Jean-Michel Gorsse
13/7/2025
Le chef d'état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, a déclaré que la Russie était la principale menace pour la France.
Le danger pour la France, ce n’est pas la Russie, c’est Macron et Ursula.
Un tandem ravageur : lui démolit la maison France pièce par pièce, elle rase les États membres à coups de règlements européens et de milliards qu’on n’a pas.
Macron détruit les hôpitaux, l’école, la justice, l’énergie nucléaire, les libertés publiques, la police de proximité, la diplomatie, et même la langue française, quand il ne la massacre pas à Davos entre deux poses mondialisées. Il ne gouverne pas, il liquéfie. Et il le fait avec une telle arrogance qu’on se demande s’il n’y prend pas un certain plaisir.
Von der Leyen, de son côté, n’a jamais été élue par personne, mais décide de tout : de ce qu’on doit subventionner, interdire, importer, penser. Elle prend les peuples de haut, méprise les frontières, moque l’idée même de nation, et déroule son programme comme un manuel de domination tranquille.
Et quand les peuples ne sont pas d’accord ? On sort le chéquier. Cent milliards par-ci, cinquante par-là. Ce n’est pas leur argent, alors ils arrosent. Et si ça ne suffit pas à faire plier, on sort l’arme atomique… française bien sûr, comme si la dissuasion nationale devait devenir un jouet communautaire pour bureaucrates bruxellois.
Ils ne gouvernent plus : ils administrent le chaos, habillés en progressistes, mais armés de tout ce qu’il faut pour anéantir la souveraineté, la liberté, et jusqu’au bon sens.
Ce n’est pas une politique, c’est une entreprise de démolition.
Et pendant ce temps, on explique aux Français que le vrai danger, c’est Vladimir.