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24 mai 2024

Pfizer sur le gaz

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


24/5/2024 - Pfizer est plus que jamais dans la tourmente, il se murmure que la boîte pourrait être traînée devant les tribunaux aux US, mais pas avant les élections européennes ni américaines. Elle est déjà l’entreprise, ou l’une des entreprises qui a payé le plus d’amendes au monde. Quelle pourrait être la raison objective de ce report ? En quoi ces deux évènements seraient-ils susceptibles de perturber le déroulé des audiences, les investigations ou les interrogatoires ? On ne voit pas. En revanche on comprend qu’un tel procès mettrait dans l’embarras les responsables encore au pouvoir ayant œuvré durant cette période trouble avec des répercussions en Europe. C’est bien entendu le cas de la France où la macronie s’est particulièrement distinguée dans cette affaire. Devoir rendre des comptes, ou du moins être indirectement agité par les effets d’un procès qui prendrait forcément un caractère international en pleine campagne, serait catastrophique pour Hayer, qui n’a pas besoin de cela pour couler lentement dans le fond du classement.

Mais tout de même, une justice indépendante aurait-elle à se soucier de ces échéances pour faire son travail ? D’ailleurs quel est-il exactement, faire éclater la vérité ou protéger un pouvoir qui semble de plus en plus corrompu ? On peut a contrario imaginer qu’une défaite de ceux qui sont à l’origine des politiques Covid de l’époque scellerait le sort des protagonistes. C’est d’autant plus vrai que les révélations sur les intrigues du laboratoire fusent, rendant les malversations ou cachotteries que certains n’ont pas manqué de faire pour soutenir une vaccination de plus en plus douteuse, pour ne pas dire pire. Ainsi, selon la Prescription Medecines Code of practices, Authority, Pfizer a fait la promotion d’un médicament sans licence et a violé un total de cinq codes réglementaires. Si on rajoute à cela l’opacité des contrats signés entre Pfizer et von der Leyen, qui a agi sans mandat et donc à titre privé, cela aggrave considérablement la position du géant pharmaceutique et celle de ses complices. En France tout est fait pour que rien ne sorte, au point que l’on s’empresse de faire voter des lois pour s’assurer que ce type de révélations ne puisse pas voir le jour.

À l’étranger les aveux vont bon train et n’en finissent pas de donner raison à ceux qui chez nous, dénonçaient les vaccins et les pratiques qui y étaient associées comme inutiles et dangereuses. Ils ont été calomniés, bannis, traités de criminels. Mais au fur et à mesure que la vérité voit le jour, ce dernier qualificatif colle de plus en plus à la peau de ceux qui ont fait la promotion de cette vaccination. Un exemple parmi d’autres : Lawrence Tadax, directeur adjoint des NIH (National institues of Health) a été contraint d’admettre que le COVID était bien d’origine biomilitaire, sorti tout droit du laboratoire de Wuhan. Le Docteur Andrew Hupff, ancien dirigeant d’EcoHealth alliance, a concédé que A Faucy en 2018 avait approché la Defense Agency (Darpa) pour financer le projet de recherche DEFUSE sur le gain de fonction (aggravation de la toxicité d’un virus) des coronavirus des chauves-souris. Tout ceci étant confirmé par l’eurodéputé Christine Anderson. On se souvient que le professeur Montagnier avait immédiatement affirmé que l’étude de la structure du virus montrait son caractère non naturel, donc trafiqué par l’homme. Il fut aussitôt banni des plateaux et l’objet de moquerie odieuse et déplacée. Tout comme le furent, peu après Martine Wonner, les docteurs Peronne et Raoult. Rappelons que ces deux derniers géraient habituellement les pandémies en France.

Dans le même temps on apprend qu’AstraZeneca retire son vaccin du circuit. Officiellement il n’y a plus la demande, en réalité c’est parce que les effets secondaires dévastateurs vont finir par rattraper les acteurs de ce drame et qu’ils veulent se mettre à l’abri. C’est bien tard. Aux US pour les moins de 45 ans le nombre de cancers a doublé entre 2022 et 2023, sans que l’on s’aventure pour le moment à relier cette explosion à la vaccination. « On ne comprend pas » : refuser d’admettre, mais jusqu’à quand ? La VAERS, qui est un programme américain de surveillance des effets des vaccins, destiné à mesurer le bilan bénéfice/risque, permettant ainsi de maintenir ou pas un vaccin, vient de publier des chiffres alarmants. Sur tous les décès enregistrés de 1988 à 2021, ceux des vaccins COVID sont équivalents sur un an à ceux de tous les autres vaccins sur 33 ans. Peut-on encore parler de coïncidence, ou de hasard incompréhensible ? Une enseignante marocaine souffrant d’effets secondaires fortement handicapants a porté plainte contre l’État. La justice vient de lui donner raison et a condamné l’État à lui verser 250 000 dirhams à titre de dommages et intérêts. D’un côté un pays assume, de l’autre, l’Espagne, se couvre en refusant de reconnaître les victimes, arguant que tous ont été volontaires. Pourtant il fait quand même le lien entre les injections et les myocardites, mais dégage sa responsabilité sous ce motif. C’est une autre façon de se disculper. Il devient impossible de nier les effets secondaires, alors on renvoie la charge sur les victimes, soi-disant consentantes.

La perversité de l’argument était prévisible, eu égard au document qui devait être signé avant l’injection, alors que celle-ci était nécessaire pour continuer à exercer certaines professions. Rendre obligatoires des substances expérimentales est illégal. C’est bien le cas actuellement et ça l’était encore davantage au moment de la campagne de vaccination. Il devient clair que les politiques et les propos agressifs qui ont été tenus contre ceux qui doutaient, qui alertaient sur la dangerosité de ces faux traitements, sont en passe de retrouver la dignité qu’on leur a sciemment volée. Que vont répondre tous ces caciques devant ces aveux ? Désolé… un peu court tout de même, d’autant que l’on a confirmation que ce vaccin n’empêchait pas non seulement de transmettre le virus mais ne protégeait pas non plus, même pas des formes graves puisque les « variants » n’étaient pas mortels. C’est donc en pleine connaissance de cause que le gouvernement a forcé les soignants, médecins, pompiers, à se vacciner au risque d’exposer des patients au virus et de leur rajouter des complications dont ils se seraient bien passés. La responsabilité des promoteurs devra bien entendu être engagée, tout comme celle de ceux qui ont validé des lois en ne pouvant ignorer leur côté inutile et surtout dangereux dans les effets qu’elles produiraient. Après le sang contaminé, Fabius pourrait bien se retrouver une nouvelle fois compromis dans un scandale sanitaire. Rassurons-nous, il a évité le pire quand il était directement concerné, alors là… C’est la magie de notre grande démocratie, qui a inventé pour ses responsables et uniquement pour eux la formule « responsable mais pas coupable » avant de la compléter par « coupable mais pas condamnable » dans l’affaire Tapie impliquant Christine Lagarde. Prétendre que nos décisionnaires n’étaient au courant de rien ne tient plus et ressemble à une vaste farce, depuis que les révélations venues de l’étranger n’en finissent pas de donner raison à ces « fripouilles » de complotistes. Encore aujourd’hui les autorités helvètes sont démasquées et l’on apprend que les informations faites au public ont été largement épurées de certains éléments qui n’allaient pas dans le sens de la doxa officielle. Nous aimerions bien voir nos parlementaires s’emparer du sujet et demander des comptes. Il est à craindre que ce ne soit pas pour demain encore une fois, quand bien même cela serait, nous aurions droit à une série d’excuses et de regrets éplorés, larmes de crocodile qui n’effaceront jamais ces années noires, ni ces pratiques qui ont conduit à des morts et des blessés graves. Nettoyer la France de ceux qui se sont vautrés dans cette abjecte compromission pour que nous ne revivions plus jamais cela serait nécessaire, mais tant que nous aurons des oppositions complices pratiquant la politique de la chaise vide ce sera clairement utopique. La corruption est profonde et il faudra du courage et un changement total pour en venir à bout. Malgré tout, la vérité avance dans certains pays, mais en France elle arrive encore à rester sous une chape de plomb.


21 mai 2024

Vincent Verschoore

21/5/2024 - Intéressant et presque courageux article du New York Times sur le déni rencontré par les victimes des vaccins Covid. Des professionnels de santé, souffrant de divers effets handicapants, racontent leur calvaire médical, social et administratif face à des autorités qui ne veulent rien savoir.

