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2 janvier 2025

Yann Thibaud

- 28/12/2024 - Avez-vous remarqué que les responsables et partis politiques que les médias mainstream taxent d'extrémistes ou de fascistes sont précisément ceux qui souhaitent la paix ?
Et que ceux qui se targuent d'être de parfaits et exemplaires défenseurs de la démocratie sont en réalité des bellicistes furieux et fanatiques ?
Inversion accusatoire, bien-pensance et hypocrisie étant la marque des temps que nous vivons aujourd'hui.
Et le désir ardent de faire la guerre sans motif réel, tant vis-à-vis des autres peuples que de leur propre peuple, étant la caractéristique de la caste qui nous gouverne.
Cette manie d'entrer en guerre contre des pays qui ne nous menacent aucunement pouvant, à mon sens, être qualifiée non seulement d'impérialisme, mais également de néo-colonialisme.
Je crois cependant que nous n'aurons pas la guerre, simplement en application de la fameuse loi d'attraction, qui énonce que c'est la résultante des pensées des peuples qui créent la réalité qui en découlera finalement.
Ainsi, puisque dans son immense majorité, notre peuple veut la paix, il y a tout lieu de penser que nous échapperons à la guerre.
Nous nous trouvons dans une situation tout à fait différente de celle qui a prévalu lors des deux guerres mondiales.
À cette époque, la propagande était crue et admise pratiquement sans aucune réserve.
Aujourd'hui, il en va tout différemment, grâce à l'éveil de l'humanité qui amène celle-ci à penser de plus en plus par elle-même et à ne plus adhérer naïvement à ce qu'on lui répète et répète encore.
À cet égard, l'accumulation de mensonges et d'illusions que nous avons vécue ces dernières années, nous a paradoxalement amenés à effectuer des pas de géant dans le processus d'éveil collectif du peuple humain.
Penser et réfléchir véritablement et profondément, s'informer et développer son sens critique, telle est donc notre sauvegarde ainsi que notre raison d'être sur terre !

1 janvier 2025

Une année 2025 qui s'annonce "compliquée"

Ze Rhubarbe Blog

On parle beaucoup de l'effondrement de l'Europe sous le joug euro-atlantiste, mais une crise monétaire d'ampleur guette aussi les USA, tandis que les grands pays des BRICS (Chine, Inde, Brésil, Russie) font également face à une importante crise économique.
On peut espérer une fin à la coréenne du conflit en Ukraine d'ici fin 2025, mais les psychopathes de l'Otan voudront maximiser les dégâts et les morts (russes et ukrainiens) d'ici là.
L'Ukraine, elle, aura perdu beaucoup plus que si on lui avait laissé signer l'accord de cessez-le-feu de mars 2022, mais il fallait bien détruire l'économie européenne au profit du maître américain, alimenter son CMI, et mettre en place le pillage des ressources de l'Ukraine par le grand capital.
Cerise sur le gâteau euro-atlantiste, l'arrêt du gaz russe via l'Ukraine vers l'Autriche, la Hongrie, la Slovaquie et les Balkans va encore appauvrir ces économies, sommées de se soumettre à l'EuroSoviet et sa technostructure corrompue.
Parlant de corruption, on attend d'ailleurs toujours le procès de von der Leyen pour l'affaire des contrats covid opaques, et même si les covidistes américains se planquent depuis la victoire de Trump, ils continuent, ici, à promouvoir sans honte le narratif marketing de Big Pharma et à chanter les bienfaits de la dictature sanitaire et policière. Mais la messe est loin d'être dite.
Personne ne sait ce qu'il va se passer en Syrie, et plus largement au Moyen-Orient où les cartes sont rebattues dans le sang, mais il n'est pas interdit d'espérer, pour le Pas-de-Calais et pour les migrants vers le Royaume-Uni, que la tension entre l'attractivité économique de la "lutte contre les migrants" et la morale la plus élémentaire ne débouche sur quelque chose d'un peu plus humain, et de beaucoup moins hypocrite.
2025 sera aussi, très probablement, une année charnière pour l'humanité en matière d'IA, tout laissant à penser qu'on y verra apparaître une forme d'IA générale, aussi intelligente que les meilleurs humains et donc capable de réaliser la plupart des tâches "intellectuelles" qui nous incombent aujourd'hui. Les implications sont énormes, mais pourtant hors du champ politico-médiatique mainstream.
En sciences fondamentales enfin, les grandes questions sont de retour sur la nature de l'univers, de la vie, de la matière et de la conscience. Notre modèle du monde est cassé face au problème insoluble de la tension de Hubble, et le téléscope James Webb pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses : ça ressemble au début d'une nouvelle ère.

