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15 octobre 2025

France : un squatteur et 65 millions d’otages

H16
15/10/2025

La situation actuellement en France est complètement coincée.

Au fur et à mesure que le temps passe, plusieurs choses se mettent en place avec une quasi-impossibilité de retour en arrière.


D’un côté, nous avons un Macron adulescent dont l’ego surdimensionné ne le laissera jamais démissionner. Cet ego étant plus important que tout le reste, il fait absolument tout pour faire durer le plaisir jusqu’en mai 2027. Ce qui veut dire qu’on se retrouve avec une vingtaine de mois pendant lesquels il va multiplier les manœuvres de pure politique politicienne pour tenter de faire durer son mandat.

De l’autre côté, nous avons des politiciens sur tout le spectre politique qui comprennent de moins en moins confusément que toute proposition de gouvernement avec ce pitre dangereux est un véritable piège.

Tous ceux qui ont servi Macron se sont complètement brûlé les ailes. Tous ceux qui s’en sont approché ont subi des décotes massives dans l’opinion publique. Il apparaît donc évident que participer à un gouvernement au profit d’Emmanuel Macron relève maintenant d’une très mauvaise tactique politique, et obère énormément toute possibilité de carrière future.


Dans ce contexte, il n’y a guère que les macronistes pur jus qui peuvent encore espérer constituer un gouvernement. Le problème, c’est que ces derniers sont de moins en moins nombreux et de moins en moins éligibles : entre la perte de popularité, l’absence de réels cadors politiques dans le camp de l’extrême centre, et la multiplication des casseroles plus ou moins douteuses qui finissent par des condamnations ou des taches sur le CV, l’attrition est de plus en plus forte dans le camp macroniste.

Pour être encore macroniste actuellement, il faut véritablement être un loser particulièrement peu affûté politiquement, mais c’est avec ces chips molles et, d’autre part, des traîtres qu’un gouvernement doit se constituer. Ceci ne peut pas donner un gouvernement ni viable, ni solide.

C’est ce à quoi on a assisté pour ces derniers gouvernements, avec des individus au passif de plus en plus lourd, aux retournements de veste de plus en plus rapides et à l’absence de colonne vertébrale de plus en plus évidente. Le problème, c’est qu’on ne peut pas diriger un pays comme la France avec des mollusques, quand bien même ils adorent manger les salades servies par Macron.

Dans ce contexte, les prochaines étapes promettent d’ajouter au grotesque de la situation actuelle : rappelez-vous, l’ego de Macron lui interdira toute démission, et ce d’autant plus qu’il lui reste toujours la possibilité, qu’il finira par utiliser, de dissoudre l’Assemblée et renvoyer les députés devant leurs électeurs, dans une sorte de « mieux vaut eux que moi » typique de l’irresponsable toxique qu’il a largement démontré être sur les 10 dernières années.

Or, une dissolution de l’Assemblée, avec le climat socio-économique et politique actuel, n’est pas exactement pour Macron une façon de solidifier son avenir, au contraire : dans le meilleur des cas, une majorité absolue se dégage… et elle ne sera pas au centre. Selon toute vraisemblance et sauf à imaginer un déluge de bidouilles judiciaires et de magouilles politiciennes d’ampleur inouïe, c’est bien le Rassemblement National et ses alliés qui l’emporteraient dans ce cas.

Ce faisant, il laisse la direction d’un pays sur le point de l’effondrement à un parti qui n’aura de toute façon pas le temps de réellement en modifier la trajectoire et ce d’autant plus qu’il aura toute la presse, les syndicats et une bonne partie de l’administration qui lui seront farouchement opposés. Autrement dit, ce qui passe pour la droite en France sera passablement rôti arrivée à l’élection présidentielle de 2027.


Cependant, cette tactique de la dissolution pourrait tourner franchement au vinaigre pour Macron, à trois titres.

Le premier, c’est qu’il existe une possibilité non nulle que les élections législatives n’aboutissent pas à une majorité absolue. Le cirque pourrait donc reprendre, avec différentes variantes plus ou moins amusantes, obligeant Macron – et les Français captifs avec lui – à patauger de longs mois sans direction.

Le second, c’est que rien n’indique que, même avec une majorité – absolue ou relative – le parti ou l’alliance qui arrivera en tête à la suite de ces nouvelles élections voudra effectivement prendre le pouvoir. De façon inédite mais crédible compte tenu de l’odeur de soufre qui se dégage de l’Élysée, Macron ne parviendrait alors pas à trouver un premier ministre issu de la majorité et serait, de fait, à peu près incapable de gouverner. Il pourra toujours expliquer que le blocage provient des autres, les vilains, les méchants, les opposants veules, mais si ces derniers réclament systématiquement sa démission, le rejet de responsabilité – une spécialité de Macron – pourrait ne pas fonctionner cette fois-ci, surtout auprès de Français qui le détestent de plus en plus.

Le troisième est cependant le plus probable : chaque jour qui passe est un nouveau jour sans des décisions fermes et indispensables pour redresser l’état catastrophiques de l’État français. Autrement dit, chaque jour sans gouvernement ou au milieu des pitreries politiques actuelles est une occasion manquée de lancer des réformes en profondeur pour redonner un peu de marges de manœuvre à un pays de plus en plus proche du défaut de paiement. Une dissolution n’est qu’une nouvelle perte de temps, un très mauvais signal envoyé à tous les bailleurs de cet État impécunieux, obèse et impotent et ces bailleurs pourraient bien décider, à la suite de cette opération, d’exprimer leur ras-le-bol.