L'article estime que le taux d'effets secondaires "officiel" est sans doute largement sous-évalué, mais que personne ne veut en parler par peur de récupération "antivax"...

A contraster avec le reportage de DW (le "France 24" allemand, très mainstream) qui, voici près d'un an, faisait un constat similaire pour l'Allemagne mais estimait le taux d'effets secondaires graves entre 0,01 et 0,02%, soit un cas pour 5000 injectés, ce qui est énorme pour un vaccin en population générale, et inutile pour 80% de la population.


Si ce taux est le même aux USA, il y aurait plusieurs dizaines de milliers de cas, très nettement plus que le chiffre officiel.

L'argument du silence par peur des "antivax" est évidemment risible, ces derniers étant surtout opposés à la dictature sanitaire en général, et à la vaccination expérimentale de masse. Ce ne sont pas eux qui ont inondé les médias de fausses informations sur l'efficacité et la sécurité vaccinale, qui ont imposé la vax par la violence et la discrimination, et qui ensuite se lavent les mains des problèmes tout en ayant bien palpé au passage. Ils ne sont que la réaction, nécessaire même si parfois extrême, à tous ces abus.

L'article note que les autorités médicales balayent le problème au nom du "mais le virus c'est pire", mais estime l'argument un peu léger : le profil risque-bénéfice d'une telle vaccination, pour la majorité en bonne santé, n'est pas évident (euphémisme). Il est évidemment négatif, comme le montrait sans le vouloir l'étude OMS Europe : une vie sur 500 aurait été "sauvée" par la vax, mais 96% de ce 0,002 concerne les plus de 60 ans !

Extrait de l'article :

« Les fonctionnaires ont tous répondu par ce mantra très usé : "mais le virus est pire" », se souvient le Dr Murphy. « Oui, le virus est pire, mais cela n'empêche pas de faire des recherches pour s'assurer qu'il existe d'autres options.

Une meilleure compréhension des effets secondaires possibles, et des personnes à risque, pourrait avoir des implications pour la conception des futurs vaccins, ou pourrait indiquer que pour certaines personnes jeunes et en bonne santé, les avantages des vaccins Covid ne l'emportent plus sur les risques - comme l'ont déterminé certains pays européens.

Des recherches approfondies pourraient également permettre d'aider plus rapidement les milliers d'Américains qui affirment avoir été blessés. »

D'ici à ce que les covidistes traitent le NYT et DW de complotistes antivax, il n'y a sans doute qu'un pas.

22 avril 2024

Effet accélérateur du vaccin anti-Covid Pfizer sur les cancers ?

Vincent Verschoore

22/4/2024 - Une telle hypothèse vaut excommunication immédiate par le clergé covidiste, mais une toute récente étude pointe un tel effet d'un adjuvant au nom barbare, présent dans ces produits afin de protéger l'ARNm injecté des défenses immunitaires.
Traduction de l'abstract :
"En raison de l'urgence sanitaire créée par le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, la mise en œuvre rapide d'une nouvelle technologie vaccinale était nécessaire. Les vaccins ARNm, qui font partie des nouvelles technologies de pointe, ont suscité un grand intérêt et suscité beaucoup d'espoir. Le potentiel de ces vaccins à prévenir les hospitalisations et les maladies graves chez les personnes présentant des comorbidités a récemment été remis en question en raison de l'affaiblissement rapide de l'immunité des vaccins. Des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que ces vaccins, comme beaucoup d'autres, ne génèrent pas d'immunité stérilisante, ce qui rend les personnes vulnérables aux infections récurrentes. En outre, on a découvert que les vaccins à ARNm inhibent des voies immunologiques essentielles, compromettant ainsi la signalisation précoce de l'interféron. Dans le cadre de la vaccination COVID-19, cette inhibition assure une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite.
Il est prouvé que l'ajout de 100% de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, ce qui suggère que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer. Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm modifiés à 100 % en m1Ψ, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification en m1Ψ afin d'éviter la suppression de l'immunité."
Plus de trois ans après le début de cette vaste vaccination expérimentale de masse, de désinformation et de censure baignée de corruption, et face à la très faible efficacité de produits générant par ailleurs de nombreux effets indésirables, la science se penche sur les mécanismes moléculaires à l'œuvre. Mécanismes qu'il aurait fallu évaluer "avant", mais l'hystérie politico-sanitaire et la corruption en décidèrent autrement.


https://zerhubarbeblog.net/

22 février 2024

Des couilles dans le potage Pfizer

Lola-Jane Brooks

Chers amis, l'heure est graaave.
 
D'après ce cent millième article sur le sujet, les vaccins contre le Covid seraient à l'origine de "sérieux problèmes de santé", à savoir :
-péricardites,
-myocardites,
-syndrome de Guillain-Barré,
-paralysie de Bell,
-convulsions,
-risque accru de développement de caillots sanguins dans le cerveau,
en sus des troubles menstruels, voire des turbo-cancers.
 
Ce papier comme les milliers d'autres parus dès décembre 2021, est une infamie, une monstrueuse hérésie ! C'est pourquoi j'en appelle à l'application immédiate de la nouvelle loi contre les dérives sectaires car il s'agit purement et simplement d'une « provocation à l’abandon d’un traitement médical », derrière laquelle se cachent certainement de vilains antivax, qui n'ont toujours pas été emportés par la 136ème vague.
 
Sachez méchants antivax d'extrême droite-gauche que peu importe vos tentatives de déstabilisation, nous continuerons à tendre nos bras et à nous piquer tous les mois pour enrichir les actionnaires, nous protéger et protéger les zôtres vaccinés, car Pfizer est notre sauveur et que notre gouvernement ne veut que notre bien.
 
Ceux qui osent penser autrement ne sont que des irresponsables illettrés, des ennemis de notre Sainte Ursula et de notre Être de lumière.

6 février 2024

Annelise Bocquet
Docteur en Biologie Santé, enseignante d'hématologie/immunologie.

Moi, je voulais juste... vivre. Et gagner ma croûte... faire vivre ma famille !

Comme bon nombre de soignants injectés anti-covid et qui souffrent d'effets indésirables... pris pour des rats de laboratoire.
Vous parlez des soignants suspendus avec 3 ans de retard. Combien de temps allez-vous mettre pour parler des effets indésirables ?

Des cas de myocardites, péricardites, pemphigoïde bulleuse, d'atteintes neurologiques et dégénératives, des cancers, des troubles gynécologiques... des troubles de la coagulation et des morts ? Car oui, il y a eu des morts... et il y a aussi des "morts vivants". Vous savez, des personnes qui ne peuvent plus bouger car elles souffrent le martyre. Qui ne peuvent plus "gagner leur croûte", enfermées dans un corps qu'elles ne reconnaissent plus et qu'elles ne maîtrisent plus.

Alors, moi, je voulais juste... vivre. Et aujourd'hui, je le paie très cher.

J'ai une pensée pour les soignants suspendus. Ils ont vécu l'enfer... et je pèse mes mots. La mort sociale, l'opprobre, les humiliations... ils ont tenu bon avec une détermination qu'il faut saluer.

Mais j'ai aussi une pensée pour les soignants qui ont injecté ces produits anti-covid... il y en a qui s'en mordent les doigts. Une culpabilité terrible à porter... c'est aussi à ces soignants-là que vous devez vous intéresser... les repentis.
Eux aussi, on leur a menti, on les a manipulés avec une drôle d'éthique et de l'argent pour endormir les doutes. "Vous allez sauver des vies" qu'ils ont dit. Ouai... c'est ça... et combien va-t-on en bousiller ?

Aujourd'hui encore, les médecins généralistes suivent les recommandations des "sociétés savantes"... des erreurs médicales énormes sont faites mais tout va bien. Depuis quand la médecine se pratique sur décret ? Depuis quand les médecins ont arrêté de s'intéresser aux malades et d'analyser les cas ?
Intéressez-vous aux sociétés savantes et à ceux qui les dirigent... vous seriez surpris du taux de corruption et de malversations, des conflits d'intérêt et politiques.

Sur ce... moi, je voulais juste... vivre !
Comme beaucoup de Français et d'âmes sur cette Terre... tout ce que nous voulons, c'est vivre.


25 janvier 2024

Gilles Casanova

Encore des complotistes ?
Non, passé un certain délai le discours « complotiste » condamné devient vérité officielle, timidement au début puis franchement ensuite… Attendons sagement la suite !

