H16
19/9/2025
L’information n’est pas encore passée de notre côté de l’Atlantique, mais de l’autre côté, le débat sur la pertinence voire la dangerosité des vaccins s’installe fermement.
Ce débat n’arrive pas de nulle part : depuis quelques mois, des données apparaissent et persistent à imposer des questions gênantes pour les tenants des vaccins.
On doit bien sûr commencer par la dernière campagne de vaccination la plus visible, celle qui a concerné des milliards d’individus dans le monde et qui a permis, au passage, de tester en vraie grandeur une nouvelle technologie. Les vaccins ARNm contre le COVID ont ainsi permis d’étudier de façon large des effets parfois indésirables, depuis les myocardites et péricardites jusqu’à certains syndromes (Guillain-Barré) ou la thrombose des sinus veineux cérébraux qui sont maintenant reconnus comme effets indésirables potentiels, toujours présentés comme rares mais possibles à la suite des injections.
Cependant, d’autres éléments statistiques troublants imposent de moduler cette rareté. Début août, l’analyste Edward Dowd mentionnait le changement assez visible dans la tendance des déclarations de maladies fournies par le Bureau du travail américain : difficile de ne pas voir la brusque inflexion vers le haut de la courbe depuis 2021.
En juillet, le même analyste notait une inflexion similaire, au Royaume-Uni cette fois, en rebondissant sur un commentaire de la BBC qui s’attristait sur les statistiques montrant que la nation britannique était de plus en plus malade. En épluchant les déclarations retenues de maladies, on arrive en effet à la conclusion que, subitement, depuis 2021 environ, les Britanniques sont davantage malades :
La coïncidence et la temporalité avec le programme de vaccination COVID n’est pas évidente seulement pour ceux qui ne veulent pas la voir.
Ceux qui se posent la question et font les nécessaires recherches – notamment sur la technologie ARNm – s’aperçoivent sans le moindre doute que cette méthode de vaccination n’est pas fiable et certainement pas assez sûre pour être utilisée routinièrement. Il existe à présent plusieurs études solides qui arrivent à cette conclusion. La coïncidence, ici, est qu’aucune de ces études n’a eu le moindre écho dans les médias grand public.
En outre, il apparaît petit à petit que les rappels vaccinaux accroissent la probabilité de développer une infection respiratoire, ce qui est tout de même ballot pour ce genre de vaccin : l’étude parue début août montre qu’« un plus grand nombre de vaccinations contre le SRAS-CoV-2 est associé à un risque accru de maladie respiratoire pseudo-grippale et d’absentéisme », et que « parmi les non-vaccinés, 33 % ont été victimes d’au moins un épisode de maladie respiratoire. En revanche, chez les personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin contre le Covid-19, ce chiffre monte à 44 %. ».
Bien évidemment, « Follow The Science »™ ne sera pas d’application dans les éléments présentés et on s’empressera de discréditer les données, les chercheurs, les résultats, et les protocoles. Tout cela n’est, finalement, qu’une série de coïncidences étranges tout au plus.
Dans chacune de ces études, les mots sont choisis et les conclusions remplies de précautions pour ne pas déclencher l’ire des sponsors pharmaceutiques, des politiciens ou des gardiens de la morale ou du politiquement correct ; cependant, les résultats chiffrés ne laissent guère de doute : il y a bel et bien un problème avec cette technologie qui, au-delà du foirage évident de la protection contre le COVID (le vaccin n’en offre aucune et n’empêche en rien la transmission), semble provoquer des effets secondaires parfois graves qui contrebalancent largement des effets positifs, ces derniers approchant visiblement de 0.