BONNE ANNÉE

31 décembre 2024

HEUREUSE ANNÉE 2025

Gabriel Nerciat

- 31/12/2024 - Joyeuse année à tous, chers amis.
Chers ennemis aussi, d'ailleurs, ne soyons pas sectaires (islamo-gauchistes, européistes, néo-cons, wokes, bellicistes pro-ukrainiens, libéraux démocrates-progressistes ou démocrates-chrétiens, et tout et tout), car sachez que vous risquez d'en prendre plein la gueule dans les douze mois qui viennent.
Mais quoi, c'est la vigueur du combat qui fait les années valeureuses et souvent stimulantes, n'est-il pas vrai ?
Sûr en tout cas qu'on ne va pas s'ennuyer. Il n'y aura pas de mélancolie intempestive dans l'année qui commence ce soir.
Et puis, bien sûr, paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté – la bonne volonté commençant par la fin heureuse des guerres criminelles, inutiles et perdues d'avance, comme celle qui fait rage depuis plus de deux ans et demi à l'est de l'Europe par la faute de l'OTAN.
Que la joie, le plaisir et l'amour par-dessus tout guident vos pas. Même et surtout si cela ne dépend pas de nous.

« Le fait du prince » : la colère de Stéphane Bern contre le projet d'Emmanuel Macron de poser de nouveaux vitraux à Notre-Dame


© Amaury Cornu / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

C'est "un caprice" d'Emmanuel Macron pour Stéphane Bern. L'historien et animateur sur Europe 1 dénonce la volonté du président de la République d'installer six vitraux contemporains sur une façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris, fraîchement rouverte au grand public. Celui qui est aux commandes d'Au cœur de l'Histoire fait part de sa volonté de s'y opposer, avec l'aval de la ministre de la Culture Rachida Dati, afin de mener des recours contre le projet.

"Pardon de le dire, mais l'Etat contrevient aux règles de défense du patrimoine en voulant démonter des vitraux anciens", déplore le défenseur du patrimoine français. "C'est l'Etat qui est propriétaire de la cathédrale Notre-Dame de Paris, donc c'est cela qui me choque le plus : l'Etat s'arroge le droit de ne pas respecter des règles qu'il impose à tous", poursuit Stéphane Bern.

Au micro d'Europe 1, l'un des animateurs préférés des Français "ne peu(t) pas (s)'empêcher de penser que c'est le fait du prince de vouloir avoir des vitraux contemporains". "C'est contre ça que je m'érige : on ne peut pas à la fois faire respecter la loi et en même temps contrevenir soi-même à la loi."

Et Stéphane Bern de rappeler la situation économique de la France. "Est-ce qu'on a vraiment quatre millions d'euros à dépenser pour démonter des vitraux qui ont résisté à l'incendie pour mettre des vitraux contemporains ? Je ne crois pas", conclut l'animateur sur Europe 1.

LES GRÂCES ACCORDÉES PAR JOE BIDEN À SA FAMILLE ET SES PROCHES SONT-ELLES LÉGALEMENT RECEVABLES ?