20 janvier 2024

Quand l’EMA fait disparaître les effets secondaires des vaccins

Gérard Maudrux

C’est bien connu, pour faire baisser la température, il suffit de casser le thermomètre. Pour qu’on ne parle plus des effets secondaires de tel ou tel traitement, il suffit de ne plus les enregistrer, voire d’effacer ceux qui ont déjà été enregistrés. Ainsi plus d’effets secondaires, plus de problèmes, le traitement devient sûr et efficace.

Catherine Theilhet est programmatrice retraitée de la mairie de Paris. Elle aime bien les chiffres et nous a déjà fait des billets (1,2,3), épluchant notamment les publications statistiques VAERS, EMA, et ANSM, interrogeant régulièrement ces institutions pour avoir plus de précisions. Elle conserve ces données pour mieux suivre et comparer, et vient de faire des découvertes concernant la base de données de l’EMA, Agence Européenne du Médicament. En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024, elle constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Voici le fruit de ses découvertes, comparant les chiffres de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024 :



Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc. Et quand Catherine Theilhet interroge l’EMA sur les dossiers qui disparaissent (et parfois réapparaissent), on lui répond qu’une base de données est « vivante » et qu’il est donc normal qu’elle change…

Des pays ne communiquent plus ces statistiques. D’autres, comme la Nouvelle Zélande, mettent en prison ceux qui les communiquent, non parce qu’ils donneraient des fausses informations, mais parce qu’ils communiquent les bons chiffres officiels. On dissuade de faire des autopsies pour éviter de connaître les vraies causes, entretenant le doute. On décourage ceux qui veulent transmettre, on les montre du doigt pour qu’ils se sentent coupables en faisant bien leur travail. J’en connais qui ne transmettent plus pour être tranquilles. Il est anormal de voir toutes ces déclarations faites par les familles ou les patients, alors que toutes devraient être faites par les médecins, c’est leur rôle, pire, c’est leur devoir.

Le témoignage de la femme de Jean-Pierre Pernaud est édifiant et résume bien la situation : son médecin, avant de présenter ses condoléances, lui a tout de suite dit « surtout, vous dites bien qu’il est mort de son cancer », alors que les derniers bilans montraient une rémission complète et que depuis sa dernière dose, il faisait AVC sur AVC jusqu’à l’accident mortel.

Dans ces conditions, avec le peu déclaré dont une partie est effacée, ce qui est relaté, ce que nous voyons, n’est que la partie émergée d’un iceberg.


16 décembre 2023

Finalement, les bricolages ARNm ne marchent pas top

H16

15/12/2023 - Le 6 décembre dernier, une étude majeure parue dans Nature et, à ce titre, examinée par des pairs, a fait mention d’un petit souci découvert dans la technologie d’ARN messager, cette fameuse technologie actuellement utilisée dans des produits sûrs, efficaces mais qui ne parviennent pas à éviter l’infection ni la transmission d’un virus qui ne sort surtout pas d’un laboratoire chinois.

Cette étude, assez technique, a été largement résumée dans un article du Telegraph qui explique en substance qu’une personne sur quatre ayant reçu la fameuse piqûre Pfizer a “développé une réponse immunitaire inadéquate”, ce qui est un délicat euphémisme pour dire que le produit ne faisait pas réellement ce qu’il était censé faire (et on ne parle pas de lutte contre l’infection et la transmission ici, de grâce, oubliez ça).


En pratique, l’étude en question explique qu’un ingrédient nécessaire à ces concoctions (la 1-méthylpseudo-uridine) provoque lors de son utilisation au sein des cellules un problème malencontreux : il perturbe la traduction de l’ARN en “glissant” de temps en temps. Au lieu de produire la protéine de pointe prévue, ces “minuscules” erreurs de traduction créent… d’autres protéines (à hauteur de 8% apparemment), nouvelles, plus ou moins amusantes et de façon aléatoire ce qui empêche de prédire ce qui va réellement sortir de la cellule. Ceci semble se produire dans un quart à un tiers des cellules (et non un tiers des patients comme le Telegraph le rapporte de manière erronée).

Le souci, c’est qu’il y a des trillions de paquets d’ARNm dans chaque injection miraculeuse. En somme, chaque personne injectée subit potentiellement ces erreurs de production. Comme ce genre d’injection et de procédé est relativement nouveau (il n’est en place que depuis 2021), personne ne peut prédire quels types de problèmes ceci peut causer, notamment parce que ça n’a jamais été testé auparavant. Pour un produit dont les politiciens ont seriné qu’il était le mieux testé et le plus sûr de l’histoire de l’Humanité, on a vu mieux.


L’étude martèle, d’un bout à l’autre, qu’il n’y a (pour le moment) aucune preuve directe que ces productions non contrôlées chez l’homme, générées par BNT162b2, sont associées à des effets indésirables, et elle en profite pour noter qu’il est donc très important, pour garantir le bon fonctionnement de cette technologie, de corriger ce problème par exemple en modifiant la séquence d’ARNm concernée afin de réduire ces événements de “décalage des ribosomes”.

En effet, mais cela va demander du travail : on se souviendra que l’utilisation de la pseudo-uridine est nécessaire pour éviter que l’ARN en question ne soit systématiquement détruit trop tôt par les cellules du receveur. Dès lors, ou bien on trouve un moyen, cette fois-ci efficace et sans bavure, pour que ce vecteur génétique parvienne dans la cellule sans être détruit, ou bien on s’expose à des productions mal maîtrisées de protéines non désirées.

Au passage, l’intégralité de l’étude a été rédigée pour passer au travers des fourches caudines de l’examen par des pairs résolument peu enclins à accepter l’idée que tout ceci serait un bricolage aboutissant à une grosse erreur médicale. Au début, le lecteur conclut (à tort) qu’elle est même une magnifique apologie du procédé mis en place, d’autant qu’à chaque fois qu’ils en ont l’occasion, les vingt auteurs décrivent avec optimisme l’avenir radieux de cette technologie de l’ARNm… une fois que ce petit problème gênant (et irrémédiable) aura été éliminé de la formule. C’est ainsi que l’étude n’a pas été censurée et a été publiée.

Cependant, on peut lire ceci de l’un des auteurs de l’étude (Anne Willis) :

Ces résultats sont particulièrement importants (…) pour la conception et l’optimisation de futures thérapies basées sur l’ARNm afin d’éviter les erreurs de traduction qui peuvent diminuer l’efficacité ou augmenter la toxicité.


Eh oui : lorsque la séquence n’est pas lue correctement, il se pourrait que le procédé qui a déjà été injecté des milliards de fois produise des erreurs de traductions qui “peuvent diminuer l’efficacité, augmenter la toxicité” du résultat. Sans blague.


C’est un peu comme si une usine de saucisses produisait des saucisses la plupart du temps et, le reste (minoritairement mais de façon tout à fait visible), produisait de l’air chaud neutre et des poisons plus ou moins violents (mélange au hasard). Si l’on peut se rassurer en imaginant que ces poisons sont rares, on peut néanmoins s’inquiéter sur le taux général de fiabilité. Est-ce suffisant ?

Et est-ce suffisant alors que – sans aucun rapport bien évidemment, mais avec une insistance maintenant préoccupante – on observe dans les données démographiques des populations massivement injectées des tendances inquiétantes ?


On a heureusement ici l’explication habituelle et réconfortante d’une simple coïncidence qui a le mauvais goût de se répéter partout en Occident mais qui, les experts sont formels, ne veut rien dire de particulier. Les actuaires, qui doivent payer les polices d’assurances de personnes subitement décédées dans la force de l’âge et qui doivent donc remettre en cause leurs tables de mortalité pour tenir compte de petits écarts constatés récemment en seront pour leur frais.


Et de toute façon, au grand soulagement des autorités, la confiance des Français dans leur système de soin, dans les autorités médicales et dans la fiabilité de l’actuel procédé ne fait aucun doute. Ou presque. La campagne de vaccination lancée en fanfare en octobre dernier a démarré sur les chapeaux de roues et a été un tel succès qu’on n’évoque plus du tout la question ni dans les journaux, ni dans les hôpitaux, ni même en famille.

Les fêtes approchent et les coïncidences se feront donc suffisamment rares pour ne pas être évoquées lors des repas de famille.


14 décembre 2023

Michel Sardou, empêcheur de piquer en rond ?

