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27 janvier 2025
USA - EXPULSIONS EN COURS : DONALD TRUMP N’A JAMAIS ÉTÉ L’ENNEMI DES MIGRANTS
Marc Amblard
- 27/1/2025 - En 2017, j’en étais un et son administration m’a ouvert grand les bras en m’offrant dès le 1er jour une belle carte verte ainsi qu’aux membres de ma famille. 5 ans plus tard, elle nous accordait la nationalité américaine. Merci.
Trump est simplement opposé à ceux qui entrent aux États-Unis sans y être autorisés, donc en violant la loi.
La nuance est facile à comprendre, non ?
Si un étranger pénètre chez vous durant la nuit en forçant la porte, allez-vous lui proposer la chambre d’ami ou bien ferez-vous le nécessaire pour l’expulser ? Dans ce dernier, cas doit-on vous considérer comme d’extrême droite ?
La France se met (quasiment) en ordre de bataille pour reconquérir le monde
H16
- 27/1/2025 - La première semaine de Trump au pouvoir n’a laissé aucun doute sur la rapidité avec laquelle le nouveau patron de la Maison-Blanche voulait agir : ordres exécutifs à gogo, déclarations tranchantes, mise en route immédiate de certains de ses programmes, à commencer par les reconduites à la frontières des illégaux dangereux… Bref, le bulldozer Trump est en marche.
Pendant ce temps, la France prend toute la mesure du défi que représente la façon dont l’Amérique de Trump est en train de pivoter vers une ferme reprise en main de son développement industriel et technologique, bien au-delà de ce qu’on a vu jusqu’à présent (intelligence artificielle, fusées réutilisables, réseau satellitaire, etc.) : les États-Unis entendent redevenir indépendants énergétiquement (« drill, baby drill » n’est pas autre chose) et imposer leur domination économique aussi rapidement que possible avant que le concurrent chinois n’emporte définitivement la course.
Les élites européennes ne semblent pas vraiment remises de ce qui a constitué (croyez-le ou non) une surprise pour elles, à savoir la réélection d’un candidat que toutes, complètement auto-intoxiquées par leur propre propagande, donnaient perdant devant Kamala Harris. Prises de court, elles n’ont eu qu’à peine deux mois pour se remettre de leur émotion initiale et peinent encore à comprendre que les « douces années Biden » viennent de brutalement s’achever.
Devant ce constat, tant bien que mal, la France doit mobiliser ses talents, et rapidement si possible.
Rassurez-vous, tant l’Élysée, conseillé par McKinsey et leurs vaillantes troupes, que Matignon, cornaqué par la pointure Bayrou, ou que le Palais Bourbon avec ce que la République compte de députés les plus affûtés, tous ont compris les enjeux, les risques et les opportunités que ce changement drastique à la tête de l’État américain offrait à l’Hexagone.
C’est bien sûr pour cela que notre frétillant président, Emmanuel Macron, n’a pas hésité à mettre la main à la pâte et le smartphone au péage. Relayant (sans les vérifier) les propos confus d’un influenceur qu’on découvrira un peu plus tard comme tendrement intéressé par l’islamisme le plus radical, le président français s’est donc fait fort de garantir que la France allait rapidement autoriser le paiement par ce truchement aux péages autoroutiers.
Enfin, il était temps !
Ne nous attardons pas sur le fait que ce que l’influenceur racontait pourrait fort bien avoir été intégralement inventé, c’est sans importance dans notre contexte : la France prend des décisions, pivote vers de nouvelles opportunités et le Chef de l’État n’est pas le dernier artisan de ce changement drastique d’orientation.
L’intelligence artificielle se développe de plus en plus vite ?