Marc Amblard
31/12/2024

1. Le président Joe Biden détiendra un record (parmi d’autres) : celui d’avoir commué les peines de plusieurs milliers de personnes et d’avoir accordé sa grâce à des dizaines de grands voyous à commencer par son fils et ses amis. Du jamais vu.
2. Il est cependant admis par tout l’échiquier politique de Washington que Joe souffre d’une sénilité très avancée depuis plus d’un an. Il est incapable de prendre la moindre décision de façon éclairée et doit être médicalement assisté 24H sur 24.
3. Or, tout étudiant débutant une faculté de droit doit savoir qu’un contrat, testament, tout autre acte juridique (tel un décret) est réputé nul et non avenu si l’une des parties est mentalement incapable, comme c’est manifestement le cas du 46ème président.
4. La question se pose alors de savoir si ces grâces accordées aux meurtriers et surtout celles visant par anticipation à apporter une immunité aux responsables politiques pour leur éviter de rendre des comptes sont légalement contraignantes.
Sans être un spécialiste du droit constitutionnel américain, je ne pense pas trop me tromper en répondant par la négative. A tout le moins, le Congrès devra sérieusement enquêter sur ce point.
Rendez-vous dans trois semaines. Elles seront longues…
Bonne fin d’année à tous.

30 décembre 2024

C'était les Gilets Jaunes

Kuzmanovic Georges
29/12/2024

C'était il y a 6 ans, à Bordeaux, le dernier Acte de 2018.
Que de (beaux) souvenirs...
Tous les copains d'alors ne sont plus.
Certains sont fatigués ou cassés par le système.
D'autres, complètement désabusés, n'y croient plus.
Mais beaucoup ont en eux la flamme toujours vive.
C'était beau ! C'était populaire ! C'était fort politiquement !
Souvenez-vous !
L'oligarchie et la macronie avaient alors tremblé – certes un peu, mais significativement.
Le peuple sortait de son lit.
Formidable, puissant, inventif, drôle, tout en étant politique, intelligent – gaulois réfractaire en somme.
Et le peuple voulait reprendre le contrôle !
Le peuple voulait le RIC, c'est-à-dire le retour à la souveraineté populaire, dévoyée depuis plus de 30 ans, travestie, vendue à des intérêts supranationaux.
Comme en 2005, le peuple comprenait l'enjeu.
Et ce n'était pas un peuple délinquant, mais un peuple travailleur, citoyen, ancré dans le quotidien ; ce n'était même pas principalement un peuple militant.
Ce n'était ni spécialement de gauche, ni spécialement de droite.
Ce n'était organisé ni par Mélenchon, ni par Le Pen, ni même par Poutine.
On dit qu'au Département d'État et à la CIA on se serait demandé quelle était cette "révolution de couleur" non orchestrée par Washington.
C'était juste le peuple. Joyeux, volontaire.
C'était l'expression de la démocratie la plus pure, la plus authentique.
Et le pouvoir a eu peur.
Macron a tellement cru qu'ils venaient le chercher qu'il en avait même préparé un hélicoptère d'extraction de l'Élysée.
Et l'Union européenne a eu peur, et les banques ont eu peur.
C'est normal, ces pouvoirs-là n'aiment pas le peuple et ne veulent pas de la démocratie.
Ils ont aussi eu peur de la contagion française – ça c'est déjà vu dans l'histoire.
Alors, ils ont réprimé.
Des milliers d'arrestations gratuites, des comparutions immédiates, des sanctions de prison ferme souvent contre des citoyens qui n'avaient même pas de casier judiciaire – étonnamment, la justice n'a pas été laxiste à ce moment-là.
Bien sûr aussi des centaines de blessés graves avec des blessures de type "de guerre" (les énucléations et les membres arrachés, c'étaient les quelques arbres dramatiques qui cachaient la forêt des dommages subis par des centaines de manifestants).
Alors ils ont singé le dialogue, avec le narcisse de l'Elysée en tête, qui a organisé des centaines de faux débats pour noyer le poisson.
Ils ont même mis en place des "cahiers de doléances" – comme en 1789 quand même – mais pour rien. Ah si, gagner du temps, noyer le poisson.
Ces cahiers de doléances sont très instructifs et... nourrissent les souris des sous-préfectures. Le pouvoir s'est assis dessus.
Et puis le temps, la maîtrise des médias leur a permis de réécrire l'histoire de ce mouvement, de tenter de faire oublier qu'il a été soutenu à ses débuts par les trois quarts des Français, de tenter d'en faire un mouvement de gros beaufs bouffons, de "fascistes".
Mais voilà, ceux qui en furent savent ce que fut ce mouvement ; ils savent aussi que demain le volcan peut exploser encore.
« On est là ! On est là !
Même si Macron le veut pas, nous on est là !
Pour l'honneur des travailleurs
Et pour un monde meilleur,
Même si Macron le veut pas, nous on est là ! »