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


Michel Sardou, 76 ans, a été victime d’un nouveau malaise. Hospitalisé en urgence, il a été contraint d’annuler ses concerts de Brest et de Clermont-Ferrand. Touché par le COVID, il s’est autorisé à une déclaration qui devrait faire réagir. Le chanteur, connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, a dit : « J’avais tous mes vaccins, donc je me sentais à l’abri. Et finalement je l’ai eu dans le c.l, comme tout le monde ».

Ces propos devraient lui attirer les foudres des promoteurs du vaccin, vous souvenez-vous, ceux qui soutenaient qu’on pouvait discuter de tout sauf des chiffres. Où sont-ils à présent ? Ceux qui annonçaient, comme Pelloux, qu’on savait qui serait mort en décembre 2021. Ou Cymes, qui affirmait que les non vax devaient chaque matin, en se rasant ou se regardant dans le miroir, se dire qu’aujourd’hui ils allaient potentiellement tuer quelqu’un. Pour les autres, au contraire, rien n’est nouveau, il y a longtemps qu’ils ont fait le lien entre vaccin et effets secondaires, considérant que les injections ne servaient à rien, pire qu’elles étaient dangereuses. Michel Sardou n’est pas le seul à subir ces atteintes, nombreux sont les artistes, les sportifs, ou des gens de nos entourages proches, à être atteints de troubles graves. Mais il est proscrit de faire le rapprochement. C’est la faute à l’âge, au réchauffement climatique, à Poutine, ou à l’influence de la lune aussi, tant qu’on y est, mais certainement pas parce qu’ils ont dans le sang un truc curieux qui a fait brusquement augmenter les turbos cancers, les myocardites, les avc, les thromboses, les troubles menstruels et bien d’autres choses.

À tout cela, le corps médical, autorisé à parler, élude la question, de peur d’être vilipendé, poursuivi, et parfois même interdit d’exercer, pour oser douter et, données à l’appui, contester la sécurité des vaccins. Car en macronie, il y a deux sciences. Celle habilitée à s’exprimer, qui en général va dans le sens du plan et l’autre, celle qui ne se fie qu’aux résultats, analyses, et s’interroge. Cette dernière est pourchassée, condamnée.

Pourtant, de l’autre bout de la planète, nous parviennent en écho des études ou des déclarations qui font froid dans le dos. Le ministre colombien admet que « les vaccins COVID ont fait l’objet de manipulations et de tromperies ». Admettre ce n’est pas supposer, c’est confesser, donc avouer. En Nouvelle-Zélande, Barry Young, 56 ans, statisticien a été arrêté pour avoir mis en évidence un taux de mortalité variable en fonction des lots de vaccins utilisés, amplitude qui va de 4% à 21%. En août 2022, une étude largement passée sous silence, a mis en lumière que l’un des 4 sous-types d’anticorps, l’IgG4, se produit après plusieurs vaccinations et provoque des maladies longues et graves en cas d’infection et se trouve impliqué dans les turbo-cancers.

En Suisse, le plus grand assureur maladie du pays constate une augmentation supérieure à 100% du nombre de receveurs de médicaments contre le cancer, après l’introduction de la vaccination. Une autre étude, elle aussi censurée, réalisée par les docteurs Denis Rancourt et Marie Baudin, annonce que 17 millions de personnes seraient décédées dans l’hémisphère sud depuis les vaccins, et que le pic de mortalité précéderait les doses de rappel. Dans les 17 pays étudiés, il y a l’Australie, la Nouvelle-Zélande, toute l’Amérique du Sud.

L’Islande à cessé les injections.

Les faits dénoncés à l’étranger sont nombreux, mais rien ne filtre en France, comme c’est curieux tout de même. On peut espérer que la déclaration de Michel Sardou contribue à poser les bonnes questions. Il est vrai que nous assistons en France à tout autre chose, la tentative de mise hors de poursuites des Delfraissy, Véran, Lacombe, Pelloux et consorts, par la volonté d’instaurer des lois capables, à minima de les exonérer d’avoir poussé les Français à se faire injecter un produit expérimental qui s’avère aujourd’hui douteux. Pourtant la macronie persiste à en faire la promotion. Quel pourra être le niveau de responsabilité de ces gens qui incitent à s’injecter un produit dont les conséquences s’avèrent dramatiques dans de trop nombreux cas ? Pourront-ils feindre l’ignorance, ou se retrancher derrière les avis d’une science qu’ils ont sciemment ignorée pour ne retenir que ce qui satisfaisait à leur plan ? Ils ne devront pas s’en sortir à si bon compte. Mais en entendant, la France, ce pays donneur de leçon en matière de liberté, planche sur :

Interdire les critiques sur les vaccins

Interdire les critiques sur Israël

Interdire les moteurs thermiques

Interdire les critiques sur le réchauffement climatique

Interdire la location des logements mal isolés

Interdire la vente de ces mêmes logements

Interdire RT France (déjà en place)

Interdire Rumble (déjà en place)

Interdire Twitter, ou du moins le contrôler sévèrement.

La macronie se distingue par cette rengaine : interdire, interdire, interdire…

3 décembre 2023

Florian Philippot

Encore un exemple concret du drame que représente le fait d’appartenir à l’UE !
- En mai dernier, Ursula a renégocié en douce les contrats de « vaccins » #Pfizer, ajoutant un avenant au contrat principal de mai 2021.
Or la #Pologne et la #Hongrie ont dit « Non, ça suffit ! On ne veut plus de doses. Plus personne n’en veut ! »
Et ont donc refusé de payer.
- Le problème c’est que c’est l’UE qui décide… Et donc aujourd’hui #Pfizer se retourne en justice contre la Pologne et la Hongrie et réclame à la première 1,5 milliard d’euros ! On saura bientôt le montant demandé à la Hongrie.
Du pur racket !
Libres, les pays auraient fait ce qu’ils voulaient et auraient pu envoyer balader Pfizer !

La Science face au Pouvoir

Avec la collaboration de Pryska Ducœurjoly et en partenariat avec BonSens.org

Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes brutalement entrés dans l’ère du « biopouvoir », qui prétend s’appuyer sur des « vérités » scientifiques pour imposer des mesures liberticides et totalitaires. Peut-on encore parler de « science » quand le débat est censuré, quand toute critique est discréditée, voire pénalisée et ostracisée ?

Loin du pseudo-consensus fabriqué pour étouffer les voix dissidentes, des chercheurs indépendants résistent aux nouveaux dogmes, dont la biologiste Hélène Banoun, qui, avec ce livre, traite des questions cruciales : d'où vient le virus SARS-CoV-2 ? Que sait-on vraiment de cette maladie ? Pourquoi cet acharnement du pouvoir à ne pas la soigner ? Que penser de ces vaccins insuffisamment testés ? Quelles sont les conséquences de l'ARN messager injecté massivement ? Pourquoi tant d'effets indésirables graves ? En quoi cette gestion de crise préfigure-t-elle les prochaines ? Peut-on encore faire confiance aux autorités de santé ?

L'auteure nous livre des réponses dont il est urgent de prendre conscience, d'autant plus que les expériences sur les virus continuent et que le biopouvoir étend ses projets de vaccination généralisée à partir de thérapies géniques hasardeuses, en contournant les règles de sécurité élémentaires au nom de la « science » pour masquer le profit et la cupidité.

Un citoyen informé en vaut deux, c'est pourquoi La Science face au Pouvoir constitue un atout précieux pour rester vigilant face à ce que prépare le biopouvoir. Il en va presque de notre survie.

Pharmacienne-biologiste et ex-chargée de recherches à l'Inserm, Hélène Banoun est l'une des figures du Conseil Scientifique Indépendant, qui a offert de nombreuses vidéos pendant la crise Covid-19 sur la plateforme Crowdbunker. Plume régulière du site d’information médicale et scientifique Aimsib.org, elle publie également des articles sur le virus et la maladie Covid-19 dans des revues scientifiques à comité de lecture en tant que chercheuse indépendante. La Science face au Pouvoir est un livre sans concession et... sans conflit d'intérêt. C'est de plus en plus rare du côté du... biopouvoir.

24 novembre 2023

Message de la CPAM : "Ne choisissez pas !"

