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10 novembre 2025

Olivier Delorme

-10/11/2025- Le cas Vallaud Belkacem est emblématique de la dissolution complète de l'esprit public dans ce pays.
Voici une personne, ancienne désastreuse ministre socialiste, sans la moindre compétence ni le moindre titre pour entrer à la Cour des comptes, mariée ou compagne du président du groupe socialiste à l'Assemblée, nommée à la Cour des comptes, présidée par un ancien ministre socialiste, en vertu d'une procédure pour le moins contestable sur des critères pour le moins opaques, quelques semaines avant que le groupe socialiste décide de ne pas censurer le gouvernement, et qui de surcroît conserve la direction, et le salaire, de la présidence d'une association immigrationniste, en grande partie financée par l'argent public.
Ou bien cette femme est un bourreau de travail, ou bien on ne fout rien à la Cour des comptes !
Ce mélange des genres est pour le moins, en lui-même aussi scandaleux que sa nomination, pour le moins entachée de soupçon de favoritisme.
Mais en plus, au lieu de s'écraser et de se faire oublier, la dame ose prétendre qu'une régularisation massive d'immigrés illégaux, alors que l'immense majorité du pays est hostile à une immigration hors contrôle, ferait faire de faramineuses économies à l'État.
Vraiment, on est au-delà de l'indécence ! Ça suffit !

8 septembre 2025

Olivier Delorme

-8/9/2025- J'espère que plus aucun rigolo ne dira encore, désormais, que la Ve République est un régime présidentiel. La Ve, malmenée, triturée, défigurée pour cause d'européisme débile et de convenances personnelles reste un régime de parlementarisme rationalisé qui donne à l'Exécutif les moyens de gouverner dès lors qu'il dispose d'une majorité parlementaire cohérente.
Mais ce régime repose aussi sur la légitimité d'un président en charge de l'essentiel et du long terme.
Aujourd'hui, il n'y a plus ni majorité au Parlement ni légitimité d'un président désavoué par le peuple à trois reprises.
La logique de la Ve serait qu'il en tire les conséquences et qu'il s'en aille.
Une dissolution, j'en suis convaincu, ne réglera rien et ne fera qu'aggraver l'affaiblissement de notre pays à l'intérieur comme à l'extérieur.
La mise en œuvre de l'article 16, qui n'a jamais été prévu pour résoudre une situation de crise parlementaire ni de crise de légitimité présidentielle, serait évidemment une forfaiture relevant de la trahison et du coup d'État.
Il faut qu'il parte !
À mes yeux, la destitution n'est ni possible, quelles que soient les arguties des uns et les accusations des autres, ni souhaitable en ce qu'elle déséquilibrerait un peu plus les institutions et, comme la IIIe lors de la crise du 16 mai 1877, réduirait le président à une potiche affectée aux chrysanthèmes et rétablirait un régime d'assemblée qui nous a menés au gouffre en 1940 et en 1958.
En revanche, la censure immédiate de tous les gouvernements que présenterait Macron, me semble respecter l'esprit comme la lettre de la Constitution.

6 septembre 2025

Olivier Delorme

-6/9/2025- Jean-François Achilli se fait virer comme un malpropre de France Info pour un projet, jamais engagé, de livre d'entretien avec Bardella.
Les officiers supérieurs de la Propagandastaffel Cohen et Legrand, qui déversent depuis des lustres leur partialité assaisonnée de moraline sur l'éthique du journalisme, dénoncent anathémisent, insultent tout ce qui ne bave pas comme eux, se font prendre les paluches plongées jusqu'au coude dans le pot de miel, en conciliabule avec deux hiérarques socialopes, pour savoir comment dézinguer Dati (que je n'aime pas, mais ce n'est pas le problème) et vendre la boîte de lessive euro-otanienne Glücksman... dont la rombière fait désormais le 20h de France 2.
C'est ce qu'on appelle le Service Public payé par nos impôts !
Schadenfreude, même si je ne me fais aucune illusion : ces deux professeurs de déontologie poursuivront leur carrière dans la fosse à purin médiatique où ils s'ébattent avec leurs semblables comme si de rien n'était. Et gare au prochain fasciste qu'ils pourront clouer au pilori !