29 décembre 2024

LA LANGUE DE L'EXPERTISE EURO-ATLANTIQUE

Gabriel Nerciat


- 28/12/2024 - Ce matin, sur France-Culture, je tombe par hasard sur une jeune péronnelle présentée comme une experte de la politique étrangère euro-américaine, et qui livre sur un ton d'autorité, dans une langue française pas trop classique (pardon, "vintage"), l'interprétation suivante de ce qui peut se passer l'an prochain, après le 20 janvier :
« Trump, on n'a pas compris. C'est un homme dangereux, mais on se méprend. Ce n'est pas le "come-back" qu'on croit.
Voilà ce qui va se passer, presque en "live" : il va proposer des négociations de paix à Poutine, qui n'en voudra pas parce que les Russes en ce moment ont l'avantage militaire sur le terrain.
Poutine déclinera l'offre en disant que c'est du "bullshit" ; alors Trump sera furieux et déversera encore plus d'aide militaire sur l'Ukraine que Biden.
Trump est un butor ultra-viril, mais qui n'a pas peur d'un "challenge" aussi "hard". "On" va lui faire comprendre que si l'Ukraine perd la guerre contre Moscou, lui passera pour un "has-been", un vaincu, un faible, un minable. Il ne supportera pas.
Et puis, je crois qu'il va proposer un "deal" à la Chine : il va convaincre Xi de lâcher Poutine pour le pousser à capituler ou à négocier, en lui faisant comprendre qu'ainsi la Chine serait vraiment reconnue comme le "prime-partner" de l'Amérique dans la gouvernance du monde.
Alors là, Poutine devra céder et accepter toutes les conditions dictées par Washington et Pékin. Pour le Kremlin, ce sera une "deadline".
Les Russes devront accepter la présence de troupes occidentales à l'ouest de la ligne de front ukrainien, comme en Corée. Trump ne veut pas envoyer de "boys", parce qu'il est isolationniste et "overbooké", mais là, là, là... ce sera une chance historique pour l'Europe !
L'occasion unique de créer une vraie "team" européenne, une défense européenne effective qui fera le "buzz" dans le monde entier et pourra s'interposer entre les États-Unis et la Chine.
Voilà le "pitch". C'est ça qui va se passer. »
J'ai arrêté là, en essayant de me rappeler comment on dit "martinet" en anglais.
Après, on s'étonne que les Européens il y a quelque temps aient pronostiqué l'effondrement militaire et économique de la Russie, suivi de la victoire de Kamala Harris.
Oh my God !

Avec le RPF, des vœux de réalisme et de combat

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
29/12/2024


2024 s’achève et nos yeux sont depuis quelques temps déjà tournés vers 2025. D’abord parce que le monde entier libre et patriote attend l’investiture de Trump pour vérifier que sur certains thèmes au moins, il rompt avec la politique mortifère et décadente de son prédécesseur et de la clique de Davos. Ensuite parce que les élections en Allemagne pourraient déboucher sur un bouleversement radical au sein de l’UE et nous obliger à changer notre vision des choses. Pour notre propre compte, nous attendons que le gouvernement de Bayrou tombe à son tour et bien plus rapidement que celui de Barnier, avec non pas l’angoisse de voir Macron déclencher l’article 16 en réaction épidermique, suite à une nouvelle censure, mais bien pour le pousser dans ses derniers retranchements. Et s’il avait recours à ce stratagème déplacé, sa fin serait assurée. Il se murmure qu’il s’apprêterait à faire un discours du jour de l’an en forme de demande de pardon des Français ! Trop tard, trop de mal a été fait, mais il serait étonnant que malgré cette incroyable indiscrétion, Macron se livre à un tel exercice, l’homme est bien trop égocentrique, narcissique et imbu de sa personne pour, ne serait-ce que feindre le repentir. De toute façon il est hors de question qu’après avoir avoir ruiné, éborgné, insulté, méprisé, taxé, confiné, vacciné, masqué, endetté, brimé, empêché, livré en pâture aux criminels étrangers, assommé de normes… nous lui accordions un quelconque pardon.