Radu Portocala

J’ai reçu plusieurs fois ce message publicitaire de la Sécurité sociale. Et, chaque fois, j’ai été horrifié par cette injonction : NE CHOISISSEZ PAS ! On me demande donc, et de manière impérative, d’abolir mon discernement, d’abandonner une partie de ma liberté, celle au nom de laquelle je prends une décision ou une autre. On me demande, en somme, de me soumettre sans penser.
Pendant la guerre, m’a-t-on raconté, le Reich avait placardé des affiches dont le texte était : « Allemand, ne pense pas, le Führer pense aussi pour toi ! » C’est à ce sinistre slogan que me fait penser cette réclame par laquelle on m’enjoint de me faire injecter un produit dont on sait qu’il ne protège pas.

22 novembre 2023

Jéhovax

Paulmy Ers

Au plus fort des folies covidistes, je soupçonne les réseaux sociaux d'avoir déployé les grands moyens pour bloquer ou effacer tous les messages où j'avais inventé le terme irrévérencieux de "témoins de Jéhovax" pour parler des fanatiques de la seringue. Je les soupçonne d'avoir pesé de tout leur poids pour ne pas que ça devienne viral et que ces fanatiques deviennent la risée à la place des "antivax". C'est là aussi l'une des marques du totalitarisme : censurer toute forme d'irrévérence, de moquerie qui serait selon eux mal placée et que cela se propage, se popularise. On a vu ce que ça a donné en Espagne, avec des mèmes pourtant inoffensifs tels que "Yo me quedo en causa" (cf. Paulina Rubio) ou encore la star TV, la dame du "el pananavirus y todo". Si cela a été relativement toléré par le système (bien qu'il ait gardé un œil là-dessus), en revanche mon "témoins de Jéhovax" plutôt efficace avait le potentiel de ridiculiser le récit au-delà de ce que le système pouvait tolérer. Jamais personne n'a réagi à "témoin de Jéhovax" partout où j'ai écrit cela, formule pourtant trouvée début 2021. Mais rien n'y fait, ils ont réussi leur coup, car ils savent très bien qu'il est plus dangereux pour le système de lui donner une imagine de méchants plutôt qu'une image de clowns, de gens ridicules. Le tyran veut bien être le méchant, mais il ne supporte pas le ridicule.

Piqûre de rappel

13 novembre 2023

Vincent Verschoore

Le Grand-Duché du Luxembourg (640 000 habitants) annonce aujourd'hui la destruction de 755 000 doses de vaccins covid périmés, pour une perte sèche de plus de 16 millions d'euros. Quelque 300 000 autres doses seront détruites fin novembre.
En mars 2022 déjà, la destruction de 240 millions de doses non utilisées avait fait (un tout petit) scandale au Sénat français, et même les pays dits pauvres, tel le Nigeria, ayant reçu des reliquats proches des dates de péremption, doivent aussi les jeter.
Tout ceci est directement lié aux contrats opaques associant l'industrie pharmaceutique, la Commission européenne et les pays membres. Une énorme surcapacité payée au prix fort, pour le plus grand bénéfice de l'industrie et, j'imagine, de von der Leyen et autres intermédiaires. Des milliards d'euros partent ainsi en fumée, argent qui aurait pu et dû servir à soigner des gens.
Incidemment, on peut aussi se demander pourquoi la demande à autant baissé suite à la levée des mesures de coercition, vu que le truc est réputé "sûr et efficace".
Incompétence et corruption, les deux mamelles de L'Union européenne et des institutions de santé.

2 novembre 2023

L'UE veut vacciner les femmes enceintes (vidéo)

Christine Anderson

L'UE persiste dans son désir de vacciner ceux qu'ils appellent "les groupes de population difficile à atteindre", à savoir entre autres, les non-vaccinés, et veulent donner la priorité aux groupes à risque qui incluent les femmes enceintes.

https://www.youtube.com/watch?v=TYziEYSkU-U

15 octobre 2023

Le principe de précaution n'a pas été respecté

Adina de Souzy

Eh OUI, exactement, Monsieur Delfraissy, "On a découvert les effets secondaires au fur et à mesure", tout simplement PARCE QUE C'ÉTAIT un PRODUIT EXPÉRIMENTAL, et ça, vous, mais aussi le ministre de la Santé @olivierveran et les autorités sanitaires NE L'ONT PAS DIT AUX GENS.
Pire encore, les scientifiques et médecins qui le disaient, et ont essayé d'alerter, ont été traités de "complotistes" ou pire, ont été sanctionnés par les autorités de tutelle.
Tout cela pour une maladie qui était peu létale *
Eh NON, monsieur Delfraissy, le principe de précaution N'A PAS ÉTÉ RESPECTÉ, non, pas du tout, à aucun moment, car le bénéfice/risque n'a jamais été favorable pour les gens qui n'étaient pas à risque et ceci a été su très tôt, avec les données israéliennes, et même avec la pharmacovigilance française de l'@ansm c'était visible.
Donc, c'est bien joli d'essayer d'enrober les choses comme si tout avait été fait au mieux.
Mais c'est juste totalement faux, il y a eu des fautes graves avec la coercition qui a été faite pour imposer ces produits expérimentaux, et à beaucoup de niveau, et vous le savez... c'est bien pour cela que vous êtes ici sur le plateau de @clhebdo5, pour essayer de convaincre.
Mais cela ne marchera pas.
Un jour prochain viendra où il faudra expliquer cela devant les tribunaux.

* Pour mémoire

Équipe Ioannidis - Université de Standford

"Les personnes de moins de 65 ans courent un très faible risque de décès par COVID-19, même dans les épicentres de la pandémie, et les décès des personnes de moins de 65 ans sans conditions prédisposantes sous-jacentes sont remarquablement rares."


Taux de létalité médian du coronavirus SARS-CoV-2 période AVANT vaccination
0,0003 % à 0 à 19 ans,
0,002 % à 20 à 29 ans,
0,011 % à 30 à 39 ans,
0,035% à 40 à 49 ans,
0,123% à 50 à 59 ans
0,506 % à 60 à 69 ans



7 octobre 2023

Edmond Dantès

La majorité des Français dit catégoriquement non à une injection génique qui ne les a pas protégés contre l'infection, la transmission et la mort. Pire, ils sont aujourd'hui des dizaines de millions à savoir directement que la potion qu'on les a forcés à prendre provoque dans une proportion inquiétante de graves effets secondaires et des décès. À l'heure définitive du bilan, hors de question pour les politiques et les médias aux ordres de vouloir continuer à les emmerder, de les insulter d'assassins, d'antisémites ou de complotistes. On les qualifie maintenant de soupçonneux, litote qui sonne en creux comme un aveu et qui sera suivi, on peut toujours rêver, d'une sanction exemplaire qui viendra punir tous les responsables de cette catastrophe humaine, économique et sociale. 7/10/2023

26 septembre 2023

Alexis Haupt (auteur et philosophe) : « Nous vivons une drôle d’époque où l’on nous fait croire que douter relève du complotisme. »

Le Média en 4-4-2 / Yoann

24/9/2023 - À travers son recueil de témoignages intitulé « Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? », Alexis explore le délicat équilibre entre la liberté individuelle et la "nécessité collective" en matière de santé publique. Son travail permet de comprendre ce qu’il s’est passé. Car il ne faut pas oublier : des masses entières de la population ont été forcées d’accepter une injection de produit encore à l’essai sous peine de ne pas vivre normalement ou de perdre leur travail.


Alexis Haupt est un penseur engagé qui s’efforce de déconstruire les complexités morales, éthiques et sociétales qui entourent la vaccination par ses analyses nuancées et ses réflexions sur les dilemmes éthiques posés par la pandémie de COVID-19. Dans cette entrevue, nous aurons l’occasion de plonger dans les idées fascinantes d’Alexis Haupt, d’explorer les thèmes centraux de ses livres et de comprendre les implications profondes de cette vaccination dans notre société contemporaine.

« Nombre de politiques savent qu’ils ont menti. Quant aux médias, nombre d’entre eux savent qu’ils ont couvert les mensonges des premiers. Des mensonges extrêmement graves. »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Alexis, et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Nous vous recevons afin d’évoquer votre livre témoignage intitulé « Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? ». Vous écrivez que l’idée et l’envie de sortir ce livre vous sont venues car vous avez remarqué « qu’on désire tourner la page un peu trop rapidement ». Le « on » étant « les politiques et les médias, voire bon nombre de médecins, de fonctionnaires et de citoyens ». Pourquoi selon vous veulent-ils se débarrasser au plus vite de cette période complètement folle pour passer à autre chose ?

