qui s’accumulent un peu partout, on revient à la conclusion (déjà mentionnée à plusieurs reprises dans ces colonnes par le passé) que ces vaccins présentent maintenant des taux d’effets secondaires trop élevés pour qu’on puisse continuer à les administrer comme on le fait encore actuellement.

Cette affirmation ne devrait, en ce début d’année 2023, plus faire débat et ne devrait faire mousser aux lèvres que ceux qui continuent de braire “sûrs et efficaces” en refusant les éléments factuels, pourtant assez peu complotistes, qui s’accumulent en ce sens ; en effet, sans même lancer la moindre hypothèse sur des effets iatrogènes à plus long terme, l’expérience actuelle sur les injections à ARNm aurait été jugée il y a quelques années beaucoup trop risquée compte tenu du profil de risque actuel.

Historiquement, des vaccins présentant des profils d’effets indésirables beaucoup plus faibles ont déjà été retirés, comme celui contre la grippe porcine de 1976 qui a été interrompu en raison d’un risque de syndrome de Guillain-Barré de 1 sur 100 000. Avec 1 risque de myocardite pour 3000 injections, on est bien au-delà.

Par exemple, en Allemagne, il apparaît assez clairement que l’augmentation des myocardites se produit après l’introduction des injections ARNm, et pas du tout au moment de l’épidémie de COVID elle-même : les taux de myocardite ont bondi de plus de 75% après le début des campagnes de vaccination. On aura du mal à pousser ça dans les bras du COVID tant ces myocardites ont chuté au début de la pandémie et ont même continué à baisser pendant quelques mois par la suite (de mai à septembre 2020)…


Du reste, le schéma est globalement le même en France, où l’année 2020 fut plutôt normale en terme de myocardites, au contraire de 2021 :


Or, de façon intéressante, les autorités sanitaires allemandes ont clairement attribué la mort de plus de 250 personnes aux injections ARNm. Pour rappel, les autorités françaises avaient attribué 30 décès au Médiator sur la période de 1976 à 2009 et cela avait suffit à en retirer l’autorisation de mise sur le marché, et avait conduit les mêmes autorités à lancer des poursuites contre le laboratoire Servier qui produisait ce médicament à l’époque. On connaît la suite.

Devant les chiffres actuels où plus de 250 personnes en Allemagne sont mortes directement à cause de ces injections (et au moins autant en France), n’est-il pas grandement temps d’en demander l’arrêt, et de s’interroger sur la pertinence de poursuites judiciaires alors que ces chiffres sont en réalité connus depuis des mois et que chaque semaine qui passe augmente mécaniquement la probabilité de nouveaux décès ?

D’autant que, pendant qu’on s’interroge finement sur les risques (avérés maintenant) de problèmes au muscle cardiaque provoqués par ces injections expérimentales, les recherches continuent sur leur mode opératoire exact. Il faut en effet comprendre que les affirmations commerciales de Pfizer et de Moderna ont été progressivement battues en brèche : alors que leur produit devait empêcher infection et transmission, la réalité s’est jouée des brochures sur papier glacé. Alors que le produit ne devait pas quitter la zone d’injection, on a commencé à le retrouver un peu partout dans le corps. Alors qu’il n’était censé être produit que pendant quelques semaines, plus aucun représentant officiel de ces entreprises ne s’aventure à donner une période précise pendant laquelle la protéine de pointe est produite : un mois, trois mois, un an, dix, allez savoir…

Et surtout, alors que cette protéine de pointe ne devait pas se retrouver dans le noyau cellulaire, des études (dont celles de Pfizer) montrent qu’elles se retrouvent effectivement dans le noyau… Ce qui est très problématique puisque tout indique à présent que cette spike est assez fermement antagoniste à la production de la protéine p53. Cette dernière est très importante dans la réparation cellulaire, et empêche à ce titre l’apparition ou le développement de cancers dans notre corps.

L’avenir nous dira si l’on arrive encore à justifier la rapidité avec laquelle ces injections furent lancées sur le marché puis quasiment imposées, de façons plus ou moins vicieuses, à une vaste portion de la population. L’année 2023 permettra certainement d’y voir plus clair.

Parions cependant que d’autres morts soudaines émailleront l’actualité…



21 décembre 2022

Les crises cardiaques, c’est tendance

Pierre Duriot

Je me marre... les crises cardiaques, c’est tendance. Jusqu’à voici environ deux ans, elles étaient réservées aux alcoolos-tabagiques et aux vrais malades du cœur. Maintenant, attention, ça peut toucher tout le monde et un certain nombre de causes et de concepts sont venus nous mettre en garde contre l’arrêt du cœur. La mort « subite et inexpliquée », jusque-là réservée aux nourrissons, s’applique maintenant aux adultes, depuis un an environ. Sinon, on peut mourir de crise cardiaque en faisant du sport, on le savait un peu, mais personne ne le disait vraiment, mais inexplicablement, aussi, en « mangeant seul », en prenant une « douche chaude », en nouant ses lacets, en passant du chaud au froid et en réalisant tout un tas d’activités quotidiennes qui jusque-là, n’avaient pas l’air de poser le moindre problème. Depuis un à deux ans, on ne voit pas du tout ce qui est advenu de nouveau et qui pourrait renforcer les risques cardiaques chez les adultes. Les médecins ont dû spontanément faire d’énormes progrès et identifier des risques totalement inconnus voici deux ans, à l’âge du bronze donc, avant les progrès de la médecine.