Le mandat de Macron pourrait alors prendre fin de façon abrupte.


https://h16free.com/2025/10/15/82228-france-un-squatteur-et-65-millions-dotages

8 octobre 2025

Gastel Etzwane

-7/10/2025- Quelle surprise… Ce type est comme une bernique : il s’accroche à son rocher et ne partira jamais de lui-même. Ce n’est tout simplement pas dans sa nature. Il vit dans un monde imaginaire, persuadé que tout tourne autour de lui, incapable de percevoir la réalité du pays. Sa construction psychique semble s’être figée quelque part entre 13 et 14 ans, si vous voyez ce que je veux dire.

Dessin de Placide

Pierre Duriot

Ces caciques qui atterrissent mollement...

-8/10/2025- Etonnant cette France... On laisse un type programmer la destruction d’un pays bimillénaire, un temps le phare intellectuel de la planète. Il vend Alstom, autorise la vente de fleurons industriels stratégiques, organise des prélèvements d’argent sans fin sur les ménages, ruine nos concitoyens. Pire, il participe au montage de toutes pièces d’une fausse pandémie, en profite pour expérimenter des coercitions sociales digne d’un régime totalitaire, promeut l’injection d’un produit inconnu, encore en cours d’expérimentation, dont on sait maintenant qu’il est toxique, monte, toujours avec les mêmes, la fable énergétique basée sur un carbone qui n’est pas polluant, qui n’a jamais été aussi peu présent dans l’atmosphère et qui n’est très majoritairement pas d’origine humaine, en profite pour donner notre argent en masse à des fabricants de moulins à vent inutiles, dangereux pour la stabilité du réseau et qui permettent de faire monter comme jamais le prix de l’électricité et de supprimer les voitures. Il organise ou laisse faire l’arrivée de millions de gens qui déstabilisent la vie française jusque dans les villages et ruinent un peu plus les finances publiques, tout en provoquant des drames et des angoisses nationales qui font qu’on ne peut plus rien organiser sans se barricader derrière des blocs de bétons et des herses. Il fait liquider l’hôpital, l’école, ce qui reste des services publics, met les finances en faillites et pour couronner le tout, nous emmène à marche forcée vers la guerre… et nos élus, censément représentants du peuple ne disent trop rien, ne s’opposent pas, avec des prétextes fallacieux du type « par qui le remplacer ». Et les voilà, les mêmes, dans un atterrissage un peu mou, tout de même, au bout de huit années d’infamies, à commencer à dire, du bout des lèvres, que oui, finalement, on pourrait peut-être le destituer… on voit bien que ces élus, ces journalistes et ces brillants éditorialistes vivent dans un autre monde que le nôtre. S’ils savaient ce qu’en pensent les Français, mais qu’il ne faut pas dire…

9 septembre 2025

La démission d’Emmanuel Macron n’est pas une option mais un devoir et une solution "pour la France"

Yann Bizien

-9/9/2025- Comme ses prédécesseurs, l’homme du compromis mou, François Bayrou, politiquement condamné, désavoué, est balayé.
Pourquoi nommer un nouveau Premier ministre et former un nouveau gouvernement qui ne pourra toujours pas gouverner ce pays ?
Emmanuel Macron, empêtré, dans le flou, est face à une équation politique impossible à résoudre, sauf à démissionner.
Il n’est pas motivé par le souci de notre quotidien et du destin de la France. Nous savons pourquoi il refuse de quitter le pouvoir : l’immensité de son orgueil, la monstruosité de son narcissisme, le besoin de satisfaire ses ambitions personnelles et européistes, son désir de guerre et de revanche sur Vladimir Poutine, sa volonté de se différencier de Donald Trump et de reconnaître un État palestinien devant l’Assemblée générale de l’ONU avec un gouvernement formé, nommé et en place dans son calendrier.
Il a désiré toutes ces échéances pour se rendre exclusif et politiquement indispensable.
Or le salut français ne peut que venir du peuple souverain qui doit pouvoir exprimer son dernier mot dans les urnes. Ce salut ne viendra certainement pas des partis discrédités, des politiciens fixés sur leurs mandats et verrouillés sur leurs sièges, des petits arrangements, des combines et des compromis d'apparences.
Non. La confiance est rompue. Le fossé est désormais trop profond entre la classe politique et le peuple.
Il y a dans ce pays des coupables de tous les blocages, de l’instabilité, de la paralysie et de l'effondrement national.
Le premier d’entre-eux, celui qui tient depuis huit ans tout un édifice institutionnel et politique en train de pourrir, alors qu’il en est pourtant le garant, c’est Emmanuel Macron.
Depuis sa dernière dissolution, et sa « grenade dégoupillée » vers les Français, il méprise le fait majoritaire, ignore le résultat des urnes, n’entend plus le peuple et piétine l’esprit de la Constitution.
Comme un forcené sourd et aveugle, le chef de l’État abuse de son pouvoir, de la tambouille politicienne et de son narcissisme. Il est en train de sacrifier tout le pays, ses intérêts, son peuple, sa civilisation, son identité, sa sécurité, sa dissuasion nucléaire, son siège au Conseil de sécurité des nations unies, sa prospérité et son destin.
C’est évident, Emmanuel Macron manque à ses devoirs pour la France.
Or l’alternance politique n’est pas une insulte à la démocratie. Bien au contraire. Lorsque le pays reste enfermé dans le chaos, elle en est sa respiration et son souffle. Il faut donc la provoquer.
Voilà pourquoi Emmanuel Macron doit démissionner. Il ne peut plus se retrancher dans le palais de l'Élysée. Sa démission est une solution démocratique pour la France. Elle est même prévue et organisée dans notre Constitution. Il ne faut pas la redouter. Le général de Gaulle, père de la 5ème République, a montré sagement ce chemin en avril 1969.
Il faut espérer et réclamer la démission d'Emmanuel Macron. Face au mur de son impopularité, à ses échecs, et à son isolement, elle est indispensable.
Pour la France.