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30 janvier 2025

Marc Amblard

LE WOKISME SE MEURT... MAIS PAS ENCORE EN FRANCE
 
Le gynécologue de Pau, qui avait refusé de recevoir dans son cabinet un trans né homme (donc pas d’utérus, pas de vagin, pas d’ovaires, pas de vrais seins) a été sanctionné par deux mois d’interdiction d’exercer par l’Ordre des médecins. Il affirmait que sa spécialité le conduisait à s’occuper exclusivement du sexe féminin.

UNE SEULE CONCLUSION : CEUX QUI ONT SUSPENDU CE MÉDECIN, DOIVENT CONSULTER UN PSYCHIATRE, D'URGENCE !

Eric Vial
29/1/2025

Libérez-la ! Sa vie est en danger. Cécile Kohler, 1000 jours ce vendredi : une éternité.

1000 jours que tu es otage du régime iranien.
1000 jours que tu manques à ta famille.
1000 jours que tes élèves s’inquiètent.
1000 jours que tes camarades syndiqués crient à l’injustice.
1000 jours que l’Alsace a le souffle coupé.
Et pas un jour où je n’ai pas pas pensé à toi, à Jacques, à Olivier emprisonnés comme toi pour la simple raison d’être français.
C’est comme si nos bonheurs étaient empêchés, pas complets. Tu nous manques. Vous nous manquez !
Nous sommes tous solidaires de votre souffrance.
Dans toute la France, plusieurs rassemblements sont prévus cette semaine pour témoigner notre solidarité aux otages et à leurs familles.

Ce vendredi à :
- Soultz Haut-Rhin, (la ville d’origine de Cécile Kohler). Devant la Mairie, 11h30.
- Nantes, Place du Pont Morand devant le monument des 50 Otages, 17h.
- Nanterre, Agora - 20 rue Stalingrad à 19h. Dévoilement d'un panneau à l'effigie de Cécile Kohler.

Ce samedi à :
- Rennes, Place de la Mairie, à 11h.
- Montpellier. Devant la Préfecture, 11 h.
- Flers, Place du marché, rue de la boule, 11h.
- Granville, Place de la mairie, à 12h.
- Paris – Place du Panthéon, à 14h.

Ensemble, montrons à Cécile, Jacques et Olivier qu’ils ne sont pas oubliés et dénonçons fermement les pratiques intolérables du régime des mollahs.
Chaque soutien compte pour leur liberté.

Nicolas Dupont-Aignan
29/1/2025

Covid : l'étau se resserre !

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Pierre Duriot

Trump, Poutine et les autres, à genoux...

- 30/1/2025 - Étonnante « élite » française, après avoir mis l’économie russe à genoux, elle se propose d’entamer des mesures pour faire plier Trump et sa guerre commerciale, pas encore commencée, compte envoyer des troupes en Ukraine pour résister aux Russes, des troupes au Groenland pour effrayer le même Donald qui a des visées sur cette contrée... peut-être d’autres troupes à Taïwan face aux Chinois ? Il est vrai que nos armées rentrent d’Afrique, où elle ont pacifié le continent, avec tambours et trompettes et que nous avons un armement, un budget et une capacité d’innovation susceptibles de faire peur aux principaux belligérants de la planète. Voilà ce qui devrait se faire quand on écoute les quelques intervenants invités à disserter récemment sur l’influence géostratégique de l’Hexagone piloté par un habile chef de guerre pour encore deux ans. On se demande dans quel monde vivent tous ces gens…

29 janvier 2025

Deligne

Jean Mizrahi

- 29/1/2025 - Luc Ferry a toujours été un mystère pour moi : mauvais ministre de l'Éducation nationale, piètre penseur, émetteur de poncifs, etc. Il est pourtant invité régulièrement sur les plateaux TV ou les radios. Peut-être par amour des poncifs...
Il est médiocre, mais il vient de passer un cap et se vautrer dans une totale ignominie en affirmant que les Asperger, comme Elon Musk, seraient fous à lier. Sa formule est plus précisément : "bon, lui il est Asperger au dernier degré, c'est un fou, il faut quand même le dire il a été diagnostiqué Asperger donc c'est un barjot complet (...)".
Cela mérite donc plusieurs remarques :
1. Luc Ferry est un ignorant. Il ne sait pas ce que signifie être Asperger qui n'a rien à voir avec une quelconque "folie" au sens d'un individu qui "perd la raison", c'est-à-dire la capacité de voir le monde de façon à peu près objective, et de conserver le contrôle de son esprit et de lui-même.
2. Luc Ferry prétend être "philosophe". On pourrait lui demander de rédiger une dissertation sur ce que signifie être "normal" dans une société humaine, et sur les raisons qui conduisent souvent les groupes majoritaires dans ces sociétés, à en mettre d'autres à l'écart en les montrant du doigt parce qu'ils ne s'inscrivent pas dans une "normalité" supposée.
3. Elon Musk a certainement beaucoup de défauts, et je ne connais pas beaucoup d'individus qui n'en ont pas : Luc Ferry nous en fait d'ailleurs une démonstration éclatante. On aimerait que tous les "barjots" que nous avons en France (et là je dois dire que nous en avons un certain nombre, à commencer par Luc Ferry) soient capables de bâtir des entreprises comme Tesla ou SpaceX... La France serait bien plus riche.
4. Être Asperger est difficile, c'est un mode de relation aux autres que beaucoup ne comprennent pas, comme les Asperger eux-mêmes ont du mal à comprendre le fonctionnement "des autres". La très large majorité des Asperger s'intègre dans la société moyennant un effort important qui se traduit souvent par une grande tension intérieure, car ils doivent "faire semblant" d'être comme tout le monde alors que leur fonctionnement relationnel est différent. C'est vivre dans un stress que la plupart arrivent à gérer en contrepartie de gros efforts. Je le sais parce que je le suis et que plusieurs de mes enfants le sont. Ce n'est pas facile, mais nous faisons le plus souvent l'effort que "les autres" ne sont pas prêts à faire. Bon, c'est vrai, le couvercle de la marmite se soulève de temps en temps et on peut s'énerver, mais rien de grave ou dangereux.
5. On pourrait par ailleurs faire une longue liste des Asperger qui ont marqué l'Histoire : Mozart, Beethoven, Newton, Einstein et j'en passe. Oui ils étaient "différents" et ont probablement pu paraitre "bizarre" aux yeux de leurs contemporains au point d'être montrés du doigt, mais cela ne nous empêche pas collectivement de les admirer aujourd'hui pour leurs apports à l'humanité.
Donc pour résumer : Luc Ferry est un gros con. Parole d'Asperger.
Alexis Haupt