Parions (sans risque) que les outrages et les gesticulations des habitués et autres anti-complotistes de combat redoubleront de vigueur lorsqu’il s’agira de tenter de mettre un terme aux rumeurs, de plus en plus insistantes, d’un lien entre ces vaccinations expérimentales et l’augmentation des cancers de tous types qui ne se contenteraient plus de toucher les personnes les plus faibles (âgées ou immuno-déprimées) mais aussi des personnes jeunes, en nombre croissant, avec des caractéristiques nouvelles pour ces maladies : cancers multiples et rares, à développement très rapides ou très agressifs…
Or, il est à ce titre éclairant de suivre des analystes et statisticiens qui étudient cette question de près, qui apportent souvent des éléments factuels, très bien documentés et qui ne peuvent plus être écartés d’un revers de la main. Dans ces statisticiens, notons par exemple TheEthicalSkeptic qui utilise les bases de données de différents ministères, ouvertes et directement disponibles aux États-Unis, pour dresser des tableaux et des graphiques assez parlants sur la situation actuelle, notamment en matière de cancers.
Ainsi, dans un récent tweet, il montre assez bien l’augmentation claire des cancers déclarés dans la population américaine (et l’écart à ce que serait la normale), ainsi que le coût des traitements de ces cancers qui, même corrigés de l’inflation, croissent de façon inquiétante :
À chaque fois, l’inflexion intervient de façon concomitante aux opérations de vaccinations de masse qui eurent lieu courant 2021. Là encore, arguer d’une simple coïncidence demandera un peu plus qu’un revers de main, alors que tout indique maintenant une véritable consilience d’éléments. Du reste, les sources, méthodes statistiques et calculs effectués par l’auteur sont largement documentés et pour le moment n’ont pas été démontrés faux.
Enfin, cet état des lieux des derniers développements concernant les recherches sur les effets indésirables des vaccins ne serait pas complet sans revenir sur le témoignage sous serment au Congrès américain de Aaron Siri, un avocat auquel les représentants parlementaires américains ont demandé des détails sur une étude comparative américaine du Dr Marcus Zervos, qui a été menée sur des milliers d’enfants vaccinés comparés à des milliers d’enfants non vaccinés et dont les résultats ont été, trop longtemps, tenus secrets.
Cette étude a comparé les enfants inscrits à Henry Ford Medical Center de 2000 à 2016, et ce dès leur naissance, tant les enfants non vaccinés que ceux qui ont reçu un ou plusieurs vaccins. Les résultats sont sans appel :
« Les enfants vaccinés présentaient un taux d’asthme 4,29 fois plus élevé, un taux de maladies atopiques 3,03 fois plus élevé, un taux de maladies auto-immunes 5,96 fois plus élevé, un taux de troubles du développement neurologique 5,53 fois plus élevé, dont un retard de développement 3,28 fois plus élevé et un trouble de la parole 4,47 fois plus élevé. […]
TDAH : 262 cas dans le groupe vacciné. Aucun cas dans le groupe non vacciné.[…]
Tous ces résultats étaient statistiquement significatifs […] Après 10 ans, 57 % des enfants vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique — souvent multiple — contre seulement 17 % des enfants non vaccinés. »
On peut raisonnablement imaginer que si cette étude avait révélé que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé que les non vaccinés, elle aurait été publiée immédiatement. Du reste, le témoignage circonstancié de Aaron Siri est corroboré par une étude japonaise portant sur la comparaison entre vaccinés et non vaccinés dans l’Empire du Soleil Levant qui aboutit aussi à la conclusion que les vaccinés ont de façon statistiquement significative subi des dommages que les non vaccinés n’ont pas supporté.
Manifestement, le discours tenu outre-Atlantique est en train de changer. La fenêtre d’Overton sur la pertinence et la sûreté des vaccins – à commencer par la technologie ARNm – est en train de se déplacer et il est probable qu’elle va se déplacer encore plus vite lorsque sera abandonnée l’immunité légale des laboratoires pharmaceutiques face aux effets graves de leurs vaccins.
Il sera alors très intéressant de mesurer l’écart narratif avec ce qui se passera en Europe et ce alors qu’on apprend tout juste – dans un obscur fanzine allemand, le Berliner Zeitung – que la Commission européenne a autorisé ces vaccins sans données de sécurité complètes…