Alexis Haupt : Bonjour, la réponse à cette question est pluridimensionnelle. En effet, le désir de tourner la page au plus vite sans analyser à tête reposée ce qu’il s’est passé, s’explique en grande partie par une émotion primaire qui demeure au plus profond de l’âme de tout être vivant, la peur. La peur que ressentent toutes les personnes ayant eu des responsabilités durant la période que nous avons vécue. Nombre de politiques savent qu’ils ont menti. Quant aux médias, nombre d’entre eux savent qu’ils ont couvert les mensonges des premiers. Des mensonges extrêmement graves. Partant de là, il est facile de comprendre pourquoi tourner la page est pour ces personnes le meilleur moyen de ne pas aborder leurs responsabilités. Elles ont peur.

Puis, il y a de nombreuses personnes, médecins ou fonctionnaires qui, conscientes elles aussi que la période a été totalement démente et sachant qu’elles ont défendu le narratif officiel de cette période ou obéi aveuglément aux protocoles liberticides, préfèrent tourner la page rapidement. En effet, elles savent, consciemment ou parfois même inconsciemment pour celles qui sont plongées dans un profond déni, qu’elles ont été d’une façon ou d’une autre les complices du totalitarisme sous prétexte sanitaire. Tourner la page les arrange, les apaise, les rassure.

Enfin, je pense que beaucoup de gens, peut-être même la majorité de la population, sont eux aussi désireux de tourner la page pour la simple raison qu’ils ont pris conscience de s’être fait manipuler, ou pire, parce qu’ils ont pris conscience que leur paresse intellectuelle les avait rendus complices à leur insu du totalitarisme. Ces gens ont eux aussi envie de tourner la page au plus vite pour se conforter dans leur propre monde factice, un monde où le totalitarisme n’a pas eu lieu. Ils étaient dans un « déni de tyrannie » durant le pic des mesures totalitaires et ils adoptent désormais l’attitude typique des périodes post totalitaires : leur cerveau sait qu’ils n’ont pas dénoncé les folies quand elles étaient là, alors ils font ce que le cerveau humain sait faire de mieux, ils se protègent et ne veulent plus entendre parler de ce qui leur déplaît, de cette trouble période. Bref, ils veulent passer à autre chose et se contentent d’un « à l’époque, on ne savait pas » quand on leur reparle de toutes les incohérences et folies de la récente période. Il faut bien comprendre que l’être humain est sujet à ce que j’ai nommé dans un essai écrit justement pendant cette période : la soumission intellectuelle. Dans le Discours de la servitude intellectuelle, je développe ce concept de soumission intellectuelle et explique qu’il s’agit du fait de se soumettre au récit de l’autorité et de le prendre aveuglément pour argent comptant. Je soutiens que cette soumission intellectuelle engendre un « déni de tyrannie », c’est-à-dire l’incapacité de soutenir du regard des abus de pouvoir, un régime autoritaire ou une tyrannie naissante. Si tous les humains sont plus ou moins sujets à ce phénomène de soumission intellectuelle, les périodes autoritaires l’accentuent grandement. Partant de là, nous pouvons dire qu’en période totalitaire, les personnes souveraines intellectuellement, c’est-à-dire celles capables d’analyser le récit officiel, de douter et d’investiguer, sont l’opposition véritable.

Je conclurai en rappelant que dans l’introduction de mon livre-témoignage, je fais surtout référence aux politiques et aux journalistes quand je parle des personnes désireuses de tourner la page. Ces derniers ont été les pièces centrales du totalitarisme que nous avons subi, les scandales sanitaires sont en train de jaillir de partout dans le monde, partant de là, il va de soi que ceux qui ont joué les rôles les plus importants dans cette affaire veulent vite tourner la page et parler d’autre chose. Ils sont pertinemment conscients que reparler de cette période revient à aborder leur responsabilité dans une histoire d’une extrême gravité.



« Ce livre a donc pour objectif de contrer un éventuel narratif mensonger. Il est important de prendre de l’avance dans une guerre du récit, de penser sur le long terme. »

Le Média en 4-4-2 : Vous écrivez que « Le totalitarisme, c’est un incendie qui brûle la liberté et la dignité des hommes. On ne vient pas avec des seaux d’eau pour éteindre un feu de forêt, quelques semaines, quelques mois ou quelques années après que les flammes ont tout ravagé et qu’il ne reste plus que des cendres ! ». Ce livre a-t-il aussi pour objectif de faire prendre conscience à nos concitoyens de la dangereuse dérive du pouvoir ? Analyser avec le recul nécessaire cette obligation vaccinale déguisée permet-il de prendre conscience du totalitarisme qui prend de plus en plus sa place ?

Alexis Haupt : Ce livre peut en effet aider les gens à comprendre ce que nous disait déjà Montesquieu, à savoir que « tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser », d’où l’extrême importance des contre-pouvoirs. Il est important de rappeler que durant la période dont nous parlons, les contre-pouvoirs étaient totalement inexistants. En effet, en proclamant l’état d’urgence sanitaire, le président s’est octroyé les pleins pouvoirs. La proclamation de l’état d’urgence, et ce quelle qu’en soit la raison, peut être le début du totalitarisme, la période l’a démontré.

Néanmoins, le but de ce livre n’est pas tant de dénoncer les abus de pouvoir ni de tenter de convaincre les gens de l’importance qu’il y a à adopter une attitude de vigilance quant aux pouvoirs. L’objectif principal du livre est de réaliser un devoir de mémoire. En effet, le risque que dans le futur, le récit officiel relatant cette période soit faux, existe. Je veux dire qu’il est tout à fait possible que dans les temps à venir, le narratif officiel explique que toutes les personnes vaccinées l’ont fait par conviction, pire, que seule une minorité d’« antivax », sous entendant « anti-science », a refusé l’injection. Ce livre a donc pour objectif de contrer un éventuel narratif mensonger. Il est important de prendre de l’avance dans une guerre du récit, de penser sur le long terme. Je soutiens qu’écrire sa propre histoire, qu’écrire ce que l’on a vécu, est un devoir citoyen. Ce travail est non seulement un devoir de mémoire mais c’est aussi un acte de résistance au sein d’une guerre médiatique qui ne prend jamais de pause. Je répète, quand le pouvoir abuse et devient totalitaire, écrire son histoire personnelle est un acte révolutionnaire. Et puis, si les gens ne le font pas, les « spécialistes » de la réécriture de l’histoire le feront à leur place. Là est la raison principale qui m’a poussé à publier ce livre.

Enfin, donner la parole à de nombreux Français en recueillant leurs témoignages dans un livre est ma façon de faire ma part, de servir la cause de la liberté. Je ne vois en effet pas beaucoup de choses plus liberticides que de contraindre des humains à s’injecter un produit dans le corps. Sans même parler du vaccin-covid, je ne sais pas si les gens réalisent la gravité qu’il y a à forcer des êtres humains, directement ou indirectement, à s’injecter un produit. En effet, comme je dis dans un essai, « si la pseudo-démocratie représentative a privé les peuples de leur droit de disposer d’eux-mêmes, la société pharmaco-punitive a fait pire, elle a privé le citoyen du droit de disposer de son corps ! ». Si ce livre peut servir, ne serait-ce que de façon minime, à éviter qu’une telle folie liberticide réapparaisse un jour ou l’autre, je serai heureux d’avoir modestement contribué à une cause juste.

« J’ai pris conscience de l’importance de libérer la parole, mieux, de la graver dans le marbre. »

Le Média en 4-4-2 : Justement, comment avez-vous recueilli puis sélectionné tous les témoignages présents dans votre livre ?

Alexis Haupt : L’idée de ce livre ne m’est pas venue spontanément. Tout a commencé quand je me suis adressé aux personnes vaccinées sur Twitter afin de leur demander si elles estimaient avoir reçu le vaccin par contrainte ou par conviction. En très peu de temps, beaucoup de personnes ont répondu à cette question. Plus de mille réponses dans la journée. Ces réponses, très parlantes, montraient bien que le consentement avait été extorqué à nombre de gens. En lisant tous les commentaires et en constatant que la propagande médiatique continuait à battre son plein sur ce sujet, j’ai pris conscience de l’importance de libérer la parole, mieux, de la graver dans le marbre. J’ai donc recopié tous les messages. Puis je les ai lus et en ai retenu un certain nombre. Enfin, je les ai publiés anonymement. Ils sont tous retrouvables sur mon compte Twitter puisqu’il s’agit de commentaires publics. Étant nombreux, les messages n’ont pas tous été publiés. J’ai fait une sélection en tentant de prendre des cas dont nous avons tous entendu parler dans notre entourage : obligation de se faire vacciner pour le travail, pour voir un proche à l’hôpital, pour voyager, pour suivre une formation professionnelle etc.