La France, berceau de la vitesse, de technologies de pointes et d’une vie culturelle frémissante, ne sera pas en reste : ainsi, des utilisations de plus en plus créatives de cette technologie apparaissent et les Français se montrent friands d’applications originales, comme par exemple la production industrielle de commentaires élogieux pour un navet cinématographique :
Et quand l’intelligence artificielle n’est pas utilisée en France pour remplir les commentaires de revues de film, elle est sérieusement envisagée pour… aider à combler le déficit de financement des retraites : on découvre ainsi, avec la joie qui s’empare des vrais patriotes voyant leur pays se relever fièrement devant les défis d’un monde nouveau à bâtir, que de solides chefs d’entreprises proposent enfin (ENFIN !) des idées d’avant-garde pour financer les retraites en taxant ces technologies qui viennent prendre le pain de la bouche de nos ouvriers. Pour Michel-Édouard Leclerc, pas de doute, il faut taxer le digital, la robotique et l’intelligence artificielle :
« Le travail est concurrencé par la robotique, concurrencé par le digital, par les produits importés à bas coût. (…) Il faut faire payer la robotique, le digital, l’intelligence artificielle. (…) Il y a de l’argent pour financer les prestations sociales »
Taxer les robots, taxer les chatbots, taxer les agents d’intelligence artificielle, même combat ! Les retraites des Français seront sauvées, car tout le monde sait que lorsqu’on taxe le lait, la vache vient déposer son chèque au Trésor Public le plus proche à chaque fin de mois.
Eh oui, une nouvelle taxe, une nouvelle façon de ponctionner sur un nouveau domaine spécifique, c’est original et ça nous change des solutions proposées habituellement, vous ne trouvez pas ?
D’ailleurs, à propos de taxe et de nouvelles technologies, comment oublier le succès retentissant du service « Gérer mes biens immobiliers », lancé par Bercy en 2023 pour recueillir des informations sur les occupants effectifs des locaux d’habitation ? L’outil judicieusement conçu et destiné à mieux calibrer les taxes qui vont s’abattre en fine pluie rafraîchissante sur les contribuables a déjà permis de réaliser de solides dérapages budgétaires puisqu’on estime à plus d’1,3 milliards d’euros la facture du véritable fiasco de son installation à Bercy : coût qui a quadruplé, des remboursements à gogo dont une bonne partie coincée dans les tubulures multiples des administrations locales et nationales, mauvais calculs et disparition d’un million d’assujettis, voilà qui donne une nouvelle illustration de l’excellence des développements informatiques menés par l’État.
On attend avec gourmandise les résultats foudroyants de Lucie, la nouvelle intelligence artificielle que le monde de l’éducation français nous réserve. Disponible depuis quelques jours, elle offre déjà d’intéressants débats et des réalisations hardies :
Comme on peut le lire ci-dessus, l’avenir de nos enfants est entre de bonnes mains numériques. L’Amérique n’a qu’à bien se tenir !
On le comprend : la France a compris ce qui se passait dans le monde, et comment les changements, outre-Atlantique, allaient très vraisemblablement durablement modifier la donne pour notre avenir gépolitique, économique et social. Les forces vives de la Nation sont au taquet, et aucune opportunité ne sera laissée au hasard. Nos députés sont évidemment aux premières loges et font déjà les efforts qui s’imposent pour, eux aussi, aider le pays dans les bouleversements qui l’attendent : ils ont ainsi récemment approuvé une proposition de loi véritablement audacieuse pour lutter contre les pannes d’ascenseur.
Les Américains sont possiblement au début d’un nouveau cycle politique. Les Français, eux, sont plus probablement à la fin. L’État américain veut donc des résultats, alors que l’État français, lui, ne désire plus que du contrôle.
Ce pays est donc joyeusement foutu.
Lettre ouverte aux souverainistes
Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
À Messieurs, Asselineau, Philippot, Dupont-Aignan et autres chevaliers solitaires…
La situation nationale est plus sombre que jamais et les actuelles oppositions se sont récemment montrées incapables de se mettre d’accord pour faire tomber Bayrou, l’homme de main de Macron. Pire, le PS est ouvertement entré en collaboration avec le Premier ministre, comme ses pairs du SFIO le firent avec Pétain, certains que c’était là, la meilleure des choses à faire. Le RN quant à lui, n’a fait preuve que de mollesse et de calcul, s’inscrivant dans un flou à suivre plutôt que sur une ligne claire.
Il n’y a aucune alternative réelle tant qu’une coalition des vraies droites patriotes n’est pas formée. Vos formations, isolées, subissent à chaque élection des revers cinglants qui n’autorisent aucune percée, aucune visibilité, alors qu’en face ils savent s’organiser pour le temps d’un scrutin. Invisibilisés du fait de ces revers, éloignés des plateaux télé, contraints à n’être que sur les réseaux parallèles et sans doute bientôt interdits, vos voix ne portent pas et les patriotes en souffrent.