Les peurs agitées tout au long de ces derniers mois n’ont pas entamé la détermination des patriotes, pas plus qu’elles ne nous ont effrayés. Ces désirs de guerre se sont dissipés au fil du temps face à la réalité du terrain. Ses prétentions de grandeurs s’amenuisent également et il constate amer, qu’il ne suffit pas de décréter avoir une majorité, ou bricoler un gouvernement avec des personnalités dont plus personne ne veut, pour créer la concorde qu’il aimerait voir s’installer autour de lui. 76% des Français sont mécontents de lui et on se demande bien, à converser avec nos entourages, qui sont ces 24 % qui restent… c’est là un record. En tire-t-il des conclusions ? Non. Son épouse aurait avoué qu’il n’écoutait plus personne, mais mon Dieu, s’est-il un jour plié à cet exercice ? Pas que nous sachions. Donc jusque-là rien n’est nouveau, si ce n’est que ce qui pouvait passer quand il avait encore une armée d’idiots utiles pour courber l’échine et le suivre, ne fonctionne plus aujourd’hui.

Au RPF, nous avons combattu sans relâche sa politique de ruine et de déclassement et nous avons quelque part gagné cette bataille de la réinformation, avec beaucoup d’autres, allant contre la sphère médiatico-politique pratiquant la propagande. Et nous poursuivrons cette lutte qui ne cessera qu’avec son départ et l’installation d’un pouvoir de salut public, dont la première tâche sera de rétablir une constitution qui protège le peuple, en lui donnant la parole plus aisément et dont les contre-pouvoirs ne sont pas des chambres d’enregistrement ou le bras armé de l’exécutif. La restauration pleine de la souveraineté du peuple, sans qu’aucun domaine ne soit délégué à une instance supranationale reste un objectif intangible. Nous n’avons jamais cru en ceux qui se commettaient à ses côtés au soi-disant principe de sauver la France, ou de vouloir la servir. S’associer à Macron, ce fut toujours trahir, agir pour son propre compte ou pire pour celui de commanditaires étrangers, sans jamais se soucier de l’intérêt général. Ceux qui se sont livrés à cette comédie sont complices de la destruction voulue et programmée par Macron. Ceux qui se vautreront dans cette compromission ne pourront à nos yeux se prévaloir de l’alibi de l’ignorance du dessein du prince qu’ils ont choisi de louer. L’idéologie macroniste doit être combattue jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix, nous savons que les amis de cette clique tenteront par tous les moyens de ruiner le pays et de semer la misère parmi le peuple de France, jusqu’au dernier moment. Qu’à cela ne tienne, nous supporterons ces attaques, relèverons ce défi. Notre pays dispose des ressources humaines et morales capables de surmonter ces bassesses à venir, et de juger ceux qui auront conspiré contre les intérêts de notre nation.

Nous poursuivrons notre combat, et le but premier est bien de voir Macron quitter ce pouvoir qui ne lui appartient déjà plus, mais qu’un artifice légal l’autorise à conserver encore un peu, le temps de l’erreur de trop, celui du réveil des parlementaires ou pire, celui d’un peuple jusque là endormi, et qui ouvre de plus en plus les yeux. La liberté et la dignité ne se cultivent pas dans le confort de l’ignorance ou du renoncement, il est plus facile de se contenter de la servilité que de se débarrasser de ses chaînes, mais bien plus honorable de vivre debout que couché. La France a connu bien des vicissitudes et c’est sur un champ de ruine qu’elle s’est relevée pour briller à nouveau, le temps que des félons, des rampants, s’approprient le pouvoir que des hommes de hautes valeurs avaient rétabli, pour détourner les richesses et la saveur de notre nation à force d’intrigues et de mensonges. 2025 doit être la continuité de cette lutte qui commence à porter ses fruits. Partout les consciences s’éclairent et découvrent, parfois avec stupeur le personnage qu’est réellement Macron et l’avenir qu’il nous promet, à base de surveillance, de normes et de contraintes, sous des prétextes climatiques ou sanitaires. Il chancelle et finira par tomber. Toute cette dynastie est en fin de règne, c’est donc là qu’elle est la plus dangereuse, et que nous devons rester debout. La victoire est devant nous, elle sera celle de tous ceux qui désirent en priorité le changement de direction sur des bases redessinées pour le bien de tous et non dans l’intérêt de quelques-uns, à l’image de cette France gaulliste, qualifiée de « glorieuse ». Puissions-nous la voir se concrétiser définitivement en 2025. Bonne et heureuse année…