« Des gens se sont vus retirer leurs droits fondamentaux pour avoir refusé un produit expérimental. »

Le Média en 4-4-2 : En « libérant la parole », avez-vous eu des retours de vos témoins ? Était-ce un soulagement pour eux de pouvoir exprimer leur colère ? Vu la propagande médiatique, on image aussi que ce n’est pas aisé d’en parler, encore moins de dire qu’on a été forcé…

Alexis Haupt : Des personnes m’ont remercié d’avoir réalisé ce livre. Je ne sais pas si cela a été pour elles un soulagement d’avoir évoqué ce qu’elles ont vécu. Je pense que la plupart des gens qui ont témoigné étaient prêts à parler de ce qu’il s’est passé et n’ont pas attendu ma question pour le faire. En revanche, je suis certain que le fait de savoir qu’il existe un recueil retraçant ce qu’ils ont vécu leur fait du bien. Je pense en effet que le plus important à leurs yeux est que l’on n’oublie pas ce qu’il s’est vraiment passé pendant cette période, c’est-à-dire que des gens se sont vus retirer leurs droits fondamentaux pour avoir refusé un produit expérimental.

« Les effets indésirables dont sont victimes beaucoup de personnes sont avant tout dus à une société totalitaire dans laquelle nous avons baigné et que je nomme société pharmaco-punitive. »

Le Média en 4-4-2 : Ce « devoir de mémoire », nous le faisons régulièrement sur le site du Média en 4-4-2. En quoi est-ce important de ne pas oublier ce qu’il s’est passé selon vous ? Cela nous prépare-t-il à leur prochaine « pandémie » ?

Alexis Haupt : Le fait de reparler de cette obligation vaccinale dissimulée, c’est-à-dire de cette extorsion de consentement, est d’une importance capitale. Et ce pour plusieurs raisons. Cela permet aux personnes de ne pas oublier ce qu’il s’est passé. En effet, l’oubli est dangereux : c’est à cause de lui que les mauvaises histoires se répètent. Cela permet aussi à ceux qui n’avaient pas les ressources intérieures pour regarder la réalité en face au moment des événements, de l’accepter après-coup. Le psychologue Stanley Milgram nous a démontré que nous n’étions pas tous égaux face aux ordres d’une autorité malveillante, et, dans mon Discours de la servitude intellectuelle, j’ai tenté de démontrer que nous n’étions pas tous égaux non plus quand il s’agissait de regarder en face la nature autoritaire d’un régime. Partant de là, nous comprenons que certains ont besoin de plus de temps que d’autres pour accepter l’idée qu’ils ont vécu une période totalitaire extrêmement grave.

Il est également important de reparler de cette période pour les victimes d’effets indésirables. Car ces dernières ont besoin des mots justes pour dénoncer la cause profonde de ce dont elles souffrent aujourd’hui. Elles souffrent à cause d’un produit qu’elles ont laissé pénétrer dans le sang, certes, mais surtout à cause du harcèlement d’un gouvernement prêt à tout pour extorquer leur consentement, ou bien encore à cause d’une colossale manipulation gouvernementale et des médias de masse. En d’autres termes, il faut bien comprendre que les effets indésirables dont sont victimes beaucoup de personnes sont avant tout dus à une société totalitaire dans laquelle nous avons baigné et que je nomme société pharmaco-punitive. Je lance d’ailleurs l’hypothèse que cette société est un sas d’entrée dans une société de contrôle des masses par le numérique, mais c’est un autre sujet.

Enfin, je crois en effet qu’il est important de se remémorer cette période d’extorsion afin de forger l’esprit des gens et de les préparer aux éventuelles prochaines tentatives de totalitarisme sanitaire ou à d’autres formes de totalitarisme. Ce dernier point est très important. Il est en effet crucial de comprendre que le totalitarisme évolue, qu’il mute avec son temps. La plupart des gens n’ont pas vu venir l’extorsion de consentement et la société « QR code » qui est un embryon de crédit social à la chinoise, parce qu’il leur était inconcevable qu’une telle forme de totalitarisme pût exister. Désormais, on peut dire sans mauvais jeu de mots que beaucoup de personnes sont « vaccinées » contre le covidisme.

« Il ne faut pas oublier que l’histoire a rarement été changée par des masses entières. Au contraire, la majorité est et a toujours été la meilleure alliée de tout type de système. »

Le Média en 4-4-2 : Justement, parlons-en : comment voyez-vous notre avenir plus ou moins proche ? Vous évoquez le contrôle des masses par le numérique et le crédit social à la chinoise ; quelles sont les autres menaces qui pèsent sur nous ? Une « prise de conscience » générale et suffisante est-elle encore possible pour nous éviter le pire ?

Alexis Haupt : Il est très difficile de prévoir l’avenir. Tout ce que l’on peut faire est étudier le présent, faire des liens entres les évènements, et ce, afin de tenter de voir ce qui est possible d’advenir. Dans mon essai intitulé « De la société pharmaco-punitive au crédit social », j’aborde le concept de société pharmaco-punitive en soumettant l’hypothèse que ce que nous avons vécu, la société du pass sanitaire, est un sas d’entrée à la société de contrôle par le numérique. Dans ce petit essai, j’explique que les prétextes servant de sas d’entrée à la société de contrôle des masses peuvent se décliner à l’infini : écologie, sécurité, santé etc., non sans évoquer le risque de vivre dans une société écolo-restrictive. Toujours dans cet essai, je parle de ce que je nomme la « répression tacite » laquelle englobe toutes formes de répression non violente physiquement. Le fait d’interdire à des personnes non vaccinées d’accéder à des lieux ou à des services est certes d’une grande violence, néanmoins, il ne s’agit pas de peines d’emprisonnement, de regroupement dans des camps, d’exécutions extrajudiciaires etc. Cette répression policière brutale et physique a existé et existe encore dans d’autres régions du monde. Eh bien, dans mon essai, je développe le concept de « société de tacite répression », c’est-à-dire de société autoritaire n’utilisant jamais la force ou la violence physique pour opprimer, contrôler, dresser ou réprimer le peuple. Je crois tout à fait possible que ce qui nous attend est une société de ce type-là. Le système de crédit social ou la monnaie numérique exclusive, en pouvant faire de certaines personnes des citoyens de seconde zone, pourrait tout à fait incarner mon concept de société de tacite répression. Je peux me tromper en misant sur l’avènement d’un tel type de société. À vrai dire, je souhaite me tromper ! Cependant, au vu de la gravité de mon propos, il est de mon devoir de citoyen et d’ être pensant d’inciter mes semblables à se pencher sur une telle hypothèse.

Au sujet des prises de conscience collectives, elles sont toujours les bienvenues, évidemment. Toutefois, il ne faut pas oublier que l’histoire a rarement été changée par des masses entières. Au contraire, la majorité est et a toujours été la meilleure alliée de tout type de système. Même quand il s’agit d’une tyrannie. La Boétie l’explique très bien. Le système qui s’appelle crédit social, s’il devait advenir un jour chez nous, ne dérogera pas à la règle. Il sera porté par le peuple qui aura vite fait de s’y habituer. Il n’empêche que les abus et les dérives d’un tel système doivent être dénoncés, les opposants doivent en faire leur mission. Quand bien même minoritaires, nous serons là pour dénoncer ces dérives, comme nous l’avons fait durant la société du pass sanitaire. Qui « nous » ? Eh bien vous, moi et les gens qui sont en train de nous lire.

« Le seul remède pour contrer tout type d’ingénierie sociale est de faire grandir notre moi-pensant : ce moi intérieur capable justement d’observer nos instincts en pleine conscience et de faire connaissance avec ces derniers. »

Le Média en 4-4-2 : Les luttes actuelles se jouent aussi et surtout sur le terrain de l’information, et de la désinformation. À ce propos, vous avez mis en avant le concept de « complosophisme » ; pouvez-vous nous l’expliquer ?