L’union seule permettra à vos idées, communes pour l’essentiel, de vaincre ou du moins d’être représentées, enfin, à l’Assemblée nationale. S’obstiner dans la stratégie qui est celle menée depuis des années ne pourra que reproduire les échecs du passé. Il est impossible que vous l’ignoriez. La question que tous les patriotes souverainistes se posent est simple : Pourquoi s’entêter à ne pas vous allier et laisser les Français orphelins, ne pouvant compter que sur des offres politiques qui, au fil des mois, s’avèrent décevantes et finalement toutes semblables ?
L’heure est suffisamment grave pour que les egos soient mis de côté et l’intérêt de la France priorisé en lieu et place d’une guerre de chapelle stérile. C’est à ce titre que nous vous demandons solennellement de vous unir pour présenter une force commune au peuple de France et espérer sortir de l’ornière dans laquelle nous sommes, derrière une personnalité forte, charismatique et consensuelle, qui, sans vous offenser, ne sera forcément pas l’un de vous, sinon ce serait déjà fait. Tout peut changer si l’ensemble des patriotes se ligue. Nous aurons alors la fortune de vivre nous aussi l’épisode américain ou argentin, et l’histoire retiendra de vous l’intelligence et le courage qui ont animé cette entente pour vaincre et redonner sa dignité à la France. Ne gâchez pas cette chance qui pourrait bien ne pas se reproduire. Le peuple lassé des calculs politiciens attend une union nationale. Vous pourrez alors compter sur l’ensemble des forces souveraines pour porter vos voix, vos candidatures et un vrai projet d’avenir. 26/1/2025
Le groupe Telegram du RPF :
80 ans de la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau
Eric Vial
J’ai juste un regret.
Parce que j’aime l’histoire, que je n’aime pas qu’on la dénature, je rappelle que c’est l’Armée rouge de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS), aujourd’hui la Russie, qui a libéré le camp.
Nous ne pouvons que regretter que les libérateurs ne soient pas conviés aux commémorations du 27 janvier.
Cela ne sert ni la mémoire des victimes du camp de la mort, ni la mémoire des jeunes soldats russes qui sont morts pour cette libération.
Il manque donc le principal protagoniste de cette libération, c’est dommageable pour le recueillement nécessaire.
La séquence qui va se jouer aujourd’hui est d’autant plus étrange que les pays tortionnaires d’hier, eux, sont conviés aux commémorations.
Le concert des nations pardonne aux peuples qui ont mal agi, mais pas à ceux qui étaient alliés contre la barbarie ultime de la Shoah, quel paradoxe.
Lorsque les troupes de l’armée soviétique entrent dans le camp d’Auschwitz, celui-ci a déjà été en grande partie évacué par les nazis. Il ne reste à l’intérieur que 7000 survivants (des malades et des déportés qui ont réussi à se cacher). Les installations de la mort (notamment les chambres à gaz), les papiers d’identité des victimes ont été en partie détruites par les SS. 60.000 autres détenus ont été évacués « à l’Ouest ».
2,5 millions de personnes sont mortes à Auschwitz-Birkenau. Cette estimation est considérée par de nombreux historiens comme étant un chiffre minimum. Le nombre réel de morts est inconnu mais pourrait dépasser les 4 millions.
L’URSS a donné 21 millions d’âmes dans sa lutte contre le nazisme. C’est le pays qui a subi les pertes humaines les plus élevées.
Ce n’est pas dans l’entre-soi, ni en réfutant l’histoire, qu’on bâtit la nécessaire paix à venir. 27/1/2025
26 janvier 2025
Régis de Castelnau
Rubrique : humiliation
- 26/1/2025 - On ne sait pas si ce titre est volontaire pour qualifier quelques-uns des milliers de Palestiniens arrêtés et détenus arbitrairement, sans charges, sans statut, et souvent torturés. Qui sont effectivement des « otages ». Ou s’il s’agit d’une erreur dans la précipitation.
Cela étant, ceux qui se sont précipités, ce sont les agents du gouvernement israélien pour donner leurs ordres. Qui ont été immédiatement exécutés.
Mais ce n’est pas suffisant, madame Yadan formule ses exigences : suspendu le « coupable » doit être aussi immédiatement licencié. Non mais !
Et la Directrice de la Communication de France TV de se précipiter elle aussi pour confirmer à sa copine que le service public audiovisuel de la République française est bien couché devant la volonté d’un gouvernement étranger.