Le groupe Telegram du RPF :

Dérive totalitaire

Alexis Haupt. Philosophie
28/12/2024

N’empêche, je crois que l'on sous-estime une chose : l'état d'esprit des gens qui ont été ostracisés pendant le Covid. Ostracisés pour avoir prôné la pharmacovigilance, ostracisés pour avoir eu raison avant tout le monde, ostracisés pour avoir défendu le droit de disposer de leurs corps, ostracisés pour s'être opposés à un État totalitaire. En effet, une véritable cassure s'est produite dans l'esprit de ces personnes. Une cassure qui se réparera petit à petit avec le temps mais qui ne disparaîtra jamais totalement. À nouveau, je crois que les personnes qui ne se sont pas opposées au totalitarisme ne mesurent pas à quel point le propos que je soulève ici est réel et sérieux. À titre d'exemple, pour ma part, en plein Covid, c'est-à-dire en pleine dérive totalitaire et en plein délire collectif, je m’étais préparé. Préparé au pire. En effet, après m'avoir interdit de m'asseoir aux terrasses de café ou d'entrer dans les restaurants avec les "gens normaux" au motif que j'étais un "pestiféré", après m'avoir interdit de prendre les transports en commun pour la même raison, de visiter des proches à l’hôpital pour la même raison, de rentrer dans certaines galeries marchandes ou grandes surfaces pour la même raison, etc., et en entendant le discours de haine de certaines personnes – politiques, chroniqueurs ou journalistes – vis-à-vis des non-vaccinés (rappelons-nous qu'on voulait nous "emmerder", venir nous chercher à notre domicile, nous laisser mourir dans notre coin si nous avions besoin de soins urgents ou d'être opérés, nous mettre dans des camps...), eh bien après tout cela disais-je, je m'étais préparé au pire. À un moment, j'avais intériorisé l'idée : "eh bien soit, si après m'avoir retiré tous mes droits et libertés fondamentales, ils veulent me mettre en prison, qu'ils m'y mettent".
Je ne sais pas si les gens mesurent la gravité de ce que je j'explique ici. Je suis en train de dire que je m'étais préparé psychologiquement à ce que l'on m'incarcère éventuellement. Bref, tout cela pour dire que l'on ne revient pas d'une telle période comme si de rien n'était. Aujourd'hui, les personnes non-vaccinées portent en elles des blessures que les autres n'ont pas connues et ne comprendront par conséquent jamais. De ce point de vue là, le Covid ne terminera jamais. Cette période est inscrite dans la chair de nombre d'êtres humains et je suis heureux de faire partie de ceux qui ont tenté et qui tentent encore aujourd’hui de mettre des mots sur ce qu'ont vécu ces humains qui ont été de véritables boucs émissaires. Que ce soit pour les aider à aller mieux ou pour leur rendre justice. Ce que nous avons vécu nous autres les "non-vaccinés" est d'une extrême gravité, mais cela nous donne un avantage certain sur la majorité de la population, laquelle vit encore dans le "déni de tyrannie" ou dans le médiavers : nous savons ce dont sont capables nos dirigeants, nos médias et l’élite ploutocratique qui les pilote. Nous connaissons leurs intentions et leur degré de malveillance. C'est là un avantage certain ! Eh oui, tout compte fait, il y a bien une choses contre laquelle nous sommes vaccinés, nous autres les "complotistes" : leur propagande, leur manipulation et leurs mensonges.