Alexis Haupt : À vrai dire, j’ai créé ce concept il y a de nombreuses années. J’avais un peu plus de vingt ans et je constatais souvent que dans les médias, nombre de journalistes utilisaient de façon abusive l’étiquette de complotiste pour faire taire sans avoir à débattre les interlocuteurs qui dérangeaient. Je me suis dit qu’il fallait donner un nom à cette sournoise tactique, devenue une forme de censure qui ne disait pas son nom. Je la considère comme sournoise parce qu’elle est invisible. Invisible en cela qu’elle consiste à inviter des gens pour feindre d’avoir envie de les écouter et de débattre avec eux et au final à les empêcher d’argumenter et les faire ressortir avec l’étiquette d’esprit délirant sur le front. Dans une guerre du récit, il est primordial de se saisir des mots pour se défendre. Les puissants le savent très bien, c’est la raison pour laquelle ils ont diffusé massivement le terme « complotiste ». Il faut s’inspirer de ces maîtres en propagande et en manipulation, et contre-attaquer avec les mêmes armes : les mots, les concepts. Et s’ils manquent : utilisons notre moi-pensant pour les inventer ! C’est un exercice auquel j’accorde beaucoup d’importance. Je soutiens que c’est par le concept, entre autres, que l’on pourra contrer la propagande. La conceptualisation favorise la pensée et la conscientisation. Dès lors que le terme complosophisme apparaît, l’idée qu’il renvoie est conscientisé dans l’esprit des gens et cela change tout. D’une part, la maîtrise du concept rend l’individu plus difficile à manipuler, d’autre part ceux qui abusent de cette sournoise censure perdent de leur superbe sous la crainte de se voir étiquetés à leur tour de complosophistes, c’est-à-dire de censeurs. Juste rééquilibrage des choses.

Il faut bien comprendre que le complosophisme n’est pas seulement une censure. C’est aussi et peut-être même avant tout, une méthode de manipulation de masse qui vise à pousser les gens à l’autocensure. Le but est d’effrayer les masses, de faire naître dans l’individu la peur d’être marginalisé. Le tout subrepticement. Les gens ont alors peur de remettre en question la version des médias, ils ont peur d’être prudents et sages, bref d’analyser le récit médiatique avec esprit critique. Ils craignent d’exprimer leur opinion, penser devient un délit. C’est très sournois car c’est une façon de jouer avec les profonds instincts humains, lesquels englobent la peur de l’exclusion, la mise à l’écart du groupe. Il faut bien comprendre que nous sommes des mammifères sociaux et que l’exclusion signifie la mort selon nos instincts de Grand singe. En effet, à l’état de nature, un homme sans le groupe ne fait pas long feu. Nous sommes les descendants des homo sapiens qui ont survécu, c’est-à-dire des humains qui sont restés soudés de peur d’être exclus. Nos instincts n’ont pas changé de ce point de vue là : ils croient encore que nous sommes dans la Nature. Notre conscience interprète donc la mort sociale comme la mort tout court. Là est la raison pour laquelle la peur du collage d’étiquettes péjoratives a toujours fonctionné sur la masse. Je pousse mon analyse loin mais il est important de comprendre que nous avons affaire à de la pure ingénierie sociale. Le seul remède pour contrer tout type d’ingénierie sociale est de faire grandir notre moi-pensant : ce moi intérieur capable justement d’observer nos instincts en pleine conscience et de faire connaissance avec ces derniers. L’homme au moi-pensant mature n’obéit plus aveuglément à ses instincts et court moins le risque d’être le jouet de ceux qui auront médité dessus. En d’autres termes, faire mûrir ce moi intérieur capable d’introspection et qui nous permet de nous connaître nous-mêmes est selon moi la clef pour s’affranchir de toute entreprise de manipulation de masse, dont le complosophisme.

Pour conclure sur ce sujet, je dirais que nous avions presque tous, consciemment ou inconsciemment, remarqué que cette censure invisible existait. Ce que j’ai fait n’est autre que lui donner un nom. Ce concept n’est utile que si on l’utilise. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à le diffuser sur les réseaux sociaux. Montesquieu disait que tout homme qui a du pouvoir était porté à en abuser, qu’il « va jusqu’à ce qu’il trouve des limites », eh bien de la même façon, je pense que toute forme de censure ira jusqu’à ce qu’elle trouve des limites. Ainsi, voici une dizaine d’années que le nom de cette censure m’est venu car je pressentais déjà qu’elle pouvait prendre de l’ampleur. Nous sommes en plein dedans : rappelons-nous qu’il n’y a pas si longtemps, on nous parlait d’assises du complotisme, qu’un ministre se permettait sans vergogne de coller cette étiquette sur un journaliste qui lui faisait remarquer que la gestion de la crise sanitaire avait été scandaleuse, que les personnes qui prônaient, à juste titre, la pharmacovigilance étaient taxées de complotistes etc. Quand j’ai baptisé le complosophisme, ce n’était « que » de la censure, mais le risque qu’il devienne un jour une répression politique existe ! Faire apparaître ce concept ou un concept similaire, dans le débat public est le meilleur moyen d’en finir avec lui. Tant que les choses n’ont pas de nom, elles n’existent pas dans le conscient des gens. Il ne faut pas attendre des médias de masse qu’ils parlent d’un tel concept, ils ne le feront pas. Pour que le complosophisme disparaisse, il suffit de le faire apparaître dans la conscience citoyenne, donc de le nommer.

« Nous vivons une drôle d’époque où l’on nous fait croire que douter relève du complotisme. C’est justement le contraire qui est vrai. Tous les récits qui parviennent à nos oreilles doivent passer par un sas d’entrée. Ce sas, c’est le « doute méthodique. »

Le Média en 4-4-2 : Merci Alexis pour le temps que vous nous avez consacré, ainsi que pour toutes vos explications et réflexions qui ne manqueront pas de passionner nombre de nos lecteurs ! Nous vous laissons le mot de la fin.

Alexis Haupt : Durant cet entretien, j’ai parlé de moi-pensant. Je nomme moi-pensant ce moi intérieur capable de poser des questions, de douter des réponses à celles-ci, bref, ce moi intérieur chercheur de vérité. Ce moi qui pense est aussi le moi qui doute. Et c’est précisément sur cela qu’il me tient à cœur de conclure : le doute. Je voudrais rappeler à nos lecteurs l’importance du doute. Nous vivons une drôle d’époque où l’on nous fait croire que douter relève du complotisme. C’est justement le contraire qui est vrai. Aristote a dit que le « doute est le commencement de la sagesse » et il a parfaitement raison. Mais encore faut-il savoir ce que douter signifie. Contrairement à ce que beaucoup s’imaginent, douter ne veut pas dire nier ; douter d’un récit ne veut pas dire croire qu’il est faux. Douter, c’est prendre conscience de son incertitude, de son ignorance et les accepter. Partant de là, tout l’art du doute consiste à ne pas précipiter son jugement devant un récit, c’est-à-dire être capable d’intérioriser l’idée « ce qu’on me dit est peut-être vrai, peut-être pas, je vais la creuser avant de croire ou réfuter ». Ce que j’évoque ici, la suspension du jugement, est une véritable discipline. Hélas, je crains que l’école ne prépare pas les élèves à celle-ci. Ceci expliquant, en partie, la crise de l’esprit critique des adultes ainsi que la forte tendance qu’ils ont à se réfugier aveuglément dans le récit de l’autorité. Tous les récits qui parviennent à nos oreilles doivent passer par un sas d’entrée. Ce sas, c’est le « doute méthodique ». Si vous ne devez retenir qu’une chose de notre entretien, c’est celle-ci : doutez de tout discours, y compris du mien. Quand un récit pénètre votre esprit, il ne faut ni le rejeter ni le croire d’emblée mais le passer sous le filtre de votre esprit critique : c’est-à-dire en chercher les éventuelles failles. Et même lorsque vous êtes parvenus à une conclusion personnelle, bref, même lorsque vous avez fait votre devoir d’être pensant, gardez toujours dans un coin de votre esprit que vous n’êtes pas omniscient et que la conclusion à laquelle vous êtes parvenu est peut être vraie, peut-être fausse, peut-être imparfaite. Tenez-vous prêts à la remettre en question à tout instant. Ainsi, vous aurez une façon d’être au monde qui vous permettra de progresser dans la quête de la vérité, vous serez ouverts au débat, et, conscients de votre non omniscience : vous tendrez vers la sagesse.

Vous pouvez vous procurer le livre « Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? » d’Alexis Haupt sur sa page Contre Propagande.

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