Jusqu’à quand allons-nous supporter ces humiliations ?
MONROE ET MCKINLEY, LE RETOUR
Gabriel Nerciat
- 25/1/2025 - Assez étrange, de lire dans la presse française les commentaires divers et variés sur la victoire de Trump et sa cérémonie d'investiture.
À croire que tout le monde, même certains de ses partisans, font des efforts considérables pour ne pas entendre ce qu'il dit et ne pas voir ce qu'il fait (ou, à tout le moins, ce qu'il envisage de faire).
La première chose qui devrait marquer, et sidérer tout le monde, est qu'il ne parle absolument pas à ses alliés, sinon pour les menacer sans vraiment juger utile de prendre des gants (Danemark-Groenland, Canada-Trudeau, Allemagne-déficit commercial, etc.).
Mais pas un mot sur l'Ukraine ou sur Taïwan, les deux vassaux les plus cruciaux et les plus exposés du moment, dont on a appris le lendemain des cérémonies du Capitole que leurs dotations annuelles respectives étaient suspendues pour trois mois.
Sur Israël, c'est presque pire : il ne parle que des otages qu'il veut voir libérer (aux conditions du Hamas, j'en ai déjà parlé et n'y reviens pas), tout en précisant de façon tonitruante que ses otages à lui, ceux qui le préoccupent vraiment, ce sont les anciens insurgés du Capitole – qu'il a graciés. Même Jean-Marie Le Pen n'aurait peut-être pas osé la comparaison ; et d'ailleurs on sentait, le soir de la cérémonie, que certains invités réguliers de C-News et de BFM-TV avaient un peu de mal à déglutir.
Quant à ses ennemis, ou ceux qui sont supposés l'être, de Poutine aux ayatollahs iraniens en passant par Xi et Kim, ils sont à peine mentionnés, mais, quand c'est le cas, de façon plutôt courtoise.
Ainsi Trump nous a-t-il appris officiellement (mais négligemment), entre deux signatures dans le bureau ovale, que la Corée du Nord de son ami Kim était bel et bien devenue une puissance nucléaire.
Ah fichtre ! Le bon Bruno Tertrais et son compère François Heisbourg ont dû aller prendre un bain très chaud ce soir-là, dont vraisemblablement ils ne sont toujours pas sortis.
L'Europe, elle, n'est même pas citée, non plus que la Turquie, le Japon ou les monarchies wahhabites du Golfe (la gueule du gendre en disgrâce Jared Kushner était aussi rigolote à voir que les gloussements de dinde et les dents blanches monumentales de son affligeante épouse).
Bref, le message selon moi est assez clair, et conforme finalement à ce que Trump a toujours dit : les États-Unis à ses yeux ne doivent défendre que leurs seuls intérêts nationaux qui sont d'abord panaméricains et régionaux (c'est le grand retour de la doctrine Monroe, qu'avaient répudiée Teddy Roosevelt puis son cousin Franklin après l'assassinat de William McKinley, le président américain protectionniste et hispanophobe dont j'avais lu quelque part en 2017 qu'il était le préféré de Trump), ne pas se préoccuper des systèmes d'alliance nuisibles ou ruineux hérités du XXe siècle qui pourraient les parasiter ou les contredire, et surtout ne pas chercher à se poser comme les garants institutionnels d'une quelconque idéologie à prétention messianique ou universaliste qui, loin de garantir la paix, ne fait qu'attiser et additionner les guerres punitives et les défaites honteuses (c'est ce que signifie le terme "isolationnisme", que beaucoup de Français ont du mal à comprendre car ils le confondent avec une sorte de neutralité provinciale à la suisse, sans savoir qu'il s'oppose, dans l'histoire de l'Amérique, à l'impérialisme idéaliste et/ou cynique d'un Wilson ou d'un Bush fils).
Or, en Europe, on fait comme si tout cela n'existait pas.
Notre bedeau béarnais et notre Banquier Président en pré-retraite amusent la galerie en faisant la leçon à Elon Musk et en appelant comme toujours à "plus d'Europe" pour sauver les derniers meubles en ruine de la démocratie globale et du système onusien multilatéral cher à Grand-Papa.