Gastel Etzwane

- 28/1/2025 - La grosse dinde se dit favorable à l’envoi de troupes de pays membres de l’Union européenne pour défendre le Groenland contre les méchants Américains. Décidément, nous n’avons plus que des ennemis, nous devons nous défendre contre les Russes, mais aussi contre les Américains. Cette dinde ne sait pas que par référendum en 1985, le Groenland a décidé de ne pas entrer dans l’Union européenne. Mais ce n’est qu’un détail face à la stupidité de cette proposition. Proposition qui a été relayée par le crâne d’œuf qui nous sert de ministre des affaires étrangères en France.

Gilles Casanova

Les combines pour masquer le nombre réel de chômeurs ne marchent donc plus ?

CONSIDÉRATIONS SULFUREUSES AUTOUR D'UN BIDE

Gabriel Nerciat

 - 28/1/2025 - Henry de Montherlant, dans ses carnets de 1926, notait que le dixième anniversaire de Verdun avait fait un bide (son premier succès littéraire était consacré à la mémoire des morts de l'ossuaire de Douaumont, et il en était aussi peiné que peu surpris).
Aujourd'hui, en 2025, c'est Auschwitz qui fait un bide.
Si l'on compare avec les commémorations qui eurent lieu en 2005, du vivant de Simone Veil et d'Elie Wiesel, dont j'ai gardé un souvenir aussi exact qu'affligé, c'est vraiment le jour et la nuit (sans mauvais jeu de mots).
Cela n'intéresse plus personne, et même les derniers témoignages des ultimes rescapés de l'Holocauste sont accueillis au mieux avec une indifférence polie. Les pontes de l'audiovisuel les diffusent d'ailleurs en fin de soirée, vers 23 heures, sur des chaînes d'État que personne ne regarde, même au cœur de la nuit.
On se croirait revenu au documentaire de Bertrand Blier de 1963, où les jeunes boomers des Trente Glorieuses affirmaient crânement devant sa caméra : "Hitler, connais pas !".
Nous, évidemment, on connaît : François Mitterrand après 1983 a fait en sorte que son fantôme devienne obsédant, mais les fantômes c'est comme tout. Quand ils hantent un lieu trop longtemps, ils finissent par faire partie des meubles, et on cesse de penser à eux ou d'en avoir vraiment peur.
Les droitards en accusent Mélenchon et l'extrême-gauche, de façon aussi piteuse et pavlovienne que les gauchistes accusaient Jean-Marie Le Pen de ressusciter le nazisme il y a trente ans. Mais il est évident que la vraie raison n'est pas là.
Simplement, les passions idéologiques du siècle précédent ne ressemblent pas à celles qui affolent ou bousculent le monde d'aujourd'hui. Le génocide hitlérien, c'est comme la peste bubonique ou l'élimination des Templiers : cela appartient plus à la section des horreurs du musée Grévin qu'à notre conscience du présent ou nos craintes du futur.
Même ceux qui ont voulu, cyniquement ou sincèrement, comparer les meurtres du 7 octobre aux camps de la mort en ont été pour leurs frais. Un type qui parle d'islamo-fascisme ou de nazislamisme se ridiculise dans la minute, même sur C-News.
D'ailleurs, les belles âmes progressistes qui feraient mine de s'en lamenter n'ont finalement que ce qu'elles méritent. Il y a de cela quelques mois, j'ai entendu une fille de 20 ans, beaucoup moins insolente que celles qu'on voit dans le documentaire de Blier, lancer à un journaliste de trois décennies son aîné : "Le monde dans trente ans va devenir une fournaise, et vous me parlez des massacres d'il y a un siècle ? En quoi est-ce que ça doit nous intéresser ?".
Eh oui, ma pauvre Elvire : on ne peut pas mobiliser deux apocalypses en même temps pour continuer à faire son beurre idéologique. Le Mal absolu ne souffre pas la concurrence ou le dédoublement, et tend nécessairement au monopole.
Mais à toute chose malheur est bon, comme on dit.
Tant que la Shoah - le concept inventé par Claude Lanzmann, bien plus que la réalité historique qu'il décrit - hantait l'essentiel des consciences européennes, une sorte d'anesthésie collective et mentale recouvrait le corps des nations de l'ouest du continent.
Tout ce qui évoquait la moindre dimension identitaire propre aux nations européennes, la plus petite évocation organique ou charnelle des peuples sédentarisés du Vieux Continent, se voyait relégué dans le vestibule funèbre qui mène aux chambres à gaz.
Je me trompe peut-être, mais il me semble que ce temps est fini, ou est en train d'agoniser. Et c'est heureux.
Car à la fin d'une anesthésie, il n'y a que deux solutions : on se réveille et on vit, ou bien alors on meurt. Pour de bon.