Mais l'Europe, comme les autres esclaves volontaires de l'Oncle Sam, ne comprend pas qu'elle n'a désormais plus le choix qu'entre se prendre enfin en main en élaborant sa propre doctrine Monroe (ce que l'UE supranationale et libre-échangiste fera tout pour empêcher) ou bien se vendre par appartements, faute de mieux, au parti communiste chinois devenu le premier client de l'Allemagne (ce que les lavettes dépitées et hystériques de l'euro-atlantisme néo-con accusent sans rire la Russie de faire).
Trump n'est qu'un pitre mégalomane, disent ses détracteurs.
Peut-être, du moins l'avenir le dira ; mais c'est chez nous que, cette fois, pour de bon, la comédie est en train de tourner court.
LA FRANCE INSOUMISE DÉSHONORÉE UNE FOIS DE PLUS !
Jacques Cotta
- 24/1/2025 - Les députés LFI au Parlement européen se sont abstenus ou ont voté contre une résolution portant exclusivement sur la libération de Boualem Sansal retenu dans les geôles algériennes en vertu de l'article 87 bis du Code pénal, qui sanctionne "comme acte terroriste ou subversif, tout acte visant la sûreté de l'État, l'intégrité du territoire, la stabilité et le fonctionnement normal des institutions". En réalité, le pouvoir algérien ne supporte pas la critique portée par l’auteur du "Serment des barbares" et de "2084 : la fin du monde" et décide avec l’incarcération de l’écrivain de faire un exemple pour tout le peuple algérien. C’est la liberté, la démocratie élémentaire, la vie qui sont ainsi menacées.
La décision des députés LFI de ne pas voter une résolution pour sa libération est en soi une honte, une complicité coupable avec le régime algérien.
La décision de la direction de LFI de ne pas condamner cette position des députés européens de leur mouvement est tout autant honteuse, coupable de la même complicité avec le régime algérien.
S’agit-il d’une erreur passagère, d’un simple oubli ?
Il y a plus.
La députée Rima Hassan tente de se justifier et s’enfonce un peu plus.
Elle explique que "dans les faits, (Boualem Sansal) défend dangereusement des thèses identitaires d’extrême droite, reprend la rhétorique du grand remplacement ou encore stigmatise les personnes exilées." Elle dénonce une "instrumentalisation du cas de Sansal à des fins d'ingérence et d'escalade diplomatique avec un pays voisin de l'UE" et dit ne pas "s'opposer à la libération de Boualem Sansal."
Merci pour ne pas s’opposer à sa libération. Cela serait comique si la situation n’était catastrophique.
En réalité, la députée LFI s’en remet au régime algérien et pour cela utilise les arguments absurdes opposés à Sansal. Les députés européens LFI se rangent ainsi officiellement du côté de l’islamisme politique, de cette nouvelle forme de fascisme. Et leur direction ne dit mot. Tout un programme !
Lola-Jane Brooks
26/1/2025
BREAKING NEWS :
Dans une vidéo hallucinante, le covidiste Didier Bourdon nous explique qu'il n'était en fait pas covidiste, et qu'il était même contre le vaccin pour lui-même et ses enfants. Voire qu'il n'est même pas vacciné si on entend bien ce qu'il exprime. Les méchants non vaccinés n'ont pas compris qu'il était de leur côté et qu'en les traitant de connards dans une vidéo de l'époque covidiste, il faisait en fait du "4ème degré".
Il nous indique que son fils (celui qui travaillait pour Pfizer, à moins qu'il ne s'agissait d'humour au 4ème degré) a un covid long et que si ça se trouve "c'est à cause du vaccin".
Après cette nouvelle stupéfiante, on vient de me signaler que Klaus Barbie s'est retourné dans sa tombe pour nous dire qu'il adorait les Juifs et qu'il y avait eu méprise sur ses intentions.
Dans le même temps, la CIA révèle que le Covid sortirait bien d'un des deux labos de Wuhan et non pas de la nature : "Nos services de renseignement, notre science et notre bon sens dictent tous que les origines du Covid étaient une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan." "Notre bon sens." À ce stade, ils nous diront bientôt qu'il est fort probable que l'explosion de Tchernobyl avait un lien avec la présence d'une centrale nucléaire dans cette même ville.
Désolée, je m'étais retirée des réseaux mais quand je vois cette vidéo hallucinante de ce connard au premier degré, je bous.
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